Calendrier du 27 mars au 4 avril 2004

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Calendrier du 27 mars au 4 avril 2004
CALENSAMEDI 30 JUIN AU DIMANCHE 8 JUILLET 2012
CALENDRIER DU 30 JUIN AU 8 JUILLET 2012C
TREIZIEME DIMANCHE DU TEMPS ORDINAIRE
Samedi 30
Dimanche 1er
18h15
10h30
Messe dominicale anticipée
Messe (attention horaire d’été)
Café-croissant en salle de Compostelle
QUATORZIEME DIMANCHE DU TEMPS ORDINAIRE
Samedi 7
Dimanche 8
18h15
10h30
Messe dominicale anticipée
Messe
LITURGIE
PSAUME 29
R/ Je t'exalte, Seigneur, toi qui me relèves
Quand j'ai crié vers toi, Seigneur,
mon Dieu, tu m'as guéri ;
Seigneur, tu m'as fait remonter de l'abîme
et revivre quand je descendais à la fosse.
Fêtez le Seigneur, vous, ses fidèles,
rendez grâce en rappelant son nom très saint.
Sa colère ne dure qu'un instant,
sa bonté, toute la vie.
Avec le soir, viennent les larmes,
mais au matin, les cris de joie !
Tu as changé mon deuil en une danse,
mes habits funèbres en parure de joie !
Que mon cœur ne se taise pas,
qu'il soit en fête pour toi ;
et que sans fin, Seigneur, mon Dieu,
je te rende grâce !
OUVERTURE DE L’EGLISE
Du mardi au vendredi : 9h30 à 12h30 et 14h30 à 18h
Samedi : 15h à 19h30
Dimanche : 10h à 12h
MESSES EN SEMAINE
12h05 : du lundi au samedi
19h : du lundi au vendredi
252 rue Saint-Jacques 75005 PARIS
Tél. : 01.43.25.91.70 Fax 01.43.25.97.58
Courriel : [email protected]
Site : www.saintjacquesduhautpas.com
SAINT-JACQUES DU HAUT-PAS
Dimanche 1er juillet 2012 Treizième dimanche Année B
« Je crois à la résurrection, à la vie éternelle. »
« Dieu n’a pas fait la mort : il ne se réjouit
Année Apas de voir mourir des êtres
vivants », nous dit le livre de la Sagesse. Le peuple d’Israël a découvert le
Annéequi
A fait vivre. La résurrection
« Dieu vivant » qui se révèle comme celui
est la dernière découverte de l’Ancien Année
Testament
: cette conviction ouvre
A
sur la promesse de la vie éternelle. Cette espérance du bonheur éternel est
pour Israël une source de joie : « Dieu a créé l’homme pour un bonheur
impérissable ».
Dans cette perspective, St-Paul écrit : « Les souffrances d’ici-bas sont peu
de choses en comparaison du bonheur qui nous est préparé ». (Rm. 8, 18)
C’est pourtant dans ce monde de souffrance que Jésus est venu et qu’il
œuvre. Depuis qu’il a commencé son ministère, il attire les foules par ses
paroles et par ses gestes de compassion. Au bord du lac de Génésareth, un
chef de synagogue vient le supplier pour sa fille gravement malade.
La foule enthousiaste suit Jésus et le presse. Or, dans cette foule, une
femme malade vient toucher son vêtement dans un geste de foi. Elle se
sent guérie : Jésus a aussi senti la force sortie de lui et demande qui l’a
touché. Quand la femme s’est expliquée, Jésus dit avec joie : « Ma fille, ta
foi t’a sauvée ».
A l’annonce de la mort de la fille Jaïre, Jésus lui dit : « Ne crains pas, crois
seulement ». Quand il dit que l’enfant dort, les amis de Jaïre sont perplexes
et moqueurs. Avec les trois disciples et les parents, Jésus entre dans la
chambre et fait se lever la jeune fille. Le geste de Jésus témoigne d’un Dieu
qui veut répandre la vie en ceux qu’il aime.
Chaque fois que Jésus opère une guérison, il ne le fait que s’il sent la foi
dans l’attitude des demandeurs. Si ces signes enthousiasment ceux qui en
sont témoins, Jésus réclame la discrétion et réprouve le bruit. Il vient
toucher les cœurs et les tournent vers son Père en évitant une bruyante
renommée.
Commentaire du Père Claude TASSIN,
présenté par Ghislain MAHOUKOU

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