programme des expositions de l`automne 2014

Transcription

programme des expositions de l`automne 2014
12 janvier 2015
programme des expositions de l’automne
2014
Niki de Saint-Phalle (17 Septembre – 2 Février 2015)
Grand Palais, Galeries Nationales
Hokusai (1 Octobre 2014 – 18 Janvier 2015)
Grand Palais, Galeries Nationales
La Grèce des origines. Entre rêve et archéologie (5 Octobre 2014 – 19 Janvier 2015)
Prolongation jusqu’au 2 février 2015
Musée d’Archéologie nationale et Domaine national de Saint Germain-en-Laye
Paul Durand-Ruel, le pari de l’impressionnisme (9 Octobre 2014 – 8 Février 2015)
Musée du Luxembourg
Haïti. Deux siècles de création artistique (19 Novembre 2014 – 15 Février 2015)
Grand Palais, Galeries Nationales
Bon Boullogne (1649-1717). Un chef d’école au Grand-Siècle (5 Decembre 2014 – 5 Mars 2015)
Musée Magnin, Dijon
Prochains événements sous la nef du Grand Palais
Chef de service : Florence Le Moing, [email protected], 01 40 13 47 62
Assistante : Jessica Crasnier, [email protected]
Attachées de presse : Julie Debout, [email protected]
Svetlana Stojanovic, [email protected]
Sandrine Mahaut, [email protected]
Pauline Volpe, [email protected]
Plus d’info sur grandpalais.fr et les réseaux sociaux : facebook, twitter
communiqué
Niki de Saint Phalle
17 septembre 2014 – 2 février 2015
Grand Palais
Galeries Nationales
Cette exposition est organisée par la Réunion des musées
nationaux - Grand Palais avec l’aimable participation de
la Niki Charitable Art Foundation et co-organisée avec le
Guggenheim Museum de Bilbao.
Elle bénéficie de prêts exceptionnels du Sprengel Museum
de Hanovre et du Mamac de Nice, qui ont reçu d’importantes
donations de l’artiste.
Elle sera présentée au musée Guggenheim de Bilbao du
27 février au 7 juin 2015
Niki de Saint Phalle (1930-2002) est l’une des artistes les plus populaires du milieu du XXe siècle mais paradoxalement
la richesse et la complexité de son œuvre restent à découvrir. Elle compte parmi les premières artistes femmes à
acquérir de son vivant une reconnaissance internationale et à jouer de sa personnalité médiatique. Niki est d’ailleurs
l’une des premières personnalités – au même moment que Warhol – à utiliser la presse et les media pour contrôler ou
orienter la réception de son travail.
Autodidacte, Niki de Saint Phalle s’inspire de Gaudi, Dubuffet et Pollock pour mettre en place dès la fin des années
50 un univers singulier, en dehors de toute tendance et mouvement. Son parcours biographique y est sublimé par la
création de grands thèmes et de mythes qui articuleront ensuite toute son œuvre. On en connaît le caractère joyeux et
coloré, mais on en a oublié la violence, l’engagement et la radicalité. Qu’il s’agisse de l’audace de ses performances, du
contenu politique et féministe de son travail ou de l’ambition de ses réalisations dans l’espace public.
Cette rétrospective, première grande exposition consacrée à Niki de Saint Phalle depuis vingt ans, présente toutes les
facettes de l’artiste qui fut à la fois peintre, assemblagiste, sculpteure, graveuse, performeuse et cinéaste expérimentale,
et renouvelle profondément le regard posé sur son travail. Plus de 200 œuvres et archives dont beaucoup sont inédites
émaillent un parcours de 2000 m² à la fois chronologique et thématique, ponctués d’écrans montrant l’artiste commentant
son travail. Des maquettes de projets architecturaux et une sculpture-fontaine (Arbre Serpents Fontaine) devant l’entrée
du Grand Palais, permettront d’évoquer l’ampleur et la diversité de son œuvre publique.
Une artiste franco-américaine
Née en France où elle passera une grande partie de sa vie mais élevée aux États-Unis et choisissant d’y passer la fin de
sa carrière, elle ne cessera de voyager entre ses deux pays d’origine et d’en réconcilier les tendances artistiques. Connue
comme la seule artiste femme du Nouveau Réalisme en France, on a oublié que c’était aussi une artiste américaine
- dont les œuvres sont à replacer dans une histoire des Combine Paintings Néo Dada - au côté de Jasper Johns et
Robert Rauschenberg, mais aussi à l’origine du Pop Art dont son approche renouvelle la lecture. Le multiculturalisme les références à l’art des natifs d’Amérique et à la civilisation mexicaine, la question raciale et la critique de la politique
de Georges Bush sont autant de sujets américains qui caractérisent ses dernières œuvres.
La première artiste féministe
Articuler une vie de femme avec une vie d’artiste, renouveler la représentation du corps féminin et de l’érotisme,
réinterpréter les grandes figures mythiques, interroger le rôle de la femme dans la société et en proposer un autre
sont autant de thèmes contenus dans son travail dès la fin des années 50 et qui seront récurrents jusqu’à la fin de la
vie. Fille, épouse, mère, guerrière, sorcière et déesse, pour n’en citer que quelques-unes, sont autant de facettes ou
Niki de Saint Phalle en train de viser, photographie en noir et blanc rehaussée de couleur extraite du film Daddy, 1972. © Peter Whitehead.
d’interprétations possibles des fameuses « Nanas » qui sont autant d’autoportraits, à la fois réels et fantasmés, de
l’artiste et de la femme contemporaine. De fait, les séries successives des Mariées, Accouchements, Déesses puis
après les Nanas, des Mères dévorantes, recréent une véritable mythologie féminine. S’y ajoutent les performances, les
textes et les déclarations de l’artiste, le contenu des longs métrages : autant de preuves pour réhabiliter Niki de Saint
Phalle comme la première grande artiste féministe du XXe siècle.
Une artiste engagée
Le féminisme n’est qu’un élément de sa lutte précoce et constante contre les conventions et les carcans de la pensée.
Chacune de ses œuvres comporte plusieurs niveaux de lecture et d’interprétation dont on a souvent omis le caractère
politique au profit d’une lecture décorative et superficielle de son œuvre. Aller au-delà, c’est reconnaître par exemple
aux « Tirs » toute leur puissance subversive. Ces performances, où des tableaux étaient détruits à la carabine par
l’artiste ou le public invité, furent à la fois fondatrices dans l’histoire du happening et particulièrement scandaleuses
car orchestrées par une femme. Dirigés contre une vision de l’art, une idée de la religion, une société patriarcale, une
situation politique où guerre froide et guerre d’Algérie s’entremêlent, un pays – les États-Unis – où le port d’arme est
légalisé, les Tirs sont à l’image de son œuvre ultérieure, qui se nourrit presque toujours de questionnements sociétaux.
Niki de Saint Phalle fut l’une des premières artistes à aborder la question raciale et à défendre les droits civiques puis un
multiculturalisme américain ; une des premières aussi à utiliser l’art pour sensibiliser le grand public aux ravages du sida
A l’avant-garde d’un art public
Première femme à s’imposer dans l’espace public à l’échelle mondiale, Niki de Saint Phalle a eu le souci très tôt
de s’adresser à tous, bien au-delà du seul public des musées. Le choix d’un art public est à voir comme un choix
politique ; il est précoce puisqu’elle en fait une direction essentielle de ses recherches dès le milieu des années 60.
Projets architecturaux et sculptures monumentales se suivent ensuite tout au long de sa carrière : fontaines, parcs pour
enfants, jardins ésotériques et maisons habitables sont parmi ses plus importantes réalisations. Central et majestueux,
le Jardin des Tarots est son œuvre majeure, qu’elle a entièrement financé elle-même, en partie grâce au développement
d’éditions ; un parfum, du mobilier, des bijoux, des estampes, des livres d’artistes.
Dans le prolongement de l’exposition, la RMN-Grand Palais et le CENTQUATRE-PARIS présent la Cabeza du 17
septembre 2014 au 1er février 2015.
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commissariat général : Camille Morineau, conservateur du patrimoine et Lucia Pesapane, assistante de conservation
scénographie : Atelier Maciej Fiszer assisté de Thimothée Ma Mung.
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ouverture : tous les jours sauf le mardi
de 10h à 22h. Fermeture à 20h les
dimanches et lundis
publications aux éditions de la
Réunion des musées nationaux Grand Palais, Paris 2014 :
tarifs : 13 €, 9 € TR (16-25 ans,
demandeurs
d’emploi,
famille
nombreuse). Gratuit pour les moins
de 16 ans, bénéficiaires du RSA et du
minimum vieillesse.
- catalogue de l’exposition, 24,5 x 29 cm,
368 p., relié, 390 ill., 50 €
accès : métro ligne 1 et 13 «ChampsElysées-Clemenceau » ou ligne 9 «
Franklin D.Roosevelt.
informations et
www.grandpalais.fr
réservations
:
- album de l’exposition : Nanas, mères,
déesses les femmes de Niki de Saint
Phalle, Camille Morineau, 21 x 26,5 cm,
48 p., broché, 40 ill., 10 €
- Niki de Saint Phalle, l’expo, 14,5 x 19,6
cm, 384 p., 220 ill., broché, 12 €
- Le Petit dictionnaire Niki de Saint Phalle
en 49 symboles, Lucia Pesapane: 12,3 x
16,7 cm, 128 p., broché, 60 ill., 12 €
contact presse :
Réunion des musées nationaux
- Grand Palais
254-256 rue de Bercy
75 577 Paris cedex 12
Florence Le Moing
[email protected]
01 40 13 47 62
communiqué
Hokusai
(1760-1849)
1er octobre 2014 - 18 janvier 2015
(relâche entre le 21 et le 30 novembre 2014)
Grand Palais
Galeries Nationales
Cette exposition est réalisée par la Réunion des musées
nationaux – Grand Palais et la Fondation du Japon.
L’exposition sera découpée en deux volets afin de garantir la bonne conservation des œuvres les plus fragiles.
Le propos général et le parcours scénographique resteront les mêmes, mais une centaine d’œuvres sera remplacée en cours d’exposition : les estampes seront remplacées par des estampes équivalentes, souvent issues
de la même série ; les peintures sur soie et sur papier seront interverties avec des œuvres de nature et de qualité
comparables. Cette opération nécessitera 10 jours de relâche entre le 21 et le 30 novembre 2014.
Un artiste emblématique
Grâce à la série des Trente-six vues du Mont Fuji et en particulier à la Grande Vague, Katsushika Hokusai
(1760 – 1849) est sans doute aujourd’hui l’artiste japonais le plus célèbre dans le monde. S’il a déjà eu les faveurs
de nombreuses expositions, c’est néanmoins une monographie d’une ampleur tout à fait inédite que propose le
Grand Palais.
Hokusai et la France
De Félix Bracquemond à Émile Gallé, en passant par Edmond de Goncourt, les artistes et écrivains français
jouèrent un rôle déterminant dans la redécouverte de l’art de Hokusai à la fin du XIXe siècle ; leur intérêt pour cet
artiste alors peu considéré dans son Japon natal contribua fortement à la diffusion du japonisme dans les arts
européens. Nombreux furent notamment les artistes qui puisèrent des motifs dans les 15 volumes de Hokusai
Manga, ainsi qu’en témoignent de nombreux dessins, estampes et objets d’art.
Hokusai Manga
Œuvre-phare dans le travail de Hokusai, cette anthologie de croquis fera l’objet d’une présentation inédite et tout
à fait exceptionnelle, à l’occasion du bicentenaire de la publication du premier de ses quinze volumes. Conçus
comme des manuels à l’usage des jeunes artistes, ces mangas constituent une sorte d’encyclopédie du vivant et
de la vie quotidienne du Japon de l’époque d’Edo.
Hokusai, le « fou de dessin »
Dépassant les clichés et les images les plus emblématiques, l’exposition met en lumière la vie et l’œuvre de cet
artiste extrêmement prolifique, qui changea d’identité artistique à de multiples reprises au cours de sa longue
Katsushika Hokusai (1760 -1849), Chôshi dans la province de Sōshū (détail), Série des Mille images de la mer, estampe, 18,2 x 19 cm,
Paris, Musée national des arts asiatiques - musée Guimet © Rmn-Grand Palais (musée Guimet, Paris) / Thierry Olivier
carrière. Peintre, dessinateur, graveur, Hokusai produit durant sa longue vie des milliers d’œuvres dont la qualité
n’a d’égale que la diversité : portraits de courtisanes ou d’acteurs de kabuki, scènes de la vie quotidienne, cartes
de vœux raffinées, illustrations de récits et de mythes populaires… C’est néanmoins avec la publication de ses
grandes séries de paysages qu’il marque le plus profondément l’art de l’estampe japonaise : il réalise alors une
synthèse originale entre les principes traditionnels de l’art japonais et l’assimilation des influences occidentales
pour composer des paysages d’une beauté saisissante.
Hokusai au Grand Palais
Les six périodes de la vie de Hokusai sont traversées, illustrées par des séries d’estampes (dont les prêts exceptionnels de la collection des Musées royaux d’Art et d’Histoire), des livres, mais aussi de nombreuses peintures
pour partie inédites, ainsi que de précieux dessins préparatoires. Au total plus de 500 pièces exceptionnelles sont
présentées.
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commissaire : Seiji Nagata, spécialiste de Hokusai, Directeur du Katsushika Hokusai Museum of Art, en collaboration avec Laure Dalon, conservateur du patrimoine, adjointe du directeur scientifique de la Réunion des
musées nationaux – Grand Palais.
scénographie: agence DGT
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ouverture : dimanche de 9h à 20h, lundi de
10h à 20h. Nocturne : mercredi, jeudi, vendredi de 10h à 22h, et samedi de 9h à 22h.
publications aux éditions de la Réunion
des musées nationaux - Grand Palais,
Paris 2014 :
Pendant les vacances de la Toussaint et
Noël : tous les jours de 9h à 22h sauf mardi.
• catalogue de l’exposition, 24,5 x 29 cm,
416 pages, 590 ill., environ 50 €
Fermeture anticipée le mercredi 8 octobre:
20h au lieu de 22h et le 24 et 31 décembre:
à 18h
• Le petit dictionnaire Hokusai en 48 mots,
13 x 17 cm, environ 12 €
Florence Le Moing
[email protected]
01 40 13 47 62
• Hokusai et le cadeau de la mer
(jeunesse), 32 pages, 13 ill.,broché, environ 13 €
Svetlana Stojanovic
[email protected]
01 40 13 49 95
tarifs : 13 €, 9 € TR (16-25 ans, demandeurs d’emploi, famille nombreuse). Gratuit
pour les moins de 16 ans, bénéficiaires du
RSA et du minimum vieillesse.
contacts presse :
Réunion des musées nationaux
- Grand Palais
254-256 rue de Bercy
75 577 Paris cedex 12
accès : métro ligne 1 et 13 « Champs-Elysées-Clemenceau » ou ligne 9 « Franklin
D.Roosevelt.
informations et réservations :
www.grandpalais.fr
#Hokusai
Avec la participation
exceptionnelle de :
Grand Mécène de l’exposition
communiqué
La Grèce des origines
entre rêve et archéologie
5 octobre 2014 - 19 janvier 2015
prolongation jusqu’au 2 février 2015
Musée d’Archéologie nationale Domaine national de Saint-Germain-enLaye
Cette exposition est organisée par la Réunion des musées
nationaux – Grand Palais en partenariat avec le Musée du
Louvre et l’Ecole française d’Athènes.
En France, à la fin du XIXe siècle, les archéologues et le public découvrent dans un grand fracas d’images,
de motifs, d’or et de couleurs, les civilisations millénaires qui ont peuplé la Grèce. La science archéologique comme l’art moderne s’en trouvent profondément bouleversés.
Grâce à des collections de nombreux musées français, de documents d’archives inédits et de photographies d’époque, l’exposition La Grèce des origines, entre rêve et archéologie montre comment ce passé
le plus ancien de la Grèce fut interprété à la Belle Epoque.
Ce voyage dans le temps est l’occasion de découvrir des personnalités originales, des géologues, des
archéologues et des amateurs éclairés qui ont exploré le sol grec avec des méthodes et des idées qui
rappellent les savants de Jules Verne, confiants dans le progrès et l’avancée de la science.
Après les pionniers, qui parcoururent les Cyclades et permirent, par exemple, la découverte des premiers
vestiges sur l’île de Santorin, deux hommes se distinguèrent, aussi bien surdoués qu’imaginatifs, scientifiques de talent autant que grands rêveurs : Heinrich Schliemann et Arthur Evans. Ils écrivirent une autre
histoire de la Grèce, bien antérieure à l’époque classique à partir des fouilles qu’ils réalisèrent sur les
sites de Troie en Asie Mineure, Mycènes en Grèce et Cnossos en Crète.
Ces découvertes fabuleuses furent relayées en France par le monde savant. Salomon Reinach, alors
directeur du « Musée des Antiquités nationales » comme son ami Edmond Pottier, conservateur au Musée du Louvre, firent leur possible pour présenter aux visiteurs des objets originaux et des reproductions
caractéristiques de l’art de ces civilisations « égéennes ».
Les visiteurs découvrent par exemple que même les plus beaux objets des musées grecs étaient présents grâce aux reproductions spectaculaires d’Emile Gilliéron, exceptionnellement présentées à SaintGermain-en-Laye.
Reproduction de la fresque dite « des acrobates au taureau » (détail) d’après « Court of the Stone Spout », Cnossos, Crète, 1905 (original
datant du Minoen Moyen III, 1800-1700 av. J.-C.), peinture à la gouache sur papier ; 166,4 x 96,5 cm, musée d’Archéologie nationale, achat
en 1905 auprès d’Emile Gilliéron père, © Rmn-Grand Palais (musée d’Archéologie nationale) Photo Franck Raux
Mais Schliemann et Evans, hommes modernes, diffusaient aussi eux-mêmes leurs découvertes par
tous les médias possibles : livres, articles dans les journaux, photographies et dessins. C’est ainsi que
Mycènes et Cnossos devinrent les nouvelles destinations de voyage à la mode, où les artistes, comme
Léon Bakst, allèrent puiser leur inspiration auprès d’un art neuf, vibrant et coloré. Décors de théâtre
ou d’opéras, costumes, robes et écharpes célébrées par Marcel Proust raconteront aux visiteurs cette
« Crétomanie » qui s’abattit sur Paris.
Les archéologues portent actuellement un regard différent sur ces civilisations découvertes il y a maintenant plus d’un siècle : leurs méthodes ont changé, leurs questions aussi et il est important de savoir que
l’archéologie se bâtit également sur des hypothèses, voire des illusions qu’il faut être capable parfois de
déconstruire.
Mais il est essentiel de continuer à rêver le passé des peuples de la mer Egée. Les créations des artistes, qu’ils soient couturiers comme Karl Lagerfeld, cinéastes ou dessinateurs de bandes dessinées,
sont encore imprégnées de poulpes et de rosaces, de déesses aux serpents, de colonnes rouges et de
masques d’or.
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commissaire : Anaïs Boucher, conservateur du patrimoine chargée des collections d’Archéologie comparée,
Musée d’Archéologie nationale.
commissaires associés : Pascal Darcque, directeur de recherche au CNRS, Haris Procopiou, maître de conférence à Paris I et Zoi Tsirtsoni, chercheuse au CNRS.
scénographie : Pascal Rodriguez
graphisme : Tania Hagemeister
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ouverture :
tous les jours, sauf le mardi, de 10h à 17h
Les groupes accompagnés par une conférencière du musée peuvent être accueillis
dès 9h.
tarifs :
exposition : 4,50 €
visite du musée et de l’exposition :
9 € plein tarif / 7,50 € tarif réduit
accès :
RER ligne A - Station Saint-Germain-enLaye située devant le château (20 mn de
Charles de Gaulle/Étoile)
Autobus RATP 258
Autoroute de l’ouest A 13, RN 190, RN 13,
N186
publications aux éditions de la Réunion des musées nationaux - Grand
Palais, Paris 2013 :
- catalogue de l’exposition
22 x 28 cm, 224 pages, 330 illustrations,
environ 35 €
contacts presse :
Réunion des musées nationaux Grand Palais
254-256 rue de Bercy
75577 Paris cedex 12
Florence Le Moing
[email protected]
01 40 13 47 62
Sandrine Mahaut
[email protected]
01 40 13 48 51
renseignements sur :
www.musee-archeologienationale.fr
www.grandpalais.fr
MAIF, partenaire éducation
communiqué
Paul Durand-Ruel
Le pari de l’impressionnisme
9 octobre 2014 - 8 février 2015
Musée du Luxembourg
19 rue de Vaugirard, 75006 Paris
Cette exposition est organisée par la Réunion des musées
nationaux - Grand Palais en collaboration avec le musée
d’Orsay, la National Gallery, Londres et le Philadelphia
Museum of Art.
Elle sera présentée à la National Gallery de Londres du 4
mars au 31 mai 2015, puis au Philadelphia Museum of Art du
18 juin au 13 septembre 2015.
« J’arrive à mon grand crime, celui qui domine tous les autres. J’achète depuis longtemps et j’estime au plus haut
degré les oeuvres de peintres très originaux et très savants dont plusieurs sont des hommes de génie et je prétends les
imposer aux amateurs. J’estime que les oeuvres de Degas […], de Monet, […] de Pissarro et de Sisley sont dignes de
figurer dans les plus belles collections .»
Paul Durand-Ruel en 1885
Cette exposition est la première consacrée au grand marchand des impressionnistes, Paul Durand-Ruel
(1831-1922), également considéré comme le père du marché de l’art moderne. Elle se propose, dans le sillage
des récentes manifestations dédiées à des marchands influents, tels Henri Kahnweiler, Ambroise Vollard,
Theo Van Gogh ou Henri Kahnweiler de mettre en lumière le rôle d’une figure éminente de l’impressionnisme
dont les choix et les goûts radicaux ont été déterminants pour la reconnaissance des artistes et la constitution
de notre panthéon de la peinture moderne.
La plupart des grandes collections impressionnistes publiques et privées se sont en effet constituées auprès
de la galerie Durand-Ruel au tournant du XXe siècle. Nulle vente impressionniste qui n’ait lieu sans que des
tableaux autrefois passés par la galerie n’y figurent. De sa découverte de l’impressionnisme au début des
années 1870 jusqu’au succès du tournant du XXe siècle, Paul Durand-Ruel a en effet acheté, vendu, exposé
des milliers d’oeuvres de Manet, Monet, Renoir, Degas, Pissarro, Sisley, Morisot et Cassatt. Cette histoire ne
s’est pas déroulée sans heurts et, s’il est maintenant salué comme un marchand visionnaire, Durand-Ruel
a bel et bien fait le pari de l’impressionnisme. C’est ce chapitre de l’histoire de la galerie et du parcours d’un
homme que l’exposition comme son catalogue entendent montrer et étudier grâce à de nouvelles recherches.
Reflétant le rayonnement international de la galerie au XIXe siècle, cette exposition évoque avec Paul
Durand-Ruel une figure centrale de l’impressionnisme. Les collections des musées d’Orsay, de Londres et de
Philadelphie comptent près de 200 oeuvres passées par sa galerie. L’exposition réunit près de 80 tableaux
et des documents, provenant de musées et de collections particulières du monde entier. Elle retrace entre la
Claude Monet, La Liseuse (détail), 1872, Huile sur toile, 50 x 65 cm, Baltimore, The Walters Art Museum
© The Walters Art Museum, Baltimore
fin des années 1860 et 1905, les moments-clés d’une autre histoire de l’impressionnisme, où la réception des
oeuvres, leur diffusion, leur circulation sont considérées comme un élément de leur meilleure compréhension.
Cette exposition prend place dans les salles du Musée du Luxembourg qui abritait au temps de Paul DurandRuel le musée des artistes vivants, où les impressionnistes ont été difficilement et lentement acceptés. Afin
d’offrir une vision alternative de l’art de son époque, le marchand ouvrait son appartement à la visite.
L’évocation de l’«appartement-musée» de Durand-Ruel constitue le point de départ de l’exposition qui aborde
au fil de cinq autres sections, le goût du marchand pour la « Belle Ecole de 1830 » (Delacroix, Rousseau,
Corot, etc...), ses premiers achats aux impressionnistes et à Manet, à Londres et à Paris, les années de
crise à travers l’exemple de l’exposition impressionniste de 1876, la promotion des artistes à travers l’essor
des expositions particulières autour du cas de Monet en 1883 et en 1892, pour se clore sur la diffusion
de l’impressionnisme aux Etats-Unis et en Europe, avec un accent sur l’exposition historique des Grafton
Galleries à Londres en 1905.
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commissaires : Sylvie Patry, conservateur en chef au musée d’Orsay, Anne Robbins, Christopher Riopelle,
conservateurs à la National Gallery de Londres, Jennifer A. Thompson, Joseph J. Rishel, conservateurs au musée
au Philadelphia museum of Art.
Avec l’aide des Archives Durand-Ruel pour les recherches.
scénographie : bGc studio
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ouverture : du mardi au jeudi, de 10h à 19h
lundi et vendredi de 10h à 22h ; samedi et
dimanche de 9h à 20h.
24 et 31 décembre de 10h à 18h
Fermée le 25 décembre
tarifs : 12 €, TR 7,5 € (16-25 ans, demandeurs
d’emploi et famille nombreuse)
gratuit pour les moins de 16 ans, bénéficiaires
des minima sociaux
publications aux éditions de la Réunion
des musées nationaux - Grand Palais,
Paris 2014 :
- catalogue de l’exposition, relié, 22.5 x 26
cm, 240 p., 268 ill., 39 €
- album de l’exposition, broché, 21 x 26.5 cm,
48 p., 40 ill., 10 €
contact presse :
Réunion des musées nationaux Grand Palais
254-256 rue de Bercy
75 577 Paris cedex 12
Florence Le Moing
[email protected]
01 40 13 47 62
accès : M° St Sulpice ou Mabillon
Rer B Luxembourg
Bus : 58 ; 84 ; 89 ; arrêt Musée du
Luxembourg / Sénat
informations et réservations :
www.grandpalais.fr et
www.museeduluxembourg.fr
Cette exposition bénéficie du soutien d’Orange et de Credit Suisse
communiqué
Haïti
Deux siècles de création
artistique
19 novembre 2014 – 15 février 2015
Grand Palais
Galeries Nationales
Cette exposition est organisée par la Réunion des musées
nationaux - Grand Palais.
Elle est placée sous le haut patronage de Monsieur François
Hollande, Président de la République française et Monsieur
Michel Martelly, Président de la République d’Haïti.
Cette exposition est dédiée à la création artistique haïtienne, du XIXe siècle à aujourd’hui. Autour d’un noyau
d’œuvres contemporaines, certaines réalisées spécifiquement pour l’occasion, elle présente selon un parcours
non chronologique, des temps forts de l’histoire de l’art haïtien, et propose de porter un nouveau regard à cet art
insuffisamment connu en France.
L’exposition a pour objectif de dépasser les stéréotypes de la peinture naïve et de transcender la vision magico-religieuse et exotique trop souvent associée de manière restrictive à l’art haïtien. Sans écarter les influences
syncrétiques des symboles chrétiens, maçonniques et vaudou sur l’imaginaire collectif, l’exposition rend compte
de l’extraordinaire vitalité de la création artistique, où tout se métamorphose en toutes circonstances, où se côtoient de manière singulière le « pays réel » et le « pays rêvé ».
Depuis la fin du XXe siècle, la concentration urbaine à Port-au-Prince et l’effervescence qui parcourt la société
haïtienne a favorisé l’émergence d’une esthétique contemporaine à travers la peinture, le dessin, l’installation, la
vidéo, la sculpture d’objets recyclés…
Autour de sept sections, dont un Duo avec Jean-Michel Basquiat et Hervé Télémaque, la scénographie laisse
une large place aux artistes contemporains de toutes générations vivant en Haïti (Mario Benjamin, , Sébastien
Jean, André Eugène, Frantz Jacques dit Guyodo, Celeur Jean-Hérard, Dubréus Lhérisson, Patrick Vilaire, Barbara Prézeau, Pascale Monnin…), en France (Hervé Télémaque, Elodie Barthélemy), en Allemagne (Jean-Ulrick
Désert), en Finlande (Sasha Huber), aux États-Unis (Edouard Duval Carrié, Vladimir Cybil Charlier), au Canada
(Marie-Hélène Cauvin, Manuel Mathieu).
À l’extérieur du Grand Palais, les visiteurs sont accueillis par une sculpture monumentale d’Edouard Duval Carrié.
Aux lendemains de l’Indépendance d’Haïti, au début du XIXe siècle, des académies de peinture sont créées par
les dirigeants de la première République noire du monde. Animées pour la plupart par des peintres européens,
elles donnent naissance à l’art du portrait (Colbert Lochard, Séjour Legros, Edouard Goldman), consacré essentiellement aux hommes et femmes de pouvoir confrontés à la nécessité de se construire une identité historique.
Pierrot Barra, Sans titre (détail), 1993, poupées, tissu, guirlandes, nacre ; 74 x 48 x 41 cm ; Port-au-Prince, collection Reynald Lally
Photo Jorge Alberto Perez
Cette tradition du portrait officiel sera ensuite interprétée, sous forme de satire, pour témoigner du climat politique
tourmenté d’Haïti.
Fondé en 1944, le Centre d’Art de Port-au-Prince, devient le lieu emblématique de la vie artistique haïtienne. Avec
une rare puissance évocatrice, les artistes populaires font irruption dans la ville et forcent à la reconnaissance de
leurs sensibilités (Hector Hyppolite, Philomé Obin, Préfète Duffaut, Wilson Bigaud, Robert Saint-Brice…).
En forme de dissidence, les années 50 voient naître un nouvel élan créatif avec l’ouverture du Foyer des arts
plastiques, puis de la galerie Brochette. Des artistes, parmi lesquels Lucien Price, Max Pinchinat, Roland Dorcély… en quête de nouveaux paradigmes, explorent alors les voies de l’abstraction et du surréalisme dans un
contexte d’échanges permanents avec les artistes ou les intellectuels américains et européens.
Avec près de 60 artistes et plus de 160 œuvres provenant de collections publiques ou privées haïtiennes (Musée
du Panthéon national haïtien, Musée d’art haïtien du Collège Saint-Pierre, Bibliothèque des Pères du Saint-Esprit, Loge L’Haïtienne du Cap-Haïtien, Fondation FPVPOCH / Marianne Lehmann, Fondation Culture Création),
françaises (Château de Versailles, Musée d’art moderne de la Ville de Paris, Musée d’art contemporain de Marseille), américaine (Milwaukee Art Museum), l’exposition présente une création artistique dégagée de tout cadre
rigide, mêlant sans difficulté poésie, magie, religion et engagement politique.
Ces œuvres d’une extraordinaire richesse qui n’ont cessé de jaillir au cœur du destin agité d’Haïti – certaines
restaurées après le séisme de janvier 2010 – sont en grande partie présentées pour la première fois en France.
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commissaires : Régine Cuzin, commissaire indépendante, fondatrice de l’association OCEA, Paris et Mireille
Pérodin-Jérôme, directrice des Ateliers Jérôme, Port-au-Prince
scénographie : Sylvain Roca et Nicolas Groult
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ouverture :
du jeudi au lundi de 10h à 20h
fermeture hebdomadaire le mardi
mercredi de 10h à 22h
tarifs :
12 €, TR 9 € (16-25 ans), gratuité pour
les moins de 16 ans
à partir du 6 décembre, tout billet
réservé ou acheté sur place est
valable pour 2 personnes.
accès :
métro ligne 1 et 13 « Champs-Elysées-Clemenceau » ou 9 « Franklin D.
Roosevelt »
publications aux éditions de la Réunion
des musées nationaux - Grand Palais :
- catalogue de l’exposition
22,5 x 26 cm, 232 pages, 190 illustrations,
39 €
- application mobile gratuite et audioguide payant
contacts presse :
Réunion des musées nationaux Grand Palais
254-256 rue de Bercy
75 577 Paris cedex 12
Florence Le Moing
[email protected]
01 40 13 47 62
Sandrine Mahaut
[email protected]
01 40 13 48 51
renseignements et réservations sur :
www.grandpalais.fr
#expohaiti
Avec le soutien de la Fondation Daniel et Nina Carasso, sous l’égide de la Fondation de France
et de la Banque de la République d’Haïti
communiqué
Bon Boullogne
(1649-1717)
Un chef d’école au
Grand Siècle
5 décembre 2014 – 5 mars 2015
Musée Magnin
4 rue des Bons Enfants
21 000 Dijon
Cette exposition est organisée par la
Réunion des musées nationaux - Grand
Palais et le musée Magnin.
Cette rétrospective a pour vocation de faire redécouvrir l’œuvre de Bon Boullogne (1649-1717) qui,
avec Charles de La Fosse (1636-1716), Jean Jouvenet (1644-1717), Antoine Coypel (1661-1722) et
Louis de Boullogne (1654-1733), fut l’un des cinq plus célèbres peintres d’histoire de la fin du règne
de Louis XIV. Lors des expositions Les Peintres du Roi-Soleil (1968), Les Amours des Dieux (1990),
La Peinture française au Grand Siècle (1994), aucune peinture de Bon Boullogne n’était présentée.
L’œuvre de Jouvenet, La Fosse, Coypel sont connus par de nombreux travaux ; le cabinet des arts
graphiques du Musée du Louvre a consacré une exposition aux dessins de Louis de Boullogne en
2010. Quant à son frère Bon, il n’a jamais été l’objet d’un travail de fond, ce qui tient sans doute
à la difficulté à reconstituer son œuvre. De fait, dès 1745, Dézallier d’Argenville avait remarqué
le caractère protéiforme de la production de Bon Boullogne. Et s’il est vrai que son œuvre tend à
échapper aux méthodes de classement, il adopta néanmoins une manière relativement constante :
passées les années 1690, un véritable répertoire formel commença à voir le jour. C’est ainsi qu’une
trentaine d’œuvres de sa main ont pu être identifiées dans les musées de France et collections
privées.
L’œuvre de Bon Boullogne est diversifié, tant du point de vue des genres que des techniques. Tantôt
imite-t-il les grands Bolonais, tantôt réalise-t-il des pastiches des petits maîtres hollandais du Siècle
d’or. Cette dimension insolite apparaîtra dans l’exposition, de même que le rôle considérable que
Boullogne joua sur le plan de l’enseignement. Non seulement la plupart des peintres français actifs
au tournant du siècle furent formés dans son atelier, mais en multipliant les sujets mythologiques
peuplés de nudités, Boullogne posa également les bases du goût qui allait prévaloir dans la première
moitié du 18e siècle. L’exposition permettra d’enrichir notre perception de l’histoire de l’art, au nom
de laquelle une rupture aurait eu lieu à partir de la Régence. Dès les années 1690, les tableaux de
Bon Boullogne montrent que la transformation était déjà en cours.
Bon Boullogne, La Naissance de Vénus (détail), huile sur toile, 65 x 81 cm, Dijon, Musée Magnin
© RMN-Grand Palais (musée Magnin) / Stéphane Maréchalle
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commissaire scientifique : François Marandet, historien de l’art, spécialiste de Bon Boullogne
commissaire général : Rémi Cariel, conservateur en chef, directeur du musée Magnin
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ouverture : tous les jours de 10h à 12h et
de 14h à 18h, sauf le lundi.
publication aux éditions de la Réunion
des musées nationaux - Grand Palais,
Paris 2014 :
tarifs : Tarif plein : 5,5 € ; Tarif réduit : 4,50 €
Droit de conférence : 4,5 € (1h)
incluant les collections permanentes. Gratuit
pour les moins de 26 ans (ressortissants de
l’UE ou en long séjour dans l’UE) et pour
tous les publics le premier dimanche de
chaque mois.
• catalogue de l’exposition
22 x 28 cm, 144 pages, 125 illustrations,
35 €
contact presse :
Réunion des musées nationaux Grand Palais
254-256 rue de Bercy
75577 Paris cedex 12
Florence Le Moing
[email protected]
01 40 13 47 62
informations et réservations :
www.musee-magnin.fr
www.grandpalais.fr
l’exposition bénéficie du soutien de la MAIF, mécène et partenaire éducation et du
Cabinet Cléon Martin Broichot associés :
prochains événements au Grand Palais
automne 2014
Biennale des antiquaires (du 11 au 21 septembre 2014)
Pour sa 27ème édition, Christian Deydier, Président du Syndicat National des Antiquaires a fait appel à Jacques Grange décorateur au talent mondialement reconnu. Il mettra en scène les jardins de
Versailles sous la prestigieuse verrière du Grand Palais, grâce au précieux concours des jardiniers du
Château de Versailles et de Trianon.
Rendez-vous majeur et incontournable du marché de l’art depuis plus de six décennies La Biennale, véritable musée éphémère, réunit les meilleurs antiquaires venus présenter leurs plus grands chefs d’œuvres
Intransigeant sur le sérieux et le professionnalisme des antiquaires qu’il représente, le SNA exige des
exposants une qualité d’objet irréprochable, que définit très précisément le règlement des « Commissions d’admission des objets ». La liste des consultants chargés de mener à bien ces commissions
d’admission des objets sera prochainement rendue publique, dans un souci de transparence.
Contact presse :
Xavier Samson / Jacques Babando Communication
[email protected]
06 87 13 44 52
Après Shanghai et New York, l’exposition « Air France, France is in the air » se pose
à Paris. Une occasion unique de découvrir l’art du voyage à la française selon Air
France.
Conçue comme un voyage, cette exposition inédite vous plonge au cœur d’expériences
réelles et virtuelles.
Petits et grands, voyageurs d’un jour ou de toujours, Air France vous invite à découvrir
quelques- unes de ses collaborations avec de grands créateurs et son nouvel univers du
voyage au long cours.
Embarquez pour l’exposition la plus aérienne de l’année ! Pour que rien ne vous échappe
et pour gagner des billets d’avion, laissez-vous guider par l’application mobile « Air France
Expo », téléchargeable sur l’AppStore et Google Play.
Contact presse :
AIRF_1407279_Expo Best France_40x60_Aff.indd 1
Nathalie Hédin
01 41 56 84 15
[email protected]
http://expo.airfrance.com
28/07/14 14:29
Paris Photo (du 13 au 16 novembre 2014)
Paris Photo, première foire internationale dédiée au medium de la photographie, accueille
une sélection internationale de 136 galeries et 27 éditeurs témoignant de la vitalité de la
scène photographique mondiale, du XIXe siècle à nos jours. Paris Photo propose également une riche programmation : les expositions d’une Collection privée et une exposition
des Acquisitions récentes d’institutions internationales ; l’exposition Livre ouvert et la 4e édition du Prix du livre The Paris Photo – Aperture Foundation Photobook Awards attestent de
l’importance de la place du livre dans la photographie. Enfin, la Plateforme Paris Photo offre
un ensemble de débats et entretiens conçus chaque année par un commissaire nommé.
Contact presse :
Marika Bekier / Claudine Colin Communication
[email protected]
01 42 72 60 01
http://www.parisphoto.com/
FIAC (du 23 au 26 octobre 2014)
Pour sa 41e édition, la FIAC , rendez-vous incontournable de la création artistique, poursuit
son développement et confirme son statut de foire internationale de premier plan. La FIAC
2014 rassemble au Grand Palais près de 190 galeries d’art moderne, d’art contemporain
et de tendances émergentes venues de 26 pays. Avec ses projets Hors les Murs, la FIAC
manifeste parallèlement une volonté de renforcer durablement son identité en investissant
des sites d’un prestige inégalé, situés au cœur de Paris, à travers des parcours d’exposition
d’œuvres extérieures, des cycles de conférences, de performances et des projections de
films d’artistes
Contact presse :
Marine Le Bris/ Thomas Lozinski / Claudine Colin Communication
[email protected]
01 42 72 60 01
http://www.fiac.com/
23-26
octobre
2014
grand palais
et hors
les murs, paris
Organisé par
Partenaire officiel:
© MM PARIS 1
Le plus grand événement électro de la rentrée est de retour le 11 octobre !
Cette année, la 6ème Nuit SFR Live investit la nef du Grand Palais mais aussi Lille (Magazine Club), Strasbourg (La Laiterie), Marseille (One Again Club),
Bordeaux (I.Boat) et Nantes (LC Club), pour culminer dans un grand moment de
communion électro : grâce au Très Haut Débit de SFR, le set de l’artiste-phare
sera vécu en direct dans chaque salle.
C’est Madeon qui assurera le show en simultané, avec son nouveau live étourdissant présenté en direct dans les 6 villes. Participez à son spectacle interactif
et lumineux en téléchargeant dès maintenant l’application mobile «La Nuit SFR
Live».
A Paris, on retrouvera également Tale of Us, Popof, Worakls, Jabberwocky et
Julien Villa (jeune talent SFR).
Les infos pratiques :
Date : 11/10/204
Espace : Nef du Grand Palais
Tarifs : Préventes (Digitick) : 30€ ; Sur place : 35€. Les clients SFR peuvent
réserver leur billet coupe-file à tarif réduit (25€) sur SFR Live Pass.
Horaires : 22h - 06h
Site : www.nuitsfrlive.fr
Contact presse:
Netta Margulies,
[email protected]
Art en Capital (du 26 au 30 novembre 2014)
Contact presse :
Martine Delaleuf, Présidente de l’événement pour 2014
01 53 59 52 49
06 74 76 65 67
[email protected]
Osons la France Tous visionnaires (du 4 au 7 décembre 2014)
Contact presse :
Sibylle de Villeneuve
[email protected]
06 45 29 58 57
06 45 29 58 57
Le Grand Palais des Glaces (du 13 décembre 2014 au 4 janvier 2015)
Contact presse :
Ségolène de Buor
[email protected]
01 47 59 04 04
06 11 53 39 08
à venir en 2015
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Les vrais Tudors (13 mars – 19 juillet 2015)
Musée du Luxembourg
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Velazquez et le triomphe de la peinture espagnole (25 mars – 13 juillet 2015)
Grand Palais, Galeries Nationales
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Jean Paul Gaultier (1er avril– 3 août 2015)
Grand Palais, Galeries Nationales
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Icônes américaines. Chefs-d’oeuvre du SF MOMA et de la collection Fisher
(8 avril – 22 juin 2015) Grand Palais, Galeries Nationales
•
Elisabeth Louise Vigée Le Brun (1755-1842) (21 septembre 2015– 11 janvier2016)
Grand Palais, Galeries Nationales