Le déterminisme du néant Résumé
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Le déterminisme du néant Résumé
Le déterminisme du néant Dominique Mareau Ingénieur-Chercheur France Ggsjournal.net/Science-Journals-Papers/Subjects/Unification Theories march 2013 [email protected] Résumé Nombreuses sont les déclarations de physiciens qui s'interrogent sur la naissance du temps. Ils font comme s'ils connaissaient la réponse pour l'espace et la masse inerte. La masse, l'espace et le temps forment un continuum inséparable. Les prémisses fondamentales du modèle OSCAR ne sont surtout pas des prémices. Toute considération visant des paramètres éternels, conduit à la théologie. Le principe de démarcation doitêtre appliqué sinon toute discussion scientifique n'aurait alors aucun sens. L'inséparabilité du continuum {masse-espace-temps} est propre à l'oscillateur, y compris, pour le plus rudimentaire. Mot clés L'oscillateur dual stochastique; le flou du point zéro ; la dualité du zéro ; déterminisme du néant ; constante de célérité ; dualité ; causalité réciproque ; universalité de l'électron ; tachyon et boson. 1 1. Les prémisses fondatrices Ggsjournal.net/Science-Journals-Papers/Subjects/Unification Theories march 2013 Les seules prémisses valables pour l'univers s'appuient sur 5 principes : ➢ ➢ ➢ ➢ ➢ 2. le principe de dualité, le principe de démarcation le principe d'action nulle, le principe d'incommensurabilité, le principe du rasoir d'Occam. Le principe de dualité est robuste Mis en évidence par De Broglie, ce principe s'applique d'abord à la dualité onde/corpuscule. Il existe d'autres type de dualité [1] dans tous les domaines. Cependant l'ensemble {tous les domaines} est l'univers lui-même. Quel est le type de dualité de l'univers ? La réponse est contrainte par le principe de démarcation qui exclut des constantes physiques éternelles. Ainsi la dualité de l'univers est de type : univers quantique (avec constantes) univers pré-quantique (sans constante) Il faut donc admettre un état d'univers de type stochastique duel. Nous allons montrer qu'au niveau le plus fondamental, la non dualité (l'unicité) est toujours le résultat d'une confrontation duelle. 3. Le principe d'action nulle La dualité de l' état pré-quantique de l'univers ne peut-être statique car il serait alors caractérisé par au moins une constante. Il est donc duel et fluctuant et son action est nulle. La seule solution pour répondre à tous ces critères, est l'oscillation duelle stochastique. Le résultat de cette dualité est contraint d'induire un zéro parfait. L'oscillateur répond parfaitement à l'inséparabilité du continuum {masse-espace-temps} puisqu'il ne saurait exister sans ces trois paramètres fondamentaux. Mais s'agit-il d'un seul oscillateur ou de N oscillateurs ? La réponse précise est justifiée par la suite mais le principe d'incommensurabilité, rejette l'unicité. Ce principe admet un nombre incommensurable d'oscillateurs. Ainsi ces contraintes logiques nous amènent à reconsidérer la question posée en introduction, à propos de l'ontologie du temps. Celle-ci est indissociable de celle de l'ensemble {espace-masse-temps}. 2 4. Le principe du rasoir d'Occam pour l'oscillateur du « rien » Ggsjournal.net/Science-Journals-Papers/Subjects/Unification Theories march 2013 On doit décrire et expliquer le plus simple oscillateur duel stochastique. Pour cela il faut introduite une terminologie adaptée : a) b) c) d) e) f) g) h) i) j) les deux entités contraires qui s'affrontent sont des tachyons (+/‒) ; l'ensemble oscillateur est un boson neutre de paramétrage nul ; dans le référentiel tachyon il existe un continuum {masse-espace-temps} ; dans le référentiel boson, le continuum vaut zéro ; l'amplitude spatiale dans le référentiel tachyon est en 1D ; il existe un lien causal qui permet la sommation algébrique de résultat nul ; la masse, dans le référentiel tachyon, évolue alternativement comme l'amplitude ; la célérité tend vers l'infini à l'approche du point zéro ; le point zéro est une zone floue qui implique une fonction qui évite l'infini ; si le temps varie au cube de l'amplitude, l'infini est évité. Faut-il expliqué pourquoi le principe d'action nulle ne peut que rejeter l'infini ? En revanche on peut dire comment il le fait avec cette fonction simple : Le débit massique, comme la célérité, varie en 1/r². Quand la célérité tend vers l'infini au point zéro, elle est donc contrée par le débit massique. Quand l'amplitude tend vers le maximum, le débit massique tend vers zéro. L'approche du point zéro génère une infinité de paramètres initiaux totalement aléatoires. C'est la garantie d'absence de constante pré-établie. Le principe d'action nulle équivaut à un déterminisme du « rien ». (voir ci-après la fonction de Dirac). L'intensité du lien causal réciproque est proportionnel à la masse et à l'amplitude. Cela reste vrai dans l'état quantique de l'univers puisque le système c.g.s est cohérent en fixant la charge électrique selon : 2 e = k me r 0 (1) avec k = 1 tenant compte de la perméabilité du milieu et la masse et le rayon classique de l'électron. Il faut noter que la paire électron-positron est issue du tachyon. 3 5. La fonction de Dirac et la dualité du zéro La fonction de Dirac est liée à la théorie des distributions de Schwartz. Il utilise les notions d'algèbre linéaire et de topologie, centrées sur l'idée de dualité. La distribution de Dirac est une pseudo fonction qui serait nulle sut tout son domaine de définition, sauf en zéro et dont l 'intégrale vaudrait 1. Elle est strictement la limite, au sens des distributions, d'une suite de fonctions d'intégrale 1 et convergeant uniformément vers zéro sur tout compact ne contenant pas zéro. La fonction de Dirac part de la transformée de Fourier : +∞ X (ω) = ∫ x (t )e (−i ω t )dt (2) −∞ qui admet des zéros régulièrement espacés de 1/t. Plus t est grand, plus la transformée tend vers un pic étroit : Ggsjournal.net/Science-Journals-Papers/Subjects/Unification Theories march 2013 lim X (ω)= t (3) ω→0 Si t, la période tend vars l'infini, le calcul de limite de l'intégrale est sous la forme : lim X (ω)= lim t →0 ω→0 sin (ω t /2) ω/ 2 (4) Cette limite est non nulle que si ω→0 . Cette fonction de Dirac, appliquée dans le contexte de l'oscillateur stochastique, revient à dire que le zéro statique ne saurait exister. Cette fonction est nulle presque partout mais son intégrale n'est pas nulle : +∞ ∫ δ(t )dt=1 (5) −∞ La fonction de Dirac agit sur les fonctions en extrayant une valeur aléatoire qui interdit le zéro statique. Elle est une conséquence du principe d'action nulle dans le contexte de l'oscillateur duel qui ne saurait produire des valeurs physiques infinies. Il est impératif de bien distinguer les deux types de zéro : ➢ la somme algébrique strictement nulle en tout point de l'amplitude spatiale, ➢ le caractère flou et probabiliste à l'approche du point zéro. Attention le second est également strictement duale et symétrique. La somme de la fluctuation est toujours nulle. C'est une imposture de dire que le principe d'incertitude de Heisenberg puisse être valide dans le monde pré-quantique. C'est une manière magique et fausse de générer une énergie par défaut. La notion de dualité est robuste car elle s'exprime également dans ce contexte. Le déterminisme du néant, guidé par le principe d'action nulle, n'a pas d'autre choix que de relancer un cycle d'oscillation totalement aléatoire. L'approche du zéro, plutôt que de générer des valeurs physiques infinies, nourrit un potentiel infini de probabilités de paramètres initiaux. Le flou du point zéro génère une instabilité chronique. En tout autre point de l'amplitude, la masse inerte donne la stabilité de l'évolution. Mais vers le point zéro, l'absence d'inertie ouvre le champ aux probabilités dans un potentiel infini de fréquences. La masse inerte naissante choisira aléatoirement l'une d'entre elles, comme valeur initial. L'aspect lexical est important car si le « point zéro » est flou , il ne peut être un point. Par nature il est incommensurable et variable. 4 6. Les liens avec l'univers quantique mesurable Le point de vue d'un néant statique est à rejeter pour deux raisons fortes : ➢ par définition, il ne peut évoluer en un univers dynamique et quantique ➢ il faudrait admettre une divinité qui choisit des constantes éternelles L'expression du néant est donc sous la forme d'oscillateurs duaux 1D et stochastiques. Cependant l'approche scientifique se doit non seulement de raisonner sur les possibles mais également de chercher des preuves. Il faut dire avec précision comment on passe d'un état stochastique (pré-quantique) à un état quantique. Il suffit d'appliquer des lois bien connues qui concernent les bosons-oscillateurs [2, 3, 4, 5, 6, 7, 8] et celles qui concernent les condensats de Bose Einstein (BEC). Ggsjournal.net/Science-Journals-Papers/Subjects/Unification Theories march 2013 Le résumé du processus est le suivant : un grand échantillon de bosons oscillants confond ses points zéro (probabilité non nulle) il se produit donc une synchronisation qui fait que le spectre des fréquences devient unique la synchronisation revient à un refroidissement (crédit d'enthalpie pour l'état quantique à venir) donc les constantes apparaissent en même temps qu'un premier BEC. les valeurs aléatoires font que ce BEC est statistiquement instable. le BEC-0 se divise (mitose) en N BEC-fils stables simultanément, survient une séparation causale généralisée des tachyons ces derniers deviennent les paires électron-positrons primordiaux On montre que la fonction de l'oscillateur stochastique est la clé pour que les tachyons en réseau puissent former un espace subquantique {x, y, z, t}. 7. Conclusion La question ne se limite pas au fait de savoir d'où vient le temps mais elle s'étend à l'ontologie : ➢ ➢ ➢ ➢ ➢ ➢ ➢ ➢ ➢ ➢ ➢ du continuum espace-masse-temps. de l'apparition des constantes (à partir de rien) du crédit d'entropie fournit à l'état quantique de l'apparition de l'espace temps (x, y, z, t) de l'apparition de la gravitation (le champ fossile du lien causale de la dualité oscillante) de l'apparition de la matière noire (DM) de l'apparition des structures de l'univers de la cause de l'expansion de la cause de l'accélération de l'expansion de la cause de la formation des neutrons et protons de la répartition matière antimatière On montre que toutes les réponses fondamentales découlent directement des oscillateurs stochastiques. Ainsi la règle de la preuve devient très contraignante car elle exige que toutes les réponses soient déduites des prémisses et que toutes les observations (à toutes les échelles) soient cohérentes avec cela. Le néant est déterministe car il ne peut que s'entretenir comme tel. Il admet le principe duel d'action nulle en rejetant le statut statique. Il n'y a pas d'unicité en dehors du principe de dualité avec lien causal réciproque. Le boson est 5 toujours la somme de deux fermions. Il manque une formulation lexicale pour nommer l'ensemble de l'univers composé de ses deux états {pré-quantique + quantique}. Nous dirons que le boson-univers est globalement d'énergie nulle. Ggsjournal.net/Science-Journals-Papers/Subjects/Unification Theories march 2013 8. Références 1/ http://sergecar.perso.neuf.fr/cours/logique4.htm 2/ gsjournal.net/old/physics/mj; "l'électron un fermion très différent des autres" ; D Mareau; 4481 ; 2013 january 17. 3/ gsjournal.net/old/physics/mj; "La dualité de l'univers-oscillateur" ; D Mareau; 4533 ; 2013 february 14. 4/ gsjournal.net/old/physics/mj; "La longueur de Planck, intervalle élémentaire qui mène au proton" ; 4594 ; D Mareau; 2013, march 01. 5/ gsjournal.net/old/physics/mj; "La vraie-fausse problématique du temps" ; 4622 ; D Mareau; 2013 march, 05. 6/ gsjournal.net/old/physics/mj; "Le paradoxe de la longueur de Planck" ; 4645 ; D Mareau; 2013 march, 07. 7/ gsjournal.net/old/physics/mj; "La masse de Planck offre deux solutions" ; 4688 ; D Mareau; 2013 march, 11. 8/ gsjournal.net/old/physics/mj; "Proved continuity scales of the universe" ; 4694 ; D Mareau; 2013 march, 12. 9/ D. Mareau (2012) "L'univers miroir, né du rien pré-quantique"; ISBN 978-1-4717-0906-7 10/ site web « modèle OSCAR » ; http://www.cosmologie-oscar.com/ 6