2013-2014 N°06 "Les Maule Blacks en java"

Transcription

2013-2014 N°06 "Les Maule Blacks en java"
Les Maule Blacks en Java
(9 février 2014 – Maule Blacks / L’épine rose – Air « C’est la plus bath des javas »
Je vais vous raconter, comment ce soir ont joué,
Quelques-uns de nos coéquipiers.
Pour vous raconter ça, j’ai choisi une java,
Qui parle des Maule Blacks écoutez là.
Mais j' vous préviens surtout, j'suis pas poète du tout.
Mes couplets n' riment pas bien, mais j' m’en fout !
Car pour les maladroits, sur un air de java,
Il y a la Bouziguette, sur un air de jav-ette.
Elle distribue des points, sur un air déjà vain.
C’est la règle du jeu, sur un air déjà vieux
Ah ! Ah ! Ah ! Ah !
Écoutez la Bouziguette !
Ah ! Ah ! Ah ! Ah !
Ce soir, on fait la java.
Onze ans c’est pas assez pour taper tes coups de pieds.
Bôchicot, faut encore t’entraîner.
On lui donne un point, ses pieds ne valent rien.
Mais un autre Maule Black le rejoint.
Des zigzags inutiles, le Bachelor est fragile.
Pourtant un contre cinq, c’est facile.
Quand l’ailier s’en alla, sur un air de java,
Tel un avion furtif, sur un air déjà vif,
L’Bachelor était vénère, sur un air déjà vert.
Le Bachelor n’as pas d’chance, sur un air de jouvence.
Au refrain
Cet homme prend bien son temps, mi-arrière, mi-avant.
Mireille est un joueur extravagant.
Je vous donne un indice de la bévue de notre complice :
Il énerve le 9 et le 10.
Et donc il fallait bien, parce qu’il le valait bien,
Un beau jour lui donner les trois points.
Quand Mireille s’arrêta, sur un air de java,
Il fit interférence sur un air de j’avance.
La passe partit bien haut, sur un air de javelot,
Car il fallait qu’on l ‘évite sur un air déjà vite.
Au refrain
Mais vous le savez bien, il faut donner cinq points,
À celui qui a joué le moins bien.
Et on a le frisson, au départ de l’action :
Cette fois on a franchi pour de bon.
Mais ensuite indécis, et trop tard c’est fini,
Bouzigue a oublié Gros Riri.
On ne marquera pas, sur un air de java,
Il faut qu’on se le dise sur un air de j’avise.
Trop gourmand à la balle, sur un air de j’avale,
L’occase a expiré sur un air de j’avais.
Au refrain