Low-paid Work: The Case of Saskatchewan

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Low-paid Work: The Case of Saskatchewan
Low-paid Work: The Case of Saskatchewan
Friday, March 17, 2006 – Low-paid work appears persistent and endemic in the
Canadian economy.
Research by CPRN’s Work Network underlines this disturbing conclusion. The
proportion of full-time workers receiving poverty-level wages hasn’t changed since
1980. This is true despite increased levels of education and a 43% rise in the
overall standard of living. The benefits of a growing economy have been shared
unequally indeed.
The averages, of course, hide the nuances – those related to such things as
gender, age, location, or race.
In a report to the Commission on Improving Work Opportunities for Saskatchewan
Residents, Ron Saunders, Director of CPRN’s Work Network, compares the
incidence of low-pay in Saskatchewan with that of Canada as a whole.
Among his findings:
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The share of full-time workers in Saskatchewan earning less than $10/hour
(in year 2000 dollars)actually rose from 16.9% in 1980 to 21.4% in 2000, with
the sharpest increases among young workers. (This compares with 16.3% of
full-time workers earning less than $10/hour in Canada as a whole in 2000,
little changed from1980.)
Groups with a high incidence of low pay include women, young people, the
less-educated, recent and mid-term immigrants, lone mothers, unattached
individuals and persons with disabilities. There is a sizeable earnings gap
between Aboriginal and non-Aboriginal workers in both Saskatchewan and
nationally.
In 2000, 27% of low-paid full-time Saskatchewan workers lived in low-income
households, compared to 30% for Canada as a whole.
To access or download a copy of Saunders’ report, Low-paid Workers in
Saskatchewan, click here.
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Travail faiblement rémunéré : le cas de la Saskatchewan
Vendredi, le 17 mars 2006 – Des recherches réalisées par le Réseau de la maind’œuvre des RCRPP font état de la mesure dans laquelle le travail faiblement
rémunéré a un caractère endémique dans l’économie canadienne.
La proportion des travailleurs à temps plein dont la rémunération se situe au seuil
de la pauvreté n’a pas changé depuis 1980. Il en est ainsi en dépit du fait que les
niveaux de scolarité ont augmenté et que le niveau de vie a connu une hausse de
43 pour cent pendant cette période. Les avantages d’une économie en croissance
ont donc été partagés d’une façon très inégale.
Et, bien sûr, les moyennes cachent bien des nuances – comme les particularités
reliées au sexe, à l’âge, au lieu de travail ou à la race.
Dans un rapport préparé pour la Commission on Improving Work Opportunities for
Saskatchewan Residents, Ron Saunders, directeur du Réseau de la main-d’œuvre
des RCRPP, examine dans quelle mesure l’incidence des faibles salaires en
Saskatchewan se compare à celle observée dans l’ensemble du Canada.
Parmi ses conclusions figurent les suivantes :
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La proportion des travailleurs à temps plein qui gagnent moins de 10 $
l’heure (en dollars de l’an 2000) en Saskatchewan a augmenté dans les
faits, passant de 16,9 pour cent en 1980 à 21,4 pour cent en 2000, et les
hausses les plus prononcées s’observent parmi les jeunes travailleurs.
(Cette proportion se compare à 16,3 pour cent des travailleurs à temps plein
qui gagnaient moins de 10 $ l’heure dans l’ensemble du Canada en 2000 –
un pourcentage à peu près inchangé par rapport à celui de 1980.)
Les groupes parmi lesquels l’incidence des faibles salaires est élevée
comprennent les femmes, les jeunes, les personnes moins scolarisées, les
nouveaux immigrants et ceux arrivés au pays depuis un peu plus
longtemps, les mères de familles monoparentales, les personnes seules et
les personnes handicapées. Il existe un écart salarial appréciable entre les
travailleurs autochtones et non autochtones, tant en Saskatchewan qu’à
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l’échelle nationale.
En 2000, 27 pour cent des travailleurs faiblement rémunérés qui avaient un
emploi à temps plein en Saskatchewan vivaient dans des ménages à faible
revenu, comparativement à 30 pour cent dans l’ensemble du Canada.
Vous pouvez consulter ou télécharger un exemplaire du rapport de Saunders, Lowpaid Workers in Saskatchewan, en cliquant ici.
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