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Polyfolies présente
QU’EST-CE QU’ON FAIT
POUR NOËL ?
texte : Vincent Roca mise en scène : Jean-Pierre Beauredon
avec :
Vincent ROCA & Jacques DAU
au théâtre du Lucernaire
53, rue Notre-Dame des Champs 75006 Paris ● 01 45 44 57 34
du 12 novembre au 25 janvier
du mardi au samedi à 20h00 ● les dimanches à 15h00
(relâches exceptionnelles les 10 et 14 décembre et les 16, 17 et 23 janvier)
La langue de Vincent Roca, parlée par deux concierges
d’un palace imaginaire. Surprenant, drôle, jouissif !
Qui sont ces deux énergumènes ? Où sont-ils ?
Evoluant dans un décor sorti d'on ne sait où, croisant de rares
clients imaginaires, ils digressent abondamment, s'acharnent
avec tendresse, insolence et humour sur eux-mêmes et leurs
contemporains, tout en cherchant, avec détermination, une
solution acceptable pour Noël.
En tournée en 2015 – 2016
Polyfolies – 01 30 15 65 00
[email protected]
Presse du précédent spectacle
de Vincent Roca
« Vite, rien ne presse ! » – extraits :
L’Express – E. L. – 28 nov. 2012 ► Il y a quelque chose de touchant à voir Vincent Roca
tisser un fil entre Boby Lapointe, Raymond Devos et lui, à l’heure du Stand-up et de
renouvellement de la scène comique. (…) un voyage dans le temps, ses caprices et ses
peines. Roca taquine l’horloge « en se faisant le plaisir de joindre les deux bouts : le début
et le défunt. » Vincent Roca est un humoriste qui joue sans mal sur les mots, avec un
talent qui laisse pantois. Il jongle et s’amuse avec la langue et prouve que ce genre de
spectacle à l’ancienne sait réveiller les papilles et les oreilles.
Télérama - Michèle Bourcet – mars 2012 ► Vincent Roca nous entraîne dans un univers
poético-humoristico-absurde où les mots et les pensées s’entrechoquent, s’entremêlent.
D’où des interrogations : «Un père biologique est-il un père écolo ?» Et des réflexions : «On
vous donne la vie, mais vous rendez l’âme». Ce spectacle, original et plein d’esprit,
suscite un plaisir subtil. Et fort rare.
Pariscope - Marie-Céline Nivière – 4 mars 2012 ► Il manie la langue française avec la
dextérité des grands joueurs. Dans une réflexion de haut vol, Vincent Roca fait couler le
sablier de la vie. Ce spectacle s’inscrit dans une subtile théâtralité. Gil Galliot, le metteur
en scène, a mobilisé toute sa créativité. En plus d’accompagner l’artiste dans les
méandres de sa brillante pensée, les lumières de Philippe Quillet mettent en valeur
chaque goutte d’eau tombant du plafond. C’est magnifique! Le temps passant vite, il
arrive que la qualité d’un jeu de mots, d’une métaphore, nous échappe. Deux solutions
s’offrent alors à nous, et elles sont bonnes toutes les deux. La première est de retourner
voir le spectacle, la seconde, d’acheter le livre-CD audio dudit spectacle.
Le Canard Enchaîné- Albert Algoud – 9 mai 2012 ► Au Moyen Âge, le jongleur
était un bateleur dont les tours consistaient en acrobaties verbales. Vincent Roca, leur
moderne héritier, entre en scène comme on entre en piste et s’élance sur le fil du temps,
entre fugacité et perpétuité, pour une réflexion de haute voltige sur l’irrévocable fuite
des jours et des heures, d’emblée résumée en un raccourci qui marie jeux de mots et
homophonies, allitérations et onomatopées : « Le début, le défunt…guili-guili, gla-gla. »
Sautant d’un thème à l’autre, ce funambule et contorsionniste lexical travaille sans filet.
L’exercice pourrait être casse-gueule mais se révèle être une étourdissante
démonstration d’équilibrisme syntaxique et de pirouettes grammaticales. Le subjonctif est
de la fête, cul-par-dessus-tête : « Eussiez-vous imaginé un jour que les marguerites
durassent ? »
France Inter / Le Masque et la Plume / Gilles Costaz – 27 mai 2012
► « Une utilisation absolument vertigineuse du langage dans le calembour qui devient
poétique et philosophique. »

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