Image et paysage de l`A47, une stratégie de territoire pour la vallée

VIII-
Résultats à attendre
A. Le niveau local
• La disparition du sentiment de dangerosité de A47
• La revalorisation en terme d'image de l'infrastructure et ses abords
• L'appropriation par les collectivités de l'autoroute en révélant un intérêt
pour la façade de la ville donnant sur l'A47 et inversement.
• L'émergence d'une intelligence de projet par la collaboration entre
maîtrise d'ouvrage infrastructure et maîtrise d'ouvrage urbaine.
• Une meilleure connaissance par les pouvoirs publics du développement
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économique afin de définir les potentialités réelles d'évolution dans la
vallée du Gier.
La préparation d'un cadre favorable à l'accueil progressif d'activités à
plus forte valeur ajoutée, consommatrice d'un foncier moins vaste mais
plus qualitatif en terme de cadre de vie.
Le retour ou l'arrivée d'une population de cadres et professions
intellectuelles.
Une diminution des disparités socio-économiques entre fond de vallée et
coteaux, puis entre la vallée du Gier et les secteurs dynamiques
(concurrents d'une certaine manière) comme la plaine du Forez, pour
tendre vers un équilibre.
Une implication et une prise de conscience de l’ensemble des acteurs
(collectivités, entreprises publiques et privées, petits propriétaires)
– De l’intérêt pour chacun à long terme d’une politique de l’image
et de la qualité
– Des enjeux en matière de développement économique, culturel et
social d’une « vitrine à ciel ouvert » en matière de requalification
des abords d'autoroute, de traitements plastiques de l'espace, de
nouvelle approche de concertation et modèle de gouvernance.
– Des potentialités de ce territoire sur la question du cadre de vie :
aménagement urbain et paysager, qualité des installations,
proximité des coteaux,…
– De l'amélioration de l'offre en logements en terme de diversité et
de qualité dans les communes de fond de vallée
B. Le niveau régional et national
• L'attractivité par la requalification d'image et la mise en valeur des atouts
du territoire. Le paysage naturel de qualité, les dessertes autoroutière et
ferroviaire, le coût du logement modique, etc…
• La reconnaissance de ce territoire comme champ d’expérimentation
d’une politique de l’image par un travail partenarial sur le paysage et les
arts appliqués (notamment le design, fer de lance de Saint-Etienne
Métropole)
• L'affirmation progressive d'une identité construite sur un renouveau
économique (dans un premier temps anticipé)
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• La constitution d'un savoir faire autour de la requalification
d'infrastructures autoroutières en milieu contraint associant la sécurité, le
paysage et les projets d'amélioration du cadre de vie urbain en
particulier. Ce savoir-faire doit être à la fois technique, juridique et
politique s'il veut avoir une chance d'opérer, la question de la
gouvernance est ici prépondérante.
• La création d’une dynamique positive redonnant confiance aux
investisseurs privés
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