press kit - edouard beau
Transcription
press kit - edouard beau
DOSSIER DE PRESSE 12–15 NOV. 2015 À LA BELLEVILLOISE 19 / 21 RUE BOYER, PARIS 20 D E S / E É Q U I L I BP LORS S U NARD I NAGE DE BER A R R PA E L S U SO EXPOSANTS / GALERIES GALERIE TD - THOMAS DOUBLIEZ Photographes : Kirill Golovchenko Créer le monde de demain avec la photographie d’aujourd’hui. Regarder notre époque en face. Pour une photographie agissante. GALERIE SIT DOWN Photographes : Yan Morvan Tom Wood VOZ’ GALERIE Photographe : Nyaba Ouedraogo ART EN ACTES Photographe : Arno Lafontaine GALERIE INTERVALLE Photographes : Charles Petit Elena Chernyshova France Demay Joakim Kocjancic S/TEAM SOME/THINGS Photographe: Edouard Beau IN)(BETWEEN GALLERY Photographe : Junku Nishimura GALERIE BASIA EMBIRICOS Photographes : Sheppard Pepper Kodo Chijiwa GOSEE AWARDS Photographe : Nashalina Schrape GALERIE STARDUST Photographes : Pierre Benain Sue Rynski INVITÉ D’HONNEUR DE L’OEIL LIBRE FONDATION PICTURE DOC Photographes : Piotr Wójcik Adrian Jaszczak Artur Gutowski Michal Siarek STUDIO HANS LUCAS Photographes : Michel Slomka Delphine Blast Françoise Lambert Plume Heters Tannenbaum Benjamain Mengelle Charles-Frederick Ouellet Mickaël Duperrin Elodie Chrisment Gaëtan Chevrier Eleonora Strano Karen Paulina Biswell Marikel Lahana Sophie Dupressoir Stéphane Moiroux Sophie Knittel Virginie Nguyen Hoang Lola Reboud Hortense Vinet Clara Chichin Pascal Hausherr +MAS: ARTE CONTEMPORANEO Photographe : Emanuel Rojas GALERIE EXIT ART CONTEMPORAIN Photographes : Guillaume Krick Sophie Mabille YAKUSHIMA PHOTOGRAPHY FESTIVAL Photographes : Antonin Borgeaud Aldo Soares Laurent Monlaü MO YI Lauréat de la Fondation Manuel Rivera Ortiz 2014, sur une proposition de Didier de Faÿs DEUXIÈME REGARD HENRY ROY ARNAUD THÉVAL MORVARID K EMERIC LHUISSET PHILIPPE CLEMENT Prix Deuxième Regard 2014 EMMA GROSBOIS Prix des Lectures Portfolios Carré sur Seine 2014. ANTHONY MIRIAL Soutenu par la Galerie Mark Hachem COMMUNIQUÉ - 16 SEPTEMBRE 2015 PHOTO OFF devient What’s Up PHOTO DOC, pour regarder l’état du Monde en face. Forte d’un positionnement engagé depuis trois ans sur la photographie du réel, connectée au monde, témoin de son époque, PHOTO DOC affirme un positionnement pour une photographie qui ne cache plus son nom, la Photographie Documentaire. Toute photographie est par essence «document». Celle qui nous occupe ici, nous la trouvions jusque là dans les journaux et magazines d’information. Elle a toujours joué du coude avec ses sœurs siamoises que sont le photojournalisme et le reportage, mais a pour grande particularité d’agir sur le réel. Il se dit que « le documentaire appelle la réalité à soi ». A la fois document d’auteur et d’analyse, la photographie documentaire interroge sur la condition humaine et (re)pense le Monde. De l’intime au terrain, en passant par l’autoportrait, elle porte avec clairvoyance la grande trace de son époque. EDOUARD BEAU GALERIE SOME/THING SPACE, PARIS TEMPS DE GUERRE Photographies réalisées à l’occasion de ses nombreux voyages en Irak, en immersion totale avec les habitants et leur quotidien à contre courant de la démarche du News. Édouard Beau est né en 1982 à Nevers. Il vit et travaille à Paris. En 2012 - 2013, il passe 9 mois à documenter l’Irak et ses territoires grâce à une bourse du Cnap, d’Olympus France et de l’Ecole Nationale Supérieure de la Photographie d’Arles. LES PHOTOGRAPHES À L’HONNEUR P hotographes entêtés à l’extrême, engagés malgré tout, ils incarnent absolument l’urgence de dire, de partager une autre façon de voir le monde, en se rendant à sa rencontre au-delà du constat, lui préférant l’anticipation des grands changements à venir. Ceux qui s’annoncent photographient en conscience. Pour certains la photographie n’a pas été le premier engagement ou n’est pas le seul, les mutualisant tels des intrus bienveillants, se laissant finalement «dévorer» par elle. Junku Nishimura / Galerie in)(between était au Japon entrepreneur en béton, Nyaba Ouedraogo / Galerie Voz était au Burkina Faso un sportif de haut niveau, Elena Chernyshova / Intervalle était architecte, Philippe Clément est aussi médecin, Arnaud Théval est aussi enseignant, Françoise Lambert / Hans Lucas est aussi journaliste…. Mo Yi en Chine est de ceux là. Tibétain d’élection, il y vit jusqu’à l’âge de 24 ans où il intègre l’équipe de football professionnel. Il «entre» en photographie lorsqu’il s’installe à Tianjin, s’interrogeant sur le rapport entre le photographe, ses intentions et le résultat photographié. La ville devient la source majeure de ses interrogations. Lauréat du prix 2015 de la Fondation Manuel Rivera Ortiz. Il a été exposé à la Fondation Manuel Rivera Ortiz, cet été à Arles. Édouard BEAU, Mur de Ninive, porte de Shamash, Mossoul, Irak, 2012 PIERRE BENAIN ELENA CHERNYSHOVA GALERIE STARDUST, PARIS Photographies de la scène punk et rock londonienne période Sex Pistols ELENA CHERNYSHOVA / GALERIE INTERVALLE, PARIS Peu de temps après la séparation des Sex Pistols en avril 1978, Jean-François Bizot sollicite Pierre Benain pour écrire un portrait de Johnny Rotten pour l’Almanach Actuel. Il se rend à Londres, accompagné de Siobhan Taylor, une amie irlandaise forte en gueule, prend contact avec Johnny Rotten qui le reçoit à plusieurs reprises dans sa modeste maison de Gunter Grove, au bout de Chelsea. Y défile un aréopage de personnages de la scène punk londonienne : de Poly Styrene, chanteuse du groupe X-Ray Specs, à Don Letts, habitué des lieux et futur membre de Big Audio Dynamite, les nouveaux musiciens de PIL, Sid Vicious et Nancy Spungen, etc. En invité, Pierre prend des photos de tout le monde. Née en 1981 à Moscou, Elena est une photographe documentariste russe installée en France. En 2011, elle est lauréate de la bourse de la Fondation JeanLuc Lagardère pour la réalisation de son documentaire «Jours de nuits, nuits de jour» sur la vie quotidienne dans la ville industrielle de Norlisk, située à 400 km du cercle polaire, en Sibérie. Elena Chernyshova a reçu le 3ème prix du World-Press photo 2014 dans la catégorie « vie quotidienne ». Les photographies d’Elena sont publiées dans National Géographic, Le Monde, 6 Mois, Internazionale, Days Japan, Neon, Le Temps, Newsweek, Sunday Times. Sa série de Norilsk est exposée également au GetxoPhoto Festival 2015, sous le commissariat de Christian Caujolle. Pierre BENAIN, Sid holding a knife Elena CHERNYSHOVA, Norilsk 2012 KODO CHIJIWA PHILIPPE CLÉMENT GALERIE BASIA EMBIRICOS, PARIS Yakushima Forest « Pour moi, actuellement la photographie est à la fois création et demande de pardon. Avec mon appareil photo autour du cou, je me perds, je m’égare. Mais en prenant des photos, j’apprivoise le monde extérieur et cela me permet de construire un lien, une relation avec mes sujets. Je me sens alors accepté dans leur pardon. C’est grâce à cette reconnaissance que je parviens à trouver mes sujets et les photographier. Je veux montrer le présent comme une création et concevoir quelque chose de nouveau. Sans la photographie je ne suis rien ». PRIX DEUXIÈME REGARD 2014 Kodo Chijiwa vit sur l’île de Yakushima qu’il documente en photographie de manière quasiment endémique. Co Fondateur du Yakushima Photo Festival. Médecin de profession, autodidacte, il voit le monde à travers ses autoportraits avec un certain onirisme et un réel humanisme. FRANCE DEMAY GALERIE INTERVALLE, PARIS PRIX DEUXIÈME REGARD PHOTO OFF 2014 Philippe Clément, La Palme (autoportrait) Dans les années 1935-38, découvrant avec ses amis sportifs les plaisirs des premiers congés payés, mon grand-père, ouvrier passionné de photographie, quitte avec bonheur pour quelques temps la région parisienne à la rencontre de la nature et des grands espaces. François Demay, petit fils du photographe France DEMAY, Partie de campagne, 1936 Kodo CHIJIWA, Yakushima 2014, série Breath. KIRILL GOLOVCHENKO EMMA GROSBOIS TD GALERIE (THOMAS DOUBLIEZ), PARIS « Bitter Honeydew » (Melon Amer) PRIX DES LECTURES PORTFOLIOS CARRÉ SUR SEINE 2014. Ceux qui nous regardent Agitation, chaos, surabondance, hypermarché au sens littéral du mot, de prime abord on assiste à une gargantuesque foire au melon en Ukraine l’été. Les vendeurs viennent des républiques voisines de Géorgie, d’Azerbaïdjan ou d’Arménie, à la recherche de moyens de subsistance. Ce travail documentaire suit ces vendeurs itinérants de melons amers exclusivement de nuit, le long des routes nationales, dans un pays en proie aux désordres les plus profonds… Une Babel réveillée par une lumière tranchante qui perce la nuit et vient éclairer à chaque fois un point précis de ce chaos généralisé… Partout le choix de révéler des fragments de cette vie aux ressorts absurdes et de garder la nuit intacte, tout à la fois réceptacle du chaos ou possibilité du rêve. Un même dispositif de prises de vues sera déployé par Kirill Golovchenko place Maïdan durant les manifestations monstres de 2014, en Ukraine. Avec de nouveau un dialogue entre éclats lumineux et nuit noire. Une approche documentaire et artistique marquante qui fait de son auteur un artiste éminent de la nouvelle scène photographique qui de Berlin à Moscou révolutionne la photo aujourd’hui. Ceux qui nous regardent est un projet réalisé à Palerme, en Sicile, en 2013-2014 sur la présence des images sacrées et profanes et sur la survivance des “autels” dans les maisons, les échoppes et garages. Quelle est la signification profonde de ces images ? À quel point font-elles partie de la vie de ceux qui les possèdent - que nous ne voyons pas - et comment s’y reflète leur présence silencieuse ? Ces assemblages d’images apparaissent tels des rébus, que nous devons déchiffrer pour comprendre une histoire commencée en des temps lointains. Ce qui, au premier regard, semble ”désordre” se révèle en fait une cartographie précise des vécus, chaque lieu photographié devient alors le portrait de celui qui l’habite. « Les images votives sont organiques, vulgaires, aussi désagréables à contempler qu’elles sont abondantes et diffuses. Elles traversent le temps. Elles sont communes à des civilisations disparates. Elles ignorent le clivage du paganisme et du christianisme. En réalité, cette diffusion même, constitue leur mystère et leur singularité. » Emma Grosbois est née en 1985 à Rennes. Elle vit entre la France et l’Italie. Sa pratique avant tout photographique peut-être associée selon les projets à des supports son et vidéo. Son travail se concentre sur les rapports entre images, lieux et mémoires. « Bitter Honeydew » est un travail et un livre éponyme de Kirill Golovchenko, lauréat du prix EPAP 2014. European Publishers Awards. Kirill GOLOVCHENKO, Juggler. BitterHoneydew Emma GROSBOIS, Ceux qui nous regardent Kirill GOLOVCHENKO, Untitled. BitterHoneydew 001 STUDIO HANS LUCAS JOAKIM KOCJANCIC collectif de photographes, présente le travail de MICHEL SLOMKA SOPHIE DUPRESSOIR, MARION LISE NORMAND, BRICE PORTOLANO, DELPHINE BLAST STÉPHANE MOIROUX, NICOLA BERTASI, CAMILLE MICHEL, FRANÇOISE LAMBERT SOPHIE KNITTEL, VALERIAN MAZATAUD, CÉLINE SARR, PLUME HETERS TANNENBAUM, VIRGINIE NGUYEN HOANG, KAREN ASSAYAG, EMMANUELLE COQUERAY, BENJAMAIN MENGELLE, LOLA REBOUD, LUCIE PASTUREAU, EMMANUEL VIVENOT, CHARLES-FREDERICK HORTENSE VINET, VALERIO VINCENZO, HERVÉ LEQUEUX, OUELLET, CLARA CHICHIN, PAULINE HISBACQ, GAËL TURPO, MICKAËL DUPERRIN, PASCAL HAUSHERR, CAMILLE LEPAGE, GUILLAUME CHAUVIN ELODIE CHRISMENT, JULIEN BENARD, FRANCK POURCEL, GAËTAN CHEVRIER, JAMES DE CAUPENNE, ZACHARIE SCHEURER, ELEONORA STRANO, JÉRÉMY SAINT-PEYRE, CHRISTOPHE JACROT, KAREN PAULINA BISWELL, KARIN KRONA, ADRIENNE SURPRENANT, MARIKEL LAHANA, KALEL KOVEN, BERANGÈRE FROMONT, Studio de production dédié aux nouvelles écritures et à la transmission. Hans Lucas réunit un nombre d’individualités autour de la photographie journalistique, documentaire, plasticienne pour livrer une vision multiple de la société. GALERIE INTERVALLE, PARIS Paradise Série sur les illusions du grand consumérisme, des photographies qui documentent la part sombre de Stockholm. Le photographe Joakim Kocjancic, né à Milan en 1975, a étudié aux Académies des Beaux Arts de Florence et de Carrare, il est diplômé du London Collège of communication en photojournalisme. Joakim Kocjancic partage son laboratoire avec Anders Petersen pour qui il a tiré la série argentique “Soho”, exposée, en 2010 à Paris Photo. En 2014, il publie son premier livre “Paradise Stocholm chez Gösta Flemming/Journal. Joakim Kocjancic est membre du collectif Link Image. On chemine dans «Des/équilibres » d’une écriture photographique à l’autre, en passant par des narrations interactives et multimédia. Sophie KNITTEL Lola REBOUD, Ephemerides. Karen PAULINA, Biswell Benjamain MENGELLE Joakim KOCJANCIC St. Eriksgatan, Uma Thurman by La Chapelle, Stockholm,2013 Brice PORTOLANO, Keep Exploring GUILLAUME KRICK ARNO LAFONTAINE EXIT ART CONTEMPORAIN, BOULOGNE BILLANCOURT ART EN ACTES, NANTES Face au silence « Mon travail combine des aspects théoriques issus entre autre, de la philosophie, la sociologie, l’histoire et la communication avec des fragments de documents photographiques, d’énoncés, de peinture et de lumière noire. Mes déplacements à l’étranger sont une source importante qui alimente mon travail. De là, le document issue le plus souvent Arno Lafontaine travaille sur le concept d’échange photographique « One for You, One for Me » depuis 4 ans. Ses portraits sont réalisés à la chambre polaroïd, un est donné à la personne photographiée l’autre est gardé et exposé par Arno. de la prise de vue photographique apparaît dans mes propositions à des degrés plus ou moins perceptibles, s’éloignant du reportage, mais gardant visuellement une trace sociale et culturelle. » Guillaume Krick est de nationalité française et canadienne. Après la Mongolie, il se rend au Rwanda en 2014 avec le documentariste et journaliste Giordano Cossu, pour raconter autrement le génocide rwandais et ses effets, toujours présents, sur la vie d’aujourd’hui au petit pays des Grands Lacs. Il en résulte un projet transmédia qui comprend aussi deux webdocumentaires « 20 ans après : Portraits du Changement » et « Femmes du Rwanda : la Vie malgré tout ». Une production hiryalab.net Guillaume KRICK, Erosion, paysages de banlieue. Arnaud LAFONTAINE, One for me, One for you EMERIC LHUISSET YAN MORVAN DEUXIÈME REGARD THÉÂTRE DE GUERRE SIT DOWN GALLERY gangs Dès son origine la photographie de conflit fut confrontée à la question du réel. Alors que la subjectivité est évidente dans la peinture, la photographie est représentée comme preuve. Pourtant dès ses débuts avec la guerre de Crimée puis avec la guerre du Vietnam elle est confrontée à la question de la mise en scène. Son importance progressive comme outil de propagande ne va que renforcer sa manipulation.L’image n’est plus forcement vérité, mais elle devient icône. Emeric Lhuisset, dans cette série, invite de vrais combattants sur une zone d’affrontement à rejouer leur réalité dans des mises en scène inspirées de peintures classiques, nous invitant à repenser la guerre dans ses représentations ou comme l’avait nommé Clausewitz : le Théâtre de guerre. “Gangs“ de Yan Morvan est une œuvre culte qui raconte l’histoire des gangs des années 1970 à aujourd’hui, un travail artistique et documentaire sur la société française et ses différences. … blousons noirs rockers des années 70 aux Blacks Dragoons des années 2000. “Gangs“ ce sont des clichés rares et un témoignage de référence pour les sociologues. Emeric LHUISSET. Theater of war. Irak, 2011- 2012. Photographs with a group of Iranien Kurdish guerrilla. Emeric présente à Photo Doc « Théâtre de Guerre » dans un nouveau format, 300cm/400cm. Yan MORVAN, Bikers, Boulogne. 1976 MORVARID K JUNKU NISHIMURA DEUXIÈME REGARD TEMPS DE GUERRE IN)(BETWEEN GALLERY, PARIS / PRIX DE LA GALERIE PHOTO OFF 2014 Cette jeune artiste est reconnue comme l’un des talents les plus prometteurs de son pays, l’Iran. Son travail révèle la vie sociale et quotidienne à Téhéran, parfois dans les circonstances les plus banales. Certaines de ses images ont pourtant été censurées. Junku Nishimura a travaillé en tant qu’ouvrier du bâtiment puis est devenu expert en ciment sur des chantiers de tunnels à travers le pays où il commença à photographier les sites sur lesquels il travaillait. Après y avoir passé 18 ans, il quitte son emploi et se lance dans la photographie de manière professionnelle tout en voyageant à travers le monde. Il situe son travail sur l’expansion urbaine du Japon et ses habitants, révélant ses effets généralement cachés sur les gens et leurs villes. Junku Nishimura est programmé à Photoquai 2015, Biennale des Images du Monde. Morvarid K, Blue Sky Junku NISHIMURA, Changed City - retour à Fukushima Morvarid K, Blue Sky NYABA OUEDRAOGO SHEPPARD PEPPER VOZ GALERIE, BOULOGNE BILLANCOURT GALERIE BASIA EMBIRICOS, PARIS Né en 1978 au Burkina Fasso, Nyaba Ouedraogo est un ancien sportif de haut niveau, il abandonne la compétition suite à un accident et commence alors une carrière photographique. Depuis 2003, Il travaille sur les conditions de vie et de travail en Afrique. À travers son objectif, il montre une réalité, mais surtout en révèle les enjeux politiques complexes. Né à New-York en 1990 d’un père italien et d’une mère américaine, il grandit à Paris. La passion de la photographie lui vient très tôt, notamment à travers la découverte de l’œuvre de Bruce Weber. A l’âge de 12 ans, il gagne un premier concours avec un cliché intitulé « Au Pied des Pissenlits ». Son baccalauréat en poche, il poursuit ses études à l’Université de Bard aux Etats-Unis, où la ferme qu’il partage avec ses amis devient le théâtre d’une série de photos marquées par l’abandon et le détail : « L’essentiel pour moi était de capturer l’enthou- Co-fondateur du collectif «Topics Visual Arts Platform». Nyaba OUEDRAOGO, Casseurs de Granit, 2011 siasme et la fureur de la jeunesse dans ce qu’elle a de plus primitif. Montrer les interactions, sans les déconstruire. Donner à voir ce qui est et qui ne supporte aucune verbalisation ». A l’issue de son cursus, Sheppard Pepper publie son premier recueil Humilities à Station Hill Press, Firsts, qui mêle poèmes et photographies. Photographe, poète, mais également musicien, il enregistre en ce moment son premier album avec son groupe « Pepper Brothers ». Sheppard PEPPER, Charles and HenriII-Normandy 2013 CHARLES PETIT LA FONDATION PICTURE DOC prÉsente GALERIE INTERVALLE, PARIS Charles Petit est un photographe obstinément accroché à l’argentique. Le goût de la photographie se transmet de génération en génération chez les Petit : de la grand-mère initiée par un grand blessé alors qu’elle était infirmière pendant la guerre 14-18, au père, travaillant à l’Optique de Précision de Levallois, fabricant en France du célèbre Foca. Charles Petit égrène volontiers les noms de ses appareils, comme pour vous raconter ses compagnons de route : le Kodak Brownie, le Foca, le Zenith, jusqu’au Nikon F, acquis, adolescent avec le fruit de la vente d’un livre de Man Ray trouvé au hasard de ses errances dans un couvent désaffecté dans le 5ème PIOTR WOJCIK, ARTUR GUTOWSKI, MICHAŁ SIAREK ET ADRIAN JASZCZAK arrondissement. A l’âge de 16 ans, Charles commence à vagabonder dans les rues de Paris, puis au gré des voyages, photographie Londres, Milan, Vienne.En 1984, Il devient directeur artistique du magazine Métal Hurlant et simultanément, passe du N&B au Kodachrome pour lequel il développera une passion qui prendra toute son ampleur sous le soleil de Los Angeles. Aujourd’hui producteur de films publicitaires, Charles Petit a dans la tête et dans les tiroirs des milliers d’images rangés en séries, fragments de vie dans la ville qu’il présente à What’s Up Photo Doc. La Fondation Picture Doc est une fondation documentaire internationale basée à Varsovie. Ses mots d’ordre : dialogue, communication, information pour comprendre l’autre en considérant sa race, son origine, sa religion, ses croyances, son genre, ses orientations sexuelles, qui sont autant d’endroits de division. Recueillir, pour ouvrir les frontières, des témoignages écrits, photographiques, audios ou audiovisuels. Enseigner le journalisme citoyen pour la protection des droits des individus, des minorités, des exclus, des femmes, des enfants, des personnes fragilisées et des réfugiés. C’est pour toutes ces raisons que Piotr Wojcik et Dominique Roynette ont créé la fondation documentaire PICTURE DOC en 2013. Piotr WÓJCIK,Tziganes. Portrait de la plus grande communauté minoritaire d’Europe Piotr Wójcik est un photographe de 48 ans qui vit à Varsovie. Il est professeur en photographie documentaire à l’Ecole Nationale de Cinéma de Lodz. Michał SIAREK: «odwrocony», série «Alexander» Charles PETIT, Coutainville. 1994 Artur GUTOWSKI, Topeng Monyet Adrian JASZCZAK, 18ème concours international de gymnastique rythmique, Łódz EMANUEL ROJAS HENRY ROY SECTION DEUXIÈME REGARD SOUTENU PAR LA GALERIE COLOMBIENNE + MAS: ARTE CONTEMPORANEO, COLOMBIE SECTION DEUXIÈME REGARD CAPTURES Né à Bogota, en Colombie, il grandit à la campagne entouré de tableaux dans l’atelier de restauration d’art de sa famille. Après des études de cinéma il part en 2002 habiter en France, tout en revenant régulièrement dans son pays. En 2010 il redécouvre le procédé du temps de pose long. Depuis, ses images explorent le croisement entre la photographie, le théâtre, la peinture et le cinéma. Henry Roy est un photographe important de la scène «éclairée» ou «avangardiste» d’un courant d’images de mode initié par des éditions comme Purple ou Dazed avec qui il a très tôt lié une étroite collaboration. De nombreuses publications dans des magazines comme Another Magazine, Vogue, Wall Paper, W, ..etc, plusieurs éditions de livres en France, aux USA, en Allemagne ..etc, et un grand nombre d’expositions en France et à l’étranger, font de lui un «regard» marquant de ces 15 dernières années. Il a été le premier Contributeur de cette édition de la foire avec un texte majeur « Documenter sa conscience au delà du réel», à lire en ligne sur le site www.whats-up-photodoc.com. CAPTURES «Voilà 4 années que je tiens, au jour le jour, un blog de photographie. Peut-être devrais-je dire, d’ailleurs, que c’est lui qui me tient. 4 ans que je poste, presque au hasard, ce qui me vient à l’œil, superposant sans relâche images et textes sur les pages épurées d’une publication digitale. Ce qui n’était au départ qu’un geste trivial, une banalité contemporaine, a pris la forme d’un rituel envoutant, dont l’attraction occulte m’emporte toujours plus loin, dans la vie, dans mes songes. C’est que ces images-là ont une magie qui leur est propre. Elles nous racontent l’expérience, tout en la façonnant, décrivent une succession de fictions autarciques, étrangement émancipées de mon vécu.» HR Henry ROY THE MAGIC (Extrait 1, 2015) Emanuel ROJAS, Pareja Wayuu NASHALINA SCHRAPE GOSEE PRODUCTION Whispers in East Berlin Gosee Production présente la lauréate des Gosee Awards 2015, section documentaire Son coeur est encore à Berlin Est mais son âme est plus libre à Gotham City. Diplômée d’un Master of Science en Art Thérapie, Nashalina Schrape utilise la photographie comme mode d’expression parfois partagé auprès de ses patients, avec une prédilection pour les visages, la lumière et les rêves. ARNAUD THÉVAL SECTION DEUXIÈME REGARD Le Tigre et le papillon. Le mur rouge. Avec l’implication des élèves surveillants de l’Administration pénitentiaire d’Agen. « La prison préparée avec l’imaginaire du métier avant le choc carcéral. Ou comment la figure du surveillant peut-elle être représentée en incluant les fragilités, les doutes, les peurs ou les certitudes des individus lors des différentes étapes de leur formation ? Une première série de protocoles est conçue comme un remake de ces moments mettant en situation les élèves, les codes du métier et leur imaginaire face à l’univers carcéral qu’ils ne connaissent pas encore. » Arnaud Théval est Diplômé des Beaux-Arts et enseignant à l’Université de Bordeaux, Il Travaille sur la notion d’enfermement de l’individu dans un groupe Arnaud THÉVAL, Le mur rouge Nashalina SCHRAPE Whispers in East Berlin. Mutter in the field where the Berlin Wall was and where her father was buried. Whispers in East Berlin. Femme dans la campagne où se trouvait le mur de Berlin et où est enterré son père. Arnaud THÉVAL, Le mur rouge TOM WOOD YAKUSHIMA PHOTO FESTIVAL PRÉSENTE SIT DOWN GALLERY Men & Women ANTONIN BORGEAUD / LAURENT MONLAÜ / ALDO SOARES / FUYUKI HASEGAWA / KODO CHIIJIWA / KYOKO MARUYAMA / MASATO ONO / MIHO SUZUK / SATORU WATANABE / SHIZUKA SATO Surnommé par la rue “Photie Man“ (le type à l’appareil photo) tant il a fait, avec son appareil photo, partie du paysage liverpooldien, T om Wood a sillonné depuis le milieu des années 70, les moindres recoins de sa ville d’adoption à pied ou en bus – locomotion constitutive de sa photographie. “Men & Women“, se situe entre documentaire, expérience de vie et recherche visuelle. Sur une initiative d’Antonin Borgeaud et Kodo Chijiwa, il s’agit d’un projet franco-japonais qui permet la rencontre de deux cultures photographiques, situé sur l’ile de Yakushima, au Japon. Une large sélection de la programmation est présentée à PHOTO DOC. Kodo CHIIJIWA SATORU WATANABE Photo Masato Ono WWW.YPF.PHOTOS SHIZUKA SATO Tom WOOD, Pink high heels Tom WOOD, Pause FUYUKI HASEGAWA MIHO SUZUKI MO YI LAURÉAT DU PRIX 2015 DE LA FONDATION MANUEL RIVERA ORTIZ Mo Yi, lauréat du prix 2015 de la Fondation Manuel Rivera Ortiz Photographe autodidacte chinois, Mo Yi est considéré comme l’une des figures de la photographie contemporaine chinoise. En 1988, alors qu’il est chargé de communication au sein de l’hôpital de Tianjin, Mo Yi se lance dans un travail personnel. Durant toute sa carrière, la ville et ses conflits sont ses sujets de choix. « Pour moi, il y a une contradiction dans les villes, d’un côté c’est civilisé, avec des voitures, des ordinateurs, de l’autre il y a la pollution, la saleté, je ne sais pas comment l’exprimer, donc j’ai recours au flou.» « Mais mon but n’est pas la critique ou l’attaque. Cependant, en raison de la politique en Chine, des changements rapides dans la société et de mon caractère, cela peut être considéré comme tel ». Pour des raisons politiques, c’est finalement au Japon que sa première exposition personnelle « City Space » a eu lieu, au Zeit-Photo Salon, T okyo, en 1996 Dans les années 90, il commence le projet « Je suis un chien », où il choisit un point de vue particulièrement bas pour prendre en photo le paysage urbain. Il reçoit le 1er Prix lors du Festival international de la photographie de Pingyao en 2008 pour l’ensemble de son travail. Lauréat du prix 2015 de la Fondation Manuel Rivera Ortiz. Il a été exposé à la Fondation Manuel Rivera Ortiz, cet été à Arles. MO Yi, 1 meter. 1988 CONFÉRENCES SAMEDI 14 NOV. 2015 DE 15H00 À 17H00 dans la salle du Forum (rez de chaussée). L’ŒIL DE L’AFRIQUE QUI SE REGARDE ET QUI REGARDE LE MONDE, QUE VOIT-IL DONC ? En partenariat avec Afrikadaa, la revue d’art contemporain dans le cadre de Photo Doc. La photographie documentaire a une longue histoire en Afrique, ce continent a été photographié de long en large, à tort et à travers. Avec cette table ronde, Afrikadaa propose de renverser le point de vue et de saisir comment l’Afrique se regarde et regarde le monde. Sa photographie documentaire, de ses origines avec Jean Depara ou Malik Sidibé à ses mutations contemporaines, Peter McKenzie, Catherine Trautes, Jehad Nga ou encore Baudouin Mouanda, est un nouvel éclairage sur les problématiques de notre temps. L’œil de l’Afrique qui se regarde et qui regarde le monde, que voit-il donc ? Quelle est la situation actuelle du marché du photo-documentaire et du photo-journalisme en Afrique ? PARTICIPANTS : Modératrice : Camille MOULONGUET Directeur de publication au magazine : Benoit BAUME Commissaire d’exposition : Yves CHAPTA Responsable des archives photo au magazine Jeune Afrique : Nathalie CLAVE Photographe : Françoise Huguier, Directeur de la biennale de DUTA, Cameroun : Samuel NJA KWA Rédactrice en chef de la revue d’art Afrikadaa : Pascale OBOLO (sous réserve) DIMANCHE 15 NOV. 2015 DE 15H00 À 17H00 dans la salle du Forum (rez dechaussée). CONFÉRENCE DONNÉ PAR HANS LUCAS SUR LE RÔLE DE LA TRANSMITION MODÉRATEUR : Wilfrid ESTÈVE WHAT’S UP PHOTO DOC SOUTIENT LA JEUNE PHOTOGRAPHIE INAUGURATION DE FILMS PHOTOGRAPHIQUES LECTURES DE PORTFOLIOS, PAR CARRÉ SUR SEINE «SI J’AVAIS 4 DROMADAIRES» de Chris Marker Film d’ouverture. Proposé par sa société de production historique Iskra. Carré sur Seine, association pour la promotion de l’art contemporain et de la culture basée à Boulogne Billancourt, reçoit des photographes, pour les aider dans leur éditing, leur donner des conseils, les guider vers d’autres professionnels, répondre à leurs questions. Carré sur Seine désigne un lauréat dimanche 15 novembre, en fin de journée, sélectionné sur l’ensemble des travaux vus durant la foire. Lauréat qui sera exposé l’année suivante, invité par la foire Inscriptions : [email protected] Informations : www.vozgalerie.com LE DEUXIÈME REGARD Le Deuxième Regard reçoit des photographes prometteurs sélectionnés avec la direction artistique de Photo Doc, pour leur correspondance avec la thématique. Le Deuxième Regard présente Philippe Clément, Prix 2014, et Arnaud Théval, ainsi que d’autres photographes (noms communiqués prochainement). FORMATION HANS LUCAS Passerelle entre information et création, Hans Lucas est une société de production dédiée à la photographie et aux écritures numériques. En prise avec les mutations technologiques, la structure s’appuie sur un important réseau international de membres, soutient l’émergence d’écritures contemporaines, et crée des synergies au-delà des frontières disciplinaires. Elle invite des artistes, des auteurs émergents ou reconnus -photographes, réalisateurs, journalistes, dessinateurs, créateurs sonores- à faire ensemble, et diffuse leurs oeuvres via la plateforme collaborative www.hanslucas.com. Reconnu pour son expertise dans les domaines du numérique, de la photographie et du journalisme, Hans Lucas intervient dans le champ de la formation initiale et continue depuis 2009.Nous accompagnons le CNC dans la formation aux écritures numériques depuis 4 ans et formons les étudiants de Paul Valéry Montpellier 3 (Licence pro Concepteur et réalisateur audiovisuel), de François Rabelais de T ours (Licence pro Communication et média spécialité Journalisme) et Perpignan Via Domitia (DU Photographie documentaire et écritures transmédia). Nous intervenons également au CFPJ Médias, à l’EDJ de Sciences Po, à l’ENSP d’Arles, ainsi qu’à la Gaîté Lyrique, à la Maison du Geste et de l’Image, au Bal, au sein du réseau Diagonal.En 2014, nous avons créé avec le 3e RPIMA et le GraphCMI,un programme spécialisé sur les zones de conflits.Actuellement le studio hans lucas participe à la création d’un master en Photojournalisme ainsi qu’une SCIC intitulée « Territoires numériques ». «LE VOYAGE MEXICAIN 1965-1966» de Bernard Plossu Film à l’honneur SÉLECTION DE COURTS MÉTRAGES PHOTOGRAPHIQUES DU STUDIO HANS LUCAS «SEARCHING FOR HASSAN», d’Edouard Beau réalisé à Mosul, Iraq, oct-nov 2007 #World Premiere in Fid Marseille 2009 French Competition www.fidmarseille.org # Al Jazeera 7th Documentary Television Film Festival 2010 Long film Competition # CNC 2012 – Prix de Qualité - edouardbeau.com/video/ searching-for-hassan/www.cnc.fr/web/fr/645 # Al Jazeera 7th Documentary Television Film Festival 2010 Longfilm Competition «EL COSTO HUMANO» de Pablo Ernesto Piovano, lauréat 2015 de la Fondation Manuel Rivera Ortiz https://vimeo.com/127559134 SIGNATURES YAN MORVAN «Gangs» et «Champs de bataille» (éditions Photosynthèse) Samedi 14 novembre à 18h00 Stand de la Galerie Sit Down, (au LOFT situé au premier étage de la foire) TOM WOOD «Mens & Women» (éditions Steidl) Vendredi 14 Novembre à 18h30 (au LOFT situé au premier étage de la foire) LES PRIX PRIX DE LA GALERIE WHAT’S UP PHOTO DOC Remis par le jury le 13 novembre. La galerie lauréate sera invitée par la foire en 2016. PRIX DEUXIÈME REGARD Remis par le jury le 13 novembre. Le lauréat sera invité par la foire en 2016. PRIX CARRÉ SUR SEINE Remis le 15 novembre. Le lauréat sera invité par la foire en 2016. 12–15 NOV. 2015 À LA BELLEVILLOISE 19 / 21 RUE BOYER, PARIS 20 www.labellevilloise.com INFORMATIONS TÉL : 06 26 40 54 54 www.whats-up-photodoc.com HORAIRES JEUDI 12 : 15H00-22H00 VENDREDI 13 : 12H30 - 22H00 SAMEDI 14 : 12H30 - 22H00 DIMANCHE 15 : 11H00 - 20H30 TARIFS ENTRÉE SIMPLE : 7€ ENTRÉE + CATALOGUE : 12€ CATALOGUE : 10€ GROUPE (+ 10 PERS) : 4€ ENFANTS (-12 ANS) : GRATUIT ÉQUIPE ORGANISATEURS : LA BELLEVILLOISE DIRECTION ARTISTIQUE : CHARLOTTE FLOSSAUT PRESSE / 2e BUREAU SYLVIE GRUMBACH, MARIE LAURE GIRARDON, MARTIAL HOBENICHE [email protected] TÉL : +33 1 42 33 93 18 ORGANISATEUR CONTRIBUTEURS ET PARTENAIRES