Is there an association between the use of cardiac ultrasound and
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Is there an association between the use of cardiac ultrasound and
Is there an association between the use of cardiac ultrasound and survival outcomes in patients arriving to the emergency department in cardiac arrest? The second Sonography in Hypotension and Cardiac Arrest in the Emergency Department (SHOC-ED 2) Study. Y a-t-il un lien entre l’usage de l’échographie cardiaque et le taux de survie chez les patients qui arrivent au service d’urgence en arrêt cardiaque? Deuxième étude sur l’usage de l’échographie dans les cas d’hypotension et d’arrêt cardiaque au service d’urgence (SHOC-ED 2) 1 Beckett Nicole Paul Atkinson1,2 2 Jacqueline Fraser 1,2 James French David Lewis1,2 Dalhousie Medicine New Brunswick, Saint John, New Brunswick1 Department of Emergency Medicine, Dalhousie University, Saint John Regional Hospital, Saint John, New Brunswick2 References: 1 Andrus P, Dean A. Focused cardiac ultrasound. Global Heart 2013;8(4): 299303. doi: 10.1016/j.gheart.2013.12.003. 2 Blyth L, Atkinson P, Gadd K, Lang E. Bedside focused echocardiography as predictor of survival in cardiac arrest patients: a systematic review. Academic Emergency Medicine 2012;19: 1119–1126. doi: 10.1111/j.15532712.2012.01456. 3 Chardoli M, Heidari F, Rabiee H, Sharif-Alhoseini M, Shokoohi H, RahimiMovaghar V. Echocardiography integrated ACLS protocol versus conventional cardiopulmonary resuscitation in patients with pulseless electrical activity cardiac arrest. Chinese Journal of Traumatology 2012;15(5): 284-7. PubMed PMID: 23069099. 4 Volpicelli G. Usefulness of emergency ultrasound in nontraumatic cardiac arrest. American Journal of Emergency Medicine 2011;29(2): 216-23. 5 2015 American Heart Association guidelines update for cardiopulmonary resuscitation and emergency cardiovascular care. Circulation 2015;132(18):315-573. 6 Blaivas M, Fox JC. Outcome in cardiac arrest patients found to have cardiac standstill on the bedside emergency department echocardiogram. Academic Emergency Medicine 2001;8(6): 616-21. doi: 10.1111/j.15532712.2001.tb00174. 7 Salen P, Melniker L, Chooljian C, Rose J, Alteveer J, Reed J, Heller M. Does the presence or absence of sonographically identified cardiac activity predict resuscitation outcomes of cardiac arrest patients? American Journal of Emergency Medicine 2005;23(4): 459-462. doi: 10.1016/j.ajem.2004.11.007. Contexte :L’usage de l’échographie cardiaque au point d’intervention (PoCUS) pour évaluer les patients en arrêt cardiaque est très répandu1, 2, 3, 4, bien que les directives de la technique spécialisée de réanimation cardio-respiratoire ne l’exigent pas.5 Plusieurs études de moindre envergure ont suggéré que l’absence d’une activité cardiaque chez un patient en arrêt cardiaque constitue un facteur prédictif de mortalité de 100 %6, 7. Cela nous laisse porter à croire que la présence d’une activité cardiaque à l’écographie pourrait servir de critère pour identifier les patients pouvant réagir à des efforts de réanimation plus poussés. Une étude a même suggéré de ne pas toujours envisager des efforts de réanimation en l’absence d’une activité cardiaque afin de réduire les risques pour les fournisseurs et la consommation de ressources essentielles.1 Notre étude a pour objectif de miser sur ces études de petite envergure pour déterminer si l’usage de l’écographie, de pair avec les résultats que cette dernière fournit, fournit différents résultats chez les patients en arrêt cardiaque au service d’urgence. Background: The use of cardiac point of care ultrasound (PoCUS) to assess cardiac arrest patients is widespread,1, 2, 3, 4 although not mandated by advanced cardiac life support (ACLS) guidelines.5 Several small studies have suggested that the absence of cardiac activity in a patient in cardiac arrest is predictive of a 100% mortality rate.6, 7 This suggests that the presence of cardiac activity by ultrasound could be used as criterion to identify patients that may respond to more aggressive resuscitation efforts. One study even suggests resuscitative efforts should not always be considered with absence of cardiac activity to reduce risks to providers and decrease consumption of critical resources.1 Our study aims expand on these small studies to examine if the use of ultrasound, along with the findings on ultrasound are associated with a difference in outcomes of cardiac arrest patients in the emergency department (ED). Methods: A retrospective database and chart analysis was completed for patients arriving to a tertiary ED in asystole or PEA cardiac arrest, between 2010 and 2014. Patients were excluded if aged under 19, or with a previous DNR order. Patients were grouped based on whether PoCUS was used during ACLS (PoCUS group) and those without PoCUS (control group). Data was abstracted from charts using a standardized form and was analyzed for the return of spontaneous circulation (ROSC), survival to hospital admission (SHA), and survival to hospital discharge (SHD), as well as initial cardiac activity findings on PoCUS. FIG1. Significantly greater patients in the control group achieved survival to hospital admission (p = 0.0046). FIG 1. Un nombre beaucoup plus marqué de patients du groupe de contrôle ont survécu au moment de l’hospitalisation (p = 0,0046). Results: 230 patients met the study inclusion criteria, with 44 (19%) in the control group, and 186 (81%) in the PoCUS group. In the PoCUS group 20 (11%) had cardiac activity (Positive PoCUS) and 166 (89%) had no cardiac activity recorded. Rates of SHA were significantly higher in the control group (27%, 95% CI 15-43%) than in the PoCUS group (10%, 95% CI 6-15%; p = 0.0046). There was no difference in rates of ROSC (control 37%, 95% CI 24-55% vs. PoCUS 26%, 95% CI 20-33%; p = 0.1373) or SHD (control 7%, 95% CI 1-19% vs. PoCUS 2%, 95% CI 0-5%; p = 0.0858). Positive PoCUS patients had higher frequency of ROSC (75%, 95% CI 50-91%) and SHA (25%, 95% CI 9-49%) compared to patients with no PoCUS cardiac activity (ROSC: 20%, 95% CI 15-27%, p < 0.001; SHA: 8%, 95% CI 4-13%, p = 0.0294), however there was no difference in rates of SHD between the positive PoCUS patients (0%, 95% CI 0-17%) and patients with no PoCUS cardiac activity (2%, 95% CI 0-5%, p = 1.0000). Conclusion: Our findings suggest there is no difference in final outcome (survival to hospital discharge) between patients receiving PoCUS and the control group. While positive cardiac activity on PoCUS may be associated with improved intermediate outcomes, the final outcome of survival to hospital discharge is not predicted by PoCUS findings. FIG 2. Significantly greater patients with positive activity seen on PoCUS achieved return of spontaneous circulation (p < 0.001) and survival to hospital admission (p = 0.0294). No significant difference was seen in survival to hospital discharge. FIG 2. Un nombre de patients beaucoup plus marquant de patients ayant une activité positive constatée lors du PoCUS ont atteint un rétablissement de la circulation spontanée (p < 0,001) et une survie au moment de l’hospitalisation (p = 0,0294). Aucune différence significative n’a été relevée pour les taux de survie au moment du congé de l’hôpital. Méthodologie :Une analyse rétrospective des bases de données et des dossiers a été effectuée pour les patients qui arrivent à un service d’urgence d’un établissement de soins tertiaires souffrant d’asystolie ou d’un arrêt cardiaque de dissociation électromécanique entre 2010 et 2014. Les patients de moins de 19 ans ou ceux ayant une ordonnance de réanimation furent exclus. Deux groupes de patients ont été formés, soit le groupe auprès duquel on avait utilisé l’échographie cardiaque au point d’intervention lors de la technique spécialisée de réanimation cardio-respiratoire (groupe PoCUS) et celui pour lequel cette méthode n’avait pas été utilisée (groupe de contrôle). Les données ont été tirées de graphiques au moyen d’une formule normalisée et analysées afin de déterminer le taux de rétablissement de la circulation spontanée (ROSC), le taux de survie au moment de l’hospitalisation (SHA), le taux de survie au moment du congé de l’hôpital (SHD) et les résultats initiaux d’activité cardiaque sur l’échographie cardiaque au point d’intervention. Résultats : Au total, 230 patients ont satisfait les critères d’inclusion; de ce nombre, 44 (19 %) faisaient partie du groupe de contrôle et 186 (81 %), du groupe PoCUS. Dans ce dernier, 20 patients (11 %) avaient une activité cardiaque (activité positive au PoCUS) et 166 patients (89 %) n’avaient aucune activité cardiaque. Les taux SHA étaient nettement plus élevés dans le groupe de contrôle (27 %, 95 % avec IC de 15 à 43 %) que dans le groupe PoCUS (10%, 95% avec IC de 6 à 15 %; p = 0,0046). Aucune différence n’a été relevée sur le plan du taux ROSC (groupe de contrôle 37 %, 95 % avec IC de 24 à 55 % par rapport au groupe PoCUS, 26 %, 95 % avec IC de 20 à 33 %; p = 0,1373) ou du taux SHD (groupe de contrôle 7%, 95% avec IC de 1 à 19 % par rapport au groupe PoCUS 2 %, 95 % avec IC de 0 à 5 %; p = 0,0858). Les patients ayant une activité positive au PoCUS affichaient de plus grands taux ROSC (75 %, 95 % avec IC de 50 à 91%) et SHA (25 %, 95 % avec IC de 9 à 49 %) par rapport aux patients sans activité cardiaque au PoCUS (ROSC : 20 %, 95 % avec IC de 15 à 27 %, p < 0,001; SHA : 8 %, 95 % avec IC de 4 à 13%, p = 0,0294). En revanche, il n’y avait pas de différences sur le plan des taux SHD entre les patients à activité positive au PoCUS (0 %, 95 % avec IC 0 à 17 %) et les patients PoCUS sans activité cardiaque (2 %, 95 % avec IC de 0 à 5 %, p = 1,0000). Conclusion :Nos résultats suggèrent qu’il n’y a pas de différence dans les résultats finaux (survie au congé de l’hôpital) entre les patients du PoCUS et le groupe de contrôle. Bien que l’activité cardiaque au PoCUS puisse être associée avec des résultats intermédiaires améliorés, le résultat final de survie au congé de l’hôpital n’est pas prédit par les résultats PoCUS.