d`infos ici

ART en GARE 1
RÉTROSPECTIVE
DU PEINTRE PLASTICIEN
BENGT EVERHALL
ou vert same di
e t dimanche
de 10 h 30 à 13 h 30
e t de 17 h à 20 h
sur RDV e n semaine
GARE DE PAULHAN
contact : 06 08 56 73 08
Maquette: [email protected] r
PHOTOGRAPHIES DE
JENNIFER HAYWOOD
Invitation
vous êtes invité à participer
au Vernissage de l’exposition
ART EN GARE
dimanche 24 Avril 2016 à 11h
à la gare de PAULHAN
Bengt Everhall
et
Jennifer Haywood
L’exposition sera ouverte les samedi et dimanche
entre le 24 avril et le 22 mai
de 10h30 à 13h30 et de 17h à 20h;
mais également sur rendez-vous (individuels et groupes
scolaires). Contact: Hélène Davit 06 08 56 73 08 .
Décrochage le 22 mai à midi (concert )
Lors du vernissage et du décrochage, les artistes musiciens
seront rémunérés «au chapeau»
Ce projet est porté par le collectif QQOA
«Qu’est ce qu’on attend!»
https://qqoa.wordpress.com/
Bengt Everhall
12 bd Jeu de Ballon, 34230 PAULHAN
04 67 25 29 90 / 06 87 00 17 44
[email protected]
Né en 1923 à Hedernora en Suède
École d’Art de Ohesköld; Wainö Aaltonen, Finlande
Académie d’Art et artisanat de Stockholm, Suède
Voyages d’études:
Norvège, France, Finlande, Italie.
Nombreuses Expositions entre 1948 et 2014
Suède, Finlande, Norvège, France
Oeuvres de diverses techniques (huiles, pastels, collages,
dessins, encres…)
Enseignant professeur d’Art de 1975 à 1989 au niveau du lycée.
Installé à Paulhan depuis 1990 après un voyage où il a
parcouru tout le littoral européen entre Narvik et Ravenne, il travaille dans sa maison au centre ville, vous y
trouverez un de ses dessins esquissé sur la façade.
Représentations, abstractions et collages à partir des
récoltes faites en chemin se cotoient avec humour dans
l’oeuvre de Bengt Everhall. À de nombreuses personnes
de Paulhan, il a offert un petit galet peint, marque délicate
d’amitié et d’attention. Ce petit galet au creux de la main,
nous avons croisé ses pas depuis plus de 20 ans; il nous
a semblé évident que cette rétrospective devait se faire
comme une forme de reconnaissance à cet artiste et poète
du village.
Jennifer Haywood
JENNIFER HAYWOOD
9, Plan D’Artigues
34300. AGDE
06 80 53 18 95/04 67 49 23 01
[email protected]
https://myspace.com/jennifervhaywood/music/songs
« Pour elle, vivre c’est chanter ! »
Chanteuse d’inclination, de conviction, de passion et de
combat, elle est sensibilisée très tôt par la beauté, l’harmonie et les sons. Pourtant rien n’indique alors que Jennifer se dirigerait vers la musique noire puisque son univers d’enfant était la musique classique
C’est à l’âge de 20 ans qu’elle marque un réel intérêt pour
la musique noire.
La carrière de Jennifer Haywood est émaillée de nombreux concerts, radio, télés et spectacles. Cette artiste travaille aussi sur des projets originaux et continue dans des
ateliers divers à élargir son horizon musical ; elle est également professeur de chant dans différentes structures.
Lors du vernissage, elle sera entourée de ses amis musiciens pour un concert amical qui viendra faire vibrer les
lieux (recette au chapeau).
Jennifer est une artiste généreuse et multiple qui s’est
aussi intéressée à la photographie, c’est une série de ses
images de reflets que vous pourrez admirer lors de cette
exposition.
Le monde à l’envers
Un monde de secrets, d’abîmes sans fin où
l’homme n’a sa place que dans ses songes…
Tellement plus vaste que le monde à
l’endroit.
Comme un négatif qui nous révèle autre
chose et qui fascine.
Un lieu peuplé de formes étranges, ou tout se
décale, se transforme, s’étire et se meut en
un rythme lent, ensorcelant.
Un monde nocturne, opaque, sans souffle.
Une matrice où tous les sons deviennent
ouatés, adoucis.
Une sensation de volupté mêlée d’effroi.
Tout est possible et reste à réinventer.
Le temps disparaît, oublié à jamais.
Les couleurs se diluent dans un kaléidoscope
de chatoiements enchanteurs. Elles
deviennent vivantes, se font matière,
humeur et nous offre toute leurs richesses
arborescentes.
Le soleil et la lune se rencontrent enfin et se
réunissent dans un fondu enchaîné.
La terre devient ciel.
Le ciel devient eau.
L’eau devient feu.
Le soleil incandescent s’impose, il est en
invité.
Celui-ci se fait doux, se fait lueur, nous
apprivoise sans nous faire peur.
La lune, elle, se révèle dans sa vraie nature
et nous montre enfin tout ce qu’il nous avait
été caché, le monde de l’au-delà, celui qu’on
perçoit mais qu’on ne voit pas.
Plus de début, plus de fin… L’éternité nous
enveloppe dans son linceul.
Où est l’issue ?