dossier de presse
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DOSSIER DE PRESSE SYNOPSIS "Odyssey: Sur les Traces de Sam Neill" suit le parcours d'un jeune homme qui a décidé de tout plaquer pour partir réaliser un documentaire sur son idole: le comédien Sam Neill. Arrivé en Nouvelle-Zélande, pays de cœur de l'acteur, le jeune fan va retracer une à une chaque étape de l'existence de Sam Neill, de sa jeunesse au début de sa carrière de réalisateur à la New Zealand Film Unit, en passant notamment par l'histoire et l'influence de sa famille dans la région de Dunedin. Objectif final: le rencontrer en personne au vignoble Two Paddocks, en plein cœur de la campagne néo-zélandaise... En chemin, au fur et à mesure des étapes, seul, face aux imprévus, le jeune homme pourrait bien en apprendre d'avantage sur lui-même ..." DEMARCHE DU REALISATEUR Une aventure personnelle, un projet de longue date Diplômé du BTS audiovisuel en 2010, assistant de production stagiaire sur le film "Monsieur Papa" de Kad Merad, Matthieu BLOMME a longtemps eu beaucoup de mal à percer dans mon domaine de prédilection. En 2011, il crée sur YouTube, une chaîne ("Etat: Critique") dédiée à la critique cinéma. Il devient l'un des premiers podcasteurs français à consacrer une chaîne YouTube entièrement au 7e art. Pendant 3 ans, il réalise plus de 200 vidéos, critiques, analyses, études (notamment sur le mythe de Jack l'Eventreur, l'impact du 11 septembre sur le 7ème art, ou encore sur la vie de Klaus Kinski). Le succès de sa chaîne est modeste mais non négligeable: 7 000 abonnés, et plus de 6 millions de vues. En 2014, il lègue ma chaîne à un nouveau podcasteur (Antony PAZZONA) afin que celui-ci fasse perdurer le travail débuté. Matthieu BLOMME décide alors de s'orienter vers des projets plus personnels, plus en phase avec ses propres convictions. C'est de là que naît "Odyssey: Sur les Traces de Sam Neill". Sans ses travaux sur Internet et son expérience acquise à travers cela, le projet « Odyssey » n'aurait sans doute jamais pu voir le jour. Si le projet naît effectivement après son départ de la chaîne YouTube, Odyssey est surtout un rêve de gosse quasi-utopique imaginé par Matthieu BLOMME au cours de son enfance. En 2014, il décide donc de faire de ce rêve, une réalité. Pourquoi Sam Neill ? Comme le dit Matthieu BLOMME dans son film, Sam Neill est « un anonyme parmi les grands et un grand parmi les anonymes ». Il le découvre la première fois alors qu'il n'a que 4 ans, dans le blockbuster Jurassic Park réalisé par Steven Spielberg. Ce film sera pour le petit garçon, comme pour beaucoup de sa génération, un électrochoc. Par le biais de ce long-métrage naîtra chez Matthieu BLOMME une passion très forte pour le 7e art. Sa vie, en grandissant, s'articulera autour de son désir de devenir, un jour, réalisateur de cinéma. Incarnation du héros dans le film choc de son enfance, Matthieu BLOMME suivra également très attentivement la carrière du comédien Sam Neill, interprète du personnage du Dr. Alan Grant dans Jurassic Park. Peu à peu, il deviendra son comédien fétiche, son acteur favori. Aussi, en grandissant, il décide que sa première réalisation sera un raccord entre son enfance et l'âge adulte. « Odyssey » sera donc un hommage au comédien qui bercé son enfance, une manière pour lui de boucler une ère du rêve de cinéma, et d'entrer, par la réalisation du film, dans l'ère de la réalité du cinéma. Comme la conclusion d'un cycle et l'introduction d'un nouveau. Une auto-production « Odyssey : Sur les Traces de Sam Neill » est entièrement auto-financé par les fonds personnels du réalisateur. Il n'a bénéficié au cours de la pré-production et de la production du film d'aucune aide financière de la région, d'une société de production ou du CNC. En post-production, Matthieu BLOMME dû cependant faire appel au financement participatif pour terminer son long-métrage. Un certain nombre de ses anciens abonnés sur la chaîne YouTube ont répondu présent et ont généreusement contribué à la finalisation du film. Leurs noms figurent par ailleurs, dans le générique de fin du film dans la rubrique Remerciements. Matthieu Blomme dans « Odyssey : Sur les Traces de Sam Neill » INTERVIEW DU REALISATEUR Comment décrirais-tu ton film en quelques lignes ? "Odyssey: Sur les Traces de Sam Neill" débute sur la réflexion d'un jeune homme sur sa propre existence. Lui qui était passionné de cinéma, et plus particulièrement aficionado de la carrière du comédien Sam Neill, s'est formalisé en vieillissant, entrant dans le moule du monde du travail et de la société de consommation. Narré par moi-même, l'histoire de "Odyssey: Sur les Traces de Sam Neill" possède un très fort écho à ma propre vie. Quasi-autobiographique, le film se présente à la fois comme un documentaire sur Sam Neill, et comme un documentaire sur un jeune homme réalisant un documentaire sur Sam Neill. La particularité d'"Odyssey", c'est de pouvoir confondre les deux, et ainsi de créer une proximité, une connexion et par extension, une réflexion sur le rapport fan-idole, inconnu-vedette et aussi, adulte-enfant. Pourquoi, d'après toi, faut-il s'intéresser à ton film ? "Odyssey: Sur les Traces de Sam Neill" est une œuvre originale qui brise les codes du documentaire classique, en entremêlant à la fois un point subjectif et objectif sur un même sujet. Le narrateur ne possède aucune formation journalistique, ni expérience dans la réalisation. Il s'agît juste d'un jeune homme lambda de 25 ans, qui peine, comme beaucoup à son âge, à trouver un sens à sa vie, une place dans la vie professionnelle. Il est désabusé par sa vie actuelle et ne parvient à trouver la force d'avancer qu'en puisant dans ses rêves d'enfances (en l’occurrence: rencontrer son comédien fétiche Sam Neill). Alors, il décide de trouver l'inspiration en marchant sur les pas de son idole, en ayant en tête de rencontrer le comédien qui a bercé son enfance. Seulement, en cours de route, le jeune homme va comprendre qu'en faisant un documentaire sur Sam Neill, il se crée lui-même un tracé qui, à terme, lui servira à avancer dans sa propre vie. Se raccrocher à ses rêves d'enfance, cela lui a permis d'éclaircir son regard sur l'avenir, savoir ce qu'il veut et la direction vers laquelle il est prêt à s'engager. Bien sûr, cela vient après des victoires et des désillusions sur son parcours. Le jeune homme va parfois obtenir ce dont il a besoin, parfois effleurer du bout des doigts les informations, parfois se retrouver au dépourvu face à un manque de données. Cela renvoie évidemment, à la vie, tout simplement, où obtenir tout ce que l'on veut est impossible et illusoire. La vie, ce sont des victoires et des échecs. La vie, ce sont des choses qui arrivent, et des choses qui n'arrivent pas. Et c'est cela que le jeune homme comprendra à l'issu de son périple. Que ce n'était pas la rencontre avec Sam Neill le plus important, mais le chemin qu'il a parcouru pour arriver là où finalement il se trouve aujourd'hui, un documentaire dans les mains, des souvenirs plein la tête et une expérience indélébile dans son âme. Désormais, un avenir mieux défini s'ouvre à lui. Un avenir où le jeune homme n'aura plus peur de prendre des risques, pour aller là où ses envies le guident. Ce genre d'éléments, on ne le retrouve pratiquement jamais dans le cadre de la plupart des documentaires, à cause notamment du détachement du narrateur vis-à-vis de son sujet. Par exemple, le réalisateur qui va vouloir faire un documentaire sur Adolf Hitler ou Zinedine Zidane, n'est pas forcément un nazi ou un passionné de football. L'avantage que j'ai, c'est que je suis moi-même un passionné de Sam Neill, ce qui humanise, je pense, d'avantage le rapport entre le sujet et la narration. Quelles sources d'inspirations avais-tu quand tu as réalisé ton film ? Au niveau de la mise en scène, "Odyssey: Sur les Traces de Sam Neill" s'appuie énormément sur les images d'une nature en expansion. Les lieux et décors en Nouvelle-Zélande ont une place énorme car ils créent un sentiment de liberté dans un monde aéré, là où les plans en France, plus froids, ou plus chauds selon l'état d'esprit du jeune homme, créent dans tous les cas, un sentiment d'oppression (le métro, l'appartement, le McDonald's ou même la tempête). Pour imaginer tout cela, je me suis énormément inspiré des travaux de Terrence Malick, sur sa manière de concevoir un rapport spirituel entre l'homme et la nature, et sur ses réflexions introspectives dans un cadre laissant entrevoir de très grands espaces. Dans « Odyssey », j'ai tenté de jouer énormément sur l'influence des lieux et des paysages dans la progression du documentaire. J'ai eu également comme principales sources d'inspirations les œuvres de Ron Fricke, Chronos (1985), Baraka (1992) et Samsara (2013). Évidemment, je n'ai pas la prétention de croire qu'Odyssey s'inscrit dans une logique ou une continuité par rapport à ces chefs-d’œuvre, ne serait-ce que sur le rapport philosophique que ce magicien de l'image établi entre l'humanité et l'éternel, selon ses propres termes. Néanmoins, comme lui sur ses tournages, j'ai dû improviser un grand nombre de plans, dans la ville ou la nature, en essayant de leurs inculquer un sens, une vraie profondeur. Je ne prétends pas y être parvenu, malgré tout, cela a effectivement été mon credo. Ma dernière source d'inspiration et non des moindres, c'est Tarnation de Jonathan Caouette, pour tout l'aspect narratif de l'œuvre. Comment emmener un nœud à se défaire à l'issu du film et créer une perspective intéressante pour la suite en résolvant un rapport à la fois simple et complexe entre soi, une personne que l'on adule, peut-être pas de la plus saine des manières d'ailleurs, et soi-même... Odyssey : Sur les Traces de Sam Neill se termine sur un échec. Mais un échec nécessaire. Dernière question, on a dû te la poser 100 fois, as-tu rencontré Sam Neill ? Joue-t-il dans le film ? A chaque fois qu'on me pose cette question, je ne réponds rien. Car je veux laisser planer le doute sur la rencontre. Si je vous dis que « oui », je l'ai rencontré, vous n'aurez plus la surprise de découvrir le long-métrage. Si je vous dis que « non », je ne l'ai pas rencontré, vous perdrez peut-être aussi l'intérêt qui est le vôtre, de l'observer. Dans les deux cas, vous risquez de passer à côté du véritable propos de l’œuvre et c'est dommage je pense. Donc, non, je ne vous direz pas si Sam Neill figure dans Odyssey. Vous le découvrirez vous-même… Sam Neill, sujet central du film « Odyssey : Sur les Traces de Sam Neill » DES COMPOSITIONS ORIGINALES Brian Bilaw, compositeur de la musique du film « Odyssey : Sur les Traces de Sam Neill » Pour les besoins du film, Matthieu BLOMME fait appel au compositeur Brian BILAW. Autodidacte, il compose sous le style baroque et new age. Natif des Philippines, Brian vît actuellement à Auckland en Nouvelle-Zélande. Il compose la musique du film "Odyssey: Sur les Traces de Sam Neill". Comme Matthieu, Brian a fait ses premières armes en tant que podcasteur sur YouTube, non pas pour réaliser des analyses de films, mais pour proposer à son public, ses différentes compositions originales. Brian est un compositeur classique, qui puise son inspiration dans une musique lyrique et aérienne. Il s'inspire, dans son œuvre, beaucoup du style New Age (dont Enya est l'une des figures les plus emblématiques). Ses aspirations étaient essentielles pour le film. Celui-ci étant imprégné de poésie et de contemplation, il fallait quelqu'un qui comprenne ce langage et qui soit capable de le retranscrire musicalement. Et Brian était le choix idéal pour ce rôle. Pour découvrir le travail de Brian Bilaw sur sa chaine You Tube: https://www.youtube.com/user/cielblancmusique Le groupe Teapot Industries a également accepté, à titre gracieux, de doter le film de deux de leurs titres phares : Like to be Alone, Pt.2 et Vieillesse Time. Deux titres du groupe Teapot Industries sont présents dans la bande-originale du film « Odyssey : Sur les Traces de Sam Neill » MAKING AN ODYSSEY Durant la post production du film, Matthieu BLOMME est contacté par un réalisateur et technicien audiovisuel du nom de Hans WITTWER qui connaissant son travail sur la chaine You Tube Etat : Critique lui proposa ses services pour la communication autour du métrage mais aussi et surtout pour la réalisation d’un making of retraçant toute son aventures de la conception du projet à sa sortie en salle. Ce Making of portant le nom: Making an Odyssey est un projet à part entière réalisé par Hans WITTWER et son équipe (l’association Start Prod Loire) et proposé en bonus du film en DVD, Start Prod ayant également proposé à Matthieu la création d’un DVD et du présent dossier de presse. Logo de l’association Start Prod, partenaire de Matthieu Blomme dans la diffusion du film « Odyssey : Sur les Traces de Sam Neill » REVUE DE PRESSE Pour plus d’’informations autour du projet : http://www.ouest-france.fr/dans-les-pas-dun-acteur-de-jurassic-park-2660443 http://www.ouest-france.fr/le-cinema-le-reve-de-gosse-de-matthieu-blomme-3362241 http://www.ouest-france.fr/sam-neill-sous-la-camera-dun-fougerais-3150834 http://www.lachroniquerepublicaine.fr/2014/05/19/portrait-matthieu-blomme-sur-les-traces-de-sam-neill/ Texte : Matthieu Blomme/Hans Wittwer// Conception Start Prod. 2015 Odyssey : Sur les Traces de Sam Neill/ Start Prod. Toutes les images utilisées dans le présent dossier appartiennent à leurs propriétaires respectifs