Un comité de citoyens lance un «Développement de l`armée
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Un comité de citoyens lance un «Développement de l`armée
Communiqué de presse Un comité de citoyens lance un référendum contre l’ainsi nommé «Développement Développement de l’armée» l’armée Un comité de citoyens politiquement neutre a lancé un référendum contre la révision de la loi militaire, qui a été adopté le 18 Mars 2016, par le Parlement. Cette démarche devra donner au peuple suisse sui la possibilité de se prononcer sur l'armée de milice suisse. Zoug/Berne, 6 avril 2016. Un comité de citoyens qui rassemble, aujourd’hui, déjà plus de 80 personnes, a lancé le référendum contre la loi militaire (référence 14.069 du Conseil fédéral) laquelle introduit le soi-disant isant «développement de l'armée» l'armée (DEVA) et qui a été adoptée le 18 Mars 2016, par le Parlement. Willi Vollenweider, membre du comité citoyen: «Nous croyons que la Suisse devrait voter non seulement sur la vignette autoroutière ou les frais radio-tv tv Billag, mais peut également s’exprimer sur la politique politique de sécurité de la Suisse. Avec ce référendum, nous permettons à la population suisse sui de décider si l'armée de milice suisse devrait être réduite de moitié ou pas.» Celui qui analyse en détail la révision de cette loi militaire, s’apercevra que la communication c ne dit pas ce qu'elle promet. François Villard, un membre du comité référendaire affirme: «au « lieu de la continuation d’un développement on lit qu’il s’agit en fait d’une nouvelle réduction l'armée.» Pour fixer les améliorations prévues – du reste longtemps constatées et incontestées – dans les domaines de la formation (cadres), de l’équipement (équipement pour toutes les troupes), et de l’état de préparation (mobilisation), une révision de la loi n’est absolument pas nécessaire.» Selon l’avis du comité référendaire, la révision de la loi militaire entraîne un fort dangereux affaiblissement de la sécurité de la Suisse et doit, de ce fait, être combattu par le dépôt d’un référendum. Le délai référendaire est fixé pour la fin du mois de juin 2016. 2016 Jusque-là, le Comité référendaire veut recueillir aussi rapidement que possible les 50'000 signatures nécessaires, de telle lle façon que le peuple puisse se prononcer, lui-même, même, sur le ci-nommé ci DEVA. Notes: Cinq principales raisons pour un référendum Personnes de contact: Comité citoyen Pour notre sécurité – Non à la réduction de l’armée ! CP 7701, 6302 Zoug www.armee-halbierung-nein.ch nein.ch François Villard: (Tél.) 079 635 77 63, (E-Mail) (E [email protected] Martin Fricker: (Tel.) 079 713 28 06, (E-Mail) (E [email protected] nein.ch Willi Vollenweider: (Tél.) 044 732 40 00, (E-Mail) (E vollenweider@armee-halbierung halbierung-nein.ch Comité citoyen pour notre not sécurité – Non à la réduction de l‘armée! l‘armée case postale 7701, 6302 Zoug – compte postal: 89-556300-0 – IBAN: CH93 0900 0000 8955 6300 0 Les cinq principales motivations pour le référendum : 1. Grand débat public sur la sécurité de la Suisse! Le peuple s’est exprimé le 18 mai 2003 dans le cadre de la votation référendaire sur la révision de la Loi militaire (’Armée XXI). XXI) Le Comité citoyen souhaite, souhaite par le biais du referendum, permettre d’ouvrir d une discussion, jusque là bien discrète voire étouffée, sur la réforme orme en cours. 2. Diminution de moitié de l’effectif réglementaire réglementaire à 100‘000 militaires ! Avec la quatrième réforme de l'armée dans les 25 derniers ans, l’effectif serait réduit de moitié pour la troisième fois – à encore 100.000 militaires, dont environ 24.000 troupes de combat. Pour une utilisation continue de 365 jours 24 heures sur 24, 24 par exemple, pour protéger des d objets vitaux taux étaient disponibles que 1.200 militaires pour l'ensemble ble du territoire suisse. Le Comité citoyen n juge la dimension de moitié des effectifs prévue irresponsable et demande que l’on maintienne l’effectif légalement prévu aujourd’hui de 220'000 militaires astreints (140'000 actifs, 80'000 de réserve). 3.. La conformité du projet à la Constitution fédérale fédéra manque ! Une armée réduite de moitié ne serait plus en mesure de protéger la liberté et d’assurer l’indépendance et la sécurité du pays comme le veut l’article 2 de la Constitution.. La défense du pays et de sa population, de e même que l’aptitude à soutenir les autorités civiles lorsqu’elles doivent faire face à une grave menace pesant sur la sécurité intérieure ou à d’autres situations d’exception (Article 58) ne seraient plus correctement assurées. assurées L’armée ne serait plus en mesure de garantir notre neutralité armée.. Le principe de milice, également inscrit dans la Constitution, ne serait plus respecté et les associations basées sur ce même esprit irrémédiablement affaiblies. affaiblies Les très nombreuses questions en suspend liées à la conformité à la Constitution ou à notre positionnement au plan international (Union Européenne, OTAN) méritent de trouver des réponses claires. 4. Les rapports dépassés sur la politique de sécurité de 2010 et antérieurs! antérieurs Le soit disant Développement de l’armée (DEVA) se fonde sur des analyses et documents dépassés (Rapport (Rapport sur la sécurité 2010 et le Rapport sur l’armée 2010). 2010 La situation s’est visiblement considérablement modifiée et aggravée aux niveaux de la sécurité extérieure et intérieure. Le Conseil fédéral a tenté de justifier à posteriori p le projet de réforme DEVA en publiant le peu convaincant Rapport de sécurité 2016 (projet du 26 octobre 2015). 5. Structure déficiente de commandement et de conduite politique et militaire! militaire La version modifiée e de l’Ordonnance de l’Assemblée fédérale sur l’organisation de l’armée (OOrgA) propose une structure de commandement et d’organisation bureaucratique, lourde et centralisatrice. Les Forces aériennes en particulier ont été reléguées, mal structurées et seraient difficilement en mesure de faire face aux menaces aériennes d’aujourd’hui. Le nouveau concept de stationnement prévu avec le soi-disant disant DEVA, détruira des parts importantes de l’infrastructure militaire. Comité citoyen pour notre not sécurité – Non à la réduction de l‘armée! l‘armée case postale 7701, 6302 Zoug – compte postal: 89-556300-0 – IBAN: CH93 0900 0000 8955 6300 0