Avril 2008

Transcription

Avril 2008

L’Association World Musique présente
Les Soirées Concerts au
L’ambassadeur des Musiques du Monde à Paris
44 rue de la Folie Méricourt – 75011 Paris
tel. 01 47 00 48 87 / fax 01 41 08 80 08 – [email protected]
Métro : St Ambroise ou Oberkampf - Entrées 8 / 10 € - Concerts dès 21h
www.satellit-cafe.com
Le SATELLIT Café demeure le premier lieu parisien de diffusion des musiques du monde. Depuis 14 ans, le SATELLIT Café a su
faire venir de grands noms et détecter des talents dans des formations musicales moins connues.
Avril 2008
SATELLIT Café
Le SATELLIT programme des concerts 3 soirs par semaine, les mardis, mercredis et jeudis à partir de 21h et offre à son public des
week-end rythmés par un DJ musique du monde jusqu’à 6 heures du matin.
L’association World Musique assure la promotion de ces concerts depuis plus de 6 ans.
Dossier de presse – Avril 2008
Association WORLD MUSIQUE – 48 avenue Victor Hugo 92140 Clamart - Contact : Sandrine Kostek / Elodie Héron - 01 47 00 48 87 – [email protected]
Programmation de Avril 2008
Programmation Philippe Gueugnon / Promotion World Musique
Concerts les mardis, mercredis, jeudis et vendredis dès 21h… Entrées 8/10 €
Africainement Vôtre - Carte blanche à Safoul Productions
Du 1er au 04 avril 2008
BLICK BASSY
Acoustique/Folk - Cameroun
Mardi 1er avril 2008
SAM TSHABALALA
Acoustic zulu Trio Afrique du Sud
Mercredi 02 avril 2008
Né à Yaoundé, au Cameroun, Blick Bassy s’essaie pour la première fois à la guitare à l’âge de 10
ans initié par des guitaristes assiko (musique traditionnelle bassa). La musique et le chant seront
désormais ses seuls moyens d’expression. Blick Bassy nous entraîne et nous fait voyager dans sa
mosaïque musicale. Un homme incroyable issue d’une culture riche, il s’affirme comme l’une des
plus belles voix d’Afrique et a même été finaliste du prix RFI cette année ! Venez donc partager
un chaleureux moment avec lui !!!
Héros de la résistance culturelle au régime de ségrégation de l'apartheid, en tant que chanteur et
guitariste du célèbre groupe "The Malopoets", Sam Tshabalala a choisi les voies de l'exil, vers la
France. Véritable "performer", il assure sur scène un spectacle détonnant qui mêle des éléments des
traditions musicales et chorégraphiques des cultures noires d'Afrique du Sud et une modernité
joyeuse. Il écrit ses textes en zoulou, sotho, tswana, shangaan et en anglais. Il explore également les
frontières musicales d’une Afrique à la fois rêvée, mais aussi profondément ancrée dans la réalité. Un
concert très attendu pour une soirée inoubliable !!!
Africainement Vôtre - Carte blanche à Safoul Productions
Du 1er au 04 avril 2008
MIKIDACHE
& MTORO CHAMOU
Rencontre de Mayotte et des Iles
Comores
Jeudi 03 avril 2008
Enfant des îles Comores, Mikidache écrit ses textes à travers un répertoire qui cultive la nostalgie
des temps passés par son approche mélodique et rythmique, il s’invente de lointains cousinages
de par le monde, avec un langage d’une modernité absolue. Il partage le devant de la scène avec
M’Toro Chamou. Cet artiste auteur-compositeur a quitté Mayotte pour la métropole. Ce chanteur
de rap et de hip-hop amènera avec lui sa guitare, ses mélodies et les rythmes du « M'Godro »
traditionnel. Un savant mélange de tradition et de talent musical interprété par un duo très
complice, qui chante admirablement au nom d’un avenir meilleur pour nos enfants. Rejoignezles dans un univers envoûtant par ses rythmes qui envahissent nos corps !!
FETE DE L’INDEPENDANCE DU SENEGAL le 04 avril
DOUDOU NDIAYE ROSE
JUNIOR
A la découverte du « sabar »
Vendredi 04 avril 2008
WOZ KALY en solo
Le Folk singer sénégalais
Dans le cadre de la soirée de l’Indépendance du Sénégal le Satellit Café et Safoul Productions vous
invitent à découvrir un artiste, dans la lignée des grands maîtres de percussions : Doudou Ndiaye
Junior. Doudou N'Diaye Junior est l’héritier de la légende vivante du « sabar », Doudou Ndiaye Rose.
Le Sabar est un terme d’origine wolof qui désigne à la fois un instrument de percussion, un style de
musique, une forme de danse sensuelle et une fête traditionnelle, populaires au Sénégal et en
Gambie. Il nous présente ici un nouveau spectacle où le sabar et le tama rentrent en communion avec
la batterie, pour une grande fête en l’honneur du Sénégal. Une performance en public remplie
d’émotion, grâce sa capacité d’improvisation. En route pour un trio inoubliable qui représentera
dignement les couleurs du Sénégal.
Dans le cadre de la soirée de l’Indépendance du Sénégal le Satellit Café et Safoul Productions vous
invitent à découvrir un artiste à la voix exceptionnelle : Woz Kaly ! Né à Dakar Woz Kaly est à la fois
chanteur, guitariste, auteur et interprète. Il possède une voix formée à la fois par la culture wolof du
nord et la culture mandingue du Sud. La pureté de sa voix, son jeu de guitare, à la fois sobre et prenant,
lui confère une place de choix dans la cour des grands artistes africains de notre époque. En route pour
un moment intime, plein d’intenses émotions, à la gloire du Sénégal.
DUNYA
Musiques et danses tziganes
Mardi 08 et mercredi 09 avril 2008
CRISTINA CASCARDO
La nouvelle voix du Brésil
Jeudi 10 avril 2008
KALOGNOUMA
Afro funk mandingue
L’originalité de Dùnya réside dans l’association de chants traditionnels Kalbeliyas (caste de
gitans du Rajasthan), de chants traditionnels roms, de ghazals (poésie classique indienne) et de
rumbas flamencas… Un répertoire atypique et étonnant qui concilie à la fois la tradition et les
compositions, résultat du métissage des influences et de la créativité des cinq artistes. Généreuse,
festive et sensible, sont des mots qui reviennent souvent lorsqu'il s'agit d’évoquer la musique de
Dùnya. Un voyage en terre gitanes qui n’en finira pas de vous envoûter.
Née à Santa Tereza-Rio de Janeiro, Cristina Cascardo est à la fois compositrice, parolière. Ses
mélodies simples, ses textes aiguisés, nous mênent de ballades en compositions rythmées. Elle
chante, d’une voix magnifique, ses racines, indfluencées par ses voyages. Cristina vous invite à
un concert en toute simplicité et vous offre à partager, pour sa 1ère date en France, son 1er
album “Contemplaçào”. Retenez bien son nom, car le talent de la belle Cristina vaut à être
découvert, retenu et soutenu. Elle semble promu au plus bel avenir. C’est une belle découverte !!
Attention, les Kalognouma sont de retour ! Lors d’un concert au Satellit Café en 2007, le groupe à
l’énergie débordante avait fait salle comble. Kalognouma (« la bonne étoile » en langue dioula)
c’est avant tout une musique pleine d’énergie et une invitation au partage et à la fête. Mais c’est
surtout la rencontre de 7 musiciens formant un cocktail détonnant où les musiques actuelles se
mêlent à la tradition africaine. Kalognouma vous emmène découvrir son univers au croisement
des sonorités de la musique Mandingue, de l’Afro beat et de la funk. La richesse et la diversité de
leurs influences vous surprendront à vous faire vibrer ou danser au détour d’ambiances Reggae,
salsa ou blues…
ANWAR KHAN’S GROUP
Gitans du Rajasthan
Mardi 15 avril 2008
DUPLESSY TRIO
Voyage musical world
chamanique
SIMON NWAMBEBEN
La nouvelle voix de la scène
africaine (Cameroun)
Jeudi 17 avril 2008
DON FATON
Jazz
Mardi 22 avril 2008
Après un passage remarqué au sein de différents groupes, Anwar Khan revient au SATELLIT
Café accompagné de ses musiciens et de leurs instruments : dholaks, kartals (castagnettes),
harmonium, tablas, bapang, gimbardes, et danse de fakir… un véritable enchantement pour les
yeux et les oreilles. Il propose au public un authentique voyage au Nord de l’Inde à travers une
musique émouvante et enivrante et des danses traditionnelles du Rajasthan. Embarquez pour un
concert haut en couleurs.
La musique de Duplessy Trio intrigue d’abord…Ses vibrations pénétrantes, servies de mélodies
oniriques, créent un univers entre musique de films et transe tribale, qui invite les esprits à sortir
de leur corps… Composé de fresques musicales intemporelles et pleines d’énergie, l’inspiration
de Duplessy Trio puise dans les rivières des grandes cultures ancestrales : steppes mongoles,
fjords scandinaves, Japon et Brésil se côtoient ainsi dans un spectacle unique et détonnant…
Influencé par les rythmes bantous et les traditions bafias, cet enfant du Cameroun a inventé son
propre style musical : le « bitibak ». Des textes en bafia, sa langue d’origine, et en français, sur
des guitares scintillantes et des percussions… Au-delà de son appartenance au monde africain,
Simon Nwambeben nous propose son univers de poésie, d’amour et de simplicité … : un son
world original et un artiste qui s’impose comme l’une des nouvelles voix du Cameroun.
Co-fondateur des groupes Magma et Zao, Faton Cahen revient avec un nouveau projet : DON
FATON. Composé de 4 musiciens, le groupe nous présente un son jazz très personnel qui ravira
les amateurs du genre et saura également séduire les non initiés. Saxo, basse et percussions se
mêlent au piano de Faton avec une telle harmonie qu’on ressent le bonheur qu’ont les musiciens
à jouer ensemble. Pourquoi une telle impression ? Parce que tous les musiciens connaissent
Faton depuis leur première scène. C’est lui qui les a formé à sa musique. C’est eux qui
enrichissent et modernisent ces anciens titres, qui ont fait de lui cet artiste reconnu. Aujourd’hui,
il se fait plaisir. Pour lui, un concert, c’est des amis, des invités, une entente, un lieu. D’ailleurs,
ce sera pour le groupe l’occasion de vous présenter leur travail, qui donnera naissance à un
nouveau CD d’ici la fin de l’année. Une soirée jazz, entre copains, comme dans le temps !!
NAWAL
La voix des Comores
FATOUMATA DIAWARA
Folk wassoulou
Jeudi 24 avril 2008
SABOR A SON
Musique cubaine
La mention sur la pochette du nouveau disque « Aman » résume parfaitement le style de Nawal
« acoustic roots-based fusion from the Comoros Islands”. Le son est pur et nature, les thèmes
musicaux sont « légers » et ont un goût d’authenticité. Nawal nous chante son pays, son archipel,
ses origines, ses « racines »… Elle nous sert sur un plateau un cocktail de vibrations
instrumentales et vocales… un exotisme profond marqué de spiritualité et enclin à la
sensibilité… ses morceaux transmettent une culture ancestrale de par ces rythmes et polyphonies
au croisement de trois mondes : l’Inde, l’Afrique et le Moyen-Orient. Quand on écoute Aman, on
est en transe, c‘est une invitation au voyage… Laissez vous porter par cette nouvelle perle lors de
son concert de lancement à Paris.
La nouvelle voix d’or malienne, à découvrir d’urgence au Satellit ! Interprète de Karaba dans la
comédie musicale « Kirikou et Karaba », Fatoumata Diawara se lance dans une carrière solo.
Auteur compositeur interprète, cette talentueuse et belle jeune femme se consacre depuis un an à
la création d’un répertoire folk original et sensible, inspiré de la tradition du chant wassoulou.
Lors du concert du 24 Avril, elle sera accompagnée par Patrice Larose, jazzman et guitariste
flamenco, Guimba Kouyaté, jeune guitariste franco malien et Madou Koné aux percussions.
Réuni autour d’un désir commun de faire connaître et découvrir le son cubain, Sabor A Son a
constitué son répertoire de « sons traditionnels » originaires de l’est de la région de Cuba
(Guantanamo, Manzanillo). Bien connu des noctambules parisiens, Sabor A Son appartient à la
vague cubaine qui déferla sur la France à la fin des années 90. Pour certains, il s’agira d’une
découverte, pour d’autres, d’un concert événement. Dans tous les cas, une vague de chaleur
envahira le Satellit Café en ce début d’année. Alors, pas de doute à avoir, laissez-vous gagner par
l’énergie communicative de Sabor A Son. Les rythmes cubains ne tarderont pas à s’emparer de
vous et vous ne le regretterez pas…
MARIA DE BARROS
Cap Vert
Mardi 29 avril 2008
HATI
Fusion Indo jazz
DIOGAL
Folk sénégalais
Jeudi 1er mai 2008
Mornas, funana, coladeiras … autant de rythmes et styles musicaux capverdiens que vous invite à
découvrir la pétillante Maria de Barros. Une musique authentique, des compositions efficaces,
une énergie et une bonne humeur communicative, Maria séduit et charme par son naturel. Elle
partira à la rencontre de son public pour cette 1ère date parisienne. Tout comme sa marraine
Cesaria Evora, Maria de Barros nous fera voyager à travers cette terre riche de tradition musicale.
Le Cap Vert nous livre une nouvelle perle musicale...
Sur des compositions originales et des arrangements de sons traditionnels, Nicolas Genest et son
groupe de musiciens nous offrent un travail inédit sur les variations mélodiques et les rythmes
de la musique indienne. Des compositions qui révèlent une richesse sonore et artistique
renouvelant et dépassant les expériences de fusion indo-jazz des années 70 et ultérieures. Une
musique d'une extrême fluidité qui parvient à emprunter à l'Inde ses mystères et sa sensualité,
sans perdre la spontanéité et la modernité du jazz. Des ambiances méditatives croisant des
rythmes hypnotiques… de quoi passer un moment rare, en compagnie de musiciens talentueux
au style résolument novateur.
Diogal compose et chante, en wolof, des chansons à la croisée des sonorités traditionnelles de son
pays, le Sénégal, et de la musique occidentale contemporaine. Il nous présente aujourd’hui son
nouvel album Li Lan La. De sa voix suave, il nous entraîne dans son univers avec des rythmes
lébous et mandingues, aussi bien que folk et pop. Les percussions traditionnelles (sabar, tama,
calbasse, balais, cajón) se mêlent aux instruments de musique occidentaux.
Lors de ce concert, venez retrouvez l’Homme, son univers, ces textes et cette voix, qui font que
nous avons tant de plaisir à lui ouvrir notre scène !
Blick Bassy – Acoustique/Folk - Cameroun
Né à Yaoundé, au Cameroun, Blick Bassy s’essaie pour la
première fois à la guitare à l’âge de 10 ans initié par des
guitaristes assiko (musique traditionnelle bassa). La
musique et le chant seront désormais ses seuls moyens
d’expression. Blick Bassy nous entraîne et nous fait voyager
dans sa mosaïque musicale.
Jazz Crew, premier groupe
De retour à Yaoundé et inspiré par Gilberto Gil, Joao Gilberto
et Nat King Cole que ses parents passent alors en boucle,
Blick Bassy crée 5 ans plus tard son premier groupe de
musique aux colorations jazz, bossa et africaines : Jazz Crew.
Son talent est vite remarqué et on fait de plus en plus souvent appel à lui
pour animer fêtes et cérémonies. Salué par les concours de musique interscolaires, les Jazz Crew tourne beaucoup et sont les plus jeunes invités de
la première édition du Festival Jazz sous les Manguiers (Yaoundé) où ils
croisent Mario Canonge, Etienne Mbappé, Nguyen Lê, Ismaël Lo, Miriam
Makeba… Blick Bassy décide alors de consacrer sa vie à la musique.
Macase, premier succès
En 1996, il crée le groupe Macase. Une aventure de 10 années commence
alors entre musiques bantoues (Afrique centrale), jazz et soul. Macase sort
deux albums retentissants Etam, 1999 et Doulou, 2003 Macase « rafle » tous
les prix régionaux et internationaux : Prix RFI Musiques du Monde 2001,
Meilleur groupe MASA 2001, Meilleur Groupe Espoir Africain KORA
2003, Prix CICIBA 2003… Le groupe tourne beaucoup en Afrique
subsaharienne (Cameroun, Gabon, Afrique du Sud, Côte d’Ivoire, Congo,
Burkina Faso…), en Amérique et en Europe (Canada, Suisse, Belgique,
France, Italie, Pays-Bas…) avec pas moins de 350 dates, dont : Le Festival
nuit d’Afrique, Festival SFINKS en Belgique, le Festival Musique du
Montbari en Italie, le Festival Musiques métisses en France, le Festival des
Sud en Espagne…
1er avril
Koppo, première production
Outre son rôle de lead et de compositeur au sein de Macase,
Blick Bassy découvre, arrange, produit et révèle en 2004 la
tornade Koppo, avec son album en camfranglais Je Go dont 200
000 exemplaires ont été parfois achetés, souvent piratés mais
toujours écoutés. Un succès populaire énorme, équivalent –dans
un autre registre : Hip Hop, Slam à celui de Macase, au
Cameroun et dans la région. Koppo inconnu jusqu’alors est
devenu un phénomène.
Blick Bassy en Solo
Installé en France depuis 2005, Blick Bassy, se lance en solo.
Musicien aux multiples talents, chanteur compositeur ou arrangeur à la
sensibilité reconnue, Blick Bassy séduit et multiplie les collaborations,
notamment avec Manu Dibango, Cheikh Tidiane Seck, Rido Bayonne,
Gustave Parking, Keziah Jones, Jay Lou, No Bluff Sound, Etienne Mbappé
et bien entendu Lokua Kanza qui lui compose Man nyui pour son premier
album. Blick Bassy assure brillamment le renouveau de la musique
africaine. Il se produit dans des salles de concert parisiennes, La Scène
Bastille, le sentier des Halles,le Canal Opus, notamment dans le Baiser
Salé, mythique boîte jazz parisienne où il obtient une résidence.
Un homme incroyable issue d’une culture riche, il s’affirme comme
l’une des plus belles voix de l’Afrique et a même été finaliste du prix
RFI cette année ! Venez donc partager un chaleureux moment avec lui !!!
SITE INTERNET
FORMATION ARTISTIQUE
www.myspace.com/blickbassy2
Blick Bassy : Guitare voix
Alune Wade : guitare basse - choeurs
Joel Netry: Cajon, percussions
Julien Pestre : guitare
Sam Tshabalala – Acoustic zulu Trio –
02 avril
Afrique du Sud
Héros de la résistance culturelle au régime de
ségrégation
de l'apartheid, en tant que chanteur et guitariste du célèbre
groupe "The Malopoets" : Sam Tshabalala a choisi les voies
de l'exil, vers la France. Véritable "performer", il assure sur
scène un spectacle détonnant qui mêle des éléments des
traditions musicales et chorégraphiques des cultures noires
d'Afrique du Sud et une modernité joyeuse. Il écrit ses textes
en zoulou, sotho, tswana, shangaan et en anglais. Il explore
également les frontières musicales d’une Afrique à la fois
rêvée, mais aussi profondément ancrée dans la réalité.
Sam Tshabalala fait partie de ces artistes qui ont dû, à un
moment où à un autre, quitter l’Afrique du Sud et l’apartheid pour aller
tenter leur chance ailleurs. Leader de la formation Malopoets qui, dans les
années 80, était incontournable là-bas, il part sans même avoir le temps de
dire au revoir à ses proches. Arrivé en France, il fonde Sabeka, avec
lequel il réinvestit la musique et les rythmes des townships. Il chantera
pour Neslon Mandela en 1993 à l’occasion d’une visite officielle à Paris.
Sam Tshabalala a un répertoire inspiré de la mosaïque des cultures sudafricaines. Il écrit ses textes en zoulou, sotho, tswana, shangaan et en
anglais. Il parle de l'Afrique du Sud d'aujourd'hui et de la vie dans les
townships. Il chante l'histoire, souvent douloureuse de l'Afrique du Sud
en zoulou, en shangaan, en tswana et en anglais… sur des mélodies
paradoxalement douces et joyeuses remplies de la force de la vie.
Les différents rythmes, langues et traditions sud-africaines
émergent de sa musique, dans un style très dépouillé, dans une
ambiance très acoustique !
Un concert très attendu pour une soirée inoubliable !!!
Sam Tshabalala : guitare et voix lead
Patrick Bebey : percussions et voix
Jacques Djeyim : guitare et voix
DISCOGRAPHIE
Communication, Heaven & Earth Heaven & Earth, 2006
Meadowlands, Tropical Music Mosaic Music , 2005
SITE INTERNET
www.myspace.com/samtshabalala
03 avril
Mikidache & Mtoro Chamou–
Rencontre de Mayotte et des Iles Comores
Enfant des îles Comores, Mikidache. À travers un répertoire
Mikidache est un formidable guitariste dont la finesse et la
virtuosité ne tournent jamais à la démonstration. Avec une
technique très personnelle, son jeu constitue la charpente des morceaux en
se mêlant aux voix et aux percussions avec subtilité. Le chant est toujours
là, mélancolique ou enjoué, en chœur ou en solo, solitaire ou en partage
avec des artistes tels que Mtoro Chamou ou Ana Teko.
Il tisse ainsi une musique sans complexes, qui emprunte à tous les
patrimoines, un peu comme la culture de son pays, culture qui s’abreuve à
toutes les civilisations. Il se fabrique une musique où le maître mot réside
essentiellement dans l’émotion provoquée par la rencontre avec l’Autre.
Armé de sa seule foi, il parle de partage, d’espoir, d’amour, de respect et
de passion dans ses textes.
En compagnie de son complice Mtoro Chamou, un nom de scène chargé
d'histoire. A travers sa musique, l'artiste adopte et fait sa propre histoire,
une histoire faite d'esclavage et de soumission. Mais c'est aussi une
© Tiziana
qui cultive la nostalgie des temps passés par son approche
mélodique et rythmique, il s’invente de lointains cousinages
de par le monde, avec un langage d’une modernité absolue.
Il partage le devant de la scène avec Mtoro né aussi à
Mayotte. Cet artiste auteur-compositeur a quitté Mayotte
pour la métropole. Ce chanteur de rap et de hip-hop
amènera avec lui sa guitare, ses mélodies et les rythmes du «
M'Godro » traditionnel.
histoire riche parce qu'ancienne et tissée avec une culture où
savoir et savoir-faire font un tout indivisibles. Des paroles qui
tranchent posées sur le rythme imposant du M'Godro, ont fait
de « M'Lango » une porte ouverte pour M'Toro Chamou sur la
World Musique. Et c'est la musique des anciens que M'Toro
Chamou porte sur scène, arrangée pour que des musiciens non
mahorais puissent la jouer et pour que le public de partout
dans le monde puisse l'écouter, l'apprécier, l'aimer, sans
pour autant comprendre la langue mahoraise.
Il commence à Paris l’enregistrement d’un album de duos
à l’automne 2007, puis enchaîne avec une série de concerts
dans diverses salles parisiennes et sur son île natale.
Un savant mélange de tradition et de talent musical pour exprimer un
message aux notes universelles, celui de la solidarité des hommes, des
peuples au nom d’un avenir meilleur pour nos enfants.
Un trio très complice, admirable par leur talent et leur force !!
Rejoignez-les dans un univers envoûtant par ses rythmes qui
envahissent nos corps. Découvrez en avant-première le spectacle du
nouvel album, prévu pour le printemps 2008 !
SITES INTERNET
http://mtoro.chamou.free.fr/
http://www.mikidache.com/
Mikidache : Guitare et voix
Mtoro Chamou : Guitare et voix
Fabrice Tompson : percussions
DISCOGRAPHIE
Album à paraître au printemps 2008
04 avril
Doudou NDiaye Rose Junior &
Woz Kaly (en solo)
2 artistes pour célébrer la Fête de l’Indépendance du Sénégal
Dans le cadre de la soirée de l’Indépendance du Sénégal, le Satellit Café et
Safoul Productions vous invitent à participer à une soirée d’exception autour
de la musique, de la danse, de la tradition du Sénégal.
2 artistes, dignes représentants de la culture et de la scène sénégalaise se
partageront la soirée pour fêter comme il se doit le jour de l’indépendance
du Sénégal.
Nous vous invitons à découvrir la voix exceptionnelle
de Woz Kaly.
Né à Dakar, Woz Kaly est à la fois chanteur,
guitariste, auteur et interprète. Il possède une voix
formée à la fois par la culture wolof du nord et la
culture mandingue du Sud. La pureté de sa voix, son
jeu de guitare, à la fois sobre et prenant, lui confère
une place de choix dans la cour des grands artistes
africains de notre époque.
Vous aurez aussi l’immense plaisir de rencontrer un artiste,
dans la lignée des grands maîtres des percussions : Doudou
Ndiaye Rose Junior. Il est l’héritier de la légende vivante du
« sabar », Doudou Ndiaye Rose. Il nous présente ici un
nouveau spectacle où le sabar et le tama rentrent en
communion avec la batterie. Une performance en public
remplie d’émotion, grâce sa capacité d’improvisation. Un
concert par ce trio inoubliable représentera dignement les
couleurs du Sénégal.
En route pour un moment intime, plein d’intenses émotions, pour une
grande fête en l’honneur du Sénégal.
04 avril
Doudou NDiaye Rose Junior –
A la découverte du « sabar » (percussion, danse et musique du Sénégal)
Doudou N'Diaye Junior est l’héritier de la légende vivante
du « sabar », Doudou Ndiaye Rose. Le Sabar est un terme
d’origine wolof qui désigne à la fois un instrument de
percussion, un style de musique, une forme de danse
sensuelle et une fête traditionnelle, populaires au Sénégal et
en Gambie. Il nous présente ici un nouveau spectacle où le
sabar et le tama rentrent en communion avec la batterie, pour
une grande fête à l’honneur du Sénégal.
Doudou N'Diaye Rose Junior
a suivi pendant 3 ans
l'enseignement de Mudra Afrique, l'école de danse créée par
Maurice Béjart. Il s'est ensuite perfectionné à Paris au contact de
nombreux artistes et a forgé sa propre personnalité de danseur et musicien. Il
joue ce qu'il danse et danse ce qu'il joue.
Diplômé de « Mudra Afrique », centre africain de perfectionnement et de
recherche des interprétées du spectacle crée par Maurice Béjart et Léopold
Sédar Senghor en 1977 à Dakar.
Il y a suivi trois années de formation professionnelle dans les disciplines
suivantes : danse traditionnelle, danse classique, danse contemporaine, modern
jazz, théâtre, culture vocale, solfège… Cette formation a été sanctionnée par un
diplôme. Il est le digne héritier de la lignée de son père un artiste reconnu par
son talent scénique et vocal.
Il a été nommé 1er danseur au concours national de danse et de comédie
musicale en 1983 à Dakar, puis lauréat 5éme nuit des jeunes créateurs au
Palais des congrès de Paris en 1992. Il est le premier danseur sénégalais à
introduire le Sabar à Paris dans sa globalité. Le Sabar est un terme
d’origine wolof qui désigne à la fois un instrument de
percussion, un style de musique, une forme de danse sensuelle
et une fête traditionnelle, populaires au Sénégal et en Gambie.
La notoriété international du Sabar doit beaucoup à Doudou
N'diaye Rose et aux musiques à la mode tel que le mbalax qui
l’utilise couramment. Sa maîtrise de la danse l’a tout naturellement
aidé au perfectionnement au jeu de sabar, à la fois instrument,
danse et style musical. Il explore, réinvente l’esprit du sabar grâce à
ses différentes rencontres, avec d’autres musiciens et troupes
folkloriques : rencontre du sabar et de la batterie, rencontre
orchestrée et chorégraphiée avec le Bagad Men Ha Tan, en
Bretagne…
Une performance en public remplie d’émotion, grâce sa capacité
d’improvisation. En route pour un trio inoubliable qui représentera
dignement les couleurs du Sénégal.
Doudou Ndiaye Junior : sabar, animation
Ousmane Bâ : sabar et tama
Jean Gaël : batterie et petites percussions
+ guests
SITE INTERNET
www.safoul-productions.com
04 avril
Woz Kaly (en solo) – Le Folk singer sénégalais
Né à Dakar Woz Kaly est à la fois chanteur, guitariste,
auteur et interprète. Il possède une voix formée à la fois
par la culture wolof du nord et la culture mandingue du
Sud. La pureté de sa voix, son jeu de guitare, à la fois
sobre et prenant, lui confère une place de choix dans la
cour des grands artistes africains de notre époque.
Ne résistant pas à son charme, elles lui ont offert ce qu’elles
avaient de plus précieux, la voix, et pour les remercier, chaque
jour que Dieu fait, Woz Kaly nous en fait don. Grâce lui en soit
rendue !
En route pour un moment intime, plein d’intenses émotions, à
la gloire du Sénégal.
Si les enfants naissent en criant, Woz Kaly, lui, est né en
chantant et le chant ne l'a jamais quitté. Déjà très jeune, il
sent la présence des deux cultures sénégalaises.
Woz KALY n'est pas seulement une voix chantante, c'est
aussi une voix respectée dans le monde, un timbre
chaleureux qui véhicule nombre de valeurs éclairées.
Il croise et séduit ses idoles du passé : le batteur Paco Séry de « Sixun » le
respecte, Touré Kunda devient son père spirituel, le pianiste Jean-Pierre
Como le sollicite dans son opus « Empreinte », le batteur Mokhtar Samba
l’invite sur son magnifique « Dounia » et lors de ses tournées (Jazz à Nice
2005 – Casablanca Festival 2005).
Il était naturel que sa renommée sur les scènes parisiennes le conduise au
cinéma, il a composé une chanson pour le dernier film de Chantal Richard
avec Romane Bohringer « Lili et le baobab ».
Woz Kaly : guitare et voix
SITE INTERNET
http://www.wozkaly.com/
Aujourd’hui, toute son énergie se concentre sur la gestation d’un nouvel
enfant, son premier né, un album musical où il dira qui il est. Une oeuvre
qui sera comme un aboutissement de quatre décennies d’un chemin de vie
qui a fait de Woz ce magicien des scènes, cet enchanteur public, ce sorcier
qui a dompté les muses comme on apprivoise les sirènes.
Dùnya – Musiques et danses tziganes
Dùnya
signifie "le monde" ou encore « la vie » en
Arabe, en Hindie, en Ourdou.
Un répertoire atypique et étonnant qui concilie à la fois
la tradition et les compositions, résultat du métissage des influences et de
la créativité des cinq artistes.
© Sandrine Herpet
L’attrait partagé par les 5 membres du groupe pour les
musiques traditionnelles tziganes a forgé les bases de
leur répertoire. Mais l’originalité de Dùnya réside dans
l’association de chants traditionnels Kalbeliyas (caste de
gitans du Rajasthan), de chants traditionnels roms, de
ghazals (poésie classique indienne) et de rumbas
flamencas…
Généreuse, festive et sensible, sont des mots qui reviennent
souvent lorsqu'il s'agit d’évoquer la musique de Dùnya.
C'est donc une invitation à vivre pleinement un moment
chargé d'émotions allant de la joie absolue à la mélancolie
qui nous rappellent que nous sommes bien en vie. Un
voyage en terre gitanes qui n’en finira pas de vous
envoûter.
SITE INTERNET
www.dunya.free.fr
DISCOGRAPHIE
Dunya, novembre 2004
David Viala : accordéon
Maria Robin : chant, danse
Olivier Lechevallier : contrebasse
Karim Belkhir : percussions
Germain Chaperon : guitare, mandoline
Dùnya, c'est aussi la voix de Maria Robin qui nous transporte directement
au coeur de l'univers des tziganes. Issue d'une famille de musiciens, Maria
est très tôt en contact avec des univers musicaux allant de l'Inde du Nord à
l'Andalousie en passant par le Moyen Orient. Sa voix singulière et
profonde semble nous livrer l'histoire, les passions, les joies et les peurs de
ce peuple nomade.
Le spectacle ne serait pas complet sans la danse kalbéliya de Maria,
interprétée au détour de morceaux instrumentaux. Cette danse née au
Rajasthan et également appelée « danse du serpent » est ici adaptée au
répertoire du groupe puisque des mouvements empruntés à la danse
orientale ou encore à la rumba espagnole y ont été ajoutés.
08 & 09 avril
LA PRESSE EN PARLE
Sur des morceaux traditionnels réarrangés ou sur des compositions, la
chanteuse a interprété ses mélodies en espagnol, en hindi ou dans un
dialecte du Rajasthan qu’elle connaît bien pour avoir vécu à Jaipur où
elle a appris les chants et danses traditionnels kalbeliyas. Germain à la
guitare, Oliver à la contrebasse, Karim aux percussions et David à
l’accordéon ont accompagné Maria pour ce spectacle intimiste »
Dominique Goumet - CROCQ
10 avril
Cristina Cascardo – La nouvelle voix du Brésil
N
ée à Santa Tereza-Rio de Janeiro, Cristina est à la
fois compositrice, parolière et chanteuse. C’est à 13 ans
qu’elle écrit sa première composition, accompagnée de
sa guitare.
Elle a étudié un peu partout dans le monde, d’où les
influences multiculturelles de ses musiques. De retour au
Brésil après avoir été initiée aux tablas en Inde, elle
arrive avec un CD qu’elle a écrit et
composé dans sa totalité.
Entre ballades et compositions plus rythmées, c’est un moment
en toute simplicité que Cristina vous invite à découvrir et
partager avec elle. Pour sa 1ère date en France, elle viendra nous
présenter son 1er album “Contemplaçào”. Retenez bien son
nom, car le talent de la belle Cristina vaut à être découvert,
retenu et soutenu. Elle semble promu au plus bel avenir. C’est
une belle découverte !!
DISCOGRAPHIE
Elle y célèbre ses racines tout en saluant les nombreuses
influences qu'elle a reçues. Ses mélodies simples, ses
textes aiguisés, nous imprègnent d’une atmosphère
brillante et d’une simplicité désarmante. Au Brésil son
album a été repéré par le label “ guitarra brasileira” qui
mise sur son talent.
Son intelligence dans la réalisation et dans le choix de ses compositions et
sa détermination à faire partager son univers artistique sont déjà
perceptibles.
Contemplaçào, 2007, Guitarra brasileira
SITE INTERNET
www.myspace.com/cristinacascardo
Chantant aussi bien en portugais, en anglais qu’en français, Cristina nous
prouve ainsi son envie de séduire un public le plus large possible. Son
accent lui ajoute un charme particulier. Sa fraîcheur et l’étonnante maturité
de sa voix font de Cristina une artiste unique.
Kalognouma – Afro funk mandingue
Attention, les Kalognouma sont de retour ! Lors
11 avril
Depuis son arrivée en France en 2005, il ne cesse de
collaborer à différents projets. Il est maintenant le chanteur
créatif, flûtiste virtuose, joueur de kamalen n’goni,
percussionniste, auteur, compositeur et alchimiste de
Kalognouma Il travaille également sur les projets de divers
artistes français et internationaux.
d’un concert au Satellit Café en 2007, le groupe à
l’énergie débordante avait fait salle comble…
Kalognouma, ou la «bonne lune » en dioula, ce
n’est pas de l’Afro-funky-bluesy-makossa-soulymandinguo-groovy-reggae-beat.
Mais
ça
pourrait… Disons « Afro-Funk-Mandingue ».
Le groupe s’est ensuite enrichi de musiciens de la scène
parisienne aux influences et parcours musicaux très variés.
Du côté « traditionnel », le balafon de Benjamin et le djembé
de Renaud. Du côté « électrique », la guitare de JeanChristophe et la basse de Yves.
Kalognouma est né de la rencontre entre la musique
du Burkina Faso et de toute la Corne de l'Ouest
Africain, et les musiques groove occidentales. Un
métissage bigrement inspiré qui a digéré et intégré
les musiques actuelles et l'héritage afro trad’.
Quelque part au croisement de l'afro beat, de la
musique "bwaba", et de toutes les musiques black
du XXème et XIème siècles.
Groove toute !
Dramane Dembelé: chant lead, flûte peul,
kamalen'goni, n'tamani
Jérome Jouannic : batterie
Jean Christophe Decourriere : guitare
Benjamin Moroy : balafon malinké
Renaud Tenoux : djembé, karignan, chœur
Yves Terrat : guitare basse, choeur
Corine Thuy-Thy : chœur
Ce projet est né en Novembre 2005 de la rencontre de Dramane Dembelé,
multi-instrumentiste Burkinabé issu de la grande tradition des musiciens
de l’Afrique de l’ouest et de Jérôme Jouannic, batteur d’expérience
passionné de musiques africaines.
Dramane Dembélé, dit Djomakossa est né en Côte d’ivoire en 1982. Il est
un représentant de la jeune génération de musiciens de l’ethnie « Bwaba »
issu de la grande tradition des familles de musiciens d’Afrique de l’Ouest.
Il grandit au Burkina où il se forme à la flûte et se perfectionne auprès du
maître flûtiste Barry lors de fréquents voyages à Bamako au Mali.
SITE INTERNET
DISCOGRAPHIE
www.myspace.com/kalognouma
Kalognouma « la bonne étoile », 2006
15 avril
Anwar Khan’s group – Gitans du Rajasthan
De la terre du Rajasthan est née cette musique
émouvante, pleine de couleurs et de lumières,
enivrante, par ses rythmes effrénés, transportant
par sa beauté. Les interprètes, imprégnés depuis la
plus tendre enfance, chantent à la gloire des dieux,
de l’amour et de la vie.
SITE INTERNET
Anwar Khan a voyagé, transportant avec lui ce
grand héritage du désert, le transmettant depuis
l’âge de dix ans. Avant 1995, il s’est produit sur les
plus grandes scènes d’Europe et dans d’autres pays.
Depuis un an, Anwar Khan a élargi son programme
en offrant au public un voyage du sud au nord de
l’Inde avec la musique gitane du Rajasthan. Ce spectacle a déjà maintes
fois ravi les publics parisiens et italiens.
Après un passage remarqué au sein de différents groupes, Anwar Khan
revient au SATELLIT Café accompagné de ses musiciens et de leurs
instruments : dholaks, kartals (castagnettes), harmonium, tablas, bapang,
gimbardes, et danse de fakir… un véritable enchantement pour les yeux et
les oreilles.
Il propose au public un authentique voyage au Nord de l’Inde à travers
une musique émouvante et enivrante et des danses traditionnelles du
Rajasthan.
http://anwarkhangroup.free.fr
Anwar Khan : chant, tabla
Ashok Kumar : chant, harmonium
Sanwar Mirasi : dolak
Mahipal Foga : kartals (castagnettes),
bhappang
Anwar Hussain : chant, guimbarde
Munshi Khan : chant, harmonium
Dhapu Sapera : danseuse et fakir
Embarquez pour un concert haut en couleurs.
16 avril
Duplessy Trio – Voyage musical world chamanique
La
musique de Duplessy Trio intrigue
d’abord…Ses vibrations pénétrantes, servies de
mélodies oniriques, créent un univers entre musique
de films et transe tribale, qui invite les esprits à
sortir de leur corps…
dans le passé ou le futur juste en fermant les yeux. La
musique est toujours apparue comme telle à Mathias
Duplessy. Une explosion totale du temps et de l’espace.
C’est donc une sorte de voyage astral qu’il propose sur
scène, un voyage onirique et imagé, où les esprits sont
invités à partir de leurs corps pour aller loin, très loin...
Composé de fresques musicales intemporelles et
pleines d’énergie, l’inspiration de Duplessy Trio puise
dans les rivières des grandes cultures ancestrales :
steppes mongoles, fjords scandinaves, Japon et Brésil
se côtoient dans un spectacle unique et détonnant…
Suivez ce trio pour un voyage musical dans le monde
chamanique. Un concert unique et hors du commun
qui s’écoute et qui se vit …
DISCOGRAPHIE
L’expression est le maître mot de ce Trio dont les climats reposent sur le
talent de ses musiciens :
Nicolas Gorge, le batteur/percussionniste, joue tout en contraste entre les
caresses à mains nues sur les peaux et les fortissimos guerriers sur un gros
tambour Gnawa... Sa touche légère et sa maîtrise du son mettent en valeur
le mélange des timbres et le son ample et envoûtant du violoncelle de
Jean-François Ott, apportant ainsi un lyrisme puissant à la musique.
Quant à Mathias Duplessy, que dire sinon que son énergie et sa finesse
portent ce Trio jusqu’à des paroxysmes musicaux. Outre la guitare – son
instrument de prédilection – il joue du morin khuur (vièle mongole « à tête
de cheval »), du oud, de la flûte, du berimbao, et maîtrise diverses
techniques vocales (perses, indiennes, jusqu‘au chant diphonique des
Mongoles), et transforme ainsi sa voix en un véritable instrument.
L’Hermite voyageur, sortie le
29 mars 2008, Socadisc
Mathias Duplessy : Guitares, Berimbau,
Voix, Morin Khuur, Oud, Flûte
Jean-François Ott : Violoncelle, Percussions
Nicolas Gorge : Percussions
Les chamanes arrivent après une longue initiation à pratiquer le Voyage
Astral : pouvoir voyager avec son esprit dans l’espace et le temps, se
rendre aux quatre coins du monde pour guérir ou dialoguer, se rendre
SITES INTERNET
www.virb.com/mathiasduplessytrio
http://mathiasduplessy.com
http://myspace.com/mathiasduplessy
17 avril
Simon Nwambeben – La nouvelle voix de la
scène africaine - Cameroun
Ce jeune artiste camerounais a parcouru du chemin depuis
son village de Bafia.
Son album présente des textes en bafia, sa langue d’origine, et
en français, sur des guitares scintillantes et des percussions.
S’appuyant sur des histoires qu’il a pu vivre, ce compositeurmusicien-chanteur nous fait part de ses moments succulents ou tristes,
joyeux ou dramatiques. Il nous amène dans son univers peuplé de
personnages du quotidien.
Il rend compte à sa manière des musiques de son pays, de sa vie et de ses
rencontres. Influencé par les rythmes bantous et les traditions bafias, cet
enfant du Cameroun a inventé son propre style musical : le bitibak. En
réalité, « bitibak » est le nom que l’on donne dans la région de Bafia à un
mélange d’écorces, de feuilles et de plantes de toutes sortes, qui soigne le
paludisme et la fièvre. Les chansons de Simon sont donc un peu comme un
remède…
Si, de par ses origines il reste attaché à cette culture musicale qui lui a
été transmise oralement, Simon reste ouvert aux rythmes et aux
musiques d’aujourd’hui. Cet artiste nommé « Artiste Découverte
Sacem » en 2006 nous propose son univers de poésie, d’amour et de
simplicité.
Simon Nwambeben : voix, guitares,
percussions
Eva Paquereau et Sandrine
Laverdure : chœurs
Samuel Lecomte : percussions
Julien Pestre : guitare
Eudes Gatibelza : basse
© Estelle Robineau
Adolescent, il découvre la guitare, qui deviendra très vite son
instrument de prédilection. Peu de temps après, il part tenter
sa chance à Yaoundé. Alors qu’il joue dans un cabaret, il croise
le metteur en scène de la compagnie Royal Deluxe, dont il va
assurer la direction musicale pendant 5 ans et qui l’emmènera
à travers le monde. Fort de cette aventure, il s’atèle à son 1er
album Bitibak, produit par Ray Lema.
Au-delà de son appartenance au monde africain, c’est son
humanité qui nous touche et son amour de la vie. Un artiste
qui s’impose peu à peu comme la nouvelle voix du
Cameroun.
DISCOGRAPHIE
Bitibak 1, 2006, Harmonia Mundi
Nouvel album en préparation, titre provisoire Bitibak 2
LA PRESSE EN PARLE
« Un chant tout en nuances dans lequel
Nwambeben étale son registre vocal exceptionnel
sur des musiques sophistiquées et fragiles … une
musique apaisante et intelligente. »
World Magazine – B. Daoudi, mars 2007
SITES INTERNET
www.myspace.com/simonnwambeben
www.simon-nwambeben.com
22 avril
Don Faton – Jazz
Le groupe DON FATON, dont le leader est Faton Cahen,
est composé de 4 musiciens de jazz de formation
classique : un bassiste finlandais, Petteri Parviaine, un
jeune saxophoniste très doué, Léo Le Cloarec et son vieux
compagnon de route, François Causse (batterie). Dont
l’enregistrement d’un album est prévu pour 2008.
Faton Cahen a longtemps étudié la musique classique mais
la découverte du jazz a bouleversé sa vie. À l’exception de 3
mois de cours avec Bud Powell, il pratique le jazz en
autodidacte dans diverses formations nourries des
influences du Be-bop, de Miles Davis et de Coltrane avec
lequel il aura l’honneur de faire un bœuf à 17 ans à
Copenhague.
Il rencontre Christian Vander qui l’invite à rejoindre le célèbre groupe
Magma avec lequel il partagera l’aventure durant trois ans comme pianiste
et compositeur, et qui sera, selon ses propres termes, son conservatoire. En
1972, il quitte le groupe en compagnie de Yochk’o Seffer pour créer Zao et
renouer avec l’improvisation, par opposition à la musique entièrement
écrite de Magma.
Après quatre albums, Yochk’o Seffer quitte Zao pour fonder Neffesh
Music et laisse Faton écrire et produire seul l’album Typhareth sur lequel il
confie la batterie à Manu Katché, alors tout jeune batteur. Parallèlement,
Faton se produit seul au piano et sort dans les années qui suivent plusieurs
albums de compositions personnelles en piano solo. En 1978, il sort un
album duo avec Didier Lockwood et en 1979, sa rencontre avec Miroslav
Vitous donnera lieu à l’enregistrement de l’album Great Winds en trio avec
Jack Dejohnette, et avec lequel il tourne au Canada, New York et Paris.
Dans les années 80-90, Faton retrouve Yochk’o Seffer avec lequel il fonde
Ethnic Duo, crée le groupe Complot avec le guitariste chanteur Colin
Swinburne et le batteur Michel Zadeh, s’associe avec Didier
Malherbe en partance de Gong pour monter Faton-Bloom et
sortir un album, et enregistre un album Couleur Rubis avec le
batteur Pip Pyle (ex-Gong) et le bassiste Étienne Callac. En 2004,
il s’associe de nouveau à Yochk’o Seffer pour reconstituer Zao et
fait deux tournées au Japon en 2004 et 2005.
Par ailleurs, Faton Cahen a écrit plusieurs musiques de film pour
Philippe Garrel, Idrissa Ouedraogo, Raymond Depardon et
Laurence Ferreira Barbosa. Sa discographie complète couvre
une trentaine d’albums.
Le groupe DON FATON nous présente un son jazz très
personnel qui ravira les amateurs du genre et saura également
séduire les non initiés. Saxo, basse et percussions se mêlent au piano de
Faton avec une telle harmonie qu’on ressent le bonheur qu’ont les
musiciens à jouer ensemble. Pourquoi une telle impression ? Parce que
tous les musiciens connaissent Faton depuis leur première scène. C’est lui
qui les a formé à sa musique. C’est eux qui enrichissent et modernisent ces
anciens titres, qui ont fait de lui cet artiste reconnu.
Aujourd’hui, il se fait plaisir. Pour lui, un concert, c’est des amis, des
invités, une entente, un lieu. D’ailleurs, ce sera pour le groupe
l’occasion de vous présenter leur travail, qui donnera naissance à un
nouveau CD d’ici la fin de l’année. Une soirée jazz, entre copains,
comme dans le temps !!
DISCOGRAPHIE
Préparation de l’album Don
Faton, Sortie prévue fin 2008
Faton Cahen : piano
Petteri Parviainen : basse électrique
François Causse : batterie, percussions
Léo Le Cloarec : saxophones
+ Invités surprise
23 avril
Nawal – La voix des Comores
La mention sur la pochette du nouveau disque « Aman »
La voie est chaude, conviviale et son charisme
impressionne... Elle n’a pas mis longtemps à être reconnue
“La Voix des Comores ”. Sa personnalité révèle une âme riche et sage…
Tout cela dans la plus grande simplicité, sans artifices. On est loin du
stéréotype surfait… Difficile donc de ne pas se laisser séduire par cette
Artiste qui ouvre aux Comores.
Nawal est une artiste d’Expérience : elle évolue sur la scène musicale
depuis 20 ans et s’est produite un peu partout dans le monde… (au
Canada, aux Etats-Unis, en Europe, en Lybie, dans l’océan Indien…) . Il
suffit de lire sa revue de presse internationale pour comprendre qu’elle ne
laisse pas indifférent, qu’elle marque d’une empreinte acoustique les
oreilles de ses spectateurs…
Originaire de l’archipel des Comores, Nawal auteur-compositeurinterprète est la première femme musicienne de ses îles à se produire en
public. Nawal a baigné dans un monde musical à la fois pop et religieux.
Les influences musicales de sa jeunesse sont essentiellement composées de
dhikr (chant soufi), de la musique twarab, et du groupe afropop dans les
années 1970 de son oncle. Cette Africaine de confession musulmane, sans
© Akwa Betote
résume parfaitement le style de Nawal « acoustic rootsbased fusion from the Comoros Islands”. Le son est pur et
nature, les thèmes musicaux sont « légers » et ont un goût
d’authenticité. Nawal nous chante son pays, son Archipel,
ses origines, ses « racines »… elle nous sert sur un plateau
un cocktail de vibrations instrumentales et vocales… un
exotisme profond marqué de spiritualité et enclin à la
sensibilité… ses morceaux transmettent comme une culture
ancestrale de par ces rythmes et polyphonies au croisement
de trois mondes : l’Inde, l’Afrique et le Moyen-Orient.
toutefois adhérer à bien des codes socio-religieux d’un autre âge, a
dû faire face à de nombreux obstacles au cours de sa carrière. Elle a
cependant conservé la philosophie et le message qui l’animent.
Descendante d’El Maarouf (1852-1904), un grand marabout soufi
des Comores, elle continue de s’inscrire résolument dans la lumière
d’un Islam fondé sur l’amour, le respect et la paix. Nawal chante
essentiellement en comorien, quelques fois en arabe, français et
anglais.
Entre traditionnel et contemporain, la musique de Nawal,
résolument acoustique, tisse un harmonieux dialogue des
cultures indo-arabo-persane, avec les les chants soufis, et les
rythmes syncopés de l ’océan Indien. Elle nous avait déjà offert,
Kweli (Vérité), porteur d’un son inédit et reflétant la richesse et
la diversité de ses îles.
« On a souvent tendance à « comparer » ce qu’on découvre avec que qu’on
connaît ; à chacun ses références.. pour ma part, Aman m’a rappelé les airs du
Cap-Vert de Cesaria Evora, et du Brésil de Maria Bethania ; la joie de l’Afrique
au niveau des chœurs, et les effluves/ résonances des cordes de Ravi Shankar… »
Amélie pour l’Association World Musique.
Quand on écoute Aman, on est en transe, c‘est une invitation au
voyage… C ’est être invité à danser, à rêver, à survoler l’Océan Indien...
Laissez vous porter par cette nouvelle perle lors de son concert de
lancement à Paris.
DISCOGRAPHIE
Nawal : Chant, gambusi et guitare
Kweli (Vérité),
Idriss Mlanao : Contrebasse, choeurs
Aman (Paix Intérieure),
Mélissa Cara Rigoli : mbira,
(Sortie européenne printemps 2008)
percussions, choeurs
SITES INTERNET
http://www.nawali.com /www.myspace.com/nawalcomoros
24 avril
Fatoumata Diawara – Folk wassoulou
Comédienne
professionnelle depuis plus de 10 ans,
Fatoumata Diawara chante en fait depuis toujours.
Interprète du rôle de Karaba dans la comédie musicale
« Kirikou et Karaba », elle se consacre depuis un an à une
carrière d’auteur compositeur interprète.
Sollicitée par de grands réalisateurs maliens (Cheick Oumar Cissokho,
Adama Drabo, Dani Kouyate) elle a tourné dans plusieurs long-métrages
dont l’un comme premier rôle féminin (Sia le rêve du python). En Novembre
2006, Fatoumata est choisie pour assurer le premier rôle féminin de
«l’Opéra du Sahel ». Elle retourne alors au Mali après six ans d’absence.
Remarquée à Bamako par Cheick Tidiane Seck, directeur musical du très
beau projet musical « Red Earth » de Dee Dee Bridgewater où la diva du
jazz retrouve ses racines africaines, elle rejoint la crème des musiciens
maliens pour enregistrer le dernier album de la chanteuse américaine.
Trois mois plus tard, elle assurera avec elle les duos lors de son concert du
30 Mars 2007 au Bataclan et sur plusieurs dates de sa tournée estivale.
En tournée au Chili en Janvier 2007 avec le Royal de Luxe, elle chante à
Santiago du Chili devant un public amoureux de 300.000 personnes qui lui
fait un vrai triomphe. Marquée par cette expérience si forte, Fatoumata se
donne pour ambition de revivre et partager de tels instants et décide de se
lancer totalement dans l’aventure de la musique.
© Gilles Perrin
Née en Côte d’Ivoire, Fatoumata y passera une partie de son
enfance puis partira vivre au Mali. Adolescente, elle est
repérée en 2002 à Bamako lors d’un casting et sélectionnée
parmi plus de 100 candidates pour intégrer l’équipe du
« Royal de Luxe », troupe française de théâtre de rue avec
laquelle elle a depuis fait le tour du monde. Elle joue, chante
et danse dans plusieurs des spectacles créés par la troupe.
En mai 2007, Fatoumata a été choisie pour interpréter le rôle de
Karaba dans la comédie musicale « Kirikou et Karaba », tirée du
film de Michel Ocelot. Après trois mois de succès au Casino de
Paris, le spectacle se déplace actuellement en tournée dans toute la
France.
En Janvier 2008, elle est retournée au Chili pour une nouvelle
tournée avec le groupe de rock Les balayeurs du désert, sans
le Royal de Luxe cette fois-ci.
Auteur compositeur, elle se consacre depuis un an à la
création d’un répertoire folk original et sensible inspiré de la
tradition du chant wassoulou et elle chante maintenant ses
propres chansons. Lors de son concert le 24 Avril, elle sera
accompagnée par Patrice Larose, jazzman et guitariste flamenco
remarqué aux côtés de Marcio Faraco et Julia Sarr, de Guimba Kouyaté,
jeune guitariste franco malien élevé dans la tradition mandingue et de
Madou Koné aux percussions, digne successeur d’une grande lignée de
griots maliens.
Assurément, un avenir lumineux s’ouvre à cette belle et talentueuse
jeune femme… Ne passez pas à côté de son premier concert au Satellit
Café !
Fatoumata Diawara (Mali) : chant, shékeré
Patrice Larose (France) : guitare
Guimba Kouyaté (Mali/France) : guitare, ngoni
Madou Koné (Mali/Côte d’ivoire) : percussions
SITE INTERNET
www.myspace.com/fatoumatadiawara
Sabor A Son – Musique cubaine
25 avril
Réuni autour d’un désir commun de faire connaître et
découvrir le son cubain, Sabor A Son a constitué son
répertoire de « sons traditionnels » originaires de l’est de
la région de Cuba (Guantanamo, Manzanillo).
Composé de 11 musiciens, le groupe, créé en 1996, s’est
formé sous la direction de Fino Gomez, joueur de guitariste
électrique et de tres, guitare à trois cordes, originaire de
Cuba et surtout instrument de base dans la musique
cubaine.
Né à Montevideo et bercé par les importantes influences
musicales des pays voisins, le Brésil et l’Argentine, Fino
Gomez a voyagé à travers de nombreux pays tels que
l’Espagne ou la Hollande, à des époques où la musique
latine commençait à émerger. Il a appris le tres auprès de
Nelson Gonzales quand il était émigré en Hollande, avant d’aller se
perfectionner à Cuba et il devient rapidement le « tresite » préféré des
groupes latinos. Il fut également à l’origine de nombreux groupes tels que
Los Mismos, Los Mambos, ou le Fino Gomez Band. Des expériences
musicales qui l’ont amené à effectuer de nombreuses tournées et à
multiplier les rencontres artistiques. En 1996, il devient le producteur
musical du groupe Sabor A Son, avec lequel il fît la 1ère partie d’artistes tels
que Celia Cruz, Willie Colon, ou Jose Alberto « El Canario ».
Enregistré à Paris, leur 1er album a été mixé à New York par
John Fausty, connu du monde de la scène salsa. Le résultat est
une charanga nerveuse, cuivrée et électrique. On notera une
participation du célèbre trompettiste Chocolate Arment Ero, et
la présence du titre « A mi manera », version personnelle de
« Comme d’habitude » dont la sorite single fut très remarquée.
Depuis, le groupe a notamment participé à des festivals tels
que le Jazz Festival d’Istanbul, le Festival de Jazz de Dakar, et
s’est produit dans des nombreuses salles parisiennes comme le
New Morning ou le Bataclan.
Pour certains, il s’agira d’une découverte, pour d’autres, d’un
concert événement. Dans tous les cas, une vague de chaleur
envahira le Satellit Café en ce début d’année. Alors, pas de
doute à avoir, laissez-vous gagner par l’énergie communicative de Sabor
A Son. Les rythmes cubains ne tarderont pas à s’emparer de vous et vous
ne le regretterez pas…
SITE INTERNET
www.finogomez.com
Le groupe est considéré à cette époque comme la dernière découverte dans
la musique cubaine. Les noctambules afro latinistes de la capitale les
connaissent bien car le groupe a enflammé pendant plus d’un an, chaque
mardi, la Coupole du boulevard Montparnasse. Sabor A Son appartient à
la vague cubaine qui déferla sur la France à cette époque.
DISCOGRAPHIE
Sabor A Son, EMI, 1997
Para Ti Hatuey, EMI, 1998
La Coupole, Sony Music, 2002
29 avril
Maria de Barros – Morna, Funana, Coladeira …
Musique et rythmes du Cap Vert
Mornas,
funana, coladeiras … autant de rythmes et
styles musicaux capverdiens que vous invite à découvrir la
pétillante Maria de Barros. Une musique authentique, des
compositions efficaces, une énergie et une bonne humeur
communicative, Maria séduit et charme par son naturel.
Cette artiste a un parcours atypique : née à Dakar au
Sénégal, elle a vécu les 13 premières années de sa vie à
Nouakchott en Mauritanie (Afrique du nord-ouest).
Cependant son cœur se situe au Cap Vert, lieu de naissance
de ses parents. Après quelques temps passés sur l’Ile de
Rhode, où ses grands parents ont vécu, Maria part s’installer
à Los Angeles où elle découvre de nouveaux rythmes et
sonorités et où elle enrichit son expérience musicale. Là elle a développé
un amour pour la musique latine et a ensuite commencé à chanter en
espagnol, une des six langues qu’elle parle.
A travers ses 2 albums Nha Mundo (2003) et Dança Ma Mi (2006), Maria,
fière de ses origines, chante la beauté du Cap Vert et propose des chansons
qui sont, selon elle, « remplies d’histoires d’amour et de romans ». En plus
des rythmes africains et latins et des mornas bluesy communs à la musique
de sa culture, Maria présente un autre rythme envoûtant : le funana. Ce
rythme, inspiré des rythmes africains est conduit par un instrument appelé
un Ferro, qui est « simplement un morceau de métal joué avec un couteau»
explique-t-elle. Un rythme incroyablement entraînant et joyeux.
Maria sera encouragée par sa marraine Cesaria Evora, la diva aux pieds
nus, qui a fait connaître la musique du Cap Vert. Ensemble, Césaria Evora,
la reine du Mornas et Maria de Barros, reine du Coladeiras, peignent un
tableau musical de cette terre riche de tradition musicale.
Depuis le lancement de son premier album Nha Mundo (Mon
Monde) en 2003, Maria a été très bien reçue dans de grands
festivals et salles renommés aux Etats-Unis, Canada, Caraïbes,
Brésil, Mexique, Cap-Vert et Europe. En 2006, Maria de Barros
reçu le Miriam Makeba Music Award Reconnaissant son
excellence dans la musique de l’Afrique par les DJs des EtatsUnis. En Janvier 2008, elle reçu le plus grand honneur donné aux
artistes du Cap Vert, le gouvernement du Cap Vert lui donne le
Certificat du Mérite Culturel en reconnaissant la contribution que
Maria a fait pour la culture capverdienne aux iles, ainsi que dans
le monde entier. La photo de Maria de Barros se trouve au Palace
de Culture à Praia, près de sa marraine Cesaria Evora et des
grands du Cap Vert.
Maria de Barrros fait son début en France avec sa première
représentation au Satellit Café. Sa musique est authentique. Elle est le
reflet direct de sa vie, ses expériences, ses inspirations et influences
musicales. On attend avec impatience son prochain album, actuellement
en préparation. Elle partira à la rencontre de son public pour cette 1ère
date parisienne. Le Cap Vert nous livre une nouvelle perle musicale...
DISCOGRAPHIE
Maria de Barros : Chant
Mitchell Long : Guitare
Zerui Depina : Cavaquinho (ukelele)
Sandro Rebel : Claviers
Kalu Monteiro : Percussions
Djim Job : Basse
Nha Mundo
Dança Ma Mi
Préparation du nouvel album Morabeza
SITES INTERNET
www.mariadebarros.com/
www.myspace.com/mariadebarros
30 avril
Hati – Fusion Indo Jazz
Sur des compositions originales et des arrangements de
sons traditionnels, Nicolas Genest et son groupe de
musiciens nous offrent un travail inédit sur les variations
mélodiques et les rythmes de la musique indienne. Des
compositions qui révèlent une richesse sonore et artistique
renouvelant et dépassant les expériences de fusion indo-jazz
des années 70 et ultérieures.
Des ambiances méditatives croisant des rythmes hypnotiques…
de quoi passer un moment rare, en compagnie de musiciens
talentueux au style résolument novateur.
Dénué de tout indianisme mièvre, Hati, qui a donné naissance
à un album vanté par la presse spécialisée, promet de mettre
en lumière les mérites du trompettiste Nicolas Genest, sans
conteste l’une des révélations des années 1990. Trompettiste
du mythique Groove Gang de Julien Lourau (Django d’Or
1996) il dévoile une nouvelle facette de son talent avec le
groupe Hati.
Le trompettiste opère aujourd'hui, depuis la sortie de son
dernier album, un remarquable et spectaculaire retour en
qualité de leader. Genest réalise dans Hati une magistrale et
exemplaire expérience de métissage entre jazz et musique
indienne. Une expérience délicate mais ici maîtrisée avec
brio...
En s'appuyant sur des compositions originales de sa plume, le
trompettiste délivre une musique d'une extrême fluidité qui
parvient à emprunter à l'Inde ses mystères et sa sensualité,
sans perdre la spontanéité et la modernité du jazz. Trompette,
flûte, claviers contrebasse et percussions se mélangent pour
donner une instrumentation originale et légère.
Nicolas Genest : trompette et bugle
Hubert Dupont : contrebasse
Stéfanus Vivens : claviers
Philippe Foch : percussions
Stéphane Edouard : percussions
+ Selon disponibilité
Céline Wadier : chant dhrupad
Denis Teste : sitar
LA PRESSE EN PARLE
« Une évidente réussite au charme puissant »
Diapason
« Hati, l’une des plus fines tentatives jamais
entreprises de revisiter la musique indienne à
la lumière du jazz » Jazzman
« A la trompette, Nicolas Genest tient son
rang: précision, exactitude, sens des idées, il
affirme. » Le Monde
1er mai
Diogal – Folk sénégalais
Né à Ngor,
En 1996, Loy Ehrlich remarque ses talents d’interprète et de mélodiste et le
conseille pour ses premiers enregistrements.
Son 1er album, Samba alla est composé de chroniques sociales sur les
thèmes de la paix et de l’espoir. L’album est très vite repéré par les
professionnels et salué par les médias (sélection FIP, finaliste du prix RFI
Musiques du Monde 2002, Coup de Cœur Chorus …). Une 1ère tournée en
France suivra.
En mars 2004, paraît son 2e album Liir, dans lequel Diogal nous raconte
l’émigration, le souvenir des proches laissés au village, l’amour de son
prochain et le droit à la différence. L’univers acoustique, les arrangements
et l’alliance sobre de rythmes traditionnels sénégalais et d’harmonies
occidentales viennent soutenir avec douceur les paroles et la voix unique
de Diogal. Son talent l’a amené à collaborer avec Loy Ehrlich, Daby Touré,
Lokua Kanza, Wasis Diop, Louis Winsberg... et à jouer dans de
nombreuses salles et festivals, en France et à l'étranger. Diogal nous
présente aujourd’hui son nouvel album Li Lan La, qui s'inspire de la
richesse musicale liée à la diversité ethnique du Sénégal. De sa voix suave,
il nous entraîne dans son univers avec des rythmes lébous et mandingues,
aussi bien que folk et pop. Les percussions traditionnelles
(sabar, tama, calbasse, balais, cajón) se mêlent aux
instruments de musique occidentaux.
© Olga Shanen
un village près de Dakar, Diogal est
auteur, compositeur et interprète. Il compose et chante,
en wolof, des chansons à la croisée des sonorités
traditionnelles de son pays, le Sénégal, et de la musique
occidentale contemporaine. Il nous présente aujourd’hui
son nouvel album Li Lan La, dont il a signé tous les
arrangements, la réalisation, la production . De sa voix
suave, il nous entraîne dans son univers avec des
rythmes lébous et mandingues, aussi bien que folk et
pop. Les percussions traditionnelles (sabar, tama,
calbasse, balais, cajón) se mêlent aux instruments de
musique occidentaux.
Dans cet album, Diogal rend hommage au grand musicien
malien Ali Farka Touré et parle du comportement des
hommes, du rapport aux origines, de la mer, du
réchauffement de la planète, de son village et d'amour…
Ce troisième album est le premier dont l'artiste a signé
tous les arrangements, la réalisation et la production.
Ce concert marque la première présentation de ce nouvel
album et son retour artistique. Lors de ce concert, venez retrouvez
l’Homme, son univers, ces textes et cette voix, qui font que nous avons
tant de plaisir à lui ouvrir notre scène !
DISCOGRAPHIE
Diogal : Chant, guitare
Ndioba Gueye : Basse
Papis Diongue : Batterie
Nicolas Leroy : Percussions
Li Lan La, sortie 25 mars 2008,
Wasia prod.
Liir, 2004
Samba alla, 2002
LA PRESSE EN PARLE
« Diogal chante comme pour lui-même, pour eux,
pour nous. Loin de la grande ville, loin du mbalax
qui fait danser Dakar, il appartient à ces
compagnons du folk, chantant en wolof des
paraboles toutes simples, cultivant une mélancolie
pudique, une douceur attentive aux autres »
Le Parisien – Yves Jaeglé
SITES INTERNET
www.diogal.net
www.myspace.com/diogal

Avril 2008

Transcription

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