«Carte blanche» à Didier LOCKWOOD

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«Carte blanche» à Didier LOCKWOOD
¾¾ «Carte blanche» à Didier LOCKWOOD
Mercredi 29 juillet à 21h00 - Improvisations, grands standards du
jazz et autres surprises avec le pianiste Dimitri
Naïditch
Résumer la carrière de Didier Lockwood, quelle gageure ! Il fait
ses débuts au sein du groupe Magma, aux côtés du percussionniste
Christian Vander. C’est à 22 ans qu’il commence à travailler avec
André Ceccarelli, François Jeanneau, Didier Levallet et Henri Texier. Il
adoptera pendant près de dix ans toutes les formules qu’il affectionne :
du trio à cordes au passage en solo, du quartet au groupe de fusion,
sans oublier quelques rencontres inoubliables (Uzeb, Gordon Beck,
Martial Solal, Michel Petrucciani).
Il lance son nouveau projet « Improvisible » à l’automne 2014,
acclamé autant par le public que par la presse pour son originalité.
Dans ce spectacle réinventé chaque soir, il invite les spectateurs
à expérimenter collectivement ou individuellement l’improvisation.
Didier Lockwood propose ainsi aux volontaires de le rejoindre sur
scène pour un duo non prémédité : un pianiste, un guitariste amateur
ou un beatboxer peuvent par exemple dialoguer avec lui.
Dimitri Naïditch est un pianiste tendre, précieux, mélomane
(mélomaniaque ?), tourmenté, enivrant, romantique et engagé. Le
piano est pour lui un ami fidèle, il en connait toutes les nuances,
tous les accents locaux : ceux des racines rurales, ceux des grands
classiques et ceux du jazz, du ragtime ou de la chanson populaire. Un
compagnon parfait pour les « impros » de Didier Lockwood !
Didier Lockwood © Christophe Breschi