labiche

Transcription

labiche
La Compagnie Gaz à tous étages
présente
Soirée théâtrale APAEC
au profit d’enfants défavorisés de Colombie
LABICHE
Au menu, 3 petites pièces à déguster :
29 degrés à l'ombre
accompagné de bières et Chablis…
Garanti 10 ans
arrosé de moelle et sang de bœuf…
Les 37 sous de Monsieur Montaudoin
un dessert en chanson !
Un spectacle mitonné par JLM REDVAL
Samedi 23 novembre 2013
à 20 Heures tapantes
Théâtre du Petit Parmentier,
Place Parmentier, 92200 Neuilly-sur-Seine.
Trois petites pièces de LABICHE à déguster…
Sommaire
Mais pourquoi LABICHE ?
Page 3
29 degrés à l’ombre
Page 4
Garanti 10 ans
Page 5
Les 37 sous de Monsieur Montaudoin
Page 6
Distribution
Page 7
Biographie d’Eugène Labiche
Pages 8 et 9
Renseignements pratiques
Page 10
(Dates, horaires, tarifs, réservations, accès…)
La Compagnie Gaz à tous les étages en bref
Page 11
LABICHE, trois petites pièces à déguster…
Mais pourquoi LABICHE ?
Pour fêter le 10ème anniversaire de notre compagnie, nous voulions un menu théâtral festif
dédié à un large public, les petits comme les grands.
Très vite, Labiche s’est imposé.
Eugène Labiche nous offre une peinture à la fois tendre et féroce des mœurs du XIXème
siècle, de la monarchie restaurée, mais finissante, à la 3 ème république naissante en passant par
l’effervescence du Second Empire.
Sous la simplicité du style et la légèreté du ton, on découvre chez Labiche une critique
pertinente et moderne de la classe bourgeoise de son temps, étonnamment proche de la nôtre.
Dans les trois pièces que nous vous proposons de déguster s’agitent, entre autres, des
affairistes, des calculateurs, des jaloux, des séducteurs, des cupides, des égoïstes, des
hypocrites, des menteurs, des couards… C’est la comédie humaine et nous pouvons nous
reconnaître dans ces caricatures cocasses d’une acuité proche d’Honoré Daumier, son
contemporain.
Le comique de Labiche est pur, l’homme est d’une gaité sans réticence et sans malice.
Il appartient à une rare catégorie d’auteurs qui font réfléchir en s’amusant : par l’originalité de
son esprit, la profondeur de ses observations, Labiche a conquis une place au premier rang
des auteurs comiques français. Digne successeur de Molière, Labiche est considéré comme un
précurseur du théâtre de l’absurde.
En 2013, Eugène Labiche connaît un retour en force ; Le chapeau de paille d’Italie est à
l’honneur ainsi que ses grands classiques en 2, 3, 4 ou 5 actes. On lui connait plus de 170
pièces, dont 108 en un acte écrites pour des « levers de rideaux », véritables « amusegueules » pour chauffer le public.
Nous avons sélectionné trois de ces petites pièces en un acte, «trois morceaux de choix » qui
permettent de goûter Labiche avec délectation.
LABICHE, trois petites pièces à déguster…
29 degrés à l’ombre
Comédie-vaudeville en un acte
La pièce a été créée à Paris au théâtre du Palais Royal, le 9 avril 1873
6 personnages
Durée : 35 minutes
A propos de la pièce :
29 degrés à l’ombre est l’une des 7 pièces écrites par Labiche seul (pour l’ensemble de son
œuvre, on recense plus de 40 collaborateurs).
Lors de sa création à Paris, les réactions négatives de la critique dénoncèrent le caractère
licencieux de certaines situations et répliques. Cependant, Théodore de Banville salua avec
enthousiasme cette œuvre ; dans un article, publié par le National les 14, 15 avril 1873, il
écrit : « Bouffonnerie folle, insensée et charmante… Monsieur Labiche a jeté dans cette
esquisse fugitive quelque chose de son incomparable génie comique ».
Ce succulent morceau de bravoure est considéré comme l’un des chefs d’œuvre de
l’impressionnante production de pièces en un acte d’Eugène Labiche. Aujourd’hui, elle fait
l’objet de nombreuses reprises.
L’histoire :
Un dimanche à la campagne chez les Pomadour. Le maître de maison impose à ses invités
d’interminables parties de tonneau. Les gains sont destinés à la construction d’une école,
fierté de Pomadour, petit bourgeois qui se donne bonne conscience. La canicule échauffe les
sens et les esprits : un invité de dernière heure embrasse la maîtresse de maison. Le mari
outragé se sent obligé de laver cet affront. Oui, mais comment ?
Car Monsieur Pomadour, marchand d’épées de son métier, fanfaronne. Très vite, son
héroïsme laissera la place à sa couardise naturelle. Un duel pour risquer sa vie ? Il n’en n’est
pas question, même si cette joute flatterait l’orgueil de Madame Pomadour…
LABICHE, trois petites pièces à déguster…
Garanti 10 ans
Comédie en un acte, écrite par Eugène Labiche en collaboration avec Philippe Gille.
La pièce a été créée à Paris au théâtre des Variétés le 12 février 1874.
6 personnages.
Durée : 30 minutes
A propos de la pièce :
Garanti 10 ans est un condensé des recettes de Labiche. Les amateurs de ce grand chef du
vaudeville apprécieront la farce et retrouveront le goût de ses grands classiques qui ont
contribué à son succès.
Un quiproquo sur mesure, 15 scènes brèves et vives, 30 minutes de gourmandise…
La loufoquerie soutient la caricature : symétrie comique, bains de pieds à la moelle de bœuf,
coups de sonnettes intempestifs d’un étage à l’autre, clowneries derrière un paravent. Les
dames prêtes à succomber à la tentation et les maris trompés qui jubilent des infortunes de
leurs semblables sont à la fête….
L’histoire
Monsieur Chaponais, bourgeois hypocondriaque, a signé un contrat de 10 ans avec son
médecin, Monsieur Martaban, pour qu’il le soigne quotidiennement. Martaban s’est installé
dans l’appartement au-dessus de celui de Chaponais pour être plus proche de son « malade ».
Ces messieurs sortent régulièrement, avec leurs épouses, aux spectacles de la vie parisienne.
Mais M. Chaponais est tourmenté, au grand dam de son docteur : il a trouvé dans l’étui à
lunettes de Ninette, sa femme, un petit mot doux ! Mais qui est ce galant ? Et pourquoi ne
poursuit-il pas plutôt madame Martaban, plus jeune, plus jolie ?.....
LABICHE, trois petites pièces à déguster…
Les 37 sous de Monsieur Montaudoin
Comédie-vaudeville en un acte, écrite par Eugène Labiche en collaboration avec Edouard
Martin.
La pièce a été créée à Paris, au théâtre du Palais Royal, le 30 décembre 1862.
7 personnages + les invités de la noce.
Durée : 55 minutes.
A Propos de la pièce :
Dès sa création, Les 37 sous de Monsieur Montaudoin connut un grand succès. Cette pièce fut
jouée sans interruption de décembre 1862 à février 1863. La presse unanime salua en
particulier l’effet comique des scènes dans lesquelles la lecture du contrat de mariage est sans
cesse interrompue, puis reprise, au rythme des états d’âme de M. Montaudoin. Sarcey, le
célèbre critique de l’époque, souligna dans L’Opinion nationale les éclats de rire que
procurait la répétition des refrains par les membres de la noce.
On pense bien entendu au Chapeau de paille d’Italie. Mais cette comédie-vaudeville
construite en un acte nous offre un véritable festin scénaristique qui illustre parfaitement l’une
des réflexions de Labiche : « Une fois mon plan fini, je le reprends et je demande à chaque
scène à quoi elle sert, si elle prépare ou développe un caractère, une situation, enfin, si elle
fait marcher l’action. Une pièce est une bête à mille pattes qui doit toujours être en route. Si
elle ralentit, le public baille, si elle s’arrête, il siffle. »
L’histoire :
Jour de noce chez les Montaudoin : Fernande doit épouser Isidore, un jeune caissier
ambitieux et cupide. Mais M. Montaudoin est inquiet : depuis la naissance de sa fille, il lui
manque tous les jours 37 sous… Qui est donc le voleur ? Madame Montaudoin a économisé,
à l’insu de son mari, une somme rondelette qu’elle veut remettre à sa fille. Elle la confie à M.
Pénuri, un ami de son mari, afin qu’il offre à Fernande, en son nom, cette dot inattendue.
Montaudoin s’étonne de ce cadeau, d’autant que Pénuri l’accompagne d’un poème, le même
que celui qui était écrit dans un bouquet anonyme offert à Mme Montaudoin, lors de son
mariage ! Il n’en faut pas plus à Montaudoin pour croire qu’il a été trompé par sa femme et
que sa fille n’est pas de lui. La signature du contrat connait alors toute une série de
rebondissements ponctués par les vociférations et les chants de la famille, des invités et du
notaire …
LABICHE, trois petites pièces à déguster…
Distribution (par ordre d’entrée en scène):
29 degrés à l’ombre
Monsieur Pomadour :
Courtin :
Piget :
Thomas, jardinier :
Adolphe :
Madame Pomadour :
Philippe Soutif
Hervé Cras
Michel Lucien
Laurent Septe
Jean-Christophe Bertéa
Nathalie Guéveneux
Garanti 10 ans
Monsieur Chaponais :
Lombard, domestique de Chaponais :
Monsieur Martaban, docteur :
Madame Ninette Chaponais :
Monsieur Ernest de Pontfarcy :
Madame Henriette Martaban :
Dominique Poilpré
Hervé Cras
Charles Juster
Michelle Redval
Olivier Kelsch
Nathalie Guéveneux
Les 37 sous de Monsieur Montaudoin
Joséphine, la cuisinière :
Mademoiselle Fernande Montaudoin :
Madame Nisida Montaudoin :
Monsieur Montaudoin :
Lemartois, notaire :
Isidore :
Ernest-Aglaure Pénuri :
Les invités :
Michelle Redval
Romy Trajman
Véronique Filippi
Boris Eloy
Jean-Louis Redval
Laurent Septe
Pierre-Paul Lanrivin
Jean-Christophe Bertéa, Hervé Cras, Nathalie
Guéveneux, Gabriela Ignacik, Karine Joubert, Charles
Juster, Olivier Kelsch, Pierre-Paul Lanrivin, Michel
Lucien, Dominique Poilpré, Jocelyne Roudier, Philippe
Soutif, Juliette Terquetil
Son, bruitage, musique :
Décoration :
Maxime Redval
Hervé Cras, Véronique
Dominique Poilpré
Thibauld Redval
Gabriela Ignacik
Véronique Hauller
Philippe Duthil
JLM Redval
Graphisme :
Costumes :
Lumière :
Catering et régie :
Mise en scène :
Filippi,
Michel
Lucien,
LABICHE, trois petites pièces à déguster…
Eugène Labiche, biographie
Eugène Labiche nait le 6 mai 1815 à Paris. Issu d’une famille bourgeoise aisée, il obtient son
baccalauréat littéraire à 18 ans. Il fait alors un voyage en Italie en compagnie de quelques
amis, dont Alphonse Leveaux qui deviendra l’un de ses collaborateurs. Au retour de ce
voyage, il entame des études de droit tout en publiant des nouvelles. Il rencontre ainsi
Auguste Lefranc et Marc-Michel, avec lesquels il fonde une association (qu’il appelle « usine
dramatique ») pour créer des pièces de théâtre. Ils prennent le pseudonyme collectif de Paul
Dandré.
Auguste Lefranc est le cousin du célèbre Eugène Scribe. Cet auteur prolifique, joué sur les
principales scènes parisiennes et en particulier la Comédie française, fait bénéficier ces jeunes
gens de ses conseils et ses appuis. A la grande surprise d’Eugène Labiche, leurs pièces sont
acceptées aussitôt ; considérant la comédie comme un genre inférieur, ils se tournent vers le
drame, mais le succès mitigé de ces créations et le caractère gai des trois jeunes gens les
incitent à écrire des vaudevilles, farces et pochades.
Eugène Labiche se marie en 1842 avec une jeune héritière de 18 ans dont il aura un fils. Au
début, la production de Labiche est plutôt modeste : 2 à 3 pièces en moyenne par an. C’est un
jeune bourgeois dilettante qui n’a pas besoin d’écrire pour vivre. Puis son rythme s’accélère.
Il écrit sans relâche des pièces en un acte dont le comique est basé sur des péripéties et des
situations burlesques.
Labiche tente d’entrer en politique. Candidat malheureux à la députation, il réagit aux
journées révolutionnaires de 1848 avec deux pièces au ton virulent : Le club champenois et
Rue de l’homme armé n°8 bis. Puis c’est le coup d’état de Louis Napoléon Bonaparte et
l’avènement du Second Empire.
Pour Labiche, les succès s’enchainent grâce à son humour satirique, sa fantaisie cocasse qui
mêle quiproquos et rebondissements. La plupart de ses pièces sont écrites à quatre mains,
comme c’est l’habitude à cette époque (on lui recense plus de 40 collaborateurs), mais la
notoriété ne retiendra que le nom de Labiche.
Entre 1848 et 1859, il fait jouer en moyenne une dizaine de pièces par an. Il connaît de grands
succès parmi lesquels Embrassons-nous Folleville, L’affaire de la rue Lourcine et
particulièrement Le chapeau de paille d’Italie (1851). Il est sollicité par Jacques Offenbach,
alors directeur des Bouffes-Parisiens pour écrire le livret d’une opérette L’omelette à la
Follembuche, mise en musique par un compositeur débutant : Léo Delibes. Il écrit aussi les
livrets de plusieurs opéras comiques (Le voyage en Chine, le fils
du brigadier, le Corricolo, tous trois créés à l’Opéra-Comique en collaboration avec Alfred
Delacour).
En 1853, il achète le château de Launoy à Souvigny, en Sologne, avec 900 hectares de terre
qu’il exploite lui-même ; il est élu maire de sa commune en 1868.
Dans les années 60, il donne encore quelques chefs d’œuvre, en particulier Le voyage de
Monsieur Perrichon qui lui vaut le titre de « roi du vaudeville», la Cagnotte, La poudre aux
yeux, La Station Champbaudet. Moi est joué à la Comédie-Française en 1864.
La guerre de 1870 et les événements de la Commune freinent la production de Labiche sans
en altérer, bien au contraire, la qualité : Doit-on le dire et 29 degrés à l’ombre sont des pièces
encore très prisées aujourd’hui. Suivront Garanti 10 ans, le Prix Martin et enfin sa dernière
pièce, en 1877, La clé, qui ne rencontre pas le succès escompté.
Labiche prend la décision de ne plus écrire et il se consacre, sur les instances d’Emile Augier,
à la publication de son théâtre complet. Il a alors 62 ans. Il est élu à l’Académie française le
26 février 1880, malgré l’opposition de Victor Hugo et de Ferdinand Brunetière qui déplore
« l’invasion des genres inférieurs ».
Souffrant de graves problèmes cardiaques, il meurt à Paris le 22 janvier 1888, à l’âge de 73
ans, après avoir signé plus de 170 pièces.
En dépit de ses succès, Labiche ne fut jamais pleinement satisfait de ses œuvres. Il se
considère comme un auteur de vaudeville, genre peu considéré des gens de lettres. Il aspire à
des œuvres « supérieures », non le drame qui ne lui avait pas réussi mais au moins la comédie
de mœurs. Il aurait aimé écrire surtout pour le théâtre du Gymnase et la Comédie-Française
qui ont trop souvent boudé ses œuvres. Aujourd’hui, Labiche fait partie des 20 auteurs
français les plus joués par la Maison de Molière.
En réponse à un article d’Emile Zola dans le bien Public du 17 juin 1878, lors de la sortie du
premier volume de son théâtre complet, Labiche répond : « Je trouve que vous avez
parfaitement caractérisé la nature de mon talent (si talent il y a) : je suis un rieur. Quelquesuns voient triste, moi, je vois gai, ce n’est pas ma faute, j’ai l’œil fait comme ça. Je n’ai ni à
m’en applaudir, ni à m’en excuser. J’ai beau faire, je ne peux pas prendre l’homme au
sérieux, il me semble n’avoir été créé que pour amuser ceux qui le regardent d’une certaine
façon ».
Renseignements pratiques
La Représentation :
Date :
Samedi 23 novembre 2013
Prix des places :
20 euros par personne (15 euros en cas d’inscription avant le 30
octobre)
Horaires :
• Accueil à partir de 19H
• Ouverture de la salle de théâtre à 19H45
• Représentations à 20H précises
• Entracte à 21H environ – Rafraîchissements (dont la célèbre piña colada !) – Vente
d’artisanat colombien (idéal pour prévoir ses cadeaux de Noël !)
• Fin du spectacle à 22H15. Fermeture de la salle à 22H30.
Le Théâtre du Petit Parmentier pratique
Situation :
Le théâtre est situé place Parmentier, à Neuilly sur Seine, à proximité de la Porte Maillot et de
l’avenue des Ternes (Paris 17ème).
La salle se trouve à l’intérieur du bâtiment de la Maison des Jeunes et de la Culture de Neuilly
sur Seine (anciennement appelé Centre Culturel Louis de Broglie).
Accès :
• en voiture de Paris : prendre l’avenue des Ternes, puis dans Neuilly, suivre l’avenue
du Roule et tourner à gauche dans la rue Parmentier pour accéder à la place
Parmentier.
• en voiture de Neuilly : prendre l’avenue Achille Peretti, puis suivre l’avenue du Roule
et tourner à droite dans la rue Parmentier pour accéder à la place Parmentier.
• en métro : ligne 1, stations Porte Maillot ou Les Sablons.
• en bus : ligne 43, arrêt Montrosier-Parmentier.
Parkings :
• Place du Marché, 16 place du Marché
• Parmentier, avenue du Roule
• Palais des Congrès, porte Maillot.
Restauration à proximité : Bar, restaurants, brasseries, place Parmentier et rues adjacentes
La Compagnie Gaz à tous les étages en bref
La Compagnie Gaz à tous les étages est une association culturelle indépendante, à but non
lucratif, composée aujourd’hui de 2 pôles : théâtre et cinéma.
Autour de ces 2 pôles, gravitent une quarantaine de personnes : metteurs en scène,
réalisateurs, comédiens, auteurs, scénaristes, compositeurs, musiciens, ingénieurs
du son, maquilleuses, costumières, designers, infographistes, sculpteur, accessoiristes,
techniciens, communicateurs, etc.
Fondée en 2003, la Compagnie Gaz à tous les étages a monté, jusqu’en 2013, 10 pièces de
théâtre, coproduit un court métrage (La Revenante de Véronique Hauller) et participé à
différents tournages.
La Compagnie Gaz à tous les étages a pour vocations essentielles de :
• représenter des auteurs clés peu joués,
• faire redécouvrir, sous un autre angle, des œuvres reconnues, parfois mal connues
• révéler, au théâtre comme au cinéma, de nouveaux talents, de nouvelles énergies.
Professionnels, semi-professionnels, amateurs expérimentés et débutants, tous participent
bénévolement à cette aventure avec les mêmes exigences de qualité.
Le répertoire de la Compagnie Gaz à tous les étages
• Monsieur Bonhomme et les incendiaires de Max Frisch
• Le Minotaure de Marcel Aymé
• Diplodocus de Jeanne Michaux
• Hortense a dit « je m’en fous », Dormez je le veux, Gibier de potence de Georges
Feydeau
• La Poupée de Jacques Audiberti
• 29 degrés à l’ombre, Garanti 10 ans, Les 37 sous de M. Montaudoin d’Eugène Labiche
La compagnie Gaz à tous les étages recherche des partenaires
A ce jour, notre Compagnie ne bénéficie pas de subvention. Toutes nos productions ont été
réalisées grâce au bénévolat, aux dons de membres bienfaiteurs et de mécènes, à la fidélité de
notre public et au soutien d’entreprises motivées par nos réalisations.
Pour développer nos activités, faire partager au plus grand nombre notre joie de créer, former,
jouer et pour accroître nos collaborations à des programmes humanitaires, nous souhaitons
rencontrer des entreprises, des comités d’entreprise, des associations, des clubs, des
institutions, des fondations, des collectivités susceptibles de soutenir nos projets.
Contact : Jean-Louis Redval,
[email protected]
président de
l’association, 06 88 20 06 07 -
Bulletin d’inscription
Nom :
Adresse :
Tél :
E-mail :
Nombre de places : __________ x 15 € (si inscription avant le 30/10) = __________
Nombre de places : __________ x 20 € (si inscription après le 30/10) = __________
Inscription sous réserve du nombre de places disponibles (le théâtre contient 80 places).
Une confirmation vous sera donnée par mail.
Bulletin à remplir ou recopier et renvoyer avant le 15 novembre 2013 accompagné de votre
règlement à l’ordre de l’APAEC à :
Bernard Tomianka
5 rue Fournier
92110 CLICHY
[email protected]

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