Bonjour, je suis Erin Hudson et j`ai pose ma candidature pour le

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Bonjour, je suis Erin Hudson et j`ai pose ma candidature pour le
Bonjour, je suis Erin Hudson et j’ai pose ma candidature pour le Président. Déjà, vous
savez un peu à propos de ma formation journalistique de ma déclaration d’objectif donc
je vais passer directement à ma vision pour la PUC et les cinq problèmes sur qui, si élue,
je concentrai mon énergie et temps.
1. Les frais d’adhésion
Ces frais sont la source de revenue primaire de la PUC. C’est quelque chose que je crois a
besoin d’être changé si on veut que la PUC soit durable et capable de résister les temps
difficiles, comme maintenant, quand les journaux sont à court d’argent pour payer les
dépenses d’exploitation et les nouvelles technologies et encore moins de payer des
centaines ou des milliers de dollars en frais pour appartenir à un coopératif, qui ne fournit
pas certains services suffisamment.
Une grande partie de la réduction des frais d’adhésion revient à la recherche autres
méthodes pour générer revenu pour la PUC. Cette recherche sera un processus parallèle
que je m’en chargerai pendant mon terme comme Présidente. Je chercherais à assurer des
sources de revenus plausibles pour présenter aux membres à la séance de plénière pour
que la coopérative peut revoir la nouvelle direction de la PUC avant se lancer dedans.
Aucun membre de la PUC devrait révoquer leur adhésion à cause des contraintes
financières – ce n’est pas l’esprit d’une coopérative et ce n’est pas la façon d’établir ou
d’accueillir une communauté de jeunes journalistes. Vous ne devrez pas payer pour être
une partie de cette communauté.
2. Le fil de presse
Le fil est le service phare de la PUC et le service que les membres se dirigent en premier
quand ils commencent à expliquer comment la PUC n’est pas en train de fournir les
services qui ont été promis. Chaque année, on mène le CBN à l’échec car une personne
n’est jamais, et ne sera jamais, capable de faire un travail exceptionnel tout seul à
maintenir un fil de presse qui couvre les nouvelles de dernières heures à travers le
Canada.
Alors, c’est l’heure de cesser de rejeter le blâme sur le CBN et de reprendre contrôle et de
faire des changements. Pourquoi est-ce que le fil de presse ne répond jamais aux
attentes ? Qu’est-ce qu’on veut que le fil de presse soit ? Une base de données de
contenu ? Une source des actualités nationales organisées attentivement ? Les actualités
locales prévalent – quelque chose que nous, les journalistes de communauté et de
campus, s’en spécialisent – mais qu’est-ce que ça veut dire pour les actualités
nationales ? Est-ce toujours qu’est-ce qu’on veut comme contenu du fil de presse ?
C’est le temps de revisiter le modèle du fil de presse, sa prémisse et les changements qui
ont besoin d’être réalisées.
3. LA PUC
Concernant la PUC, si on était honnête, CUP est pas une association bilingue - pas du
tout. Presque toutes nos affaires et nos services de valeur sont en anglais et on n’a pas
vraiment un lien avec des communautés francophones au tour du Canada et bien sûr au
Québec. Après le départ du Délit français il y a un membre actif qui reste dans la PUC Le Collectif. Avec cette réalisation, à mon avis, on ne peut pas continuer de dire on est
une association bilingue. On doit réviser notre stratégie pour le bilinguisme - si c’est une
priorité pour nous - et focalise notre attention à comment attirer des journaux
francophones et comment offrir des services demandés et utile pour eux.
4. La mémoire institutionnelle
On n’en a pas – ou on a, mais c’est affiliée avec des individus. Il semble qu’il y ait
toujours une poignée d’employées et d’anciens employés de la PUC qui savent l’histoire
de la PUC, les défis, succès et échecs passés. Et quand je dis histoire, je n’entends pas
seulement le collectif comme c’était il y a quelques décennies – je veux dire l’histoire à
court terme aussi. Le raisonnement expliquant pourquoi le fil de presse est devenu
publique au lieu de privée, pourquoi il y a des cycles des membres qui se quittent puis
rejoignent l’organisation, pourquoi Campus Plus est un sujet délicat pour tellement entre
nous. Ce sont des questions que tous les membres doivent avoir les réponses pour – ou au
moins avoir accès à ces réponses.
La PUC a besoin de devenir plus transparente et plus facile pour les membres à naviguer.
Les statuts, la politique générale, les procès-verbaux et les dossiers archivés ont besoin
d’être en ligne où nos membres peuvent les accéder facilement. Ça c’est comment on
établit une mémoire collective qui nous aidera à connaître d’où on vient, ce qui a marché,
ce qui n’a pas et elle nous aidera à avancer. Elle assure aussi que les membres seront sur
la même longueur d’onde que la personnelle de la PUC et le bureau national. J’ai
remarqué que hors de certains cercles, la circulation d’information à propos des activités
du bureau national et les autres employés de la PUC arrête. Dans une association
transparente et en bonne santé, gouverné par ces membres, cela ne devra pas être le cas.
5. La culture d’adhésion
Finalement, la cinquième partie est la culture d’adhésion. En tant que prendre des verres à
NASH crée des liens, la relation entre les membres de la PUC est une faiblesse à mon
avis. Pourquoi ? Les membres savent rarement quand les autres journaux ont des
problèmes soit les situations juridiques, financières ou renouvellement – entre n’importe
quel nombre de problèmes peuvent se produire avec les journaux étudiant.
Un des critères d’achat d’être un membre d’un collectif comme la PUC devrait être le
réseau de soutien et de solidarité qui devrait exister entre les membres. La PUC devrait
faciliter une communauté de journaux où les luttes, courante ou unique, peuvent être
partagées. Quand les membres s’aident en partagent des histoires et d’information ou tout
simplement en donnant un coup de main quand possible – que ce soit un coup de fil de
soutien entre personnelle, une lettre à la rédaction ou une approbation entre publications.
Ce qui se passe maintenant est qu’on réunisse pour une semaine – au moins ceux d’entre
nous qui peuvent payer, et puis on part, certaines on n’entende pas jusqu’à l’année
prochaine. Au bureau national, les membres qui sont connus sont ceux qui ont les
problèmes qui sont les plus grandes et prend le plus de temps. Dans une mesure c’est
naturel, mais ne fond pas de relations avec des membres sauf quand ils ont des problèmes
peut engendrer isolation et négligence. Peut-être c’est un élément expliquant pourquoi les
membres quittent la PUC avec l’idée en tête que c’est plus facile de le faire tout seul au
lieu de le faire avec la PUC.
L’organisation a besoin d’être inclusive et accueillante.
Comment est-ce que je le ferai ?
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Charge la PUC et moi-même à entreprendre la consultation avec vous, les
membres, et compare avec autres organisations qui ont des mandats et des buts de
stratégies semblables aux nôtres.
Si je suis élue, j’apporterai les résultats de ces processus à la séance de plénière à
NASH ’76.
Et les résultats que je présents ne seront pas surprenant car je planifie de garder
les membres au courant de mon progrès avec du blogging fréquent et des
communications internes.
Une grande partie de mon rôle comme Présidente est l’établissement des relations,
la création des liens et la mercatique de notre organisation – ce sont des tâches
que je connais comment les faire, que j’ai d’expérience avec et en ce que je suis
forte.
Et elles sont des tâches que je ferai avec l’amélioration de la PUC,
particulièrement ces cinq domaines, en tête.
Pourquoi suis-je la personne ?
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Je suis une individuel très motivée avec une déontologie excellente et des
compétences de direction. J’ai travaillé dans un nombre de positions de
gestion/exécutif avec les médias étudiant et campus, dans les lieux de travail et
autres groupes étudiant.
Pour répondre à une des questions en suspens mentionnés dans ma lettre
d’accompagnement, à propos du stage avec the Gazette. Le Conseil actuel a accepté de
travailler avec moi pour que, si élue, je continuerai avec le stage et mon contrat
commencera plus tard durant l’été. Probable, le contrat du Président sortant, Sam Brooks,
sera prolongé pour assurer que ce temps est pris en compte.
Si vous partagez ma vision, j’espère que vous votez pour moi. Merci pour votre attention.
Hi, I’m Erin Hudson and I’m running for President. You already a little of my
background in journalism from my statement of purpose so I’m going to jump into
talking about my vision for CUP and the five priority issues that, if elected, I will focus
my time and energy on.
1. Membership fees
These fees are CUP’s primary source of revenue. This is something I believe needs to
change if we want CUP to be sustainable and able to withstand hard times, such as right
now, where papers are strapped to pay for operating costs and new technologies let alone
pay hundreds or thousands in fees to belong to a cooperative, which according is falling
short in delivering certain services.
A large part of reducing membership fees, comes down to looking into alternative ways
to generate revenue for CUP. This search would be a parallel process that I would
undertake in my term as President. I would look to secure plausible revenue streams to
present to membership at plenary so the cooperative can review CUP’s new direction
before we embark on it.
No CUP member should have to revoke their membership due to financial constraints that’s not the spirit of a cooperative and it’s not the way to build or foster a community
young journalists. You should not have to pay your way into this community.
2. The newswire service
The wire is CUP’s flagship service and the service that members inevitably point to first
when they begin explaining how CUP is not providing the services we promised. Every
year we essentially set the NBC up to fail because one person is never, and will never, be
able to do an outstanding job at singlehandedly maintaining a newswire to cover as it
breaks all across Canada.
So it’s time to stop putting the blame on the NBC and take control and make some
changes. Why is the newswire never living up to expectations? What do we want the
newswire to be? A database of content? A carefully curated source of national news?
Local news reigns supreme - something that we as campus and community-based
journalists specialize in - but what does that mean for national news? Is that still what we
want content-wise from the newswire?
It’s time to revisit the newswire model, its premise and changes that need to be made.
3. PUC
Concernant la PUC, si on serait honnête, CUP est pas une organisation bilingue - pas de
tout. Presque toutes nos affaires et nos services de valeur sont en anglais et on a pas
vraiment un lien avec des communautés francophones au tour de Canada et bien sûr au
Québec. Après le départ du Délit Français il y a un membre actif qui reste dans la PUC Le Collectif. Avec cet réalisation, à mon avis, on peut pas continuer de dire on est une
organisation bilingue. On doit réviser notre stratégie pour le bilinguisme - si c’est une
priorité pour nous - et focalise notre attention à comment d’attirer des journaux
francophones et comment d’offrir des services demandé et utile pour eux.
English : Concerning PUC, if we’re going to be honest, CUP is not a bilingual
organization - not at all. Almost all our business and services of value are in English and
we don’t really have connections with francophone communities across Canada or, of
course, in Quebec. With Le Délit, there’s one remaining active member of PUC - Le
Collectif. With this realization, in my opinion, we can’t continue to call ourselves a
bilingual organization. We have to revise our approach to bilingualism - if it’s a priority
to us - and focus our attention on how to attract French-language newspapers et how to
offer them services that are needed and useful.
4. Institutional memory
We don’t have any - or we do, but it’s affiliated with individuals. There always seems to
be a handful of CUP employees or former-employees who know the history of CUP, past
challenges, successes and failures. And when I say history, I don’t only mean the
collective as it was decades ago – I mean short-term history as well. The reasoning
behind why the newswire went from being private to public, why there are cycles of
members leaving the organization and then rejoining, why Campus Plus is such a sore
subject for so many. These are questions all members should have answers too - or the
ability to access those answers at the very least.
CUP needs to become more transparent and easier to navigate for its members. Bylaws,
policy, minutes and archived records needs to go online where members can easily access
them. This is how you build a collective memory that will help us know where we’ve
come from, what worked, what didn’t and it will help us move forward. It will also
ensure that members are on the same page as CUP employees and the national office. I
notice that outside certain circles, the flow of information as to what the national office is
up to or other CUP employees for that matter stops. In a healthy and transparent
organization governed by its members this shouldn’t be the case.
5. Membership culture
Finally, the fifth area is membership culture. As much as sharing drinks at NASH creates
bonds, the connection between CUP members is a weakness in my view. Why? Members
rarely know when others are in trouble be it legal issues, financial issues or issues with
turnover - among any number of problems that can occur at student newspapers.
One of the big selling points of being a member of a collective like CUP should be the
network of support and solidarity that should exist between members. CUP should
facilitate a community of papers where struggles, common to all or unique to one, can be
shared. Where members can help each other by swapping stories and information or
simply lending a hand whenever possible - be it through a supportive phone call between
staff, a letter to the editor or an endorsement between publications.
What happens now is that we all come together for a week - those of us who can afford to
send people to NASH at least, and then we leave, some we never hear from until the
following year. At the national office, the members who are known are those who have
the largest and most time consuming problems. To an extent this is natural, but not
building relationships with members save when they have problems can breed isolation
and neglect. This could be a factor to explain why members leave CUP and with a mind
that it’s easier to make it alone than in CUP.
The organization needs to be inclusive and welcoming.
How will I do this?
-
task myself and the CUP Board to undertake consultation with you the members
and look to organizations with similar mandates and purposes for strategies
If elected I will bring the results of these processes to plenary at NASH’76
And the results I present won’t be a surprise, as I plan to keep membership
updated to my progress as I go along through frequent blogging and internal
communications
A large part of my role as President is building relationships, making connections
and marketing our organization - these are tasks I know who to do, I have
experience with and I’m good at.
And they are tasks I will do with a mind to improving CUP particularly in the five
areas I’ve just outlined
Why am I the person?
-
I am a highly motivate individual with an excellent work ethic and strong
leadership skills. I have been in variety of executive/management positions within
student and campus media, within work places and other student groups.
To answer one outstanding questions mentioned in my cover letter, about the Gazette
internship. The current Board has agreed to work with me so that, if elected, I would
continue with the internship and my contract would start later in the summer. Likely
outgoing President Sam Brooks’ contract would be extended to ensure the time is
covered.
If you share my vision, I hope you cast your ballot for me. Thank you for your attention.