Orange et Swisscom concurrents sur la distribution de l`iPhone en

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Orange et Swisscom concurrents sur la distribution de l`iPhone en
La Lettre Innovation, Nouveautés, Evènements, et Pratiques des TI
N° 08/2
08/21 26 Mai 2008
La pensée de la semaine
«L'humour est la forme la plus saine de la lucidité.»
Jacques Brel
Orange et Swisscom concurrents sur la distribution de l'iPhone en Suisse
http://www.reseaux-telecoms.net/actualites/lire-orange-et-swisscom-concurrents-sur-la-distribution-de-l-iphone-en-suisse-18169.html
Orange annonce dix nouveaux pays qui tombent dans son escarcelle pour la distribution de l'iPhone d'Apple. Seul hic,
Swisscom a également signé avec Apple pour la distribution de l'iPhone en Suisse, comme Orange.
Orange annonce la signature d'un nouvel accord avec Apple l'autorisant à commercialiser l'iPhone dans 7 nouveaux pays en Europe
(Autriche, Belgique, Pologne, Portugal, Roumanie, Slovaquie, Suisse). De même, il vendra ce terminal au moyen orient (Egypte,
Jordanie), en République Dominicaine, ainsi que sur les marchés africains (7 pays) dans le courant de l'année.
Concurrence avec Swisscom Reste que l'opérateur mobile Swisscom a également annoncé avoir signé avec Apple un contrat portant
sur la vente de l'iPhone, qui sera lancé en Suisse cette année. Décidément, après le cas de l'Italie, où Vodafone et Telecom Italia
distribueront l'iPhone, la Suisse sonne la fin du modèle de distribution exclusive porté par Apple jusqu'alors.
pétaflop
p
IBM peaufine le premier supercalculateur à un pétaflo
http://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-ibm-peaufine-le-premier-supercalculateur-a-un-petaflop-26052.html
Un mois avant que ne paraisse le Top 500, le classement recensant les supercalculateurs les plus puissants de la planète, IBM met la
touche finale à Roadrunner. La machine devrait être la première de l'histoire à franchir la barre du petaflop (soit un million de milliards
d'opérations par seconde), doublant ainsi la puissance du supercalculateur aujourd'hui le plus rapide.
Roadrunner sera installé au sein du Laboratoire national de Los Alamos, aux Etats-Unis, et servira à des simulations dans les domaines de
la sécurité intérieure, l'armement nucléaire et les changements climatiques. Selon John Morrison, qui dirige la division du calcul haute
performance (HPC) à Los Alamos, il ne faudra qu'une semaine au supercalculateur pour résoudre des calculs qui auraient demandé vingt
ans de travail à la machine la plus puissante en 1998.
Un savant mélange d'Opteron et de Cell Si Roadrunner parvenait à passer le cap du petaflop ce mois-ci, il détrônerait BlueGene,
une autre création IBM, au sommet du Top500 à paraître le 17 juin. Les machines BlueGene trustent les premières places du podium
depuis novembre 2004 et la première affiche une puissance de 478 Tflop au dernier classement.
Il y a 22 ans, une machine franchissait pour la première fois la barre du gigaflop. Onze ans plus tard, c'était au tour du teraflop d'être
dépassé. Cet enchaînement régulier de records pourrait donc perdurer avec Roadrunner.
Pour atteindre cette puissance, IBM a associé des processeurs Opteron d'AMD à ses puces Cell, développées en collaboration avec
Toshiba et Sony, et initialement utilisées dans la console PlayStation 3 de ce dernier. « Les processeurs Cell ont été conçus pour des
calculs intensifs dans le domaine des jeux vidéo. Ce qui fait leur force pour le jeu constitue aussi leur atout pour un supercalculateur»,
indique Don Grice, chef de l'ingénierie sur le projet Roadrunner. IBM avait déjà réalisé des tests avec des lames Cell en 2006 dans le
supercalculateur MareNostrum installé près de Barcelone. Et une nouvelle version de ces serveurs vient tout juste d'être annoncée.
La machine nécessite une puissance électrique colossale de 3,9 MW pour alimenter ses 6 948 Opteron et 12 960 Cell. Elle embarque 80
To de mémoire vive et occupe une superficie de 557 m².
Drones de bêtes : des insectes robots pour l'armée américaine
http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/54675.htm
Un essaim d'insectes robotisés, capables de suivre les traces de l'ennemi dans des bâtiments et des grottes, de transporter des minibombes et d'identifier des armes chimiques, nucléaires ou biologiques, est en cours de développement au sein des laboratoires de BAE
Systems en partenariat avec diverses universités américaines pour équiper certaines unités de terrains de l'armée américaine.
Semblant tout droit sortis d'un film de science fiction, ces insectes sont construits sur le
modèle et la taille d'insectes réels tels que des araignées ou des libellules. Des
prototypes assez petits pour tenir sur le bout d'un doigt ont déjà été fabriqués,
notamment une mouche de 28 grammes et 30 mm d'envergure. Ses articulations
ultralégères en carbone permettent à cette mouche de simuler de façon très précise les
mouvements d'une vraie mouche en produisant 110 battements d'aile par seconde.
Alimentés par batteries, les insectes ne seront pas télécommandés par les soldats mais
seront munis d'une intelligence artificielle capable de les faire évoluer en équipe ou de
façon autonome. Ils pourront trouver leur propre chemin et communiquer entre eux et
transmettront aux soldats les informations recueillies sur le terrain.
Les concepteurs espèrent que la manne de données additionnelles disponibles grâce à leurs insectes offrira aux soldats un meilleur
diagnostic des positions ennemies et permettra ainsi de sauver des vies, du moins du côté des possesseurs des insectes.
Une utilisation civile de ces essaims de robots est également envisagée, notamment dans des cas d'opérations de recherche et de
sauvetage suite à des effondrements de bâtiments ou de mines.
Un canular sur MySpace tourne au drame
http://tempsreel.nouvelobs.com/actualites/international/ameriques/20080516.OBS4118/un_canular_sur_myspace_tourne_au_drame.html
Un groupe d'adultes a créé sur le site de socialisation le profil fictif d'un jeune garçon dans le but de séduire une
adolescente de 13 ans, puis de la repousser. La jeune fille s'est suicidée. Une mère de famille a été inculpée.
Une mère de famille américaine a été inculpée, jeudi 15 mai, pour son rôle présumé dans un canular sur le site de socialisation MySpace
qui s'est terminé par le suicide d'une adolescente de 13 ans croyant avoir été repoussée par un garçon qui n'a jamais existé.
Un grand jury fédéral de Los Angeles a inculpé Lori Drew, 49 ans, pour complot et accès "sans autorisation" au réseau de MySpace "dans
le but d'infliger une souffrance émotionnelle à la jeune fille". Elle encourt jusqu'à 20 ans de prison.
"La femme adulte a utilisé l'internet contre une fille innocente avec des conséquences horribles", a déclaré le procureur de Los
Angeles Thomas O'Brien, lors d'une conférence de presse.
"Tout adulte qui utilise l'internet ou un site de socialisation pour brutaliser quelqu'un d'autre, particulièrement une adolescente
vulnérable, doit savoir que cela a des conséquences très sérieuses", a-t-il dit.
Cette mère de famille faisait partie d'un groupe d'adultes qui prétendaient être un garçon de 16 ans, baptisé "Josh", sur le site de
MySpace, selon les procureurs. La jeune fille avait rencontré "Josh" après avoir ouvert un compte sur MySpace en 2006.
"Très rapidement, Josh lui disait qu'elle était sexy", a dit M. O'Brien, et "le flirt a duré pendant trois semaines".
Mais "Josh" a rompu cette relation virtuelle et a envoyé un message à l'adolescente lui disant que le monde se porterait mieux sans elle,
selon les procureurs. Une heure après avoir reçu ce message, la jeune fille s'est pendue dans sa chambre.
Selon la chaîne ABC, l'adolescente connaissait la fille de Lori Drew, dont elle était voisine dans le Missouri (centre) et avec laquelle elle
s'était disputée. Lori Drew et ses complices ont utilisé l'ordinateur personnel de la mère de famille en vue de "torturer, harceler,
humilier et perturber" la jeune fille, selon l'acte d'accusation.
Elle avait effacé le profil de "Josh" après avoir appris que la jeune fille s'était pendue, selon les procureurs.
"MySpace ne tolère pas la brutalisation par internet et coopère pleinement avec le procureur fédéral sur ce dossier", a dit MySpace dans
une réponse écrite à l'AFP.
"Cette adulte s'est cachée derrière des cyber-murs dans le cyber-espace", a dit le directeur adjoint du FBI Salvador Hernandez lors d'une
conférence de presse, ajoutant: "elle est redevable de ce qui s'est passé. Ces actions sont cruelles et injustifiées". (AFP)
Thalys launches wireless Internet on its highhigh-speed trains
http://www.technologyreview.com/Wire/20776/?nlid=1075
Thalys, the high-speed railway network connecting Brussels, Paris, Amsterdam and Cologne, on Wednesday launched wireless broadband
Internet on board its trains.
Initially, some 25 % of Thalys trains will offer wireless access, with all 26 train sets equipped with Wi-fi by October, the company said.
Thalys is the first operator offering Wi-fi access on cross-border high-speed trains. ''With Wi-Fi we aim to better compete with airlines
offering flights between Paris, Amsterdam and Cologne,'' said Jean-Michel Dancoisne, CEO of Thalys.
Passengers in 2nd class will pay €6.50 for an hour of Wi-fi connection or €13 for the entire trip. The service will be free for 1st class.
Dancoisne did not reveal how much Thalys paid to launch the system. He said the investment costs had already been calculated into
current ticket prices.
The system, implemented and managed by a consortium led by Nokia-Siemens Networks, has been launched after three years of
research and trials. On the first day, Internet coverage was patchy in or near big cities and in tunnels. Paul Broekhuizen, director of the
consortium, said it was fine-tuning the service and eliminating blind spots.
Thalys, one of Europe's most popular high-speed train networks, transported 6.2 million passengers in 2007 between stops in Belgium,
France, the Netherlands and Germany.
Bill Gates : « Windows 7 réclamera moins de ressources que Vista »
http://www.zdnet.fr/actualites/informatique/0,39040745,39381031,00.htm?xtor=EPR-101
Avec Windows 7, Microsoft ne veut pas répéter les erreurs commises avec Vista. Bill Gates a donné comme axe de
développement : un OS moins gourmand en mémoire et en énergie, doté de la technologie de partage Live Mesh.
Alors que l'objectif avec Vista était de fournir un OS très sécurisé, synonyme d'alertes intempestives et requérant d'importantes
ressources système, le développement de Windows 7 prend un chemin différent.
Selon les dires de Bill Gates, Windows 7, attendu pour le début de 2010, devra être moins consommateur d'énergie, pour être en
conformité avec la tendance Green IT, et moins gourmand en mémoire.
« Je suis très enthousiaste au vu du travail qui est fait. Moins d'énergie nécessaire, moins de mémoire utilisée, plus d'efficacité, et
beaucoup plus de liens avec les téléphones mobiles. Tous ces critères réunis vont permettre de créer une très bonne plate-forme », a-t-il
déclaré lors d'un récent voyage à Tokyo. La retranscription de son intervention vient d'être publiée sur le site de Microsoft.
L'éditeur semble donc avoir entendu les critiques de bon nombre de clients, surtout en entreprises, qui rechignent à passer à Vista
car l'OS réclame des configurations trop élevées, impliquant de mettre à jour leur parc informatique de manière significative.
Rappelons que pour tirer partie des fonctionnalités de Vista, comme ses nouveaux graphismes Aero, il faut, selon Microsoft, disposer au
minimum d'un processeur cadencé à 1 GHz, de 1 Go de mémoire et d'une carte graphique intégrant 128 Mo de mémoire compatible
DirectX 9, un disque dur de 40 Go avec 15 Go d'espace disponible. En pratique, cette configuration doit plutôt être doublée pour atteindre
un réel confort d'utilisation et faire tourner des jeux dans de bonnes conditions.
Bill Gates précise que Windows 7 doit permettre « d'avoir accès, via internet, à tout ce que l'on fait. Par exemple, si l'on dispose de deux
ordinateurs, synchroniser les fichiers automatiquement, sans avoir à envoyer ses fichiers d'une machine à l'autre constamment ».
Un principe déjà à l'ébauche avec le projet Live Mesh (voir photo ci-dessous), qui permet de partager des fichiers entre son PC de
bureau, son ordinateur portable et éventuellement un téléphone mobile. Les données sont hébergées par Microsoft et synchronisées
entre les différents équipements. L'éditeur place cet outil au coeur de sa nouvelle stratégie web.
Le cofondateur de Microsoft a enfin indiqué que plus de 140 millions de PC équipés de Vista ont été vendus dans le monde.
Quand le vide laisse place à un trop plein technologique
http://www.atelier.fr/usages/4/15052008/vide-trop-plein-seligmann-36549-.html
S'est-on un jour interrogé sur nos motivations profondes concernant les nouvelles technologies ? Réseaux sociaux,
surfing, télévision, mobile : ne seraient-ils pas seulement là pour combler un vide ?
Par François Seligmann, directeur de projet chez Orange France
Evidemment il est aisé de répondre que tout ce magma d’usages bien différents correspond à la mise en relation réelle, virtuelle ou à un
rapport de divertissement. Evidemment encore, l’histoire nous apprend que tout est parti d’un usage professionnel, voire militaire pour
finir dans nos salons, nos bureaux ou la chambre de nos enfants. Evidemment l’utilisation individuelle supplée souvent l’utilisation
collective mais... Ce qui est frappant c’est la rapidité avec laquelle ces moyens se développent dans les pays développés. Songez qu’il a
fallu vingt-cinq ans pour passer du disque 75 tours au 33 tours et moins de quinze ans pour passer du 33 tours au CD. En moins de dix
ans, ce marché a connu une nouvelle rupture avec l’arrivée du peer to peer.
Des évolutions à vitesse grand V Ce qui est tout aussi marquant, c’est la part prise dans le budget des ménages français de
l’ensemble de ces dépenses puisqu’elle a plus que doublé en une génération. Alors évidemment la rupture majeure du pseudo gratuit va
sans doute dans les années à venir stabiliser cette part. Mais le plus riche d’enseignement sociétal est ailleurs. Derrière cette illusion
libertaire du tout gratuit qu’ont fortement animé et agité les pionniers du net, il y a le trop plein. Comme si après le trop plein de paroles
des années post 68, il y avait maintenant le trop plein d’échanges et de mises en relation réelles ou de contenus.
Trop d'offres ? Combien de contacts ai-je sur Facebook ? Combien de chaînes est-ce que je peux aujourd’hui regarder avec une
parabole satellite ? Combien de titres mon I POD 8Go peut-il stocker ? Comme pour le moment les journées d’un humain ne font que 24
heures, il serait sans doute utile de se demander si ce trop plein rendu possible par le numérique ne cache pas la peur du vide, du
silence, de la lenteur et de la réflexion. Comme l’indiquait Coluche : "On n’a pas le choix, on n’a que l’embarras".
Un site pour choisir ses vacances en un coup d'œil
http://www.01net.com/editorial/380209/un-site-pour-choisir-ses-vacances-en-un-coup-d-oeil/
http://www.vacancesvuesduciel.fr/Accueil.aspx
Le portail « Vacances vues du ciel » utilise des photos aériennes de l'IGN pour visualiser la région des hébergements
proposés ainsi que les attractions alentour.
Prenez des annonces de locations de vacances, associez-les à une application cartographique de type Google Earth, ajoutez-y des
informations touristiques en tout genre, des commentaires d'internautes : vous obtiendrez « Vacances vues du ciel ». Ce nouveau site
exploite des ingrédients déjà éprouvés en matière de tourisme en ligne. Mais son originalité est de les réunir tous pour proposer aux
internautes un service complet : trouver une location de vacances en visualisant la région et les activités alentour par image satellite.
« Vacances vues du ciel » se comporte avant tout comme un moteur de recherche d'offres d'hébergement (par ville, date, prix...). Il est
alimenté pour le moment par une dizaine de réseaux, comme les résidences Pierre & Vacances, Maeva ou TousEnFrance.com. S'y
ajouteront dans les prochains jours des centrales de réservation d'hôtels ou encore le réseau des Gîtes de France.
Chaque hébergement est positionné sur le système cartographique NeoGlobe, développé par la société Itelios. Très proche de Google
Earth, il permet de parcourir les quatre coins de la France et de zoomer à volonté sur la zone de son choix. Les images satellite sont
fournies par l'IGN, « beaucoup plus précises que Google pour la campagne française », indique Olivier Masselis, fondateur du site.
L'utilisateur visualise ainsi l'environnement (comme « vu du ciel ») de son futur hébergement, la location elle-même (par le biais d'une
vignette descriptive) mais aussi les sites touristiques voisins (grotte, monument, parc naturel...). Ceux-ci sont également représentés
sous forme de vignette, ainsi que diverses informations pratiques et commerciales (transports, activité sportive à proximité, restaurant...).
Certaines sont alimentées et commentées par des internautes eux-mêmes via des services communautaires comme DisMoiOu.fr.
« Vacances vues du ciel » bénéficie d'une navigation cartographique très fluide, mais le site souffre de quelques défauts de jeunesse en
matière d'ergonomie. Son concept n'en est pas moins très prometteur. Le site doit également enrichir rapidement son offre
d'hébergements pour ne pas rater son départ. « Nous devrions recenser 12 000 hôtels d'ici à la fin du mois de mai et signer avec d'autres
partenaires, comme Opodo et des réseaux de locations de particuliers », ajoute le fondateur.
L'ouverture de session se fait à la tête du client
http://www.atelier.fr/applications/10/16052008/xid-technologies-lance-solution-identification-faciale-ouverture-session-ordinateur-36558-.html
XID Technologies lance un logiciel de reconnaissance faciale permettant une identification biométrique sur les
ordinateurs personnels. Cette offre multi-utilisateurs est destinée à un large public.
Les applications de reconnaissance faciale ne sont pas réservées qu'aux professionnels. XID Technologies propose depuis début mai une
solution logicielle permettant de s'identifier à l'ouverture d'une session personnelle sur ordinateur, ce à partir d'une simple webcam.
Destiné au grand public - il s'agit d'un shareware accessible à l'essai pour une durée de trente jours ou vendu au prix de 19 dollars -, ce
système se veut un moyen aisé et surtout rapide de se logger sur un poste informatique. Adaptation de la technologie de reconnaissance
visuelle de la marque, Log On Xpress est utilisable indifféremment au bureau et à domicile.
Un système adaptable Le niveau de sensibilité du système peut-être configuré par l'utilisateur. Une option qui permet d'améliorer la
précision de la détection en fonction des conditions de luminosité relevées sur le lieu d'usage. En outre, si la lumière ambiante est trop
faible pour un login par voie visuelle, Log On Xpress propose un mode d'identification conventionnel via un code personnel défini lors de
la création du compte utilisateur. A noter : la technologie de reconnaissance faciale intégrée à Log On Xpress s'est vu décerner un prix de
l'innovation aux Etats-Unis. Trois versions packagées devraient d'ailleurs prochainement être lancées sur le marché.
Développements à venir "Face LogOn Advanced offrira plus d'options et de capacités que la suite classique Xpress, tandis que Face
LogOn Ultimate inclura un contrôle d'accès biométrique spécialement conçu pour la protection des données ultrasensibles", déclare
Fraznçois Belot, directeur marketing pour XID Technologies. Le logiciel est pour l'heure disponible en anglais et en chinois, et devrait
bientôt être décliné en versions française, allemande, japonaise et espagnole. Rappelons que la société fournit notamment des solutions
de reconnaissance destinées aux téléphones mobiles et aux accès physiques - portes automatiques, portiques de sécurité, etc.
Firefox 3 RC1 : la version quasi finalisée du navigateur de Mozilla est disponible
http://www.zdnet.fr/actualites/internet/0,39020774,39381110,00.htm?xtor=EPR-102
La Mozilla Foundation vient de publier une version quasi finalisée de Firefox 3 : la « première Release Candidate » (RC1), disponible pour
tous ceux qui souhaitent essayer le navigateur (téléchargeable dans la logithèque de ZDNet.Fr). Cette étape est destinée à permettre aux
équipes de Firefox de tester les dernières fonctionnalités, à la recherche des derniers bugs.
Parmi les principales nouveautés de Firefox 3 : un nouveau gestionnaire de téléchargement, un outil anti-phishing amélioré ou encore
une barre d'adresse remodelée (voir la liste complète en anglais). Mais surtout, les développeurs de la Mozilla Foundation se sont
attachés à améliorer la rapidité d'affichage des pages web et à diminuer la consommation en mémoire vive du navigateur, l'un des
principaux défauts de Firefox 2.
La version finale est prévue courant juin, même si d'autres Release Candidate sont possibles avant le lancement officiel.
Asus dope le démarrage de ses PC avec Linux sur la carte mère
http://www.zdnet.fr/actualites/informatique/0,39040745,39381113,00.htm?xtor=EPR-100
Les PC du constructeur taïwanais vont être progressivement équipés d'une solution de démarrage rapide. Embarquée sur leur carte mère,
elle est basée sur Linux et permet d'accéder en quelques secondes aux applications web basiques, sans lancer l'OS.
Faire démarrer sa machine en quelques secondes pour accéder presque immédiatement à ses applications web favorites : c'est ce que va
proposer sur ses machines Asus en intégrant, sur leur carte mère, une version allégée et rapide de Linux, appelée « Splashtop ».
Splashtop est un environnement propriétaire dit de « pré-boot » (ou prédémarrage), développé par la société DeviceVM. Il permet de
gagner du temps au démarrage de la machine, puisqu'il évite de lancer le système d'exploitation ; il s'exécute ainsi à partir du BIOS de la
carte mère, et est capable d'exécuter certaines applications telles qu'un navigateur web dérivé de Firefox et le programme de VoIP
Skype. Splashtop permet aussi de consulter une messagerie, visionner des vidéos ou encore converser par messagerie instantanée.
Lors du démarrage de l'ordinateur, un écran invite l'utilisateur à choisir entre les applications Splashtop (dont Skype et le navigateur de
Splashtop) et l'exécution de l'OS principal. L'opération peut se faire en quelques secondes selon la configuration de la machine.
Asus a déjà adopté cette solution pour ses cartes mères haut de gamme depuis octobre dernier (P5E3 Deluxe/WiFi-AP@n). Et c'est suite
à des commentaires très positifs de ses utilisateurs qu'il a décidé d'en équiper progressivement l'ensemble de ses cartes. Il compte
charger en masse cette solution, qu'il a rebaptisée « Express Gate », sur un million de cartes mères par mois.
Dès ce trimestre quatre modèles vont en bénéficier : P5Q Deluxe, P5Q-WS, P5Q3 Deluxe et P5Q-E.
Google lance Google Health, pour stocker et partager ses données médicales
http://www.romandie.com/infos/news2/080520072305.memizb28.asp
Google, leader mondial de la publicité en ligne, a lancé lundi Google Health (Google Santé), un service gratuit permettant
aux internautes de stocker et gérer leurs données médicales directement sur la toile.
En présentant ce nouveau produit, lors d'une conférence de presse à Moutain View, son siège californien, Google a affirmé que la plateforme d'accès à Google Health était totalement sécurisée et indépendante de la plate-forme permettant aux internautes de surfer grâce
au moteur de recherche de Google. Il n'y aurait donc aucun risque de voir ses données médicales se retrouver sur le net contre son gré.
"Nous avons mis en place la politique de protection des données privées la plus stricte qui soit", a insisté Marissa Meyer, vice-présidente
de la division des produits de recherche chez Google.
Connecté avec des pharmacies, des cliniques et des laboratoires, Google Health, permet à tout internaute de stocker ses données
médicales, d'avoir une copie électronique de son dossier médical, et de le partager comme bon lui semble.
Un internaute peut par exemple décider de stocker sur Google Health ses résultats d'analyse, son CV sanitaire, ses séjours en clinique ou
à l'hôpital, ses ordonnances, les médicaments qu'il prend, etc. Et lui seul peut décider avec qui partager ces informations.
Ainsi, l'utilisateur peut décider par avance que tout son dossier médical ainsi stocké sera accessible par un hôpital en cas d'intervention
urgente. "Google stocke une copie de vos données médicales, à votre place, c'est une base de données contrôlée par l'utilisateur que
Google ne fait qu'héberger", a insisté Roni Zeiger, directeur de Google Health.
Avec ce produit, Google lance un nouveau défi à Microsoft, qui offre un service similaire depuis octobre avec HealthVault.
Future--y
OLPC XO Laptop 2.0 Has Dual Touchscreens, Looks Amazing and Future
http://gizmodo.com/392060/olpc-xo-laptop-20-has-dual-touchscreens-looks-amazing-and-future+y
At OLPC's Global Country workshop today, founder Nick Negroponte unveiled the next-gen XO
Laptop, and it totally blows the original away. About half the XO 1.0's size and more like a
foldable book, it does away with the keyboard and trackpad to go totally touchscreen—that's
right, dual touchscreens, straight out of the future, like a kid's book in Minority Report. Folded
all the way out, the displays work like a single continuous one, for say, a sweet game of Pong.
Like XO 1.0, the display by Pixel-Qi will look fine indoors or in bright sunlight. Unfortunately, it
really is from the future: Due in 2010, they're aiming for $75 and one-watt power
consumption. They're calling it XOXO, or XO-2.
Interestingly, Negroponte says that part of the reason they're unveiling the design so early is
that they're hoping people will copy it—a radically different stance from the first time around,
when riffs on the concept of a cheap subnotebook by competitors basically slew the original XO.
Le Littré est désormais en ligne
http://www.journaldunet.com/breve/france/27068/le-littre-est-desormais-en-ligne.shtml
Le dictionnaire d'Emile Littré existe désormais en version numérique. Accessible gratuitement à l'adresse littre.com celui-ci propose
80.000 entrées, avec une catégorisation des différents sens et usages des mots et des expressions. Le site comprend également 200.000
citations dans lesquelles il est possible de naviguer par auteurs ou par mots-clés. Cette version numérique a été réalisée par Reverso avec
l'aide de linguistes et d'informaticiens.
Samsung demos 82” 2160p HDTV
http://www.tgdaily.com/html_tmp/content-view-37511-97.html
Los Angeles (CA) – Samsung draws attention at this year’s Society for Information Display (SID) International
Symposium with a 82” Quad HDTV that offers four times the resolution of today’s 1080p high definition TVs.
The prototype display has a massive 82” size and features a resolution of
3820x2160 pixels, which results in a screen resolution of 8.3 megapixels.
Current 1080p TVs run at 1920x1080 pixels or 2.1 megapixels. According to
the manufacturer, the TV integrates a red/green/blue LED backlight, which
raises the color saturation to 150%. The image refresh rate is 120 Hz.
Sang Soo Kim, executive VP of the LCD at Samsung Electronics, called it the
“optimal display for future TVs.” Quad HDTVs have been available before, but
were exclusively marketed to markets that have a need for high resolution
image display – such as the oil and gas industries. For example,
Westinghouse has been offering 2160p TVs with sizes up to 52”.
The Westinghouse Quad HDTV is not sold on the open market, but our
sources say that you won’t be able to buy one for less than $40,000 at this
time. So we don’t even ask how much that 82” 2160p TV could cost and wait
until we win the lottery first.
Samsung said that it will have a few other products to show at its SID show booth, including an 82” e-board with a “multi-touchscreen”
that could replace whiteboards and beam projectors, the company believes, as well as its previously announced 15” blue-phase LCD and
a foldable 2.3” e-paper display.
Le réchauffement climatique s'affiche dans Google Earth
http://www.01net.com/editorial/380538/le-rechauffement-climatique-s-affiche-dans-google-earth/
Une application pour la mappemonde virtuelle du moteur américain permet de constater l'impact à venir de l'élévation des températures.
Les internautes peuvent désormais constater sur leur écran d'ordinateur, par l'intermédiaire du logiciel Google Earth, comment le
réchauffement climatique affectera dans les années à venir la planète, ou même la localité dans laquelle ils habitent.
Le moteur de recherche Google s'est associé au ministère britannique de l'Environnement et aux services météorologiques du RoyaumeUni pour mettre sur pied le projet « Climate Change in Our World ». Il se présente sous la forme d'un fichier KML (Keyhole Markup
Language) à ouvrir avec l'application Google Earth.
Les utilisateurs voient défiler, superposées aux photos satellites fournies par la Nasa, des zones de couleur représentant la hausse
moyenne des températures prévues année par année jusqu'en 2100. Ces données peuvent être observées de l'échelle planétaire à celle
des villes. L'application permet, en maniant un curseur temporel, de voir les températures s'élever au fil des années, notamment dans
les zones polaires, où le phénomène est le plus marqué. Des données sur les effets subis localement ou sur des actions entreprises sont
également disponibles.
Les scientifiques prévoient que le réchauffement moyen de la planète sera compris entre 1,8°C et 4,0°C pour l'ensemble du XXIe siècle
en raison, principalement, des émissions de gaz à effet de serre, mais les régions du monde présentent de grandes disparités.
« Ce projet montre aux gens la réalité des changements climatiques, en se basant à la fois sur les estimations des températures
moyennes de l'endroit où ils vivent et celles de l'impact que le phénomène aura sur les habitants du monde entier », a salué le secrétaire
britannique à l'Environnement, Hilary Benn.
Office Live Workspace disponible en français
http://www.zdnet.fr/actualites/informatique/0,39040745,39381163,00.htm?xtor=EPR-101
L'espace de travail en ligne gratuit de Microsoft, Office Live Workspace, débarque en version française. Encore en bêta, ce service qui
favorise le travail collaboratif est réservé aux professionnels ; ils peuvent partager des documents créés avec Word, Excel ou PowerPoint.
Avantage : ils accèdent à ces données depuis n'importe quelle machine, et peuvent les modifier. Les fichiers sont stockés en ligne par
Microsoft, qui alloue un espace dédié.
La firme de Redmond a déjà enrichi cette version bêta de fonctionnalités, telles que la possibilité de recevoir des messages informant des
modifications apportées aux documents par les autres utilisateurs. L'interface utilisateur a, par ailleurs, été simplifiée, assure-t-elle. Enfin,
une fenêtre permet de suivre en temps réel les fichiers traités par les autres collaborateurs.
Cet outil collaboratif, indique Microsoft, « est une étape complémentaire dans sa stratégie Software + Services ».
Microsoft prêt à racheter l'activité recherche de Yahoo ?
http://www.zdnet.fr/actualites/internet/0,39020774,39381146,00.htm?xtor=EPR-100
Microsoft veut-il scinder Yahoo en deux ? Selon le Wall Street Journal en date du 20 mai, l'éditeur proposerait bien plus qu'un simple
partenariat publicitaire au portail : Microsoft aurait lancé une offre de rachat sur Yahoo Search, le moteur de recherche de la société et
les activités publicitaires (liens sponsorisés) qui y sont liées, selon des sources proches du dossier.
Le montant proposé par l'éditeur pour cette nouvelle transaction n'est pas connu. Selon le quotidien américain, Microsoft demanderait à
Yahoo de se séparer de ses actifs asiatiques et prendrait une part minoritaire dans ce qui resterait du portail une fois la scission réalisée.
Une idée qui semble accueillie avec la plus grande circonspection du côté de Yahoo. Avec cette nouvelle offensive, Microsoft parvient à
brouiller les cartes au moment où Google et Yahoo sont sur le point de s'entendre pour un partenariat publicitaire.
Les trois dirigeants de Google, réunis à Londres, ont indiqué s'être réuni pour élaborer une réponse face à cette nouvelle situation.
Evoquant Jerry Yang, P-DG de Yahoo, qui pourrait perdre son poste si le projet de Microsoft aboutit ; Sergey Brin a franchi une étape
: « Je sais qu'il veut travailler chez Google et nous serions très heureux de l'avoir, mais je ne crois pas que c'est ce qui va se passer ».
SAPPHIRE 2008 : SAP tranformé
http://www.silicon.fr/fr/news/2008/05/21/sapphire_2008___sap_tranforme
SAP se sent pousser des ailes. La compagnie affiche sa volonté d'aller de l'avant en continuant à transformer les méthodes de gestion des
entreprises
Le grand rassemblement SAP Européen s'est clos ce mercredi, après trois jours d'intense activité. Loin des annonces de SAPPHIRE 2008
d'Orlando, SAPPHIRE 2008 de Berlin fut l'occasion pour les représentants de la compagnie de brosser un tableau d'ensemble de l'offre.
Cette session s'est tout d'abord caractérisée par sa fréquentation record. Plus de 9.000 personnes étaient présentes : représentants de la
compagnie, partenaires, journalistes et clients. C'est donc devant un parterre de plusieurs milliers de personnes que Henning
Kagermann, co-CEO de SAP AG, puis Léo Apotheker, co-CEO de SAP AG, ont précisé la stratégie de la compagnie.
Leur intervention se plaçait pour l'essentiel sous le signe de la communication et de la collaboration. Dans cet esprit, les architectures
orientées services (SOA) prennent tout leur sens, et l'optimisation des réseaux d'entreprise devient un enjeu crucial, auquel SAP pense
pouvoir donner une réponse. In fine, le but visé est simple : réduire le temps entre la phase d'analyse, la définition de la stratégie, et sa
mise en application dans la pratique.
ERP 6.0 : un tournant important Il existe aujourd'hui plus de 10.000 clients SAP ERP 6.0. La migration semble donc en bonne voie,
même si nous avons eu la sensation que la compagnie y consacrait de larges ressources… quitte à retarder son offensive sur certaines
offres, comme SAP Business ByDesign.
Aujourd'hui, ERP 6.0 couvre 24 industries. L'intégration des solutions Business Objects permet à la compagnie d'offrir un catalogue de
plus de 2.800 services, utilisables dans le cadre de la modélisation de processus d'entreprise. C'est la grande force de la firme.
C'est également un changement important face aux ERP d'ancienne génération, où les processus étaient programmés et fixés « en dur ».
Demain, une nouvelle catégorie de professionnels sera en mesure de modéliser directement les processus d'entreprise, en assemblant
divers services de base. D'autres professionnels pourront axer leurs efforts sur la fourniture de services tiers, indépendants, mais pouvant
s'intégrer aux solutions SAP.
Business Objects : toujours indépendant NetWeaver (la solution d'intégration de SAP) exploite parfaitement le concept d'agrégation
de services. Si l'esprit du web 2.0 réside dans la création d'applications web puissantes, capables d'échanges complexes, les « Ultra
Business Objects » poussent ce concept à son paroxysme.
Ces objets métiers de nouvelle génération (mais toujours du domaine de l'intelligence économique), conservent leur indépendance, et
continueront donc à pouvoir fonctionner hors de la plate-forme SAP. C'est une nouvelle rassurante.
Contrepartie de cette montée en puissance : ils sont de plus en plus complexes. Un travail de fond est donc en cours. Il vise à éliminer
les couches intermédiaires présentes entre les Business Objects et SAP, afin de réduire la charge générée.
ByDesign : décalé ou recalé ? SAP Business ByDesign semble bien malchanceux. Le choix d'un mode hébergé / loué est audacieux et
la cible (les PME) semble bonne. Et pourtant, l'ERP « pour les réfractaires aux ERP » ne décolle pas. SAP promettait 10.000 clients pour
2010, avec un milliard de dollars de CA. Aujourd'hui, SAP maintient ses prévisions, mais les décale dans le temps… de 12 à 18 mois.
En 2008, vingt pays devaient être couverts par cette solution. Finalement, SAP a préféré réduire ce nombre à six (États-Unis, France,
Allemagne, Royaume-Uni, Chine et Inde). Raison invoquée : prendre le temps de s'adapter aux spécificités des infrastructures locales et
maximiser les retours avant de s'engager dans un lancement à plus grande échelle.
Nous nous demandons toutefois si le frein humain qui touche les TPE quand à l'externalisation de données jugées critiques, ne touche
pas aussi (dans une moindre mesure) les PME. La compagnie devra déployer des trésors de patience pour convaincre les plus frileux.
L'écran mobile obéit à la lumière
http://www.atelier.fr/medias-loisirs/10/20052008/l-ecran-mobile-obeit-a-la-lumiere-36570-.html
Le mirasol s'adapte automatiquement à la luminosité ambiante pour proposer une image nette et lisible. Le tout, en
consommant peu d'énergie. Un système qui devrait plaire aux éditeurs de contenu mobile.
Si les contenus sur mobile se multiplient, il reste parfois difficile d'en profiter pleinement. Ce, principalement en raison de la luminosité
ambiante, qui peut aveugler l'écran, ou au contraire le rendre trop lumineux. C'est ce problème de luminosité que l'écran mirasol souhaite
régler : il est capable de s'adapter automatiquement à la luminosité ambiante pour proposer des contenus lisibles et aux couleurs vives.
Le dispositif est un MEMS (système micro-électromécanique) qui intègre plusieurs plaquettes composées de deux éléments : une fine
couche de verre et une membrane de réflexion. Quand aucun courant électrique ne passe entre les deux composants, ceux-ci
réfléchissent la lumière. Quand, au contraire un courant électrique s'infiltre, les deux couches se rassemblent et absorbent la lumière. En
clair : quand la lumière de l'extérieur est trop forte, le dispositif se met automatiquement en marche afin de la capter et de l'empêcher de
dégrader la qualité de vision. Dans le cas contraire, elle laisse les différents réflecteurs agir afin qu'ils captent un maximum de lumière.
Vidéo, textes et publicité mobile Un tel système est également intéressant au niveau de la consommation énergétique : il ne
nécessite du courant que lorsque la lumière ambiante est trop faible. Le premier à embarquer mirasol sera Freestyle Audio, le fabricant
du lecteur mp3 dit indestructible - c'est-à-dire résistant à l'eau, aux chocs et aux attaques externes. Celui-ci intégrera l'écran à ses
prochains lecteurs. Tous les autres appareils mobiles disposant d'un écran devraient également être intéressés : téléphones, GPS,
caméras, consoles de jeux, ordinateurs portables... Sans oublier les fabricants d'écrans faisant office de supports publicitaires. Le
constructeur, Qualcomm MEMS Technologies, ne donne cependant pas d'indications quant au prix de son écran.
Bull devient porteporte-parole de Climate Savers Computing en France
http://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-bull-devient-porte-parole-de-climate-savers-computing-en-france-26108.html
Bull devient le représentant en France de l'initiative Climate Savers Computing. Celle-ci a été créée il y a près d'un an par des acteurs
importants du marché comme Intel, Google, Dell, HP, IBM, Lenovo, Microsoft, de grands utilisateurs comme PG&E (énergie) et le World
Wildlife Fund. Leur objectif est de définir de bonnes pratiques pour que les infrastructures informatiques consomment moins d'énergie, et
par conséquent diminuent leur empreinte carbone.
« Nous serons la tête de pont de l'association en France », précise Bruno Pinna, directeur marketing de Bull. Le rôle du Français
consistera à communiquer de façon plutôt globale sur la démarche de Climate Savers Computing auprès d'un large public mais aussi à
l'expliquer de façon plus précise aux associations, aux politiques, aux institutions, etc. Enfin, Bull sera aussi chargé de recruter de
nouveaux membres dans le secteur des TIC en France. C'est Ahcene Latreche, responsable de programme marketing chez Bull en
particulier pour le Green IT, qui sera le représentant de l'initiative chez le Français.
Linux dans des
des téléphones portables Nokia ? Pas
Pas vraiment
http://www.generation-nt.com/nokia-mobiles-systeme-exploitation-linux-actualite-95001.html
Il aura suffi d'une citation mal reprise par un grand diffuseur d'informations pour enflammer l'imagination autour de
téléphones portables Nokia embarquant Linux.
Une petite phrase sortie de son contexte peut parfois suffire à générer un buzz incontrôlé.. et erroné. Quand Rick Simonson, directeur
financier de Nokia, a évoqué l'intérêt du géant finlandais pour Linux dans ses terminaux mobiles, il évoquait les appareils mobiles
connectés de type MID (Mobile Internet Devices), comme ses tablettes Internet Nokia N800 et N810 et non ses téléphones portables.
Le fait qu'elles seront vraisemblablement dotées de connectivités cellulaires à l'avenir, comme c'est déjà le cas avec un produit dérivé aux
Etats-Unis pour le réseaux WiMAX XOHM de Sprint les fait rentrer dans la catégorie des terminaux mobiles convergents, en anglais
handsets, qui peut, selon le contexte, convenir aussi aux téléphones portables.
Les vessies et les lanternes Il n'en aura pas fallu plus pour que tous les visionnaires du Web prédisent la mort rapide de Symbian et
l'avènement de Linux, tant qu'à faire sous la forme de la plate-forme Android de Google, dans les téléphones portables de Nokia.
C'est quand même oublier que Symbian est le système d'exploitation mobile largement dominant chez les smartphones (pas loin de
70% de parts de marché) et que Nokia en est l'actionnaire principal et en gère tout l'écosystème. De là à écarter un modèle économique
qui lui est largement favorable et dont il a le contrôle quasi-total pour un système Linux Mobile qui a tout à prouver, il y a un fossé peu
évident à franchir, même pour le numéro un mondial de la téléphonie mobile.
Nokia est impliquée dans le développement de Linux embarqué, c'est un fait, et l'acquisition récente de Trolltech montre que cette
orientation va aller en s'amplifiant, mais c'est pour explorer la niche des appareils mobiles convergent de nouvelle génération, à vocation
data, plus que pour devenir un fournisseur de téléphones sous Linux.
A la décharge des déchiffreurs de boule de cristal, la frontière entre les terminaux mobiles convergents, qu'il s'agisse de smartphones ou
de MID, va devenir de plus en plus floue, les fonctionnalités des uns se retrouvant chez les autres, et inversement.
Office 2007 va se mettre
mettre au format bureautique open source ODF
http://www.01net.com/editorial/381144/office-2007-se-met-au-format-bureautique-open-source-odf/
La suite bureautique du géant américain devient compatible avec le format d'Open Office en 2009. La version ISO de l'Open XML de
Microsoft attendra, elle, plus longtemps.
Nouveau rebondissement dans la bataille des formats de fichiers bureautiques que se livrent Microsoft et le reste de l'industrie. Le
numéro un mondial des logiciels a annoncé hier soir qu'il allait prendre en charge dès l'an prochain dans sa suite Office 2007 le format
ODF (Open document format) utilisé notamment par la suite bureautique libre Open Office. Cette nouvelle fonction sera incluse dans le
Service Pack 2 d'Office 2007 dont le lancement est prévu au premier semestre 2009.
Les utilisateurs d'Office 2007 pourront ouvrir des fichiers ODF 1.1, les modifier et les sauvegarder. Le format ODF pourra même être
choisi comme format par défaut de la suite au lieu du format Open XML, le format bureautique proposé par défaut dans Office 2007 !
Le support des formats PDF et XPS sera également ajouté au SP2 mais c'est l'ajout du format ODF qui retient aujourd'hui l'attention, à
cause de la bataille qui oppose depuis plusieurs années, dans les instances de normalisation, le format ODF au format Open XML.
« J'ai été agréablement surpris par la décision de Microsoft. Je pense qu'il veut désormais être un acteur de la convergence entre les
deux formats comme le souhaitent les entreprises (pour la plupart) et l'industrie », analyse Frédéric Bon, président de la commission de
normalisation Afnor (commission formats de documents révisables) et dirigeant de Clever Age, une société de conseil en architecture
technique qui a notamment développé un traducteur OOXML-ODF.
Pas d'Open XML ISO dans Office 2007 Pour Frédéric Couchet, délégué général de l'April, une association qui défend le logiciel libre,
la décision de Microsoft montre plutôt les difficultés de l'éditeur à implémenter la version ISO de la norme Open XML et sa peur de voir
les administrations adopter des logiciels concurrents capables de gérer le format ODF.
Microsoft a aussi annoncé hier qu'il ne serait pas en mesure de proposer l'implémentation de la version ISO (ISO 29500) de son format
Open XML avec le SP2 l'an prochain. Obtenue au forceps le 1er avril dernier, la normalisation ISO d'Open XML a nécessité de nombreuses
modifications du format utilisé dans Office 2007 et l'implémentation de la nouvelle version nécessite beaucoup d'efforts de l'aveu même
de Microsoft. « C'est un gros travail d'ingénierie d'autant plus délicat qu'il est très difficile de gérer deux versions d'un même format au
sein d'un logiciel. Nous risquons de déstabiliser les entreprises qui ont commencé à déployer la version actuelle d'Open XML », explique
Bernard Ourghanlian, le directeur technique de Microsoft France. Pour l'instant, Microsoft ne prévoit pas l'intégration de la version ISO
d'Open XML avant la prochaine version d'Office (nom de code Office 14) prévue pour 2010 voire 2011
Moins rapides mais plus universels, les convertisseurs disponibles sur des sites comme Sourceforge resteront pertinents pour faire le pont
entre ODF et les précédentes versions d'Office (2000, 2003, XP, etc.). Nul doute que l'implémentation ODF de Microsoft dans Office 2007
sera examinée de près à sa sortie. « Il n'est pas évident de transposer certaines mises en forme, et Microsoft devra veiller à ne pas
dégrader les documents sans ajouter de fonctions non prévues par les spécifications ODF », explique Frédéric Bon. Rendez-vous est pris.
La sauvegarde au format PDF en standard dans Office l'an prochain
Microsoft a également annoncé que le Service Pack 2 d'Office 2007 permettra aux utilisateurs de la suite Office de sauvegarder des
fichiers bureautiques (Word, Excel, Powerpoint, etc.) au format PDF/A (utilisé pour l'archivage), au format PDF 1.5 (version modifiable du
PDF) et au format XPS (XML Paper Specification) qui est un format concurrent du PDF créé par Microsoft.
Il y a deux ans, Microsoft avait souhaité intégrer ces fonctions de sauvegarde en PDF par défaut dans Office 2007 mais Adobe s'y était
opposé. Microsoft avait alors retiré cette fonction et proposait depuis un plug-in gratuit à télécharger sur son site.
Les couacs des entreprises du CAC
http://www.leparisien.fr/home/info/economie/articles/LES-COUACS-DES-ENTREPRISES-DU-CAC_29851811
SUR INTERNET, les sociétés du CAC 40 rament. Leurs sites Web plantent, cumulent les erreurs... Pire : ils sont souvent indisponibles.
C'est ce qui ressort d'une étude réalisée par WatchMouse, un cabinet néerlandais spécialisé. Pendant deux mois, du 16 mars au 16 mai,
ses équipes ont mesuré la performance de ces sites Web toutes les cinq minutes.
Plusieurs directeurs en informatique seraient bien inspirés de se couvrir la tête de cendres. Car seul le portail du groupe de luxe LVMH
frôle la perfection. Danone cumule « des problèmes sérieux pour les utilisateurs ». Et si l'on additionne tous les minibugs, certains sites
sont à l'arrêt plusieurs heures par mois : un peu plus de quatre heures pour EDF, plus de neuf heures pour Carrefour... Lagardère
explose tous les records : trois jours, quatre heures et cinquante et une minutes de paralysie !
Mark Pors, le responsable informatique de WatchMouse, s'avoue « très surpris » de découvrir que le site d'Orange « fonctionne bien en
deçà des normes de l'industrie ». Il fait l'ingénu : « De par sa nature de société de télécommunication, France Télécom devrait avoir la
connaissance, les infrastructures et le désir de mettre en place un site fiable et rapide. » A savoir : des pages qui se chargent en moins
de quatre secondes, sans quoi les internautes « quittent le site et gardent une perception négative de la marque ».
Sollicitées, les équipes d'Orange confessent « un problème absolument exceptionnel ce mois-ci, pour la première fois en plusieurs
années, dû à la mise en place d'un nouveau process ». Le portail d'Air France-KLM est quant à lui bloqué près de vingt-deux heures par
mois. « Ce n'est pas le site sur lequel les voyageurs achètent leurs billets, explique-t-on chez Air France. Ces problèmes concernent notre
site finances, qui est destiné à un public plus pointu. » Les actionnaires apprécieront.

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