la marche - UHasselt

LA MARCHE
Week van de Franstalige film 2014-2015
La marche
Ann Knaepen
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En 1983, dans une France en proie à l’intolérance et aux actes de violence raciale, trois
jeunes adolescents et le curé des Minguettes lancent une grande Marche pacifique pour
l’égalité et contre le racisme, de plus de 1000 km entre Marseille et Paris. Malgré les
difficultés et les résistances rencontrées, leur mouvement va faire naître un véritable
élan d’espoir à la manière de Gandhi et Martin Luther King.
Ils uniront à leur arrivée plus de 100 000 personnes venues de tous horizons, et
donneront à la France son nouveau visage.
Film réalisé par Nabil Ban Yadir, 2013, 120’.
Rôles principaux
Georges
Mohammed
Sylvain
Olivier Gourmet
Tewfik Jallab
Vincent Rottiers
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Farid
Yazid
Kheira
Monia
Claire
Hassan
M’Barek Belkouk
Nader Boussandel
Lubna Azabal
Hafsia Herzi
Charlotte Le Bon
Jamel Debbouze
L’internet
Trailer:
http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19538748&cfilm=208743.html
RÉSUMÉ
Ils partirent trente-deux et furent cent mille en arrivant au port. Du 15 octobre au 3
décembre 1983, à l'initiative de Toumi Djaida, atteint d'une balle en plein dos tirée par
un policier, et d'un prêtre du diocèse lyonnais, Christian Delorme, une poignée de
jeunes de la cité des Minguettes ont décidé de traverser la France à pied, de Marseille à
Paris. Leur démarche, imprégnée des convictions pacifistes de Gandhi et du pasteur
Martin Luther King, était une façon de répondre à la multiplication des agressions et des
crimes racistes qui faisaient de leur quartier un territoire de guerre civile.
Surnommée Marche pour l'égalité et contre le racisme, cette aventure a été le ferment de la naissance du
mouvement ‘Touche pas à mon pote’. Signé d'un réalisateur belge, Nabil Ben Yadir, qui avait 4 ans au
moment des faits, « la Marche » reconstitue les étapes de ce road-movie pas comme les autres produit
par une société indépendante, Chi-Fou-Mi Productions et distribué sous le label EuropaCorp de Luc
Besson. Jamel Debbouze incarne un empêcheur de marcher en rond. Olivier Gourmet tient le rôle du curé.
Avec Hafsia Herzi ou Charlotte Le Bon, ils sont les figures de proue fédératrices d'un casting qui n'a pas
été simple à construire.
Une bonne action
« Il y a eu des désistements, reconnaît le réalisateur, les gens pensaient que c'était un film
communautaire. Nous leur disions : Ne nous mettez pas dans un tiroir. C'est un film français. » Même
frilosité pour le tour de table financier. Le nom de Jamel a débloqué les verrous. Bien sûr, l'équipe n'a pas
couvert la distance pedibus jambis, mais elle en a gaillardement vécu les étapes contre vents et
intempéries. Pas question d' « attendre le soleil » quand le temps était « pourri », se souvient Nabil. Ni de
perdre une journée. Le résultat est un beau film qui ne se prive pas, pour les besoins de la cause mais
sans la dénaturer, d'assurer le spectacle. Scénario efficace, personnages bien dessinés, montée en
puissance des relations entre eux, tout concourt ici à parler aux 81 % de jeunes d'aujourd'hui qui
n'avaient jamais entendu parler de cet événement. A leur attention, « la Marche » est mieux qu'un bon
film : c'est une bonne action.
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La presse
La critique de Première (Bernard Achour)
Ils furent accueillis dans la capitale par plus de cent mille personnes, mobilisation aussi
colossale qu’inattendue qui poussa notamment François Mitterrand à prolonger jusqu’à dix
ans la durée de validité des cartes de séjour délivrées aux résidents étrangers sur le sol
français. On frémit à l’idée des tombereaux de démagogie, de lieux communs et de banalités
esthétiques qu’un sujet aussi exemplaire et fédérateur aurait pu susciter s’il avait été traité
par des mains moins expertes. Heureusement, ici, un vrai cinéaste est aux commandes.
Déjà auteur du formidable Barons en 2010, le Belge Nabil Ben Yadir met à profit toute sa
science des histoires de groupes, du découpage à contretemps, de l’envolée épique et de
l’inventivité narrative pour traduire la noblesse de cet événement fondateur. Une réussite.
•
Nouvel Obs (Xavier Leherpeur)
La fiction de reconstitution présente toujours le risque d’un devoir mémoriel
scrupuleux et militant. Travers que le cinéaste frôle parfois mais avec lucidité, évitant au
maximum de se laisser happer par un manichéisme partisan, mais scrutant avec distance (il
n’avait que 5 ans à l’époque des faits) la force rétrospective de ce mouvement spontané et
apolitique. La réussite du projet repose sur sa manière de faire exister le groupe et les fortes
individualités qui le composent, sans angélisme et en mettant en avant les rivalités, doutes
et ambiguïtés idéologiques de ses héros de l’ombre.
•
Culture box by france Tv (Pierre-Yves Grenu)
Voici un joli film, émouvant, rondement mené, profondément sympathique. Il nous rappelle
utilement que les années 80 n'avaient rien d'idyllique de ce point de vue (le racisme). Mais
le café du commerce tient désormais table ouverte et nous inflige ses odeurs rances
d’arrière cuisine.
•
Filmsactu (Morgane Cadignan)
Drôle, émouvant, sincère et bien rythmé, on emboîte avec plaisir le pas de ces Marcheurs.
Ne frôlant jamais le misérabilisme ni le moralisme, Nabil Ben Yadir réalise un film sur la
tolérance sans en avoir l'air, et c'est tant mieux.
•
Le Canard Enchainé (Sorj Chalandon)
Aucun bon sentiment ne poisse le film de Nabil Ben Yadir. Ni manichéisme ni
angélisme, pas de dame patronnesse en embuscade. L'histoire d'une colère maîtrisée
et d'une dignité féroce.
•
Source: http://www.premiere.fr/film/La-Marche-3662680/%28affichage%29/press
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QUESTIONNAIRE
1.
2.
3.
4.
5.
6.
7.
8.
Quelle est la première image du film ?
Puis on voit une série d’images. Elles sont extraites de quel support ?
De quoi parlent-ils ?
Qui est Yannick Noah ?
Quelle est l’idée qui naît ?
On voit le curé des Minguettes qui demande un service à son vicaire. Que demande-t-il ?
Est-ce que le vicaire est enthousiaste ?
Un beau jour, ils quittent les Minguettes et se rendent à un endroit d’où ils partiront pour la
grande aventure. Qui se joint aux jeunes garçons et au curé ?
9. Est-ce que Monia va faire tout le trajet ?
10. Yazid tombe un peu amoureux de Claire. Pourquoi est-ce qu’elle ne répond pas aux
sentiments des garçons dans la caravane ?
11. Comment les membres de la caravane attirent-ils l’attention du public ?
12. Qu’est-ce que Farid a décidé de faire ?
13. Yazid, Sylvain, Mohammed, Kheira, Monia, Claire, Farid et Christophe Dubois se présentent
dans une petite salle à des visiteurs. De quoi parlent-ils ?
14. Est-ce que l’itinéraire se passe sans incidents ?
15. Au moment où Monia va téléphoner dans un cabine téléphonique elle est agressée. Que se
passe-t-il ?
16. Entretemps un homme un peu drôle est venu les rejoindre. De qui s’agit-il ?
17. En cours de route, pendant la Marche, Christophe Dubois a un malaise. Est-ce que la Marche
est arrêtée ?
18. Est-ce que la presse remarque le phénomène ?
19. A un certain moment, une dame lit une liste avec des noms. De quel noms s’agit-il ?
20. Quand est-ce que les marcheurs arriveront à Paris ?
21. Est-ce un jour de gloire ?
22. Avez-vous aimé le film ? Pourquoi (pas) ?
EXPLOITATION
VOCABULAIRE
1. Indiquez le genre et puis employez les mots dans une phrase.
-
… prison
-
… immeuble
-
… lapin
-
… réunion
-
… immeuble
-
… service
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-
… honte
-
… ventre
-
… peur
-
… message
-
… société
-
… hiver (masc. un hiver rude)
-
… fruit
-
… chaise
-
… aide
-
… parole
-
… lumière
-
… difficulté
-
… cœur
-
… visage
-
… égalité (fém.)
-
… obstacle
-
… croix
-
… soleil
-
… confiance
-
… victime
-
… danger
-
… xénophobie
-
… droit
-
… signe
-
… pote
-
… responsabilité
-
… rigueur
-
… prison
-
… mélange
-
… maçon
-
… plombier
-
… haine
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-
… avenir
-
… discours
-
… complice
2. Introduisez la traduction des mot donnés dans la phrase appropriée.
loodgieter – een vogelverschrikker – metselaar – een kaaswinkel –
-
Pour essayer de chasser les oiseaux dans les vergers, on met des …
-
C’est incroyable ! le nombre de fromages frais de pays différents que l’on trouve dans
cette …
-
.
à Beaune, vraiment inimaginable !
Quel est le métier de son papa ? Il est …
ou …
? – Je ne m’en souviens
pas non plus.
3. Traduisez en français/ en néerlandais.
-
We hebben je hulp nodig. / …
-
Ik ben zeker dat hij het kan doen. / …
-
Niemand mag zwijgen. (! Attention !) / …
-
Cette marche risque de mal se terminer. / …
-
Si on s’arrête, on leur donne raison. / …
-
Vous êtes ingrats. / …
4. Expliquez les expressions suivantes.
-
Un immigré de la deuxième génération : …
-
Cela est hors de question : …
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5. Comprenez-vous le jeu de mots ?
A un certain moment le curé dit ‘Je touche du bois’ et on commence à rire. Pourquoi ?
6. Voici un des discours de Kheira. Mettez les mots donnés là où ils conviennent.
choix – plusieurs – inégalités – face – raison –
indifférence – innocents – main – irréversible
Quand des …
sont lâchement assassinés, il y a évidemment …
façons de réagir. Nous, on a décidé de marcher. Est-ce le bon …
rien, mais dans tous les cas, ma haine serait leur donner …
xénophobie, raison au crime, à l’…
réponse. Stop aux …
? On n’en sait
, raison à la
, à l’insupportable. La haine n’est pas une
sociales, culturelles et civique, il est temps de s’indigner …
à cette banalisation des discours racistes, il est temps que la France accepte notre …
tendue. Nous pouvons changer les choses, ensemble. Il y va de notre avenir, car la haine n’est
pas une réponse, mais elle peut le devenir de façon …
. Au moins, on aura essayé.
7. Du verbe au substantif (indiquez toujours le genre)
Verbe
Substantif
accompagner
-
accueillir
-
agresser
-
aider
-
assassiner
-
attendre
-
changer
-
commencer
-
comprendre
-
connaître
-
conquérir
-
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(pers.)
(pers.)
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décider
-
descendre
-
désobéir
-
déterminer
-
discuter
-
dormir
-
échanger
-
écouter
-
encourager
-
fonctionner
-
gagner
-
grandir
-
haïr
-
installer
-
marcher
-
mélanger
-
mentir
-
obéir
-
partir
-
penser
-
perdre
-
perforer
-
réagir
-
recevoir
-
rencontrer
-
répondre
-
réussir
-
s’habiller
-
s’habituer
-
s’indigner
-
se détendre
-
se réunir
-
se soutenir
-
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(pers.)
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sensibiliser
-
soutenir
-
traverser
-
vivre
-
8. Combinez les éléments de la première colonne avec ceux de la deuxième.
1. la banlieue
a. pacifique
2. un tabassage
b. jours
3. une poitrine
c. voix
4. la désobéissance
d. apolitique
5. dans 15
e. d’arrivée
6. à haute
f. perforée
7. une marche
g. parisienne
8. une croix
h. civile
9. la ligne
i.
10. carte
j. nationale
11. la légitime
k. gammée
12. un meurtre
l. blanche
13. la dimension
raciste
m. sociale et culturelle
14. une inégalité
n. défense
15. une main
o. magique
16. un coup de baguette
p. tendue
17. un marcheur
q. humanitaire
18. une organisation
r. permanent
19.une manifestation
s. émissaire
20. un bouc
t. raciste
1
2
3
4
5
6
7
8
9
10
11
12
13
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16
17
18
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20
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9. Le film se termine par quelques phrases qui résument la situation. Introduisez les
mots donnés là où ils manquent.
aucun – rencontre – certaines – dédié – victimes –
étrangers – combat – malgré – ans – succès – résident
Suite à leur …
avec le Président François Mitterrand, les Marcheurs
obtiendront la carte de …
de 10 ans pour tous les …
Un an plus tard, utilisant le …
?
de la Marche, SOS Racisme sera créé. …
des Marcheurs n’en fera partie. Aujourd’hui encore, les Marcheurs ont le sentiment d’avoir été
dépossédés de leur …
. Trente …
gouvernements successifs, …
Ce film est …
après et …
les
des leurs revendications sont toujours d’actualité.
aux Marcheurs de 1983. A tous ceux qui les ont soutenus, et à
toutes les …
du racisme.
GRAMMAIRE
1. L'accord du verbe avec le sujet. Introduisez les formes verbales à la forme
demandée.
- Ma mère (pleurer, ind. prés. ) …
tous les jours depuis que j’(recevoir, passé comp.) …
une balle.
- Toi, tu les (encourager, ind. prés.) …
.
- Il nous (falloir, ind. prés. ) …
des gens pour nous accueillir, des rencontres, des
échanges.
- C’est pas toi qui (décider, ind. prés.) …
si je (pouvoir, ind. prés.) …
marcher ou
pas.
- Je (connaître, ind. prés.) …
le danger de la xénophobie.
- C’est encore toi qui (parler, ind. prés.) …
- Tu (vouloir, ind. prés.) …
mon avis ? Non, merci, (garder, impératif, sing.) …
- Moi, mon fils, je le (connaître, ind. prés.) …
…
au nom de tout le monde.
-le !
mieux que toi, il ne (pouvoir, ind. prés.)
pas traverser la France à pied.
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- Comme dans toute la France, il (faire, imparfait) …
- Quand ils (être, futur simple) …
très chaud hier soir.
dans la tombe, ils (aller, futur simple) …
- Je ne (pouvoir, fut. simple) …
malheureusement pas marcher avec eux.
- Elle (marcher, fut. simple) …
avec nous jusqu’à Lyon.
- Peut-être qu’à Paris on (être, futur simple) …
- Qui n’en (avoir, cond. prés.) …
encore plus nombreux.
pas marre à leur place?
- On (devoir, cond. prés. ) …
se détendre un peu.
- Que cela (plaire, subj. prés.) …
ou non, on est français.
- Il faut que je (s’y habituer, subj. prés.) …
.
- Il faut qu’on (pouvoir,subj. prés.) …
discuter avec les gens dans les villes.
- Nos parents (vivre, passé comp.) …
- J’(être, passé composé) …
grandir.
ça toute leur vie.
dans le doute, on (tous être, passé comp.) …
dans le doute.
2. Remplacez les mots soulignés par le pronom personnel qui convient.
-
J’envoie de l’argent à mes parents. …
-
J’envoie de l’argent à mes parents. …
3. Introduisez la forme correcte de ‘tout’.
-
Comme dans …
-
Nos parents ont vécu ça …
-
Je ressens la honte …
les jours.
-
On doit passer dans …
les grandes villes de France.
-
Le racisme, on le vit …
-
On est fiers d’être ici avec vous, vous …
-
Il n’a pas de prix, ce camion, c’est …
-
Il faudrait une carte unique pour …
-
C’est encore toi qui parles au nom de …
-
Je salue la France de …
-
Est-ce qu’on a réglé …
-
Est-ce qu’on a répondu à …
-
J’espère qu’on aura …
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la France, il faisait très chaud hier soir.
leur vie.
les jours.
, merci, merci !
ma vie.
les immigrés valable 10 ans.
le monde.
les couleurs.
les problèmes ?
les questions ?
la force de bouger.
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DIVERS
•
A faire éventuellement avant le visionnement du film :
Regardez attentivement les différentes affiches de ce film. Vous y trouverez un tas
d’infos sur ce que le film promet. A quoi pensez-vous pouvoir vous attendre ? Pourquoi le
pensez-vous ?
•
Regardez ces stills et racontez ce que vous voyez. Pouvez-vous également situer
ces extraits dans la chronologie du film ?
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•
Au début du film on entend une chanson. Elle est de Charles Trenet, ‘Douce
France’. Pourquoi cette chanson ? Est-ce que cette chanson représente ce dont on
chante pour les jeunes qu’on voit lors des premières images du film ?
Il revient à ma mémoire
Des souvenirs familiers
Je revois ma blouse noire
Lorsque j'étais écolier
Sur le chemin de l'école
Je chantais à pleine voix
Des romances sans paroles
Vieilles chansons d'autrefois
Douce France
Cher pays de mon enfance
Bercée de tendre insouciance
Je t'ai gardée dans mon cœur!
Mon village au clocher aux maisons sages
Où les enfants de mon âge
Ont partagé mon bonheur
Oui je t'aime
Et je te donne ce poème
Oui je t'aime
Dans la joie ou la douleur
Douce France
Cher pays de mon enfance
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Bercée de tendre insouciance
Je t'ai gardée dans mon cœur
J'ai connu des paysages
Et des soleils merveilleux
Au cours de lointains voyages
Tout là-bas sous d'autres cieux
Mais combien je leur préfère
Mon ciel bleu mon horizon
Ma grande route et ma rivière
Ma prairie et ma maison.
Douce France
Cher pays de mon enfance
Bercée de tendre insouciance
Je t'ai gardée dans mon cœur!
Mon village au clocher aux maisons sages
Où les enfants de mon âge
Ont partagé mon bonheur
Oui je t'aime
Et je te donne ce poème
Oui je t'aime
Dans la joie ou la douleur
Douce France
Cher pays de mon enfance
Bercée de tendre insouciance
Je t'ai gardée dans mon cœur
Ecoutez la chanson : http://www.youtube.com/watch?v=Iit3Kabs7QA
•
Cette histoire est basée sur un événement historique datant de 1983. Cela veut dire qu’il
y a déjà combien d’années ? …
Est-ce que depuis, le racisme a diminué ? Argumentez
votre réponse à l’aide de faits historiques. Pensez aux Juifs, aux Musulmans, …
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