Sécurité civile - Lot-et
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Sécurité civile - Lot-et
GUIDE DU MAIRE - 2014 SÉCURITÉ CIVILE ETABLISSEMENTS RECEVANT DU PUBLIC Autorité compétente Le maire Le maire est l’autorité de police compétente en matière de sécurité contre les risques d’incendie et de panique dans les établissements recevant du public (ERP) situés sur le territoire de sa commune. Les ERP sont classés par types en fonction de leur usage (W=bureaux, M=commerces, L=salles polyvalentes,…). Ils sont aussi répartis en 5 catégories en fonction du nombre de personnes susceptibles d’y être présentes à un instant T. Parce qu’ils reçoivent du public, ces établissements sont soumis à un certain nombre de règles visant à : - permettre l’évacuation rapide et sûre des occupants, - limiter les causes potentielles de sinistres, - limiter la propagation d’un éventuel sinistre, - faciliter l’intervention des secours. Le respect de ces règles est contrôlé par la sous-commission départementale relative à la sécurité face aux risques d’incendie et de panique dans les établissements recevant du public, dont le maire est membre avec voie délibérative. La sous-commission donne son avis sur les projets de construction ou de travaux lors de réunions à la préfecture toutes les trois semaines. Elle effectue également des visites sur site avant chaque ouverture, à l’issue de travaux et périodiquement, selon un rythme défini réglementairement. S ÉCURITÉ CIVILE La sous-commission émet un avis éventuellement assorti de prescriptions. Son avis ne lie pas le maire, sauf dans deux cas (lorsque l’avis a été émis préalablement à la délivrance du permis de construire, ou pour obtenir une dérogation au règlement de sécurité). C’est le maire qui prend la décision finale, par un arrêté. 24 Les missions du maire en matière d’ERP sont les suivantes : - s’assurer de l’avis favorable de la sous-commission de sécurité avant de délivrer un permis de construire ou une autorisation de travaux non soumis à permis ; - autoriser par un arrêté l’ouverture et/ou le maintien en activité d’un ERP (après avis de la sous-commission) ; - prendre un arrêté de fermeture de l’ERP lorsque le niveau de sécurité est jugé insuffisant. Sur ce point, l’autorité préfectorale peut faire éventuellement usage de son pouvoir de substitution. - communiquer chaque année au SDIS la liste mise à jour des ERP présents sur sa commune. GUIDE DU MAIRE Code de la construction et de l’habitation, Code de l’urbanisme, Règlement de sécurité contre les risques d’incendie et de panique dans les ERP. Préfecture - service interministériel de défense et de protection civile Olivier THOMAS 05 53 77 60 37 e-mail : [email protected] - 2014 Références réglementaires Contacts Sous-préfecture de Marmande 05 53 76 01 76 Sous-préfecture de Villeneuve-sur-Lot 05 53 49 03 16 Sous-préfecture de Nérac 05 53 65 03 18 SDIS - service prévention 05 53 48 95 00. 25 PLAN COMMUNAL DE SAUVEGARDE Autorités compétentes Le maire Le préfet Le plan communal de sauvegarde constitue le maillon local de l’organisation de la sécurité civile, au plus près des administrés. Il a vocation à regrouper l’ensemble des documents de compétence communale contribuant à l’information préventive et à la protection des populations. Le maire a la connaissance du terrain, ainsi que les risques naturels ou technologiques auxquels sa commune est exposée. Pourquoi un PCS ? Pour connaître les risques auxquels la commune est soumise et être prêt face à un événement pouvant affecter la population (catastrophe, accident courant, dysfonctionnement des réseaux, phénomène climatique, problème sanitaire) : organiser la mobilisation et la coordination des ressources (humains et matériels) de la commune en situation d’urgence pour la sauvegarde de la population ; mettre en œuvre les premières mesures d’urgence et de sauvegarde. Un PCS est composé de deux parties : le document d’information communale sur les risques majeurs (DICRIM) qui comprend le recensement des risques auxquels est soumise la commune, ainsi que la description des moyens d’alerte ; l’organisation de la commune pour faire face à l’événement. À ce jour, 192 communes sont soumises à l’obligation de rédiger un plan communal de sauvegarde (PCS) en Lot-et-Garonne, sur les 319 du département. Sur ces 192 communes, seulement 118 PCS ont été réalisés, soit 61,46 %. S ÉCURITÉ CIVILE Le PCS permet de mieux intégrer les communes dans le dispositif de secours du département. Il est obligatoire pour les communes dotées d’un Plan de Prévention des Risques approuvé et fortement conseillé pour les autres communes. 26 GUIDE DU MAIRE article 13 de la loi du 13 août 2004 relative à la modernisation de la sécurité civile (codifié à l’article L 731-3 du code de la sécurité intérieure). décret n°2005-1156 du 13 septembre 2005 code général des collectivités territoriales CGCT, article L 2212-2 Préfecture - service interministériel de défense et de protection civile Philippe SANCHEZ 05 53 77 60 41 e-mail : [email protected] - 2014 Références réglementaires Contact 27 RECONNAISSANCE DE L’ETAT DE CATASTROPHE NATURELLE Le maire Le préfet Le ministère de l’intérieur Le ministère de l’écologie, du développement durable et de l’énergie Autorités compétentes Une catastrophe naturelle est un événement qui, par l’ampleur et le coût des dégâts causés par les seules forces de la nature, revêt un caractère catastrophique. Sont donc susceptibles d’être couverts par une indemnisation au titre de la procédure de reconnaissance de l’état de catastrophe naturelle, les effets des phénomènes naturels suivants : • les ruissellements d’eau ou de boue, • les inondations (cours d’eau sortant de leur lit), • les glissements et effondrements de terrain, • les mouvements de terrains argileux suite à une sécheresse exceptionnelle. Le vent et la grêle ne sont pas couverts par cette procédure, car ils sont garantis par le régime assurantiel classique. Mise en œuvre de la procédure de reconnaissance de l’état de catastrophe naturelle La procédure est engagée par une demande du maire de la commune concernée par un sinistre éligible et adressée au Préfet dans un délai de 18 mois après le début de l’événement naturel à l’origine des dommages. Le formulaire, ainsi qu’une note explicative, sont disponibles sur le site http:// www.lot-et-garonne.gouv.fr/reconnaissance-de-catastrophe-a438.html La demande communale est ensuite transmise par la préfecture aux services du ministère de l’Intérieur pour instruction par la commission interministérielle compétente, qui se réunit tous les mois. Elle est ensuite soit acceptée soit rejetée par arrêté ministériel. S ÉCURITÉ CIVILE Après publication au journal officiel de l’arrêté interministériel portant reconnaissance de l’état de catastrophe naturelle, les assurés disposent d’un délai de 10 jours au maximum, pour faire parvenir à leur compagnie d’assurances un état estimatif de leurs pertes. 28 Les exclusions : Même après reconnaissance de l’état de catastrophe naturelle, ne sont pas indemnisables : les dommages corporels, les récoltes non engrangées, cultures, sols, cheptel vif hors bâtiment, ainsi que les corps de véhicules aériens, maritimes, lacustres, fluviaux et marchandises transportées (article 7 de la loi du 13 juillet 1982), les biens exclus par l’assureur, par autorisation du bureau central de tarification (article 5 de la loi du 13 juillet 1982), les biens non assurés ou généralement exclus des contrats d’assurance dommages (terrains, plantations, sépultures, voirie, ouvrages de génie civil...), ainsi que les dommages indirectement liés à la catastrophe (contenu des congélateurs...) ou frais annexes (pertes de loyers, remboursement d’honoraires d’experts...). GUIDE DU MAIRE Code des assurances : articles L125-1 à L125-6 et A125-1 à A125-3. Préfecture - service interministériel de défense et de protection civile Olivier THOMAS 05 53 77 60 37 e-mail : [email protected] - 2014 Références réglementaires Contact 29 SYSTÈME D’ALERTE EVERYONE Autorité compétente Le préfet La préfecture de Lot-et-Garonne dispose d’un outil d’alerte automatisé lui permettant d’avertir rapidement et efficacement l’ensemble des maires du département en cas d’événement de sécurité civile (alerte météo, alerte inondations, pollution…). Il s’agit du système d’alerte Everyone. L’alerte est lancée par le Service Interministériel de Défense et de Protection Civile (SIDPC), qui met à jour régulièrement une base de données regroupant les contacts dits « d’urgence » de chaque commune de Lot-et-Garonne. Cette base de données sert à alimenter le système Everyone. Pour chaque commune, les données consistent en : - 2 numéros de téléphone fixe, - 2 numéros de téléphone portable, - 1 adresse mail - 1 numéro de fax. S ÉCURITÉ CIVILE Ces coordonnées ne sont pas identifiées nominativement. Elles doivent permettre de joindre 24h/24 et 7j/7 le maire de la commune ou une personne désignée pour recevoir les alertes. 30 GUIDE DU MAIRE Plan ORSEC, dispositions générales, actuellement en cours de mise à jour Préfecture - service interministériel de défense et de protection civile Véronique CAPELIER 05 53 77 61 48 e-mail : [email protected] - 2014 Références réglementaires Contact 31 DISPOSITIFS «CANICULE» ET «GRAND FROID» Le maire Le préfet L’ARS La DDCSPP Autorités compétentes Les dispositions spécifiques ORSEC canicule Le plan ORSEC canicule est un dispositif destiné à prévenir et lutter contre les conséquences sanitaires et sociales d’une vague de chaleur. Il poursuit trois objectifs : • informer le public, • repérer les personnes à risques, • alerter les institutions publiques sur les risques sanitaires et sociaux liés à la hausse des températures. Une vigilance saisonnière est mise en place chaque année du 1er juin au 31 août. L’alerte est lancée par le Préfet, au vu de la carte de vigilance de Météo France et de la situation locale. Elle est transmise aux maires via le système d’alerte Everyone. Chaque année, un courrier est adressé à l’ensemble des maires du département pour rappeler les principales dispositions à prendre et l’importance de surveiller les personnes vulnérables. Ce courrier est généralement accompagné d’affiches et de dépliants permettant la diffusion de l’information auprès de la population. Les dispositions spécifiques ORSEC grand froid Le plan ORSEC grand froid est l’équivalent hivernal du plan canicule. Il poursuit les mêmes objectifs et répond aux mêmes règles quant au déclenchement de l’alerte. La vigilance saisonnière est active du 1er novembre au 31 mars de l’année suivante. Elle est accompagnée également d’une campagne de communication. Les plans canicule et grand froid contiennent une fiche action spécifique pour les maires (jointes au présent document). Les registres communaux des personnes vulnérables Le recensement des personnes âgées et des personnes handicapées ou en grandes difficultés isolées à domicile est fondamental dans le cadre de la prévention des risques et de la gestion de crise. S ÉCURITÉ CIVILE La mise en place d’un registre nominatif des personnes vulnérables relève de la compétence du maire. Il est indispensable pour une intervention efficace et ciblée des services sociaux et sanitaires, en cas de déclenchement de tout plan d’urgence (plan canicule, plan grand froid, etc.). 32 Le registre communal des personnes vulnérables est tenu en mairie. L’inscription dans ce registre est facultative et nécessite une démarche volontaire des personnes ou de leurs représentants légaux. Il s’agit un registre nominatif dans lequel figurent les éléments relatifs à l’identité et à la situation à domicile de la personne inscrite sur le registre, et notamment les coordonnées du service intervenant à domicile, les coordonnées de la personne à prévenir en cas d’urgence ainsi que celles du médecin traitant. Annexes disponibles à la fin de ce guide. GUIDE DU MAIRE Dispositions spécifiques ORSEC canicule et grand froid. Article L. 121-6-1 du code de l’action sociale et des familles Préfecture - service interministériel de défense et de protection civile 05 53 77 60 38 - 2014 Références réglementaires Contact 33 RISQUES NATURELS Autorités compétentes Le maire Le préfet Les principaux risques naturels présents sur le département du Lot-et-Garonne sont : • le risque d’inondation : Il est à ce jour bien connu sur le département à travers les cartographies des PSS (plans de surfaces submersibles), des PPRi (plans de prévention du risque inondation), des AZI (atlas des zones inondables) et récemment des TRI (territoires à risques importants d’inondation) d’Agen et de Tonneins-Marmande ; • les risques de glissements de terrain et chutes de blocs. Ils ont été étudiés essentiellement sur les coteaux de Garonne en rive droite et à l’amont de la confluence avec le Lot. Le site du BRGM propose parallèlement un recensement des événements connus. Ce site recense également des cavités souterraines connues ; • le retrait-gonflement des sols argileux qui concerne toutes les communes du département. La carte d’aléa est consultable sur le site du BRGM (http:/ /www.argiles.fr/donneesCarte.asp) • les incendies de forêt. La cartographie de l’aléa est consultable sur le site des services de l’Etat pour l’ensemble des communes du département. S ÉCURITÉ CIVILE S’agissant de la prévention des risques, la DDT intervient dans la réglementation de l’urbanisme et des constructions, dans les secteurs à enjeux forts, par l’élaboration de Plans de Prévention des Risques (PPR). A ce jour, 183 communes du département sont réglementées par au moins un PPR en vigueur. Les procédures en cours sont : • la révision de la réglementation glissements de terrain et chutes de blocs du coteau de l’Ermitage à Agen ; • l’élaboration de PPR inondation sur 4 communes du Bruilhois ; • l’élaboration de PPR inondation et instabilité des berges sur 26 communes de la vallée du Lot ; • l’élaboration de PPR retrait-gonflement des sols argileux sur 156 communes ; • la révision des PPRI Garonne sera prescrite courant 2014 sur 35 communes (amont de la confluence avec le Lot). 34 L’actualité concernant la prévention des risques naturels est dominée par la mise en œuvre de la transposition de la Directive européenne Inondation : • consultation en cours sur la cartographie des surfaces inondables et des risques sur les 2 TRI retenus en lot et Garonne ; • préparation d’une stratégie locale, en concertation avec les collectivités locales, pour chacun de ces 2 TRI, en cohérence avec les objectifs du plan de gestion du risque inondation (PGRI) en cours d’élaboration au niveau du préfet coordonnateur de bassin Adour-Garonne. GUIDE DU MAIRE - 2014 Code de l’urbanisme : principalement articles L 121-2, L 110, L 121-1-3° et R 111-2 Code de l’environnement : articles L 562-1 à L 562-9 ; articles R 562-1 à R 562-10-2 ; articles L 566-1 à L 566-13 ; articles R 566-1 à R 566-18 Références réglementaires Direction départementale des territoires 05 53 69 33 33 e-mail : [email protected] Contacts Christine PAPINOT 05 53 69 34 10 e-mail : [email protected] Anne-Yvonne MUNIER 05 53 69 34 14 e-mail : [email protected] 35 DIRECTION DES OPÉRATIONS DE SECOURS Autorités compétentes Le maire Le SDIS Pour faire face à un événement affectant le territoire de sa commune, le maire prend la direction des opérations de secours. Dans le cadre de l’exercice de ses pouvoirs de police administrative générale, le Directeur des opérations de secours (DOS) mobilise l’ensemble des moyens publics et privés (police, gendarmerie, sapeurs-pompiers, SAMU, conseil général, opérateurs, etc.) pour la mise en œuvre des mesures directes et indirectes nécessaires à la protection générale des personnes, des biens et de l’environnement contre les accidents, les sinistres, les catastrophes ou tout autre événement présentant un risque immédiat ou imminent. Pour réaliser ces missions, il s’appuie sur le Commandant des Opérations de Secours (SDIS). Le commandant des opérations de secours est désigné par le Règlement Opérationnel départemental du SDIS. Il est chargé, sous l’autorité du directeur des opérations de secours, de la mise en œuvre de tous les moyens publics et privés mobilisés pour l’accomplissement des opérations de secours. En cas de péril imminent, il prend les mesures nécessaires à la protection de la population et à la sécurité des personnels engagés. Il en rend compte au directeur des opérations de secours. S ÉCURITÉ CIVILE Lorsqu’un sinistre dépasse les limites ou les capacités de la commune ou s’il intéresse une installation classée soumise à PPI ou lorsque le Préfet le décide, la direction des opérations de secours relève du préfet de département. Le maire assume toujours, sur le territoire de sa commune, la responsabilité de la mise en œuvre des mesures de sauvegarde vis-à-vis de ses administrés (alerte, évacuation …) ou des missions que le Préfet peut être amené à lui confier (accueil de personnes évacuées…) ; notamment dans le cadre de son PCS (Plan Communal de Sauvegarde). 36 GUIDE DU MAIRE Code Général des Collectivités Territoriales – Article L 1424-4 Code de la Sécurité Intérieure – Articles L 742-1 et L 742-2 Loi 2004-811 du 13 août 2004 dite de modernisation de la sécurité civile. Service départemental d’incendie et de secours groupement opérations, informatique et télécommunications Commandant Guillaume Leroy e-mail : [email protected] 05 53 48 95 50 Selon votre commune, vous pourrez être redirigé vers un interlocuteur local. www.sdis47.fr - 2014 Références réglementaires Contact 37 DEVOIRS ET RESPONSABILITÉ DU MAIRE : DÉFENSE EXTÉRIEURE CONTRE L’INCENDIE Autorité compétente Le maire Le rôle de police municipale du maire comprend notamment « le soin de prévenir, et de faire cesser […] les pollutions de toute nature, tels que les incendies….etc » (article 2212-2 §5 du CGCT). Le maire doit donc s’assurer que sa commune dispose des moyens nécessaires pour permettre de lutter contre les incendies. Il est assisté dans cette mission par : les syndicats de gestion de l’eau, les sociétés fermières, les entreprises privées, le service départemental d’incendie et de secours et ses centres de secours La défense extérieure contre l’incendie peut être assurée, soit par des points d’eau naturels et/ou artificiels (lac, étangs, bâches…etc) soit par des hydrants (bouches et poteaux d’incendie). La quantité d’eau nécessaire est définie et calculée notamment en fonction de l’activité du ou des bâtiment(s) à défendre, et de sa/ leur taille. Le maire doit s’assurer que l’ensemble des points d’eau ou hydrants, est accessible aux engins d’incendie et de secours, et à une distance maximum du bâtiment à défendre (400m maximum pour les risques les plus faibles avec un débit minimum de 60m3/h pendant 2h ou un volume de 120m3 ; par dérogation exceptionnelle à certain cas précis, possibilité de descendre à un débit de 30m3/h pendant 2h ou un volume de 60m3). Une reconnaissance opérationnelle et visuelle (disponibilité/accessibilité) est menée annuellement par le service départemental d’incendie et de secours et les sapeurs pompiers locaux. Les conclusions de cette reconnaissance sont adressées au maire. Toutefois, les sapeurs-pompiers ne réalisent de mesure du débit des hydrants ou du volume des réserves. S ÉCURITÉ CIVILE Il est important de porter à la connaissance du SDIS, l’indisponibilité d’un hydrant (poteau d’incendie ou bouche d’incendie) ou d’une réserve, afin que des moyens complémentaires soient engagés si possible, pour pallier ponctuellement, à la carence sur une commune. 38 GUIDE DU MAIRE - 2014 Code Général des Collectivités Territoriales – Article 2212-2 §5 Arrêté préfectoral du 10 juillet 2006 modifié portant Règlement Opérationnel départemental du SDIS 47 Références réglementaires Service départemental d’incendie et de secours groupement prévention / prévision Lieutenant Colonel Eric DUMONCEAUD e-mail : [email protected] 05 53 48 95 15 Selon la commune, vous pourrez être redirigé vers un interlocuteur local. www.sdis47.fr Contact 39