algeria
Transcription
algeria
ALGERIE Profil du pays Capitale: Alger Villes principales: Oran, Constantine, Annaba Langue(s) officielle(s): Arabe Autres langue(s): Tamazight, Français Population: 32.4 million (2004) PNB per capita PPP: 6603 US $ (2004) Monnaie: Dinar (DZD) Taux d’emploi (pop. age 15-64): 61.0% (2005) L’enseignement Supérieur en Algérie En Algérie, l'éducation est obligatoire et gratuite de 6 à 16 ans. L'enseignement fondamental dure dix ans. Pour accéder à l'enseignement supérieur, l'élève doit réussir l'examen du Baccalauréat. L'enseignement supérieur est assuré par des universités algériennes, des écoles et instituts spécialisés. La plupart des. Universités sont situées dans les grandes métropoles du Nord. L’enseignement supérieur comprend actuellement un réseau universitaire de 58 établissements d’enseignement supérieur (27 universités dont celle de la formation continue, 16 centres universitaires, 2 instituts nationaux d’enseignement supérieur, 9 écoles et instituts nationaux spécialisés, 4 écoles normales supérieures dont une d’enseignement technique) et de deux annexes universitaires ; cet ensemble couvre une quarantaine de wilayas. Le réseau des établissements de la recherche pour l’année 2006-2007 est composé de 17 établissements répartis comme suit: 3 agences nationales, 9 centres de recherche et 5 unités de recherche. Notons également l’existence de 639 laboratoires de recherche implantés dans ces établissements et dans différentes universités, écoles et autres instituts d’enseignement supérieur. La plus ancienne université est celle d’Alger, qui assure des formations en 35 spécialités dans 7 facultés et deux instituts (sports et archéologie). Des étudiants étrangers :arabes, africains, coréens et chinois fréquentent cette université. Concernant le système LMD, les responsables algériens qualifient l'expérience de très positive puisque ce système qui a démarré en 2004/2005 dans dix établissements a été étendu à 29 établissements 2005/2006, à 39 établissements en 2006/2007 (avec 72000 étudiants inscrits) et à 40 pour l’année en cours. Le système LMD couvre 13 domaines de formation notamment : sciences et technique, sciences de la matière, mathématiques et informatique, sciences de la terre et de l’univers, sciences de la nature et de la vie, sciences économiques, de gestion et commerciales, droit, lettre et langues étrangères, sciences humaines et sociales. Durée de scolarité obligatoire: 10 années Taux d’inscription dans l’enseignement supérieur (CITE niveaux 5 et 6)1: 865.000 (2006-2007) dont 43500 en post-graduation Nombre d’établissements d’enseignement supérieur: 27 universités, 16 centres universitaires, 15 Instituts et Ecoles d’enseignement supérieur, 2 annexes universitaires Pays signataire du processus Bologne: Non Pour des informations ultérieures, contacter le Bureau national Tempus à : [email protected] 1 Le total des inscriptions dans l’enseignement supérieur au niveau national (indépendamment de l’âge). TEMPUS en Algérie Participation de l’Algérie à Tempus La mise en œuvre du programme Tempus depuis septembre 2002 a eu des incidences sensibles dans divers domaine de l’enseignement supérieur et a reçu l’adhésion de la plupart des institutions de ce secteur puisque 56% des universités ont participé à un projet Tempus et deux universités ont participés à plus dix projets. Notant également le projet de mise en place d’un groupe d’évaluation des profils de formation ainsi que la matérialisation du réseau MERIC dédié à la reconnaissance des diplômes. Participation au programme Tempus depuis: 2002 Nombre de PECs2: 17 Nombre de BMIs3: 94 Les années 2003 et 2004 ont enregistré une grande participation à la Mobilité Individuelle (28 BMI en 2003 et 32 BMI en 2004 et 10 en 2005), aux Projets Européens Communs (10 PEC en 2003 et 4 PEC en 2004 et aux projets Mesures Structurelles et/ou Complémentaires (2 MSC en 2003 et 5 MSC en 2004). Budget total alloué: En 2006, compte tenu de l'insuffisance de ressources financières, aucun projet Tempus n'a pu être lancé. Budget total alloué pour la mobilité du personnel et des étudiants dans les projets PEC et MSC: Quelques projets PEC se distinguent par la pluralité de participants, notamment des institutions algériennes dont le nombre a pu atteindre 16 membres (domaine : Génie Electrique et Electronique), 11 membres (domaine : Insertion Professionnelle développée par l’USTHB et généralisée à la plupart des établissements d’enseignement supérieur d’Algérie ), 9 membres (domaine : Gestion des Bibliothèques Universitaires qui c’est traduite par la mise en réseau des bibliothèques de la région Centre ).ou 7 membres ( Internet pour le développement de l’enseignement assisté par ordinateur en Algérie qui permet la prise en charge des enseignements des établissements ne disposant pas d’encadrement suffisant par des enseignants d’autres universités ;ce projet est en voie d’extension à l’ensemble des structures de l’enseignement supérieur) Nombre de MSCs4: 8 8 million € (2002-2006) 2,895 million € (2002-2006) Budget total alloué pour les IMGs: 236.180 € (2002-2006) Par ailleurs, près de 66% des universités bénéficiaires déclarent que leur participation aux visites dans le cadre des projets Tempus a un impact relativement considérable et positif sur le travail et les activités d’enseignement. Les algériens sont nombreux (près de 80% des bénéficiaires maghrébins issus d’Algérie) à donner l’importance à l’adaptation du support et des méthodes d’enseignement utilisés par les partenaires européens. o Mobilité o Solidarité scolaire o Formation post-graduée Le programme Tempus à contribué au développement de nouveau diplômes et de nouvelles filières de formation avec notamment la mise en place de plusieurs ‘Masters’. Par ailleurs ce programme a permis d’impulser la coopération entre les universités algériennes et leurs homologues de l’Union Européenne. L’impact de Tempus en Algérie L’impact de ces projets sur l'enseignement supérieur a également été démontré par le développement de la coopération entre les universités et le secteur économique. 2 2 Projets européens communs Bourses individuelles de mobilité 4 Mesures structurelles et complémentaires 3