DONNER SON SANG

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DONNER SON SANG
ФРАНЦУСКИ КАО Ц ЈЕЗИК
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DONNER SON SANG
Le don du sang est indispensable pour sauver des vies. Mais qui peut le faire et dans
quelles conditions ? Il faut être en bonne santé, peser au minimum 50 kg et être âgé d’au moins
18 ans. Les mineurs peuvent faire un don en cas d’urgence, avec leur accord et celui de leurs
parents.
Vous ne pourrez pas faire de don si vous avez bénéficié d’une transfusion, quelle qu’en
soit la date ; en cas de séjour au Royaume-Uni d’au moins un an entre 1980 et 1996 ; et si vous
êtes susceptible de transmettre par le sang une bactérie, un virus ou un parasite entraînant des
maladies.
Dans certains cas, il faut attendre un certain temps avant d’effectuer un don du sang : 2
semaines après la fin des symptômes d’une maladie virale ; 4 mois après un piercing ou un
tatouage ; 6 mois après un accouchement ; de 7 jours à 4 mois après une opération chirurgicale ;
4 mois après le retour d’un pays où règne la malaria.
Avant le prélèvement, il est essentiel d’avoir mangé (les graisses et les boissons alcoolisées
sont à éviter dans les heures qui précèdent). Un médecin pratique un examen et pose un certain
nombre de questions au donneur. Il est important de signaler tout détail oublié lors de l’entretien
dans les heures qui suivent et jusqu’à 15 jours après le prélèvement. Toute anomalie découverte
lors de l’analyse du sang du donneur lui sera signalée.
Après le prélèvement, il faut observer un court repos, sous surveillance médicale. Une
légère collation est offerte par le centre de prélèvement.
Les adultes ayant moins de 50 kg peuvent donner leur sang.
Les personnes âgées moins de 18 ans peuvent donner leur sang avec
l’accord de leurs parents.
Les bénéficiaires de transfusions peuvent donner leur sang un an après
la transfusion.
Les personnes ayant habité pendant six mois en Angleterre, en 1992,
peuvent donner du sang.
Les personnes ayant un piercing ou un tatouage peuvent donner leur
sang.
Il est interdit de manger avant le prélèvement.
Il est interdit de boire du vin avant le prélèvement.
Le donneur de sang doit être examiné par un médecin avant le
prélèvement.
Le donneur de sang peut partir tout de suite après le prélèvement.
Le centre de prélèvement offre un grand dîner au donneur.
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КЉУЧ ЗА РЕШЕЊЕ ЗАДАТКА:
Les adultes ayant moins de 50 kg peuvent donner leur sang.
Les personnes âgées moins de 18 ans peuvent donner leur sang avec l’accord
de leurs parents.
Les bénéficiaires de transfusions peuvent donner leur sang un an après la
transfusion.
Les personnes ayant habité pendant six mois en Angleterre, en 1992,
peuvent donner du sang.
Les personnes ayant un piercing ou un tatouage peuvent donner leur sang.
Il est interdit de manger avant le prélèvement.
Il est interdit de boire du vin avant le prélèvement.
Le donneur de sang doit être examiné par un médecin avant le prélèvement.
Le donneur de sang peut partir tout de suite après le prélèvement.
Le centre de prélèvement offre un grand dîner au donneur.
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TRADUIRE EN SERBE LE TEXTE SUIVANT:
Une miraculeuse plante antidouleur découverte
SELON UNE ÉTUDE - Des chercheurs de l'Inserm ont découvert dans les racines d'un
arbuste africain un médicament qui existait déjà dans le commerce sous forme d'un
analgésique de synthèse.
Les propriétés du Nauclea latifolia n'étaient connues jusqu'ici que par les guérisseurs africains.
Ce petit arbuste abondamment présent dans toute l’Afrique subsaharienne attire désormais
l'attention de la médecine occidentale. Et pour cause : la plante est un analgésique à elle toute
seule. Dans une étude publiée dans le journal de chimie Angewandte Chemie, des chercheurs de
l'Inserm viennent de mettre en lumière ce potentiel en y découvrant une quantité importante de
molécules antidouleur.
Fièvre, paludisme, douleur... ses bienfaits étaient déjà reconnus en Afrique contre ces
pathologies. Après analyse d’un extrait d’écorce de racines, les chercheurs de l'Inserm ont réalisé
que la substance active responsable de ces effets n'est autre que le Tramadol. Ce composant, très
largement utilisé comme analgésique, existe déjà dans le commerce sous une forme synthétique.
En clair, les laboratoires pharmaceutiques ont élaboré sans le savoir un médicament de synthèse
qui existait dans la nature depuis des lustres.
Des effets moins prononcés que la morphine
"Le plus surprenant pour nous a été de constater que cette molécule ne nous était pas inconnue.
Elle était identique au Tramadol, un médicament de synthèse mis au point dans les années 1970
et utilisé couramment dans le traitement de la douleur, explique Michel De Waard, directeur de
recherche à l’Inserm. Ce traitement est utilisé dans le monde entier car ses effets secondaires,
notamment de dépendance, sont moins prononcés que ceux de la morphine, dont il est dérivé",
ajoute-t-il.
Pour tester l'efficacité de ce composé naturel, les chercheurs ont fait parvenir les analyses à trois
laboratoires différents. Tous ont confirmé l’authenticité de cette origine naturelle. "Tous les
résultats convergent et confirment la présence de Tramadol dans l’écorce des racines de Nauclea
latifolia. A l’inverse aucune trace de la molécule n’a pu être détectée dans la partie aérienne de
l’arbuste (feuilles, tronc et branches)", ajoute Michel De Waard.
Gare aux risques de dépendance
D’un point de vue quantitatif, la concentration de Tramadol dans les extraits d’écorce séchée est
de 0,4 % et de 3,9 %, soit des niveaux très élevés de principe actif. Les chercheurs voient dans
cette découverte un bénéfice majeur pour les populations locales. Outre la médecine
traditionnelle (sous forme de décoction d’écorces de racines), les habitants pourraient ainsi
accéder à une source de traitement de bon marché. D'autant qu'il existerait plus de dix espèces
différentes de cette plante.
"Nous pourrions imaginer refaire les mêmes tests afin de déterminer la présence ou non de
Tramadol selon les espèces", conclut Michel De Waard. Mais ce dernier se fait néanmoins
prudent sur les perspectives de ce médicament naturel. Depuis sa commercialisation, le Tramadol
est classé dans la catégorie des opiacés, au même titre que la morphine. La consommation des
racines de cette plante ne fait donc pas exception en ce qui concerne les risques de
pharmacodépendance.