FDP L`orphelin de Coimbra

Transcription

FDP L`orphelin de Coimbra
Édition –Diffusion
5-7, rue de l’École Polytechnique 75005 Paris
Tél. 01 40 46 79 20 (comptoir et renseignement libraires)
Fax 01 43 25 82 03 (commercial)
L’orphelin de Coimbra
Roman
Thierry Delvaux
ISBN : 9782343039169 • 24 € •294 pages
Collection : Écritures
Paris, gare Montparnasse. Alex espère entamer une nouvelle vie avec Lisa. Il ne sait pas qu’il
est suivi. En pleine affluence, un homme tire. Alex s’écroule parmi les voyageurs affolés.
Il est emmené d’urgence à l’hôpital. Entre la vie et la mort, il oscille entre la réalité et un état
onirique. Des images de son passé, proche et lointain, se bousculent aux portes de sa
mémoire : son enfance à Coimbra, la mort de ses parents. Il se souvient aussi avoir tué
quelqu’un à Lisbonne et pris la fuite, destination Biarritz.
L’AUTEUR
Thierry Delvaux, né en 1960 en Belgique, est vétérinaire et formateur. Il signe ici son
deuxième roman. Après la Toscane – avec Sur le chemin de Toiano –, c’est au Portugal et en
France qu’il vous emmène avec la palpitante histoire d’Alex. Il se consacre depuis longtemps
à l’écriture, toujours avec le souci des détails et de la psychologie des personnages. Des
sujets de romans plein la tête, il aime surprendre le lecteur qu’il invite dans son univers où
tout semble possible.
Contact Service de promotion et de diffusion
Raphaële Lombard
5, rue de l’Ecole polytechnique 75005 Paris
Tél. : 01 40 46 79 23
Courriel : [email protected]
www.facebook.com/Editions.Harmattan
twitter.com/HarmattanParis
www.youtube.com/user/harmattan
EXTRAITS
« Paris. Jeudi 21 septembre 2006, 19 h 55.
Une vive brûlure lui traversa l’épaule.
Instinctivement, Alex se tourna vers Lisa et la repoussa pour la protéger. Il ressentit très vite une autre douleur qui
s’irradia dans la poitrine.
Des yeux hagards venant de partout se braquèrent alors sur eux et un silence de mort s’installa quand il vacilla.
Il ne comprenait pas ce qui lui arrivait.
Pourquoi ses forces l’abandonnaient-elles ainsi et pour quelle raison était-il subitement l’objet de toutes les
attentions ?
Il n’avait rien vu venir dans le brouhaha confus de cette foule confinée dans ce genre d’endroit, généralement vaste
aux heures creuses, mais tellement étriqué lors de la grande affluence. Tout compte fait, il avait peut-être entendu
deux bruits sourds et rapprochés comme si un sommelier très expérimenté avait débouché successivement des
bouteilles de vin. Seulement, il n’était pas dans un grand restaurant au moment du coup de feu, mais à la gare
Montparnasse.
Pris de tournis, les compositions murales Op Art de Vasarely s’animèrent peu à peu et l’illusionnèrent comme des
flashs saccadés dans un immense labyrinthe noir et blanc.
Alex distingua encore quelques regards effarés dont celui du visage blême de Lisa, puis il tournoya comme un pantin
désarticulé avant de heurter violemment le sol du hall "Maine". »
« Biarritz ! C’était la première fois qu’Alex y mettait les pieds.
Il se souvint que sa mère lui parlait de cette ville comme d’un endroit qu’elle affectionnait tout particulièrement. Un
coin de France fort prisé par ses parents.
Très souvent, le célèbre couple Marquez y faisait une halte de quelques jours, généralement après les longues et
épuisantes tournées américaines.
Biarritz, havre de paix et de repos au bord de l’Atlantique !
Obsédé par son image de marque, Carlos Marquez ne pouvait s’empêcher malgré tout de se produire dans le palace
où il séjournait. Y était conviée pour un concert privé la fine fleur du canton. Ce rituel accompli, il s’octroyait avec sa
femme Isabella une petite semaine de détente avant de rentrer à Amalia, leur demeure de Coimbra.
Biarritz, l’incontournable, le point final de ses tournées mondiales !
À peine de retour, il planifiait déjà la tournée suivante avec son manager et enregistrait un nouveau disque.
…
Alex se trouvait devant le petit hôtel bas de gamme que lui avait conseillé le routier.
Il n’avait ni la notoriété ni la célébrité de feu son père.
Pas les moyens de se payer un palace ! De toute façon, ça ne l’intéressait pas… »
BON DE COMMANDE valable pour la vente par correspondance uniquement
à retourner à L’HARMATTAN 7 rue de l’École Polytechnique - 75005 Paris
Veuillez me faire parvenir ...... exemplaire(s) du livre : L’orphelin de Coimbra• Prix 24 €
Frais de port à ajouter : 3,50 euros (1 livre) + 1 euro par livre supplémentaire
NOM : ………………………………………………………………………………………………………………
ADRESSE………………………………………………………………………………………………………………
Ci-joint un chèque de ............ €. (À l’ordre de L’Harmattan)
Pour l’étranger, vos règlements sont à effectuer :
- en euros sur chèques domiciliés sur banque française
- par virement en euros sur notre CCP Paris (IBAN : FR 04 2004 1000 0123 6254 4N02 011 / BIC : PSSTFRPPPAR)
- par carte bancaire (Visa uniquement) N°............................................................. date d’expiration...../...../...../
le numéro CVx2 (les 3 derniers chiffres se trouvant au dos de votre carte, à gauche de votre signature)
e
Nous possédons plusieurs librairies dans le 5 arrondissement
de Paris, chacune ayant un fonds spécifique.
Afin de mieux vous orienter, nous vous invitons à
consulter notre site Internet :
www.harmattan.fr rubrique Les Librairies
Vous y trouverez nos coordonnées, horaires et les
thématiques de chaque magasin
Vous pouvez aussi commander l’ouvrage
à votre libraire habituel
ou sur notre site internet :
www .editions-harmattan.fr
Aussi, directement à l'auteur ou via son blog:
http://thierrydelvaux.skynetblogs.be/

Documents pareils