NICKLAUS Sophie - Midi
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NICKLAUS Sophie - Midi
Sophie Nicklaus, 44 ans, Consultante CNIL. Je suis auto-entrepreneure, je travaille depuis chez moi ou en co-working à la Cantine Numérique. C’est Fukushima qui m’a amené à adhérer et, en 2012, EELV est l’espace de recomposition politique, avec une dimension européenne très forte dans laquelle je me reconnais. Je suis polyglotte, j’ai travaillé 10 ans à Hambourg, j’ai aussi vécu au Portugal et à Taiwan, je suis binationale et mon mari est allemand. Le multiculturalisme est dans ma famille depuis 4 générations. Au bureau du GL Toulouse depuis 4 ans, je suis actuellement Porte-Parole. Au national, je suis référente CNIL et à la Commission Partage 2.0. À Toulouse, j’ai démarré et animé les ateliers Ecologeeks de formation aux outils numériques, mis en place plus d’une dizaine de ciné-débats à l’Utopia Toulouse et des cafés politiques pour toucher le grand public. Mon apprentissage à EELV s'est d'abord fait sur le terrain, j’apprends vite et avec bonne humeur. Mon souhait est un mouvement politique ouvert qui sait accueillir les forces anti-productivistes, sachant travailler avec les citoyen-ne-s et les associations au-delà des clivages partisans. J’ai œuvré au rapprochement avec le Parti Pirate dès les municipales en 2014, campagne électorale à laquelle j’ai activement participé aux côtés d’Antoine Maurice et Michèle Bleuse. Je viens de porter nos couleurs sur le canton Toulouse 1 sous la bannière Alternative Citoyenne (incluant Parti de Gauche et Nouvelle Donne). Je suis Ambassadrice d’Enercoop Midi-Pyrénées, je soutiens le réseau Sortir du Nucléaire, la LDH, Survie et Maison du Vélo, je suis active et influente sur les réseaux sociaux, que j’investis pour essaimer nos idées. Le rôle de l’élu au Conseil Régional va changer en 2015 : l’ère Malvy se termine. Il nous faut un groupe écologiste capable de tisser des liens avec les services et d’impulser une politique courageuse de transformation du territoire. Notre grande région mérite un juste équilibre entre ville et campagne. Si notre Occitanie est désirable, elle l’est parce que nos campagnes sont diverses et dépositaires d’un savoir-faire et d’une richesse culturelle importants. Pour pouvoir défendre la ruralité, dépasser l’électorat urbain, nous affranchir du trio FN-droite-PS, nous devons contribuer à bâtir un imaginaire collectif et gagner en visibilité : Donnons-nous les moyens d’une alliance avec les bonnes volontés qui croient profondément en une société intelligente avec plus de démocratie, plus de solidarité et plus d’écologie. Menons une campagne ancrée dans les terroirs et le territoire, rassemblons les organisations progressistes et soyons utiles aux initiatives citoyennes. Faisons-nous confiance et nous passerons sereinement les étapes pour faire naître cette région désirée, fière de ses racines mais moderne, rurale et métropolitaine. Je reste à votre écoute, n’hésitez pas à me contacter pour en parler.