Vitamine B1 - Food Consumption Survey

Transcription

Vitamine B1 - Food Consumption Survey
5.1 VITAMINE B1
AUTEUR
Eveline TEPPERS
Remerciements
Ce travail n’aurait pu être réalisé sans la collaboration de toute une série de personnes. Nos remerciements
vont particulièrement à:
Les participants à l’enquête et les enquêteurs qui ont collecté l’information ;
Loes Brocatus, Charlotte Stiévenart et Sofie Van den Abeele pour la préparation et l’organisation du
travail de terrain, de même que leur apport dans la gestion de la base de données ;
Ledia Jani pour l’organisation et la logistique de l’enquête, de même que tout le travail en ce qui
concerne le lay-out de ce rapport ;
Sarah Bel, Koenraad Cuypers, Karin De Ridder, Thérésa Lebacq, Cloë Ost et Eveline Teppers pour la
gestion et l’analyse des données ;
Koenraad Cuypers pour la coordination du projet.
Veuillez référer aux résultats de ce chapitre de la manière suivante:
Teppers E. Vitamine B1. In: Bel S, Tafforeau J (ed.). Enquête de Consommation Alimentaire 2014-2015.
Rapport 4. WIV-ISP, Bruxelles, 2016.
TABLE DES MATIÈRES
Résumé . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5
1.Introduction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
1.1. Recommandations nutritionnelles . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
1.1.1. Apports de référence de la population . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
1.1.2. Apport maximal tolérable . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
6
6
6
7
2.Instruments . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8
2.1. Rappels de consommation alimentaire de 24 heures . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8
2.2.Indicateurs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8
3.Résultats . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9
3.1. Apports habituels . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9
3.2. Apports de référénce de la population . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 10
3.3. Sources de vitamine B1 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12
4.Discussion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15
4.1.Conclusion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 16
5.Tableaux . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 17
Vitamine B1 | Table des matières
6.Bibliographie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 43
3
RÉSUMÉ
Il est important dans un contexte de santé publique, d’avoir un apport suffisant en vitamine B1 provenant
de l’alimentation. La vitamine B1 est essentielle en effet dans le métabolisme des glucides, de fonctionnement du muscle cardiaque et du système nerveux. Les principales sources de vitamine B1 sont la viande
(surtout le porc maigre) ainsi que la volaille, le poisson, les céréales complètes et les légumes crus. Une
alimentation variée et équilibrée permettra d’assurer les besoins en vitamine B1 (1).
Apports habituels
En Belgique, en 2014, la population âgée de 3 à 64 ans présente des apports habituels moyens en vitamine
B1 provenant de l’alimentation de 0,97 mg par jour. Lorsque les apports en vitamine B1 provenant des
compléments sont également pris en compte, les apports moyens augmentent de 18 % pour passer à 1,14
mg par jour. La prise en compte des compléments génère surtout une augmentation des apports habituels
chez les femmes et en particulier chez les jeunes enfants (3-5 ans) et les adultes (18-64 ans).
Les apports habituels moyens en vitamine B1 provenant de l’alimentation sont plus élevés chez les
hommes (1,07 mg par jour) que chez les femmes (0,87 mg par jour), mais lorsque les apports provenant
des compléments sont également pris en compte, les apports habituels sont similaires pour les hommes et
les femmes (1,10 mg par jour). Les apports moyens en vitamine B1 provenant de l’alimentation semblent
augmenter légèrement avec l’âge : en effet, les plus jeunes enfants (âgés de 3 à 5 ans) présentent des
apports habituels plus faibles (0,75 mg par jour) que les personnes plus âgées (0,87 à 1,00 mg par jour).
Recommandations nutritionnelles
En Belgique, en 2014, 81 % de la population entre 3 et 64 ans présentent des apports en vitamine B1
provenant de l’alimentation qui sont inférieurs aux apports de référence de la population. Ce pourcentage
tombe à 73 % pour les femmes et 76 % pour les hommes lorsque les apports provenant des compléments sont également pris en compte. En d’autres termes, seulement 19 % de la population atteignent
les apports de référence de la population en vitamine B1 provenant de l’alimentation. Ce chiffre passe à
27 % pour les femmes et 24 % pour les hommes lorsque les apports provenant des compléments sont
également pris en compte.
Le pourcentage de la population se situant en dessous des ARP pour les apports en vitamine B1 provenant
de l’alimentation augmente jusqu’à la fin de l’adolescence (14-17 ans) pour les femmes et à partir de l’adolescence jusqu’à l’âge adulte pour les hommes. En d’autres termes, en particulier à partir de l’âge adulte,
les Belges répondent moins aux recommandations alimentaires dans ce domaine. Lorsque les apports
provenant des compléments sont également pris en compte, la proportion de femmes présentant des
apports en vitamine B1 inférieurs aux ARP augmente jusqu’à la fin de l’adolescence (14-17 ans), mais
diminue ensuite à l’âge adulte.
Vitamine B1 | Résumé
Les apports de référence de la population (ARP) pour la vitamine B1 ont été fixés à 1,5 mg par jour pour les
hommes adultes, 1,1 mg par jour pour les femmes adultes et 0,7 à 1,2 mg par jour pour les enfants et les
adolescents, selon leur âge (3-18 ans).
5
Sources alimentaires de vitamine B1
En Belgique, en 2014, les groupes alimentaires « Viande, produits dérivés et végétariens » (30 %), « Céréales
et produits céréaliers » (20 %) contribuent pour près de la moitié à l’apport total en vitamine B1 dans la
population âgée de 3 à 64 ans. En outre, les groupes alimentaires « Produits laitiers et substituts » (8 %),
« Légumes » (7 %) et « Boissons non alcoolisées » (7 %) contribuent également pour environ un quart à ces
apports. Les compléments alimentaires représentent une contribution de 3 % par rapport à l’apport total
en vitamine B1.
1.INTRODUCTION
La vitamine B1, également connue sous le nom de thiamine, est une vitamine soluble dans l’eau qui est
stable dans des solutions acides, mais peu stable à pH neutre ou alcalin. Elle est en outre rapidement
inactivée à température élevée ; un temps de cuisson trop long devrait donc être évité pour des aliments
contenant de la vitamine B1.
La vitamine B1 est une vitamine essentielle importante dans le métabolisme énergétique , car elle est
impliquée en tant que coenzyme dans des réactions libérant l’énergie des glucides. En outre, la vitamine
B1 est également nécessaire pour le bon fonctionnement du muscle cardiaque et du système nerveux. Un
déficit en vitamine B1 peut causer des troubles liés au système nerveux, tels que problèmes de concentration et perte de mémoire. D’autres symptômes peuvent apparaître comme la faiblesse musculaire, la
diminution des réflexes, la diminution de l’appétit, une perte de poids et des troubles gastro-intestinaux.
Vitamine B1 | Introduction
Une carence sévère en vitamine B1 peut survenir en cas de consommation excessive d’alcool chronique
associée à un apport inadéquat en vitamine B1 provenant de l’alimentation. L’ensemble des troubles
psychiques qui apparaissent alors (perte de mémoire, démence et délire), mieux connu sous le nom de
« syndrome de Wernicke-Korsakoff », est le résultat d’une neuropathie périphérique et d’une encéphalopathie. Une carence sévère en vitamine B1 peut également se traduire par des maladies cardiovasculaires
avec insuffisance cardiaque et formation d’œdème. Une carence en vitamine B1, également connue sous
le nom de « béribéri », est souvent décrite dans des populations (pays en développement) où les apports
en vitamine B1 sont très limités en raison d’une alimentation composée presque exclusivement de riz
décortiqué (1).
6
Les principales sources alimentaires de vitamine B1 sont la viande (surtout le porc maigre) ainsi que la
volaille, le poisson, les céréales complètes, les levures, les légumineuses, les fruits à coque et les légumes
crus. Une alimentation variée et équilibrée peut donc certainement fournir suffisamment de vitamine B1.
Cependant, certains poissons, coquillages et crustacés produisent de la thiaminase, responsable de l’inactivation de la thiamine ou vitamine B1 (1).
1.1. RECOMMANDATIONS NUTRITIONNELLES
1.1.1. Apports de référence de la population
Les apports de référence de la population (ARP)1 en ce qui concerne la vitamine B1 ont été fixés à
(Tableau 1) (1):
• 0,7 mg par jour pour les enfants à partir d’1 an et augmentent avec l’âge ;
• 1,2 mg par jour pour les adolescents ;
• 1,1 mg par jour pour les femmes adultes ;
• 1,5 mg par jour pour les hommes adultes.
Ces recommandations pour la Belgique n’ont pas changé par rapport à celles formulées par le Conseil
Supérieur de la Santé (CSS) en 2009 (2). Des adaptations ont apportées seulement pour les personnes
de plus de 70 ans, mais ce groupe d’âge n’a pas été étudié dans le cadre de l’enquête de consommation
alimentaire 2014-15). Ces recommandations sont similaires à celles publiées récemment au niveau
scandinave (3).
Les ARP augmentent significativement d’un facteur 2 dans le cas d’une consommation régulière et
excessive d’alcool, car l’alcool inhibe l’activité biologique de la vitamine B1, en réduit l’absorption intestinale et en augmente l’excrétion urinaire (4). Les ARP pour la vitamine B1 pour les adultes de plus de
64 ans, pendant la grossesse et l’allaitement ainsi que dans le cadre d’une consommation régulière et
excessive d’alcool ne sont pas pris en compte toutefois dans le cadre de l’enquête de consommation
alimentaire 2014-15.
1
Les ARP sont l’apport qui est estimé suffisant pour subvenir aux besoins de presque tous les individus en bonne santé
(97,5%) dans un groupe donné de la population.
Tableau 1 | Recommandations concernant les apports de référence de la population (ARP) en ce qui
concerne la vitamine B1 (en mg par jour), par sexe et par âge, Conseil Supérieur de la Santé,
Belgique, 2015
Age
Sexe
Vitamine B1, mg par jour
1-3 ans
H/F
0,7
4-6 ans
H/F
0,8
7-14 ans
H/F
1,0
15-18 ans
H/F
1,2
19-64 ans
H
1,5
F
1,1
Source: Conseils Supérieur de la Santé, 2015 (1).
1.1.2.Apport maximal tolérable
Vitamine B1 | Introduction
Une forte dose de vitamine B1 prise par voie orale n’est associée à aucune toxicité connue, même en cas
d’ingestion de 200 mg ou même 500 mg par jour. Un excès de vitamine B1 est en effet rapidement éliminé
via les urines. Par conséquent, il n’y a pas d’apport maximal tolérable (AMT)2 pour la vitamine B1 (4).
7
2
L’AMT est l’apport maximal considéré selon les données disponibles actuelles comme n’ayant pas d’effet négatif attendu ou
observé sur la santé.
2.INSTRUMENTS
2.1. RAPPELS DE CONSOMMATION ALIMENTAIRE DE 24 HEURES
Les participants ont été interrogés à deux reprises par des nutritionnistes, qui avaient suivi une formation
spécifique. Les questions ont porté sur la quantité et les types d’aliments qu’ils avaient consommés tout
au long de la journée précédant l’interview. Afin de soutenir au maximum la mémoire des participants, les
différents repas ont été passés en revue, par exemple, petit déjeuner, dix heures, etc. Dans un deuxième
temps, les aliments et la quantité dans laquelle ils avaient été consommés lors de chaque repas ont ensuite
été passés en revue. Cette procédure de collecte des données a été réalisée de manière standardisée au
moyen du logiciel GloboDiet®3.
Après avoir effectué un contrôle de qualité, les aliments consommés ont été couplés à des tables de composition des aliments (Nubel et NEVO). Chaque table comprend des informations nutritionnelles relatives aux
différents aliments. En d’autres termes, chaque aliment consommé a été associé à sa teneur en termes
d’énergie, de macronutriments (lipides, glucides, protéines) et de micronutriments (vitamines, minéraux et
oligo-éléments). Ceci permet notamment d’étudier l’apport de ces aliments en ce qui concerne les micronutriments, tels que la vitamine B1.
Vitamine B1 | Instruments
2.2. INDICATEURS
Deux séries d’analyses ont été réalisées sur base des données collectées lors des deux journées d’interview
au moyen du logiciel SPADE (5;6)4. Le premier type d’analyses permet de réaliser une estimation des
apports habituels en vitamine B1 provenant de l’alimentation (aliments enrichis inclus). Sans le second
type on évalue l’apport habituel en vitamine B1 provenant non seulement de l’alimentation et mais
aussi des compléments alimentaires éventuels. Un modèle évaluant la consommation journalière a été
utilisé pour le premier type d’analyse. Pour le deuxième, un modèle a été conçu pour évaluer les apports
combinés des aliments et des compléments alimentaires. Pour ces dernières analyses, il est nécessaire
de prendre en compte la proportion d’individus qui ne consomment pas de compléments alimentaires
contenant des vitamines B (information disponible via le questionnaire de fréquence de consommation
alimentaire). Sur 2.349 personnes pour lesquels l’information était disponible, 1.908 (soit 81,2 % de l’échantillon) ont indiqué ne jamais avoir consommé de compléments alimentaires contenant des vitamines B.
Les apports habituels en vitamine B1 sont exprimés en milligrammes par jour. Les résultats sont comparés
avec les recommandations du Conseil Supérieur de la Santé, qui fixe des apports de référence de la
population (ARP) pour la vitamine B1 (Tableau 1) (1).
8
3
4
Se référer à la Section « Introduction générale et méthodologie » de l’enquête pour davantage d’informations sur le rappel de consommation alimentaire”.
Se référer à la Section « Introduction générale et méthodologie » de l’enquête pour davantage d’informations concernant
le fonctionnement du logiciel SPADE®.
3.RÉSULTATS
3.1. APPORTS HABITUELS
En Belgique, en 2014, les apports habituels moyens en vitamine B1 provenant de l’alimentation s’élèvent à
seulement 0,97 mg par jour. Lorsque les apports en vitamine B1 provenant de compléments alimentaires
sont également pris en compte, les apports moyens en vitamine B1 augmentent significativement, de 18
%, pour passer à 1,14 mg par jour.
Les apports habituels moyens en vitamine B1 provenant uniquement de l’alimentation sont significativement plus élevés chez les hommes (1,07 mg par jour) que chez les femmes (0,87 mg par jour). Cette
différence en fonction du sexe apparaît à partir de la fin de l’enfance (6-9 ans) et semble augmenter avec
l’âge (Figure 1).
La prise en compte des compléments alimentaires assure une augmentation de la consommation
moyenne totale de 3 % pour les hommes (1,10 mg par jour) et de 26 % pour les femmes (1,10 mg par
jour). Les plus fortes augmentations sont observées dans le groupe d’âge le plus élevé (40-64 ans) chez les
hommes (6 %, passant de 1,08 à 1,14 mg par jour) et chez les femmes (49 %, passant de 0,88 à 1,31 mg par
jour). On observe aussi une augmentation notable chez les femmes dans les groupes d’âge 3-5 ans (19 %,
passant de 0,73 à 0,87 mg par jour) et 18-39 (18 %, passant de 0,87 à 1,03 mg par jour).
La différence entre les sexes, les hommes ayant des apports moyens en vitamine B1 plus élevés que les
femmes, s’exprime moins fortement lorsque les apports en vitamine B1 provenant de l’alimentation et des
compléments sont analysés. Dans ces conditions, il n’y a plus qu’à l’adolescence (10-17 ans) que les garçons
présentent des apports significativement plus élevés que les filles (Figure 2).
Vitamine B1 | Résultats
Figure 1 | Apports habituels moyens en vitamine B1 (en mg par jour) provenant des aliments au sein de
la population âgée de 3 à 64 ans, par sexe et par âge, Enquête de consommation alimentaire,
Belgique, 2014
9
Figure 2 | Apports habituels moyens en vitamine B1 (en mg par jour) provenant des aliments et des
compléments alimentaires au sein de la population âgée de 3 à 64 ans, par sexe et par âge,
Enquête de consommation alimentaire, Belgique, 2014
Vitamine B1 | Résultats
Les apports habituels en vitamine B1 augmentent avec l’âge : de 0,75 mg par jour chez les jeunes enfants
(3-5 ans) à 1,00 mg par jour chez les adultes plus âgés (40-64 ans) (Figure 1). Lorsque les apports en
vitamine B1 sont évalués en tenant compte des apports provenant de l’alimentation et des compléments
alimentaires, on observe une augmentation qui varie de 0 à 34 % selon les différents groupes d’âge.
L’augmentation la plus importante se produit chez les 3-5 ans (11 %), 18-39 ans (12 %) et 40-64 ans (34 %).
Ici aussi, les apports en vitamine B1 provenant de l’alimentation et des compléments semblent augmenter
avec l’âge (Figure 2).
10
Les apports habituels moyens en vitamine B1 ne varie pas de manière significative (sur la base des limites
des intervalles de confiance à 95 %) en fonction de l’IMC, du niveau d’éducation ou du lieu de résidence.
La comparaison avec les résultats de l’enquête de consommation alimentaire menée en 2004 n’a pas été
effectuée pour ce qui concerne les apports en vitamine B1. Ceci est dû à un problème d’ordre méthodologique dans le couplage avec la table de composition des aliments en 2004 pour la vitamine B1.
3.2. APPORTS DE RÉFÉRÉNCE DE LA POPULATION
Étant donné que les apports de référence de la population (ARP) pour la vitamine B1 ont été définis à la fois
de manière spécifique par âge mais aussi au sexe, les apports habituels ne peuvent être comparés avec les
recommandations que séparément pour les hommes et les femmes.
En Belgique, en 2014, 81 % des hommes et des femmes (entre 3 et 64 ans) présentent des apports en
vitamine B1 provenant de l’alimentation qui sont inférieurs aux ARP. Cependant, il y a une différence significative entre les sexes à ce sujet : le pourcentage de garçons ayant des apports en vitamine B1 inférieurs
à la directive ARP est plus bas que chez les filles pour les groupes d’âge 6-9 ans (61 contre 70 %), 10-13 ans
(55 contre 74 %) et 14-17 ans (64 contre 86 %) (Figure 3).
Figure 3 | Proportion de la population (3-64 ans) avec un apport habituel en vitamine B1 provenant
des aliments en dessous de l’ARP, par sexe et par âge, Enquête de consommation alimentaire,
Belgique, 2014
Figure 4 | Proportion de la population Belge (3-64 ans) avec un apport habituel en vitamine B1
provenant des aliments et des compléments alimentaires en dessous de l’ARP, par sexe et par
âge, Enquête de consommation alimentaire, Belgique, 2014
Vitamine B1 | Résultats
Pour les apports basés sur l’alimentation et les compléments alimentaires, 76 % des hommes et 73 % des
femmes (entre 3 et 64 ans) présentent des apports en vitamine B1 inférieurs aux ARP. Pour la population
prise dans son ensemble, les pourcentages sont donc presque similaires entre les femmes et les hommes.
Par contre, il y a significativement moins de garçons que de filles présentant des apports habituels en
vitamine B1 inférieurs à la directive ARP dans certains groupes d’âge : chez les 6-9 ans (56 contre 71 %), les
10-13 ans (52 contre 76 %) et les 14-17 ans (63 contre 86 %). Inversement, chez les 40-64 ans, il y a significativement plus d’hommes que de femmes (84 contre 72 %) dont les apports en vitamine B1 sont inférieurs
à la directive ARP (Figure 4).
11
Le pourcentage de la population avec des apports provenant de l’alimentation qui sont inférieurs aux ARP
augmente avec l’âge (Figure 3) :
• il augmente de manière significative jusqu’à la fin de l’adolescence (14-17 ans) chez les femmes ;
• il augmente significativement à partir de l’adolescence jusqu’à l’âge adulte chez les hommes.
Lorsque les apports provenant de l’alimentation et des compléments sont pris en compte, on observe
le même schéma chez les hommes. Chez les femmes par contre, on constate une augmentation du
pourcentage de la population qui a des apports inférieurs aux ARP jusqu’à la fin de l’adolescence (14-17
ans), puis une baisse à l’âge adulte (18-64 ans) : voir Figure 4.
On n’observe pas ici de différences significatives, basées sur les limites des intervalles de confiance à 95 %,
en fonction du niveau d’éducation, de l’IMC ou du lieu de résidence.
3.3. SOURCES DE VITAMINE B1
En Belgique, en 2014, les groupes d’aliments « Viande, produits dérivés et végétariens » et « Céréales et
produits céréaliers » sont les sources les plus importantes d’apport en vitamine B1, avec des contributions moyennes respectives de 29,5 % et 19,8 %. En outre, les groupes d’aliments « Produits laitiers et
substituts » (8,4 %), « Légumes » (6,9%) et « Boissons non alcoolisées » (6,7 %) contribuent également pour
une part substantielle au total des apports en vitamine B1. Les compléments alimentaires représentent
une contribution de 3,3 % (Tableau 2).
Vitamine B1 | Résultats
Voir la section « Tableaux » pour plus d’informations sur la contribution de chaque groupe alimentaire au
total des apports en vitamine B1, ventilées par sexe, âge, indice de masse corporelle, niveau d’éducation
et lieu de résidence.
12
Contribution moyenne à l’apport
en vitamine B1 (%)
Intervalle de confiance à 95 %
Pommes de terre et autres tubercules
5,1
(4,6-5,5)
Légumes
6,9
(6,5-7,4)
Légumineuses
0,4
(0,3-0,6)
Fruits
4,8
(4,3-5,2)
Produits laitiers et substituts
8,4
(8,0-8,9)
Céréales et produits céréaliers
19,8
(18,9-20,6)
Viande, produits dérivés et végétariens
29,5
(28,2-30,8)
Poisson et crustacés
2,8
(2,3-3,2)
Œufs et produits dérivés
0,7
(0,6-0,8)
Matières grasses et huile
0,0
(0,0-0,0)
Sucre et confiseries
2,5
(2,1-2,9)
Pâtisseries et biscuits sucrés
3,5
(3,2-3,9)
Boissons non alcoolisées
6,7
(6,2-7,2)
Boissons alcoolisées
1,3
(1,0-1,6)
Condiments, sauces, épices
2,7
(2,2-3,2)
Bouillon
0,0
(0,0-0,0)
Divers*
0,3
(0,2-0,5)
Snacks**
1,2
(1,0-1,5)
Compléments alimentaires
3,3
(2,6-4,0)
Groupes d’aliments
Source: Enquête de consommation alimentaire, Belgique, 2014
Pourcentages pondérés pour l’âge, le sexe, la saison et le jour de la semaine.
*Certains produits végétariens, substituts de repas, produits diététiques.
**Chips, biscuits salés, apéritifs.
Vitamine B1 | Résultats
Tableau 2 | Contribution des différents groupes d’aliments à l’apport quotidien en vitamine B1 au sein
de la population âgée de 3 à 64 ans, Enquête de consommation alimentaire, Belgique, 2014
13
Les principales différences significatives sont en bref les suivantes:
• La contribution des fruits, des légumes et des compléments au total des apports en vitamine B1
plus élevée chez les femmes que les hommes. Il en est de même mais de manière moins marquée
en ce qui concerne les produits laitiers et substituts. Inversement, la contribution des viandes et
substituts est plus importante chez les hommes que chez les femmes.
• La contribution des produits laitiers et substituts est plus importante chez les enfants de moins de
13 ans que chez les adolescents (à partir de 14 ans) et les adultes. La contribution de la viande et
des pommes de terre est moins importante chez les jeunes enfants (entre 3 et 5 ans) que dans les
autres groupes d’âge (6-64 ans). La contribution des légumes est plus importante chez les adultes
(18-64 ans) par rapport aux enfants et aux adolescents ; par contre celle des céréales et produits
céréaliers est moins importante (pour le groupe d’âge 40-64 ans). Enfin, la contribution des fruits
est moins importante chez les adolescents que les enfants et les adultes.
• La contribution des fruits au total des apports en vitamine B1 est moins élevée chez les personnes
souffrant d’obésité que chez celles qui sont en surpoids ou celles qui ont poids « normal ».
Vitamine B1 | Résultats
• La contribution des viandes et substituts est plus importante chez les personnes résidant en
Wallonie par rapport à celles résidant en Flandre.
14
4.DISCUSSION
La vitamine B1 est un micronutriment essentiel dans le cadre du métabolisme énergétique ; il est
également nécessaire pour le bon fonctionnement du muscle cardiaque et du système nerveux. Les
apports de référence de la population (ARP 5) correspondent à 0,7-1,2 mg par jour pour les enfants et les
adolescents, 1,1 mg par jour pour les femmes adultes et 1,5 mg par jour pour les hommes adultes (1).
Conformément à ce que l’on observe dans d’autres études européennes (7-9), les groupes alimentaires
« Viande, produits dérivés et végétariens » (30 %), « Céréales et produits céréaliers » (20 %) sont les
principales sources alimentaires de vitamine B1. En outre, les groupes alimentaires « Produits laitiers et
substituts » (8 %), « Légumes » (7 %) et « Boissons non alcoolisées » (7 %) représentent également une
contribution significative. Les compléments alimentaires contribuent pour seulement 3 % au total des
apports en vitamine B1 en comparaison avec les autres groupes alimentaires. Néanmoins, les apports
habituels en vitamine B1 semblent augmenter fortement lorsque les apports provenant des compléments
sont pris en compte outre l’alimentation et ce surtout chez les femmes, et principalement à l›âge adulte
et dans la petite enfance (3-5 ans).
L’Enquête de Consommation Alimentaire 2014-15 (ECA2014-15) révèle que ce sont surtout les femmes
qui consomment des compléments. Parmi les utilisateurs, ce sont surtout les enfants et les adultes qui
consomment des compléments de type « vitamines » et « multivitamines et minéraux » (voir section
« alimentation enrichie et compléments alimentaires »). Ces compléments spécifiques contiennent
souvent des vitamines B, dont de la vitamine B1.
Les apports habituels en vitamine B1 semblent augmenter légèrement avec l’âge. Pour les apports
habituels moyens en vitamine B1 provenant des aliments, on observe une augmentation depuis la petite
enfance (3-5 ans) (0,75 mg par jour) jusqu’à la fin de l’adolescence (14-17 ans) où les apports se stabilisent
aux environs d’1,00 mg par jour. Lorsque les compléments sont également pris en compte, les apports
habituels moyens en vitamine B1 augmentent depuis la petite enfance (3-5 ans) (0,83 mg par jour) jusqu’à
l›âge adulte (1,00 mg à 0,87 par jour).
Les enfants (3-9 ans) et les adolescentes (10-17 ans) présentent en 2014 en Belgique des apports
habituels moyens en vitamine B1 provenant de l’alimentation plus élevés qu’en Pologne, au Danemark
et aux Pays-Bas, et des apports similaires à ceux d’autres pays européens, dont la France, l’Allemagne
et l’Angleterre. Ceci ressort d’une comparaison avec les données tirées d’un article de synthèse récent
(10). Pour les adultes et les garçons adolescents, en 2014, les apports habituels moyens en vitamine B1
provenant de l’alimentation s’avèrent légèrement plus élevés en Belgique que dans la plupart des autres
pays européens (10). À cet égard, il est important de noter que la comparaison avec d’autres enquêtes
de consommation alimentaire doit être interprétée avec la prudence nécessaire vu que les méthodes de
mesure, les techniques d’analyse, l’année de l’étude, les classifications par âge et les tables de composition
des aliments peuvent être différentes, ce qui a une influence sur les valeurs habituelles en ce qui concerne
les apports en micronutriments.
L’estimation obtenue pour les apports habituels en vitamine B1 dans l’ECA2014-15 doit être interprétée
avec prudence en raison de plusieurs sources possibles de biais. En effet, une déclaration incorrecte ou
manquante de la part des répondants peut conduire à une légère sous-estimation des apports habituels en
micronutriments (voir section « Énergie »). Toutefois, l’exclusion des sous-rapporteurs ne conduit qu’à une
légère augmentation des apports habituels en vitamine B1 dans les pays européens, avec un maximum
de 8 % en Allemagne (10). En outre, les apports habituels sont calculés sur la base des tables de composition des aliments ; ces dernières comportent une marge d’erreur et éventuellement des informations
manquantes concernant la teneur en vitamine B1 des aliments (y compris celle des aliments enrichis). Il est
5
Les ARP sont l’apport qui est estimé suffisant pour subvenir aux besoins de presque tous les individus en bonne santé (97,5
%) dans un groupe donné de la population.
Vitamine B1 | Discussion
L’ ECA2014-15 montre que les apports habituels moyens en vitamine B1 provenant de l’alimentation pour
la population belge (3-64 ans) s’élèvent à 0,97 mg par jour. Ces apports augmentent de 18 % pour passer à
1,14 mg par jour lorsque les compléments sont également pris en compte.
15
important de garder les tables de composition des aliments à jour si l’on veut procéder à une estimation
correcte des apports habituels en micronutriments.
Sur la base des apports provenant de l’alimentation, les hommes ont des apports habituels moyens
en vitamine B1 plus élevés (1,07 mg par jour) que les femmes (0,87 mg par jour). Cette différence est
observée également dans d›autres pays européens (7;8;11;12) et constitue le résultat logique des besoins
énergétiques supérieurs des hommes, et donc, de la consommation plus importante d’aliments, dont
viande, poisson, œufs et pain, biscottes et céréales de petit déjeuner (voir section « recommandations
nutritionnelles »). Toutefois, étant donné que les femmes consomment plus de compléments alimentaires,
elles présentent des apports habituels en vitamine B1 similaires à ceux des hommes lorsque les apports
provenant des compléments sont également pris en compte (1,10 mg par jour).
Seulement 19 % de la population belge (3-64 ans) répondent aux apports de référence de la population
spécifiques à l’âge et au sexe. Ce taux passe à 24 et 27 % (pour les hommes et les femmes, respectivement)
lorsqu’on inclut les compléments. À cet égard, il est important de noter qu’il est difficile de savoir si les
personnes avec des apports en vitamine B1 qui sont inférieurs aux ARP présentent des apports en vitamine
B1 réellement insuffisants, voire même une carence en vitamine B1 associée à des problèmes de santé.
Seules des mesures biochimiques (analyse de sang et/ou d’urine) permettent de conclure à des apports
inadéquats en vitamine B1 ou une carence actuelle.
Chez les hommes, le pourcentage de personnes présentant des apports en vitamine B1 provenant de l’alimentation qui sont inférieurs aux apports de référence de la population s’avère augmenter jusqu’à l›âge
adulte. Chez les femmes par contre n’augmente que jusqu’à la fin de l’adolescence. Les apports habituels
en vitamine B1 des enfants sont donc plus en ligne avec les besoins que ceux des adultes. Lorsque les
apports provenant des compléments sont également pris en compte, on observe cependant chez les
femmes que pour la population adulte les apports habituels en vitamine B1 se rapprochent davantage
des recommandations alimentaires.
Vitamine B1 | Discussion
4.1. CONCLUSION
16
On peut conclure qu’au niveau de la population, les apports habituels en vitamine B1 pourraient encore
être améliorés. En effet, peu plus des trois quarts de la population belge (3-64 ans) ne reçoivent pas les
apports correspondant aux recommandations. Bien que la consommation de compléments alimentaires,
principalement des compléments vitaminés et multivitaminés, puisse augmenter les apports habituels en
vitamine B1, il est plus important d’assurer les besoins en vitamine B1 par le biais d’une alimentation variée
et équilibrée. Malgré l’absence d’apport maximal tolérable pour la vitamine B1 en raison de l’absence
de toxicité, le CSS recommande de ne pas consommer de compléments alimentaires avec une dose
quotidienne supérieure à 5 mg par jour (1). Vu que surtout les femmes, les jeunes enfants et les adultes
(plus âgés) complètent leurs apports en vitamine B1 par le biais de compléments alimentaires, ce conseil
pratique leur est particulièrement destiné.
Les apports habituels en vitamine B1 dans la population belge peuvent être renforcés en faisant la
promotion d’une alimentation variée et équilibrée à base de viande (en mettant également l›accent sur le
porc maigre) mais aussi de volaille, de poisson, de produits céréaliers complets et de légumes. Plus spécifiquement, on peut également encourager la consommation de crudités. En outre, il est recommandé
d’éviter un trop long temps de cuisson des aliments, un régime alimentaire trop exclusif (notamment à
base de riz décortiqué et de crustacés) et une consommation excessive d’alcool (plus de 4 % de l’apport
énergétique total) afin de réduire le risque de problèmes de santé associés à une carence en vitamine B1 (1).
5.TABLEAUX
Tableau 1 | Recommandations concernant les apports de référence de la population (ARP) en ce qui
concerne la vitamine B1 (en mg par jour), par sexe et par âge, Conseil Supérieur de la
Santé, Belgique, 2015 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7
Tableau 2 | Contribution des différents groupes d’aliments à l’apport quotidien en vitamine B1 au sein
de la population âgée de 3 à 64 ans, Enquête de consommation alimentaire, Belgique,
2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13
Tableau 3 | Apports habituels en vitamine B1 (en mg par jour) provenant de l’alimentation, au sein de
la population âgée de 3 à 64 ans, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 19
Tableau 4 | Apports habituels en vitamine B1 (en mg par jour) provenant de l’alimentation, au sein de
la population masculine âgée de 3 à 64 ans, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 20
Tableau 5 | Apports habituels en vitamine B1 (en mg par jour) provenant de l’alimentation, au sein de
la population féminine âgée de 3 à 64 ans, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 21
Tableau 6 | Apports habituels en vitamine B1 (en mg par jour) provenant de l’alimentation et des
compléments alimentaires, au sein de la population âgée de 3 à 64 ans, par sexe et par
âge, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 22
Tableau 7 | Apports habituels en vitamine B1 (en mg par jour) provenant de l’alimentation et des
compléments alimentaires, au sein de la population âgée de 3 à 64 ans, Belgique, 2014 . 23
Tableau 9 | Contribution moyenne des légumes au total des apports en vitamine B1 (en %) au sein de
la population âgée de 3 à 64 ans, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 25
Tableau 10 |Contribution moyenne des légumineuses au total des apports en vitamine B1 (en %) au
sein de la population âgée de 3 à 64 ans, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 26
Tableau 11 | Contribution moyenne des fruits au total des apports en vitamine B1 (en %) au sein de la
population âgée de 3 à 64 ans, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 27
Tableau 12 | Contribution moyenne des produits laitiers et substituts au total des apports en vitamine
B1 (en %) au sein de la population âgée de 3 à 64 ans, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 28
Tableau 13 |Contribution moyenne des céréales et produits céréaliers au total des apports en vitamine B1 (en %) au sein de la population âgée de 3 à 64 ans, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . 29
Tableau 14 | Contribution moyenne de la viande, des préparations à base de viande et des produits de
substitution au total des apports en vitamine B1 (en %) au sein de la population âgée de
3 à 64 ans, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 30
Tableau 15 |Contribution moyenne du poisson, des préparations à base de poisson, des coquillages
et des crustacés au total des apports en vitamine B1 (en %) au sein de la population âgée
de 3 à 64 ans, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 31
Tableau 16 |Contribution moyenne des œufs et produits dérivés au total des apports en vitamine B1
(en %) au sein de la population âgée de 3 à 64 ans, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 32
Tableau 17 | Contribution moyenne des matières grasses et des huiles au total des apports en vitamine
B1 (en %) au sein de la population âgée de 3 à 64 ans, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 33
Vitamine B1 | Tableaux
Tableau 8 | Contribution moyenne des pommes de terre et autres tubercules au total des apports en
vitamine B1 (en %) au sein de la population âgée de 3 à 64 ans, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . 24
17
Tableau 18 | Contribution moyenne du sucre et des confiseries au total des apports en vitamine B1 (en
%) au sein de la population âgée de 3 à 64 ans, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 34
Tableau 19 | Contribution moyenne des pâtisseries et biscuits sucrés au total des apports en vitamine
B1 (en %) au sein de la population âgée de 3 à 64 ans, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 35
Tableau 20 | Contribution moyenne des boissons non alcoolisées au total des apports en vitamine B1
(en %) au sein de la population âgée de 3 à 64 ans, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 36
Tableau 21 |Contribution moyenne des boissons alcoolisées au total des apports en vitamine B1 (en
%) au sein de la population âgée de 3 à 64 ans, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 37
Tableau 22 | Contribution moyenne des condiments, sauces et épices au total des apports en vitamine
B1 (en %) au sein de la population âgée de 3 à 64 ans, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 38
Tableau 23 | Contribution moyenne du bouillon au total des apports en vitamine B1 (en %) au sein de
la population âgée de 3 à 64 ans, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 39
Tableau 24 |Contribution moyenne des produits divers (certains produits végétariens, substituts de
repas, produits diététiques) au total des apports en vitamine B1 (en %) au sein de la population âgée de 3 à 64 ans, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 40
Tableau 25 |Contribution moyenne des chips, biscuits salés et apéritifs au total des apports en vitamine B1 (en %) au sein de la population âgée de 3 à 64 ans, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . 41
Vitamine B1 | Tableaux
Tableau 26 |Contribution moyenne des compléments alimentaires au total des apports en vitamine
B1 (en %) au sein de la population âgée de 3 à 64 ans, Belgique, 2014 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 42
18
SEXE
AGE
Moyenne
IC 95%
Moyenne
P5
P50
P95
P97,5
n=N
Hommes
1,07
(1,04-1,11)
0,59
1,02
1,73
1,91
1548
Femmes
0,87
(0,84-0,89)
0,50
0,83
1,33
1,46
1598
3-5
0,75
0,72-0,79
0,42
0,72
1,21
1,34
454
6-9
0,87
0,84-0,90
0,49
0,83
1,39
1,54
538
10-13
0,94
0,91-0,96
0,53
0,90
1,50
1,65
449
14-17
0,98
0,95-1,00
0,55
0,93
1,55
1,71
479
18-39
1,00
0,98-1,04
0,57
0,96
1,60
1,76
620
40-64
0,97
0,94-1,01
0,55
0,93
1,54
1,70
606
0,98
0,93-1,00
0,54
0,93
1,56
1,72
1970
0,94
0,93-1,02
0,52
0,89
1,52
1,68
619
0,95
0,94-1,10
0,54
0,91
1,49
1,63
310
0,96
0,92-0,99
0,52
0,91
1,54
1,70
1290
Supérieur de type
court
0,95
0,91-0,98
0,52
0,90
1,53
1,70
885
Supérieur de type
long
0,99
0,95-1,04
0,56
0,95
1,55
1,70
916
Flandre
0,98
0,96-1,01
0,54
0,93
1,57
1,73
1766
Wallonie
0,95
0,90-0,97
0,50
0,90
1,58
1,76
1126
0,97
0,94-0,99
0,54
0,92
1,55
1,71
3146
Normal
INDICE DE
MASSE
CORPORELLE Surpoids
Obésité
Sans diplôme,
NIVEAU
primaire,
D’EDUCATION
secondaire
REGION*
TOTAL
Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.
Moyenne et percentiles pondérés pour l’âge, le sexe, la saison et le jour de la semaine.
n = nombre de personnes ayant un apport positif en vitamine B1 au moins un des deux jours de rappel.
N = nombre total de personnes dans l’échantillon.
*Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et
Bruxelles) ont, par contre, été reprises dans toutes les autres analyses.
Vitamine B1 | Tableaux
Tableau 3 | Apports habituels en vitamine B1 (en mg par jour) provenant de l’alimentation, au sein de la
population âgée de 3 à 64 ans, Belgique, 2014
19
Tableau 4 | Apports habituels en vitamine B1 (en mg par jour) provenant de l’alimentation, au sein de la
population masculine âgée de 3 à 64 ans, Belgique, 2014
AGE
Moyenne
IC 95%
Moyenne
P5
P50
P95
P97,5
% < ARP
n=N
3-5
0,77
(0,73-0,83)
0,43
0,73
1,23
1,36
56
230
6-9
0,91
(0,87-0,94)
0,52
0,86
1,45
1,60
61
279
10-13
1,01
(0,97-1,04)
0,57
0,96
1,61
1,78
55
210
14-17
1,07
(1,02-1,10)
0,61
1,02
1,71
1,88
64
240
18-39
1,14
(1,08-1,19)
0,65
1,08
1,81
2,00
84
305
40-64
1,08
(1,03-1,15)
0,61
1,02
1,72
1,90
89
284
1,08
(1,01-1,09)
0,59
1,03
1,76
1,95
80
976
1,03
(1,01-1,14)
0,54
0,97
1,72
1,93
81
310
1,11
(1,05-1,25)
0,81
1,09
1,46
1,54
84
153
1,07
(1,03-1,13)
0,60
1,02
1,71
1,88
81
642
Supérieur de type
court
1,04
(0,98-1,09)
0,57
0,99
1,69
1,88
83
436
Supérieur de type
long
1,10
(1,04-1,15)
0,62
1,05
1,76
1,94
79
440
Flandre
1,09
(1,06-1,13)
0,61
1,04
1,73
1,90
81
854
Wallonie
1,08
(1,00-1,11)
0,58
1,03
1,76
1,94
79
569
1,07
(1,04-1,11)
0,59
1,02
1,73
1,91
81
1548
Normal
INDICE DE
MASSE
CORPORELLE Surpoids
Obésité
Sans diplôme,
NIVEAU
primaire,
D’EDUCATION
secondaire
Vitamine B1 | Tableaux
REGION*
20
TOTAL
Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.
Moyenne, percentiles et pourcentages pondérés pour l’âge, le sexe, la saison et le jour de la semaine.
ARP = apports de référence de la population.
n = nombre de personnes ayant un apport positif en vitamine B1 au moins un des deux jours de rappel.
N = nombre total de personnes dans l’échantillon.
*Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et
Bruxelles) ont, par contre, été reprises dans toutes les autres analyses.
AGE
Moyenne
IC 95%
Moyenne
P5
P50
P95
P97,5
% < ARP
n=N
3-5
0,73
(0,68-0,78)
0,42
0,70
1,15
1,26
61
224
6-9
0,84
(0,80-0,86)
0,49
0,80
1,29
1,41
70
259
10-13
0,86
(0,83-0,89)
0,50
0,83
1,32
1,44
74
239
14-17
0,87
(0,84-0,90)
0,51
0,84
1,33
1,46
86
239
18-39
0,87
(0,85-0,91)
0,51
0,84
1,34
1,46
83
315
40-64
0,88
(0,84-0,91)
0,51
0,84
1,35
1,47
82
322
0,88
(0,84-0,91)
0,53
0,85
1,33
1,45
80
994
0,85
(0,83-0,93)
0,51
0,82
1,28
1,39
83
309
0,81
(0,80-0,95)
0,43
0,78
1,32
1,45
83
157
0,85
(0,81-0,90)
0,48
0,81
1,32
1,44
82
648
Supérieur de type
court
0,85
(0,79-0,87)
0,49
0,81
1,33
1,46
82
449
Supérieur de type
long
0,90
(0,86-0,95)
0,53
0,87
1,36
1,47
78
476
Flandre
0,88
(0,85-0,91)
0,51
0,84
1,35
1,48
79
912
Wallonie
0,83
(0,79-0,87)
0,45
0,79
1,36
1,51
81
557
0,87
(0,84-0,89)
0,50
0,83
1,33
1,46
81
1598
Normal
INDICE DE
MASSE
CORPORELLE Surpoids
Obésité
Sans diplôme,
NIVEAU
primaire,
D’EDUCATION
secondaire
REGION*
TOTAL
Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.
Moyenne, percentiles et pourcentages pondérés pour l’âge, le sexe, la saison et le jour de la semaine.
ARP = apports de référence de la population.
n = nombre de personnes ayant un apport positif en vitamine B1 au moins un des deux jours de rappel.
N = nombre total de personnes dans l’échantillon.
*Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et
Bruxelles) ont, par contre, été reprises dans toutes les autres analyses.
Vitamine B1 | Tableaux
Tableau 5 | Apports habituels en vitamine B1 (en mg par jour) provenant de l’alimentation, au sein de la
population féminine âgée de 3 à 64 ans, Belgique, 2014
21
Tableau 6 | Apports habituels en vitamine B1 (en mg par jour) provenant de l’alimentation et des
compléments alimentaires, au sein de la population âgée de 3 à 64 ans, par sexe et par âge,
Belgique, 2014
HOMMES
Vitamine B1 | Tableaux
FEMMES
22
Moyenne
IC 95 %
Moyenne
P5
P50
P95
P97,5
% < ARP
n=N
3-5
0,79
(0,74-0,87)
0,43
0,75
1,31
1,45
54
230
6-9
0,95
(0,90-1,01)
0,52
0,90
1,56
1,74
56
279
10-13
1,04
(0,99-1,09)
0,57
0,98
1,69
1,89
52
210
14-17
1,09
(1,05-1,17)
0,61
1,03
1,78
2,00
63
240
18-39
1,15
(1,10-1,22)
0,64
1,09
1,89
2,08
81
305
40-64
1,14
(1,07-1,21)
0,63
1,07
1,87
2,10
84
284
Tolal
1,10
(1,06-1,15)
0,59
1,04
1,83
2,04
76
1548
3-5
0,87
(0,77-0,94)
0,48
0,81
1,39
1,58
45
224
6-9
0,86
(0,82-0,95)
0,48
0,81
1,34
1,55
71
259
10-13
0,86
(0,81-0,91)
0,48
0,81
1,35
1,51
76
239
14-17
0,87
(0,83-0,93)
0,49
0,81
1,37
1,54
86
239
18-39
1,03
(0,94-1,23)
0,51
0,87
1,87
2,62
76
315
40-64
1,31
(0,99-3,02)
0,53
0,91
1,99
3,18
72
322
Total
1,10
(0,96-1,80)
0,51
0,87
1,76
2,45
73
1598
Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.
Moyenne, percentiles et pourcentages pondérés pour l’âge, le sexe, la saison et le jour de la semaine.
ARP = apports de référence de la population.
n = nombre de personnes ayant un apport positif en vitamine B1 au moins un des deux jours de rappel.
N = nombre total de personnes dans l’échantillon.
Tableau 7 | Apports habituels en vitamine B1 (en mg par jour) provenant de l’alimentation et des
compléments alimentaires, au sein de la population âgée de 3 à 64 ans, Belgique, 2014
SEXE
AGE
REGION*
TOTAL
Moyenne
IC 95%
Moyenne
P5
P50
P95
P97,5
n=N
Hommes
1,10
(1,06-1,15)
0,59
1,04
1,83
2,04
1548
Femmes
1,10
(0,96-1,80)
0,51
0,87
1,76
2,45
1598
3-5
0,83
(0,77-0,90)
0,43
0,76
1,38
1,63
454
6-9
0,92
(0,87-0,99)
0,48
0,85
1,54
1,75
538
10-13
0,96
(0,93-1,02)
0,52
0,90
1,57
1,77
449
14-17
0,99
(0,96-1,05)
0,54
0,93
1,64
1,85
479
18-39
1,12
(1,05-1,23)
0,56
0,99
1,91
2,39
620
40-64
1,30
(1,05-2,11)
0,58
1,00
1,90
2,35
606
Flandre
1,15
(1,05-1,22)
0,56
0,99
1,91
2,37
1766
Wallonie
1,52
(0,99-2,29)
0,51
0,93
1,87
2,43
1126
1,14
(1,04-1,47)
0,54
0,96
1,82
2,20
3146
Source: Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.
Moyenne et percentiles pondérés pour l’âge, le sexe, la saison et le jour de la semaine.
n = nombre de personnes ayant un apport positif en vitamine B1 au moins un des deux jours de rappel.
*Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et
Bruxelles) ont, par contre, été reprises dans toutes les autres analyses.
Vitamine B1 | Tableaux
N = nombre total de personnes dans l’échantillon.
23
Tableau 8 | Contribution moyenne des pommes de terre et autres tubercules au total des apports en
vitamine B1 (en %) au sein de la population âgée de 3 à 64 ans, Belgique, 2014
Moyenne
brute
IC 95%
brut
Moyenne
stand**
IC 95%
stand
N
Hommes
5,4
(4,7-6,1)
5,4
(4,7-6,1)
1548
Femmes
4,8
(4,2-5,3)
4,8
(4,2-5,4)
1597
3-5
3,8
(3,2-4,3)
3,8
(3,2-4,4)
454
6-9
4,5
(3,7-5,3)
4,5
(3,7-5,3)
538
10-13
5,6
(4,5-6,7)
5,6
(4,5-6,7)
449
14-17
5,7
(4,8-6,7)
5,7
(4,8-6,7)
479
18-39
5,0
(4,1-5,8)
5,0
(4,1-5,8)
619
40-64
5,2
(4,5-6,0)
5,3
(4,5-6,0)
606
Normal
5,1
(4,5-5,7)
5,3
(4,5-6,0)
1969
Surpoids
4,9
(4,1-5,7)
4,9
(4,1-5,6)
619
Obésité
5,3
(4,1-6,6)
5,1
(4,0-6,2)
310
Sans diplôme, primaire,
secondaire
5,7
(5,0-6,4)
5,7
(4,9-6,4)
1290
Supérieur de type court
5,1
(4,4-5,8)
5,1
(4,3-5,8)
885
Supérieur de type long
4,2
(3,4-5,1)
4,2
(3,3-5,1)
915
Flandre
5,4
(4,8-6,1)
5,4
(4,8-6,1)
1766
Wallonie
5,0
(4,3-5,6)
5,0
(4,3-5,7)
1126
5,1
(4,6-5,5)
THI_01_pcs*
SEXE
AGE
INDICE DE MASSE
CORPORELLE
Vitamine B1 | Tableaux
NIVEAU
D’EDUCATION
24
REGION***
TOTAL
3145
Source : Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.
*Contribution exprimée sous forme de pourcentage moyen par rapport à la consommation totale des 18 groupes d’aliments repris dans Epic-Soft et des compléments alimentaires. Moyennes pondérées pour l’âge, le sexe, la saison et le jour de la semaine.
**Standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).
***Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles)
ont, par contre, été reprises dans toutes les autres analyses.
Moyenne
brute
IC 95%
brut
Moyenne
stand**
IC 95%
stand
N
Hommes
5,8
(5,3-6,3)
5,8
(5,3-6,4)
1548
Femmes
8,0
(7,3-8,7)
8,1
(7,4-8,8)
1597
3-5
5,3
(4,6-5,9)
5,3
(4,6-5,9)
454
6-9
5,3
(4,6-5,9)
5,3
(4,7-5,9)
538
10-13
4,8
(4,3-5,3)
4,8
(4,3-5,3)
449
14-17
5,2
(4,6-5,8)
5,2
(4,6-5,8)
479
18-39
7,1
(6,2-8,1)
7,1
(6,2-8,0)
619
40-64
7,9
(7,2-8,6)
7,8
(7,1-8,4)
606
Normal
6,5
(5,9-7,1)
6,7
(6,0-7,4)
1969
Surpoids
7,5
(6,7-8,2)
7,2
(6,5-7,9)
619
Obésité
8,0
(6,5-9,4)
7,4
(6,2-8,7)
310
Sans diplôme, primaire,
secondaire
6,4
(5,7-7,0)
6,3
(5,7-7,0)
1290
Supérieur de type court
7,1
(6,4-7,8)
7,0
(6,3-7,7)
885
Supérieur de type long
7,8
(6,8-8,7)
7,8
(6,9-8,7)
915
Flandre
6,9
(6,4-7,4)
6,9
(6,4-7,4)
1766
Wallonie
6,6
(5,9-7,3)
6,7
(6,0-7,5)
1126
6,9
(6,5-7,4)
THI_02_pcs*
SEXE
AGE
INDICE DE MASSE
CORPORELLE
NIVEAU
D’EDUCATION
REGION***
TOTAL
3145
Source : Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.
*Contribution exprimée sous forme de pourcentage moyen par rapport à la consommation totale des 18 groupes d’aliments repris dans Epic-Soft et des compléments alimentaires. Moyennes pondérées pour l’âge, le sexe, la saison et le jour de la semaine.
**Standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).
***Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles)
ont, par contre, été reprises dans toutes les autres analyses.
Vitamine B1 | Tableaux
Tableau 9 | Contribution moyenne des légumes au total des apports en vitamine B1 (en %) au sein de la
population âgée de 3 à 64 ans, Belgique, 2014
25
Tableau 10 | Contribution moyenne des légumineuses au total des apports en vitamine B1 (en %) au sein
de la population âgée de 3 à 64 ans, Belgique, 2014
Moyenne
brute
IC 95%
brut
Moyenne
stand**
IC 95%
stand
N
Hommes
0,5
(0,2-0,8)
0,5
(0,2-0,8)
1548
Femmes
0,3
(0,2-0,5)
0,3
(0,2-0,5)
1597
3-5
0,5
(0,1-1,0)
0,5
(0,1-1,0)
454
6-9
0,4
(0,2-0,6)
0,4
(0,2-0,6)
538
10-13
0,3
(0,1-0,6)
0,3
(0,1-0,6)
449
14-17
0,3
(0,0-0,6)
0,3
(0,0-0,6)
479
18-39
0,2
(0,0-0,5)
0,2
(0,0-0,5)
619
40-64
0,6
(0,3-0,9)
0,6
(0,3-0,9)
606
Normal
0,5
(0,2-0,7)
0,5
(0,2-0,9)
1969
Surpoids
0,3
(0,1-0,6)
0,3
(0,1-0,5)
619
Obésité
0,5
(0,0-1,0)
0,5
(0,1-0,8)
310
Sans diplôme, primaire,
secondaire
0,4
(0,1-0,6)
0,4
(0,1-0,6)
1290
Supérieur de type court
0,4
(0,1-0,7)
0,4
(0,1-0,7)
885
Supérieur de type long
0,5
(0,2-0,8)
0,6
(0,2-1,0)
915
Flandre
0,2
(0,1-0,3)
0,2
(0,1-0,3)
1766
Wallonie
0,4
(0,1-0,8)
0,5
(0,1-0,8)
1126
0,4
(0,3-0,6)
THI_03_pcs*
SEXE
AGE
INDICE DE MASSE
CORPORELLE
Vitamine B1 | Tableaux
NIVEAU
D’EDUCATION
REGION***
TOTAL
Source : Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.
*Contribution exprimée sous forme de pourcentage moyen par rapport à la consommation totale des 18 groupes d’aliments repris dans Epic-Soft et des compléments alimentaires. Moyennes pondérées pour l’âge, le sexe, la saison et le jour de la semaine.
**Standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).
***Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles)
ont, par contre, été reprises dans toutes les autres analyses.
26
3145
Moyenne
brute
IC 95%
brut
Moyenne
stand**
IC 95%
stand
N
Hommes
3,8
(3,3-4,3)
3,8
(3,3-4,3)
1548
Femmes
5,7
(4,9-6,5)
5,7
(4,9-6,5)
1597
3-5
5,7
(4,9-6,6)
5,7
(4,9-6,6)
454
6-9
4,9
(4,2-5,5)
4,9
(4,2-5,6)
538
10-13
3,3
(2,6-4,0)
3,3
(2,7-4,0)
449
14-17
2,5
(1,9-3,1)
2,5
(1,9-3,1)
479
18-39
4,3
(3,5-5,0)
4,3
(3,5-5,0)
619
40-64
5,7
(4,8-6,6)
5,6
(4,7-6,4)
606
Normal
4,9
(4,3-5,4)
5,1
(4,4-5,7)
1969
Surpoids
5,7
(4,4-6,9)
5,3
(4,3-6,3)
619
Obésité
3,3
(2,5-4,1)
3,4
(2,6-4,2)
310
Sans diplôme, primaire,
secondaire
4,0
(3,2-4,8)
4,0
(3,3-4,8)
1290
Supérieur de type court
5,4
(4,6-6,2)
5,3
(4,5-6,1)
885
Supérieur de type long
5,2
(4,4-6,0)
5,1
(4,4-5,9)
915
Flandre
5,2
(4,6-5,8)
5,2
(4,6-5,8)
1766
Wallonie
3,8
(3,0-4,7)
3,9
(3,0-4,7)
1126
4,8
(4,3-5,2)
THI_04_pcs*
SEXE
AGE
INDICE DE MASSE
CORPORELLE
NIVEAU
D’EDUCATION
REGION***
TOTAL
3145
Source : Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.
*Contribution exprimée sous forme de pourcentage moyen par rapport à la consommation totale des 18 groupes d’aliments repris dans Epic-Soft et des compléments alimentaires. Moyennes pondérées pour l’âge, le sexe, la saison et le jour de la semaine.
**Standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).
***Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles)
ont, par contre, été reprises dans toutes les autres analyses.
Vitamine B1 | Tableaux
Tableau 11 | Contribution moyenne des fruits au total des apports en vitamine B1 (en %) au sein de la
population âgée de 3 à 64 ans, Belgique, 2014
27
Tableau 12 | Contribution moyenne des produits laitiers et substituts au total des apports en vitamine B1
(en %) au sein de la population âgée de 3 à 64 ans, Belgique, 2014
Moyenne
brute
IC 95%
brut
Moyenne
stand**
IC 95%
stand
N
Hommes
7,8
(7,2-8,4)
7,7
(7,0-8,3)
1548
Femmes
9,0
(8,4-9,6)
9,0
(8,3-9,6)
1597
3-5
17,7
(16,0-19,5)
17,8
(16,0-19,5)
454
6-9
11,5
(10,6-12,4)
11,5
(10,6-12,4)
538
10-13
9,9
(8,9-10,9)
9,9
(9,0-10,9)
449
14-17
7,9
(7,1-8,6)
7,9
(7,1-8,6)
479
18-39
7,5
(6,6-8,3)
7,4
(6,6-8,3)
619
40-64
7,6
(6,8-8,3)
7,5
(6,8-8,3)
606
Normal
9,0
(8,4-9,6)
8,5
(7,7-9,4)
1969
Surpoids
7,7
(6,7-8,6)
8,3
(7,3-9,4)
619
Obésité
8,0
(6,8-9,2)
9,2
(7,8-10,5)
310
Sans diplôme, primaire,
secondaire
8,0
(7,3-8,7)
8,1
(7,4-8,8)
1290
Supérieur de type court
9,0
(8,1-9,9)
8,9
(7,9-9,8)
885
Supérieur de type long
8,3
(7,6-9,1)
8,0
(7,3-8,8)
915
Flandre
8,7
(8,0-9,3)
8,6
(8,0-9,3)
1766
Wallonie
8,1
(7,5-8,7)
8,0
(7,3-8,6)
1126
8,4
(8,0-8,9)
THI_05_pcs*
SEXE
AGE
INDICE DE MASSE
CORPORELLE
Vitamine B1 | Tableaux
NIVEAU
D’EDUCATION
28
REGION***
TOTAL
3145
Source : Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.
*Contribution exprimée sous forme de pourcentage moyen par rapport à la consommation totale des 18 groupes d’aliments repris dans Epic-Soft et des compléments alimentaires. Moyennes pondérées pour l’âge, le sexe, la saison et le jour de la semaine.
**Standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).
***Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles)
ont, par contre, été reprises dans toutes les autres analyses..
Moyenne
brute
IC 95%
brut
Moyenne
stand**
IC 95%
stand
N
Hommes
20,0
(18,7-21,3)
19,8
(18,5-21,1)
1548
Femmes
19,6
(18,5-20,7)
19,6
(18,4-20,7)
1597
3-5
21,9
(19,7-24,1)
21,9
(19,7-24,1)
454
6-9
22,5
(20,6-24,4)
22,5
(20,6-24,4)
538
10-13
22,8
(20,7-25,0)
22,8
(20,7-25,0)
449
14-17
23,9
(22,0-25,9)
23,9
(22,0-25,9)
479
18-39
19,7
(18,2-21,2)
19,7
(18,2-21,2)
619
40-64
18,1
(16,6-19,6)
18,1
(16,5-19,6)
606
Normal
21,2
(20,0-22,4)
21,1
(19,5-22,7)
1969
Surpoids
18,1
(16,5-19,7)
18,7
(17,2-20,1)
619
Obésité
18,0
(16,0-20,1)
19,5
(17,5-21,6)
310
Sans diplôme, primaire,
secondaire
19,4
(18,1-20,8)
19,5
(18,1-20,8)
1290
Supérieur de type court
18,6
(17,2-20,0)
18,4
(17,0-19,9)
885
Supérieur de type long
21,7
(20,0-23,5)
21,6
(19,6-23,5)
915
Flandre
20,8
(19,7-22,0)
20,8
(19,7-21,9)
1766
Wallonie
18,0
(16,7-19,3)
17,7
(16,3-19,0)
1126
19,8
(18,9-20,6)
THI_06_pcs*
SEXE
AGE
INDICE DE MASSE
CORPORELLE
NIVEAU
D’EDUCATION
REGION***
TOTAL
3145
Source : Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.
*Contribution exprimée sous forme de pourcentage moyen par rapport à la consommation totale des 18 groupes d’aliments repris dans Epic-Soft et des compléments alimentaires. Moyennes pondérées pour l’âge, le sexe, la saison et le jour de la semaine.
**Standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).
***Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles)
ont, par contre, été reprises dans toutes les autres analyses.uxelles) ont, par contre, été reprises dans toutes les autres
Vitamine B1 | Tableaux
Tableau 13 | Contribution moyenne des céréales et produits céréaliers au total des apports en vitamine
B1 (en %) au sein de la population âgée de 3 à 64 ans, Belgique, 2014
analyses.
29
Tableau 14 | Contribution moyenne de la viande, des préparations à base de viande et des produits de
substitution au total des apports en vitamine B1 (en %) au sein de la population âgée de 3 à
64 ans, Belgique, 2014
Moyenne
brute
IC 95%
brut
Moyenne
stand**
IC 95%
stand
N
Hommes
31,7
(29,8-33,6)
31,9
(29,9-33,9)
1548
Femmes
27,3
(25,5-29,1)
27,3
(25,5-29,1)
1597
3-5
20,7
(18,7-22,7)
20,6
(18,7-22,6)
454
6-9
26,3
(24,0-28,6)
26,3
(24,0-28,5)
538
10-13
30,4
(27,8-33,0)
30,3
(27,7-32,9)
449
14-17
29,1
(26,6-31,6)
29,1
(26,6-31,6)
479
18-39
30,2
(27,8-32,6)
30,2
(27,9-32,6)
619
40-64
30,2
(27,8-32,6)
30,4
(28,1-32,8)
606
Normal
28,0
(26,3-29,7)
27,8
(25,8-29,8)
1969
Surpoids
29,7
(27,0-32,3)
29,2
(26,8-31,5)
619
Obésité
34,7
(31,0-38,4)
32,9
(29,6-36,2)
310
Sans diplôme, primaire,
secondaire
32,0
(29,9-34,1)
31,8
(29,8-33,9)
1290
Supérieur de type court
28,8
(26,4-31,3)
29,2
(26,7-31,7)
885
Supérieur de type long
26,3
(24,0-28,7)
26,8
(24,2-29,4)
915
Flandre
28,3
(26,5-30,0)
28,3
(26,6-30,1)
1766
Wallonie
32,9
(30,9-34,9)
33,2
(31,1-35,2)
1126
29,5
(28,2-30,8)
THI_07_pcs*
SEXE
AGE
INDICE DE MASSE
CORPORELLE
Vitamine B1 | Tableaux
NIVEAU
D’EDUCATION
30
REGION***
TOTAL
3145
Source : Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.
*Contribution exprimée sous forme de pourcentage moyen par rapport à la consommation totale des 18 groupes d’aliments repris dans Epic-Soft et des compléments alimentaires. Moyennes pondérées pour l’âge, le sexe, la saison et le jour de la semaine.
**Standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).
***Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles)
ont, par contre, été reprises dans toutes les autres analyses.uxelles) ont, par contre, été reprises dans toutes les autres
analyses.
Moyenne
brute
IC 95%
brut
Moyenne
stand**
IC 95%
stand
N
Hommes
2,8
(2,1-3,6)
2,9
(2,1-3,6)
1548
Femmes
2,7
(2,1-3,3)
2,7
(2,1-3,3)
1597
3-5
2,5
(1,5-3,4)
2,5
(1,5-3,5)
454
6-9
2,4
(1,4-3,3)
2,4
(1,4-3,3)
538
10-13
1,8
(1,1-2,4)
1,8
(1,1-2,4)
449
14-17
2,3
(1,5-3,2)
2,3
(1,5-3,2)
479
18-39
2,3
(1,6-3,0)
2,3
(1,6-3,1)
619
40-64
3,4
(2,5-4,4)
3,4
(2,5-4,4)
606
Normal
2,8
(2,1-3,4)
2,9
(2,2-3,6)
1969
Surpoids
3,5
(2,3-4,6)
3,2
(2,2-4,1)
619
Obésité
1,7
(1,1-2,4)
1,7
(1,1-2,3)
310
Sans diplôme, primaire,
secondaire
2,3
(1,6-3,0)
2,3
(1,6-3,0)
1290
Supérieur de type court
3,0
(2,1-3,9)
3,0
(2,1-3,9)
885
Supérieur de type long
3,1
(2,2-3,9)
3,2
(2,1-4,3)
915
Flandre
3,0
(2,4-3,7)
3,0
(2,4-3,7)
1766
Wallonie
1,9
(1,3-2,4)
1,8
(1,3-2,4)
1126
2,8
(2,3-3,2)
THI_08_pcs*
SEXE
AGE
INDICE DE MASSE
CORPORELLE
NIVEAU
D’EDUCATION
REGION***
TOTAL
3145
Source : Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.
*Contribution exprimée sous forme de pourcentage moyen par rapport à la consommation totale des 18 groupes d’aliments repris dans Epic-Soft et des compléments alimentaires. Moyennes pondérées pour l’âge, le sexe, la saison et le jour de la semaine.
**Standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).
***Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles)
ont, par contre, été reprises dans toutes les autres analyses.uxelles) ont, par contre, été reprises dans toutes les autres
analyses.
Vitamine B1 | Tableaux
Tableau 15 | Contribution moyenne du poisson, des préparations à base de poisson, des coquillages et
des crustacés au total des apports en vitamine B1 (en %) au sein de la population âgée de 3 à
64 ans, Belgique, 2014
31
Tableau 16 | Contribution moyenne des œufs et produits dérivés au total des apports en vitamine B1 (en
%) au sein de la population âgée de 3 à 64 ans, Belgique, 2014
Moyenne
brute
IC 95%
brut
Moyenne
stand**
IC 95%
stand
N
Hommes
0,8
(0,6-0,9)
0,8
(0,6-1,0)
1548
Femmes
0,6
(0,5-0,8)
0,6
(0,5-0,8)
1597
3-5
0,9
(0,5-1,2)
0,9
(0,5-1,2)
454
6-9
0,6
(0,4-0,8)
0,6
(0,4-0,8)
538
10-13
0,7
(0,5-0,9)
0,7
(0,5-0,9)
449
14-17
0,7
(0,4-1,0)
0,7
(0,4-1,0)
479
18-39
0,6
(0,4-0,8)
0,6
(0,4-0,8)
619
40-64
0,8
(0,6-0,9)
0,8
(0,6-1,0)
606
Normal
0,6
(0,5-0,7)
0,6
(0,5-0,8)
1969
Surpoids
0,9
(0,6-1,1)
0,8
(0,5-1,1)
619
Obésité
0,6
(0,4-0,9)
0,6
(0,4-0,8)
310
Sans diplôme, primaire,
secondaire
0,8
(0,6-1,0)
0,8
(0,6-1,0)
1290
Supérieur de type court
0,6
(0,4-0,7)
0,6
(0,4-0,8)
885
Supérieur de type long
0,7
(0,5-0,9)
0,7
(0,5-0,9)
915
Flandre
0,6
(0,5-0,8)
0,6
(0,5-0,8)
1766
Wallonie
0,7
(0,5-0,9)
0,7
(0,5-0,9)
1126
0,7
(0,6-0,8)
THI_09_pcs*
SEXE
AGE
INDICE DE MASSE
CORPORELLE
Vitamine B1 | Tableaux
NIVEAU
D’EDUCATION
REGION***
TOTAL
Source : Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.
*Contribution exprimée sous forme de pourcentage moyen par rapport à la consommation totale des 18 groupes d’aliments repris dans Epic-Soft et des compléments alimentaires. Moyennes pondérées pour l’âge, le sexe, la saison et le jour de la semaine.
**Standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).
***Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles)
ont, par contre, été reprises dans toutes les autres analyses.uxelles) ont, par contre, été reprises dans toutes les autres
analyses.
32
3145
Moyenne
brute
IC 95%
brut
Moyenne
stand**
IC 95%
stand
N
Hommes
0,0
(0,0-0,1)
0,0
(0,0-0,1)
1548
Femmes
0,0
(0,0-0,0)
0,0
(0,0-0,0)
1597
3-5
0,0
(0,0-0,1)
0,0
(0,0-0,1)
454
6-9
0,0
(0,0-0,0)
0,0
(0,0-0,0)
538
10-13
0,0
(0,0-0,0)
0,0
(0,0-0,0)
449
14-17
0,0
(0,0-0,0)
0,0
(0,0-0,0)
479
18-39
0,0
(0,0-0,0)
0,0
(0,0-0,0)
619
40-64
0,1
(0,0-0,1)
0,1
(0,0-0,1)
606
Normal
0,0
(0,0-0,0)
0,0
(0,0-0,1)
1969
Surpoids
0,1
(0,0-0,1)
0,0
(0,0-0,1)
619
Obésité
0,0
(0,0-0,0)
0,0
(0,0-0,0)
310
Sans diplôme, primaire,
secondaire
0,0
(0,0-0,1)
0,0
(0,0-0,1)
1290
Supérieur de type court
0,0
(0,0-0,0)
0,0
(0,0-0,0)
885
Supérieur de type long
0,0
(0,0-0,1)
0,0
(0,0-0,1)
915
Flandre
0,0
(0,0-0,0)
0,0
(0,0-0,0)
1766
Wallonie
0,1
(0,0-0,1)
0,1
(0,0-0,1)
1126
0,0
(0,0-0,0)
THI_10_pcs*
SEXE
AGE
INDICE DE MASSE
CORPORELLE
NIVEAU
D’EDUCATION
REGION***
TOTAL
3145
Source : Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.
*Contribution exprimée sous forme de pourcentage moyen par rapport à la consommation totale des 18 groupes d’aliments repris dans Epic-Soft et des compléments alimentaires. Moyennes pondérées pour l’âge, le sexe, la saison et le jour de la semaine.
**Standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).
***Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles)
ont, par contre, été reprises dans toutes les autres analyses.uxelles) ont, par contre, été reprises dans toutes les autres
Vitamine B1 | Tableaux
Tableau 17 | Contribution moyenne des matières grasses et des huiles au total des apports en vitamine B1
(en %) au sein de la population âgée de 3 à 64 ans, Belgique, 2014
analyses.
33
Tableau 18 | Contribution moyenne du sucre et des confiseries au total des apports en vitamine B1 (en %)
au sein de la population âgée de 3 à 64 ans, Belgique, 2014
Moyenne
brute
IC 95%
brut
Moyenne
stand**
IC 95%
stand
N
Hommes
2,1
(1,7-2,5)
2,0
(1,7-2,4)
1548
Femmes
2,9
(2,2-3,6)
2,9
(2,2-3,6)
1597
3-5
3,8
(2,9-4,7)
3,8
(2,9-4,6)
454
6-9
4,3
(3,5-5,1)
4,3
(3,5-5,1)
538
10-13
3,3
(2,6-4,0)
3,3
(2,6-4,0)
449
14-17
3,6
(2,7-4,6)
3,6
(2,7-4,6)
479
18-39
2,5
(1,7-3,3)
2,5
(1,7-3,3)
619
40-64
1,8
(1,1-2,4)
1,7
(1,1-2,3)
606
Normal
3,1
(2,5-3,7)
2,8
(2,2-3,4)
1969
Surpoids
2,0
(1,3-2,8)
2,3
(1,6-3,0)
619
Obésité
1,1
(0,7-1,6)
1,6
(1,0-2,1)
310
Sans diplôme, primaire,
secondaire
2,8
(2,1-3,5)
2,8
(2,1-3,5)
1290
Supérieur de type court
1,9
(1,6-2,3)
1,9
(1,5-2,2)
885
Supérieur de type long
2,5
(1,7-3,3)
2,4
(1,6-3,2)
915
Flandre
2,2
(1,7-2,7)
2,1
(1,6-2,6)
1766
Wallonie
3,3
(2,5-4,2)
3,2
(2,4-4,0)
1126
2,5
(2,1-2,9)
THI_11_pcs*
SEXE
AGE
INDICE DE MASSE
CORPORELLE
Vitamine B1 | Tableaux
NIVEAU
D’EDUCATION
REGION***
TOTAL
Source : Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.
*Contribution exprimée sous forme de pourcentage moyen par rapport à la consommation totale des 18 groupes d’aliments repris dans Epic-Soft et des compléments alimentaires. Moyennes pondérées pour l’âge, le sexe, la saison et le jour de la semaine.
**Standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).
***Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles)
ont, par contre, été reprises dans toutes les autres analyses.uxelles) ont, par contre, été reprises dans toutes les autres
analyses.
34
3145
Moyenne
brute
IC 95%
brut
Moyenne
stand**
IC 95%
stand
N
Hommes
3,7
(3,2-4,2)
3,6
(3,1-4,1)
1548
Femmes
3,4
(2,9-3,8)
3,3
(2,9-3,8)
1597
3-5
4,7
(3,9-5,5)
4,7
(3,9-5,6)
454
6-9
5,4
(4,4-6,5)
5,4
(4,4-6,5)
538
10-13
6,0
(4,7-7,3)
6,0
(4,7-7,2)
449
14-17
5,0
(4,0-5,9)
5,0
(4,0-5,9)
479
18-39
3,5
(2,9-4,1)
3,5
(2,9-4,1)
619
40-64
2,5
(2,0-3,0)
2,5
(2,0-3,1)
606
Normal
4,0
(3,5-4,4)
3,7
(3,1-4,2)
1969
Surpoids
3,0
(2,4-3,6)
3,4
(2,8-4,1)
619
Obésité
2,1
(1,4-2,8)
2,3
(1,7-2,8)
310
Sans diplôme, primaire,
secondaire
3,2
(2,8-3,7)
3,3
(2,8-3,7)
1290
Supérieur de type court
3,8
(3,1-4,5)
3,8
(3,1-4,5)
885
Supérieur de type long
3,7
(3,1-4,3)
3,5
(2,9-4,1)
915
Flandre
3,1
(2,8-3,5)
3,1
(2,7-3,5)
1766
Wallonie
3,8
(3,2-4,3)
3,7
(3,1-4,3)
1126
3,5
(3,2-3,9)
THI_12_pcs*
SEXE
AGE
INDICE DE MASSE
CORPORELLE
NIVEAU
D’EDUCATION
REGION***
TOTAL
3145
Source : Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.
*Contribution exprimée sous forme de pourcentage moyen par rapport à la consommation totale des 18 groupes d’aliments repris dans Epic-Soft et des compléments alimentaires. Moyennes pondérées pour l’âge, le sexe, la saison et le jour de la semaine.
**Standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).
***Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles)
ont, par contre, été reprises dans toutes les autres analyses.uxelles) ont, par contre, été reprises dans toutes les autres
Vitamine B1 | Tableaux
Tableau 19 | Contribution moyenne des pâtisseries et biscuits sucrés au total des apports en vitamine B1
(en %) au sein de la population âgée de 3 à 64 ans, Belgique, 2014
analyses.
35
Tableau 20 | Contribution moyenne des boissons non alcoolisées au total des apports en vitamine B1 (en
%) au sein de la population âgée de 3 à 64 ans, Belgique, 2014
Moyenne
brute
IC 95%
brut
Moyenne
stand**
IC 95%
stand
N
Hommes
6,8
(6,0-7,6)
6,8
(6,0-7,7)
1548
Femmes
6,6
(5,9-7,3)
6,6
(5,9-7,3)
1597
3-5
7,6
(5,8-9,4)
7,6
(5,8-9,4)
454
6-9
6,9
(5,3-8,5)
6,9
(5,3-8,5)
538
10-13
5,6
(4,3-6,9)
5,6
(4,3-7,0)
449
14-17
5,0
(3,7-6,4)
5,0
(3,7-6,4)
479
18-39
6,2
(5,1-7,2)
6,2
(5,1-7,2)
619
40-64
7,5
(6,6-8,3)
7,5
(6,6-8,4)
606
Normal
6,1
(5,5-6,7)
6,3
(5,6-7,0)
1969
Surpoids
7,4
(6,4-8,5)
7,6
(6,4-8,8)
619
Obésité
7,8
(5,9-9,8)
7,5
(5,8-9,2)
310
Sans diplôme, primaire,
secondaire
7,1
(6,1-8,1)
7,1
(6,1-8,1)
1290
Supérieur de type court
6,1
(5,3-7,0)
6,2
(5,3-7,0)
885
Supérieur de type long
6,7
(5,8-7,6)
6,8
(6,0-7,7)
915
Flandre
6,2
(5,5-6,9)
6,2
(5,5-6,8)
1766
Wallonie
7,2
(6,2-8,2)
7,3
(6,3-8,3)
1126
6,7
(6,2-7,2)
THI_13_pcs*
SEXE
AGE
INDICE DE MASSE
CORPORELLE
Vitamine B1 | Tableaux
NIVEAU
D’EDUCATION
REGION***
TOTAL
Source : Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.
*Contribution exprimée sous forme de pourcentage moyen par rapport à la consommation totale des 18 groupes d’aliments repris dans Epic-Soft et des compléments alimentaires. Moyennes pondérées pour l’âge, le sexe, la saison et le jour de la semaine.
**Standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).
***Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles)
ont, par contre, été reprises dans toutes les autres analyses.uxelles) ont, par contre, été reprises dans toutes les autres
analyses.
36
3145
Moyenne
brute
IC 95%
brut
Moyenne
stand**
IC 95%
stand
N
Hommes
2,3
(1,6-2,9)
2,4
(1,7-3,0)
1548
Femmes
0,4
(0,2-0,5)
0,4
(0,2-0,5)
1597
3-5
0,0
(0,0-0,0)
0,0
(0,0-0,0)
454
6-9
0,0
(0,0-0,0)
0,0
(0,0-0,0)
538
10-13
0,0
(0,0-0,0)
0,0
(0,0-0,0)
449
14-17
0,4
(0,1-0,6)
0,4
(0,1-0,6)
479
18-39
1,4
(1,0-1,9)
1,4
(1,0-1,9)
619
40-64
1,9
(1,2-2,6)
2,0
(1,3-2,7)
606
Normal
1,2
(0,8-1,5)
1,5
(1,1-2,0)
1969
Surpoids
1,8
(0,9-2,7)
1,4
(0,8-2,1)
619
Obésité
1,1
(0,4-1,8)
0,9
(0,4-1,3)
310
Sans diplôme, primaire,
secondaire
1,3
(0,7-1,9)
1,3
(0,7-1,9)
1290
Supérieur de type court
1,4
(0,8-1,9)
1,4
(0,9-2,0)
885
Supérieur de type long
1,3
(0,9-1,8)
1,5
(1,0-2,0)
915
Flandre
1,5
(1,0-2,0)
1,6
(1,1-2,0)
1766
Wallonie
0,9
(0,4-1,3)
1,0
(0,5-1,5)
1126
1,3
(1,0-1,6)
THI_14_pcs*
SEXE
AGE
INDICE DE MASSE
CORPORELLE
NIVEAU
D’EDUCATION
REGION***
TOTAL
3145
Source : Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.
*Contribution exprimée sous forme de pourcentage moyen par rapport à la consommation totale des 18 groupes d’aliments repris dans Epic-Soft et des compléments alimentaires. Moyennes pondérées pour l’âge, le sexe, la saison et le jour de la semaine.
**Standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).
***Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles)
ont, par contre, été reprises dans toutes les autres analyses.uxelles) ont, par contre, été reprises dans toutes les autres
Vitamine B1 | Tableaux
Tableau 21 | Contribution moyenne des boissons alcoolisées au total des apports en vitamine B1 (en %)
au sein de la population âgée de 3 à 64 ans, Belgique, 2014
analyses.
37
Tableau 22 | Contribution moyenne des condiments, sauces et épices au total des apports en vitamine B1
(en %) au sein de la population âgée de 3 à 64 ans, Belgique, 2014
Moyenne
brute
IC 95%
brut
Moyenne
stand**
IC 95%
stand
N
Hommes
2,8
(2,2-3,5)
2,9
(2,2-3,5)
1548
Femmes
2,5
(1,8-3,3)
2,5
(1,8-3,3)
1597
3-5
1,3
(0,9-1,7)
1,3
(0,9-1,8)
454
6-9
2,0
(1,2-2,8)
2,0
(1,2-2,8)
538
10-13
2,4
(1,5-3,3)
2,4
(1,5-3,3)
449
14-17
2,5
(1,6-3,3)
2,5
(1,6-3,3)
479
18-39
3,2
(2,4-4,1)
3,3
(2,4-4,1)
619
40-64
2,6
(1,6-3,5)
2,5
(1,6-3,5)
606
Normal
2,9
(2,2-3,5)
3,0
(2,2-3,8)
1969
Surpoids
2,4
(1,4-3,4)
2,2
(1,4-3,1)
619
Obésité
2,6
(1,2-4,0)
2,5
(1,4-3,7)
310
Sans diplôme, primaire,
secondaire
2,3
(1,7-2,9)
2,3
(1,7-2,9)
1290
Supérieur de type court
3,1
(1,9-4,2)
3,0
(1,9-4,1)
885
Supérieur de type long
2,9
(2,1-3,8)
2,9
(2,1-3,8)
915
Flandre
2,9
(2,2-3,5)
2,9
(2,2-3,6)
1766
Wallonie
2,8
(1,9-3,7)
2,7
(1,8-3,7)
1126
2,7
(2,2-3,2)
THI_15_pcs*
SEXE
AGE
INDICE DE MASSE
CORPORELLE
Vitamine B1 | Tableaux
NIVEAU
D’EDUCATION
REGION***
TOTAL
Source : Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.
*Contribution exprimée sous forme de pourcentage moyen par rapport à la consommation totale des 18 groupes d’aliments repris dans Epic-Soft et des compléments alimentaires. Moyennes pondérées pour l’âge, le sexe, la saison et le jour de la semaine.
**Standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).
***Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles)
ont, par contre, été reprises dans toutes les autres analyses.uxelles) ont, par contre, été reprises dans toutes les autres
analyses..
38
3145
Moyenne
brute
IC 95%
brut
Moyenne
stand**
IC 95%
stand
N
Hommes
0,0
(0,0-0,0)
0,0
(0,0-0,0)
1548
Femmes
0,0
(0,0-0,0)
0,0
(0,0-0,0)
1597
3-5
0,0
(0,0-0,0)
0,0
(0,0-0,0)
454
6-9
0,0
(0,0-0,0)
0,0
(0,0-0,0)
538
10-13
0,0
(0,0-0,0)
0,0
(0,0-0,0)
449
14-17
0,0
(0,0-0,0)
0,0
(0,0-0,0)
479
18-39
0,0
(0,0-0,0)
0,0
(0,0-0,0)
619
40-64
0,0
(0,0-0,0)
0,0
(0,0-0,0)
606
Normal
0,0
(0,0-0,0)
0,0
(0,0-0,0)
1969
Surpoids
0,0
(0,0-0,0)
0,0
(0,0-0,0)
619
Obésité
0,0
(0,0-0,0)
0,0
(0,0-0,0)
310
Sans diplôme, primaire,
secondaire
0,0
(0,0-0,0)
0,0
(0,0-0,0)
1290
Supérieur de type court
0,0
(0,0-0,0)
0,0
(0,0-0,0)
885
Supérieur de type long
0,0
(0,0-0,0)
0,0
(0,0-0,0)
915
Flandre
0,0
(0,0-0,0)
0,0
(0,0-0,0)
1766
Wallonie
0,0
(0,0-0,0)
0,0
(0,0-0,0)
1126
0,0
(0,0-0,0)
THI_16_pcs*
SEXE
AGE
INDICE DE MASSE
CORPORELLE
NIVEAU
D’EDUCATION
REGION***
TOTAL
3145
Source : Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.
*Contribution exprimée sous forme de pourcentage moyen par rapport à la consommation totale des 18 groupes d’aliments repris dans Epic-Soft et des compléments alimentaires. Moyennes pondérées pour l’âge, le sexe, la saison et le jour de la semaine.
**Standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).
***Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles)
ont, par contre, été reprises dans toutes les autres analyses.uxelles) ont, par contre, été reprises dans toutes les autres
Vitamine B1 | Tableaux
Tableau 23 | Contribution moyenne du bouillon au total des apports en vitamine B1 (en %) au sein de la
population âgée de 3 à 64 ans, Belgique, 2014
analyses.
39
Tableau 24 | Contribution moyenne des produits divers (certains produits végétariens, substituts
de repas, produits diététiques) au total des apports en vitamine B1 (en %) au sein de la
population âgée de 3 à 64 ans, Belgique, 2014
Moyenne
brute
IC 95%
brut
Moyenne
stand**
IC 95%
stand
N
Hommes
0,2
(0,1-0,4)
0,2
(0,0-0,4)
1548
Femmes
0,4
(0,1-0,7)
0,4
(0,1-0,8)
1597
3-5
0,0
(0,0-0,0)
0,0
(0,0-0,0)
454
6-9
0,0
(0,0-0,0)
0,0
(0,0-0,0)
538
10-13
0,0
(0,0-0,0)
0,0
(0,0-0,0)
449
14-17
0,7
(0,0-1,5)
0,7
(0,0-1,5)
479
18-39
0,4
(0,1-0,6)
0,4
(0,1-0,6)
619
40-64
0,4
(0,0-0,8)
0,4
(0,0-0,8)
606
Normal
0,3
(0,1-0,5)
0,3
(0,0-0,6)
1969
Surpoids
0,3
(0,0-0,6)
0,3
(0,0-0,6)
619
Obésité
0,7
(0,0-1,4)
0,6
(0,0-1,1)
310
Sans diplôme, primaire,
secondaire
0,3
(0,1-0,5)
0,3
(0,1-0,5)
1290
Supérieur de type court
0,4
(0,0-0,7)
0,4
(0,0-0,7)
885
Supérieur de type long
0,4
(0,0-0,8)
0,4
(0,0-0,9)
915
Flandre
0,4
(0,2-0,7)
0,4
(0,2-0,7)
1766
Wallonie
0,3
(0,0-0,6)
0,3
(0,0-0,6)
1126
0,3
(0,2-0,5)
THI_17_pcs*
SEXE
AGE
INDICE DE MASSE
CORPORELLE
Vitamine B1 | Tableaux
NIVEAU
D’EDUCATION
40
REGION***
TOTAL
3145
Source : Enquête nationale de consomSource : Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.
*Contribution exprimée sous forme de pourcentage moyen par rapport à la consommation totale des 18 groupes d’aliments repris dans Epic-Soft et des compléments alimentaires. Moyennes pondérées pour l’âge, le sexe, la saison et le jour de la semaine.
**Standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).
***Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles)
ont, par contre, été reprises dans toutes les autres analyses.uxelles) ont, par contre, été reprises dans toutes les autres
analyses.
Moyenne
brute
IC 95%
brut
Moyenne
stand**
IC 95%
stand
N
Hommes
1,4
(1,1-1,7)
1,4
(1,0-1,7)
1548
Femmes
1,1
(0,8-1,4)
1,1
(0,8-1,3)
1597
3-5
0,8
(0,5-1,1)
0,8
(0,5-1,1)
454
6-9
1,4
(0,9-1,9)
1,4
(0,9-1,9)
538
10-13
1,7
(1,2-2,2)
1,7
(1,2-2,2)
449
14-17
2,9
(2,0-3,8)
2,9
(2,0-3,8)
479
18-39
1,8
(1,3-2,3)
1,8
(1,3-2,3)
619
40-64
0,4
(0,2-0,7)
0,4
(0,2-0,7)
606
Normal
1,4
(1,1-1,7)
1,2
(0,9-1,4)
1969
Surpoids
1,0
(0,6-1,4)
1,1
(0,7-1,4)
619
Obésité
0,8
(0,3-1,3)
1,0
(0,4-1,6)
310
Sans diplôme, primaire,
secondaire
1,3
(0,9-1,6)
1,3
(0,9-1,6)
1290
Supérieur de type court
1,6
(1,1-2,1)
1,6
(1,1-2,1)
885
Supérieur de type long
0,8
(0,6-1,1)
0,8
(0,6-1,0)
915
Flandre
1,5
(1,2-1,8)
1,5
(1,2-1,8)
1766
Wallonie
1,1
(0,8-1,4)
1,0
(0,7-1,3)
1126
1,2
(1,0-1,5)
THI_18_pcs*
SEXE
AGE
INDICE DE MASSE
CORPORELLE
NIVEAU
D’EDUCATION
REGION***
TOTAL
3145
Source : Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.
*Contribution exprimée sous forme de pourcentage moyen par rapport à la consommation totale des 18 groupes d’aliments repris dans Epic-Soft et des compléments alimentaires. Moyennes pondérées pour l’âge, le sexe, la saison et le jour de la semaine.
**Standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).
***Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles)
ont, par contre, été reprises dans toutes les autres analyses.uxelles) ont, par contre, été reprises dans toutes les autres
Vitamine B1 | Tableaux
Tableau 25 | Contribution moyenne des chips, biscuits salés et apéritifs au total des apports en vitamine
B1 (en %) au sein de la population âgée de 3 à 64 ans, Belgique, 2014
analyses..
41
Tableau 26 | Contribution moyenne des compléments alimentaires au total des apports en vitamine B1
(en %) au sein de la population âgée de 3 à 64 ans, Belgique, 2014
Moyenne
brute
IC 95%
brut
Moyenne
stand**
IC 95%
stand
N
Hommes
2,0
(1,3-2,7)
2,0
(1,3-2,8)
1548
Femmes
4,6
(3,4-5,8)
4,6
(3,4-5,9)
1597
3-5
2,8
(1,6-4,0)
2,8
(1,6-4,0)
454
6-9
1,6
(0,9-2,4)
1,6
(0,9-2,4)
538
10-13
1,4
(0,6-2,2)
1,4
(0,6-2,2)
449
14-17
2,2
(1,1-3,4)
2,2
(1,1-3,4)
479
18-39
4,1
(2,6-5,6)
4,0
(2,6-5,5)
619
40-64
3,5
(2,3-4,6)
3,4
(2,3-4,6)
606
Normal
2,6
(1,7-3,4)
2,6
(1,6-3,6)
1969
Surpoids
4,0
(2,4-5,5)
3,8
(2,4-5,2)
619
Obésité
3,4
(1,8-5,0)
3,4
(1,7-5,0)
310
Sans diplôme, primaire,
secondaire
2,8
(1,8-3,7)
2,8
(1,8-3,7)
1290
Supérieur de type court
3,7
(2,3-5,2)
3,9
(2,3-5,4)
885
Supérieur de type long
3,7
(2,2-5,2)
3,7
(2,2-5,1)
915
Flandre
3,1
(2,2-3,9)
3,1
(2,3-4,0)
1766
Wallonie
3,3
(2,2-4,4)
3,3
(2,2-4,5)
1126
3,3
(2,6-4,0)
THI_20_pcs*
SEXE
AGE
INDICE DE MASSE
CORPORELLE
Vitamine B1 | Tableaux
NIVEAU
D’EDUCATION
REGION***
TOTAL
Source : Enquête nationale de consommation alimentaire 2014-2015, Belgique.
*Contribution exprimée sous forme de pourcentage moyen par rapport à la consommation totale des 18 groupes d’aliments repris dans Epic-Soft et des compléments alimentaires. Moyennes pondérées pour l’âge, le sexe, la saison et le jour de la semaine.
**Standardisation pour l’âge et/ou le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (population belge de 2014 comme référence).
***Bruxelles n’a pas été considérée dans la comparaison entre régions de résidence. Les trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles)
ont, par contre, été reprises dans toutes les autres analyses.uxelles) ont, par contre, été reprises dans toutes les autres
analyses.
42
3145
6.BIBLIOGRAPHIE
(1)
Hoge Gezondheidsraad. Voedingsaanbevelingen voor België - Partim I: vitaminen en sporenelementen. Brussel:
HGR; 2015. Report No.: Advies nr. 9164 & 9174.
(2)
Hoge Gezondheidsraad. Voedingsaanbevelingen voor België. Herziening 2009, nr. 8309. Brussel: Hoge
Gezondheidsraad; 2009.
(3)
Nordic co-operations. Nordic Nutrition Recommendations 2012: integrating nutrition and physical activity.
Copenhagen: Nordic Council of Ministers; 2014. Report No.: Nord 2014:02.
(4)
EFSA - European Food Safety Agency. Tolerable upper intake levels for vitamins and minerals. 2006.
(5)
Dekkers A, Verkaik-Kloosterman J, van Rossum C, Ocké M. SPADE: Statistical Program to Assess habitual Dietary
Expsoure. User’s manual. Version 2.0. National Institute for Public Health and the Environment (RIVM); 2014 Dec 1.
(6)
Dekkers AL, Verkaik-Kloosterman J, van Rossum CT, Ocke MC. SPADE, a new statistical program to estimate habitual
dietary intake from multiple food sources and dietary supplements. J Nutr 2014 Dec;144(12):2083-91.
(7)
O’Brien MM, Kiely M, Harrington KE, Robson PJ, Strain JJ, Flynn A. The North/South Ireland food consumption
survey: vitamin intakes in 18GÇô64-year-old adults. Public health nutrition 2001;4(5a):1069-79.
(8)
National Institute for Public Health and the Environment. Dutch National Food consumption Survey 2007-2010.
2011.
(9)
Whitton C, Nicholson SK, Roberts C, Prynne CJ, Pot GK, Olson A, et al. National Diet and Nutrition Survey: UK food
consumption and nutrient intakes from the first year of the rolling programme and comparisons with previous
surveys. British journal of nutrition 2011;106:1899-914.
(10) Mensink GBM, Fletcher R, Gurinovic M, Huybrechts i, Lafay L, Serra-Majem L, et al. Mapping low intake of
micronutrients across Europe. British journal of nutrition 2013;110(04):755-73.
(12) Agence française de sécurité sanitaire des aliments. Étude Individuelle Nationale des Consommations Alimentaires
2 (INCA 2) (2006-2007). Rapport. 2009.
Vitamine B1 | Bibliographie
(11) Technical University of Denmark. Dietary habits in Denmark 2011-2013. Main results. 2015. 30-3-2016. http://
www.food.dtu.dk/english/News/2015/03/Positive-trends-in-the-Danish-diet?id=898548f9-9dbc-4ca4-8a9523243ee8a979
43