Rock Attitude Kupid Kids

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Rock Attitude Kupid Kids
Culture
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Agenda
Urban magazine - Numéro 46 - Janvier 2010 - Gratuit
Le magazine de tout ce qui bouge à Nivelles et dans sa région
Rock Attitude
Kupid Kids
MEUBLES DECOREX
Nivelles Capital est
une publication de Xpresseo sprl
Rue Sainte Gertrude 14 - 1400 Nivelles
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Luc Pieltain
Rédaction
Luc Pieltain
Clarisse Michaux
Marie-Marthe Schuermans
Relecture
Marie-Marthe Schuermans
Photographes
Luc Pieltain
Marie-Marthe Schuermans
Infographie
Aurore Lombeau
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Tirage moyen : 10.000 exemplaires
Remerciements :
A celles et ceux qui ont rendu
possible la parution de ce numéro.
EN JANVIER, OUVERT TOUS LES DIMANCHES DE 14H A 18H
C h a u s s é e d e N a m u r, 9 5 - 1 4 0 0 N i v e l l e s
T é l . : 0 6 7 8 4 3 3 4 1 - Fa x : 0 6 7 8 4 3 3 4 2 - w w w. d e c o r e x . b e
Heures d’ouverture
Du mardi au vendredi de 9h30 à 12h00 et de 13h00 à 18h30
L e s a m e d i d e 9 h 3 0 à 1 8 h 0 0 I Fe r m é l e l u n d i m a t i n
Soldes du 2 janvier au 31 janvier 2010
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Membre du Groupe Kpital
L’an dix après 2000
2009 cède la place à 2010. Nous sommes
donc à l’aube d’une année toute neuve. Celle
de tous les possibles. C’est à la fois une
chance à saisir et un défi à relever.
Qu’allons-nous faire pour mettre la « positive
attitude » à l’ordre de l’année ?
Quels bons plans pourrons-nous mettre en
chantier pour rendre la vie plus agréable et
plus fun ?
A l’heure des résolutions, notre équipe a pris
l’option de vous informer davantage encore.
Et pour plus de proximité, une newsletter une
fois par semaine, vous éclairera sur les petites
et grandes nouvelles de notre ville. Vous souhaitez la recevoir ? Dans ce cas, envoyez-nous
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ce que nous aimons … !
La rédaction
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Rendez-vous pour le prochain numéro en février 2010
CApital
Nivelles Capital.
Le magazine
des Nivellois.
Le fauteuil
Les Kupid Kids / 6
Culture
Rosita & Herman Dewit / 20
Rencontre
Westock Backdraft / 24
Parcours
d’artiste
Nathalie Gilles – Willems / 12
Pour parler de vous, contactez-nous !
CApital
F a u t e u i l
Les invités de la rédaction
Tout semble sourire aux Kupid Kids. Créé par un concours de
circonstance en mars dernier, le groupe de rock connaît un succès qui n’est en rien dû au hasard. Leur travail, leur talent et la
force de leur passion les ont poussés à s’entourer des meilleurs.
Depuis, Daphne, Bernard, Pascal, emmenés par Elliott et Watch,
les deux membres fondateurs nivellois, multiplient les demandes,
affinent leur style pop rock et commencent à faire résonner
leur nom dans le milieu. Ils nous ont donné rendez-vous au
« Peloch » pour nous parler d’eux, de leurs ambitions et, surtout,
de leur plaisir de jouer ensemble. En toute clairvoyance, décontraction et sans calcul. Un tout bon moment.
CApital CApital
F a u t e u i l
Les invités de la rédaction
N.C. : Quelle est l’histoire des Kupid Kids ?
W.D.S. : Elliott et moi sommes musiciens depuis
toujours. Nous avons joué pour différents groupes qui ont, pour la plupart, connu un certain
succès. Le temps passant, nous avons ressenti
le besoin de créer des musiques plus profondes
et mélodieuses. Nous nous sommes mis à composer dans mon studio, tranquillement. En un
week-end, nous avions trois nouvelles chansons.
Nous les avons postées sur Myspace et, à notre
grand étonnement, les réactions n’ont pas traîné.
Les compliments de fans et les demandes de la
part d’organisateurs de concerts se sont enchaînés. Nous avons donc continué à composer et
à chercher des instrumentistes pour former un
groupe. Nous nous sommes alors dirigés vers des
musiciens avec lesquels nous avions déjà travaillé
et que nous savions sérieux, talentueux et avec
lesquels nous avions un réel feeling. Après nos
nouvelles compositions, nous avons donné deux
concerts – à l’Autumn Rock Festival et l’Inc’Rock
Festival – qui nous ont ouvert beaucoup de portes. Après cela, les choses se sont enchaînées
très rapidement, nous avons joué dans de grands
festivals, nous avons trouvé un agent, Bernard
Moisse, une maison de disque – Pias, une des
plus grandes de Belgique – et nous avons donné
de nombreux concerts.
CApital N.C. : Quels sont vos rôles respectifs dans le
groupe?
W.D.S. : Elliott et moi composons toutes les musiques et écrivons toutes les paroles. Notre complicité est telle que nous sommes toujours en
contact pour échanger nos idées de mélodies.
Composer à deux est une véritable richesse et
une source énorme de satisfaction. Lorsqu’on travaille seul, il arrive fréquemment que l’on tourne
en rond. A deux, les choses sont très différentes,
elles deviennent plus faciles, plus abouties et, au
final, plus évidentes. Et puis c’est tellement plus
marrant de travailler à deux. Une fois que nous
sommes parvenus à terminer une musique, nous
la jouons à deux, l’enregistrons et la présentons
aux autres membres du groupe avant de la tester tous ensemble. Pascal, Daphne et Bernard
les intègrent très vite et les assimilent avec beaucoup d’intelligence. Fréquemment, il leur arrive de
proposer des idées pour améliorer une partie de
morceaux. Nous sommes très ouverts à leurs propositions, et, de la même façon, ils sont extrêmement impliqués, et ce, même s’ils n’interviennent
pas dans le stade de création. Travailler avec des
gens aussi impliqués et à la fois aussi modestes
est très rare. Et une chance. Chacun joue son rôle
à la perfection et c’est ce qui rend l’ensemble
cohérent. Et puis, nous nous entendons parfaitement. Nous passons l’essentiel de notre temps
ensemble, et toujours avec beaucoup de plaisir.
N.C. : Comment passe-t-on de scènes modestes
à la première partie du concert des Superbus à
l’AB, le16 décembre dernier ?
W.D.S. : Mon frère est le mixeur des Superbus.
Nous avons enregistré un premier EP « No Excuses » avec lui. Il leur a fait écouter et ils ont tout de
suite adoré. Ils nous avaient alors dit qu’ils voulaient que nous fassions la première partie de leur
concert quand ils viendraient en Belgique. Nous
étions hyper flattés et très heureux aussi que cela
se passe à l’AB qui est une super scène.
CApital
• Elliott
• Pascal
N.C. : Alors, vos impressions après concert…
W.D.S. : C’était hyper bien ! Probablement le plus
beau moment de ma vie, tant du point de vue musical qu’humain. Les membres de Superbus sont
très sympas et l’entente entre nous était géniale.
C’était d’autant plus fort que nous avions travaillé
très dur pour ce concert que nous étions un peu
stressés – une première partie est toujours un
challenge - et que les résultats ont dépassé nos
espérances. La salle était pleine, les compliments
pleuvaient, c’était génial !
E. : Je crois qu’il n’y a pas de plus beau moment
que celui où nous sommes réunis en backstage
avant un concert aussi important. Nous étions
plus soudés que jamais.
N.C. : Parmi la multitude de groupes de rock qui
naissent aujourd’hui, qu’est-ce qui, selon vous,
vous permet de vous distinguer ?
W.D.S. : C’est une somme de paramètres mais
l’essentiel vient de notre expérience passée. Tous,
CApital 10
• Daphné
nous avons eu la chance de travailler pour plusieurs groupes qui ont bien fonctionné et, de ce
fait, d’être mieux « armés » que des débutants.
Nous connaissons les erreurs à ne plus commettre, nous pouvons compter sur un réseau important d’artistes et nous avons la chance d’avoir
fait suffisamment nos preuves pour susciter l’attention du milieu et notamment des maisons de
disques.
Un autre point vient de nos influences diverses et
notamment notre connaissance et notre intérêt, à
Elliott et moi, pour la musique classique. Grâce à
cela, nous sommes parvenus à créer un groupe
qui ne peut pas être catalogué dans un style particulier de rock. Notre musique envoie pas mal, tout
en restant très mélodieuse.
N.C. : Quelles sont les ambitions du groupe ?
W.D.S. : Créé un peu par hasard, le groupe a su
grandir de manière constante, ni trop vite, ni trop
• Watch
• Bernard
lentement. Nous avons la chance d’être bien entourés et de ne pas subir de pression de la part de
notre agent. Nous pouvons dès lors nous consacrer à la musique et préparer notre avenir sereinement. Actuellement, nous n’avons qu’un seul
single officialisé « Iguana Face » - qui tourne sur
Pure FM – mais nous avons déjà plus de 30 titres.
Notre objectif est de construire pas à pas quelque
chose de solide et, pour cette raison, nous sommes très vigilants quant au choix des personnes
avec qui nous travaillons. Nous devons tous être
dans le même état d’esprit. Quel que soit le domaine d’activité, nous n’allons pas travailler avec
un professionnel si ce n’est pas un ami et nous ne
travaillerons pas avec un ami s’il n’est pas professionnel.
fin de l’année. Nous seront très attentifs au choix
des musiques pour, d’une part, sélectionner les
meilleurs morceaux et, d’autre part, assurer une
cohérence dans leur ordre de passage. Cet album
sera une sorte d’histoire dont chaque chapitre est
justifié.
N.C. : Et vos projets ?
E. : Nous souhaitons faire de nombreuses scènes
cet été, mais nous n’avons pas encore booké
grand-chose. Un album sortira également vers la
www.myspace.com/kupidkids
N.C. : Que peut-on vous souhaiter pour 2010 ?
E. : De continuer sur notre lancée. Nous sommes
fiers de ce que nous avons construit et nous espérons continuer à faire de bons choix, le plus de
concerts possible, un max de bonnes musiques,
avoir plus de fans et toujours plus de bons moments.
Clarisse Michaux
CApital 11
C u l t u r e
Parcours d’artiste
UNE MAISON VIVANTE
A peine à l’intérieur, on est accueilli par les lumières douces et bien dosées. Dans le canapé, près
de la table basse, Fantine, la cadette de la famille
Willems, tourne les pages d’un livre illustré. Charlotte, l’aînée, est dans le salon à l’étage avec son
Papa – archéologue de son état - qui pendant
la trêve de Noël, a quitté pour quelques jours le
chantier des fouilles autour de la Collégiale.
Nathalie
Gilles – Willems
Lianes, boutons et vieilles dentelles
FORMATIONS ET ENCORE DES FORMATIONS
Employée depuis 13 ans, Nathalie a fait le choix de
renoncer momentanément à son emploi qui ne lui correspondait plus. Il y a trois ans, cette pause carrière
choisie, lui permet de revenir à sa source en tant que
graphiste et de développer son sens artistique. Un
moment aussi où elle peut consacrer plus de temps
à ses deux filles. Son besoin de créer, d’inventer est
intense. Pour assouvir cette irrésistible envie, elle s’investit et se donne du temps pour apprendre ce qui
pourrait l’aider à canaliser sa créativité. Les fleurs, elle
adore. Aussi s’inscrit-elle à des cours de fleuriste et
obtient un diplôme après deux ans. Entre les coups,
Nathalie continue à travailler les matières et à inventer des nouvelles techniques. « L’Atelier de Thalie »
naît d’un rêve qu’elle avait depuis plusieurs années
déjà. Dans cette appellation est incluse la création
de chapeaux, de coiffes et de décoration. Pour une
bonne gestion, elle estime indispensable de connaître
le marché et la valeur des choses. Nathalie participe
à une formation chez Azimut, une société spécialisée
dans l’aide aux futurs entrepreneurs. Elle se familiarise alors avec l’étude du marché, les prix et tout ce
qu’un candidat doit savoir pour s’engager dans les
meilleures conditions. Tout cela lui donne la confiance
nécessaire au lancement de son activité. Elle prépare
d’ailleurs en ce moment, un dossier en vue d’obtenir
une bourse de pré-activité.
PROMENONS-NOUS DANS LES BOIS
C’est dans la nature que Nathalie trouve la matière
première de ses créations. Le lierre – dénudé de ses
feuilles et torsadé par ses soins – est un excellent support pour donner une forme à une coiffe, à un bijou
ou même à un élément de décoration. Elle dompte
les tiges souples du lierre et, de ces enchevêtrements
savants de branches, naissent des formes qu’elle préfère arrondies. Mais le travail ne s’arrête pas là. Sur
CApital
13
C u l t u r e
Parcours d’artiste
ces bases, la phase de création prend toute son importance. C’est là qu’entrent en scène les boutons, la
laine bouillie, les dentelles, et autres passementeries.
La colle préparée d’une certaine façon, assemble les
matières qui prennent en séchant, une teinte douce et
nacrée. Une certaine transparence donne aux objets
une légèreté toute particulière. Se tenir au courant des
tendances mode à venir, fait aussi partie de ce que
Nathalie met à son programme. Les couleurs, notamment, ont beaucoup d’importance. Dans ses tiroirs,
les boutons verts tendre, orange doux et nacrés, font
bon ménage. Les galons s’entremêlent harmonieusement et laissent négligemment dépasser quelques
centimètres, comme pour dire « ne nous oubliez pas ».
Un miroir brisé ? Même pas peur des sept ans de malheur. Nathalie en récupère les morceaux et les mettra
en scène demain, ou peut être dans deux mois. Tout
dépendra de son inspiration du moment.
EXPOSITIONS ET PARTICIPATIONS
Quand le nombre de créations commence à devenir
important, c’est que le temps est venu de participer
à des parcours d’artistes et à des expositions. Nathalie en est consciente et se prépare régulièrement à
l’une ou l’autre promenade artistique. Elle a participé
notamment à Art en Chemin en 2008 avec ses premières œuvres et est déjà inscrite pour l’édition 2010.
En 2009 elle faisait le Parcours d’Artiste à Glabais en
duo avec une photographe – Christine Laurent – dont
le talent est reconnu. Vous pourrez le constater par
vous-même dans l’illustration du présent article. Et croisons les doigts – d’ici peu, Nathalie se présentera
devant un jury des Métiers d’Art du Brabant Wallon
et elle forme l’espoir d’y être retenue. Nous pourrons
ainsi la rencontrer à Floreffe et d’autres endroits magiques. Souhaitons-lui le meilleur chemin artistique
et une confirmation de ses talents à découvrir absolument. Le printemps n’est plus trop loin. Ce sera le
moment propice pour partir à la cueillette des lianes
de lierre qui se courberont ou partiront en spirale et
tout en légèreté vers les nuages - au gré de la volonté
de Nathalie. Marie-Marthe Schuermans
L’heure des bonnes résolutions a sonné !
Mise en forme
Cabinet d’endermologie
L’endermologie une technique de pointe ?
Oui !
les résultats le prouvent !
L’endermologie est une solution
rapide, efficace et sans effort.
Son principe ?
La cellulite et les zones graisseuses
localisées sont dues à un blocage
de la micro-circulation. En réactivant le drainage par un massage le palper-rouler, l’endermologie
relance la circulation sanguine,
élimine les déchets accumulés dans
l’organisme provoquant de cette
façon, une perte de cellulite et
de centimètres.
Mise en Forme - Cabinet d’endermologie
Benoit Blondiau
Venelle Le Phare, 15 - 1400 Nivelles. Espace de Lalieux
(près du proxy) - Parking gratuit
Sur rendez-vous du lundi au samedi.
GSM : 0475/69.14.27 - www.misenforme.be
CApital 14
C o m m e r c e s
A table
« Cet endroit est différent ». Sans pouvoir l’expliquer, Ronald Lapage parle du Manège Enchanté son
restaurant : avec enthousiasme, passion et conviction. Et c’est là toute la différence…
Les classiques revisités
Le Manège Enchanté
L’enchanteur enchanté
C’est un coup de cœur pour cet endroit qui a
amené Ronald chez nous, en mai dernier. Il faut
dire que le lieu est enchanteur. Bourgeois et
champêtre à la fois, il offre une vue privilégiée
sur le port de plaisance et se situe au cœur d’un
manège. L’ensemble est serein. Eté comme hiver,
le dépaysement qu’il propose invite à s’offrir une
pause « à l’abri de toute pollution ». A contrario
de cette ambiance « entre terre et mer », la carte
du Manège Enchanté opte pour les droits du sol
en privilégiant les produits de terroir et de saison.
Elle propose une cuisine belge corrigée – par
la touche maison - qui s’accorde à merveille à
l’ambiance « lounge » de la Brasserie.
Les propositions culinaires sont variées. Partagées
entre la tradition française via des suggestions
évoluant tous les 10 à 15 jours et une cuisine de
chez nous modernisée, elles s’apprécient plus
encore qu’elles se découvrent. Ici par exemple,
la traditionnelle bouchée à la reine se présente
sous forme de « Vol au Vent de Poularde et
Shitakes » - des champignons chinois. Bien plus
appétissant, bien plus savoureux également.
Dans la même lignée, les entrées se déclinent
en verrines. Généreuses et élégantes, elles se
dégustent chaudes ou froides. Et s’apprécient
comme il se doit : avec calme et volupté. Testez
par exemple le « Tartare de saumon, feuilles
d’huître en iode mariné ». Un délice !
Quant au lunch deux services du midi (au prix
de 12 euros), les menus – de saison ou de
plaisir concocté selon les produits du marché
et l’humeur du Chef » et les suggestions –
françaises – du moment, elles sont évoquées en
lettres blanches sur l’imposante cheminée de
cuivre du restaurant. Pour les accompagnements,
comptez sur une sélection de vins français issus
de toutes les régions du pays. Les amateurs de
nectars étrangers choisiront entre l’Argentine et
l’Afrique du Sud. D’ici ou d’ailleurs, toutes les
appellations de la carte offrent un rapport qualitéprix remarquable.
CApital 17
C o m m e r c e s
A table
Convivialité et authenticité
Ronald connaît le milieu de la restauration. Fort
de ses nombreuses expériences passées, il a
choisi de s’entourer de personnes de confiance.
C’est pourquoi, il confie ses fourneaux à Jérôme
dont les 25 ans de métier témoignent de son
savoir-faire. A ses côtés, son second, Michaël,
bénéficie du soutien du patron de la Maison qui
lui prédit un bel avenir dans le milieu. En salle,
la touche féminine est assurée par Angie qui
distribue sa bonne humeur à tout va pendant
que Ronald s’assure du bien-être de ses invités.
Cet intérêt pour ses clients, ajouté au professionnalisme et à la vocation, a valu au Manège
Enchanté un succès immédiat et - déjà - une
grande renommée. La belle saison vous invite à
vous attabler en terrasse. Exposée aux rayons
du soleil, le temps semble s’y arrêter. Et même
si le printemps n’est pas loin, pour l’heure, l’hiver
est bel et bien d’actualité. C’est donc à l’intérieur
que vous prendrez place dans l’une des ailes du
manège ittrois. Près du bar ou à proximité d’une
fenêtre, règne une apaisante harmonie opérée
grâce aux tons chauds et élégants choisis par
le Patron de la Maison. Epurée et harmonieuse,
la décoration possède un caractère authentique
plaisant et apaisant qui rehausse l’atmosphère
décontractée instaurée côté cour et côté jardin.
En soirée les lumières provenant des photophores
colorés sont du plus bel effet.
Pour profiter pleinement du cadre, Ronald organise deux soirées par mois. Un vendredi par mois,
la « Lady’s First » offre l’apéro et l’entrée à toutes
les dames et une à deux fois par mois, le jeudi
soir, donne lieu à un concert live de musique de
circonstance. Faites d’une pierre deux coups et
venez vous imprégner de la magie du Manège
Enchanté.
Clarisse Michaux
La Manège Enchanté / Rue du Sart, 51 / 1460 Ittre
Tél. : 067/87.07.87 / Ouvert tous les jours sauf le lundi, le mardi et le mercredi soir
Découvrez le Manège Enchanté sur www.resto.be
CApital 19
La saison 2010
Même si de grands musiciens ont rendu
hommage à l’art culinaire, il est plus rare
qu’en découle un spectacle. Rosita et
Herman – eux – ont osé ce savoureux
mélange de genres. La construction
d’instruments avec des objets destinés
au centre de tri, d’ustensiles de cuisine
et d’aliments – voilà le dada de ce couple
qui, depuis quarante ans partage la vie,
cultive la découverte de la musique, et
sillonne les chemins buissonniers avec
un enthousiasme exemplaire. Le joyeux
duo passe de scène en scène, de ville
en ville, de pays en pays. Le mercredi 13
février prochain, ils poseront leur atelier
musical sur les planches du Waux-Hall
à Nivelles. Petits et grands – venez donc
prendre un petit cours d’optimisme chantant et dansant !
Rosita &
Herman Dewit
une joyeuse popote
Une organisation de l'Echevinat de la Culture de la ville de Nivelles Madame Evelyne VANPEE,
Echevine de la Culture I [email protected]
réservations ou renseignements Centre Culturel Waux-Hall de Nivelles I 067 88 22 77 ou 067 21 97 85 I
[email protected] I 20euros/15euros pour les familles nombreuses, + de 60 ans et – de 25 ans
C u l t u r e
Waux-Hall
LE 13 FÉVRIER 2010 AU WAUX-HALL
Pour mieux comprendre la démarche d’Herman et Rosita, passons brièvement en revue ce qui les a menés sur ce chemin
saltimbanque. Leur histoire commence par leur rencontre en
1969 et continue encore et toujours. A deux ils s’en vont par
monts et par vaux amuser les enfants et leurs parents. Lui –
Herman – aime le folklore et les musiques. A un point tel, qu’au
fil des années, Il récolte durant sa quête, une impressionnante collection de chansons, mélodies et danses populaires
qu’il consigne dans des ouvrages. Est-ce à force de côtoyer
ce monde qui le passionne, qu’il y trouve l’inspiration pour
composer des musiques et des sketches avec sa compagne
Rosita ? Il semble que oui, puisque aujourd’hui encore, ils
continuent à inventer des instruments de musique tout à fait
inédits. Elle – Rosita Tahon – aime … Herman, et ne se lasse
pas de faire des trouvailles avec son artiste de mari. Pourtant,
rien ne la prédestinait à la musique. Ses aspirations allaient
plutôt vers l’éducation physique - études qu’elle entame avec
deux amies au Parnasse. Mais, sa rencontre avec Herman lui
donnera l’envie d’autre chose. On connaît la suite. Ajoutons
qu’à deux, ils ont obtenu à plusieurs reprises, la reconnaissance des Jeunesses Musicales – ce qui démontre une qualité
incontestable de leur talent.
Rien ne se perd, tout se recycle. En musique.
En duo, Herman Dewit et Rosita présentent, au cours d’un
spectacle très visuel, créatif et plein d’humour, un programme
unique. Leur «Symphonie de Cuisine», se joue au moyen
d’instruments bizarres réalisés à partir d’objets ou d’aliments
que l’on trouve dans une cuisine. Jugez vous-même – avezvous déjà vu une clarinettecarotte, une cornemusebanane, un
violongourde, un tambourcaisseàvin, une flûtepattedehomard,
une harpecuillère, un pianopilchard, une bouteillophone, une
plancheàpoissonphone ? Saperlipopette, ça vaut la peine
d’être vu ! Ce n’est pas tous les jours que l’on peut assister à
un spectacle-festin de ce niveau. Et, ce qui ajoute encore au
plaisir, c’est que nos protagonistes invitent le public à participer sur la scène à cet orchestre d’un genre jamais vu.
Cette fois, c’est au tour de Nivelles de découvrir le tandem
Herman-Rosita. Le 13 février, le Waux-Hall ouvrira ses portes
à un spectacle qu’il serait dommage de manquer. D’autant
que cela pourra donner quelques bonnes idées pour inventer
des instruments de musique à la maison. On peut dire que ce
type de recyclage entre tout à fait dans l’air du temps. Encourageant et amusant.
Marie-Marthe Schuermans
CApital 21
C u l t u r e
Théâtre
Un petit théâtre au vert –
Pourquoi pas ?
En ces temps pour le moins chaotiques – il est vital d’avoir des idées. Ceux qui en ont, sont gagnants
et … distribuent du bonheur. C’est le cas de Pierre Staquet – à la source d’une initiative intéressante à
plus d’un titre. Il possède le lieu, le culot et la passion nécessaires à un projet qui en est aujourd’hui à
ses premiers balbutiements. Cinquante sièges. Un bon programme. Un accueil sans reproche. Une envie
d’entreprendre. Voilà les ingrédients que Pierre Staquet utilise pour nous concocter quelques bonnes
surprises culturelles. Allons voir de plus près, sur les hauteurs de Nivelles, ce petit théâtre au vert.
ESPACE ET AUDACE.
A la ville - Pierre Staquet se voue au poste de Directeur
des Ressources Humaines dans une entreprise hennuyère. Aux champs – Pierre est amateur de culture.
Avec une telle ferveur qu’il a voulu offrir aux gourmands
du genre, une possibilité de se rendre chez lui pour se
faire quelques soirées spectacle. Ce rêve - longtemps
caressé - est devenu réalité aujourd’hui.
Jeune Nivellois (il est arrivé en 2005) il occupe d’abord
un mandat au conseil d’administration du Waux-Hall,
ensuite, dans le cadre du projet communal de développer un Centre Culturel reconnu, il intègre le Conseil
Culturel par une lettre de motivation bien charpentée. Il
adhère à la culture dans son sens large – celle qui réunit
les gens. Celle aussi qui invite à être un acteur culturel
de sa ville. Parce que Pierre Staquet pense très sincèrement que la culture est un bel outil d’intégration dans
sa ville – un vecteur de communication et un lien entre
les anciens (Nivellois en l’occurrence) et les nouveaux
arrivants à Nivelles. Pour illustrer un exemple d’interférence entre les associations en place, il a fait appel au
Photo Club de Nivelles pour réaliser les photos durant la
premier spectacle.
SYMPHONIE DES ARTS
C’est sous ce nom que Pierre Staquet a porté tout
récemment sur les fonts baptismaux, une initiative qui ne manque ni d’originalité, ni d’audace. Son
objectif ? Répartir sur une année, des spectacles axés
CApital 22
sur le théâtre, le chant, la musique, le conte et l’humour.
Cela lui demande de sa part, une vision grand-angulaire
de ce qui se fait de mieux dans le domaine. Et pour
ce faire, il va souvent voir et revoir des comédiens,
artistes, musiciens de tous bords – ce qu’il adore. Son
premier coup de cœur – c’est comme ça qu’il fonctionne
– s’est porté sur une pièce d’Eric-Emmanuel Schmitt
– Variations énigmatiques. Ce qui est – il faut le reconnaître – une belle entrée en matière ! Et, tout sourire il
raconte cette folle aventure vécue les 26 et 28 novembre
derniers, en bonne complicité avec la troupe qui était
partie prenante de ce tout premier défi. Répétitions,
repérages, adaptation aux lieux.
AU FOUR ET AU MOULIN
Entre le rêve et sa réalisation, il y a souvent de la marge.
Qu’à cela ne tienne, Pierre Staquet fait face, réagit au
quart de tour et est sur le pont dès qu’il le faut. De son
activité professionnelle dans les ressources humaines,
découlent un solide esprit d’anticipation et bon un sens
de l’organisation. Des qualités nécessaires pour mener
son rêve à bien.
Le jour « J » du spectacle, la maison Staquet se transforme en un petit théâtre intime. Les sièges prennent
l’assaut du vaste salon. Les lumières adaptées s’installent. Au son, on fait une dernière mise au point. En
cuisine, Madame mitonne un petit menu léger (pour 14
personnes maximum à réserver impérativement) que
l’on peut prendre dès 19 heures, juste avant la séance.
Un bar est installé pour ceux qui voudraient se désaltérer
en toute convivialité et en compagnie des comédiens.
Voilà, tout est prêt pour accueillir comme il se doit, les
visiteurs du soir.
L’expérience des Variations énigmatiques a été concluante. Les cinquante places étaient occupées par un public
enthousiaste dont chacun avait pris la précaution de
réserver les places. Un concept d’abonnement dont les
formes sont à définir, se prépare activement. Ca laissera
aux gens le choix de leurs places et ça permettra aux
organisateurs de s’y retrouver dans l’investissement
consenti pour les cachets des acteurs. Non pas que
l’idée de Pierre Staquet soit de faire de cette activité
secondaire, une source de revenus - le projet s’organise
en ASBL - mais bien de faire valoir un concept original
et de proposer une offre différenciée dans cette région
du Brabant wallon.
LE PROGRAMME
Pierre Staquet propose des spectacles qu’il a
personnellement vus et pour lesquels il a pris les
contacts nécessaires pour arrêter un agenda équilibré
de comédie, d’humour, de musique et de théâtre.
Le prochain spectacle sera très féminin. Les Triplettes
de Bruxelles uniront leurs talents dans le domaine de la
musique. Pour la suite de la saison, après le théâtre, il
y aura de la dérision, du rire, de la chanson française.
Ajoutons à cela qu’une place particulière a été réservée
à deux « institutions » nivelloises, ce qui prouve une
fois de plus que les objectifs de notre hôte sont bien
respectés – la création de synergies avec les artistes de
notre ville. Ainsi, outre une collaboration avec le Photo
Club de Nivelles pour les photos du spectacle initial,
Patricia Dacosse et Catherine Ronvaux seront « Les
Charlottes » de la pièce de Lucien Lambert et Banquette
Arrière se produira au mois de mai.
Avant cela, du 11 au 13 mars, nous avons rendez-vous
avec Stefan Cuvelier pour son one man show « Parigot
Bruxellois ». Pierre tient à transmettre l’idée que même
si on ne connaît pas – soit un spectacle, soit des artistes
– il faut oser aller vers cet inconnu-là. Il est convaincu
que c’est comme ça que l’on découvre des petits trésors parfois inédits et d’incroyables surprises. Une roue
se met doucement mais sûrement en marche. A nous
d’emboîter le pas et de tenter avec son concepteur,
cette belle expérience créatrive.
Marie-Marthe Schuermans
Pour tout savoir sur La symphonie des arts un site très
attractif vous permettra de vous tenir informés de ce
qui se passe du côté d’un petit théâtre pas comme les
autres. A découvrir. Absolument !
www.lasymphoniedesarts.be
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CApital
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R e n c o n t r e
Westhock Backdraft
Un groupe s’est créeé sur Facebook sous l’appellation « Nivelles 2011, ville fantôme ». Présentée telle
quelle, sans point d’interrogation, il s’agit d’une affirmation que plus de 1300 personnes ont approuvé, en
à peine 3 jours. Un chiffre qui interpelle, certes, mais moins que les personnes qui composent ce groupe.
Parmi elles, on retrouve un certain Pierre Huart, une certaine Valérie De Bue et d’autres de leurs amis…
Etonnant, non ?
Il y a une explication à cela. Derrière le titre pour le moins provocateur de ce groupe, se cache une réelle
volonté de trouver des solutions. Et même si certains avouent avoir rejoint le groupe pour être tenus au
courant de l’avancement des débats – parfois houleux - sans pour autant y participer, d’autres, à l’image
de son créateur (un jeune nivellois de 22 ans), veulent vraiment faire bouger les choses. Nous l’avons
rencontré. Son nom de scène : Westhoek Backdraft, rien que cela.
N.C. : Comment est né le groupe ?
WB : Après une discussion de piliers de comptoir au Kfé
St Jacques où l’on refaisait le monde, on a longuement
parlé des problèmes socioculturels auxquels Nivelles est
confronté. Et en rentrant chez moi, j’ai aussitôt créé ce
groupe avec une envie de dialogue et non pas pour le
simple plaisir de critiquer.
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CApital
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N.C. : Vous vous attendiez à un tel buzz ? 1300 membres en 3 jours, c’est pas mal...
WB : Non absolument pas. Je n’avais invité qu’une cinquantaine de personnes. En réalité c’est Pierre Huart qui
m’en a informé car il m’a téléphoné le lendemain pour
que l’on se rencontre. Etant personnellement au boulot,
je n’avais pas suivi l’affaire durant la journée.
N.C. : Que reprochez-vous à Nivelles ?
WB : Rien, j’aime Nivelles. C’est ma ville. Mais il faut
avouer qu’il y a un manque cruel d’activités festives
orientées pour la tranche 20/30 ans. Il manque également
d’un endroit où l’on peut faire des soirées et des concerts
sans déranger le voisinage.
N.C. : Les autorités nivelloises ont fortement réagi ?
Qu’en pensez-vous ?
WB : Oui, peut-être même trop vite ! Beaucoup de gens
du groupe ont été pris au dépourvu et n’ont pas eu la
possibilité de se rendre à la réunion qui s’est déroulée
quelques jours plus tard. Mais ça reste une bonne chose,
la Ville est restée ouverte au dialogue et maintenant, on
espère que ça va continuer afin de la faire évoluer et des
projets que l’on peut proposer.
N.C. : Une réunion a eu lieu le 4 décembre ? Qu’en est-il
ressorti ?
WB : Beaucoup de bonnes idées et un bourgmestre
ouvert à la discussion. Un compte-rendu de la réunion
est disponible sur le groupe Facebook «Nivelles 2011,
ville fantôme». J’ai tout de même été déçu du manque
d’implication de beaucoup de jeunes qui s’étaient manifestés sur internet mais qui n’ont pas pris la peine de faire
le déplacement.
N.C. : On a parlé, paraît-il, d’une salle de concert à
Nivelles ?
WB : Ca, c’est une très bonne question à laquelle je ne
peux pas répondre… C’est un des sujets principaux
abordé lors de la réunion. Il y déjà des salles mais elles sont inadaptées pour ce genre d’événements. Je n’ai
vraiment pas la solution à ce problème et la Ville n’a pas
vraiment pu répondre à cette question non plus.
N.C. : Si vous en aviez le pouvoir, que changeriez-vous
à Nivelles ?
WB : Je mettrais sur la Grand’Place, des dalles qui s’illuminent sous nos pas comme dans le clip Billie Jean
de Michael Jackson. Sinon, plus d’échanges entre les
Nivellois et une plus large ouverture d’esprit. Une salle
de concert pas trop loin du centre qui ne dérangerait personne, ça ferait plaisir aussi.
N.C. : Et maintenant que vous avez créé le buzz, qu’allez-vous faire ?
WB : Rien de plus. Je pense que maintenant c’est aux
Nivellois de faire le premier pas et de continuer à créer.
C’est facile de se plaindre mais il y a un moment où il faut
CApital 25
R e n c o n t r e
Westhock Backdraft
agir. Moi de mon côté, je suis en train de créer un nouveau
style d’événements qui se dérouleront régulièrement en
journée. Ses événements se nomment «Avis de K.O social» et l’idée est de faire découvrir de nouveaux artistes
aussi bien dans le domaine musical (Dj, groupe de rock,
rappeurs…), que dans le visuel ( Photographes, peintres,
Vj, stylistes…). Pour ce projet, je suis associé à Hadrien
Hanse et bien vite, une petite équipe s’est créé autour de
nous, des artistes ont tout de suite été séduits par le projet
et veulent déjà venir jouer, exposer, montrer leurs créations.
Pour les Fêtes de la Musique, on espère avoir notre propre
scène « Avis de K.O social »
N.C. : Pensez-vous que c’est un coup dans l’eau ?
WB : Oui et non. Oui, parce que c’est clair que les choses vont pas changer du jour au lendemain. Mais d’un
autre côté, certaines personnes se sont rendu compte du
malaise qu’il y a Nivelles sans jamais vraiment l’avoir
abordé librement. Maintenant il y a des personnes qui, sur
ce groupe, ont la critique facile et ça en devient parfois
ridicule.
N.C. : Quelle première réalisation du groupe pouvonsnous attendre pour 2010 ?
WB : Moi, personnellement, j’ai mon projet mais je ne veux
pas non plus qu’il soit associé à ce groupe. En le créant,
je n’avais aucun projet derrière la tête, si ce n’était ouvrir le
débat. Tout ce que j’espère, c’est qu’il continuera et que
des solutions apparaîtront pour une ville pleine de vie et
dans l’espoir d’un jour avoir un endroit pour que les jeunes
puissent faire la fête et découvrir de nouvelles choses.
Groupe Facebook : Nivelles 2011, ville fantôme
Groupe Facebook : Avis de K.O social !
Prochaine event : Avis de K.O social ! : 30 janvier 2010
au Pélerin
Interview : Luc Pieltain
Photo : Hadrien Hanse
CApital
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Publi-reportage
A chacun
choix ». Pas question pour autant d’en faire une génération d’enfants-rois ! Parmi les valeurs inculquées aux
petits pensionnaires, le respect du règlement occupe
une place importante. Ainsi, ils seront libres de vaquer
dans les 280 m2 de la Maison d’enfants, exception faite
de la cuisine – règlement oblige – partie essentiellement réservée à leurs gardiennes.
Un mercredi matin, une maison nivelloise est le théâtre d’un bien étrange concert.
La Maison d’enfants Baby Love organise un atelier musical… Surprenant pour le visiteur,
visiblement très amusant pour la dizaine d’enfants présents ce jour-là.
Tobias, Elissa, Morgane, Théo, Zoé, Eliot, Thelma…et
les autres ! Tous sont là, bien au chaud, véritablement
« lovés » dans une maison de douceur, la maison
d’enfants Baby Love. L’endroit porte bien son nom. Un
lieu de découverte, d’apprentissage, de respect, c’est
ainsi que Laurye Santens voulait sa crèche. Elle tenait
à cette maison d’enfants. Elle y a cru tout de suite. Elle
a travaillé dur, fait preuve d’imagination, cloué, peint,
bricolé. Toute seule…avant de s’entourer d’une équipe
féminine dynamique et avenante composée de Natalia,
Françoise, Marie et Mélanie.
Après de nombreuses années d’expérience dont trois
passées dans cette maison du zoning nivellois, Baby
Love est le refuge de 22 enfants - inscrits pour un
nombre de 15 enfants maximum en même temps
- et bénéficie de la confiance des parents. Elle-même
maman de 4 enfants, Laurye connaît la vie et ses aléas.
Elle sait à quel point il est difficile de cumuler vie professionnelle et vie privée. C’est pourquoi, son objectif est
double : s’occuper des enfants en leur offrant ce qu’il
y a de meilleur au niveau des activités, de la nourriture
et de l’attention et garantir aux parents une tranquillité
d’esprit. Vêtements, bottes, déguisements,… Baby Love
fournit le nécessaire pour permettre aux enfants de
vivre, jouer, grandir à leur rythme ! C’est d’ailleurs le
credo de la Maison d’enfants. Le respect est une valeur
primordiale pour Laurye et son équipe qui prennent en
considération la personnalité de l’enfant, son évolution,
ses envies et ses besoins. Elle l’affirme : « Si l’enfant ne
veut pas jouer, se déguiser ou aller vers quelques chose
qui l’effraye tel que Saint Nicolas ou un animal en particulier, nous ne le forçons pas, jamais, mais nous l’encourageons, lui expliquons et, au final, nous respectons son
Fête… des jeux !
Plusieurs fois dans la journée, elles s’adonnent à un
même rituel : préparer le repas de toutes ces petites
bouches. Pour ça, Laurye opte pour la cuisine vapeur.
Ici encore rien n’est laissé au hasard, les goûts, les
habitudes alimentaires et les timings sont scrupuleusement respectés. Pour ces multiples attentions, Baby
Love se démarque et se fait remarquer ! Par l’ONE,
notamment qui lui a accordé une agrégation qui souligne la qualité de ses activités ludiques et didactiques.
Au jardin, le temps est partagé entre les jeux d’extérieur et le soin quotidien apporté aux animaux de la
crèche : les trois poules, les deux canards, le gros
lapin, la tortue de terre et l’aquarium de poissons d’eau
de mer. L’hiver, c’est à l’intérieur que l’essentiel de l’action se déroule. Les « parcours du combattant » et les
bricolages, chaque jour réinventés par l’équipe d’animation développent la psychomotricité des enfants,
leur créativité et leur sens du jeu. Et lorsqu’ils ne jouent
pas, les enfants de Baby Love font la fête. Les anniversaires et les festivités annuelles – Carnaval, Halloween,
Saint Nicolas, Noël,… - sont chaque fois l’occasion de
s’amuser, de découvrir et d’apprendre de nouvelles
choses… au cœur d’un véritable paradis enfantin.
Baby Love
Chaussée de Namur, 50 A
1400 Nivelles
Tél. : 067/21.51.91
C’est
reparti
pour un
tour
… en voiture ou en moto ! Clap 88 pour le Salon Auto & Moto
de Bruxelles. Du 14 au 24 janvier, nous serons nombreux à
nous rendre au Heysel pour arpenter les allées du salon bisannuel à la recherche de la voiture de nos rêves. Quelle que soit
notre priorité - écologie, design, puissance, sécurité, plaisir de
conduite … - notre budget et l’utilisation que nous lui réservons,
le choix sera encore une fois la ligne directrice du Salon.
Au programme, toujours plus de nouveautés, des engins plus
respectueux de l’environnement, plus indépendants, plus design
et sécurisants. De quoi mettre en joie les passionnés, compléter
la joujouthèque des collectionneurs, alimenter les fantasmes des
rêveurs et ravir les adeptes d’une conduite moins polluante.
Douze jours durant, la technologie automobile sera sur toutes
les lèvres. Nul doute que l’évènement attirera une foule toujours
plus nombreuse venant des quatre coins du pays et de l’étranger. Pas moins de 600.000 visiteurs sont attendus par les
organisateurs qui, cette fois encore, ont déployé une énergie
considérable pour faire de ce rendez-vous l’un des plus grands
d’Europe.
• Pralines
• Dragées
de Baptême
•Mariage
Place Emile de Lalieux - 1400 Nivelles - 067 21 06 55
Dans le sillage du Salon, rendez-vous chez vos concessionnaires préférés pour découvrir ce que ces belles automobiles ont
sous le capot !
SALON AUTO & MOTO 2010 DE BRUXELLES
Brussels Expo (Heysel) • Place de Belgique • 1020 Bruxelles • www.bruexpo.be
Heures d’ouverture : 14 -> 24/01/2010 • Semaine : 10h00 - 20h00 •
Week-ends : 10h00 - 18h30 • Nocturnes (18 & 22/01) : 10h00 - 22h00
Volvo XC 60 :
le SUV posé et pas fanfaron
Qu’il est bien loin le temps où Volvo nous proposait des caisses à cigares
sur 4 roues !...Sûres et solides certes mais au look…
Par chance, les stylistes aidés par l’outil informatique nous proposent maintenant des épures franchement plus séduisantes…
P’tit frangin du XC 90, le XC 60 est produit en Belgique et ne peut décemment renier ses origines :
sa calandre barrée du logo suédois et les optiques arrières s’y emploient d’ailleurs très bien. Nous
avons apprécié cet SUV bien dans l’air du temps : pas d’ostentation gratuite mais du sérieux bien
éprouvé. On s’en souvient : depuis toujours Volvo met l’accent sur la sécurité active et passive. Pétri
de dispositifs sécuritaires tels l’ABS, l’ACC, le DAC, le LDW, le BLIS, le DST, l’HDC et le RSC qu’une
description succincte exigerait 3 pages de Nivelles Capital, le XC 60 avoue 4,628 mètres sous la
toise, 1,891 m en largeur et 1,713 m en hauteur. Sa garde au sol atteint les 22,2 cm et le place donc
à l’abri des mauvaises surprises dès lors que l’on sort des sentiers battus.
Même si ce n’est pas précisément sa tasse de thé.
La luminosité de l’habitacle, bien dans l’esprit Volvo et réservé à cinq occupants, conjuguée à celle
offerte par le toit panoramique font du XC60 un espace à vivre qui se déplace dans un écrin de
confort sécurisant. Les blocs 4, 5 et 6 cylindres essence et diesel lui autorisent des performances
très correctes tandis qu’un différentiel Haldex envoie la cavalerie sur les 2 essieux selon leur adhérence respective. Trois niveaux d’amortissement (Sport, Comfort, Advanced), 3 options (Kinetic,
Momentum, Summum) le rendent encore plus plaisant. Notez que la banquette arrière se divise en
3 et le volume du coffre atteint 480 litres. Avec des puissances de 163 ch, 185 ch et 285 ch, la XC
60 se fera compagnon de route paisible et distingué. Ou laissera libre cours à sa pleine puissance. A
chacun son style. Pour les respectueux de l’environnement, la XC 60 est aussi disponible en version
DRIVe, le label vert de Volvo. La 2.4 D DRIVe inclut un système Start/Stop ultra-performant qui équipe
les modèles équipés d’un moteur diesel conventionnel ainsi que d’une boîte de vitesses optimisée
pour une consommation extrêmement faible. D’où une réduction notable des émissions nocives.
Sachez aussi que le portefeuille devra se délester de
37.200 € à 50.050 € selon la cavalerie et les atours retenus. Parmi les raffinements, on penchera pour la boîte
auto à 6 rapports, la sellerie cuir, la peinture métallisée,
le toit ouvrant, les phares au xénon, le système de navigation et d’aide au stationnement ainsi que l’alarme. Richement doté tant au niveau de l’équipement que de la
sécurité, le XC 60 est un véhicule attachant. Dans toute
l’acception du terme. Une performance en soi.
Bob MONARD.
Fizaine sprl
Chaussée de Bruxelles 226
1401 Nivelles • 067 21 40 27
Hyundai i X 35 :
l’heure de la succession a sonné
Etre le digne successeur du Tucson ne sera pas une mince affaire !
Lancé durant l’été 2004, il peut se targuer d’avoir été en tête des ventes du
marché belgo-luxembourgeois durant trois années consécutives.
Et le IX 35 s’en réjouit…
Tournant résolument le dos au look baroudeur de son prédécesseur, le nouveau SUV compact de
Hyundai fait plutôt dans les rondeurs et les galbes avec une calandre hexagonale. Avec 9 cms de
plus que le Tucson, l’IX 35 atteint 4,41 m en longueur, 1.820 m en largeur et son empattement est
de 2,64 m. Bien cabré sur des bottines de 255/55 R18…en option, il offre aussi de l’espace supplémentaire pour les jambes et la tête…alors que la hauteur totale de la voiture a diminué ! L’espace de
rangement dans la console centrale a lui gagné 6,2 litres. De surcroît, le cache-bagages à l’arrière à
été positionné plus haut pour libérer davantage d’espace dans le coffre alors qu’un un petit casier
de rangement a été ajouté dans le
compartiment à bagages.
Cet IX 35 sera disponible sous peu équipé d’un moteur 2 litres essence de 163 ch et d’un moteur
diesel de même cylindrée libérant 136 ch ou 184 ch. Le client pourra bien entendu choisir entre les
variantes à 2 et 4 roues motrices ainsi qu’entre les boîtes manuelle à 6 rapports ou automatique.
Tableau de bord dans l’air du temps avec rétro-éclairage bleu, très bonne insonorisation générale,
caméra pour se jouer des difficultés de parcage, aide au démarrage en pente, aide à la descente,
présence de ‘l’Eco-coach’ qui est une nouvelle fonction favorisant les habitudes de conduite économiques , cinq étoiles aux tests de sécurité EuroNCAP, consommation de carburant et émissions nocives réduites,…les coréens n’ont rien négligé dans leur souhait de proposer un SUV moderne, propre, sécurisant et d’encombrement intelligent. Qui ne boude pas pour autant le plaisir de conduire ni
celui de ses passagers, loin s’en faut. Si le grand frère Tucson brillait par la qualité de son équipement
et de sa finition comme par son confort général et son habitabilité, l’IX 35 ne sera pas en reste.
Jouant la carte du trend (SUV Compact) tout en choyant
ceux qui y prendront place, il constitue l’attraction du
stand Hyundai au Salon de Bruxelles tout en tenant la
vedette dans le réseau des concessionnaires. Quant à
son prix, il sera dévoilé sous peu puisque les premières
livraisons sont programmées pour le mois de mars.
Bob MONARD.
Chée de Bruxelles 230 - Nivelles
067/220 361 - 0474/984 667
www.rvmotors.be
VW Polo BlueMotion :
c’est du propre !
Tout constructeur s’attèle à réduire la consommation de ses véhicules.
Et par là même l’émission de particules polluantes. Une des préoccupations majeures de VW qui a su garder intact le plaisir au volant.
Et chacun d’y aller d’une terminologie qui fleure bon la dépollution ambiante. Chez VW, c’est le label
BlueMotion qui rassemble les moins gloutonnes de la gamme. Apparu en 2006 sur la Polo, il badge
également la Golf et la Passat à motorisation TDi Common-Rail. Résultat : une conso de 3,3 litres
aux 100 kilomètres pour la Polo de 75 ch et 87 g/km de CO2. Soit le modèle le plus économique au
monde dans sa catégorie.
Qui dit réduction de la consommation pense budget moindre à la pompe ! Ajoutons-y l’autonomie
de cette Polo labellisée BlueMotion : 1363 kms pour la Polo 1,2 litre 3 cylindres, … normal que le
conducteur VW retrouve le sourire aux stations-service !
Pour arriver à ces résultats, les ingénieurs ont flanqué les moteurs TDI d’un nouveau logiciel de gestion tout en abaissant le ralenti. Si la planche de bord affiche le rapport de boîte le plus avantageux,
on pointera aussi le système de récupération d’énergie au freinage, la coupure du moteur au point
mort et son redémarrage via l’embrayage, les pneus montés sur des jantes légères et aérodynamiques à faible résistance au roulement. Tous ces aménagements constituent un pack homogène qui
n’exclut aucunement le plaisir de conduire. Comme quoi il convient de ne pas confondre sobriété
et austérité.
Sur le plan environnemental, le rapport de boîte à sélectionner favorise une économie de 20%, la
démultiplication de la boîte 3 à 8 grammes de C02 en moins, l’aérodynamisme 1 à 2 g, l’énergie au
freinage 2 à 3 g, les pneus 2 à 4 g et le Start-Stop 4 à 8 g. Le calendrier prévoit l’arrivée de la Polo
3 cylindres- à l’inimitable sonorité - en mars 2010 et la Polo BlueMotion 1.600 cc dans les prochains
jours. Cette Polo bien proprette compte aussi sur son comportement et la qualité de sa finition pour
séduire. Cette BlueMotionisation , la griffe générale pour une technologie efficiente au service de
l’environnement, c’est bien. Très bien même. Mais Wolfsburg ne compte pas s’arrêter sur le chemin
de « l’environnementalement correct » puisque demain
ce seront des VW privilégiant l’hybride tant essence que
diesel qu’il nous sera donné de croiser sur le réseau
européen.
Pour l’heure, le seul constructeur allemand à 2 lettres
savoure le titre de « Voiture de l’Année » décroché par la
nouvelle…Polo. Soit 17 ans après la Golf élue en 1992.
Bob MONARD.
Honda Accord :
diesel et automatique.
Remises au goût du jour voici un an, les Honda Accord et Accord
Tourer diesel s’offrent aujourd’hui une boîte automatique à 5 rapports. Pour
la grande joie des familles et des gros rouleurs.
Apparue en 1976 avec 2 portes et hayon, la Honda Accord devenait aussi tri-corps en 1978. Au total,
8 générations d’Accord se sont succédé en 32 ans. Soit 17 millions d’exemplaires commercialisés !
Familiale au style séduisant et au confort remarquable, les Accord profitent d’une finition et d’un
équipement qui méritent la citation. Stature et voies larges soulignent élégamment le dynamisme de
cette berline dont la déclinaison break « Tourer » s’avère d’une étonnante polyvalence. Et si elles ont
la cote auprès des familles, leur habitabilité n’y est certes pas du tout étrangère. Ce qui manquait à
leur 2199 cc diesel de 150 ch ne…manque plus depuis début avril.
Cette lacune est en effet comblée avec la boîte automatique maison à 5 rapports.
Elle est utilisable en mode Drive pour une conduite coulée ou sur voies rapides et en mode Sport
pour une conduite plus « nerveuse » via le sélecteur destiné au changement séquentiel. La première
option autorise 4.000 tours dans chaque rapport et la seconde 5.000 tours.
Le levier de vitesses se double de palettes au volant pour rétrograder.
Insight
Hybrid
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Prix de vente recommandé... 19.990,00 €
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Supplément pour peinture métallisée : 490,00 e
Consommation mixte: 4,4 l/100 km - Emission de CO2: 101 g/km
Conditions salon
sur toute la gamme
Précaution : en mode « manuel » sur les 2èmes, 3èmes et 4èmes rapports, le diagramme est adapté et le boîtier de gestion de la transmission coupe l’alimentation en carburant s’il existe un risque de
surrégime. De même, la transmission passera automatiquement au rapport supérieur afin d’éviter
d’endommager le moteur et n’exécutera pas le rétrogradage induit par le conducteur si ce dernier
entraîne le moteur au-delà du régime maximal. Notons encore que le statut de la transmission s’affiche au centre du compte-tours tandis que le Grade Logic Control ajuste le diagramme des rapports
en côte et en descente pendant que le Shift Hold Control évite les changements de rapports superflus en conduite sportive pour laisser à l’usager le loisir de bénéficier de toute la cavalerie sans devoir rétrograder et accélérer en sortie de courbe. Nous avons pu l’expérimenté : cette technologie
nous a donné satisfaction sur un parcours sinueux à
souhait ! Avec des suspensions avant à double triangulation et arrière multibras ainsi que des amortisseurs à
taux variable, cette Accord offre un remarquable comportement routier.
Dans le registre sécuritaire, on pointe le LKAS qui détecte si le véhicule dévie de sa bande de circulation,
le CMBS qui calcule la distance avec le véhicule qui
>>> suite en page 40
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Chaussée de Mons, 45a
Tél.: 064/43.24.31
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www.iacono.be
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Route de Mons, 68
Tél.: 071/32.37.12
précède et qui freine l’Accord si nécessaire ainsi que l’ACC qui maintient l’Accord à une distance
constante par rapport au véhicule suivi. En plus de 4 freins à disques ventilés, de la direction assistée
électrique adaptative EPS qui décèle tout déficit de stabilité (vent latéral, revêtement glissant,…) et
du TSA qui contribue à rétablir la stabilité directionnelle d’une caravane ou d’une remorque dans les
situations délicates.
Offrant une position de conduite optimale grâce à moult réglages (siège et volant), l’Accord étale
avec bonheur ses nombreux atouts comme sa qualité de finition et son ergonomie générale.
Le P’tit Gabriel
La boîte auto à 5 rapports est optionnelle sur les Accord 4 portes et Tourer équipées des blocs essence 1997 cc (156 ch) et 2354 cc (201 ch) couplés à une boîte manuelle à 6 rapports. Trois niveaux
d’équipement - Confort, Elegance, Executive- et 3 ans de garantie ou 100.000 kms complètent la
fiche signalétique de cette Accord diesel automatique facturée à partir de 29.390 € (Sedan) jusqu’à
34.675 € (Tourer).
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Accord* Type S 2.4 Edition 5AT-201CH
Accord* 2.4 Exclusive Edition 5AT-201CH
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Prix de vente recommandé e 36.420
Bonus salon -e 7.930
E 28.490
Bonus de reprise
-e 3.500
Prix salon
-e22.990
*(série limitée)
Prix salon
-e24.990
*Supplément pour peinture métallisée : E 530
Consommation mixte : 7,6 - 8,7 l/100 km • Emissions de CO2 : 176 - 202 g/km
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jusqu’à épuisement de stock.
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Tél.: 064/43.24.31
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Route de Mons, 68
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l’enracinement et la croissance
TERREAU POUR LEGUMES ET HERBES
AROMATIQUES
• Idéal pour l’empotage ou le
rempotage de tous les légumes
et les herbes aromatiques
• Utilisable en agriculture et
horticulture biologique
• Avec fumure organique pour 100
jours, pret à l’emploi
• Aussi utilisable lors du semis
et de la plantation en pleine terre
v e r t e s
Les semences
Un petit espace au jardin dédié à la création d’un potager sans difficulté. Prévoyez un espace assez ensoleillé,
les tomates y mûriront plus rapidement, Mélangez les
semences de carottes et de radis, les premières sont de
culture plus longue et permettent une récolte rapide de
radis. Attendez que le sol soit bien réchauffé avant de
semer vos haricots. Arrosez bien en période de fortes
chaleurs, pensez à désherber, mais aussi à récolter !
Un très large assortiment de semences vous est
proposé dans notre jardinerie.
Hésitant ? Venez prendre des renseignements auprès
de l’un de nos conseillers.
Les plantes
Des fleurs cet hiver au jardin ?
Oui, c’est possible ! Il est encore temps de les planter
sauf si le sol est gelé.
Des plantes telles que l’Hammamelis, Helebore ou bien
encore le Jasmin d’Hiver vous offrent une floraison
hivernale.
LES MINI-SERRES CLIMATISÉES
Venez les chercher en container chez nous et la couleur
remplira votre jardin.
On vous l’a toujours dit, les conseils c’est Chez Central Jardin.
A 5 minutes du centre de Nivelles (Route Nivelles-Seneffe)
Rue de la Samme 30 • Arquennes • [email protected] • Tél. : 067 87 77 78 • Fax : 067 87 91 60
Ouvert du mardi au samedi de 9H à 12H30 et de 13H30 à 18H
Fermé le lundi
N e w s
Qu’est-ce qui cloche dans le clocher ?
ciel et terre et encaissent des coups répétés,
mais en outre, ça fait plus de 30 ans que ça
dure ! La seule manière de voler au secours
du joug, a été de réduire ladite cloche au silence et de la soutenir avec des poutres de
bois en attendant une solution définitive et
fiable. Le hic, c’est que le renouvellement et
l’installation d’un joug représentent un investissement considérable et surtout imprévu !
Avez-vous remarqué cette petite anomalie ?
Une sérieuse dissonance touche tant la ritournelle, que les coups de la demie et de l’heure.
Mais que s’est-il donc passé pour que la belle
harmonie des accords habituels se rompe ?
Nous avons posé la question à un fidèle des
lieux – celui qui le samedi matin, durant le marché, joue des cloches pour rythmer nos achats
hebdomadaires et nos rencontres maraîchères.
Robert Ferrière est notre homme.
UNE SEULE CLOCHE DÉFAILLE,
ET TOUT EST DÉRÉGLÉ
Ce qui fait l’harmonie du son d’un ensemble de cloches,
c’est la mise au diapason de leurs notes qui diffèrent selon leur poids, leur grandeur, leur battant. Quand l’une
d’elles manque à l’appel, c’est la foire … et on peut dire
que ce que nous entendons en ce moment, n’est pas joli,
joli. Une des quatre cloches mobiles menaçait de tomber
(ce qui aurait été catastrophique) en raison d’une fissure
dans le joug qui la soutient. Il faut dire que ces dames
de 3 tonnes 200 à 1 tonne 150, mettent le matériel à
rude épreuve. Déjà, elles se balancent chaque jour entre
312 MARCHES PLUS HAUT
Il en faut du souffle et de l’endurance pour
atteindre la grande famille des cloches qui
niche tout en haut de la Collégiale ! Mais l’effort vaut la peine d’être fait. D’en bas, on est
loin de se douter que ce point culminant de
la Ville abrite une telle quantité de bronze ! La
tour centrale contient 47 cloches et la tour de
djan-djan se contente modestement de deux
qu’il ne touche jamais. Oui, au risque de vous
décevoir, notre bonhomme doré ne fait que simuler la
frappe sur la cloche.
Il faut distinguer deux grands groupes de cloches. Les
mobiles, au nombre de quatre, battant la cloche se met
en mouvement et entraîne le battant qui frappe sur le métal. Les quarante-trois autres de plus petit calibre - s’actionnent soit avec le clavier sous les mains expertes de
Robert Ferrière ou de son complice, soit au moyen d’un
tambour électro-mécanique pour sonner la ritournelle et
les coups horaires. Mais, il y a encore beaucoup à dire
sur les habitantes du sommet de la Collégiale. Nous y
reviendrons plus en détail dans un prochain numéro.
Nous ne résistons toutefois pas à la tentation de citer un
bon mot de notre joyeux luron de Robert Ferrière. Quand
il annonce le nombre de cloches qu’il fait sonner, il dit
qu’il y en a 49 et qu’avec lui elles sont 50 … Et d’enchaîner : « D’ailleurs, quand je me rends à la Collégiale, je dis
à ma femme : « Je vais voir mes sœurs … »
Cela ne vaut-il pas son poids en bronze ça ?
Marie-Marthe Schuermans
Mérites Sportifs
nivellois
S p o r t
Au programme : Une soirée rythmée et sportive
18h30 : Ouverture des Portes et drink de bienvenue.
19h00 : Dîner assuré par l’Institut du Sacré Cœur
de Nivelles, section traiteur.
20h00 : Démarrage de la Soirée de Gala
20h30 : Spectacle du Mérite Sportif
Jean-Denis Lejeune rappellera les objectifs de sa
nouvelle asbl « Objectif Ô » récemment installée
à Nivelles.
La remise des prix sera animée par des illustrations faites en temps réel par notre dessinateur
nivellois, Pad’r.
Dans la pratique : Comment participer ?
Les réservations sont obligatoires.
Pour cela, contactez Muriel Henin à la Maison des
Sports de Nivelles.
Par mail : [email protected]
Par téléphone ou fax : 067 / 84 15 05
Les réservations sont confirmées dès réception
du paiement au numéro Fortis : 271-0749901-26
avec la communication : Mérite 2009 + Nom +
Nombre de repas adultes (15 euros) et enfants (10
euros) (x AD + x EFT)
Entre chaque catégorie sportive, diverses animations vous seront présentées. Nous soulignons notamment une démonstration de Foot
Streetstyle en présence du Champion de
Belgique, El Marnissi Soufiane. Mais également,
une démonstration de Tae Bo et de Funk par
Evidance ainsi qu’une démonstration de Danse
rythmique et d’Acro Danse par Espace Santé.
L’école « 2 Mad » présentera quant à elle, une
démonstration de Break dance.
Pour la deuxième fois consécutive, janvier accueillera son Gala du
Sport ainsi que la Cérémonie de
Remise du Mérite sportif de l’année 2009. Les festivités se dérouleront le vendredi 29 janvier 2010
à 18h30 à la Salle de la Dodaine,
dans le Parc de Nivelles.
L’édition 2009 sera précédée d’un
repas auquel tout le monde est
cordialement convié. Les bénéfices de la soirée seront intégralement reversés aux différents
clubs sportifs participants.
Une séance de dédicaces par les différents
champions sportifs présents à la soirée viendra
en clôture de l’événement.
Les inscriptions peuvent se faire également via
les clubs de sport.

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