Bill Gates et Microsoft ou la fin des MH370, Germanwings et autres

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Bill Gates et Microsoft ou la fin des MH370, Germanwings et autres
11/07/2016
Bill Gates et Microsoft ou la fin des MH370, Germanwings et autres false flags
Bill Gates et Microsoft ou la fin des MH370,
Germanwings et autres false flags
11 juil. 2016 | Par nicole­guihaume
­ Mediapart.fr
Ces attaques sous fausse bannière, provoquées de l'extérieur, utilisent les failles de sécurité des logiciels
Microsoft, délibérément imposées par Steve Ballmer dans un but d'espionnage et de contrôle à grande
échelle. A peine avait­il annoncé sa démission, contraint par la reprise d'une note de blog qui l'exposait, tout
fut fait pour garder le contrôle.
Août 2013, le 21, cette note provoque sa démission, deux jours après mise en ligne, et commence une
stratégie médiatique transparente pour lui permettre, à terme de reprendre sa place : la presse encense
Mulally, le candidat CEO malheureux de Boeing en 2005, qui s'était vu préféré Jim McNerney. Tout sera fait
pour l'imposer, lui que son âge indique comme pressenti pour un court terme. Le 8 janvier, cependant, après
quatre mois de forcing aussi laborieux que vain, il jette l'éponge. Commence alors un deal qui mènera le 4
février, à la nomination de Nadella, en échange de la condamnation de Bill Gates pour des morts provoquées
par la fondation, et PATH. Autre terme du deal, Narendra Modi se verra apporter tout le soutien nécessaire
pour être élu premier ministre de l'Inde, en dépit de son implication connue dans les massacres de Gujarat.
Un mois après la nomination de Nadella, le vol malaisien MH370 "disparaissait", et comme l'a toujours dit
Tim Cook, CEO d'Emirates, un avion de cette envergure ne disparaît pas comme ça. J'envoyais alors des
mails de masse aux élus européens notamment, pour signaler l'avion à Diego Garcia. Je le leur écris toujours
depuis, sans rencontrer la moindre opposition. Ces faits sont connus, étaient exposés dans ces deux précédent
blogs Mediapart [1] [2], dont les notes, vite et mal écrites, sous pression, sont passées en google actu de Bill
Gates, à peine écrites.
L'enjeu de l'audition évoquée dans ma précédente note est de mettre un terme à ces dérives qui consistent en
démonstration de force par attaques sous fausse bannière codées de sorte d'être comprises par tous les élus,
tout en les muselant, qu'ils ne puissent rien opposer, et sachent de la façon la plus précise possible que le
crime dirige ce monde. Sous peu, on devrait pouvoir écrire "dirigeait".
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