kingkongtheorie-dossierdiffusion2017

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Denis Janssens
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King Kong Théorie
D’après le best-seller de Virginie Despentes
Sous le regard dramaturgique de Julie Nayer assistée par Lisa Cogniaux
Avec Marie-Noëlle Hébrant, Maud Lefebvre, Delphine Ysaye
Scénographie Pol Art
Création sonore et vidéo Ludovic Romain
Création lumières Félicien Van Kriekinge
Production Théâtre de la Toison d’Or / Mazal asbl, Théâtre Jardin Passion et Revolver asbl,
avec le soutien du Panach’Club
Disponible en tournée:
Saison 2016-2017 : du 06 au 25/03/17
Saison 2017-2018 : période à définir
NOTE D’INTENTION DE L’AUTEUR
« J’écris de chez les moches, pour les moches, les vieilles, les camionneuses, les frigides, les mal
baisées, les imbaisables, les hystériques, les tarées, toutes les exclues du grand marché à la
bonne meuf. Et je commence par là pour que les choses soient claires : je ne m’excuse de rien, je
ne viens pas me plaindre. (...) J’écris donc d’ici, de chez les invendues, (...) aussi bien et dans la
foulée que pour les hommes qui n’ont pas envie d’être protecteurs, ceux qui voudraient l’être
mais ne savent pas s’y prendre, ceux qui ne savent pas se battre, ceux qui chialent volontiers,
ceux qui ne sont pas ambitieux, ni compétitifs, ni bien membrés, ni agressifs (...) Parce que l’idéal
de la femme blanche séduisante mais pas pute, travaillant mais sans trop réussir, (...) restant
indéfiniment jeune sans se faire défigurer par les chirurgiens esthétiques, maman épanouie mais
pas accaparée par les couches et les devoirs d’école, (...) cultivée mais moins qu’un homme, cette
femme blanche heureuse qu’on nous brandit tout le temps sous le nez, (...) je crois bien qu’elle
n’existe pas. » Virginie Despentes
L’AUTEUR
Virginie Despentes
est romancière et réalisatrice. Elle est
également ponctuellement parolière, traductrice, chroniqueuse. Elle est
l’un des symboles de la littérature « trash » française.
Née en 1969, elle vit sa jeunesse dans un univers culturel punk-rock
d’abord à Nancy puis à Lyon (son nom de plume lui vient d’ailleurs des
pentes de la Croix-Rousse). Candidate libre au bac, elle a fait tous les
métiers : femme de ménage à Longwy, prostituée par minitel, hôtesse dans un salon de massage
à Lyon, pigiste pour des journaux rock et porno, vendeuse au rayon librairie du Virgin Megastore
à Paris.
Sa chance tourne avec la publication de ses deux romans : Baise-moi (1993, Florent Massot)
vendu à plus de 40 000 exemplaires puis adapté au cinéma par elle-même et Coralie Trinh Thi en
2000 (film très controversé et retiré des salles quelques jours après sa sortie), et Les Chiennes
savantes (1995). Elle est traduite en plus de dix langues. Son roman Les jolies choses (1998)
adapté au cinéma par Gilles Paquet-Brenner, reçoit le Prix de Flore. Bye Bye Blondie parait en
2004, elle l’adapte et le réalise pour le cinéma avec Béatrice Dalle et Emmanuelle Béart en 2012.
C’est en 2006 qu’elle publie l’essai autobiographique : King Kong Théorie. Il sera suivi notamment
en 2010 par le roman Apocalypse bébé (Grasset), qui reçoit le Prix Renaudot, et en 2015 par les
tomes 1 et 2 de la fresque sociale et rock’n roll Vernon Subutex, prix Landerneau.
Le 5 juin 2015, elle devient membre du jury du prix Femina, décidément consacrée comme
« auteure », ce dont elle semble la première étonnée.
LE TEXTE
King Kong Théorie est un essai autobiographique de Virginie Despentes (entre autres auteur et
réalisatrice de Baise-moi, Bye Bye Blondie, Vernon Subutex...) Elle dresse un portrait de la
manière dont le féminin se construit par rapport au masculin, et de leur relation au pouvoir :
quelle est la place assignée à chacun dans la société ? La condition de la femme (et de l’être
humain) a-t-elle évolué depuis la révolution sexuelle des années 70 ? Si la réponse est oui, il reste
néanmoins du chemin à parcourir et c’est de cela dont il est question. Un manifeste pour un
nouveau féminisme où il ne s’agit pas de comparer les petits avantages des uns aux petits acquis
des autres mais bien de « tout foutre en l’air ».
« LE FÉMINISME EST UNE AVENTURE COLLECTIVE,
POUR LES FEMMES, POUR LES HOMMES, ET POUR
LES AUTRES. UNE RÉVOLUTION, BIEN EN MARCHE.
UNE VISION DU MONDE, UN CHOIX. »
King Kong est une référence à la créature imaginée
par Peter Jackson en 2005 et fonctionne ici comme la
métaphore d’une puissance fondamentale que
chaque individu a en lui. Mais le monde moderne
refuse catégoriquement, particulièrement chez les
femmes, ce « quelque chose » au-delà de la femelle et
du mâle, « ce qui en elle est hirsute, puissant, ce qui en
elle rit en se frappant la poitrine (...) cette force qu’on
n’a voulu ni apprivoiser, ni respecter, ni laisser là où
elle était, est trop grande pour la ville qu’elle
écrabouille rien qu’en marchant. Avec une grande
tranquillité ».
King Kong Théorie est un texte puissant, intelligent,
certes cru mais drôle aussi par l’ironie qui flirte avec un
humour rock’n roll, voire punk. L’auteur mélange ici
réflexion et vécu : elle interroge l’évolution des droits
de la femme, de sa sexualité, de son rapport au corps
à travers sa propre expérience de vie et des sujets
aussi tabous que le viol dont on se relève, la
prostitution choisie et la pornographie assumée.
Paru il y a près de dix ans, King Kong Théorie dresse un constat « uppercut » sur la société et les
rapports hommes/femmes.
NOTE D’INTENTION DES COMÉDIENNES
Aujourd’hui, nous n’avons plus le choix. Plus exactement, nous n’avons d’autre choix que de
porter sur scène ce texte. King Kong Théorie est une évidence. Il est notre évidence. C’est pour
cela que nous voudrions transmettre les mots de Virginie Despentes en les incarnant, à trois voix,
trois corps, trois femmes, afin d’exposer le débat politique qui se joue à travers les rapports
humains et la place accordée aux femmes aujourd’hui. Comme il est dit dans cet essai, l’enjeu
est de taille : lorsqu’il s’agit de comprendre les mécaniques d’infériorisation des femmes, il s’agit
surtout de comprendre les mécaniques de contrôle de toute la population. Nous ne savons pas
où nous mènera/mènerait cet inconnu qu’est « la révolution des genres » mais si nous restons
passifs et immobiles par contre, nous savons très bien où l’on va, nous régressons vers une
société de moins en moins libre et de plus en plus soumise, fliquée. Une révolution « féministe »
est forcément une révolution sociale qui bénéficie à tous.
Dix années se sont passées depuis sa
première édition, et pourtant c’est
seulement aujourd’hui qu’il s’offre à
nous. Au hasard d’une lecture. Est-ce
véritablement un hasard ? Cet essai
arrive à un moment essentiel dans
nos vies, tout simplement le bon. En
effet, nous sommes trois femmes de
l’âge de Virginie Despentes lors de
l’écriture de ce texte. Malgré nos
différences, ce texte a fait écho en
nous de manière brutale.
King Kong Théorie est un essai essentiel parce qu’il y a un avant et un après sa lecture. Un
changement, une prise de conscience. Paru en 2006, les mots résonnent toujours 10 ans plus
tard, avec force, rage et intelligence dans le cœur, le corps et l’esprit de celui qui s’y plonge. Les
idées percutent.
Un changement s’est opéré. C’est le début d’une route que nous voulons prendre, que nous
devons prendre. Depuis cette lecture, nous parlons, nous réfléchissons, nous débattons. Mais
surtout nous partageons. Nous avons offert le livre à d’autres personnes pour pouvoir en
débattre de manière à nous améliorer, à réfléchir sur le monde qui nous entoure. De ces
échanges riches est née l’idée de spectacle, afin que d’autres partagent, débattent, soient
transformés... et afin de partager les questionnements que Virginie Despentes a distillés en
nous.
En effet nous voulons que ce texte soit entendu pour qu’il puisse faire réfléchir à la condition de
la femme mais surtout de l’être humain en général. Si une révolution a bien eu lieu dans les
années ‘70, qu’en est-il aujourd’hui ? Qu’est-ce que la féminité ? Qu’est-ce qu’être femme ou
homme dans ce monde signifie ? Nous ne voulons plus être esclave de ce modèle de femme
blanche et séduisante que l’on nous brandit tout le temps sous le nez. Féminin/masculin, quelles
prisons se cachent sous ces termes ? Quelles obligations déguisées ? Quels rôles à tenir pour que
l’Etat puisse œuvrer comme il l’entend ?
L’approche genrée est devenue très à la mode aujourd’hui : l’espace public, l’éducation, les
loisirs, la santé et même l’agriculture sont abordés en prenant en compte les différences et la
hiérarchisation entre la manière dont le féminin et le masculin sont perçus.
Nous nous connaissons depuis de nombreuses
années, nous avons déjà travaillé ensemble sur
différents projets mais c’est la première fois que
la création scénique d’un texte nous paraît aussi
vitale.
Dès les premières pages du livre, on a su que
c’était de cette révolution de penser la société
qu’on voulait parler aujourd’hui avec un
maximum de personnes : hommes, femmes,
jeunes, seniors, privilégiés ou laissés-pourcompte... Nous pensons que ce propos est
d’extrême utilité publique dans le monde
d’aujourd’hui ! La vision sur les rapports sociaux
expliquée par Virginie Despentes nous a
touchées, et cette simplicité de dire les choses
nous a bouleversées : pourquoi nous n’avions
jamais pensé à ce la avant? Pourquoi nous
n’entendions jamais si bien ce genre de
discours?
Nous sommes trois femmes « plus King Kong que Kate Moss » et l’on sent vivre le gorille sous
notre peau épilée, lissée, maquillée.
Maud Lefebvre, Marie-Noëlle Hébrant, Delphine Ysaye.
LE SPECTACLE
Puisque notre volonté est d’être entendues, il n’y aura pas de personnage, pas de costumes
multiples, juste trois personnalités, trois femmes s’adressant directement au public, dans le but
affirmé de lancer le débat à l’issue de la représentation.
La problématique envahira d’ailleurs le spectateur dès son arrivée avec une mini-exposition
(mobile) de photos : images issues des magazines, de l’actualité, de la publicité, de l’art. Il y aura
aussi des bibliothèques remplies de nos livres de références, des citations à coller sur les murs et
une bande-son faite de chansons qui nous ont inspirées et rejoignent ou nuancent notre propos.
Sur scène nous voulons un univers sonore brut et présent. La musique, omniprésente dans la vie
de Virginie Despentes, se retrouvera ici, avec la même importance, pour toucher le public à un
autre niveau que celui du raisonnement. Du rock, du punk, mais aussi de l’électro et des sons
joueront ainsi avec l’émotion. La scénographie se veut légère. C’est une volonté car tout d’abord
les mots et les idées doivent être au centre du propos. Nous misons sur la sobriété pour faire
tourner le spectacle dans un maximum d’endroits où la culture doit avoir sa place, même si elle
en est parfois absente ; les théâtres bien sûr mais aussi les maisons d’accueil, les prisons, les
locaux d’associations diverses pour les droits de la femme... Partout où cette parole sera jugée
nécessaire !
Nous souhaitons que l’essai de Virginie Despentes dépasse ici sa dimension littéraire pour
prendre vie théâtralement dans ces trois corps de femmes. Nous voulons appuyer sur
l’importance des corps et la manière dont la société les produit, normés et genrés. Pour ce faire,
nous projetterons des images grâce à la technique du mapping vidéo directement sur les
comédiennes. Des images qui illustrent le propos mais surtout qui le décalent, lui donnent une
dimension artistique, provoquant à nouveau de l’émotion brute.
Nous avons l’ambition que ce spectacle serve de détonateur pour libérer une parole féminine
parfois difficile à entendre. Qu’il puisse susciter des questionnements auprès des femmes sur ce
qu’est cette «féminité» aujourd’hui si valorisée et controversée à la fois. Qu’il permette
également à des femmes opprimées, violées, emprisonnées d’exprimer leur vécu, leur point de
vue, d’entrer en résonnance avec le propos. Qu’il parvienne à atteindre les hommes également
coincés dans un carcan différent mais tout aussi réducteur.
Car c’est notre souhait : que la claque que nous avons ressentie à la lecture de ce texte puisse se
partager et se raconter directement avec les spectateurs.
DISTRIBUTION
Delphine Ysaye est diplômée de l’IAD
(section théâtre), son parcours
professionnel est partagé entre le théâtre, le cinéma, la radio et la télévision.
C’est en tant que chroniqueuse mais aussi présentatrice dans un grand
nombre d’émissions aussi bien en radio qu’en télévision que l’on connaît sa
voix et son visage. Ce parcours diversifié dans le monde des médias ne l’a
pas tenue éloignée des planches pour autant. On a pu la retrouver au
Théâtre de la Toison d’Or dans entre autres Les Monologues du Vagin d’Eve
Ensler, Le grand Voyage de Marc Moulin, dans son one woman show Clash,
BoomeranG, une pièce co-écrite avec Alexis Goslain, ou encore récemment
dans Boeing Boeing. Elle a également joué aux Galeries dans le cadre de la
tournée des châteaux dans Un petit jeu sans conséquence. Delphine fait
partie de la compagnie du Panach’Club. À la recherche du sens de la vie perdu,
L’illusion chronique, In bed with the Panach, Nothing sont quatre pièces
auxquelles elle a participé sous la houlette d’Eric De Staercke. Au cinéma,
vous avez pu la voir dans Miss Montigny de Miel Van Hogembemt, dans le
long métrage de Pierre Paul Renders Comme tout le monde, ou encore dans
Ça rend heureux de Joachim Lafosse. Elle a officié en tant que maitresse de
cérémonie à la Ligue d’Improvisation Professionnelle belge.
Marie-Noëlle Hébrant est diplômée de l’IAD et une grande adepte
de la création collective que ce soit avec le Panach’Club ou le Théâtre Jardin
Passion avec lequel elle crée notamment So Long... à bientôt ou Le magasin
des suicides. Elle enchaîne des projets très variés, passant du monologue
écrit à son intention (Il ne viendra plus personne de L. Flamant sous l’œil de
Julie Nayer) au théâtre surréaliste de Véronique Dumont (Album ou Les
Chevaliers, c’est une autre histoire) sans oublier les créations collectives dans
lesquelles elle interprète de multiples personnages (L’Oiseau Bleu de
Maeterlinck), les spectacles très libres dans le ton et la forme (Peep Show
de L. Flamant, ensemble de monologues qui s’entrecroisent), le théâtre
jeune public, utilisant la technique de la marionnette (Deux bras, deux
jambes et moi de Laetitia Salsano avec le Théâtre des 4 Mains) et même le
théâtre en plein air (Marie Tudor fut créé pour la Citadelle de Namur). Elle
pratique l’improvisation théâtrale depuis plus de 15 ans avec les
Namusettes du Théâtre Jardin Passion et à la Ligue d’Improvisation belge.
Elle prête également sa voix pour des doublages de films, séries et dessins
animés. Récemment, vous la voyiez dans Destin de F. Gardin, La Dispute de
Marivaux mis en scène par Emmanuel Dekoninck, Dernier Coup de ciseaux
de Paul Portner produit par le Théâtre de la Toison d’Or.
Maud Lefebvre
est diplômée de l’IAD. Depuis 2002, elle a rejoint
l’équipe du théâtre des 4 Mains avec lesquels elle a créé plusieurs pièces à
destination du jeune public (Bin’Bin’ joué plus de 600 fois, Les Gogmagog,
Deux bras deux jambes et moi...). En 2003 elle cofonde le Panach’Club avec
12 autres doux-dingues ayant pour ambition d’écrire leurs propres
spectacles à 26 mains, 13 cerveaux et demi et parfois l’un ou l’autre pied.
Elle travaille ponctuellement avec l’équipe du Théâtre Jardin Passion,
notamment pour la création steampunk de Marie Tudor de Victor Hugo, mis
en scène par Marc Weiss. Elle pratique également l’improvisation théâtrale
à travers différents spectacles explorant le rapport proche et direct au
public (La foire aux impros avec le Théâtre Jardin Passion) ou encore la
possibilité de créer toute une pièce continue (Zoom par exemple, une seule
impro d’1h30 avec 5 comédiennes). Elle est membre de la ligue
d’improvisation belge et a participé à divers marathons et festivals en
Belgique et à l’étranger (Suisse, France, Québec). Elle donne également des
ateliers théâtre à des jeunes (ateliers enfants au théâtre des 4 Mains), des
moins jeunes (coach d’équipes d’impro amateurs de la FBIA) et des très
jeunes (atelier d’éveil à l’imaginaire et aux histoires pour les crèches).
Julie Nayer fait l’IAD après un premier prix de déclamation au Conservatoire de Bruxelles.
En marge de l’école, elle suit des stages et des cours de danse contemporaine et indienne, de
technique Alexander, de piano et de chant. Elle enchaîne créations et tournées comme
comédienne dans des spectacles adultes (Peep Show, mise en scène de Cédric Eekhout et
premier texte théâtral de Ludovic Flamant, Le Catéchisme de l’acteur spectacle brut, carte
blanche à Alain Cofino Gomez au Théâtre de la Balsamine) et aussi de théâtre jeune public avec
le Théâtre Isocèle, le Théâtre de Galafronie et la Compagnie de L’Anneau. En 2010, elle cofonde
la Compagnie théâtrale SIBA, avec Mohamed Bari. Elle collabore sur tous les projets de celle-ci
(Gros Poucet, Le prince d’Arabie, Je voulais devenir kamikaze... Moi danseuse du ventre) tant à la
production, diffusion, collaboration artistique que comme comédienne. En parallèle à son
parcours de comédienne, elle peaufine ses expériences
théâtrales comme regard extérieur ou simple présence
muette sur différents projets et assistanats à la mise en
scène. En 2006, elle met en chantier le texte de Ludovic
Flamant Il ne viendra plus personne au Théâtre de L’L pour
l’ouverture du Festival Enfin Seul, avec Marie-Noëlle Hébrant.
Lisa Cogniaux a fait des études de piano classique avant
de bifurquer vers le théâtre, en s’inscrivant au master en arts
du spectacle vivant à l’ULB. Diplômée en 2015, son mémoire
portait sur la post-pornographie et le féminisme queer.
Passionnée par les féminismes et leurs liens avec les théories
de la performance et de la représentation, elle rejoint le
projet King Kong Théorie parce que porter les paroles de
Virginie Despentes à la scène lui semble essentiel.
Félicien Van Kriekinge
Après être passé dans différents grands théâtres de la
Fédération Wallonie Bruxelles, Félicien devient directeur technique au Théâtre des Galeries en
2003. Cette saison, il crée la lumière dans Destin de F. Gadin, Misère de Laurent Beumier, Exit de
Fausto Paradivino et Potiche de Barillet et Grédy.
Ludovic Romain
compose des musiques pour le théâtre depuis presque 20 ans. Il a
notamment créé l’habillage sonore et la musique de l’adaptation du Rêve d’un homme ridicule
par la compagnie Eudaïmon : tout le décor physique possible était remplacé par un décor sonore.
Il collabore également très régulièrement avec Ariane Buhbinder et la compagnie de théâtre
jeune public L’Anneau. Dernièrement il a participé au projet Les Villes Tentaculaires du théâtre
de l’Ancre (Prix de la critique pour la meilleure création artistique et technique 2014). L’enjeu
était de mélanger sa musique (d’influence électro, industrielle) avec un quatuor à cordes pour
soutenir le texte visionnaire d’Emile Verhaeren. Sound designer, Ludovic Romain est également
musicien, compositeur et arrangeur pour différents projets musicaux.
FICHE TECHNIQUE
Durée
1h
Cachet (Belgique)
< 200 places : 2200 €
> 200 places : 2400 €
> 400 places : 2700 €
Prix dégressif si plusieurs représentations
Intervention Art et Vie 1545-13 (570 €)
Equipe
3 comédiennes + 2 régisseurs + 1 administrateur de tournée
Matériel lumière
Le plan de feux peut être revu avec le régisseur lumière selon les
données techniques du lieu.
Le matériel doit être de qualité professionnelle et de marque
connue.
Prévoir l’ensemble des gélatines.
- 3 x découpe type 614sx
- 3 x découpe type 613sx
- 10 x PC 1kw
- 8 x PAR64 en cp62
- 3 x F1
- 8 x PC 500w (ou 1kw)
- 8 x PC 500w (ou 1kw)
- 4 x PAR56 300w (ou 1kw)
- 3 x Horiziode 1kw
- 42 cir/gr
Matériel son
- Une façade adaptée à la salle avec caisson de grave et 2 HP de
retour au lointain (cour et jardin).
- Une interphonie entre la régie et le plateau.
Matériel vidéo
Projection en rétro et en face par deux vidéoprojecteurs. Ecran
et vidéoprojecteurs fournis.
ACCUEIL ET HORAIRES
Loges et catering
1 loge pour 3 comédiennes en bon état équipée de miroirs,
table, chaise, chauffage, eau, sanitaire
1 fer à repasser et 1 planche
1 frigo avec fruits et boissons (thés, eaux)
Midi : sandwiches et rafraîchissements pour le régisseur
Soir (avant la représentation) : repas chaud léger pour 5
personnes et rafraîchissements (pas d’exclusive nutritionnelle)
Représentation : bouteilles d’eau pour les comédiens
Horaires et personnel
9h : arrivée camionnette 7 m³, prévoir emplacement de parking
jusqu'à la fin du démontage.
9h/13h : montage lumière, vidéoprojecteurs et son.
14h/17h : pointage, test vidéo et son.
> Prévoir dans ce service une personne qui connait l’installation
son pour faire les niveaux avec le régisseur du spectacle.
18h/19h : raccord vidéo et niveaux son avec les comédiennes.
Pendant la représentation : 1 régisseur lumière, 1 régisseur son
(peut-être le même s’il connait l’installation) et 1 régisseur
plateau.
Démontage dans la foulée de la représentation.
En cas de représentations multiples, arrivée des régisseurs du
spectacle à 18h pour faire la mise.
PLAN DE FEUX
CONTACTS
Tournée
Denis Janssens +32 (0)498 32 11 85


[email protected]

www.livediffusion.com
Presse
Joy Jouret +32 (0) 498 63 85 62 [email protected]


Régie – Technique
Félicien Van Kriekinge +32 (0)475 37 56 05


[email protected]
Production
Théâtre de la Toison d’Or (Mazal asbl)
Galeries de la Toison d’Or 396-398 1050 Ixelles (Belgique)


www.ttotheatre.be