Saravanan - Fonds du Coeur

En Inde,
Charles de
Riberolles, avec son
Projet Saravananan
épouse Geneviève, met
ses compétences et
son savoir au service
des plus petits en Inde. C’est lui
qui a ausculté Saravanan ; il nous
a dit que l’équipe de chirurgie
cardiaque de Madras qui a réalisé
tout le bilan pré-opératoire,
était compétente pour ce
type d’intervention. Tous
deux lancent cet
appel à aider
Saravanan.
SSaarrav
ava naa nn
à Pondicherry
Saravanan a 7 ans. Il est comme tous les enfants
de son âge, espiègle et frondeur à ses heures Mais
sa vie n’est pas comme celles de ses camarades. Elle
n’a pas d’avenir, à moins que...
Sar
a va n a n
Car Saravanan souffre d’une maladie cardiaque.
Vos dons sont à
adresser à
P. Alain Bourdery
Missions Etrangères de
Paris
Projet Saravanan
128 rue du Bac
75007 Paris
[email protected]
En février dernier, dans le cadre de son action au sein
de l’ONG Sharana, , un chirurgien cardiaque français,
Charles de Riberolles, l’ausculte : « Saravanan
le sourcil froncé a accepté que je l’examine. Il fait
partie des « enfants dits bleus » car son sang est
insuffisamment oxygéné. Sa maman m’a apporté un
dossier médical qui nous apprend qu’il souffre d’une
cardiopathie congénitale complexe. Mais il peut être
sauvé. »
Il n’est pas trop tard... mais c’est urgent !
Une intervention « correctrice » aurait dû déjà être
réalisée. Cette intervention est devenue d’autant
plus complexe qu’elle a tardé. « Il faut fermer une
communication entre les ventricules, rediriger le sang
veineux vers l’artère pulmonaire, réparer la bifurcation
des artères pulmonaires droite et gauche… »
Le « devis financier » de l’hôpital est
au minimum, c’est-à-dire espérant un
court séjour en réanimation et des suites
simples, de 300 000 roupies soit environ
5 000 euros.
Bien qu’âgé de 7
ans, Saravanan va
rarement à l’école car
facilement essoufflé, ce qui
ne l’empêche pas d’être
très vif et très attachant. Il
habite avec sa famille
dans un bidonville
en périphérie de
Pondicherry.
Il est évidemment impossible à la famille
de Saravanan vivant dans un bidonville
de réunir une telle somme.
5 000 euros, c’est une somme énorme.
Mais 5 000 euros pour la vie d’un enfant
de 7 ans, c’est peu !
Le P. Alain Bourdery, des Missions
Etrangères de Paris, connait bien
Pondicherry. Il est en lien avec des ONG
locales. Il est lui aussi engagé dans ce
projet et le soutient.
Vous bénéficierez de la déduction fiscale et recevrez un reçu fiscal.