flambeau 440 - Republic of Togo

FLAMBEAU des démocrates
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N° 0440 du Jeudi 03 Mars 2016
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Annonce
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FLAMBEAU des démocrates
N° 0440 du Jeudi 03 Mars 2016
AVIS DE VENTE D’IMMEUBLE
Est mis en vente, un immeuble avec titre foncier sis à Hedzranawoe, non loin de l’Aéroport. La
bâtisse est de trois (3) niveaux.
Un rez-de- chaussée comprenant 2 chambres + 1 salon+ 2 WC et douche,
une cuisine+ 1 boutique+ 1 bureau avec 2 garages de 7 à 8 voitures.
Le premier étage dispose de deux couloirs. Le premier comprend 4 chambres avec WC + 1 salon +
1 cuisine+ 1 terrasse+ balcon.
Le second dispose de 1 salon+ 1 salle à manger+ 2 chambres avec WC et Douche + 1 cuisine + 1
WC visiteur.
Au deuxième étage, se trouvent un grand salon + 1 chambre avec WC et Douche + 1 Bar avec une
vue sur la terrasse+ 1 grande terrasse avec vue sur le premier étage. L’ensemble de l’immeuble est
couvert
avec une dalle en pente.
Derrière l’étage, se trouve également une villa composée de 4 chambres+1 couloir + 1 couloir + 1
WC et Douche.
Pour toutes informations, contacter les numéros ci-dessous:
Togocel : (00228) 91 69 69 13 - Moov : (00228) 98 58 13 42
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Actualité 3
FLAMBEAU des démocrates
EDIT
ORIAL
EDITORIAL
Verbe venimeux,
plume
venimeuse
Nouveau statut, nouveaux galons, nouvelle stratégie, la trilogie dans laquelle baigne le quotidien du chef de file
de l’opposition saura-t-elle porter des fruits
pour la remobilisation des troupes, en vue
des prochaines joutes électorales, notamment les locales ? La question vaut la peine
d’être posée depuis que Jean-Pierre Fabre se retrouve sous son nouveau manteau
et décide de changer de méthode.
Elevé au rang de président
d’institution, le principal opposant au régime
de Faure s’est procuré une nouvelle arme
de combat : la plume, une plume aux aguets,
épiant la moindre incartade du pouvoir en
place. Pour un président de parti politique
qui sait signaler sa présence aux côtés de
ses partisans, le verbe a un sens. Mais comment manier cette arme pour se faire prendre au sérieux et susciter la conscientisation
des mœurs, surtout face à un pouvoir en
position de force ? C’est, en fait, ce tact qui
fait défaut dans la nouvelle méthode de
marquage du régime de Faure, de plain
pied dans le 3ème mandat.
La bonne trouvaille de Fabre que
l’autre opposant qui va droit ‘’obuts’’ comparerait à un rôle de sentinelle est voué à
l’échec parce que les bonnes intentions
accouchées sur papier dans un fond discourtois pour s’enquérir des mobiles de l’arrestation de l’opposant Antoine Randolph
ou encore pour éplucher les grands axes
de la feuille de route de la décentralisation,
manquent cruellement de convivialité.
« J’apprends avec insistance qu’un Togolais de la diaspora du nom de Randolph
Antoine, médecin vétérinaire en séjour au
Togo, a été arrêté à Lomé…je vous prie de
bien vouloir clarifier cette situation et de me
faire savoir les circonstances ainsi que les
raisons de cette arrestation », ainsi s’adressait le chef de file de l’opposition dans un
courrier adressé au ministre Yark
Damehame. Quelques jours plus tard, c’est
le ministre de l’Administration Territoriale qui
fait les frais de la virulente plume du président de l’Anc. «Je voudrais mettre en garde
le gouvernement contre toute tentative d’imposer à la classe politique et aux populations togolaises, les orientations iniques et
aberrantes que vous avez exposées dans
les grands axes de la feuille de route de la
décentralisation et des élections locales »,
écrivait le chef de file de l’opposition à un
autre ministre, Payadowa Boukpéssi. Quand
il parle, il est venimeux, mais quand il se
décide à écrire il fait plus mal.
Ses interlocuteurs ont-ils eu tort
de manquer de temps pour ne pas répondre à ces courriers va-t-en guerre ? Nul ne
saura y répondre. Mais avant tout, il faut pour
chaque citoyen de repenser l’héritage que
nous léguons aux générations futures. La
haine, la rancune, l’inimitié jurée ? Ne sommes- nous pas tous des Togolais, et de surcroît les héritiers de ceux qui sont morts, les
associés de ceux qui vivent et la providence
de ceux qui naîtront ? Pour ainsi paraphraser Antoine de St Exupéry
Comprenne qui pourra !
Isaac Tonyi
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N° 0440 du Jeudi 03 Mars 2016
Droit de l’Homme
Le Togo veut redorer son blason
Accusé par la communauté internationale depuis les années 90 pour violation
massive des droits humains, le Togo, depuis une décennie déjà, tente de remonter la
pente. La reconnaissance de ces efforts a été matérialisée par l’élection du Togo, en
octobre 2015, au Conseil des Droits de l’Homme en tant que membre. Et pour une entrée
solennelle, le chef de l’Etat Faure Gnassingbé a participé pleinement, le 29 février dernier
à Genève, à la grande cérémonie d’ouverture au cours de laquelle, il a pris la parole à la
tribune du Conseil des Droits de l’Homme
Reçu en grande pompe dans la
capitale helvétique, le Chef de l’Etat Faure
Gnassingbé a, par sa présence, témoigné de
l’importance qu’il accorde aux questions des
Droits humains. Le discours de circonstance
les pays pauvres et insisté sur la coopération
avec les acteurs non-étatiques pour développer des projets de renforcement des Droits de
l’Homme. Il a par ailleurs mis en garde contre
la pression croissante exercée sur les Droits
L’expression d’un engagement des autorités dans la
protection et la promotion des normes les plus
élevées en matière des Droits humains ne peut plus
s’accommoder de grains de sable. Il appartient donc
au Togo d’honorer son engagement dans les trois
prochaines années de son mandat...
devant l’auguste assemblée composée de
représentants de haut rang de l’ONU et de
plus de 60 ministres, a eu le mérite d’éveiller
les consciences sur les enjeux liés au respect des Droits Humains, enjeux qui ont pour
nom développement, prévention et gestion
des conflits.
Faure Gnassingbé aura donc
marqué de son sceau, cette 31ème Session du
Conseil des Droits de l’Homme par son
adresse. De part son engagement pour le
respect des droits humains, le Chef de l’Etat a
plaidé pour le Droit au développement dans
de l’Homme dans les situations de conflit. La
détermination du Chef de l’Etat de faire des
questions de Droits de l’Homme, un levier du
développement durable enchante et redore
le blason du Togo en matière de Droits humains. Le Togo, faut-il le reconnaître, a fait de
grands efforts notamment sur la protection des
minorités, des femmes, des enfants et des
personnes âgées, sur la liberté de manifestation, de réunion, d’association et d’expression, sur la refonte de l’arsenal juridique avec
en prime l’adoption d’un nouveau code pénal. Les seules fausses notes résident dans
Faure Gnassingbé, prononçant
son discours sur la tribune du Conseil
des Droits de l’Homme à Genève
l’exécution tardive des décisions de la Cour
de justice de la Cedeao sur la libération de
l’ancien ministre Pascal Bodjona dans l’affaire
dite d’escroquerie internationale, et sur
l’inéquité prononcée de cette Cour sur le procès Kpatcha Gnassingbé et coaccusés dans
l’affaire d’atteinte à la sûreté de l’Etat. Ajoutée
à cela, l’affaire des incendies dont le procès
tarde toujours à s’ouvrir.
L’expression d’un engagement
des autorités dans la protection et la promotion des normes les plus élevées en matière
des Droits humains ne peut plus s’accommoder de grains de sable. Il appartient donc au
Togo d’honorer son engagement dans les
trois prochaines années de son mandat au
Conseil des Droits de l’Homme pour renforcer
les droits humains en préservant les acquis et
en corrigeant les ratées afin de répondre aux
objectifs du Conseil qui sont le renforcement
de la protection et de la promotion des Droits
des Etats membres de l’ONU
La Rédaction
Mission du Millénium Challenge Corporation au Togo
Thomas Kelly : « Notre mandat est d'œuvrer pour des
actions à long terme. Il faut permettre au Togo d'asseoir
les bases de sa croissance économique »
Le Togo a été déclaré éligible au
programme seuil « Treshold », le 16 décembre 2015, après avoir satisfait à 10 des 20
indicateurs au tableau de bord 2016 du Millénium Challenge Corporation (MCC). Pour
élaborer une feuille de route de ce programme
à travers un partenariat avec le gouvernement togolais, une équipe de quatre représentants de l’agence MCC du gouvernement
américain, conduite Par le vice –président,
adjoint chargé des Politiques et de l’évaluation, effectue depuis le 28 février, une mission
au Togo. Après les différents entretiens et la
visite de plusieurs sociétés d’Etat, la mission,
accompagnée de l’ambassadeur des EtatsUnis, David Gilmour, du Coordonnateur national de la Cellule MCA-Togo, Stanislas Baba,
des ministres Gilbert Bawara et Guy Madjé
Lorenzo, a rencontré la presse hier à Lomé.
Véritable course contre la montre, la mission de la délégation du MCC au
Togo n’a pas été de tout repos. Cette équipe,
conduite par Thomas Kelly, a fait le tour des
différentes institutions d’Etat et des différentes sociétés étatiques sans oublier la société
civile. L’objectif qui était de se mettre au parfum des réalités du Togo a été donc atteint et
c’est dans un sentiment de devoir accompli
que cette délégation a échangé avec les professionnels des médias. Pour le chef de cette
délégation, l’éligibilité du Togo au programme
seuil « Treshold » est la reconnaissance des
efforts fournis par les autorités pour amélio-
La délégation du MCC face à la presse
rer la gouvernance, à travers des réformes
courageuses entreprises pour promouvoir la
bonne gouvernance, la liberté économique.
Mais il reste encore au Togo, selon ce dernier,
de renforcer davantage sa performance au
tableau de bord pour potentiellement devenir admissible à une subvention plus conséquente qu’est le programme « Compact ». Le
MCC devra donc accompagner le Togo pour
l’élaboration de projets en vue de l’élaboration d’une feuille de route du programme seuil
« Treshold » et pour la réduction de la pauvreté à travers la croissance économique du
pays. « Notre mandat est d’œuvrer pour des
actions à long terme, il faut permettre au Togo
d’asseoir les bases de sa croissance économique et de renforcer ce qui a été déjà fait »,
a souligné le chef de délégation, Thomas Kelly.
Une autre mission de l’institution
est programmée dans les prochains mois au
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Togo. Cette mission permettra au MCC et au
gouvernement togolais de procéder à l’analyse des contraintes à la croissance économique, aux possibilités d’investissement dans
le secteur privé et aux obstacles sociaux à la
réduction de la pauvreté. L’évaluation définira la politique et les réformes institutionnelles que le programme « Treshold » va soutenir.
Notons que le MCC est une
agence américaine d’aide étrangère indépendante novatrice créée en 2004 pour lutter contre la pauvreté dans le monde. Elle se
distingue, à plusieurs égards, des politiques
d’aides américaines passées et actuelles par
un processus concurrentiel qui récompense
les pays pour les actions mesurées par des
indicateurs de performance objectifs.
Isaac Tonyi
SOCIÉTÉ
4 FLAMBEAU des démocrates
N° 0440 du Jeudi 03 Mars 2016
Nécrologie/Kokou Tozoun s’en est allé :
Fini un homme, une histoire !
L’information a été portée à la connaissance du public par
l’institution qu’il présidait. Après 61
ans de vie sur terre, le Président de
la Haute Autorité de l’Audiovisuel et
de la Communication (Haac),
Biossey Kokou Tozoun, rendit l’âme,
aux premières heures de la journée
de lundi 29 février dernier. Ceci, à 5
marqué son existence sur la Terre
de nos Aïeux.
Né en 1955, Kokou
Biosey Tozoun, natif de Tohoun, fut
syndicaliste et plusieurs fois ministre de la République togolaise. Ancien Secrétaire général de l’Union
Générale des Syndicats Libres
(UGSL), ce dernier fut également
« C’est lui qui a ouvert le
chantier de la révision des textes
(code pénal, le code de
procédure pénale). C’est encore
lui qui a lancé la gestion
informatisée des détentions et le
traitement automatisé des
greffes etc… »
mois seulement de la fin de son
mandat, prévu pour juin 2016. Ainsi
prend fin, l’histoire d’un homme qui
aura, d’une manière ou d’une autre,
membre du comité Central du Rassemblement du Peuple Togolais
(Rpt). Nommé ministre des Affaires
Etrangères dans le gouvernement
du 29 juillet 2003 par Gnassingbé
Eyadéma pour deux ans, il sera reconduit, cette fois-ci par Faure, le 20
juin 2005. Là, il occupera le portefeuille de la Communication et de
l’Education Civique. Le 20 août
2006, il signera, pour le compte du
parti au pouvoir, l’Accord Politique
Global (APG), devenu aujourd’hui,
une bible politique pour l’ensemble
des acteurs politiques nationaux.
Après, Biossey Kokou Tozoun sera
nommé membre de la Commission
Electorale Nationale Indépendante
(CENI) où il jouera le rôle de Rapporteur lors des législatives de
2007. Il sera, de nouveau nommé,
le 13 décembre 2007, ministre dans
le gouvernement Komlan Mally.
Equipe gouvernementale dans laquelle, il occupera le portefeuille de
la Justice jusqu’en 2011 où il fut
nommé Président de la HAAC, en
remplacement de Phillip Kokou
Evegnon. Institution qu’il présidera
jusqu’à la date fatidique du lundi 29
février 2016 où il sera rappelé
auprès du Seigneur. Mais bien
avant, le désormais ex-Président de
la Haac avait occupé le portefeuille
de la Fonction Publique, du Travail
et de l’Emploi. Parallèlement à sa
mission de Président de la Haac,
Kokou Tozoun était aussi président
de la plateforme des régulateurs
de l’Audiovisuel des pays membres
de l’UEMOA et de la Guinée.
Après sa disparition,
ses amis et ex-collaborateurs gardent un bon souvenir de lui. Le cas
de l’ex- ministre Délégué Christian
Trimua qui n’a pas tari d’éloge à
l’endroit de l’illustre disparu : «C’est
avec lui que les travaux immobiliers
de la Cour d’Appel de Lomé et de
Médias et Développement
J M D lance officiellement ses
activités ce jour
Après s’être portée
sur les fonts baptismaux courant 2015, l’association Journaliste en Mission pour le Développement (JMD) lance officiellement ses activités ce jeudi 3
mars à l’Institut Français de
Lomé.
Constituée de journalistes de la presse écrite, de la
radio, de la télévision et de nouveaux médias, entendus les sites Internet, JMD se veut un outil
de développement pensé, mûri
et créé par des professionnels
de la communication partageant
l’espace médiatique togolais.
Lesquels ont, pour une des rares fois, senti la nécessité de
se surpasser de la chose politique pour parler d’un seul et
même langage : le développement.
Ainsi donc, comme
l’indique son nom, cette association travaillera sur des thématiques non moins importantes telles la lutte contre la pauvreté, la promotion de l’éducation, la santé pour tous, l’accès
à l’eau potable, l’autopromotion
à la base et la lutte contre la
pollution de l’environnement, en-
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tre autres. Des thématiques qui,
en somme, convergent sur la dynamique des Objectifs pour le
Développement Durable (ODD)
des Nations Unies auxquels a
souscrit le gouvernement togolais.
Les actions de JMD
se déclineront en enquêtes sur
le terrain, lesquelles déboucheront sur la rédaction des dossiers
et reportages ainsi que la réalisation des documentaires qui seront soumis aux pouvoirs publics
et partenaires pour des prises de
décisions dans le sens du développement recherché.
D’ores et déjà, JMD
a, dans le cadre de la réalisation de la phase pilote de son
projet, effectué une descente
dans la Préfecture de Dankpen
(Région de la Kara) en novembre 2015. Sortie professionelle
dont les résultats ont été relayés
par nombre d’organes de la
presse nationale, autant privés
que publics.
M.T
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Kara ainsi que l’équipement des juridictions ont commencé. C’est lui
qui a ouvert le chantier de la révision des textes (code pénal, le code
de procédure pénale). C’est encore
lui qui a lancé la gestion informatisée des détentions et le traitement
automatisé des greffes etc… », se
souvient-il de l’homme. Et de témoigner : «Il m’appelait pour savoir
l’état d’avancement de tels ou tels
travaux, même après son départ du
ministère. Tozoun assistait personnellement à toutes les réunions
techniques, prenait les devants pour
faire lever les obstacles que nous
rencontrions
dans
la
réforme…C’est sur son conseil que
j’ai élaboré l’avant- projet qui n’a
malheureusement pas été
adopté ». Bref, «Kokou Tozoun a été
le meilleur ministre de la Justice de
ces 10 dernières années… mais il a
toujours conservé sa discrétion et
sa modestie. J’ai eu beaucoup de
joie à travailler avec lui ! », s’est
exclamé Christian Trimua.
Qu’il repose en paix !
Magloire TEKO
Nation 5
FLAMBEAU des démocrates
N° 0440 du Jeudi 03 Mars 2016
Tourisme et hébergement
Hôtel Sarakawa, le fleuron qui renaît de ses cendres !
Pour non respect de ses engagements vis-à-vis de
l’Etat togolais, bail signé en 1998 pour une durée de quinze
ans, la gestion de l’Hôtel Mercure Sarakawa avait été retirée
au groupe hôtelier français Accor, en juillet 2014, sur
ordonnance judiciaire. Désormais sous une nouvelle gérance,
l’Hôtel Sarakawa s’est merveilleusement métamorphosé.
Mieux, il renaît complètement de ses cendres pour le bonheur
de ses clients et de l’Etat togolais.
Dans un passé récent,
un fleuron de l’hôtellerie au Togo,
l’Hôtel Mercure Sarakawa s’était
malheureusement retrouvé dans un
état piteux, indigne d’un hôtel 3 étoiles. Bâtisse laissée dans un état de
prestige national tomber à petits
coups en ruine. Et l’intervention
ferme de l’Etat aura porté aujourd’hui
ses fruits.
Avec la nouvelle administration que coordonne Patrick
C’est donc le lieu d’apprécier à sa
juste valeur, la démarche
salutaire de l’Etat togolais de
reprendre l’hôtel du groupe
Accor qui, pourtant, se veut le
premier groupe hôtelier mondial
avec ses 3600 hôtels installés
dans 90 pays à travers le monde.
délabrement
total,
odeur
suffoquente dans le hall, parking mal
organisé, services et prestations interrompus… Bref, toutes les conditions étaient réunies pour voir ce
Sourdeau, le nouveau Directeur
général et la Directrice des relations
publiques, Gladys Moèvi, cette structure hôtelière rebaptisée « Hôtel
Sarakawa » est entrain de s’offrir
Médias/ Après Lomé
Kamou Night Club transformé en Lounge Bar
aujourd’hui un nouveau décor. Un réfectionné, «Kamou Night Club »,
tour dans cet hôtel et l’on se rendra est transformé en « Lounge Bar »
compte de l’évidence. Cette struc- avec un décor féérique, et des serture hôtelière est bien retouchée et vices fort appréciables. Le tout dans
relookée. Tant au niveau du hall un confort impressionnant. Un esque du jardin en passant par la pis- prit de créativité qui avait cruellecine et le parking, des travaux ment manqué à l’ex- gérance qui
d’aménagement y ont été entrepris. n’a daigné respecter les clauses du
L’odeur parfumée et agréable dans contrat le liant à l’Etat togolais. Lele hall donne envie d’y rester avec quel contrat stipulait notamment la
un personnel plus accueillant, plus réalisation de travaux de rénovachaleureux et courtois. Le «Buffet tion et d’embellissement pour une
de Dimanche », interrompu sous exploitation aux standards internal’ancienne administration, par tionaux 4 étoiles.
exemple, a repris. Le restaurant
C’est donc le lieu d’apgastronomique offre aussi des ser- précier à sa juste valeur, la démarvices plus améliorés et appréciés par che salutaire de l’Etat togolais de
les visiteurs. Par ailleurs, désormais reprendre l’hôtel du groupe Accor
qui, pourtant, se veut le premier
groupe hôtelier mondial avec ses
3600 hôtels installés dans 90 pays
L’UPF en symposium
demain à Monaco
L’Union de la Presse
Francophone (UPF) tient, demain vendredi 4 mars dans la
Principauté de Monaco, en
France, un symposium sur le
thème : «Médias et Environnement en Méditerranée ». Sont
attendus à ce premier rendezvous de cette année 2016, plus
de 100 journalistes de la presse
francophone venus de 25 pays.
Parmi eux, tous les grands
médias du bassin méditerranéen.
Ce symposium qui
s’ouvre après les 44èmes Assises tenues dans la capitale
togolaise du 26 au 29 novembre 2015, sera présidé par le
Prince Albert 2 de Monaco. Ceci,
avec la présence effective de
Michaelle Jean, la Secrétaire
générale de l’Organisation Internationale de la Francophonie
(OIF).
Après le discours introductif du Président de l’UPF,
Madiambal Diagne, les participants suivront plusieurs tablesrondes dont la première sera
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Madiambal Diagne, Pdt UPF
axée sur le thème : «Quelle
place pour l’environnement
dans les médias ? ». Entre
autres conférenciers qui présenteront des modules lors de ce
symposium de Monaco, Bernard Fautier, le Vice Président
de la Fondation Albert 2, Yolande de la Bigne, Directrice de
NeoPlanete et Cynthia Fleury,
Philosophe.
En rappel, le dernier
rendez-vous des journalistes de
la presse francophone du
monde, les 44èmes Assises de
l’UPF, s’est tenu à Lomé au Togo.
Des assises ayant réussi à réunir en tout, plus de 300 journalistes francophones venus même
des pays anglophones comme
le Ghana, la Hongrie, la Bulgarie
ou encore les Îles Philippines. Ce
rendez-vous de Lomé, à en
croire les premiers responsables
de l’UPF, était une véritable
« réussite ».
Magloire TEKO
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à travers le monde. D’ailleurs, il le
fallait pour la sauvegarde aussi bien
de l’honneur du pays que de la fierté
nationale mis à rudes épreuves sous
l’ancienne
administration.
Aujourd’hui, Hôtel Sarakawa est
plus que prêt à faire face à de grands
défis.
Après la réception,
dans cet hôtel, des Présidents Yayi
Boni du Bénin et Mahamadou
Issoufou du Niger par le Chef de
l’Etat, Faure Gnassingbé en marge
de l’inauguration du 3ème Quai du
Port Autonome de Lomé en octobre
2014, suivie de celle du Président
Congolais Dénis Sassou N’Guesso,
fin novembre 2015, l’Hôtel
Sarakawa est, sans doute, l’une des
structures hôtelières sur lesquelles
devra compter aujourd’hui le Togo
pour la réussite de la prochaine
conférence internationale sur le
Développement et la Sécurité maritime de l’Union Africaine qu’il abritera en novembre prochain. A ce
jour, cet hôtel de 3 étoiles compte
211 chambres dont 82 ont une vue
sur la mer. Il dispose également de
2 restaurants, 2 bars, une piscine
olympique, 2 courts de tennis, un terrain de Golfe et un centre d’équitation. Avec 8 salons de grande capacité, l’Hôtel Sarakawa se situe en
bordure de mer, au milieu d’une
cocoteraie de 25 ha.
Magloire TEKO
INTER
6 FLAMBEAU des démocrates
N° 0440 du Jeudi 03 Mars 2016
Deuxième tour de la présidentielle au Niger
Duel ouvert entre Mahamadou Issoufou et Hama Hamadou
Au Niger, après cinq jours d’attente, les résultats
finaux du premier tour de la présidentielle du 21 février ont
été proclamés le vendredi 26 février dernier. Selon ces
chiffres, tels que proclamés par la commission Electorale
Nationale Indépendante (CENI), le Président sortant
Mahamadou Issoufou vient en tête du classement, suivi en
seconde place de l’opposant Hama Hamadou. Une
configuration électorale qui propulse les deux hommes au
second tour.
Beaucoup présageaient 1,78% puis Amadou Boubacar
cette configuration sans pour Cissé, 1,48%. Les cinq candiautant être décis sur les éven- dats restants sont, eux, restés
tuels scores. Mais au soir du dans l’ordre de 0,5%.
Ainsi s’ouvre un duel
vendredi 26 février, tous ont été
...Hama Hamadou devrait
logiquement bénéficier des voix
de ses frères de l’opposition. Dans
ce cas, il avoisinerait les 48%,
pratiquement le même nombre
de points que celui engrangé par
son alter ego, le candidat du
PNDS...
situés. D’après ces résultats,
Mahamadou Issoufou a recueilli
48,41%, Hama Hamadou,
17,79%, Seini Oumarou, 12,11%
Mahamane Ousmane 6,25%,
Ibrahim Yacouba, 4,34%,
Kassoum Moctar, 2,91%, Abdou
Labo, 2,09%, Cheffou Amadou,
ouvert entre le président sortant,
Mahamadou Issoufou et son principal
challenger,
Hama
Hamadou. Même si, à priori, le
premier part avec la faveur des
pronostics, cela ne lui saurait
être, néanmoins, une partie de
plaisir, donc gagnée d’avance.
Mahamadou Issifou,Pdt sortant
L’opposant Hama Hamadou
En effet, l’on se souvient qu’à la
veille de ce scrutin, la classe de
l’opposition a fait du slogan «Tous
sauf Issoufou », son cheval de
bataille. C’est alors qu’elle a
réussi à converger ses actions
dans une coalition dénommée
« Copa 2016 ». Dans l’esprit
d’obstruer le chemin d’un second
mandat au président sortant, les
partis formant cette coalition ont
signé une convention qui recommande à chacun des partis de
l’opposition engagés dans cette
course électorale de concéder sa
voix à celui d’entre eux qui arrivera en seconde position, en cas
de deuxième tour. Aujourd’hui,
nous voici face à cette vérité.
A voir de près, l’on
pourra déduire que, conformément à l’esprit de cette convention, Hama Hamadou devrait logiquement bénéficier des voix de
ses frères de l’opposition. Dans
ce cas, il avoisinerait les 48%,
pratiquement le même nombre
de points que celui engrangé par
son alter ego, le candidat du
PNDS. Dans cette configuration,
c’est sans doute un véritable duel
qui s’annonce en perspective
entre les deux hommes. Toutefois, des faits inhérents à la politique, notamment les alliances
contre- nature et trahisons politiques, pourraient éventuellement
faire basculer la tendance au profit
de l’un ou l’autre. Mais alors, il
reste la portion des abstentionnistes du premier tour qui pourront enfin décider de rentrer dans
la danse et faire basculer le jeu.
Au regard de tout ceci,
il serait trop prétentieux de donner favori, l’un ou l’autre des
candidats. Tel le verdict s’annonce très indécis. Et le dernier
mot reviendra, en toute souveraineté, au peuple de choisir, au
soir du 20 mars, date du second
tour, celui qu’il estime être le
mieux pour conduire les destinées du Niger pour les cinq années à venir. Rien d’étonnant si
c’est le Président sortant qui est
reconduit dans ses fonctions,
surtout dans le contexte africain
où il est difficile pour un Chef
d’Etat, en pleine mandature de
perdre une élection. Mais le contraire serait pour l’opposant
Hama Hamadou qui, est actuellement en prison pour une affaire de «trafic de bébés nigérians ». De la prison à la présidence ? Se posent comme question, nombre d’observateurs. En
tout cas, le rêve n’est tout de
même pas surréaliste pour l’exprésident de l’Assemblée Nationale nigérienne qui aura décidé
de prendre son destin en main.
En rappel, même si
cette coalition dit ne pas reconnaître les résultats de ce premier
tour, évoquant des cas de fraudes en complicité avec la Ceni,
ce scrutin a, par contre, été salué dans son ensemble par les
observateurs internationaux.
Lesquels ont constaté que le
scrutin s’était déroulé dans le
«calme» et la «sérénité».
Magloire TEKO
Présidentielle 2016 au Bénin
Qui pour succéder à Yayi Boni ?
Les Béninois se rendront aux urnes le dimanche 6
mars prochain. Depuis le 19 février, les différents Etats- majors
des 33 candidats se lancent dans
la grande opération de charme, à
travers les campagnes électorales qui dureront quinze (15)
Pendant deux semaines, les candidats sillonnent villes, villages et hameaux pour le
même objectif : rallier à leur cause
respective, le maximum de voix,
même celles des plus sceptiques.
Parmi eux, trois femmes dont
l’ancienne Garde des Sceaux
Quoi qu’il en soit, cette
présidentielle béninoise aura été
marquée par deux constats : la
bataille des milliardaires et une
élection à la « béninoise » où l’on
pourrait voter aussi bien avec les
anciennes cartes que les
nouvelles.
jours. Sauf que ce sera une élection toute particulière et sur fond
d’inquiétudes. Et pour cause, tous
les électeurs ne sont toujours pas
rentrés en possession de leur
carte d’électeur.
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Marie- Elise Gbedo et deux frères, les frères Ajavon. Mais les
plus en vue sont l’actuel Premier
ministre, Lionel Zinsou, les hommes d’affaires, Patrice Talon et
Sébastien Ajavon et l’ancien Di-
Lionel Zinsou, l’actuel P.M
Le candidat indépendant
Patrice Talon
recteur général de la BOAD et
ancien candidat, Abdoulaye Bio
Tchané.
Toutefois, l’inquiétude
gagne les rangs de la majorité
des électeurs. A ce jour, seule
une partie de l’électorat a pu avoir
sa carte d’électeur. Avant cette
semaine, seulement 35% des
cartes ont été imprimées. Toutefois, le Centre national de traitement, organe en charge de la
production de ces documents
rassure être à jour, au plus tard
le samedi 5 mars. C’est dire
qu’en moins de soixante douze
(72) heures de ce scrutin, beaucoup de centaines de cartes restent encore à délivrer. Une véritable course contre la montre
dans laquelle se lancent aussi bien
la Commission Electorale Indépendante que le Centre National
de Traitement. Autrement, rassure
la CEI, les électeurs devront vraisemblablement voter soit avec
les anciennes cartes, soit avec
les nouvelles. Ce qui active le
feu des inquiétudes au sein des
populations.
Quoi qu’il en soit, cette
présidentielle béninoise aura été
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marquée par deux constats : la
bataille des milliardaires et une
élection à la « béninoise » où l’on
pourrait voter aussi bien avec
les anciennes cartes que les
nouvelles. Ce qui pourrait éventuellement ouvrir la voie à un
cafouillage qui ne dira pas son
nom. En tout cas, le Bénin est
bien malgré tout, un havre de
paix, un pays résolument engagé à entretenir et perpétuer la
démocratie sur son sol. Vivement que les Béninois parviennent, malgré quelques tensions
qui se profilent à l’horizon, à démontrer tout le bien que l’on pense
d’eux. Que ce scrutin accouche,
en toute quiétude, le successeur
de Thomas Yayi, ayant bouclé
ses deux mandats conformément à la constitution du pays.
Prévue pour se tenir le
28 février dernier, cette présidentielle a été finalement repoussée par la Cour Constitutionnelle
au 6 mars.
Magloire TEKO
FLAMBEAU des démocrates
Sortir la FTF du trou financier
L’autre bataille du colonel Akpovy
Sport 7
N° 0440 du Jeudi 03 Mars 2016
Election à la Fifa
La Suisse garde son titre,
l’UEFA sur le podium
Gianni Infantino
Les signaux sont au
rouge à la Fédération Togolaise
de Football, ce n’est nullement
un secret de polichinelle. Tout le
monde en est conscient et le
groupe Akpovy ne le démentirait
point. Seulement, il semble que
toutes les attentions sont plus focalisées sur la réorganisation de
l’administration, la reprise des
compétitions, les éliminatoires de
la Can 2017 au détriment du trou
financier dans lequel, l’instance
se trouve engluée. La mauvaise
gestion financière de l’équipe
Améyi, les différentes dettes contractées auprès de certaines banques, les détournements d’objectif dans lesquels ce bureau a été
champion ont pratiquement sombré la boite. Les indiscrétions font
état de 600 millions de frs cfa de
dette contractée par le bureau
Récépissé n°0317/16/05/2007HAAC
Siège social : Bd du 13 Janvier,
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K. Isidore - Magloire TEKO
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Correc teur
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Tirage : 3000 exemplaires
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sortant. Comment le bureau du
Colonel Akpovy pourra-t-il survivre à ce naufrage financier ?
Comment arriver à régler les
créanciers qui se sont bousculés au portillon de l’instance
quand le Comité de Normalisation, version Antoine Folly demandait à ces derniers de faire
parvenir à l’instance les justificatifs ? Le passif de Gabriel Améyi
sera très lourd pour le nouveau
bureau exécutif de la FTF. En
plus de trouver des fonds pour
financer les différents chantiers,
il faudra encore à ce nouveau
bureau exécutif de batailler dur
pour sortir la Ftf de son trou financier. Et dans tout cela, ceux
qui ont financièrement assassiné
la FTF continueront de courir
dans les rues sans être inquiétés sur les différents comptes.
Del-Jo
Le congrès électif de
l’instance mondiale du Football a
tenu toutes ses promesses le 26
février dernier avec le choix porté
sur la personne de Gianni
Infantino. Au-delà de toutes les
satisfactions de sortie de crise
exprimée, rien n’a véritablement
changé au sommet de l’instance.
Celui qu’on se presse de surnommer la nouvelle mentalité n’est
qu’un vieux colis embelli par les
contingences géopolitiques, poids
sous lequel ploie la Fifa depuis le
démantèlement des réseaux
mafieux. Gianni Infantino qui succède à un autre Suisse permet
au gouvernement helvétique de
garder son titre de président de la
Fifa, titre pour lequel, l’Asie a été
combattue sportivement par les
grandes puissances. Avec une
double casquette et porteur de
différents intérêts, l’Italo-Suisse
permet aussi à l’UEFA de monter les marches de la Fifa pour
avoir été Secrétaire Général de
l’instance européenne et pur produit de Michel Platini. L’UEFA,
pour sa révolution footballistique,
n’a jamais fait l’unanimité pendant
le règne de Sepp Blatter. Avec
son accession, l’ancien Secrétaire Général devrait insuffler la
dynamique des réformes sportives et administratives à la grande
fédération. C’est donc la consécration pour la Suisse et l’UEFA.
Del-Jo
Championnat de Maracana saison 2016
La Renaissance Mc, Red Stars
et CCT-Batimat Mc en chantier
La saison 2016 du championnat de Maracana s’ouvre en
avril prochain. Dans les différents
états- majors des équipes en lice,
les préparatifs vont bon train. C’est
le cas du champion en titre, la Renaissance Mc, de Red Stars et du
nouveau venu dans l’arène, le CCT-
dans la catégorie des moins de 35
ans, les maracaniers togolais devront reprendre le chemin des terrains en avril prochain. Les préparatifs dans les différents camps sont
à l’étape des matches test d’effectif. Ce fut le cas entre Red Stars,
mal classé la saison dernière et le
La Renaissance Mc Championne en titre
Batimat Maracana Club.
Après plus de 5 mois de
trêve pour cause d’organisation
par la Fédération Togolaise de
Maracana de la Can de la discipline, soldée par la consécration
de la sélection togolaise des vétérans et de celle de la Côte d’Ivoire
‘’promu’’ CCT-Batimat. Pour cette
revue d’effectif, c’est les poulains du
coach Kpakpo Tontonvi qui l’emportent 4 buts à 1 avec un triplé de l’ancien attaquant de Ifodjé
d’Atakpamé et de la Snpt, Kpéglo
Kossivi Yves. De quoi se réjouit l’entraîneur, Kpakpo Tontonvi dont l’ob-
Red Stars
jectif est de remonter, cette saison,
Ailleurs, les formations
cette équipe engluée dans les pro- de Rangers, Mcl ou encore JDJ ne
fondeurs du classement la saison sont pas du reste. Les préparatifs
dernière. Pour le staff du CCT- battent leur plein et bien malin sera
Batimat, c’est le temps d’apprendre celui qui peut prédire l’issue du
auprès des aînés, chose traduite prochain championnat. Malgré la
dans les faits une semaine plus tard détermination des poulains de Belavec la confrontation contre le low Semiu à conserver leur titre ; il
champion en titre, la Renaissance faut dire que les jeux seront très
Mc. Les poulains de Améké Ashiwoto ouverts pour le sacre final. En préont sorti la grosse artillerie en accu- lude à ce championnat, la fetoma
lant les protégés du président Am- lance du 12 au 26 mars prochains,
broise Dèlokonon jusque dans les la Coupe de la Fraternité pour
dernières minutes où ils céderont l’ouverture de la nouvelle saison.
face à la fougue de Sossa Kossi et
Del-Jo
compagnie (7-6).
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ANNONCE
8 FLAMBEAU des démocrates
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