communiqué de presse

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communiqué de presse
depuis 2008, accueillait Dad Rocks! (Danemark) entre deux
portes blindées. A Dijon, les voûtes du Cellier de Clairvaux ont
résonné, chaque jour, sous les clameurs d’un public de tout âge.
Sans oublier Belfort et ses concerts insolites et chaleureux en
appartement, au cœur d’un garage ou sous le dôme animé
d’un planétarium.
Tous ces lieux de magie et les artistes qui les auront animé
laisseront, sans aucun doute, un souvenir précieux et le
sentiment d’instants privilégiés.
GéNéRiQ 2015 inoubliable !
40 artistes ont réchauffé pendant 4 jours
les cœurs de villes de Belfort, Dijon,
Besançon, Mulhouse et du Pays
de Montbéliard.
La 8ème édition du festival GéNéRiQ a pris fin ce dimanche
15 février 2015. Plus de 10.000 festivaliers ont assisté à
44 tumultes scéniques en villes lors de cette aventure
collaborative initiée et programmée par les Eurockéennes
de Belfort, dont plus de la moitié furent complets.
Pendant 4 jours, les agglomérations de Dijon, Besançon,
Mulhouse, Belfort et du Pays de Montbéliard donnaient vie
sonore et visuelle à un anti-festival dédié aux explorations
musicales dont plus de la moitié en formule gratuite.
Piloté depuis 8 ans par 5 salles de musiques, (La Vapeur, La
Rodia, Le Moloco, La Poudrière, Le Noumatrouff et le festival
des Eurockéennes) GéNéRiQ s’est recentré sur ce qu’il fait de
mieux : des concerts inattendus au plus près des habitants et
du cœur des villes, dans un espace public qui fourmille, que l’on
redécouvre et qui fait résonner l’hiver.
Défricheuse et imprévisible, l‘édition GéNéRiQ 2015 a ainsi
embarqué le public dans une aventure unique, au plus près des
artistes et dans des lieux quelques fois bien étonnants :
Le Temple Saint-Etienne à Mulhouse, église réformée la plus
haute de France, ses magnifiques vitraux du XIVème siècle et
son architecture ont offert un écrin colossal pour la voix grave
de Betty Bonifassi (Montréal) et la pop glaçante de Grand Blanc
(Metz). À Besançon, l’électro subtile de Ghost Culture (GrandeBretagne) et de Thylacine (Angers) auront caressé l’esprit
des oeuvres de Gustave Courbet, Goya ou Titien au Musée
des Beaux-Arts, en plein coeur de la ville historique. Quand
l’ancienne Banque de France à Montbéliard, fermée au public
Avec un projet réinventé (4 jours au lieu de 9) et dans un
contexte où la culture en France est fragilisée par les baisses de
subventions, un budget de circonstance, l’anti-festival GéNéRiQ,
brisant les règles du genre, assumant sa stature d’événement
mutant dans le paysage musical hexagonal, a réussi son pari :
faire vibrer la musique populaire au cœur même des villes
en rassemblant jeune public, mélomanes affirmés, clubbers
et curieux autour d’instants musicaux atypiques vibrants et
chaleureux.
Enfin, la présence renforcée d’une délégation de la fédération
DeConcert!, dont GéNéRiQ est un des 31 membres, regroupant
une quarantaine de responsables de festivals internationaux
majeurs (belges, suisses, danois, allemands, islandais, hongrois
et français) aura permis, cette année encore, de conforter
GéNéRiQ dans son rôle rassembleur et fédérateur, lui garantissant
une reconnaissance professionnelle complémentaire de son
succès public local.
Toute l’équipe de GéNéRiQ remercie le public, les artistes,
les bénévoles et l’ensemble des 45 structures qui participent
activement à la réussite de ce festival définitivement différent.
Longue vie à l’aventure GéNéRiQ !
Photos / Videos / reports - www.generiq-festival.com
CONTACTS PRESSE
Hervé Castéran > [email protected] / 03 39 03 41 03
Lisa Van Reeth > [email protected] / +32 (0)4 70 93 24 80
photos : Sandrine Fallacara / Stéphanie Durbic / Zélie Noreda
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N’oublions pas également la ferveur des soirées en club, et
citons Rone et Fakear et leurs shows tant attendus qui ont fait
salle comble, le grand retour de Carl Barât, le rock enragé et
tout en sueur de Fat White Family, les jeunes et talentueux
Feu!Chatterton, les concerts de la lilloise Laétitia Sheriff.
Mais GéNéRiQ 2015, c’est aussi, Dad Rocks, fil rouge musical
de cette édition, qui a transporté le public et fait preuve d’une
endurance toute particulière à chacun de ses huit concerts, une
joyeuse troupe québécoise Les Hay Babies qui débarquait en
France pour la première fois, le concert événement et hautement
symbolique de Betty Bonifassi à la Maison de la Négritude
et des Droits de l’Homme à Champagney pour un répertoire
autour des chants d’esclaves afro-américains, le prodige blues
boy Dan Owen, et Dj Pone, en artiste surprise d’un salon de thé
pour brunch dominical marathon : 3h30, record battu !

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