Dossier de presse
Transcription
Dossier de presse
Dossier de presse L’École supérieure d’art et design de Saint-Étienne présente l’exposition Je ne sais pas ce que j’ai vu * En collaboration avec le Fonds Régional d’Art Contemporain Provence-Alpes-Côte d’Azur Du 24 octobre 2014 au 4 janvier 2015 Vernissage le 23 octobre à 18h30 Commissariat et scénographie : Étudiants de 3e année de l’option art de l’École supérieure d’art et design de Saint-Étienne Professeurs de l’ESADSE encadrants : Fabrice Lauterjung, Stéphane Le Mercier Dauny, Denis Laget et Romain Mathieu *Citation de Jean-Pierre Bertrand L’École supérieure d’art et design de Saint-Étienne présente l’exposition Je ne sais pas ce que j’ai vu du 24 octobre 2014 au 4 janvier 2015 à la Cité du design Collaboration avec le Fonds Régional d’Art Contemporain Provence-Alpes-Côte d’Azur Vingt-cinq étudiants de troisième année de l’option art de l’École supérieure d’art et design de Saint-Étienne (ESADSE) présentent des œuvres issues de la collection du Fonds Régional d’Art Contemporain Provence-Alpes-Côte d’Azur dans l’espace d’exposition de la Cité du design, Saint-Étienne. L’exposition Je ne sais pas ce que j’ai vu est le fruit de la coopération entre trois structures : le FRAC ProvenceAlpes-Côte d’Azur, l’ESADSE et la Cité du design. Elle s’inscrit dans la continuité d’une démarche mise en place par l’ESADSE depuis 2011 : collaborer chaque année avec des institutions de l’art contemporain d’envergure régionale. La collaboration avec le FRAC Provence-Alpes-Côte d’Azur succède aux deux dernières expositions de l’ESADSE réalisées dans cette dynamique en collaboration avec le Fonds Régional d’Art Contemporain d’Auvergne et l’Institut d’Art Contemporain de Villeurbanne. Ce projet englobe des enjeux originaux, à la fois pédagogiques et artistiques. Les étudiants sont seuls acteurs des processus de mise en place et de gestion de l’exposition. Guidés par une réflexion de groupe, ils sont commissaires, scénographes, graphistes, monteurs, etc. Cette expérience leur permet d’être confrontés à toutes les étapes de choix et de création dans une concrétisation à échelle 1. C’est l’occasion pour eux de travailler dans des conditions réelles. L’exposition traduit la résolution de l’ESADSE d’intégrer fermement la dimension de la professionnalisation dans le cursus de l’option art, en exploitant toutes les potentialités d’un équipement qui leur permet de réaliser des expositions dans des conditions optimales. Ce parti pris, décidé en 2011, était autant ambitieux que novateur pour une École d’art. En 2014, selon Yann Fabès, directeur de l’ESADSE, il semble que cette initiative ait apporté une nouvelle épaisseur à l’enseignement proposé aux élèves. Ces derniers acquièrent des compétences et une expérience qui leur sera utile au début de leur carrière. Par le biais de ce choix artistique, les étudiants s’interrogent sur les problématiques qu’un tel corpus peut soulever : Comment communique une œuvre ? Que nous donne-t-elle réellement à voir ? Comment fonctionne-t-elle par rapport aux autres ? Il est ici question de perception, de différences dans nos discernements, du chemin incertain emprunté par notre regard. L’opportunité d’une telle production suscite également une nouvelle approche de la collection du FRAC en proposant de la présenter sous un angle plus singulier, moins institutionnalisé, celui de l’art vu à travers un regard d’étudiants. Ces derniers ont ainsi choisi une scénographie qui ne comporte pas de sens de visite. Le spectateur est invité à une déambulation presque hasardeuse entre les œuvres. Il n’y a pas de salles réellement closes mais elles sont toutes ouvertes vers d’autres œuvres. En réfléchissant aux rapports sémantique et physique des œuvres, les élèves ont su créer des connexions entre elles. Les étudiants sont commissaires de cette exposition sous la direction de quatre de leurs professeurs : Fabrice Lauterjung, Stéphane Le Mercier Dauny, Denis Laget et Romain Mathieu. Cette exposition se tiendra du 24 octobre 2014 au 4 janvier 2015. 2 SOMMAIRE 4 Édito du Président de l’EPCC 5 Propos du directeur de l’ESADSE, Yann Fabès 6 Note d’intention des étudiants sur l’exposition 7 Présentation des œuvres sélectionnées pour l’exposition 8 Scénographie de l’exposition 9 L’École supérieure d’art et design de Saint-Étienne 10 Le Fonds Régional d’Art Contemporain Provence-Alpes-Côte d’Azur 11 Informations pratiques 12 Contacts presse 3 Édito du Président de l’EPCC Regard Lorsqu’on visite une exposition ou un musée, on reste confondu par l’étrange attirance que l’on peut avoir pour telle ou telle œuvre. Pourtant, tous les visiteurs ne s’accordent pas sur la même, bien légitimement. «Un tableau ne vit que par celui qui le regarde » affirmait Pablo Picasso. Certains trouvent ainsi « le déjeuner sur l’herbe » d’Édouard Manet vulgaire, d’autres considèrent « la Naissance de Vénus » de William Bouguereau comme un chef-d’œuvre absolu. Il en va ainsi de l’art contemporain et l’on peut, à juste titre, se demander si nous avons le regard bien affûté ou si cette contemplation artistique ne se charge d’un mystère qui nous dépasse. « En somme la beauté est partout. Ce n’est pas elle qui manque à nos yeux, ce sont nos yeux qui manquent à l’apercevoir... » expliquait Rodin. L’exposition de la Cité du design « Je ne sais pas ce que j’ai vu », réalisée par 25 étudiants de 3e année, option art, de l’École supérieure d’art et design de Saint-Étienne qui sont, pour l’occasion, des apprentis « commissaires d’exposition » tend à s’interroger sur cette problématique en confrontant singulièrement 33 œuvres extraites de la collection du Fonds régional d’art contemporain Provence-AlpesCôte-d’Azur. Je suis heureux que ce type de démarche permette à des jeunes étudiants de se mesurer à la mise en place complète d’une exposition : ils ne sont plus spectateurs mais bien acteurs des choix artistiques. Un pas de plus vers leur avenir. Gaël Perdriau Maire de Saint-Étienne Président de Saint-Étienne Métropole 4 Propos de Yann Fabès, directeur de l’École supérieure d’art et design de Saint-Étienne C’est en mai 2011 que s’ouvrait la première exposition de l’ESADSE réalisée en collaboration avec un fonds d’art contemporain. Il s’agissait de La pratique est absolument nécessaire et elle pose désormais le problème non plus de son esthétique mais de sa stratégie ! Exposition réalisée avec l’Institut d’art contemporain de Villeurbanne, qui avait permis à une quinzaine d’étudiants de marquer ce qui allait devenir un rendez-vous régulier au fil des ans avec la conception d’une exposition à partir d’une collection publique, servant de modélisation conceptuelle et esthétique dans le champ de la formation artistique. L’année suivante, nous avions pu réaliser un deuxième volet à partir des collections du FRAC Auvergne, FRAC avec lequel nous avons tissé des liens plus réguliers en signant une convention de partenariat qui renforce la dimension professionnalisante de l’établissement. Il s’agira donc avec Je ne sais pas ce que j’ai vu de la troisième exposition réalisée dans un cadre qui a su apporter des compétences nouvelles et intéressantes à la formation de nos étudiants. J’en veux pour preuve, alors même que cette pratique n’était pas répandue dans les écoles d’art en 2011, la façon dont cette démarche est aujourd’hui plus familière pour celles-ci. Le choix d’une nouvelle collaboration avec le FRAC Provence-AlpesCôte d’Azur ne doit rien au hasard, c’est tout d’abord la qualité de cette collection débutée en 1982 et rassemblant plus de 1000 œuvres dans un nouveau bâtiment réalisé par l’architecte Kuma, qui nous a conduits à opérer ce choix. C’est aussi les collaborations connexes, mais néanmoins dissociables, que nous développons aujourd’hui avec la ville de Marseille qui nous garantit un maillage fort avec notamment notre adhésion au Festival international de cinéma et notre prochaine collaboration avec le Centre Internationale de poésie. L’ensemble de ces collaborations avec une ville, à l’instar de SaintÉtienne, richement dotée en équipements culturels nous permet de répondre au besoin d’une approche plurielle de l’art afin de mieux préparer nos étudiants à la diversité des formes d’expression dans le domaine du sensible. L’exposition, le statut de l’œuvre, sa réception auprès du public, sont autant de questionnements qui s’inscrivent au cœur de la pédagogie de notre école, ce qui nous rapproche de la réalité des réseaux de l’art et de la culture. Aujourd’hui la formation d’un artiste supporte également le fait que l’acuité portée à l’art et à ses représentations par l’institution n’est pas forcément opposable à l’acte de création. 5 Note d’intention des étudiants sur l’exposition Je ne sais pas ce que j’ai vu relate une expérience de plongée dans la multiplicité des manières dont nos regards peuvent faire vivre les choses, dans les différentes formes qu’elles peuvent prendre à partir de points de vues individuels. Une expérience nouvelle pour chacun, n’ayant pas de pratique antérieure de commissariat, cela a été pour nous l’occasion de nous questionner et de revenir sur les bases de ce qu’est une exposition : montrer des œuvres ensemble. Etudiants en école d’art, nous nous sommes vus remettre un projet d’ampleur entre les mains. En s’intéressant jusqu’aux racines latines du mot, provenant de exponere (étaler, mettre en vue) et en le décortiquant, on en tire ponere qui signifie « mettre » ainsi que ex-venant d’extra : « dehors ». Exposer, c’est aussi l’action d’un rayonnement sur une surface sensible, et dans un sens ancien, cela signifiait aussi mettre un enfant à l’écart, dans un lieu sauvage. Exposer, c’est donc sortir une pièce de son contexte, de son écrin, c’est la mettre à découvert. Et « une exposition » peut être aussi la narration, le récit d’un fait, une histoire. Je ne sais pas ce que j’ai vu est une mise à nu sous les regards. C’est notre perception qui vient se poser, habiller et faire aussi sa propre histoire. Sans donner en pâture des œuvres, on propose ici de se laisser imprégner par elles. Accepter le trouble. Le regard n’use pas les formes, les images, et ici elles ne sont pas là pour être consommées, mais pour que l’on se laisse transpercer par elles, qu’elles vivent un peu à l’intérieur de nous et qu’on laisse ensuite notre tour, au suivant, notre place de spectateur. Cette exposition, c’était disposer de l’importante collection d’art contemporain qu’est celle du FRAC. Une réserve d’œuvres mouvante avec celles qui s’ajoutent, achetées ou confiées, celles qui sortent, prêtées. Comme un organisme vivant qui jamais ne se fige. Structure que l’on pourrait rapprocher de celle d’une école, ses étudiants qui entrent, grandissent à l’intérieur puis la quittent, ensuite remplacés. Un bouillonnement incessant. Le ressac. C’est donc le temps d’un instant que nous fixons l’un des visages de cette collection, que nous en soumettons une vision, nous, représentants d’une pensée en construction. Nous proposons donc ici une mise en espace de cet échantillon prélevé, une possibilité de présentation, de confrontation d’œuvres avec d’autres. Une lecture envisageable avec différents chemins pour accéder aux œuvres, au sens propre comme au figuré. Je ne sais pas ce que j’ai vu sont des œuvres qui ne se laissent pas savoir facilement. Je ne sais pas ce que j’ai vu est l’absence d’un souvenir distinct. C’est une rémanence, une sensation floue qui reste, là. Les étudiants en troisième année de l’option art de l’ESADSE : Sophie Nicosia, Lucile Heitzmann, Louise Bernert, Merryl Bouchereau, Léa Bouttier, Anne-Hélène Cohendet, Robin Curtil, Juliette Delecour, Sacha Fatticioni, Bertille Guiot, Ana Iragorri, Chien-han Juan, Mélanie Labeyrie, Clarisse Mathevet, Christelle Meunier, Élise Meunier, Loïc Yukito Nakamura, Melina Nieto-Moumen, Rosalie Parent, Kévin Rajot, Justin Satre, Mathilde Segonds, Floriane Soulard, Lola van Linden, Julie Vettard, Emmanuel Vitu. 6 Liste des œuvres sélectionnées par les étudiants Liste des artistes et des 34 œuvres exposées : - Afif Saâdane, Le Fantôme, 2003 - Albrecht Jurgen, 13.12.1991, 1991 - Andrade Alain, n° 43’30, n° 5 40’, 1989 - Appelt Dieter, Tableau Space, 1990 - Balula Davide, Burnt Painting, 2012 - Bertrand Jean-Pierre, Sans titre, 1984 - Blazy Michel, Voyage au centre, 2002-2003 - Castellas Denis, Sans titre, 2003 - Chevalier Marc, Sans Titre, 2007 - Déregibus Monique, 1982 - Chatila, Beyrouth été 2005, 2005 - Fisher Urs, Internal backdrop (Jealous House Blends and Airports), s.d - Floyer Ceal, H2O Diptych, 2002 - Grand Toni, Colonne double, 1983 - Hébréard Raoul, Série - Sans titre, 1999 - Hofmann Hanspeter, Sans Titre, 2001, Sans Titre, 2004 - Jitrik Magdalena, Sans titre, 1998, Sans titre, 1998 - Jouve Valérie, Sans Titre, 1991, Sans Titre, 1994 - Klemensiewicz Piotr, Sans titre, 1991 - Kusnir Carlos, J’aurais voulu être artiste, 1989 - Lesueur Natacha, Sans titre, 1998 - Loutz Frédérique, Fadala, 2010 - Mencoboni Didier, Etagère III sur Etagère IV, 1990-1994 - Milner Judy, Trois pièces 1987-1992, 1992 - Narkevicius Deimantas, Kaimietis, 2002 - Principaud Éric, Sans titre, 1989 - Scher David, Blue-Spell 1, 2012, 1668, 2012 - Shiraoka Jun, Shikoku, Japan, 1970, New-York, USA, 1977, Albi, France, 1980, Versailles, France, 1980 - Sorgue Jean-Marie, Ville, 1989-1990 ; Nœuds au centre, 1989-1990 - Steiner Stéphane, Site 103, 1993 - Tan Fiona, News From the Near future, 2003 - Traquandi Gérard, Bosquet à Carry, 1991 - Valabrègue Nicolas, Plante, 1990 - Verna Jean-Luc, Bravo, 1996, Antique Classique Cosmétique (Le Pendu), 1997, Paramour + reflet, 1997, Le jeune Bara, 2005, Cet éternel petit problème, 2005, L’ennui, 2006, Gay Bashing 2, 2007, Megahertz, 2008 - Vogt Alexandra, Fling your voice out like a cloth over the fragments of his disease, 2001 - Wilson-Pajic Nancy, Treshold, 1983 7 Scénographie de l’exposition Liste des artistes et des 34 œuvres exposés : En lien avec le titre de l’exposition et les œuvres sélectionnées, les étudiants ont choisi d’agencer l’espace en invitant le visiteur à une déambulation presque hasardeuse. En réfléchissant aux rapports, sémantique et physique, des œuvres, ils ont créé des connexions entre elles. Je ne sais pas ce que j’ai vu est une exposition qui nous questionne sur la manière dont on peut percevoir l’art aujourd’hui. Elle reflète également ce qui touche la sensibilité des étudiants. Aucun sens de visite n’est clairement exprimé, le principe étant d’exposer les œuvres en tissant des liens entre elles, plus ou moins précis. Une artère principale structure tout de même l’espace par le milieu, de l’entrée au fond de la salle, où trois artistes se font écho : Jean-Pierre Bertrand et son œuvre, tel un guide introduisant la déambulation du spectateur, puis les colonnes de Toni Grand, au milieu de l’exposition, comme deux géants par lesquels chacun peut choisir son chemin, sa ligne conductrice, et, tout au fond, majestueuse, l’œuvre de Dieter Appelt, visible petit à petit depuis le début de l’exposition jusqu’au dévoilement complet dans la dernière salle. Les étudiants ont voulu introduire de la curiosité, l’envie d’aller voir au-delà de ce que l’on voit déjà. Les salles non closes ont été formées selon les qualités graphiques des œuvres, colorimétrie, matériaux, contraste entre les oeuvres, similitude de sujet, pour créer des ambiances spécifiques. Sans doute une manière représentative des différentes identités des étudiants. L’une des salles du côté surnommée la “salle fantôme” par les étudiants, en référence à l’œuvre de Saâdane Afif qui y est exposée, jouit d’une énergie et d’un rapport particulier à l’invisible/visible, au réel/irréel, questionnements que les étudiants peuvent se poser lors de leur développement artistique. L’agencement de l’exposition est finalement à l’image de l’apprentissage artistique que vivent les étudiants : chacun y va de son chemin personnel, aidé par certains guides majeurs qui nous attirent. Puis la curiosité bifurque vers des chemins parallèles pour créer un catalogue plus ou moins cohérent d’inspirations aussi connectées que variées. Il n’y a pas de salles réellement closes, elles sont toutes ouvertes vers d’autres œuvres, d’autres inspirations, même si cela ne crée pas de lien précis. 8 L’École supérieure d’art et design de Saint-Étienne L’ESADSE a pour particularité d’être réunie avec la Cité du design au sein d’un même établissement. Cette association est un véritable atout pour l’École qui bénéficie des activités et des réseaux de la Cité du design : expositions, conférences et programmes de recherche. L’ESADSE est aussi la seule école d’art et de design en France à être pleinement impliquée dans un événement d’envergure internationale tel que la Biennale Internationale Design Saint-Étienne. Cette dernière est un outil original de formation, d’échanges et de visibilité pour l’École. Très tôt engagée dans le « design global » en promouvant activement la diversité des approches et le travail de transversalité, l’ESADSE forme des artistes, des designers, des auteurs, des créateurs au travers d’une pratique constante de recherche, d’expérimentation et d’acquisition spécifique. Au-delà de réelles spécificités liées à ces filières d’enseignement, il existe véritablement un territoire commun, fondé sur l’approche du sensible, sur la mise en place d’une démarche créative dans le cadre du développement d’un projet personnel et sur la capacité des étudiants à se placer dans un schéma de réactivité constante vis-à-vis du monde. Placée sous la tutelle du Ministère de la Culture et de la Communication, l’ESADSE, dirigée par Yann Fabès, prépare les étudiants à deux diplômes d’état : le DNAP (Diplôme National d’Art Plastique) au terme de trois années d’études et le DNSEP (Diplôme National supérieur d’Expression Plastique) en cinq années. L’offre de formation est structurée autour de deux axes : art et design, qui tissent des relations étroites pour répondre aux grandes mutations socio-économiques. L’ESADSE mise sur la complémentarité des deux disciplines. Outre ces deux cursus, l’ESADSE propose un Post-diplôme Design & Recherche. Mais aussi 3 masters en partenariat : un Master 2 Espace public, un master Prospectives design. L’ESADSE propose aussi une formation continue nommée La coursive, qui est une classe de mise à niveau destinée aux candidats non francophones désirant se présenter aux concours d’écoles d’art et design françaises. La rentrée 2014 à l’ESADSE en quelques chiffres : - DNAP juin 2014 : 20 diplômés DNAP art et 36 diplômés DNAP design - DNSEP juin 2014 : 10 diplômés DNSEP art et 16 diplômés DNSEP design - 578 étudiants présents au concours de 1ère année et 55 étudiants reçus en 1ère année - 324 étudiants inscrits à l’ESADSE en 2014/2015 Ils ont fait l’École supérieure d’art et design de Saint-Étienne : Sam Baron, Rémi Bouhaniche, Philippine Lemaire, Amaury Poudray, François Mangeol, Numéro 111, Julien De Sousa, BL119, JeanSébastien Poncet, Simon Collet, Antoine Château, Benjamin Rousse, Nicolas Momein, Fabien Barrero Carsenat, Fabien Combe, Marlène Janin et Julia Cottin. 9 Le Fonds Régional d’Art Contemporain Provence-Alpes-Côte d’Azur Créés il y a 30 ans, les FRAC ont pour objectif de constituer des collections publiques d’art contemporain et de soutenir la création artistique au niveau régional. Le FRAC Provence-Alpes-Côte d’Azur, seul FRAC nouvelle génération à être situé en hyper centre urbain avec un nouveau bâtiment de 5 400 m2 (dont 1 000 m2 dédiés aux expositions), signé Kengo Kuma, accueille sur un même site l’ensemble des activités correspondant à ses missions : acquisitions, diffusion et médiation. Le Fonds régional d’art contemporain organise dans ses murs des expositions temporaires alliées à des programmes événementiels autour de la création contemporaine. Hors les murs, il développe une politique de diffusion de sa collection et de sensibilisation sur l’ensemble du territoire régional. Constituée de 1016 œuvres de 440 artistes internationaux, la collection du FRAC Provence-Alpes-Côte d’Azur reflète la diversité des expressions contemporaines et sa démarche prospective en matière d’acquisitions. Peintures, dessins, sculptures, installations, photographies, vidéos forment ainsi des ensembles forts et représentatifs des grandes tendances artistiques des cinquante dernières années. Depuis 2006, il oriente une partie de ses acquisitions et projets en direction de la création artistique du bassin méditerranéen. Le FRAC est également un laboratoire d’expérimentation dont la collection et les activités forment un patrimoine vivant destiné à favoriser et à faciliter l’accès du plus grand nombre à l’art contemporain, en organisant dans ses murs et sur l’ensemble de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur des expositions monographiques, collectives et thématiques en partenariat avec des structures culturelles, associatives, sociales et éducatives, ou par le biais de dépôts de longue durée dans des musées ou des lieux publics ou encore en prêtant des œuvres pour des expositions nationales et internationales. Le Fonds régional d’art contemporain est financé par la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur et le ministère de la Culture et de la communication/Direction régionale des affaires culturelles ProvenceAlpes-Côte d’Azur. Il est membre de Platform, regroupement des Fonds régionaux d’art contemporain et membre fondateur du réseau Marseille Expos. 10 Informations pratiques Cité du design 3, rue Javelin Pagnon 42000 Saint-Étienne T. +33 (0) 4 77 47 88 00 www.citedudesign.com Accès De la gare SNCF de Saint-Étienne - Châteaucreux : Prendre le tramway n° T2 direction « Hôpital Nord » Arrêt « Cité du design » Par autoroute A72 : En provenance de Clermont-Ferrand ou de Paris : Sortie 12 (Stade Geoffroy GUICHARD) En provenance de Lyon : Sortie 14 (Zénith Saint-Étienne Métropole) Ouverture Cité du design Du mardi au dimanche de 11h00 à 18h00 Tarifs Individuels Visite libre Plein tarif : 5 € - Tarif réduit : 4 € Visite guidée Plein tarif : 6,20 € - Tarif réduit : 4,60 € Visite guidée en famille Tarif : 4 € par enfant Gratuit pour les adultes accompagnateurs Information/réservation : www.citedudesign.com T. +33 (0)4 77 49 74 70 Restaurant La Platine 1 rue Javelin Pagnon 42000 Saint-Étienne Du lundi au vendredi, de 9h00 à 16h00 Réservation recommandée T. +33 (0)9 83 29 41 79 [email protected] www.la-platine.com 11 Contacts presse Contact presse locale et régionale Eugénie Bardet [email protected] T. +33 (0)4 77 39 82 75 M. +33 (0)6 29 39 69 08 Contacts presse nationale Agence 14 Septembre Grand Sud Isabelle Crémoux-Mirgalet [email protected] M. +33 (0)6 11 64 73 68 T. +33 (0)4 78 69 30 95 12