Du 15 au 23 juillet

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Du 15 au 23 juillet
15-23 juillet 2006
Avignon / île de la Barthelasse
Partager les émotions
UN PRINCIPE FONDAMENTAL
Se rassembler et s’enrichir autour d’une émotion nouvelle,
abolir les frontières et changer les regards,
laisser les sensibilités s’exprimer.
Les tribunes
vont continuer
à vibrer...
Du 15 au
23 juillet
ENTRÉE LIBRE
Au moment où on voit remis en cause le socle des conquêtes sociales
de La Libération, comment ne pas être sensible à cet appel des vétérans
des mouvements de résistance qui s’adresse à ceux qui bâtiront le
siècle :
Cette année, toujours en collaboration avec le festival d’Avignon,
la Chartreuse de Villeneuve les Avignon et La Friche La Belle de Mai,
le programme de Contre Courant a été choisi afin que chacun puisse
trouver un chemin et en révéler d’autres.
Créer c’est résister, résister c’est créer.
De Koltés à Copi, en passant par Pommerat, divers univers se donnent
à la réflexion tandis que la poésie “tente de ralentir le monde”.
Ce pourrait être la bannière à faire flotter, du 15 au 23 juillet sur l’île de la
Barthelasse, au dessus de la 5 ème édition du festival Contre Courant.
Car à l’heure où la jeunesse prouve sa détermination contre la précarité
et gagne, tandis que la question du statut des intermittents n’est
toujours pas réglée, il semble vital de construire des îlots de résistance
et d’intervention.
Rendez-vous donc sur l’île pour bâtir ensemble cet îlot. Allons à la
rencontre d’autres pays, d’autres souffles, d’autres langages, et laissons
nous porter par nos différences.
“L’indisciplinarité” préside toujours à l’élaboration de ce festival, lieu
de croisement de différents arts et lieu d’échanges.
Des voix nouvelles se font entendre, telle celle d’Anis, cruellement
tendre, ou celle du Cirque des mirages, étonnante et troublante.
D’autres rencontres croisent les chemins, et si d’aventure la pelouse
se transformait en stade de football, il ne faudrait pas s’en étonner,
La Revue Eclair est prête à changer le monde qui nous environne.
Les artistes de cette quatrième édition vous invitent à la détente, mais
aussi à la réflexion et à la transformation de votre rapport au
monde… pour un temps… ou un peu plus, si le libéralisme mercantile
n’étouffe pas leur liberté de création… notre liberté.
Évelyne VALENTIN,
Présidente de la CCAS
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18h30
Samedi
15 juillet
ENTRÉE LIBRE
Théâtre
21h30
Paroles & Musique
Compagnie du Tournesol : Tabataba de Bernard Marie Koltès. Mise en
scène de Philippe Boulay.
Plutôt que de courir les filles, petit Abou bichonne sa moto. Et ça fait enrager
Maïmounia, sa sœur. Récriminations, silences, jeux de regards intenses, un
corps à corps désespéré entre deux êtres de même sang, qui dit la difficulté
de s’aimer comme de se séparer, de briser en somme ce lien charnel qui
les unit : le territoire de l’enfance.
Parker-Yanowski : Le cirque des mirages.
Entre cabaret, mime, chanson et théâtre, le cirque des mirages nous invite
dans son étrange univers fantasmagorique. Dans les eaux troubles de
l’âme humaine, Parker, le pianiste et Yanowski, le chanteur, pêchent de
saisissantes saynètes tragi-comiques. Aventure hors du commun, moment
de grâce et de folie mêlées, ce cabaret des mirages est un puissant antidote
aux sirupeuses et mercantiles comédies musicales
19h
23h
Ouverture du Festival
& inauguration de l’exposition
Vive les congés payés. Une expo sur l’été 36. Scénographie de
Jacques Le Disez.
En présence d’Evelyne Valentin, Présidente de la CCAS, Josette Pélissier,
Présidente de la CAR PACA, Fiore D’Ascoli, Président de la Commission
Action Culturelle et Jacques Galetto, Président de la CMCAS d’Avignon.
Poésie
Les Souffleurs : Tentative de ralentissement du monde.
Les Souffleurs posent leur tente nomade et leurs transats sur l’île. Ouvrez
bien vos oreilles, il se pourrait qu’un miel fécond vienne s’y répandre.
Mais, chut, il ne faut rien révéler de cette expérience poétique, sensorielle
et intime. Il faut la vivre et accepter le mystérieux voyage.
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16h
Dimanche
16 juillet
La journée s’inscrit
dans le cadre
du partenariat avec
le Festival d’Avignon
ENTRÉE LIBRE
Atelier
L’équipe de création du Numéro d’équilibre
d’Edward Bond fait appel au dynamisme, à
l’intuition, aux suggestions et à l’audace
imaginative d’un groupes de jeunes pour
travailler sur la matière de la pièce.
Des ateliers similaires seront menés dans
différents lieux en relation avec le Festival
d’Avignon. Ce travail, loin d’être accessoire
constitue pour l’équipe le cœur du projet, et
nourrit la création.
18h30 Théâtre
22h30 Théâtre
L’outil Compagnie : Le Numéro d’équilibre
de Edward Bond. Traduction et mise en
mise en scène : Jérôme Hankins.
Viv a tout abandonné pour vivre exilée dans un
immeuble en ruine. Elle passe ses journées à
surveiller un point sur le sol. C’est le point qui
tient le monde en équilibre. Nelson, son petit
ami la soutient tout en se demandant pourquoi
elle s’est fixée une tâche aussi utopique. Un
long périple catastrophe commence alors.
Sous le masque de la comédie, Edward Bond
nous livre une apocalypse clownesque emplie
d’humour, un chaos désopilant, mais implacablement dévastateur. C’est la cinquième pièce
du grand auteur anglais à avoir été écrite pour
un public adolescent.
Compagnie Louis Brouillard : Cet enfant écrit
et mis en scène par Joël Pommerat.
A l’origine de ce texte, des rencontres en 2002 avec
des femmes de Normandie vivant dans une cité. Le
projet Qu’est ce qu’on a fait ? a été initié par la Caisse
d’allocations familiales du Calvados et le Centre
dramatique national de Caen. Plusieurs jours durant,
ces femmes, Joël Pommerat et une équipe de
comédiens ont échangé et réagi ensemble sur le
thème de la parentalité. Suite à ces rencontres, le
metteur en scène a écrit, sans jamais retranscrire une
histoire directement racontée, mais plutôt en rêvant
les déchirements de tous, en tentant de plonger au
cœur des enjeux primordiaux de cette relation. Cet
enfant est une suite de séquences imaginées de
confrontations familiales qui étirent à leur maximum
les tensions ordinaires du lien parents enfants.
Rencontre à l’issue de la représentation
avec Edward Bond.
Rencontre à l’issue de la représentation
avec Joël Pommerat.
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Lundi
17 juillet
ENTRÉE LIBRE
18h30 Théâtre lecture
22h Théâtre
Forza Bastia de Noël Casale.
Le 26 avril 1978 aurait dû être une grande
journée dans l’histoire du football. Le Sporting
club de Bastia rencontre en effet l’équipe
d’Eindhoven. Mais les cieux s’en mêlent déversant
sur le stade de Furiani des trombes d’eau qui
transforment la pelouse en champ de boue.
Pompiers, lycéens, volontaires sont réquisitionnés
pour réparer l’outrage des cieux. Le match a tout
de même lieu et se solde par un score vierge.
L’épopée européenne digne du cinéma de Tati ?
Justement Tati est là qui promène sa caméra
de midi à minuit et en fait un film d’une heure :
Forza Bastia.
Le metteur en scène Noël Casale a vu le film et a
vécu l’événement, adolescent. Cela lui a donné
l’envie d’en restituer l’atmosphère haute en couleurs.
Un moment réjouissant !
La Revue Eclair : Mercredi 12 mai 1976,
écrit et mis en scène par Corine Miret et
Stéphane Olry.
12 Mai 1976, la planète foot a tremblé. Ce jour
là, face à l’ogre Bayern de Munich, un petit
poucet tout de vert vêtu : Saint Etienne.
L’espoir nouveau d’une ville ouvrière devenue
cité radieuse, toute pavoisée de vert. Ce soir
là, l’ogre a avalé le Petit Poucet, mais cette
défaite, plus que toute victoire devint légende.
Nourris des témoignages de stéphanois, hommes
et femmes de tous âges, La Revue Eclair a
décidé d’explorer le mystère. Sur scène, elle
fait revivre l’incroyable alchimie qui a soudé la
France entière à l’équipe des Verts.
23h30
Musique
du monde
Camel Zekri et le Diwan de Biskra.
Emmené par Kamel Zekri, le Diwan de Biskra
s’est révélé au fil des années comme un des
ensembles de référence des musiques gnawas,
singulièrement des gnawas algériens. Le travail
musicologique effectué par Camel Zekri et les
siens leur ouvre un répertoire très riche.
L’exigence musicale à l’œuvre depuis une
dizaine d’années fait par ailleurs du Diwan de
Biskra un véritable “groupe” à la cohésion
impressionnante : précision, puissance et
musicalité sont des qualificatifs qui reviennent
fréquemment à leur propos.
Une quête spirituelle et musicale qui a pour
finalité le désir de rencontrer l’autre.
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19h
Mardi
18 juillet
ENTRÉE LIBRE
Rencontre
Rencontre avec Marcial Di Fonzo Bo du Théâtre des Lucioles, acteur
et metteur en scène de Eva Peron de Copi.
Marcial Di Fonzo Bo, magnifique interprète d’Eva Peron nous familiarisera
avec l’univers de Copi , auteur mais aussi dessinateur et acteur d’origine
argentine.
Dans le cadre du partenariat avec le Festival d’Avignon.
22h
Danse
Compagnie Paco Dècina. Post-Retrogardia : Intervalle.
Que se passe-t-il dans cet intervalle d’attirance et de tension que
représentent deux corps en mouvement ?
Paco Décina chorégraphie deux duos à la plénitude et la sensualité mêlées.
La précision du geste, son raffinement, nous conduisent au-delà du
spectacle, l’intervalle ouvre alors sur un ailleurs qui rassérène.
Un moment rare.
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18h30
Mercredi
19 juillet
ENTRÉE LIBRE
Humour
Pierre Aucaigne : Self control.
Momo est attachant avec son béret, son
écharpe rouge , ses lunettes fracassées et son
air d’imbécile heureux.
Momo, c’est le personnage emblématique de
Pierre Aucaigne.
A ses côtés, un syndicaliste un brin frappé, un
vieux nationaliste, un théâtreux parisien, bref
une galerie de portraits de doux dingues.
Pierre Aucaigne, magnifique acteur, interprète
avec brio cette émouvante humanité.
19h30
Rencontre
Théâtre
Rencontre avec le groupe Merci programmé
à La Chartreuse de Villeneuve les Avignon
le 21 juillet.
Dans le cadre du partenariat avec La
Chartreuse de Villeneuve les Avignon.
22h
Théâtre
Théâtre des Lucioles : Eva Peron, de Copi.
Mise en scène Marcial Di Fonzo Bo.
Eva Peron a un cancer et vit ses derniers jours
entourée de son infirmière, de sa mère et de
son mari. Mais elle ne meurt pas en silence Eva.
Elle hurle, vocifère. L’icône adulée du peuple
se transforme sous la plume de Copi en une
harpie cruelle et vulgaire.
En dénudant un mythe, l’argentin Copi ne fait
pas de la reconstitution historique, il tente de
trouver Eva Duarte derrière Evita, de révéler la
femme qui se cache derrière le personnage.
Servie par d’excellents comédiens, cette pièce
à l’intelligence jubilatoire dérange, bouscule
mais ne peut laisser indifférent.
Dans le cadre du partenariat avec
le Festival d’Avignon.
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18h30
Jeudi
20 juillet
Conte
Colette Migné, conteuse clown.
Petits arrangements sous l’édredon : Pot pourri
de contes pas farouches, pour se faire rosir les
oreilles de plaisir et de rire.
Sans nez rouge, mais avec drôlerie, Colette Migné
parle d’érotisme sans avoir l’air d’y toucher.
Voici donc une conteuse qui n’a pas froid aux yeux
et explore avec malice et délice les méandres
de l’intime.
22h
Humour
Compagnie Canon : Cabaret Prozach.
Trois démentes ravageuses, à la recherche de
l’homme perdu, nous emmènent dans les
profondeurs, les contradictions et les dérives
du plaisir, en nous livrant leurs secrets avec la
plus grande impudeur.
Voyage dans les mystères de leurs obsessions,
images chocs et ambiance kitsch, voilà des
femmes clowns à la bouffonnerie tonitruante.
23h
Danse
Compagnie Hors Série : Sekel. Direction
artistique Hamid Ben Mahi.
Hamid Ben Mahi, danseur, a découvert la danse
hip hop en autodidacte dans les années 80.
Dans Sekel, il fait de chaque danseur un porteur
de message. Chacun livre son histoire singulière,
et ce pourquoi il danse, donnant ainsi les clefs
de compréhension d’une aventure collective.
Loin des clichés qui s’attachent à l’image “d’une
certaine jeunesse”, Sekel offre des pistes de
réflexion nouvelles et dresse un portrait touchant
d’une génération déchirée qui relève la tête.
Dans le cadre du partenariat avec
le Festival d’Avignon.
ENTRÉE LIBRE
Les tribunes
vont continuer
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(Journée réservée aux personnels des I.E.G,
soirée payante à partir de 18h)
A la Chartreuse
de Villeneuveles-Avignon
Vendredi
21 juillet
Sur réservation au Rond Point de
la Barthelasse à partir du 15 juillet.
Participation 15 euros, 1 er enfant
8 euros, gratuit à partir du 2ème
(Veuillez vérifier que les spectacles
soient bien tout public). Attention
vous devrez choisir entre le spectacle
“Human” et le spectacle “Lever les
yeux au ciel” car les jauges sont
limitées.
15h
Théâtre
Coproduction La Belle
Meunière et ARCADI
Compagnie la Belle Meunière : Au milieu du
désordre. Conférence démonstration sur le
tas, la spire, la chute et l’air de Pierre Meunier.
Pierre Meunier poursuit son travail sur les
rapports entre l’homme et la matière. Il est ici
l’auteur interprète de cette extraordinaire
conférence. Multipliant les citations, vraies,
fausses, ou détournées, il s’interroge sur le tas
et le trou, le haut et le bas. Doux rêveur qui
nous embarque sur les chemins de sa passion,
il nous fait vivre un pur moment de poésie.
18h
Théâtre Cirque
Compagnie les Hommes penchés : Human
(articulation). Pièce de cirque mise en scène
par Christophe Huysman.
Dans Human (articulations), acteurs et artistes
de cirque se partagent un espace fait de lignes
verticales - des mâts chinois - et horizontales,
sur lesquelles ils se déplacent. Dans cet espace
presque vide, un chœur de voix et de corps tente
de dire joyeusement, mais pas sans violence,
qu’il faut inventer de nouvelles formes pour
dire le monde et lutter contre toute forme de
barbarie. Vertige des corps contraints et vertige
des mots concassés pour revendiquer la
résistance.
est enfermé, il est partout : dans la presse, à la
télévision, et se refuse à exhiber son malheur.
Il questionne ainsi le théâtre : les relations
entre le documentaire et la fiction, la matière
événementielle et la scène.
19h
22h
Théâtre
Lever les yeux au ciel de Michel Beretti
(avec des textes d’Adriano Sofri) conçu et
réalisé par Hervé Loichemol.
Adriano Sofri, ancien militant d’extrême gauche,
est incarcéré à la prison de Pise jusqu’en 2019.
D’innombrables personnalités ont œuvré pour
sa libération, en vain. Quant à lui, il ne veut pas
demander sa grâce, ce serait reconnaître la
culpabilité qu’il a toujours niée. Tandis que Sofri
21h
Repas
Repas dans les Jardins d’été de La chartreuse.
Théâtre
Groupe Merci : Objet nocturne numéro 18
Colère !
Depuis dix ans, le Groupe Merci voyage dans des
formes atypiques, renonçant à jouer dans la boîte
magique du théâtre. Il crée des surgissements
hors les murs afin d’inventer de nouvelles formes
et aller ainsi vers un public nouveau. Le thème
du spectacle est la colère : Colères exprimées
ou refoulées et l’empoisonnement qui s’ensuit.
Les tribunes
vont continuer
à vibrer...
19h
Débat
De quelle manière les CE peuvent-ils
impliquer les salariés dans une démarche
culturelle ouverte et singulière, loin de
toute uniformisation ?
Samedi
22 juillet
ENTRÉE LIBRE
21h30
Danse
Compagnie Lanabel : Qué Calor.
Qué Calor, est l’aboutissement d’une rencontre
originale entre l’univers industriel (SEB) et
l’univers artistique (Compagnie Lanabel) initiée
par la chorégraphe Annabelle Bonnery, fascinée
par l’automatisation des gestes, l’organisation
humaine et spatiale d’une usine. La pièce
chorégraphique se nourrit de bruits et de gestes
observés sur les sites de production. Le regard
artistique interroge une réalité économique.
Une création qui choisit de faire la part belle à
la nature humaine et à sa capacité d’adaptation
et de transformation.
22h45 Théâtre Forain
Compagnie Humani Théâtre : L’ombre de
Evguéni Schwartz.
Dans un pays mystérieux, un savant venu de
l’étranger entreprend des recherches pour
rendre les gens heureux. Tombé amoureux de
la princesse héritière, il demande à son ombre
d’être son interprète auprès de sa bien-aimée.
Enfin libre, l’ombre s’emploie à asseoir son
pouvoir en prenant la place de son maître.
Jusqu’où va aller sa tyrannie ?
Dans la tradition des artistes de foire et de
music-hall, des bateleurs et des bonimenteurs,
la troupe Les Valeureux s’empare de l’espace
pour notre plus grand plaisir.
0h15
Musique
Banda du dock.
Voilà une Banda qui révolutionne la tradition de
la fanfare. La joyeuse bande fait revivre avec
bonheur une tradition qui tend à disparaître.
Le groupe réunit des experts en caisses claires,
trombones et saxos pour faire swinguer et
s’embraser l’île.
Les tribunes
cesseront
de vibrer...
19h
Dimanche
23 juillet
ENTRÉE LIBRE
Musique
Bamboo Orchestra.
Ensemble musical composé principalement
d’instruments en bambou, le Bamboo Orchestra
mêle instruments traditionnels des Cinq
Continents, allant des percussions géantes à
de minuscules flûtes.
Véritable laboratoire sonore, le groupe invente,
construit, expérimente au-delà des frontières
et des genres musicaux.
En partenariat avec
La Friche Belle de Mai.
22h
Paroles
& Musique
Anis.
Anis, nom parfumé et acidulé qui signifie “le
compagnon” en arabe littéraire et qui définit si
bien le chanteur et son univers.
Voix de miel, musique chaloupée, un peu crooner,
un peu “bluesy”, Anis se raconte et déchire
ainsi des voiles de vie.
Le métro comme seule scène avant la reconnaissance, les amis à la dérive, le spleen des
enfants d’émigrés.
Avec douceur et sans noirceur, il nous guide sur
les chemins rudes “avec le vent pour complice”.
23h30
Paroles
& Musique
Les Barbeaux.
Saltimbanques infatigables, ils manient la
tchatche avec impertinence, réinventant sans
cesse leur concert dans un esprit de partage.
Leur musique énergique et métissée nous
entraîne vers un voyage généreux autour du
monde.
Ils vous invitent à la danse…
Exposition
Vive les congés payés.
Du 15 au
23 juillet
ENTRÉE LIBRE
En dix ans, de 1936 à 1946, la France est passée d’un droit social infirme
à une ébauche de démocratie sociale. Pour cela, il fallut d’abord la grande
crise, l’ébullition sociale et la créativité du Front populaire ; il fallut ensuite
l’épreuve de la guerre et la dynamique sociale et politique de la Résistance.
Le but de l’exposition est de rappeler les conditions de ce passage. En
rappelant aussi que, par un paradoxe significatif, c’est par l’affirmation du
droit au loisir (la limitation du temps de travail, les congés payés) que le
travail est passé en France de l’ère du non-droit à celle du droit collectif.
ACCÈS
Il suffit de passer le pont...
Complexe Rond-point, ile de la Barthelasse.
Renseignement à partir du 4 juillet au :
04 90 86 64 65 et 06 73 38 12 79