par aill urse encor e

Transcription

par aill urse encor e
LUNDI
MARDI
MERCREDI
JEUDI
VENDREDI
AVEC L’EST REPUBLICAIN
Musique e
encor
Danse et théâtre
La Maison
Après s’être penché sur la
figure du pont, recherche qui a
donné lieu à la création du
spectacle Ponts Suspendus, et
dans le cadre de l’élaboration
d’une trilogie sur la symboli­
que de l’espace, Gustavo Gia­
cosa et sa compagnie SIC
12 ont entrepris une nouvelle
recherche autour d’une autre
image riche de sens : celle de
la maison.
Du latin manière, qui signifie
« rester », la maison est par
étymologie le lieu où l’on
demeure, où l’on revient sans
cesse, le lieu par excellence de
la sédentarisation, et du même
coup de l’enracinement.
L’attachement à un lieu permet
de décrire et d’interpréter
notre présence au monde,
mais aussi d’en prendre la
mesure et de le posséder.
Cette nouvelle création
s’ouvre sur l’image d’une mai­
son en construction, comme un
corps métamorphique qui se
transforme sans cesse. Le
théâtre tout entier devient
alors un étrange chantier, où
de « vrais » manœuvres
coexistent avec des présences
fantomatiques et mystérieu­
ses. Sur un registre tragi­comi­
que, le spectacle s’interroge
sur la possibilité d’édifier une
demeure utopique (c’est­à­di­
re, littéralement, « sans lieu »),
pari tout aussi difficile que
celui qui consisterait à marier
le jour et la nuit, l’ordre et le
désordre, le réel
et l’imaginaire.
SAMEDI
DIMANCHE
par ailleurs
Looking for Alceste
Metz
Nicolas Bonneau se penche sur
un personnage emblématique du théâtre
C’est l’histoire d’un comédien – le narrateur – qui, le soir de l’anniversaire de ses 40 ans, est pris
d’une crise de lucidité sur le monde dans lequel il vit. Il tombe par hasard sur Le Misanthrope de
Molière et trouve dans le personnage d’Alceste son double fantasme. Il décide alors de monter la
pièce.
Dans sa quête, de rencontres en rencontres, d’illusions en échecs, il mesurera la difficulté d’allier
son besoin de vérité à la contrainte de vivre en société. Sur scène, il interprète les personnages,
explique, digresse, revient au texte, transpose, commente. L’œuvre classique devient une fable
dramaturgique qui donne naissance à de nouveaux personnages et à une nouvelle histoire.
Ainsi, Alceste, Célimène, Philinte et Oronte rencontrent le narrateur quarantenaire, Céline, Fred
et Dany. Après s’être particulièrement intéressé à ses contemporains (Sortie d’usine présenté en
octobre 2011), Nicolas Bonneau se penche sur un personnage emblématique du théâtre français.
Son but est de faire résonner les mots du texte classique en regard à nos préoccupations actuelles.
Tour à tour diseur, conteur ou acteur, il nous fait partager sa manière de travailler la langue de
Molière et les travers de la société dépeints dans la pièce.
Pour les besoins de cette nouvelle création, comme à son habitude, Nicolas Bonneau a mené ses
investigations auprès d’artistes, de philosophes, d’étudiants, de gens rencontrés au quotidien. Il a
expérimenté de dire la vérité pendant plusieurs jours. Il s’est isolé une semaine durant, loin de
toute société, « fuyant dans un désert le monde des humains » à la manière d’Alceste.
Aujourd’hui, il livre le fruit de ce travail de deux années. Entouré de deux musiciennes, vêtu
tantôt de costumes d’époque, tantôt à la mode contemporaine, il soulève chez chacun de nous
des interrogations confondant nos vies intimes et nos visions politiques.
Mardi 23. 20 h 30.
Théâtre La Méridienne ­ Lunéville.
Réservations : 03 83 76 48 60 billetterie@lameridienne­luneville.fr
Super Besse + One MPC et Freddy Trigger
Super Besse surfe sur une new wave nerveuse et mono­
chrome, inflexible et tranchante. Cette formation origi­
naire de Minsk, qui chante en russe, a définitivement un
faible pour la France, en témoignent les titres de ses EP
digitaux (Musique Pour Les Enfants, Musique Pour Les
Filles, La Chevelure De Bérénice) et sa connaissance de la
scène hexagonale. (Poni Hoax ou Trisomie 21 font partie
de son Panthéon). Leur album 63610 (code postal de la
station de ski française Super Besse), sorti en 2015, est
leur premier LP produit sous le label I Love You Records.
One MPC & Freddy Trigger sortent leurs plus belles ma­
chines et les font fonctionner en synchronisation pour un
live hypnotique.
Vendredi 12. 20 h 30.
Les Trinitaires ­ Metz. De 6 à 11 €.
Verdun
Piano Rigoletto
Avec sa leçon de musique
loufoque et ludique, son piano
et son Casio, Alain Bernard fait
revivre l’histoire de la musi­
que et la réalité quotidienne
des musiciens, de la préhistoi­
re à la chanson d’aujourd’hui,
en passant par le Moyen­Âge,
les périodes classique et ro­
mantique…
De Beethoven à David Guetta,
de Chopin à la chanson réalis­
te, du blues aux musiques
de films.
La mise en scène est signée...
Pascal Légitimus.
Rock
Théâtre
Qui a peur du loup ?
Ce groupe est composé de
musiciens expérimentés qui
ont écumé, depuis des décen­
nies, les concerts et festivals.
Les Free Birds font revivre les
plus grands groupes cultes des
années 60’s à 70’s : Rolling
Stones, Beatles, Led Zep, Dire
Straits, Doobie Brothers, the
Kinks, Peter Frampton, Bob
Dylan, Mc Cartney & Wings,
Santana…
et bien d’autres encore.
Du 19 au 21.
Esch­sur­Alzette
Vakeraï
Qui a peur du grand méchant
loup ? Pas nous ! Maxime et
Aymeric proposent de décou­
vrir trois histoires vécues par
un seul et même loup ; le cha­
peron rouge, l’agneau et les
sept chevreaux n’ont qu’à bien
se tenir. Pendant que l’un
jongle avec les compères des
histoires, l’autre plonge le
public dans l’univers électri­
que de ses guitares.
Les 13 et 14.
La Comédie de Nancy.
De 10 à 18 €.
Vendredi 12. 21 h.
L’impossible est
possible dans le
monde magique
de Varekai, une
production d’arè­
ne captivante du
Cirque du Soleil.
Les mystères de
l’univers et de
l’imagination
humaine sont
reflétés par les
séquences de
rêve pleines de
suspense, de
dramaturgie et d’acrobatie, qui offre aux spectateurs le meilleur
du monde de l’acrobatie, ainsi que des costumes de fantaisie et un
cadre musical authentique et live.
L’Atlandis ­ Essey­lès­Nancy.
12 € avec une consommation.
10 € pour les adhérents
Rock’N Lor.
Marionnettes
Le Grimoire Doudoukambolesque
Tibo Bin
Tibo Bin vit dans la rue, sans toit, ni maison. Mais son quotidien
se construit à partir de ce qu’il a dans son chariot et de ce qu’il
trouve dans les poubelles. Les poches vides, mais la tête pleine
d’idées, il récupère, répare, transforme et rafistole. Il invente sa
vie et entraîne le public dans ses histoires à partir de tout ce bric
à brac… Le spectacle familial par excellence.
Jeudi 18 et vendredi 19. 20 h.
Centre culturel Vauban ­ Toul. 6 €.
Du 17 au 21.
Rockhal ­ Esch­sur­Alzette. De 50,15 à 99,80 €.
Infos et réservations, tél. 03.83.62.61.08.
Epinal
Conte
Boulevard des Airs
Babayagagogo
C’est avec spontanéité, intelli­
gence et générosité que Boule­
vard des Airs parcourt les
routes depuis 10 ans avec des
centaines de concerts, un
disque d’or, une nomination
aux Victoires de la Musique,
plus de 80.000 disques ven­
dus, des millions de vues sur
Youtube et un succès phéno­
ménal avec « Emmène­moi »…
Le travail est collectif et la
création partagée. Sylvain
écrit, la paire Dasque (Florent
et Jean­Noël) compose avec
l’aide de Manu (trompette) et
Jérémy (clavier). L’arrivée de
Mélissa à la place de Kevin,
(parti visiter le monde) appor­
te une voix féminine et un
nouveau panel d’émotions !
Pourquoi au Gabon, on ne dit
pas sage comme une image,
mais sage comme une tortue ?
La sagesse n’y est pas aussi
plate et lisse qu’une image
d’Épinal, mais plutôt aussi
râpeuse et bosselée que Ba­
bayagagogo, la petite tortue.
A partir de 3 ans.
Par le conteur Chyc Pohlit.
Mercredi 17. 20 h 30.
La Souris Verte ­ Epinal.
De 15 à 21 €.
Metz
Je t’écris mon amour
Sur scène un homme, une
femme et un écran racontent
l’amour. Une passion bien
réelle, brûlante, mais des corps
qui restent séparés.
Ils sont à distance et en même
temps juste là, ils dialoguent
en temps réel, du bout des
doigts, sur un clavier. Clavier
d’ordinateur ou bien de télé­
phone portable. Chez eux,
dans le train, dans la rue, où ils
veulent. Je t’écris, mon amour
se veut un regard sur l’expé­
rience amoureuse telle qu’elle
peut se vivre en ce début du
XXIe siècle. La mise en scène
est signéeJean de Pange et Ali
Esmili (compagnie Astrov –
Metz)
CCAM ­ Vandœuvre.
De 4 à 17 €.
Jeune public
The Free Birds
Grenier Théâtre ­ Verdun.
tél. 03.29.84.44.04
[email protected]
Les 22 et 23. 20 h 30.
La guerre des sexes
aura­t­elle lieu ?
Le Grimoire Doudoukambolesque est un conte animé, une pièce
de théâtre mêlant marionnettes et acteurs qui ne se prennent pas
au sérieux. De 6 à 99 ans. Cette création originale est issue de
l’imagination de NaCimag’INE et de Christelle Youplaboum. Ces
deux rêveurs voient la vie comme un jeu. De leurs délires, est né
ce spectacle tout public. Bouchbé et Boucha Bush, frère et sœur,
se promènent dans la forêt et découvrent une malle mystérieuse
dans laquelle repose un grimoire. C’est le début d’un voyage haut
en couleur pour les deux personnages. Les créatures de la malle
sont plus qu’étranges : les six « doudous » semblent s’animer à la
lecture du grimoire, chacun possédant sa propre particularité.
Jeudi 18. 10 h et 15 h.
MJC Pichon ­ Nancy. 3 € en prévente. 4,50 € sur place.
Deux collègues de travail
décident d’entamer une grève
du sexe avec leur conjoint. Le
résultat ? Une comédie désopi­
lante sur les joies de la vie à
deux. Adrien et Cécile, deux
collègues complices, décident
de mener la guerre aux aléas
quotidiens de la vie de couple.
En parallèle, ils s’astreignent à
un entraînement régulier pour
que lui éveille sa part de fémi­
nité et elle sa part de virilité.
Mais à tout moment, eux et
leur conjoint peuvent craquer
face à la frustration sexuelle.
Dans cette guerre du sexe,
les couples sont mis
à rude épreuve.
Mercredi 17.
14 h 30 et 16 h 30.
Médiathèque ­ Toul.
Sur réservation au 03.83.65.83.83.
Jusqu’au 14.
La Comédie de Nancy.
De 10 à 18 €.
Visite guidée
Spéciale Saint­Valentin
De la cour des ducs de Lorraine à aujourd’hui, l’histoire de Nancy
est aussi une affaire de cour et de cœur. Amours de raison,
amours passion, amours extraconjugales… ces histoires ont in­
fluencé l’Histoire, et c’est celles­ci que propose de découvrir cette
visite un peu décalée. Le circuit mène jusqu’à la terrasse de l’arc
Héré, avant de savourer une coupe de champagne, place Stanislas
Du 10 au 12. 20 h.
Espace B.­M. Koltès ­
Metz. De 5 à 12 €.
Réservations,
tél. 03.87.31.56.13
theatredusaulcy­
reservation@univ­lorraine.fr
Samedi 13 de 16 h 30 à 18 h.
15€ ou 13,50 € pour toute réservation (conseillée) sur internet.
Rendez­vous à l’office de tourisme de Nancy.
CONTACT > [email protected]
20
SAM.
AGENDA
DMM12 ­ V1
SON ET LUMIÈRE
Sur le thème de « Driant, député de Nancy
et héros de Verdun » avec la fanfare du 27e
bataillon des chasseurs alpin. Salle Poirel ­
Nancy. 20 h 30. Entrée libre dans la limite
des places une heure avant le spectacle.
23
MAR.
PHILIPPE CLAUDEL
SIRÈNES
L’écrivain­cinéaste est l’invité
de Françoise Rossinot dans le
cadre des rencontres du Livre
sur la Place. 18 h 30. Salle
Poirel ­ Nancy.
Un roman familial dont les liens se tissent au
fur et à mesure, sur trois générations.
« Sirènes » interroge la transmission de
l’héritage familial. Des récits de vie qui se
répondent entre eux… A la Manu jusqu’au 26.

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