Un tout est rien - Raconter la vie

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Un tout est rien - Raconter la vie
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J’ai pas les mots.
J’ai pas les mots pour te dire à quel point tu es beau.
J’ai pas les mots pour te dire à quel point j’ai mal.
J’ai pas les mots non plus pour te dire à quel point je t’aime.
J’arrive plus à mettre des mots sur mes maux. Je veux que tu reviennes.
Et sur un air de piano, je laisse les larmes couler sur la photo que j’ai de toi.
Et sur un air de piano, je hurles à la mort, en attendent que le mal passe.
Je te regarde t’éloigner, sans pouvoir te rattraper.
Je te regarde tomber, sans pouvoir te relever.
J’ai besoin de toi, je te veux toi, mais tu t’en vas.
Ton absence et comme une lame qui entaille mon cœur.
J’ai l’impression, que tu as volé Mon cœur, mon rire, mon âme, mon sourire.
Je regarde le ciel et je ne vois pas de nuage, je vois seulement ton visage.
Tes rentrés dans ma vie et directe tu es repartis, comme un mirage, laissant juste de
l’eau sur mon visage.
Le soleil, la lune.
La jeunesse, la vieillesse.
Le blanc, le noir.
Le jour, la nuit.
Ils sont si différent, mais au fond aucun ne va sans l’autre. Ils sont différent, mais
ils se complètent. Ils sont diffèrent et pourtant ils créent ensemble le monde qu’on
connait.
La différence, la maladie ne sont que des mots. Pourquoi, tu les laissent faire de nos
rêves d’avenir un brouillard ? Pourquoi tu laisses remplir l’eau dans mon regard ?
Pourquoi dans le miroir je vois plus que mes restent ? Pourquoi j’ai mal comme ça ?
Vivre ce n’est pas ça, être seul et attendre que viennes ta fin.
Tu laisses cette maladie nous séparer. Tu l’as laisses te détruire et me détruire.
J’ai pas les mots pour te dire à quel point le monde sans toi ne vaut pas le coup
d’être vu. J’ai pas les mots pour de te dire que sens toi je suis perdu.
Tu sais j’aimerais te dire que je n’ai pas peur, j’aimerais te dire que sur mon visage y
auras toujours un sourire. Que jamais tu me feras souffrir. J’aimerais que je ne
t’aime pas plus qu’un ami. Te dire que la vie sans toi est belle. Que mes ailes sont
encore là. Mais se serais te mentir. Je ne vais pas bien, reviens. Allez y à pas avoir
peur, je t’aime toi avec tes défauts , tes erreurs. Sèche mes pleurs, réchauffe mon
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cœur. Prend ma main, dégèle mon âme. Comme avant.
J’ai plus de rêve, car tu étais celui-ci. J’ai pas d’avenir, sans toi je vois pas de futur.
J’ai plus de sourire, plus de raison, plus rien. Mon univers s’enfuis, oui il te suis. Le
bonheur s’en vas, accroché à tes bras. Mon amour pour toi s’accroche encore, et
cet idiot, il me lâche pas, il tiens bon. Je voudrais courir, te rattraper. Je voudrais
courir te retenir prisonnier au creux de moi pour l’éternité. Je voudrais marcher
jusqu’au bout du monde juste pour un dernier baisé. Je voudrais te décrocher une
étoile si seulement tu revenais. Je voudrais mourir mes avant te voir un dernière
fois. Je voudrais que tu élève cet enfant avec moi, vieillir à tes cotés. Je voudrais
seulement voir ton sourire au moins une dernière fois. Et pour te dire tout ça, pour
retenir ton bras. pour t’empêcher de partir j’ai pas les mots qu’ils faut.
J’ai pas les mots alors je me tais, j’ai pas les mots alors je te regarde tant aller.
Je sais pas où tu pars, ni quand tu reviendras.
Je sais pas si tu m’aime encore, ni si tu pensera à moi.
J’ai le cœur près du trépas, et ma question c’est comment vivre sans toi. Je sens la
mort à deux pas, je veux te retenir mais j’y arrive pas. Je veux tes lèvres, tes yeux,
ton cœur, tes bras, ton corps. Je veux tes mots, pour rendre nos rêves plus beau.
Décris moi le monde où l’univers comme avant. Fais le comme tu veux en prose ou
en vers. Je t’en pris reviens et fais moi voyager sans bouger. Reviens et raconte lui à
ce petit qui vies dans mon ventre des histoires de voyage dans le ciel, de combat de
dragon, et de pirate. Reviens, reviens, reviens, et trouves ses mots qui ne veulent
pas sortir pour d’écrire l’amour que je te portes.
Reviens et sèche mes larmes. Je t’en pris toi qui fais battre mon cœur reviens, et
prend ma main au creux de la tienne.
Je t’aime Au-delà de tout, Je t’attendrais des siècles. Je t’attendrais , car ma vie sans
toi n’est qu’un mirage. Ma vie sans toi, n’es pas possible. Tu es ma vie ! Le soleil qui
éblouis mes pas. La nuit qui crée mes rêves. Le paradis qui me fait sourire.
L’hommes qui me fait rire ou souffrir. Je t’appartiens et je trouves pas les mots, non
je trouves pas le courage pour te le dire.
Chapter One !
Je viens tout juste de finir le prologue de ma vie.
Le décor et placé, les personnages y sont entrée.
J’écris mon histoire, essayant de laisser couler l’encre pas les larmes. Entre larmes y
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rire, je trace des lettres, qui deviendront des mots. J’ai incendié des pages entière,
qui sans cesse revienne. Ces moments impossible à oublier. J’ai rayer des noms,
effacer des mots comme innocence et insouciant. Je viens de finir le prologue. Mes
doigts prenne de l’assurance ça va de plus en plus vite. Je commence à trouver les
buts. Évitant les répétitions, de cette routine encerclant. Je commence à peines à
écrire. Le temps presse, je n’ai que le chapitre un. Je même pas à la moitié du
bouquin. J’écris le Chapitre un, esitante, la main tremblante serré sur ma plume
chétif. Il faux essayer. Je suis au premier, de cet vie . Il faut que je me face une idée
que je m’entraîne. Tout ne fais que commencer #Phénix
Il est temps de larguer les amarres.
Il est temps de déployer ses ailes.
Aller plus haut, aller plus loin.
Il est temps de vivre vraiment.
Au jours le jours comme si on mourait demain.
Vivre, et rire jusqu’à la fin.
Il est tant d’être libre et de briser ses chaîne.
Il est temps d’être quelqu’un. Il est temps d’être vivant !
©#Phénix
Ecrire c’est comme une mélodie. Les mots comme des notes. C’est enivrant. J’aime
la douce symphonie de ma plume qui gratte sur le papier #Phénix
...B E L I E V E...
Crois en tes rêves.
Fais tes propres choix.
La peine ne te laisseras pas de trêve.
À toi de les laissé de coter et d’aller tout droit.
À toi de regarder les cieux.
Fais en sorte que la magie brille dans tes yeux.
Continue d’avancer malgré les coup bas.
continue de croire et de vivre même si cela ne vas. ©#Phénix
#Phénix
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