press kit - edouard beau

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press kit - edouard beau
DOSSIER DE PRESSE
12–15
NOV. 2015
À LA BELLEVILLOISE
19 / 21 RUE BOYER, PARIS 20
D E S
/
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É Q U I L I BP LORS S U
NARD
I NAGE DE BER
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EXPOSANTS /
GALERIES
GALERIE TD - THOMAS DOUBLIEZ
Photographes :
Kirill Golovchenko
Créer le monde de demain
avec la photographie
d’aujourd’hui.
Regarder notre époque
en face.
Pour une photographie
agissante.
GALERIE SIT DOWN
Photographes :
Yan Morvan
Tom Wood
VOZ’ GALERIE
Photographe :
Nyaba Ouedraogo
ART EN ACTES
Photographe :
Arno Lafontaine
GALERIE INTERVALLE
Photographes :
Charles Petit
Elena Chernyshova
France Demay
Joakim Kocjancic
S/TEAM SOME/THINGS
Photographe:
Edouard Beau
IN)(BETWEEN GALLERY
Photographe :
Junku Nishimura
GALERIE BASIA EMBIRICOS
Photographes :
Sheppard Pepper
Kodo Chijiwa
GOSEE AWARDS
Photographe :
Nashalina Schrape
GALERIE STARDUST
Photographes :
Pierre Benain
Sue Rynski
INVITÉ D’HONNEUR
DE L’OEIL LIBRE
FONDATION PICTURE DOC
Photographes :
Piotr Wójcik
Adrian Jaszczak
Artur Gutowski
Michal Siarek
STUDIO HANS LUCAS
Photographes :
Michel Slomka
Delphine Blast
Françoise Lambert
Plume Heters Tannenbaum
Benjamain Mengelle
Charles-Frederick Ouellet
Mickaël Duperrin
Elodie Chrisment
Gaëtan Chevrier
Eleonora Strano
Karen Paulina Biswell
Marikel Lahana
Sophie Dupressoir
Stéphane Moiroux
Sophie Knittel
Virginie Nguyen Hoang
Lola Reboud
Hortense Vinet
Clara Chichin
Pascal Hausherr
+MAS: ARTE CONTEMPORANEO
Photographe :
Emanuel Rojas
GALERIE EXIT ART
CONTEMPORAIN
Photographes :
Guillaume Krick
Sophie Mabille
YAKUSHIMA PHOTOGRAPHY
FESTIVAL
Photographes :
Antonin Borgeaud
Aldo Soares
Laurent Monlaü
MO YI
Lauréat de la Fondation
Manuel Rivera Ortiz 2014, sur
une proposition de Didier de Faÿs
DEUXIÈME REGARD
HENRY ROY
ARNAUD THÉVAL
MORVARID K
EMERIC LHUISSET
PHILIPPE CLEMENT
Prix Deuxième Regard 2014
EMMA GROSBOIS
Prix des Lectures Portfolios
Carré sur Seine 2014.
ANTHONY MIRIAL
Soutenu par la Galerie
Mark Hachem
COMMUNIQUÉ - 16 SEPTEMBRE 2015
PHOTO OFF devient What’s Up PHOTO DOC,
pour regarder l’état du Monde en face. Forte
d’un positionnement engagé depuis trois
ans sur la photographie du réel, connectée au
monde, témoin de son époque, PHOTO DOC
affirme un positionnement pour une photographie qui ne cache plus son nom, la Photographie Documentaire. Toute photographie
est par essence «document». Celle qui nous
occupe ici, nous la trouvions jusque là dans
les journaux et magazines d’information.
Elle a toujours joué du coude avec ses sœurs
siamoises que sont le photojournalisme et le
reportage, mais a pour grande particularité
d’agir sur le réel. Il se dit que « le documentaire appelle la réalité à soi ». A la fois document d’auteur et d’analyse, la photographie
documentaire interroge sur la condition humaine et (re)pense le Monde. De l’intime au
terrain, en passant par l’autoportrait, elle
porte avec clairvoyance la grande trace de
son époque.
EDOUARD BEAU
GALERIE SOME/THING SPACE, PARIS
TEMPS DE GUERRE
Photographies réalisées à l’occasion de ses nombreux voyages en Irak, en immersion totale avec les
habitants et leur quotidien à contre courant de la
démarche du News.
Édouard Beau est né en 1982 à Nevers. Il vit et travaille à Paris. En 2012 - 2013, il passe 9 mois à documenter l’Irak et ses territoires grâce à une bourse
du Cnap, d’Olympus France et de l’Ecole Nationale
Supérieure de la Photographie d’Arles.
LES PHOTOGRAPHES À L’HONNEUR
P
hotographes entêtés à
l’extrême, engagés malgré tout, ils incarnent
absolument l’urgence de dire,
de partager une autre façon
de voir le monde, en se rendant à sa rencontre au-delà
du constat, lui préférant l’anticipation des grands changements à venir.
Ceux qui
s’annoncent photographient
en conscience.
Pour certains la photographie n’a pas été le premier
engagement ou n’est pas le
seul, les mutualisant tels des
intrus bienveillants, se laissant finalement «dévorer»
par elle. Junku Nishimura /
Galerie in)(between était au
Japon entrepreneur en béton,
Nyaba Ouedraogo / Galerie
Voz était au Burkina Faso un
sportif de haut niveau, Elena
Chernyshova / Intervalle était
architecte, Philippe Clément
est aussi médecin, Arnaud
Théval est aussi enseignant,
Françoise Lambert / Hans
Lucas est aussi journaliste….
Mo Yi en Chine est de ceux
là. Tibétain d’élection, il y vit
jusqu’à l’âge de 24 ans où
il intègre l’équipe de football professionnel. Il «entre»
en photographie lorsqu’il
s’installe à Tianjin, s’interrogeant sur le rapport entre le
photographe, ses intentions
et le résultat photographié.
La ville devient la source
majeure de ses interrogations.
Lauréat du prix 2015 de
la Fondation Manuel Rivera
Ortiz. Il a été exposé à la Fondation Manuel Rivera Ortiz,
cet été à Arles.
Édouard BEAU, Mur de Ninive, porte de Shamash, Mossoul, Irak, 2012
PIERRE BENAIN
ELENA CHERNYSHOVA
GALERIE STARDUST, PARIS
Photographies de la scène punk et rock londonienne période Sex Pistols
ELENA CHERNYSHOVA / GALERIE INTERVALLE, PARIS
Peu de temps après la séparation des Sex Pistols en
avril 1978, Jean-François Bizot sollicite Pierre Benain
pour écrire un portrait de Johnny Rotten pour
l’Almanach Actuel.
Il se rend à Londres, accompagné de Siobhan Taylor,
une amie irlandaise forte en gueule, prend contact
avec Johnny Rotten qui le reçoit à plusieurs reprises
dans sa modeste maison de Gunter Grove, au bout
de Chelsea. Y défile un aréopage de personnages de
la scène punk londonienne : de Poly Styrene, chanteuse du groupe X-Ray Specs, à Don Letts, habitué
des lieux et futur membre de Big Audio Dynamite,
les nouveaux musiciens de PIL, Sid Vicious et Nancy
Spungen, etc. En invité, Pierre prend des photos de
tout le monde.
Née en 1981 à Moscou, Elena est une photographe
documentariste russe installée en France. En 2011,
elle est lauréate de la bourse de la Fondation JeanLuc Lagardère pour la réalisation de son documentaire «Jours de nuits, nuits de jour» sur la vie
quotidienne dans la ville industrielle de Norlisk,
située à 400 km du cercle polaire, en Sibérie. Elena
Chernyshova a reçu le 3ème prix du World-Press
photo 2014 dans la catégorie « vie quotidienne ».
Les photographies d’Elena sont publiées dans
National Géographic, Le Monde, 6 Mois, Internazionale, Days Japan, Neon, Le Temps, Newsweek, Sunday
Times.
Sa série de Norilsk est exposée également au
GetxoPhoto Festival 2015, sous le commissariat de
Christian Caujolle.
Pierre BENAIN, Sid holding a knife
Elena CHERNYSHOVA, Norilsk 2012
KODO CHIJIWA
PHILIPPE CLÉMENT
GALERIE BASIA EMBIRICOS, PARIS
Yakushima Forest
« Pour moi, actuellement la photographie est à la
fois création et demande de pardon. Avec mon appareil photo autour du cou, je me perds, je m’égare.
Mais en prenant des photos, j’apprivoise le monde
extérieur et cela me permet de construire un lien,
une relation avec mes sujets. Je me sens alors accepté dans leur pardon. C’est grâce à cette reconnaissance que je parviens à trouver mes sujets
et les photographier. Je veux montrer le présent
comme une création et concevoir quelque chose de
nouveau. Sans la photographie je ne suis rien ».
PRIX DEUXIÈME REGARD 2014
Kodo Chijiwa vit sur l’île de Yakushima qu’il
documente en photographie de manière
quasiment endémique.
Co Fondateur du Yakushima Photo Festival.
Médecin de profession, autodidacte, il voit le monde à
travers ses autoportraits avec un certain onirisme et
un réel humanisme.
FRANCE DEMAY
GALERIE INTERVALLE, PARIS
PRIX DEUXIÈME REGARD PHOTO OFF 2014
Philippe Clément, La Palme (autoportrait)
Dans les années 1935-38, découvrant avec ses amis
sportifs les plaisirs des premiers congés payés, mon
grand-père, ouvrier passionné de photographie,
quitte avec bonheur pour quelques temps la région
parisienne à la rencontre de la nature et des grands
espaces.
François Demay, petit fils du photographe
France DEMAY, Partie de campagne, 1936
Kodo CHIJIWA, Yakushima 2014, série Breath.
KIRILL GOLOVCHENKO
EMMA GROSBOIS
TD GALERIE (THOMAS DOUBLIEZ), PARIS
« Bitter Honeydew » (Melon Amer)
PRIX DES LECTURES PORTFOLIOS CARRÉ SUR SEINE 2014.
Ceux qui nous regardent
Agitation, chaos, surabondance, hypermarché au
sens littéral du mot, de prime abord on assiste à
une gargantuesque foire au melon en Ukraine l’été.
Les vendeurs viennent des républiques voisines de
Géorgie, d’Azerbaïdjan ou d’Arménie, à la recherche
de moyens de subsistance. Ce travail documentaire
suit ces vendeurs itinérants de melons amers exclusivement de nuit, le long des routes nationales, dans
un pays en proie aux désordres les plus profonds…
Une Babel réveillée par une lumière tranchante qui
perce la nuit et vient éclairer à chaque fois un point
précis de ce chaos généralisé… Partout le choix de
révéler des fragments de cette vie aux ressorts absurdes et de garder la nuit intacte, tout à la fois réceptacle du chaos ou possibilité du rêve.
Un même dispositif de prises de vues sera déployé
par Kirill Golovchenko place Maïdan durant les manifestations monstres de 2014, en Ukraine. Avec de
nouveau un dialogue entre éclats lumineux et nuit
noire.
Une approche documentaire et artistique marquante qui fait de son auteur un artiste éminent
de la nouvelle scène photographique qui de Berlin à
Moscou révolutionne la photo aujourd’hui.
Ceux qui nous regardent est un projet réalisé à
Palerme, en Sicile, en 2013-2014 sur la présence des
images sacrées et profanes et sur la survivance des
“autels” dans les maisons, les échoppes et garages.
Quelle est la signification profonde de ces images ?
À quel point font-elles partie de la vie de ceux qui les
possèdent - que nous ne voyons pas - et comment s’y
reflète leur présence silencieuse ? Ces assemblages
d’images apparaissent tels des rébus, que nous
devons déchiffrer pour comprendre une histoire
commencée en des temps lointains. Ce qui, au premier regard, semble ”désordre” se révèle en fait une
cartographie précise des vécus, chaque lieu photographié devient alors le portrait de celui qui l’habite.
« Les images votives sont organiques, vulgaires, aussi
désagréables à contempler qu’elles sont abondantes
et diffuses. Elles traversent le temps. Elles sont communes à des civilisations disparates. Elles ignorent
le clivage du paganisme et du christianisme. En
réalité, cette diffusion même, constitue leur mystère et leur singularité. »
Emma Grosbois est née en 1985 à Rennes. Elle vit entre la France et l’Italie. Sa pratique avant
tout photographique peut-être associée selon les
projets à des supports son et vidéo.
Son travail se concentre sur les rapports entre
images, lieux et mémoires.
« Bitter Honeydew » est un travail et un livre
éponyme de Kirill Golovchenko, lauréat du prix
EPAP 2014. European Publishers Awards.
Kirill GOLOVCHENKO, Juggler. BitterHoneydew
Emma GROSBOIS, Ceux qui nous regardent
Kirill GOLOVCHENKO, Untitled. BitterHoneydew 001
STUDIO HANS LUCAS
JOAKIM KOCJANCIC
collectif de photographes, présente le travail de
MICHEL SLOMKA
SOPHIE DUPRESSOIR,
MARION LISE NORMAND,
BRICE PORTOLANO,
DELPHINE BLAST
STÉPHANE MOIROUX,
NICOLA BERTASI,
CAMILLE MICHEL,
FRANÇOISE LAMBERT
SOPHIE KNITTEL,
VALERIAN MAZATAUD,
CÉLINE SARR,
PLUME HETERS TANNENBAUM,
VIRGINIE NGUYEN HOANG,
KAREN ASSAYAG,
EMMANUELLE COQUERAY,
BENJAMAIN MENGELLE,
LOLA REBOUD,
LUCIE PASTUREAU,
EMMANUEL VIVENOT,
CHARLES-FREDERICK
HORTENSE VINET,
VALERIO VINCENZO,
HERVÉ LEQUEUX,
OUELLET,
CLARA CHICHIN,
PAULINE HISBACQ,
GAËL TURPO,
MICKAËL DUPERRIN,
PASCAL HAUSHERR,
CAMILLE LEPAGE,
GUILLAUME CHAUVIN
ELODIE CHRISMENT,
JULIEN BENARD,
FRANCK POURCEL,
GAËTAN CHEVRIER,
JAMES DE CAUPENNE,
ZACHARIE SCHEURER,
ELEONORA STRANO,
JÉRÉMY SAINT-PEYRE,
CHRISTOPHE JACROT,
KAREN PAULINA BISWELL,
KARIN KRONA,
ADRIENNE SURPRENANT,
MARIKEL LAHANA,
KALEL KOVEN,
BERANGÈRE FROMONT,
Studio de production dédié aux nouvelles écritures
et à la transmission. Hans Lucas réunit un nombre
d’individualités autour de la photographie journalistique, documentaire, plasticienne pour livrer une
vision multiple de la société.
GALERIE INTERVALLE, PARIS
Paradise
Série sur les illusions du grand consumérisme, des
photographies qui documentent la part sombre de
Stockholm. Le photographe Joakim Kocjancic, né à
Milan en 1975, a étudié aux Académies des Beaux
Arts de Florence et de Carrare, il est diplômé du
London Collège of communication en photojournalisme. Joakim Kocjancic partage son laboratoire avec
Anders Petersen pour qui il a tiré la série argentique
“Soho”, exposée, en 2010 à Paris Photo. En 2014, il publie son premier livre “Paradise Stocholm chez Gösta
Flemming/Journal. Joakim Kocjancic est membre du
collectif Link Image.
On chemine dans «Des/équilibres » d’une écriture
photographique à l’autre, en passant par des narrations interactives et multimédia.
Sophie KNITTEL
Lola REBOUD, Ephemerides.
Karen PAULINA, Biswell
Benjamain MENGELLE
Joakim KOCJANCIC
St. Eriksgatan, Uma Thurman by La Chapelle, Stockholm,2013
Brice PORTOLANO, Keep Exploring
GUILLAUME KRICK
ARNO LAFONTAINE
EXIT ART CONTEMPORAIN, BOULOGNE BILLANCOURT
ART EN ACTES, NANTES
Face au silence
« Mon travail combine des aspects théoriques issus
entre autre, de la philosophie, la sociologie, l’histoire et la communication avec des fragments de
documents photographiques, d’énoncés, de peinture et de lumière noire.
Mes déplacements à
l’étranger sont une source importante qui alimente
mon travail. De là, le document issue le plus souvent
Arno Lafontaine travaille sur le concept d’échange
photographique « One for You, One for Me » depuis 4 ans. Ses portraits sont réalisés à la chambre
polaroïd, un est donné à la personne photographiée
l’autre est gardé et exposé par Arno.
de la prise de vue photographique apparaît dans
mes propositions à des degrés plus ou moins perceptibles, s’éloignant du reportage, mais gardant
visuellement une trace sociale et culturelle. »
Guillaume Krick est de nationalité française
et canadienne.
Après la Mongolie, il se rend au Rwanda en 2014 avec
le documentariste et journaliste Giordano Cossu,
pour raconter autrement le génocide rwandais et
ses effets, toujours présents, sur la vie d’aujourd’hui
au petit pays des Grands Lacs. Il en résulte un projet transmédia qui comprend aussi deux webdocumentaires « 20 ans après : Portraits du Changement »
et « Femmes du Rwanda : la Vie malgré tout ».
Une production hiryalab.net
Guillaume KRICK, Erosion, paysages de banlieue.
Arnaud LAFONTAINE, One for me, One for you
EMERIC LHUISSET
YAN MORVAN
DEUXIÈME REGARD
THÉÂTRE DE GUERRE
SIT DOWN GALLERY
gangs
Dès son origine la photographie de conflit fut
confrontée à la question du réel. Alors que la subjectivité est évidente dans la peinture, la photographie
est représentée comme preuve.
Pourtant dès ses débuts avec la guerre de Crimée
puis avec la guerre du Vietnam elle est confrontée
à la question de la mise en scène. Son importance
progressive comme outil de propagande ne va que
renforcer sa manipulation.L’image n’est plus forcement vérité, mais elle devient icône.
Emeric Lhuisset, dans cette série, invite de vrais combattants sur une zone d’affrontement à rejouer leur
réalité dans des mises en scène inspirées de peintures classiques, nous invitant à repenser la guerre
dans ses représentations ou comme l’avait nommé
Clausewitz : le Théâtre de guerre.
“Gangs“ de Yan Morvan est une œuvre culte qui
raconte l’histoire des gangs des années 1970 à aujourd’hui, un travail artistique et documentaire sur
la société française et ses différences. …
blousons
noirs rockers des années 70 aux Blacks Dragoons
des années 2000.
“Gangs“ ce sont des clichés rares
et un témoignage de référence pour les sociologues.
Emeric LHUISSET. Theater of war. Irak, 2011- 2012. Photographs with a group of Iranien Kurdish guerrilla.
Emeric présente à
Photo Doc « Théâtre de
Guerre » dans un nouveau
format, 300cm/400cm.
Yan MORVAN, Bikers, Boulogne. 1976
MORVARID K
JUNKU NISHIMURA
DEUXIÈME REGARD
TEMPS DE GUERRE
IN)(BETWEEN GALLERY, PARIS / PRIX DE LA GALERIE PHOTO OFF 2014
Cette jeune artiste est reconnue comme l’un des
talents les plus prometteurs de son pays, l’Iran.
Son travail révèle la vie sociale et quotidienne à
Téhéran, parfois dans les circonstances les plus
banales. Certaines de ses images ont pourtant été
censurées.
Junku Nishimura a travaillé en tant qu’ouvrier du
bâtiment puis est devenu expert en ciment sur des
chantiers de tunnels à travers le pays où il commença à photographier les sites sur lesquels il travaillait.
Après y avoir passé 18 ans, il quitte son emploi et se
lance dans la photographie de manière professionnelle tout en voyageant à travers le monde.
Il situe son travail sur l’expansion urbaine du Japon
et ses habitants, révélant ses effets généralement
cachés sur les gens et leurs villes.
Junku Nishimura est programmé à Photoquai 2015,
Biennale des Images du Monde.
Morvarid K, Blue Sky
Junku NISHIMURA, Changed City - retour à Fukushima
Morvarid K, Blue Sky
NYABA OUEDRAOGO
SHEPPARD PEPPER
VOZ GALERIE, BOULOGNE BILLANCOURT
GALERIE BASIA EMBIRICOS, PARIS
Né en 1978 au Burkina Fasso, Nyaba Ouedraogo est
un ancien sportif de haut niveau, il abandonne la
compétition suite à un accident et commence alors
une carrière photographique.
Depuis 2003, Il travaille sur les conditions de vie et
de travail en Afrique. À travers son objectif, il montre
une réalité, mais surtout en révèle les enjeux politiques complexes.
Né à New-York en 1990 d’un père italien et d’une
mère américaine, il grandit à Paris. La passion de la
photographie lui vient très tôt, notamment à travers
la découverte de l’œuvre de Bruce Weber. A l’âge de
12 ans, il gagne un premier concours avec un cliché
intitulé « Au Pied des Pissenlits ».
Son baccalauréat en poche, il poursuit ses études à
l’Université de Bard aux Etats-Unis, où la ferme qu’il
partage avec ses amis devient le théâtre d’une série
de photos marquées par l’abandon et le détail :
« L’essentiel pour moi était de capturer l’enthou-
Co-fondateur du collectif
«Topics Visual Arts Platform».
Nyaba OUEDRAOGO, Casseurs de Granit, 2011
siasme et la fureur de la jeunesse dans ce qu’elle
a de plus primitif. Montrer les interactions, sans
les déconstruire. Donner à voir ce qui est et qui ne
supporte aucune verbalisation ». A l’issue de son
cursus, Sheppard Pepper publie son premier recueil
Humilities à Station Hill Press, Firsts, qui mêle
poèmes et photographies.
Photographe, poète, mais également musicien,
il enregistre en ce moment son premier album
avec son groupe « Pepper Brothers ».
Sheppard PEPPER, Charles and HenriII-Normandy 2013
CHARLES PETIT
LA FONDATION PICTURE DOC prÉsente
GALERIE INTERVALLE, PARIS
Charles Petit est un photographe obstinément accroché à l’argentique. Le goût de la photographie se
transmet de génération en génération chez les Petit :
de la grand-mère initiée par un grand blessé alors
qu’elle était infirmière pendant la guerre 14-18, au
père, travaillant à l’Optique de Précision de Levallois,
fabricant en France du célèbre Foca.
Charles Petit égrène volontiers les noms de ses
appareils, comme pour vous raconter ses compagnons de route : le Kodak Brownie, le Foca, le Zenith,
jusqu’au Nikon F, acquis, adolescent avec le fruit de la
vente d’un livre de Man Ray trouvé au hasard de ses
errances dans un couvent désaffecté dans le 5ème
PIOTR WOJCIK, ARTUR GUTOWSKI, MICHAŁ SIAREK ET ADRIAN JASZCZAK
arrondissement. A l’âge de 16 ans, Charles commence à vagabonder dans les rues de Paris, puis
au gré des voyages, photographie Londres, Milan,
Vienne.En 1984, Il devient directeur artistique du
magazine Métal Hurlant et simultanément, passe
du N&B au Kodachrome pour lequel il développera
une passion qui prendra toute son ampleur sous le
soleil de Los Angeles.
Aujourd’hui producteur de films publicitaires,
Charles Petit a dans la tête et dans les tiroirs des
milliers d’images rangés en séries, fragments de
vie dans la ville qu’il présente à What’s Up Photo Doc.
La Fondation Picture Doc est une fondation documentaire internationale basée à Varsovie. Ses mots
d’ordre : dialogue, communication, information
pour comprendre l’autre en considérant sa race,
son origine, sa religion, ses croyances, son genre, ses
orientations sexuelles, qui sont autant d’endroits de
division.
Recueillir, pour ouvrir les frontières, des témoignages écrits, photographiques, audios ou audiovisuels. Enseigner le journalisme citoyen pour la protection des droits des individus, des minorités, des
exclus, des femmes, des enfants, des personnes fragilisées et des réfugiés.
C’est pour toutes ces raisons que Piotr Wojcik et
Dominique Roynette ont créé la fondation documentaire PICTURE DOC en 2013.
Piotr WÓJCIK,Tziganes.
Portrait de la plus grande communauté minoritaire d’Europe
Piotr Wójcik est un
photographe de 48 ans
qui vit à Varsovie.
Il est professeur en
photographie
documentaire à l’Ecole
Nationale de Cinéma
de Lodz.
Michał SIAREK: «odwrocony», série «Alexander»
Charles PETIT, Coutainville. 1994
Artur GUTOWSKI, Topeng Monyet
Adrian JASZCZAK, 18ème concours international de gymnastique rythmique, Łódz
EMANUEL ROJAS
HENRY ROY
SECTION DEUXIÈME REGARD
SOUTENU PAR LA GALERIE COLOMBIENNE + MAS: ARTE CONTEMPORANEO, COLOMBIE
SECTION DEUXIÈME REGARD
CAPTURES
Né à Bogota, en Colombie, il grandit à la campagne
entouré de tableaux dans l’atelier de restauration
d’art de sa famille. Après des études de cinéma il
part en 2002 habiter en France, tout en revenant régulièrement dans son pays.
En 2010 il redécouvre le procédé du temps de pose
long. Depuis, ses images explorent le croisement
entre la photographie, le théâtre, la peinture et le
cinéma.
Henry Roy est un photographe important de la
scène «éclairée» ou «avangardiste» d’un courant
d’images de mode initié par des éditions comme
Purple ou Dazed avec qui il a très tôt lié une étroite
collaboration. De nombreuses publications dans des
magazines comme Another Magazine, Vogue, Wall
Paper, W, ..etc, plusieurs éditions de livres en France,
aux USA, en Allemagne ..etc, et un grand nombre
d’expositions en France et à l’étranger, font de lui
un «regard» marquant de ces 15 dernières années.
Il a été le premier Contributeur de cette édition
de la foire avec un texte majeur « Documenter sa
conscience au delà du réel», à lire en ligne sur le site
www.whats-up-photodoc.com.
CAPTURES
«Voilà 4 années que je tiens, au jour le jour, un blog
de photographie. Peut-être devrais-je dire, d’ailleurs,
que c’est lui qui me tient. 4 ans que je poste, presque
au hasard, ce qui me vient à l’œil, superposant sans
relâche images et textes sur les pages épurées d’une
publication digitale.
Ce qui n’était au départ qu’un geste trivial, une banalité contemporaine, a pris la forme d’un rituel
envoutant, dont l’attraction occulte m’emporte toujours plus loin, dans la vie, dans mes songes.
C’est que ces images-là ont une magie qui leur est
propre. Elles nous racontent l’expérience, tout en la
façonnant, décrivent une succession de fictions autarciques, étrangement émancipées de mon vécu.»
HR
Henry ROY
THE MAGIC (Extrait 1, 2015)
Emanuel ROJAS, Pareja Wayuu
NASHALINA SCHRAPE
GOSEE PRODUCTION
Whispers in East Berlin
Gosee Production présente la lauréate des Gosee
Awards 2015, section documentaire
Son coeur est encore à Berlin Est mais son âme est
plus libre à Gotham City. Diplômée d’un Master of
Science en Art Thérapie, Nashalina Schrape utilise
la photographie comme mode d’expression parfois
partagé auprès de ses patients, avec une prédilection pour les visages, la lumière et les rêves.
ARNAUD THÉVAL
SECTION DEUXIÈME REGARD
Le Tigre et le papillon. Le mur rouge.
Avec l’implication des élèves surveillants de l’Administration pénitentiaire d’Agen.
« La prison préparée avec l’imaginaire du métier
avant le choc carcéral. Ou comment la figure du surveillant peut-elle être représentée en incluant les
fragilités, les doutes, les peurs ou les certitudes des
individus lors des différentes étapes de leur formation ? Une première série de protocoles est conçue
comme un remake de ces moments mettant en situation les élèves, les codes du métier et leur imaginaire face à l’univers carcéral qu’ils ne connaissent
pas encore. »
Arnaud Théval est
Diplômé des Beaux-Arts
et enseignant à
l’Université de Bordeaux,
Il Travaille sur la notion
d’enfermement de
l’individu dans un groupe
Arnaud THÉVAL, Le mur rouge
Nashalina SCHRAPE
Whispers in East Berlin. Mutter in the field where the Berlin Wall was and where her father was buried.
Whispers in East Berlin. Femme dans la campagne où se trouvait le mur de Berlin et où est enterré son père.
Arnaud THÉVAL,
Le mur rouge
TOM WOOD
YAKUSHIMA PHOTO FESTIVAL PRÉSENTE
SIT DOWN GALLERY
Men & Women
ANTONIN BORGEAUD / LAURENT MONLAÜ / ALDO SOARES / FUYUKI HASEGAWA /
KODO CHIIJIWA / KYOKO MARUYAMA / MASATO ONO / MIHO SUZUK / SATORU
WATANABE / SHIZUKA SATO
Surnommé par la rue “Photie Man“ (le type à l’appareil photo) tant il a fait, avec son appareil photo, partie du paysage liverpooldien, T om Wood a sillonné
depuis le milieu des années 70, les moindres recoins
de sa ville d’adoption à pied ou en bus – locomotion
constitutive de sa photographie.
“Men & Women“, se situe entre documentaire, expérience de vie et recherche visuelle.
Sur une initiative d’Antonin Borgeaud et Kodo
Chijiwa, il s’agit d’un projet franco-japonais qui
permet la rencontre de deux cultures photographiques, situé sur l’ile de Yakushima, au Japon. Une
large sélection de la programmation est présentée
à PHOTO DOC.
Kodo CHIIJIWA
SATORU WATANABE
Photo Masato Ono
WWW.YPF.PHOTOS
SHIZUKA SATO
Tom WOOD, Pink high heels
Tom WOOD, Pause
FUYUKI HASEGAWA
MIHO SUZUKI
MO YI
LAURÉAT DU PRIX 2015 DE LA FONDATION MANUEL RIVERA ORTIZ
Mo Yi, lauréat du prix 2015 de la Fondation Manuel Rivera Ortiz Photographe
autodidacte chinois, Mo Yi est considéré comme l’une des figures
de la photographie contemporaine chinoise.
En 1988, alors qu’il est chargé de communication
au sein de l’hôpital de Tianjin, Mo Yi se lance dans
un travail personnel. Durant toute sa carrière, la
ville et ses conflits sont ses sujets de choix. « Pour
moi, il y a une contradiction dans les villes, d’un
côté c’est civilisé, avec des voitures, des ordinateurs,
de l’autre il y a la pollution, la saleté, je ne sais pas
comment l’exprimer, donc j’ai recours au flou.»
« Mais mon but n’est pas la critique ou l’attaque.
Cependant, en raison de la politique en Chine, des
changements rapides dans la société et de mon caractère, cela peut être considéré comme tel ».
Pour des raisons politiques, c’est finalement au
Japon que sa première exposition personnelle « City
Space » a eu lieu, au Zeit-Photo Salon, T okyo, en 1996
Dans les années 90, il commence le projet « Je suis un
chien », où il choisit un point de vue particulièrement
bas pour prendre en photo le paysage urbain. Il reçoit
le 1er Prix lors du Festival international de la photographie de Pingyao en 2008 pour l’ensemble de son
travail.
Lauréat du prix 2015
de la Fondation
Manuel Rivera Ortiz.
Il a été exposé à la Fondation
Manuel Rivera Ortiz,
cet été à Arles.
MO Yi, 1 meter. 1988
CONFÉRENCES
SAMEDI 14 NOV. 2015
DE 15H00 À 17H00
dans la salle du Forum (rez de chaussée).
L’ŒIL DE L’AFRIQUE QUI SE REGARDE ET QUI
REGARDE LE MONDE, QUE VOIT-IL DONC ?
En partenariat avec Afrikadaa, la revue d’art
contemporain dans le cadre de Photo Doc.
La photographie documentaire a une
longue histoire en Afrique, ce continent a
été photographié de long en large, à tort et
à travers. Avec cette table ronde, Afrikadaa
propose de renverser le point de vue et
de saisir comment l’Afrique se regarde et
regarde le monde. Sa photographie documentaire, de ses origines avec Jean Depara
ou Malik Sidibé à ses mutations contemporaines, Peter McKenzie, Catherine Trautes,
Jehad Nga ou encore Baudouin Mouanda,
est un nouvel éclairage sur les problématiques de notre temps. L’œil de l’Afrique
qui se regarde et qui regarde le monde, que
voit-il donc ? Quelle est la situation actuelle
du marché du photo-documentaire et du
photo-journalisme en Afrique ?
PARTICIPANTS :
Modératrice :
Camille MOULONGUET
Directeur de publication au magazine :
Benoit BAUME
Commissaire d’exposition :
Yves CHAPTA
Responsable des archives photo
au magazine Jeune Afrique :
Nathalie CLAVE
Photographe :
Françoise Huguier,
Directeur de la biennale de DUTA, Cameroun :
Samuel NJA KWA
Rédactrice en chef de la revue d’art Afrikadaa :
Pascale OBOLO (sous réserve)
DIMANCHE 15 NOV. 2015
DE 15H00 À 17H00
dans la salle du Forum (rez dechaussée).
CONFÉRENCE DONNÉ PAR HANS LUCAS
SUR LE RÔLE DE LA TRANSMITION
MODÉRATEUR : Wilfrid ESTÈVE
WHAT’S UP PHOTO DOC
SOUTIENT LA JEUNE PHOTOGRAPHIE
INAUGURATION
DE FILMS PHOTOGRAPHIQUES
LECTURES DE PORTFOLIOS, PAR CARRÉ SUR SEINE
«SI J’AVAIS 4 DROMADAIRES» de Chris Marker
Film d’ouverture. Proposé par sa société de production
historique Iskra.
Carré sur Seine, association pour la promotion de l’art contemporain
et de la culture basée à Boulogne Billancourt, reçoit des photographes,
pour les aider dans leur éditing, leur donner des conseils, les guider vers
d’autres professionnels, répondre à leurs questions. Carré sur Seine désigne un lauréat dimanche 15 novembre, en fin de journée, sélectionné
sur l’ensemble des travaux vus durant la foire. Lauréat qui sera exposé
l’année suivante, invité par la foire
Inscriptions : [email protected]
Informations : www.vozgalerie.com
LE DEUXIÈME REGARD
Le Deuxième Regard reçoit des photographes prometteurs sélectionnés avec la direction artistique de Photo Doc, pour leur correspondance avec la thématique. Le Deuxième Regard présente Philippe
Clément, Prix 2014, et Arnaud Théval, ainsi que d’autres photographes
(noms communiqués prochainement).
FORMATION
HANS LUCAS
Passerelle entre information et création, Hans Lucas est une société
de production dédiée à la photographie et aux écritures numériques.
En prise avec les mutations technologiques, la structure s’appuie sur
un important réseau international de membres, soutient l’émergence
d’écritures contemporaines, et crée des synergies au-delà des frontières disciplinaires.
Elle invite des artistes, des auteurs émergents ou reconnus -photographes, réalisateurs, journalistes, dessinateurs, créateurs sonores- à
faire ensemble, et diffuse leurs oeuvres via la plateforme collaborative
www.hanslucas.com.
Reconnu pour son expertise dans les domaines du numérique, de la
photographie et du journalisme, Hans Lucas intervient dans le champ
de la formation initiale et continue depuis 2009.Nous accompagnons
le CNC dans la formation aux écritures numériques depuis 4 ans et formons les étudiants de Paul Valéry Montpellier 3 (Licence pro Concepteur et réalisateur audiovisuel), de François Rabelais de T ours (Licence
pro Communication et média spécialité Journalisme) et Perpignan Via
Domitia (DU Photographie documentaire et écritures transmédia).
Nous intervenons également au CFPJ Médias, à l’EDJ de Sciences Po, à
l’ENSP d’Arles, ainsi qu’à la Gaîté Lyrique, à la Maison du Geste et de
l’Image, au Bal, au sein du réseau Diagonal.En 2014, nous avons créé
avec le 3e RPIMA et le GraphCMI,un programme spécialisé sur les zones
de conflits.Actuellement le studio hans lucas participe à la création
d’un master en Photojournalisme ainsi qu’une SCIC intitulée « Territoires numériques ».
«LE VOYAGE MEXICAIN 1965-1966» de Bernard Plossu
Film à l’honneur
SÉLECTION DE COURTS MÉTRAGES PHOTOGRAPHIQUES
DU STUDIO HANS LUCAS
«SEARCHING FOR HASSAN», d’Edouard Beau réalisé à Mosul, Iraq, oct-nov 2007
#World Premiere in Fid Marseille 2009 French Competition
www.fidmarseille.org
# Al Jazeera 7th Documentary Television Film Festival 2010 Long film Competition
# CNC 2012 – Prix de Qualité - edouardbeau.com/video/
searching-for-hassan/www.cnc.fr/web/fr/645
# Al Jazeera 7th Documentary Television Film Festival 2010 Longfilm
Competition
«EL COSTO HUMANO» de Pablo Ernesto Piovano, lauréat 2015 de la Fondation Manuel Rivera Ortiz
https://vimeo.com/127559134
SIGNATURES
YAN MORVAN
«Gangs» et «Champs de bataille» (éditions Photosynthèse)
Samedi 14 novembre à 18h00
Stand de la Galerie Sit Down,
(au LOFT situé au premier étage de la foire)
TOM WOOD
«Mens & Women» (éditions Steidl)
Vendredi 14 Novembre à 18h30
(au LOFT situé au premier étage de la foire)
LES PRIX
PRIX DE LA GALERIE WHAT’S UP PHOTO DOC
Remis par le jury le 13 novembre.
La galerie lauréate sera invitée par la foire en 2016.
PRIX DEUXIÈME REGARD
Remis par le jury le 13 novembre.
Le lauréat sera invité par la foire en 2016.
PRIX CARRÉ SUR SEINE
Remis le 15 novembre.
Le lauréat sera invité par la foire en 2016.
12–15
NOV. 2015
À LA BELLEVILLOISE
19 / 21 RUE BOYER, PARIS 20
www.labellevilloise.com
INFORMATIONS
TÉL : 06 26 40 54 54
www.whats-up-photodoc.com
HORAIRES
JEUDI 12 : 15H00-22H00
VENDREDI 13 : 12H30 - 22H00
SAMEDI 14 : 12H30 - 22H00
DIMANCHE 15 : 11H00 - 20H30
TARIFS
ENTRÉE SIMPLE : 7€
ENTRÉE + CATALOGUE : 12€
CATALOGUE : 10€
GROUPE (+ 10 PERS) : 4€
ENFANTS (-12 ANS) : GRATUIT
ÉQUIPE
ORGANISATEURS : LA BELLEVILLOISE
DIRECTION ARTISTIQUE :
CHARLOTTE FLOSSAUT
PRESSE / 2e BUREAU
SYLVIE GRUMBACH,
MARIE LAURE GIRARDON,
MARTIAL HOBENICHE
[email protected]
TÉL : +33 1 42 33 93 18
ORGANISATEUR
CONTRIBUTEURS ET PARTENAIRES