Rosendaël_Léon-Parisis_Jean-Pierre-Salengro-Jean
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Rosendaël_Léon-Parisis_Jean-Pierre-Salengro-Jean
Léon Parisis 1854 – Gravelines / 1919 - Gravelines Courtier maritime qui donna son nom à la cité Parisis de Rosendaël Jean-Pierre Salengro / Jean-Claude Lagrou Léon PARISIS voit le jour le 3 juin 1854 à onze heures du soir, Rue de Calais à Gravelines (Nord) (Acte 100). Il décède le 5 mai 1919 à cinq heures du matin, courtier maritime, âgé de soixante-quatre ans, onze mois, Rue de l’Eglise à Gravelines (Nord) (Acte 62), y inhumé. Ses parents Il est le fils de Louis, Hermand (à la naissance), Armand (au décès) PARISIS, employé d’octroi, né à Louches (Pas de Calais) le 31 Juillet 1818 à onze heures du matin (Acte 15), et d’Estère, Joséphine, Zoé, Eléonore LEYS, modiste, âgée de trente-huit ans, née le 13 avril 1815 à onze heures du soir, Rue de Calais à Gravelines (Nord), mariés le 10 mai 1850 à huit heures trente du soir à Gravelines (Acte 15), l’époux exerçant la profession d’employé d’octroi et l’épousée celle de modiste. Cette dernière est veuve en premières noces d’Antoine, Joseph, Flavien ALEXANDRE, ébéniste, né le 21 février 1813 à onze heures du matin, rue du Panouque à Gravelines (Nord) (Acte 16) et décédé le 19 Mars 1847 à Lommelet (Nord), mariage célébré le 12 avril 1837 à onze heures du matin à Gravelines (Nord) (Acte 111) Louis Armand PARISIS, libraire, décède le 28 Mars 1880 à quatre heures du soir, âgé de soixante et un ans, huit mois, Rue de Calais à Gravelines (Nord) (Acte 55). Estère, Joséphine, Zoé, Eléonore LEYS, sans profession, décède le 4 février 1895 à trois heures du matin, sans profession, âgée de quatre-vingt ans, 6, Rue Saint Sébastien à Dunkerque (Acte 104). Sa demi-sœur et son demi-frère De l’union Antoine, Joseph, Flavien ALEXANDRE / Estère, Joséphine, Zoé, Eléonore LEYS naissent deux enfants : Estère, Joséphine, Eléonore Née le 6 octobre 1838 à dix heures du soir à Gravelines (Nord) (Acte 262). ALEXANDRE Léon, Flavien, Euzèbe ALEXANDRE Né le 4 octobre 1842 à quatre heures du soir à Gravelines (Acte 138). Décédé le 19 janvier 1846 à sept heures du matin à Gravelines (Acte 5). Ses frères De l’union Louis, Hermand ou Armand PARISIS / Estère, Joséphine, Zoé, Eléonore LEYS naissent trois enfants : Jean-Pierre Salengro / Jean-Claude Lagrou Généalogie et Histoire du Dunkerquois / G.H.Dk. Page 1 Armand, Léon °1853 Gravelines +1917 Gravelines PARISIS Personnage Léon central cf ci-après PARISIS Eusèbe Albert °1859 Gravelines +1925 Lille PARISIS Armand, Léon PARISIS Il voit le jour le 5 janvier 1853 à deux heures du soir à Gravelines (Nord) (Acte 4). Commis courtier, il épouse 4 janvier 1883 à six heures et demi du soir à Gravelines (Nord) (Acte 2) Adrienne MATHIEU, sans profession, née le 31 octobre 1860 à Toul (Meurthe et Moselle), fille de Pierre MATHIEU, décédé à Paris le 5 novembre 1876 et de Virginie, Eléonore BUTIN, décédée à Paris le 1er avril 1864. Adrienne MATHIEU décède le 12 décembre 1908 à six heures du matin, sans profession, âgée de quarante-huit ans, un mois, Rue de l’Eglise à Gravelines (Nord) (Acte 123). Armand, Léon PARISIS décède le 2 novembre 1917 à onze heures du matin, courtier maritime, âgé de soixante-quatre ans, dix mois Rue de l’Eglise à Gravelines (Nord) (Acte 169). Eusèbe Albert PARISIS Il voit le jour le 5 mai 1859 à sept heures du matin, Rue de Calais à Gravelines (Nord) (Acte 69). Commis courtier, il épouse le 13 décembre 1887 à cinq heures du soir à Dunkerque (Acte 340), Marie, Valentine ZIEGLER, sans profession, née le 7 mai 1861 à trois heures et demie du matin, 22, Rue de la Grille à Dunkerque (Acte 316). Elle est la fille de François, Joseph ZIEGLER, mécanicien puis constructeur mécanicien, né le 23 Novembre 1820 à six heures du matin à Benfeld (Bas-Rhin) (Acte 70), décédé le 29 août1896 à sept heures du soir, ancien constructeur mécanicien, âgé de soixante-quinze ans, 7, Rue Royer à Dunkerque (Acte 655) et de Pétronille, Clémence BARBERY, sans profession née le 13 septembre 1830 à quatre heures du soir, au Hameau du Jeu de Mail à Coudekerque-Branche (Nord) (Acte 25), décédée le 5 septembre 1916 à sept heures du soir, sans profession, 66, Rue des Plantes à Paris XIV° (Seine) (Acte 3683), mariés le 22 Novembre 1848 à dix heures du matin à Dunkerque (Acte 202), l’époux exerçant la profession de mécanicien; l’épousée étant sans profession. Eusèbe, Albert PARISIS décède le 24 juillet 1925 à dix-sept heures trente, ex mandataire aux Halles, âgé de soixante-six ans, deux mois, 80, Rue Boucher de Perthes à Lille (Nord) (Acte 2338). Marie, Valentine ZIEGLER décède le 29 mai 1947 à trois heures, sans profession, âgée de quatre-vingt-six ans, 80, Rue Boucher de Perthes à Lille (Nord) (Acte 1500). Jean-Pierre Salengro / Jean-Claude Lagrou Généalogie et Histoire du Dunkerquois / G.H.Dk. Page 2 Son mariage Courtier maritime, Léon PARISIS épouse le 21 juillet 1907 à neuf heures du matin à Baccarat (Meurthe & Moselle) (Acte 38) Berthe, Marie, Joséphine CLAUDON, sans profession, née le 15 juillet 1877 à deux heures à Brouville (Meurthe & Moselle) (Acte 4), fille de Nicolas, Hubert CLAUDON, capitaine en retraite, Chevalier de la Légion d’Honneur et d’Eugénie, Rosalie LAFORET, décédée le 21 juin 1903 à Baccarat (Meurthe et Moselle). Berthe, Marie, Joséphine CLAUDON Elle décède le 20 février 1979 à cinq heures, sans profession, 132, Rue de Leffrinckoucke à Dunkerque, section de Rosendaël (Acte 140). Ses funérailles sont célébrées dans l’intimité familiale en la Chapelle de « Ma Maison », rue de Téteghem (devenue Rue Jeanne Jugan) et sont suivies de l’inhumation dans le caveau familial au cimetière de Rosendaël. Ses enfants De l’union Léon PARISIS / Berthe, Marie, Joséphine CLAUDON naissent enfants : Léon, Armand, Nicolas PARISIS Pierre, Léon, Armand PARISIS Jean, Armand, Hubert PARISIS Andrée, Berthe, Esther PARISIS Hubert, Lucien, Georges PARISIS °1908 Dunkerque + Dunkerque °1909 Dunkerque +Lille °1911 Dunkerque +Dunkerque °1912Rosendaël +Cannes °1915 Gravelines +1919 Lille Léon, Armand, Nicolas PARISIS Jean-Pierre Salengro / Jean-Claude Lagrou Généalogie et Histoire du Dunkerquois / G.H.Dk. Page 3 Léon, Armand, Nicolas PARISIS Léon, Armand, Nicolas PARISIS voit le jour le 25 avril 1908 à onze heures du soir, 30, Rue Saint Jean à Dunkerque (Acte 372). Agriculteur, il épouse à LeffrinckouckeAlbertine, Antoinette, Hélène FLEURYNCK, cultivatrice, née le 2 mars 1909 à midi un quart, Route de Téteghem à Leffrinckoucke, Fille d’Alexandre, Auguste FLEURYNCK, cultivateur, né vers 1870 à Looberghe (Nord) et de Lucie, Marie, Corneille BRUYNOOGHE, née vers 1873 à Warhem (Nord). Mariés à Looberghe (Nord), inhumés à Rosendaël. De l’union Léon, Armand, Nicolas PARISIS / Albertine, Antoinette, Hélène FLEURYNCK naîtront deux enfants. Albertine, Antoinette, Hélène FLEURYNCK décède, sans profession, 130, Avenue Louis Herbeaux à Dunkerque, section de Rosendaël. Léon, Armand, Nicolas PARISIS décède, retraité, 336, Rue Winston Churchill à Dunkerque, section de Rosendaël (Acte 558). Pierre, Léon, Armand PARISIS Pierre, Léon, Armand PARISIS voit le jour le 17 avril 1909 à neuf heures du matin, 30, Rue Saint Jean à Dunkerque (Acte 344). Directeur commercial, il épouse le 4 mai 1938 à dix-sept heures à Rosendaël (Acte 39),Françoise, Laure, Marie, Jeanne CHOCQUEEL, sans profession, née le 16 décembre 1919 à sept heures du soir, 45, Rue Emmery à Dunkerque (Acte 455), fille de Winoc, Louis, Marie, François, Ignace CHOCQUEEL, ingénieur civil, né vers 1886 à Bergues (Nord) et de Marie, Emilie, Joseph LEMAIRE, sans profession, née vers 1891 à Dunkerque, y mariés. De l’union Pierre, Léon, Armand PARISIS / Françoise, Laure, Marie, Jeanne CHOCQUEEL naîtront deux filles. Pierre, Léon, Armand PARISIS décède, directeur commercial aux Usines Thann & Mulhouse 2, Place de Verdun à Lille (Nord). Françoise, Laure, Marie, Jeanne CHOCQUEEL décède à Laval (Mayenne). Jean, Armand, Hubert PARISIS Jean, Armand, Hubert PARISIS voit le jour le 2 mars 1911 à cinq heures du matin, 30, Rue Saint Jean à Dunkerque (Acte 141). Jean-Pierre Salengro / Jean-Claude Lagrou Généalogie et Histoire du Dunkerquois / G.H.Dk. Page 4 Chimiste, il épouse à Rosendaël Raymonde, Gabrielle SAUVIGNON, sans profession, née le 24 mars 1912 à trois heures du matin, 9, Rue de l’Entrepôt à Dunkerque (Acte 225), fille d’Alcide SAUVIGNON, marin, né vers 1863 à BERNEUIL (CharenteMaritime) et de Gabrielle, Louise, Appoline JOVENET, sans profession, née vers 1880 à Dnkerque, y mariés, décédée, inhumés à Rosendaël. De l’union Jean, Armand, Hubert PARISIS / Raymonde, Gabrielle SAUVIGNON naîtront deux enfants. Jean, Armand, Hubert PARISIS décède, retraité, 130, Avenue Louis Herbeaux à Dunkerque, section de Rosendaël. Raymonde, Gabrielle SAUVIGNON décède, retraitée, 132, Rue de Leffrinckoucke à Dunkerque, section de Rosendaël. Andrée, Berthe, Esther PARISIS Andrée, Berthe, Esther PARISIS voit le jour le 28 mai 1912 à quatre heures du soir, 18, Rue de la Gare à Rosendaël (Acte 235). Sans profession, elle épouse le 5 mai 1933 à dix-sept heures à Rosendaël (Acte 43), Honoré, Henri DRUELLE, Docteur en Médecine, né le 6 novembre 1905 à onze heures du soir, au lieu-dit l’Amiteuse à Wattignies (Nord) (Acte 65), fils d’Henri, JeanBaptiste DRUELLE, bourrelier, né vers 1906, et de Berthe, Marguerite CARLIER, ménagère, née vers 1912. De l’union Honoré, Henri DRUELLE / Andrée, Berthe, Esther PARISIS naîtront trois enfants. Andrée, Berthe, Esther PARISIS décède, retraitée, 33, boulevard d’Oxford à Cannes (Alpes-Maritimes). Honoré, Henri DRUELLE décède, retraité, 13, Avenue des Broussailles à Cannes (Alpes-Maritimes). Hubert, Lucien, Georges PARISIS Hubert, Lucien, Georges PARISIS voit le jour le 26 mai 1915 à six heures du matin à Gravelines (Nord) (Acte 43). Il décède le 8 février 1919 à six heures vingt-cinq, interne en médecine, âgé de vingt-trois ans, célibataire, 10, Rue de la Bassée à Lille (Nord) (Acte 431). Son domicile rosendalien Jean-Pierre Salengro / Jean-Claude Lagrou Généalogie et Histoire du Dunkerquois / G.H.Dk. Page 5 Dans le quartier de l’actuelle Rue Paul Machy, se trouvait auparavant une belle et grande demeure avec dépendances. Elle avait était construite vers 1870 sur un terrain de quatre hectares, situé entre la rue de la Gare (actuelle Rue Paul Machy) et la voie ferrée Dunkerque-Furnes. De grands arbres s’élevaient dans le parc. La maison était occupée par Monsieur CHAPELOT, courtier maritime. Une grille située en bordure de la rue de la Gare s’ouvrait sur une allée bordée d’arbres conduisant à la demeure. Une deuxième grille existait à environ deux cent cinquante mètres en retrait. Au début des années 1900, après le décès de son propriétaire, la « campagne CHAPELOT » fut acquise par un autre courtier maritime qui opérait au port de Dunkerque et à Gravelines, Monsieur Léon PARISIS. Il y résida dès lors avec son épouse et leurs cinq enfants. La famille occupait l’hiver une maison sis rue Saint Jean à Dunkerque. Léon PARISIS parlait couramment cinq langues dont le suédois et le russe et il servit d’interprète lors de la visite du Tsar NICOLAS II en 1901. Beaucoup de Rosendaliens, qui étaient enfants entre les deux guerres, se souviennent avoir joué devant la grille de la propriété. Certains étaient admis à l’intérieur, le jeudi. Les propriétaires faisaient venir un ou deux baudets (qui le reste du temps étaient utilisés pour les promenades à la plage) pour l’amusement des enfants dans le parc. En 1939, une partie des lieux fut réquisitionnées par le P.C. du Train des Equipages de l’Armée. Les habitants des alentours furent dès lors réveillés au son du clairon. Lors de la bataille de mai-juin 1940, une trentaine de soldats français furent tués sur la propriété. Celle-ci fut, peu après, occupée par des marins allemands qui firent ensuite place à des jeunes, portant des uniformes kaki. Une erreur de destination s’était d’ailleurs produite lors du transfert de ces jeunes allemands de leur pays en France. Ils avaient été dirigés sur Roosendaal en Hollande. Les Allemands coupèrent les beaux arbres de la drève pour en faire des pieux Rommel. Après la guerre, la famille PARISIS réintégra la maison après réparations. Mais Madame PARISIS, n’y passa pas le reste de sa vie. Elle la quitta en 1957, pour devenir Malouine, en effet, elle demeura : 47, Rue Belle-Rade, avec sa sœur cadette Lucie, célibataire de trois ans sa cadette. Remarquablement lucide, toujours « dans le coup » et en bonne forme, vaquant à ses occupations ménagères avec un entrain que lui envieraient nombre de ses cadets et après une vie de simplicité et de tâches familiales courageusement assumées, elle devait célébrer son centenaire le samedi 9 juillet 1977, entourée de sa famille et du Maire de l’époque, Claude PROUVOYEUR et de membres de la Municipalité, où elle a tenu à répondre elle-même, en lisant les quelques lignes de remerciements écrites de sa main. Son Père, Officier de carrière, avait eu le privilège, avec son régiment placé sous les ordres du Duc d’Aumale, de participer à la prise de la smala d’Abd-El-Kader, à la campagne d’Italie et à la guerre de 1870, au cours de laquelle, il fut fait prisonnier. Des « tranches » de notre histoire qui nous apparaissent si lointaines et qui firent pourtant le sujet de conversations dont elle a conservé le souvenir, lorsque parents et enfants étaient à nouveau rassemblés. Enfance et jeunesse heureuse donc en Lorraine, à Baccarat où la famille CLAUDON, n’avait pas tardé à s’établir. C’est après son mariage qu’elle rompit ses attaches avec l’Est pour venir, avec son époux, s’installer définitivement sur notre littoral. Les époux vécurent d’abord à Gravelines S, puis Rue Saint Jean à Dunkerque, dans un immeuble qui étant également occupé par les bureaux de la Perception Municipale. Après le décès de son marin et avec le concours de sa sœur qui l’avait rejointe, elle se chargea seule d’élever ses enfants dans la propriété familiale de Rosendaël. Hormis Jean-Pierre Salengro / Jean-Claude Lagrou Généalogie et Histoire du Dunkerquois / G.H.Dk. Page 6 un bref séjour à Tulle (Corrèze), au cours de la dernière guerre, elle y resta jusqu’en 1957, date de son installation rue Belle-Rade à Malo-les-Bains. L’immeuble voisine le centre de soins des Sœurs Augustines. Ce sont ces religieuses qui, avec le concours de membres de la famille, veillent sur la centenaire et sa sœur. Encore que l’aînée tienne la maison, continue de cuisiner avec, paraît-il, le talent d’un authentique cordon bleu. « Je ne sors plus depuis quelques années » confiait Madame PARISIS. » D’ailleurs, toutes mes relations ont disparu et puis ce n’est plus à mon âge que l’on fait des visites. Les visites, je les reçois : on se charge de faire mes courses et c’est très bien ainsi ». Ajoutons, pour la petite histoire, que centenaire pleine d’allant, elle lisait les journaux sans nécessairement se servir de ses lunettes et qu’elle écoutait la radio : « Pour me tenir au courant », disait-elle. Le secret de sa longévité : « J’ai toujours vécu simplement » avait-elle répondu. Une vie simple qui débuta, il y a bien longtemps, alors que le Président de la République se nommait MAC MAHON…. La ville de Rosendaël racheta la propriété. Sur l’emplacement de la demeure fut construit le Collège Paul Machy. La drève la rue Jules Guesde et des blocs d’appartements construits le long cette nouvelle voie furent dénommés Cité Parisis. Léon PARISIS fut candidat aux élections municipales de Dunkerque du 6 Mai 1900 sur la Liste Radicale Socialiste Collectiviste, mais non élu. Il devait décéder le 5 mai 1919 à cinq heures du matin, courtier maritime, âgé de soixante-quatre ans, onze mois, Rue de l’Eglise à Gravelines (Nord) (Acte 62), y inhumé. Sources : Etat-Civil Voix du Nord du Mardi 12 Juillet 1977 Voix du Nord des Dimanche 25 & Lundi 26 Février 1979 Voix du Nord des Dimanche 17 & Lundi 18 Janvier 1988 Jean-Pierre Salengro 5 novembre 2013 Jean-Claude Lagrou 11 novembre 2013 Jean-Pierre Salengro / Jean-Claude Lagrou Généalogie et Histoire du Dunkerquois / G.H.Dk. Page 7