sommaire - CFDT SF3C
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votre actualité SCE juillet 2007 EDITO La lettre de la La stratégie promise par la direction de SCE : les bons résultats du premier semestre se traduiront par des délocalisations au second. Les forces commerciales ont atteint les objectifs du 1er semestre sur le marché français. Dans le même temps, l’« usine entreprise France » est en grande difficulté : les escalades pour services non rendus se multiplient, les forces commerciales et nos dirigeants sont pris dans la tourmente. Les moyens humains sont inadaptés à la charge de travail et la bonne volonté des forces opérationnelles ne suffit plus à calmer le courroux de nos clients. Et pourtant… la qualité de service est l’élément clé de notre stratégie au sein du programme OCE. Conquérir de nouveaux marchés suppose une forte crédibilité auprès de nos clients qui n’achèteront nos services que s’ils sont satisfaits de leurs réseaux voix+data. Pourquoi ne pas mettre les quelques moyens supplémentaires nécessaires? Pour des raisons de marges insuffisantes et de coûts salariaux trop élevés ? Non, car l’activité Entreprise France est « très profitable » et les marges sont « sympathiques », dixit la Direction lors des dernières présentations de la stratégie de OBS. La vérité est ailleurs : la stratégie d’Equant ne marche pas et nous perdons de gros client à l’international ! Equant, dotée de clients fidèles, était positionnée voici 3 ans sur une offre haut de gamme malgré des résultats jugés insuffisants. Afin de réduire les coûts, les CSC historiques (Reston, Atlanta, Sidney, Londres…) ont été délocalisés sur les platesformes « low-cost » du Caire, New Dehli et Rio, et les offres repositionnées sur des supports à bas coûts sans SLAs. Résultat tangible : la situation a empiré ! Les bonnes notes décernées par les journalistes ne font rien à l’affaire. La QS, déplorable à l’international, mécontente grandement nos clients et ne nous permet pas de justifier les écarts de prix! Pourquoi payer plus cher un service guère meilleur que celui des concurrents ? Une vision erronnée, une stratégie perdante : chronique d’une catastrophe amorcée… 60 % du CA d’Equant est fait en Europe. L’ambition de NEXT est d’être le 1er opérateur domestique d’Europe. Ne pouvons-nous lier des partenariats sur les autres plaques au lieu de maintenir artificiellement une présence coûteuse ? Cette vision n’est pas partagée par les managers responsables de la stratégie perdante d’Equant et désormais, pour la plupart, aux postes clés de SCE. Ils vont reproduire le modèle Equant chez SCE en réduisant les coûts sur l’usine France afin de combler les pertes d’Equant. Nos grands clients étrangers qui sont souvent aussi nos grands comptes français apprécieront… La CFDT dénonce la stratégie de SCE qui mène inéluctablement aux délocalisations ! Sur la base des éléments dont nous disposons, nous chiffrons leur ampleur à plus de 700 emplois. Si l’essentiel des effectifs concernés est chez CS&O, c’est bien tout SCE qui sera impacté : les ventes ne sauraient se faire sans une usine performante d’autant que la stratégie « low cost » a démontré qu’elle ne rimait pas avec qualité ! Nous sommes donc bien loin d’ OCE. Encore des doutes ? Prenez le temps de réfléchir à ces deux points: w La création du MSC de l’Île Maurice est justifiée par la nécessité de baisser le coût du service Hot Line Utilisateurs. Or moins de la moitié des emplois du dossier exercent leur activité sur ce secteur ! w Le marché International va mal, pourtant, à fin 2007, 400 emplois supplémentaires vont être créés sur le site du Caire qui s’ajouteront aux 180 postes de l’Île Maurice. On imagine qu’ils auront bien quelques activités… sur la France !! Et vous qu’en pensez-vous ? 1 CFDT Votre équipe CFDT Découvrez sur notre site www.cfdt-sce.com l’analyse et la déclaration de nos élus au Comité Central de l’ UES (Unité Economique et Sociale) et au Comité Groupe France lors de la présentation de la stratégie SCE. N’hésitez pas à nous solliciter pour en discuter. S O M M A I R E 2 DOSSIER : La déstabilisation de l’usine entreprise u Délocations d’activités de CSO France vers les pays low costs d’Equant... ou « quand toute vérité n’est pas bonne à dire » u Réorganisation des Centres de Gestion Clients (CGC) de SCE/DGC : à quand le prochain tour du monde ? u Réorganisation des Unités de Services Clients (USC) de SCE/CSO France : ne restez pas à quai ! 3 u Transfert des Unités de Production et d’Intervention (UPI) de SCE vers les Unités d’Intervention (UI) Activités sociales et culturelles au niveau national Les Activités Sociales et Culturelles (ASC) au niveau national : du nouveau pour 2008 ! 4 Les brèves u Prévisions au second semestre : orage dans l’air avec nos clients u Actions gratuites pour les salariés de FTSA : leurre ou piège ? u Suppressions de postes : Services Généraux, Juridiques, RH... A qui le tour ? u Augmentations Salariales Infos fédérales u Négociations sur la pénibilité du travail : la CFDT enfin entendue u Minima salariaux de branche applicables à FTSA : un accord signé par la CFDT votre actualité N° 1 n juillet 2007 SCE DOSSIER La destabilisation de l’usine entreprise Délocalisations d’activités de CSO France vers les pays low costs d’Equant... ou « quand toute vérité n’est pas bonne à dire » Lors du CE du 10 mai, M. GOUVEA (responsable de CS&O, l’ensemble des activités opérationnelles de OBS au niveau monde) s’est exprimé sur les délocalisations possibles d’activités depuis la France vers les pays émergents : « On espère ne pas avoir à le faire, ce sera en fonction de l’évolution et de la demande du marché… », « Ce n’est pas un souhait de la direction, mais si le marché ou nos clients l’exigent, tout est en place pour reprendre un certain nombre d’activités sur nos sites ». M. GOUVEA sait de quoi il parle puisque c’est lui qui a piloté les fermetures des CSC historiques d’Equant au profit des Major Services Centers (MSC). Ces MSC sont au Caire (1 000 personnes), à New Dehli (600 personnes) et à Rio (400 personnes). En plus des missions classiques d’un CSC, ils assurent le support aux pays de leur zone, l’interface avec les constructeurs et regroupent des experts de haut niveau. Leur croissance d’effectifs en 2007 sont explicites : 400 créations de postes sont prévues au Caire sur de l’activité support et, nouveauté, sur de l’activité gestion commerciale !!! Bien évidemment, cette augmentation des effectifs ne s’explique en rien par la croissance de l’activité à l’international. CE du 24 mai, « GOUVEA le retour ». Il annonce la création d’un quatrième MSC sur l’Île Maurice (un paradis fiscal) avec 180 postes au 31 décembre 2007. Ce MSC avec un personnel bilingue français-anglais devra reprendre les activités d’assistance aux utilisateurs (HLU/SAU), celles de Business Everywhere et de la téléphonie. A la clé 61 salariés France Telecom à reclasser et la suppression d’au moins 50 Assistances Techniques. Le coût élevé de l’activité HLU/ SAU en France et son peu de valeur ajoutée seraient la justification de l’opération... Mais M. GOUVEA ne nous disait pas toute la vérité puisque la production internationale (entités CPI et SDU), activités, elles, à forte valeur ajoutée, sont aussi concernées par cette délocalisation !!! Une bonne partie des salariés concernés par la délocalisation ne font pas d’assistance aux utilisateurs finaux : volonté de cacher la réalité du projet, de tromper les élus, méconnaissance de l’organisation de CSO France ? A suivre donc, de très très près… Réorganisation des Centres de Gestions Client (CGC) de SCE/ DGC : à quand le prochain tour du monde ? Après avoir cassé la qualité de saisie des commandes et de la facturation en n’accompagnant pas la montée en compétence des collaborateurs des CGC (Lyon, Massy, Lanester...), la direction lance une « étude d’optimisation » (méthodes Lean Management) pour faire des gains de productivité et réduire les effectifs. Les résultats sont prévisibles : une dégradation de la saisie des contrats et commandes, un mauvais traitement des rejets, des délais de « bannette » augmentés. Pour faire bonne mesure, la direction annonce au CE du 24 avril le transfert d’une partie de l’activité pilotage de livraison des CSC vers les CGC. Ce transfert retire une partie de l’activité aux assistantes de production des CSC (population très concernée par les objectifs de réduction d’effectifs de la direction). Il augmente la charge de travail des pilotes des CGC sans formation adéquate à cette nouvelle activité et sans augmentation des effectifs. Il génèrera des dysfonctionnements dans la chaine de production des réseaux de nos clients. Mais le pire est peut être à venir avec la création d’une entité d’administration des ventes sur le MSC du Caire: les activités et emplois des CGC de DGC pourraient être touchés par de futures délocalisations. Réorganisation des Unités de Services Clients (USC) de SCE/ CSO France : ne restez pas à quai ! Après les déménagements de USC IDF, puis l’annonce de la création de l’USC Ouest Atlantique, voici le tour des USC Est et Midi avec le lancement d’une « étude d’optimisation ». Les trains des réorganisations sont donc lancés à vive allure à CSO France, espérons que la conduite de ces TGV est maîtrisée et qu’aucun wagon avec ces passagers ne restera à quai !!! A première vue, le plus gros des trains, celui de l’ USC IDF, présente quelques dysfonctionnements, attention au risque de déraillement de certains wagons en 2 confondant vitesse et précipitation sur la fin du parcours. Celui de l’USC Ouest Atlantique avance à son rythme sans faire de bruit (est-ce bon signe ?) alors que le nouveau train composé des wagons USC Midi et Est n’a pas encore quitté la gare aux dernières nouvelles. C’est un fait, certains trains arrivent à l’heure, d’autres pas… Deux éléments indispensables pour faire un bon voyage et avoir envie de recommencer : connaître la destination du train et voyager dans de bonnes conditions, la qualité du service à bord est primordiale… Les voyageurs montés à bord des trains de CSO France et ce, quel que soit le wagon, réclament leur billet (attention aux amendes infligées par les contrôleurs !!!) avec des précisions sur la destination (la France, l’étranger ?), la durée du voyage, les étapes envisagées, le nombre de voyageurs au départ et à l’arrivée, la fiabilité de la locomotive et des wagons… Nous espérons que l’organisateur de ces voyages intègre bien les possibles conséquences sur la qualité perçue par nos clients. votre actualité N° 1 n juillet 2007 SCE Transfert des Unités de Production et d’Intervention (UPI) de SCE vers les Unités d’Intervention (UI) La question : Une intervention entreprise spécifique et managée par SCE ou par les Directions Territoriales (DT) au sein des Unités d’Intervention (UI) d’Opérations France (OPF) ? Après des expérimentations, réussie à Nancy, très peu concluante à Marseille et inappropriée en Ile-de-France, la question a été tranchée… Création d’une Force d’Intervention Entreprise (FIE) dans les DT et intégration des UPI (450 salariés de SCE, 16 sites) au sein des UI (11 600 salariés d’OPF, 29 sites). Au delà du choix d’organisation, le transfert des salariés doit se faire dans de bonnes conditions ! L’enjeu n’est ni plus ni moins la qualité de service de l’intervention. Mais qu’en sera-t-il dans des entités (les DT) où le business entreprise ne représente que 15 % de leur chiffre d’affaire total et où 3 000 à 4 000 emplois sont concernés par des réorganisations en cours… ? La direction de SCE en a conscience puisqu’un contrat de services régira les relations de SCE et des DT ! Cela sera-t-il suffisant ? Me DALIBARD doit tenir ses engagements : un modèle industriel (pas d’im- pact sur la QS) et social (chaque salarié aura un poste et un travail dans la nouvelle entité) de qualité pour une expérience client exemplaire. Par ailleurs, sur les 450 salariés travaillant dans les UPI de SCE, un peu de moins d’une centaine n’ont aucune certitude quant à leur avenir. Ces salariés font de la production de Réseaux d’Entreprise dans les Unités Distantes de Production (UDP) réparties sur tout le territoire français et sont rattachés fonctionnellement aux équipes de production des USC de CSO France. Quel est l’avenir des sites comptant entre 5 et 15 salariés ? Activités Sociales et Culturelles au niveau national Les Activités Sociales et Culturelles (ASC) au niveau national : du nouveau pour 2008 ! Rappel : 98,6 M€ c’est le budget des ASC pour l’ensemble des salariés de France Telecom ! Depuis le 1er janvier 2007 le Comité Central de l’Unité Economique et Sociale assure la gestion centralisée des activités et des prestations sociales et culturelles. Chaque salarié peut en bénéficier moyennant la signature de l’accord de gestion national par son Comité d’Etablissement (CE). Le nouvel accord proposé pour 2008 vient d’être ratifié le 27 juin par 5 des 6 organisations syndicales (refus CGC). Il va être proposé à la signature des 19 CE de FTSA dont celui de SCE. Ce qui va changer pour les signataires, dès le 1er janvier 2008 sous l’impulsion de la présidence CFDT de la commission nationale des ASC : t mise en ligne progressive d’un catalogue annuel d’offres de vacances basées sur le principe « où je veux et quand je veux » ; t aide aux vacances pour tous en fonction du quotient familial quel que soit le prestataire référencé et la date de départ choisis ; t mise en place d’une centrale d’achat composée de professionnels pour négocier les offres, vous conseiller, vous accompagner dans votre réservation et vous défendre en cas de litige avec votre prestataire ; t maintien des offres week-end dans le périmètre local des CE pour une meilleure adéquation aux demandes des salariés ; t gestion des comptes retraités au niveau national, sur la base d’un budget dédié et plafonné (dans cinq ans, ils seront aussi nombreux que les actifs). Æ Vos vacances Æ Vos enfants Mutualiser pour faire plus, mieux et moins cher Maintenir ce qui marche et élargir l’offre Salariés actifs ou retraités, une vraie liberté de choix pour tous : t maintien du principe d’un catalogue vacances et de réservations en ligne ; t augmentation des offres de séjours linguistiques ; t transfert au niveau local du budget dédié aux allocations scolarité. Æ Vos sorties Ouvrir la culture au plus grand nombre t presque doublement du budget billetterie de 1,1 à 2 M€ ; t développement d’offres de proximité grâce aux remontées de référents locaux ; t prise en charge de l’envoi des billets cinéma et soutien à la lecture. Pour en bénéficier à SCE, le CE devra accepter de rétrocéder 45 % maximum de son budget au niveau national, de l’ordre de 2,47 M€, laissant 55 % (3 M€) à disposition du CE pour en disposer librement en local. Pour en savoir plus sur le Comité Central : son offre et la ventilation de ses lignes budgétaires, connectez vous sur www.cfdt-sce.com 3 votre actualité N° 1 n juillet 2007 SCE Les brèves Prévisions au second semestre : orage dans l’air avec nos clients Les chefs de projet déploiement doivent se livrer à un exercice fort éloigné d’OCE : chiffrer le coût d’étalement des déploiements en cours (pénalités) rallongés de plusieurs semaines voire plusieurs mois. Trois niveaux de priorité définis : w les nouveaux clients, ceux gagnés à la concurrence et les nouveaux sites sur réseaux existants ; w les déploiements en cours via une négociation avec les clients (quid des négociateurs?) ; w les optimisations tarifaires. Un arbitrage est prévu en Comité de Direction pour ralentir les cadences. Une baisse d’activité ? Non ! Les commandes sont là et le CA aussi ! Objectif de cette nouvelle opération : continuer à travailler avec des effectifs clairement inadaptés aux besoins, sans doute pour attendre la création du nouveau MSC qui reprendrait une partie des activités. Encore un petit effort et le business France ne devrait pas tarder à devenir aussi catastrophique que l’international. Seules garanties : un stress supplémentaire et un manque à gagner (impact sur l’intéressement et les PVV)pour ceux d’entre vous qui seront directement en relation avec les clients mécontents. votre actualité SCE COMITE EDITORIAL Directeur Publication A. Barbier (CS&O) Rédactrice en chef M. Nicodemo-Guillon (DIS) A. Pointet (DGC) T. Lemetayer (MCE) D. Guerber (CS&O) J. Moreau (CS&O) 4 Actions gratuites pour les salariés de FTSA : leurre ou piège ? La Direction de FTSA a annoncé à grand renfort de communication la redistribution des bénéfices dégagés sur l’exercice 2006. Elle s’effectuera sous forme d’attributions d’actions gratuites pour 104 000 salariés et de stocks options pour 1 200 cadres dirigeants. A noter des différences de taille : w des montants globaux équivalents à effectifs fort disparates ; w des options d’achats acquises sans restriction ; des actions gratuites conditionnée à la réalisation du plan Next et notamment à la suppression de 22 000 postes au sein de FTSA ; w des stocks options cessibles à date libre ; des actions distribuées à objectifs atteints et cessibles 4 ans plus tard. De plus, une fiscalité différente par nature. Ce cadeau virtuel est donc à double tranchant pour les salariés : soit les objectifs, y compris les suppressions d’emploi, sont atteints et vous recevrez effectivement vos actions, soit vous n’aurez rien… Voire pire… Nous avons tous vu la carotte, nous vous montrons le bâton. Prudence oblige !! Suppressions de postes : Services Généraux, Juridiques, RH... A qui le tour ? Réorganisations et suppressions de postes s’enchainent sans bruit dans ces entités à taille « critique ». La CFDT demande : w un focus dédié au suivi de l’ensemble de cette population ; w une attention particulière à la formation de celle-ci. Si vous estimez être les oubliés du plan Next, n’hésitez pas à contacter la CFDT. uCONTACTS Augmentations Salariales Des miettes, encore des miettes, toujours des miettes… Le système d’augmentation salariale est inéquitable et opaque : par décision unilatérale, plus de 30 % du personnel « devrait » avoir 0 %. La CFDT accompagnera les salariés dans leur démarche de recours, contactez-nous ! infos fédérales Négociations sur la pénibilité du travail : la CFDT enfin entendue Le 5 juin dernier, le patronat a enfin accepté le principe d’une cessation anticipée d’activité pour les salariés victimes « d’usure au travail ». Cette reconnaissance au niveau national du lien entre la dégradation de la santé de certains salariés et leurs conditions de travail est en soit une belle avancée, mais un long chemin reste à parcourir, notamment la déclinaison au sein de chaque branche professionnelle des critères de pénibilité. Prochaine réunion le 19 juillet. Minima salariaux de branche applicables à FTSA : un accord signé par la CFDT Les salaires minima annuels conventionnels sont majorés, par anticipation pour l’année 2007, de 2 %. Un petit effort supplémentaire a été consenti pour les groupes de classification suivants : +1 % (A), + 0,2 % (B), + 0,1 % (C et E). Retrouvez sur notre site www.cfdt-sce. com la grille des minima salariaux. Sachez que les élus CFDT peuvent vous accompagner dans vos démarches pour faire repositionner votre salaire. N’hésitez pas à nous solliciter via os.cfdt@ cfdt-sce.com, à nous poser toutes vos questions et remonter vos commentaires. [email protected] Retrouver les noms et coordonnées de vos correspondants locaux sur notre site WEB : http://www.cfdt-sce.com