Rock Attitude Kupid Kids
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Rock Attitude Kupid Kids
Culture I Commerces I Loisirs I Sports I Evénements I Associa tif I Agenda Urban magazine - Numéro 46 - Janvier 2010 - Gratuit Le magazine de tout ce qui bouge à Nivelles et dans sa région Rock Attitude Kupid Kids MEUBLES DECOREX Nivelles Capital est une publication de Xpresseo sprl Rue Sainte Gertrude 14 - 1400 Nivelles Rédacteur en chef Luc Pieltain Rédaction Luc Pieltain Clarisse Michaux Marie-Marthe Schuermans Relecture Marie-Marthe Schuermans Photographes Luc Pieltain Marie-Marthe Schuermans Infographie Aurore Lombeau Responsable commerciale et publicité Nivelles Capital : Josianne Lhote : 0497 499 284 [email protected] Contacts rédaction : Luc Pieltain : 0475 42 83 46 [email protected] Marie-Marthe Schuermans : 0473 23 63 87 [email protected] Adresse de la rédaction : Rue Paquette 2 c - 1400 Nivelles Tél.: 067 84 40 93 - Fax : 067 63 87 51 Tirage moyen : 10.000 exemplaires Remerciements : A celles et ceux qui ont rendu possible la parution de ce numéro. EN JANVIER, OUVERT TOUS LES DIMANCHES DE 14H A 18H C h a u s s é e d e N a m u r, 9 5 - 1 4 0 0 N i v e l l e s T é l . : 0 6 7 8 4 3 3 4 1 - Fa x : 0 6 7 8 4 3 3 4 2 - w w w. d e c o r e x . b e Heures d’ouverture Du mardi au vendredi de 9h30 à 12h00 et de 13h00 à 18h30 L e s a m e d i d e 9 h 3 0 à 1 8 h 0 0 I Fe r m é l e l u n d i m a t i n Soldes du 2 janvier au 31 janvier 2010 Avertissement : Nous déclinons toute responsabilité pour le contenu des publicités. Le contenu des articles n’engage que les personnes interrogées. Aucun article ne peut être reproduit même partiellement sans l’autorisation expresse de la rédaction. © Nivelles Capital est une marque déposée de la société Pica Mundo sprl Membre du Groupe Kpital L’an dix après 2000 2009 cède la place à 2010. Nous sommes donc à l’aube d’une année toute neuve. Celle de tous les possibles. C’est à la fois une chance à saisir et un défi à relever. Qu’allons-nous faire pour mettre la « positive attitude » à l’ordre de l’année ? Quels bons plans pourrons-nous mettre en chantier pour rendre la vie plus agréable et plus fun ? A l’heure des résolutions, notre équipe a pris l’option de vous informer davantage encore. Et pour plus de proximité, une newsletter une fois par semaine, vous éclairera sur les petites et grandes nouvelles de notre ville. Vous souhaitez la recevoir ? Dans ce cas, envoyez-nous votre adresse à www.nivellescapital.com. Par ailleurs, vous ou votre voisin êtes à la source d’une initiative sympathique ? Faites-le nous savoir. Parler de vous est notre mission et c’est tout ce que nous aimons … ! La rédaction Visitez notre site : www.nivellescapital.com Rendez-vous pour le prochain numéro en février 2010 CApital Nivelles Capital. Le magazine des Nivellois. Le fauteuil Les Kupid Kids / 6 Culture Rosita & Herman Dewit / 20 Rencontre Westock Backdraft / 24 Parcours d’artiste Nathalie Gilles – Willems / 12 Pour parler de vous, contactez-nous ! CApital F a u t e u i l Les invités de la rédaction Tout semble sourire aux Kupid Kids. Créé par un concours de circonstance en mars dernier, le groupe de rock connaît un succès qui n’est en rien dû au hasard. Leur travail, leur talent et la force de leur passion les ont poussés à s’entourer des meilleurs. Depuis, Daphne, Bernard, Pascal, emmenés par Elliott et Watch, les deux membres fondateurs nivellois, multiplient les demandes, affinent leur style pop rock et commencent à faire résonner leur nom dans le milieu. Ils nous ont donné rendez-vous au « Peloch » pour nous parler d’eux, de leurs ambitions et, surtout, de leur plaisir de jouer ensemble. En toute clairvoyance, décontraction et sans calcul. Un tout bon moment. CApital CApital F a u t e u i l Les invités de la rédaction N.C. : Quelle est l’histoire des Kupid Kids ? W.D.S. : Elliott et moi sommes musiciens depuis toujours. Nous avons joué pour différents groupes qui ont, pour la plupart, connu un certain succès. Le temps passant, nous avons ressenti le besoin de créer des musiques plus profondes et mélodieuses. Nous nous sommes mis à composer dans mon studio, tranquillement. En un week-end, nous avions trois nouvelles chansons. Nous les avons postées sur Myspace et, à notre grand étonnement, les réactions n’ont pas traîné. Les compliments de fans et les demandes de la part d’organisateurs de concerts se sont enchaînés. Nous avons donc continué à composer et à chercher des instrumentistes pour former un groupe. Nous nous sommes alors dirigés vers des musiciens avec lesquels nous avions déjà travaillé et que nous savions sérieux, talentueux et avec lesquels nous avions un réel feeling. Après nos nouvelles compositions, nous avons donné deux concerts – à l’Autumn Rock Festival et l’Inc’Rock Festival – qui nous ont ouvert beaucoup de portes. Après cela, les choses se sont enchaînées très rapidement, nous avons joué dans de grands festivals, nous avons trouvé un agent, Bernard Moisse, une maison de disque – Pias, une des plus grandes de Belgique – et nous avons donné de nombreux concerts. CApital N.C. : Quels sont vos rôles respectifs dans le groupe? W.D.S. : Elliott et moi composons toutes les musiques et écrivons toutes les paroles. Notre complicité est telle que nous sommes toujours en contact pour échanger nos idées de mélodies. Composer à deux est une véritable richesse et une source énorme de satisfaction. Lorsqu’on travaille seul, il arrive fréquemment que l’on tourne en rond. A deux, les choses sont très différentes, elles deviennent plus faciles, plus abouties et, au final, plus évidentes. Et puis c’est tellement plus marrant de travailler à deux. Une fois que nous sommes parvenus à terminer une musique, nous la jouons à deux, l’enregistrons et la présentons aux autres membres du groupe avant de la tester tous ensemble. Pascal, Daphne et Bernard les intègrent très vite et les assimilent avec beaucoup d’intelligence. Fréquemment, il leur arrive de proposer des idées pour améliorer une partie de morceaux. Nous sommes très ouverts à leurs propositions, et, de la même façon, ils sont extrêmement impliqués, et ce, même s’ils n’interviennent pas dans le stade de création. Travailler avec des gens aussi impliqués et à la fois aussi modestes est très rare. Et une chance. Chacun joue son rôle à la perfection et c’est ce qui rend l’ensemble cohérent. Et puis, nous nous entendons parfaitement. Nous passons l’essentiel de notre temps ensemble, et toujours avec beaucoup de plaisir. N.C. : Comment passe-t-on de scènes modestes à la première partie du concert des Superbus à l’AB, le16 décembre dernier ? W.D.S. : Mon frère est le mixeur des Superbus. Nous avons enregistré un premier EP « No Excuses » avec lui. Il leur a fait écouter et ils ont tout de suite adoré. Ils nous avaient alors dit qu’ils voulaient que nous fassions la première partie de leur concert quand ils viendraient en Belgique. Nous étions hyper flattés et très heureux aussi que cela se passe à l’AB qui est une super scène. CApital • Elliott • Pascal N.C. : Alors, vos impressions après concert… W.D.S. : C’était hyper bien ! Probablement le plus beau moment de ma vie, tant du point de vue musical qu’humain. Les membres de Superbus sont très sympas et l’entente entre nous était géniale. C’était d’autant plus fort que nous avions travaillé très dur pour ce concert que nous étions un peu stressés – une première partie est toujours un challenge - et que les résultats ont dépassé nos espérances. La salle était pleine, les compliments pleuvaient, c’était génial ! E. : Je crois qu’il n’y a pas de plus beau moment que celui où nous sommes réunis en backstage avant un concert aussi important. Nous étions plus soudés que jamais. N.C. : Parmi la multitude de groupes de rock qui naissent aujourd’hui, qu’est-ce qui, selon vous, vous permet de vous distinguer ? W.D.S. : C’est une somme de paramètres mais l’essentiel vient de notre expérience passée. Tous, CApital 10 • Daphné nous avons eu la chance de travailler pour plusieurs groupes qui ont bien fonctionné et, de ce fait, d’être mieux « armés » que des débutants. Nous connaissons les erreurs à ne plus commettre, nous pouvons compter sur un réseau important d’artistes et nous avons la chance d’avoir fait suffisamment nos preuves pour susciter l’attention du milieu et notamment des maisons de disques. Un autre point vient de nos influences diverses et notamment notre connaissance et notre intérêt, à Elliott et moi, pour la musique classique. Grâce à cela, nous sommes parvenus à créer un groupe qui ne peut pas être catalogué dans un style particulier de rock. Notre musique envoie pas mal, tout en restant très mélodieuse. N.C. : Quelles sont les ambitions du groupe ? W.D.S. : Créé un peu par hasard, le groupe a su grandir de manière constante, ni trop vite, ni trop • Watch • Bernard lentement. Nous avons la chance d’être bien entourés et de ne pas subir de pression de la part de notre agent. Nous pouvons dès lors nous consacrer à la musique et préparer notre avenir sereinement. Actuellement, nous n’avons qu’un seul single officialisé « Iguana Face » - qui tourne sur Pure FM – mais nous avons déjà plus de 30 titres. Notre objectif est de construire pas à pas quelque chose de solide et, pour cette raison, nous sommes très vigilants quant au choix des personnes avec qui nous travaillons. Nous devons tous être dans le même état d’esprit. Quel que soit le domaine d’activité, nous n’allons pas travailler avec un professionnel si ce n’est pas un ami et nous ne travaillerons pas avec un ami s’il n’est pas professionnel. fin de l’année. Nous seront très attentifs au choix des musiques pour, d’une part, sélectionner les meilleurs morceaux et, d’autre part, assurer une cohérence dans leur ordre de passage. Cet album sera une sorte d’histoire dont chaque chapitre est justifié. N.C. : Et vos projets ? E. : Nous souhaitons faire de nombreuses scènes cet été, mais nous n’avons pas encore booké grand-chose. Un album sortira également vers la www.myspace.com/kupidkids N.C. : Que peut-on vous souhaiter pour 2010 ? E. : De continuer sur notre lancée. Nous sommes fiers de ce que nous avons construit et nous espérons continuer à faire de bons choix, le plus de concerts possible, un max de bonnes musiques, avoir plus de fans et toujours plus de bons moments. Clarisse Michaux CApital 11 C u l t u r e Parcours d’artiste UNE MAISON VIVANTE A peine à l’intérieur, on est accueilli par les lumières douces et bien dosées. Dans le canapé, près de la table basse, Fantine, la cadette de la famille Willems, tourne les pages d’un livre illustré. Charlotte, l’aînée, est dans le salon à l’étage avec son Papa – archéologue de son état - qui pendant la trêve de Noël, a quitté pour quelques jours le chantier des fouilles autour de la Collégiale. Nathalie Gilles – Willems Lianes, boutons et vieilles dentelles FORMATIONS ET ENCORE DES FORMATIONS Employée depuis 13 ans, Nathalie a fait le choix de renoncer momentanément à son emploi qui ne lui correspondait plus. Il y a trois ans, cette pause carrière choisie, lui permet de revenir à sa source en tant que graphiste et de développer son sens artistique. Un moment aussi où elle peut consacrer plus de temps à ses deux filles. Son besoin de créer, d’inventer est intense. Pour assouvir cette irrésistible envie, elle s’investit et se donne du temps pour apprendre ce qui pourrait l’aider à canaliser sa créativité. Les fleurs, elle adore. Aussi s’inscrit-elle à des cours de fleuriste et obtient un diplôme après deux ans. Entre les coups, Nathalie continue à travailler les matières et à inventer des nouvelles techniques. « L’Atelier de Thalie » naît d’un rêve qu’elle avait depuis plusieurs années déjà. Dans cette appellation est incluse la création de chapeaux, de coiffes et de décoration. Pour une bonne gestion, elle estime indispensable de connaître le marché et la valeur des choses. Nathalie participe à une formation chez Azimut, une société spécialisée dans l’aide aux futurs entrepreneurs. Elle se familiarise alors avec l’étude du marché, les prix et tout ce qu’un candidat doit savoir pour s’engager dans les meilleures conditions. Tout cela lui donne la confiance nécessaire au lancement de son activité. Elle prépare d’ailleurs en ce moment, un dossier en vue d’obtenir une bourse de pré-activité. PROMENONS-NOUS DANS LES BOIS C’est dans la nature que Nathalie trouve la matière première de ses créations. Le lierre – dénudé de ses feuilles et torsadé par ses soins – est un excellent support pour donner une forme à une coiffe, à un bijou ou même à un élément de décoration. Elle dompte les tiges souples du lierre et, de ces enchevêtrements savants de branches, naissent des formes qu’elle préfère arrondies. Mais le travail ne s’arrête pas là. Sur CApital 13 C u l t u r e Parcours d’artiste ces bases, la phase de création prend toute son importance. C’est là qu’entrent en scène les boutons, la laine bouillie, les dentelles, et autres passementeries. La colle préparée d’une certaine façon, assemble les matières qui prennent en séchant, une teinte douce et nacrée. Une certaine transparence donne aux objets une légèreté toute particulière. Se tenir au courant des tendances mode à venir, fait aussi partie de ce que Nathalie met à son programme. Les couleurs, notamment, ont beaucoup d’importance. Dans ses tiroirs, les boutons verts tendre, orange doux et nacrés, font bon ménage. Les galons s’entremêlent harmonieusement et laissent négligemment dépasser quelques centimètres, comme pour dire « ne nous oubliez pas ». Un miroir brisé ? Même pas peur des sept ans de malheur. Nathalie en récupère les morceaux et les mettra en scène demain, ou peut être dans deux mois. Tout dépendra de son inspiration du moment. EXPOSITIONS ET PARTICIPATIONS Quand le nombre de créations commence à devenir important, c’est que le temps est venu de participer à des parcours d’artistes et à des expositions. Nathalie en est consciente et se prépare régulièrement à l’une ou l’autre promenade artistique. Elle a participé notamment à Art en Chemin en 2008 avec ses premières œuvres et est déjà inscrite pour l’édition 2010. En 2009 elle faisait le Parcours d’Artiste à Glabais en duo avec une photographe – Christine Laurent – dont le talent est reconnu. Vous pourrez le constater par vous-même dans l’illustration du présent article. Et croisons les doigts – d’ici peu, Nathalie se présentera devant un jury des Métiers d’Art du Brabant Wallon et elle forme l’espoir d’y être retenue. Nous pourrons ainsi la rencontrer à Floreffe et d’autres endroits magiques. Souhaitons-lui le meilleur chemin artistique et une confirmation de ses talents à découvrir absolument. Le printemps n’est plus trop loin. Ce sera le moment propice pour partir à la cueillette des lianes de lierre qui se courberont ou partiront en spirale et tout en légèreté vers les nuages - au gré de la volonté de Nathalie. Marie-Marthe Schuermans L’heure des bonnes résolutions a sonné ! Mise en forme Cabinet d’endermologie L’endermologie une technique de pointe ? Oui ! les résultats le prouvent ! L’endermologie est une solution rapide, efficace et sans effort. Son principe ? La cellulite et les zones graisseuses localisées sont dues à un blocage de la micro-circulation. En réactivant le drainage par un massage le palper-rouler, l’endermologie relance la circulation sanguine, élimine les déchets accumulés dans l’organisme provoquant de cette façon, une perte de cellulite et de centimètres. Mise en Forme - Cabinet d’endermologie Benoit Blondiau Venelle Le Phare, 15 - 1400 Nivelles. Espace de Lalieux (près du proxy) - Parking gratuit Sur rendez-vous du lundi au samedi. GSM : 0475/69.14.27 - www.misenforme.be CApital 14 C o m m e r c e s A table « Cet endroit est différent ». Sans pouvoir l’expliquer, Ronald Lapage parle du Manège Enchanté son restaurant : avec enthousiasme, passion et conviction. Et c’est là toute la différence… Les classiques revisités Le Manège Enchanté L’enchanteur enchanté C’est un coup de cœur pour cet endroit qui a amené Ronald chez nous, en mai dernier. Il faut dire que le lieu est enchanteur. Bourgeois et champêtre à la fois, il offre une vue privilégiée sur le port de plaisance et se situe au cœur d’un manège. L’ensemble est serein. Eté comme hiver, le dépaysement qu’il propose invite à s’offrir une pause « à l’abri de toute pollution ». A contrario de cette ambiance « entre terre et mer », la carte du Manège Enchanté opte pour les droits du sol en privilégiant les produits de terroir et de saison. Elle propose une cuisine belge corrigée – par la touche maison - qui s’accorde à merveille à l’ambiance « lounge » de la Brasserie. Les propositions culinaires sont variées. Partagées entre la tradition française via des suggestions évoluant tous les 10 à 15 jours et une cuisine de chez nous modernisée, elles s’apprécient plus encore qu’elles se découvrent. Ici par exemple, la traditionnelle bouchée à la reine se présente sous forme de « Vol au Vent de Poularde et Shitakes » - des champignons chinois. Bien plus appétissant, bien plus savoureux également. Dans la même lignée, les entrées se déclinent en verrines. Généreuses et élégantes, elles se dégustent chaudes ou froides. Et s’apprécient comme il se doit : avec calme et volupté. Testez par exemple le « Tartare de saumon, feuilles d’huître en iode mariné ». Un délice ! Quant au lunch deux services du midi (au prix de 12 euros), les menus – de saison ou de plaisir concocté selon les produits du marché et l’humeur du Chef » et les suggestions – françaises – du moment, elles sont évoquées en lettres blanches sur l’imposante cheminée de cuivre du restaurant. Pour les accompagnements, comptez sur une sélection de vins français issus de toutes les régions du pays. Les amateurs de nectars étrangers choisiront entre l’Argentine et l’Afrique du Sud. D’ici ou d’ailleurs, toutes les appellations de la carte offrent un rapport qualitéprix remarquable. CApital 17 C o m m e r c e s A table Convivialité et authenticité Ronald connaît le milieu de la restauration. Fort de ses nombreuses expériences passées, il a choisi de s’entourer de personnes de confiance. C’est pourquoi, il confie ses fourneaux à Jérôme dont les 25 ans de métier témoignent de son savoir-faire. A ses côtés, son second, Michaël, bénéficie du soutien du patron de la Maison qui lui prédit un bel avenir dans le milieu. En salle, la touche féminine est assurée par Angie qui distribue sa bonne humeur à tout va pendant que Ronald s’assure du bien-être de ses invités. Cet intérêt pour ses clients, ajouté au professionnalisme et à la vocation, a valu au Manège Enchanté un succès immédiat et - déjà - une grande renommée. La belle saison vous invite à vous attabler en terrasse. Exposée aux rayons du soleil, le temps semble s’y arrêter. Et même si le printemps n’est pas loin, pour l’heure, l’hiver est bel et bien d’actualité. C’est donc à l’intérieur que vous prendrez place dans l’une des ailes du manège ittrois. Près du bar ou à proximité d’une fenêtre, règne une apaisante harmonie opérée grâce aux tons chauds et élégants choisis par le Patron de la Maison. Epurée et harmonieuse, la décoration possède un caractère authentique plaisant et apaisant qui rehausse l’atmosphère décontractée instaurée côté cour et côté jardin. En soirée les lumières provenant des photophores colorés sont du plus bel effet. Pour profiter pleinement du cadre, Ronald organise deux soirées par mois. Un vendredi par mois, la « Lady’s First » offre l’apéro et l’entrée à toutes les dames et une à deux fois par mois, le jeudi soir, donne lieu à un concert live de musique de circonstance. Faites d’une pierre deux coups et venez vous imprégner de la magie du Manège Enchanté. Clarisse Michaux La Manège Enchanté / Rue du Sart, 51 / 1460 Ittre Tél. : 067/87.07.87 / Ouvert tous les jours sauf le lundi, le mardi et le mercredi soir Découvrez le Manège Enchanté sur www.resto.be CApital 19 La saison 2010 Même si de grands musiciens ont rendu hommage à l’art culinaire, il est plus rare qu’en découle un spectacle. Rosita et Herman – eux – ont osé ce savoureux mélange de genres. La construction d’instruments avec des objets destinés au centre de tri, d’ustensiles de cuisine et d’aliments – voilà le dada de ce couple qui, depuis quarante ans partage la vie, cultive la découverte de la musique, et sillonne les chemins buissonniers avec un enthousiasme exemplaire. Le joyeux duo passe de scène en scène, de ville en ville, de pays en pays. Le mercredi 13 février prochain, ils poseront leur atelier musical sur les planches du Waux-Hall à Nivelles. Petits et grands – venez donc prendre un petit cours d’optimisme chantant et dansant ! Rosita & Herman Dewit une joyeuse popote Une organisation de l'Echevinat de la Culture de la ville de Nivelles Madame Evelyne VANPEE, Echevine de la Culture I [email protected] réservations ou renseignements Centre Culturel Waux-Hall de Nivelles I 067 88 22 77 ou 067 21 97 85 I [email protected] I 20euros/15euros pour les familles nombreuses, + de 60 ans et – de 25 ans C u l t u r e Waux-Hall LE 13 FÉVRIER 2010 AU WAUX-HALL Pour mieux comprendre la démarche d’Herman et Rosita, passons brièvement en revue ce qui les a menés sur ce chemin saltimbanque. Leur histoire commence par leur rencontre en 1969 et continue encore et toujours. A deux ils s’en vont par monts et par vaux amuser les enfants et leurs parents. Lui – Herman – aime le folklore et les musiques. A un point tel, qu’au fil des années, Il récolte durant sa quête, une impressionnante collection de chansons, mélodies et danses populaires qu’il consigne dans des ouvrages. Est-ce à force de côtoyer ce monde qui le passionne, qu’il y trouve l’inspiration pour composer des musiques et des sketches avec sa compagne Rosita ? Il semble que oui, puisque aujourd’hui encore, ils continuent à inventer des instruments de musique tout à fait inédits. Elle – Rosita Tahon – aime … Herman, et ne se lasse pas de faire des trouvailles avec son artiste de mari. Pourtant, rien ne la prédestinait à la musique. Ses aspirations allaient plutôt vers l’éducation physique - études qu’elle entame avec deux amies au Parnasse. Mais, sa rencontre avec Herman lui donnera l’envie d’autre chose. On connaît la suite. Ajoutons qu’à deux, ils ont obtenu à plusieurs reprises, la reconnaissance des Jeunesses Musicales – ce qui démontre une qualité incontestable de leur talent. Rien ne se perd, tout se recycle. En musique. En duo, Herman Dewit et Rosita présentent, au cours d’un spectacle très visuel, créatif et plein d’humour, un programme unique. Leur «Symphonie de Cuisine», se joue au moyen d’instruments bizarres réalisés à partir d’objets ou d’aliments que l’on trouve dans une cuisine. Jugez vous-même – avezvous déjà vu une clarinettecarotte, une cornemusebanane, un violongourde, un tambourcaisseàvin, une flûtepattedehomard, une harpecuillère, un pianopilchard, une bouteillophone, une plancheàpoissonphone ? Saperlipopette, ça vaut la peine d’être vu ! Ce n’est pas tous les jours que l’on peut assister à un spectacle-festin de ce niveau. Et, ce qui ajoute encore au plaisir, c’est que nos protagonistes invitent le public à participer sur la scène à cet orchestre d’un genre jamais vu. Cette fois, c’est au tour de Nivelles de découvrir le tandem Herman-Rosita. Le 13 février, le Waux-Hall ouvrira ses portes à un spectacle qu’il serait dommage de manquer. D’autant que cela pourra donner quelques bonnes idées pour inventer des instruments de musique à la maison. On peut dire que ce type de recyclage entre tout à fait dans l’air du temps. Encourageant et amusant. Marie-Marthe Schuermans CApital 21 C u l t u r e Théâtre Un petit théâtre au vert – Pourquoi pas ? En ces temps pour le moins chaotiques – il est vital d’avoir des idées. Ceux qui en ont, sont gagnants et … distribuent du bonheur. C’est le cas de Pierre Staquet – à la source d’une initiative intéressante à plus d’un titre. Il possède le lieu, le culot et la passion nécessaires à un projet qui en est aujourd’hui à ses premiers balbutiements. Cinquante sièges. Un bon programme. Un accueil sans reproche. Une envie d’entreprendre. Voilà les ingrédients que Pierre Staquet utilise pour nous concocter quelques bonnes surprises culturelles. Allons voir de plus près, sur les hauteurs de Nivelles, ce petit théâtre au vert. ESPACE ET AUDACE. A la ville - Pierre Staquet se voue au poste de Directeur des Ressources Humaines dans une entreprise hennuyère. Aux champs – Pierre est amateur de culture. Avec une telle ferveur qu’il a voulu offrir aux gourmands du genre, une possibilité de se rendre chez lui pour se faire quelques soirées spectacle. Ce rêve - longtemps caressé - est devenu réalité aujourd’hui. Jeune Nivellois (il est arrivé en 2005) il occupe d’abord un mandat au conseil d’administration du Waux-Hall, ensuite, dans le cadre du projet communal de développer un Centre Culturel reconnu, il intègre le Conseil Culturel par une lettre de motivation bien charpentée. Il adhère à la culture dans son sens large – celle qui réunit les gens. Celle aussi qui invite à être un acteur culturel de sa ville. Parce que Pierre Staquet pense très sincèrement que la culture est un bel outil d’intégration dans sa ville – un vecteur de communication et un lien entre les anciens (Nivellois en l’occurrence) et les nouveaux arrivants à Nivelles. Pour illustrer un exemple d’interférence entre les associations en place, il a fait appel au Photo Club de Nivelles pour réaliser les photos durant la premier spectacle. SYMPHONIE DES ARTS C’est sous ce nom que Pierre Staquet a porté tout récemment sur les fonts baptismaux, une initiative qui ne manque ni d’originalité, ni d’audace. Son objectif ? Répartir sur une année, des spectacles axés CApital 22 sur le théâtre, le chant, la musique, le conte et l’humour. Cela lui demande de sa part, une vision grand-angulaire de ce qui se fait de mieux dans le domaine. Et pour ce faire, il va souvent voir et revoir des comédiens, artistes, musiciens de tous bords – ce qu’il adore. Son premier coup de cœur – c’est comme ça qu’il fonctionne – s’est porté sur une pièce d’Eric-Emmanuel Schmitt – Variations énigmatiques. Ce qui est – il faut le reconnaître – une belle entrée en matière ! Et, tout sourire il raconte cette folle aventure vécue les 26 et 28 novembre derniers, en bonne complicité avec la troupe qui était partie prenante de ce tout premier défi. Répétitions, repérages, adaptation aux lieux. AU FOUR ET AU MOULIN Entre le rêve et sa réalisation, il y a souvent de la marge. Qu’à cela ne tienne, Pierre Staquet fait face, réagit au quart de tour et est sur le pont dès qu’il le faut. De son activité professionnelle dans les ressources humaines, découlent un solide esprit d’anticipation et bon un sens de l’organisation. Des qualités nécessaires pour mener son rêve à bien. Le jour « J » du spectacle, la maison Staquet se transforme en un petit théâtre intime. Les sièges prennent l’assaut du vaste salon. Les lumières adaptées s’installent. Au son, on fait une dernière mise au point. En cuisine, Madame mitonne un petit menu léger (pour 14 personnes maximum à réserver impérativement) que l’on peut prendre dès 19 heures, juste avant la séance. Un bar est installé pour ceux qui voudraient se désaltérer en toute convivialité et en compagnie des comédiens. Voilà, tout est prêt pour accueillir comme il se doit, les visiteurs du soir. L’expérience des Variations énigmatiques a été concluante. Les cinquante places étaient occupées par un public enthousiaste dont chacun avait pris la précaution de réserver les places. Un concept d’abonnement dont les formes sont à définir, se prépare activement. Ca laissera aux gens le choix de leurs places et ça permettra aux organisateurs de s’y retrouver dans l’investissement consenti pour les cachets des acteurs. Non pas que l’idée de Pierre Staquet soit de faire de cette activité secondaire, une source de revenus - le projet s’organise en ASBL - mais bien de faire valoir un concept original et de proposer une offre différenciée dans cette région du Brabant wallon. LE PROGRAMME Pierre Staquet propose des spectacles qu’il a personnellement vus et pour lesquels il a pris les contacts nécessaires pour arrêter un agenda équilibré de comédie, d’humour, de musique et de théâtre. Le prochain spectacle sera très féminin. Les Triplettes de Bruxelles uniront leurs talents dans le domaine de la musique. Pour la suite de la saison, après le théâtre, il y aura de la dérision, du rire, de la chanson française. Ajoutons à cela qu’une place particulière a été réservée à deux « institutions » nivelloises, ce qui prouve une fois de plus que les objectifs de notre hôte sont bien respectés – la création de synergies avec les artistes de notre ville. Ainsi, outre une collaboration avec le Photo Club de Nivelles pour les photos du spectacle initial, Patricia Dacosse et Catherine Ronvaux seront « Les Charlottes » de la pièce de Lucien Lambert et Banquette Arrière se produira au mois de mai. Avant cela, du 11 au 13 mars, nous avons rendez-vous avec Stefan Cuvelier pour son one man show « Parigot Bruxellois ». Pierre tient à transmettre l’idée que même si on ne connaît pas – soit un spectacle, soit des artistes – il faut oser aller vers cet inconnu-là. Il est convaincu que c’est comme ça que l’on découvre des petits trésors parfois inédits et d’incroyables surprises. Une roue se met doucement mais sûrement en marche. A nous d’emboîter le pas et de tenter avec son concepteur, cette belle expérience créatrive. Marie-Marthe Schuermans Pour tout savoir sur La symphonie des arts un site très attractif vous permettra de vous tenir informés de ce qui se passe du côté d’un petit théâtre pas comme les autres. A découvrir. Absolument ! www.lasymphoniedesarts.be [email protected] CApital 23 R e n c o n t r e Westhock Backdraft Un groupe s’est créeé sur Facebook sous l’appellation « Nivelles 2011, ville fantôme ». Présentée telle quelle, sans point d’interrogation, il s’agit d’une affirmation que plus de 1300 personnes ont approuvé, en à peine 3 jours. Un chiffre qui interpelle, certes, mais moins que les personnes qui composent ce groupe. Parmi elles, on retrouve un certain Pierre Huart, une certaine Valérie De Bue et d’autres de leurs amis… Etonnant, non ? Il y a une explication à cela. Derrière le titre pour le moins provocateur de ce groupe, se cache une réelle volonté de trouver des solutions. Et même si certains avouent avoir rejoint le groupe pour être tenus au courant de l’avancement des débats – parfois houleux - sans pour autant y participer, d’autres, à l’image de son créateur (un jeune nivellois de 22 ans), veulent vraiment faire bouger les choses. Nous l’avons rencontré. Son nom de scène : Westhoek Backdraft, rien que cela. N.C. : Comment est né le groupe ? WB : Après une discussion de piliers de comptoir au Kfé St Jacques où l’on refaisait le monde, on a longuement parlé des problèmes socioculturels auxquels Nivelles est confronté. Et en rentrant chez moi, j’ai aussitôt créé ce groupe avec une envie de dialogue et non pas pour le simple plaisir de critiquer. e l l i v , 1 1 0 2 s e ll ! e v e i N m ô t ? z z fan u b o t t o n r o z z Bu CApital 24 N.C. : Vous vous attendiez à un tel buzz ? 1300 membres en 3 jours, c’est pas mal... WB : Non absolument pas. Je n’avais invité qu’une cinquantaine de personnes. En réalité c’est Pierre Huart qui m’en a informé car il m’a téléphoné le lendemain pour que l’on se rencontre. Etant personnellement au boulot, je n’avais pas suivi l’affaire durant la journée. N.C. : Que reprochez-vous à Nivelles ? WB : Rien, j’aime Nivelles. C’est ma ville. Mais il faut avouer qu’il y a un manque cruel d’activités festives orientées pour la tranche 20/30 ans. Il manque également d’un endroit où l’on peut faire des soirées et des concerts sans déranger le voisinage. N.C. : Les autorités nivelloises ont fortement réagi ? Qu’en pensez-vous ? WB : Oui, peut-être même trop vite ! Beaucoup de gens du groupe ont été pris au dépourvu et n’ont pas eu la possibilité de se rendre à la réunion qui s’est déroulée quelques jours plus tard. Mais ça reste une bonne chose, la Ville est restée ouverte au dialogue et maintenant, on espère que ça va continuer afin de la faire évoluer et des projets que l’on peut proposer. N.C. : Une réunion a eu lieu le 4 décembre ? Qu’en est-il ressorti ? WB : Beaucoup de bonnes idées et un bourgmestre ouvert à la discussion. Un compte-rendu de la réunion est disponible sur le groupe Facebook «Nivelles 2011, ville fantôme». J’ai tout de même été déçu du manque d’implication de beaucoup de jeunes qui s’étaient manifestés sur internet mais qui n’ont pas pris la peine de faire le déplacement. N.C. : On a parlé, paraît-il, d’une salle de concert à Nivelles ? WB : Ca, c’est une très bonne question à laquelle je ne peux pas répondre… C’est un des sujets principaux abordé lors de la réunion. Il y déjà des salles mais elles sont inadaptées pour ce genre d’événements. Je n’ai vraiment pas la solution à ce problème et la Ville n’a pas vraiment pu répondre à cette question non plus. N.C. : Si vous en aviez le pouvoir, que changeriez-vous à Nivelles ? WB : Je mettrais sur la Grand’Place, des dalles qui s’illuminent sous nos pas comme dans le clip Billie Jean de Michael Jackson. Sinon, plus d’échanges entre les Nivellois et une plus large ouverture d’esprit. Une salle de concert pas trop loin du centre qui ne dérangerait personne, ça ferait plaisir aussi. N.C. : Et maintenant que vous avez créé le buzz, qu’allez-vous faire ? WB : Rien de plus. Je pense que maintenant c’est aux Nivellois de faire le premier pas et de continuer à créer. C’est facile de se plaindre mais il y a un moment où il faut CApital 25 R e n c o n t r e Westhock Backdraft agir. Moi de mon côté, je suis en train de créer un nouveau style d’événements qui se dérouleront régulièrement en journée. Ses événements se nomment «Avis de K.O social» et l’idée est de faire découvrir de nouveaux artistes aussi bien dans le domaine musical (Dj, groupe de rock, rappeurs…), que dans le visuel ( Photographes, peintres, Vj, stylistes…). Pour ce projet, je suis associé à Hadrien Hanse et bien vite, une petite équipe s’est créé autour de nous, des artistes ont tout de suite été séduits par le projet et veulent déjà venir jouer, exposer, montrer leurs créations. Pour les Fêtes de la Musique, on espère avoir notre propre scène « Avis de K.O social » N.C. : Pensez-vous que c’est un coup dans l’eau ? WB : Oui et non. Oui, parce que c’est clair que les choses vont pas changer du jour au lendemain. Mais d’un autre côté, certaines personnes se sont rendu compte du malaise qu’il y a Nivelles sans jamais vraiment l’avoir abordé librement. Maintenant il y a des personnes qui, sur ce groupe, ont la critique facile et ça en devient parfois ridicule. N.C. : Quelle première réalisation du groupe pouvonsnous attendre pour 2010 ? WB : Moi, personnellement, j’ai mon projet mais je ne veux pas non plus qu’il soit associé à ce groupe. En le créant, je n’avais aucun projet derrière la tête, si ce n’était ouvrir le débat. Tout ce que j’espère, c’est qu’il continuera et que des solutions apparaîtront pour une ville pleine de vie et dans l’espoir d’un jour avoir un endroit pour que les jeunes puissent faire la fête et découvrir de nouvelles choses. Groupe Facebook : Nivelles 2011, ville fantôme Groupe Facebook : Avis de K.O social ! Prochaine event : Avis de K.O social ! : 30 janvier 2010 au Pélerin Interview : Luc Pieltain Photo : Hadrien Hanse CApital 26 Publi-reportage A chacun choix ». Pas question pour autant d’en faire une génération d’enfants-rois ! Parmi les valeurs inculquées aux petits pensionnaires, le respect du règlement occupe une place importante. Ainsi, ils seront libres de vaquer dans les 280 m2 de la Maison d’enfants, exception faite de la cuisine – règlement oblige – partie essentiellement réservée à leurs gardiennes. Un mercredi matin, une maison nivelloise est le théâtre d’un bien étrange concert. La Maison d’enfants Baby Love organise un atelier musical… Surprenant pour le visiteur, visiblement très amusant pour la dizaine d’enfants présents ce jour-là. Tobias, Elissa, Morgane, Théo, Zoé, Eliot, Thelma…et les autres ! Tous sont là, bien au chaud, véritablement « lovés » dans une maison de douceur, la maison d’enfants Baby Love. L’endroit porte bien son nom. Un lieu de découverte, d’apprentissage, de respect, c’est ainsi que Laurye Santens voulait sa crèche. Elle tenait à cette maison d’enfants. Elle y a cru tout de suite. Elle a travaillé dur, fait preuve d’imagination, cloué, peint, bricolé. Toute seule…avant de s’entourer d’une équipe féminine dynamique et avenante composée de Natalia, Françoise, Marie et Mélanie. Après de nombreuses années d’expérience dont trois passées dans cette maison du zoning nivellois, Baby Love est le refuge de 22 enfants - inscrits pour un nombre de 15 enfants maximum en même temps - et bénéficie de la confiance des parents. Elle-même maman de 4 enfants, Laurye connaît la vie et ses aléas. Elle sait à quel point il est difficile de cumuler vie professionnelle et vie privée. C’est pourquoi, son objectif est double : s’occuper des enfants en leur offrant ce qu’il y a de meilleur au niveau des activités, de la nourriture et de l’attention et garantir aux parents une tranquillité d’esprit. Vêtements, bottes, déguisements,… Baby Love fournit le nécessaire pour permettre aux enfants de vivre, jouer, grandir à leur rythme ! C’est d’ailleurs le credo de la Maison d’enfants. Le respect est une valeur primordiale pour Laurye et son équipe qui prennent en considération la personnalité de l’enfant, son évolution, ses envies et ses besoins. Elle l’affirme : « Si l’enfant ne veut pas jouer, se déguiser ou aller vers quelques chose qui l’effraye tel que Saint Nicolas ou un animal en particulier, nous ne le forçons pas, jamais, mais nous l’encourageons, lui expliquons et, au final, nous respectons son Fête… des jeux ! Plusieurs fois dans la journée, elles s’adonnent à un même rituel : préparer le repas de toutes ces petites bouches. Pour ça, Laurye opte pour la cuisine vapeur. Ici encore rien n’est laissé au hasard, les goûts, les habitudes alimentaires et les timings sont scrupuleusement respectés. Pour ces multiples attentions, Baby Love se démarque et se fait remarquer ! Par l’ONE, notamment qui lui a accordé une agrégation qui souligne la qualité de ses activités ludiques et didactiques. Au jardin, le temps est partagé entre les jeux d’extérieur et le soin quotidien apporté aux animaux de la crèche : les trois poules, les deux canards, le gros lapin, la tortue de terre et l’aquarium de poissons d’eau de mer. L’hiver, c’est à l’intérieur que l’essentiel de l’action se déroule. Les « parcours du combattant » et les bricolages, chaque jour réinventés par l’équipe d’animation développent la psychomotricité des enfants, leur créativité et leur sens du jeu. Et lorsqu’ils ne jouent pas, les enfants de Baby Love font la fête. Les anniversaires et les festivités annuelles – Carnaval, Halloween, Saint Nicolas, Noël,… - sont chaque fois l’occasion de s’amuser, de découvrir et d’apprendre de nouvelles choses… au cœur d’un véritable paradis enfantin. Baby Love Chaussée de Namur, 50 A 1400 Nivelles Tél. : 067/21.51.91 C’est reparti pour un tour … en voiture ou en moto ! Clap 88 pour le Salon Auto & Moto de Bruxelles. Du 14 au 24 janvier, nous serons nombreux à nous rendre au Heysel pour arpenter les allées du salon bisannuel à la recherche de la voiture de nos rêves. Quelle que soit notre priorité - écologie, design, puissance, sécurité, plaisir de conduite … - notre budget et l’utilisation que nous lui réservons, le choix sera encore une fois la ligne directrice du Salon. Au programme, toujours plus de nouveautés, des engins plus respectueux de l’environnement, plus indépendants, plus design et sécurisants. De quoi mettre en joie les passionnés, compléter la joujouthèque des collectionneurs, alimenter les fantasmes des rêveurs et ravir les adeptes d’une conduite moins polluante. Douze jours durant, la technologie automobile sera sur toutes les lèvres. Nul doute que l’évènement attirera une foule toujours plus nombreuse venant des quatre coins du pays et de l’étranger. Pas moins de 600.000 visiteurs sont attendus par les organisateurs qui, cette fois encore, ont déployé une énergie considérable pour faire de ce rendez-vous l’un des plus grands d’Europe. • Pralines • Dragées de Baptême •Mariage Place Emile de Lalieux - 1400 Nivelles - 067 21 06 55 Dans le sillage du Salon, rendez-vous chez vos concessionnaires préférés pour découvrir ce que ces belles automobiles ont sous le capot ! SALON AUTO & MOTO 2010 DE BRUXELLES Brussels Expo (Heysel) • Place de Belgique • 1020 Bruxelles • www.bruexpo.be Heures d’ouverture : 14 -> 24/01/2010 • Semaine : 10h00 - 20h00 • Week-ends : 10h00 - 18h30 • Nocturnes (18 & 22/01) : 10h00 - 22h00 Volvo XC 60 : le SUV posé et pas fanfaron Qu’il est bien loin le temps où Volvo nous proposait des caisses à cigares sur 4 roues !...Sûres et solides certes mais au look… Par chance, les stylistes aidés par l’outil informatique nous proposent maintenant des épures franchement plus séduisantes… P’tit frangin du XC 90, le XC 60 est produit en Belgique et ne peut décemment renier ses origines : sa calandre barrée du logo suédois et les optiques arrières s’y emploient d’ailleurs très bien. Nous avons apprécié cet SUV bien dans l’air du temps : pas d’ostentation gratuite mais du sérieux bien éprouvé. On s’en souvient : depuis toujours Volvo met l’accent sur la sécurité active et passive. Pétri de dispositifs sécuritaires tels l’ABS, l’ACC, le DAC, le LDW, le BLIS, le DST, l’HDC et le RSC qu’une description succincte exigerait 3 pages de Nivelles Capital, le XC 60 avoue 4,628 mètres sous la toise, 1,891 m en largeur et 1,713 m en hauteur. Sa garde au sol atteint les 22,2 cm et le place donc à l’abri des mauvaises surprises dès lors que l’on sort des sentiers battus. Même si ce n’est pas précisément sa tasse de thé. La luminosité de l’habitacle, bien dans l’esprit Volvo et réservé à cinq occupants, conjuguée à celle offerte par le toit panoramique font du XC60 un espace à vivre qui se déplace dans un écrin de confort sécurisant. Les blocs 4, 5 et 6 cylindres essence et diesel lui autorisent des performances très correctes tandis qu’un différentiel Haldex envoie la cavalerie sur les 2 essieux selon leur adhérence respective. Trois niveaux d’amortissement (Sport, Comfort, Advanced), 3 options (Kinetic, Momentum, Summum) le rendent encore plus plaisant. Notez que la banquette arrière se divise en 3 et le volume du coffre atteint 480 litres. Avec des puissances de 163 ch, 185 ch et 285 ch, la XC 60 se fera compagnon de route paisible et distingué. Ou laissera libre cours à sa pleine puissance. A chacun son style. Pour les respectueux de l’environnement, la XC 60 est aussi disponible en version DRIVe, le label vert de Volvo. La 2.4 D DRIVe inclut un système Start/Stop ultra-performant qui équipe les modèles équipés d’un moteur diesel conventionnel ainsi que d’une boîte de vitesses optimisée pour une consommation extrêmement faible. D’où une réduction notable des émissions nocives. Sachez aussi que le portefeuille devra se délester de 37.200 € à 50.050 € selon la cavalerie et les atours retenus. Parmi les raffinements, on penchera pour la boîte auto à 6 rapports, la sellerie cuir, la peinture métallisée, le toit ouvrant, les phares au xénon, le système de navigation et d’aide au stationnement ainsi que l’alarme. Richement doté tant au niveau de l’équipement que de la sécurité, le XC 60 est un véhicule attachant. Dans toute l’acception du terme. Une performance en soi. Bob MONARD. Fizaine sprl Chaussée de Bruxelles 226 1401 Nivelles • 067 21 40 27 Hyundai i X 35 : l’heure de la succession a sonné Etre le digne successeur du Tucson ne sera pas une mince affaire ! Lancé durant l’été 2004, il peut se targuer d’avoir été en tête des ventes du marché belgo-luxembourgeois durant trois années consécutives. Et le IX 35 s’en réjouit… Tournant résolument le dos au look baroudeur de son prédécesseur, le nouveau SUV compact de Hyundai fait plutôt dans les rondeurs et les galbes avec une calandre hexagonale. Avec 9 cms de plus que le Tucson, l’IX 35 atteint 4,41 m en longueur, 1.820 m en largeur et son empattement est de 2,64 m. Bien cabré sur des bottines de 255/55 R18…en option, il offre aussi de l’espace supplémentaire pour les jambes et la tête…alors que la hauteur totale de la voiture a diminué ! L’espace de rangement dans la console centrale a lui gagné 6,2 litres. De surcroît, le cache-bagages à l’arrière à été positionné plus haut pour libérer davantage d’espace dans le coffre alors qu’un un petit casier de rangement a été ajouté dans le compartiment à bagages. Cet IX 35 sera disponible sous peu équipé d’un moteur 2 litres essence de 163 ch et d’un moteur diesel de même cylindrée libérant 136 ch ou 184 ch. Le client pourra bien entendu choisir entre les variantes à 2 et 4 roues motrices ainsi qu’entre les boîtes manuelle à 6 rapports ou automatique. Tableau de bord dans l’air du temps avec rétro-éclairage bleu, très bonne insonorisation générale, caméra pour se jouer des difficultés de parcage, aide au démarrage en pente, aide à la descente, présence de ‘l’Eco-coach’ qui est une nouvelle fonction favorisant les habitudes de conduite économiques , cinq étoiles aux tests de sécurité EuroNCAP, consommation de carburant et émissions nocives réduites,…les coréens n’ont rien négligé dans leur souhait de proposer un SUV moderne, propre, sécurisant et d’encombrement intelligent. Qui ne boude pas pour autant le plaisir de conduire ni celui de ses passagers, loin s’en faut. Si le grand frère Tucson brillait par la qualité de son équipement et de sa finition comme par son confort général et son habitabilité, l’IX 35 ne sera pas en reste. Jouant la carte du trend (SUV Compact) tout en choyant ceux qui y prendront place, il constitue l’attraction du stand Hyundai au Salon de Bruxelles tout en tenant la vedette dans le réseau des concessionnaires. Quant à son prix, il sera dévoilé sous peu puisque les premières livraisons sont programmées pour le mois de mars. Bob MONARD. Chée de Bruxelles 230 - Nivelles 067/220 361 - 0474/984 667 www.rvmotors.be VW Polo BlueMotion : c’est du propre ! Tout constructeur s’attèle à réduire la consommation de ses véhicules. Et par là même l’émission de particules polluantes. Une des préoccupations majeures de VW qui a su garder intact le plaisir au volant. Et chacun d’y aller d’une terminologie qui fleure bon la dépollution ambiante. Chez VW, c’est le label BlueMotion qui rassemble les moins gloutonnes de la gamme. Apparu en 2006 sur la Polo, il badge également la Golf et la Passat à motorisation TDi Common-Rail. Résultat : une conso de 3,3 litres aux 100 kilomètres pour la Polo de 75 ch et 87 g/km de CO2. Soit le modèle le plus économique au monde dans sa catégorie. Qui dit réduction de la consommation pense budget moindre à la pompe ! Ajoutons-y l’autonomie de cette Polo labellisée BlueMotion : 1363 kms pour la Polo 1,2 litre 3 cylindres, … normal que le conducteur VW retrouve le sourire aux stations-service ! Pour arriver à ces résultats, les ingénieurs ont flanqué les moteurs TDI d’un nouveau logiciel de gestion tout en abaissant le ralenti. Si la planche de bord affiche le rapport de boîte le plus avantageux, on pointera aussi le système de récupération d’énergie au freinage, la coupure du moteur au point mort et son redémarrage via l’embrayage, les pneus montés sur des jantes légères et aérodynamiques à faible résistance au roulement. Tous ces aménagements constituent un pack homogène qui n’exclut aucunement le plaisir de conduire. Comme quoi il convient de ne pas confondre sobriété et austérité. Sur le plan environnemental, le rapport de boîte à sélectionner favorise une économie de 20%, la démultiplication de la boîte 3 à 8 grammes de C02 en moins, l’aérodynamisme 1 à 2 g, l’énergie au freinage 2 à 3 g, les pneus 2 à 4 g et le Start-Stop 4 à 8 g. Le calendrier prévoit l’arrivée de la Polo 3 cylindres- à l’inimitable sonorité - en mars 2010 et la Polo BlueMotion 1.600 cc dans les prochains jours. Cette Polo bien proprette compte aussi sur son comportement et la qualité de sa finition pour séduire. Cette BlueMotionisation , la griffe générale pour une technologie efficiente au service de l’environnement, c’est bien. Très bien même. Mais Wolfsburg ne compte pas s’arrêter sur le chemin de « l’environnementalement correct » puisque demain ce seront des VW privilégiant l’hybride tant essence que diesel qu’il nous sera donné de croiser sur le réseau européen. Pour l’heure, le seul constructeur allemand à 2 lettres savoure le titre de « Voiture de l’Année » décroché par la nouvelle…Polo. Soit 17 ans après la Golf élue en 1992. Bob MONARD. Honda Accord : diesel et automatique. Remises au goût du jour voici un an, les Honda Accord et Accord Tourer diesel s’offrent aujourd’hui une boîte automatique à 5 rapports. Pour la grande joie des familles et des gros rouleurs. Apparue en 1976 avec 2 portes et hayon, la Honda Accord devenait aussi tri-corps en 1978. Au total, 8 générations d’Accord se sont succédé en 32 ans. Soit 17 millions d’exemplaires commercialisés ! Familiale au style séduisant et au confort remarquable, les Accord profitent d’une finition et d’un équipement qui méritent la citation. Stature et voies larges soulignent élégamment le dynamisme de cette berline dont la déclinaison break « Tourer » s’avère d’une étonnante polyvalence. Et si elles ont la cote auprès des familles, leur habitabilité n’y est certes pas du tout étrangère. Ce qui manquait à leur 2199 cc diesel de 150 ch ne…manque plus depuis début avril. Cette lacune est en effet comblée avec la boîte automatique maison à 5 rapports. Elle est utilisable en mode Drive pour une conduite coulée ou sur voies rapides et en mode Sport pour une conduite plus « nerveuse » via le sélecteur destiné au changement séquentiel. La première option autorise 4.000 tours dans chaque rapport et la seconde 5.000 tours. Le levier de vitesses se double de palettes au volant pour rétrograder. Insight Hybrid Trend Votre avantage Prix de vente recommandé... 19.990,00 € 15% prime gouvernementale...... - 2.998,50 € 2.998,50 € 16.991,50 € 15% prime gouvernementale pour voitures propres Supplément pour peinture métallisée : 490,00 e Consommation mixte: 4,4 l/100 km - Emission de CO2: 101 g/km Conditions salon sur toute la gamme Précaution : en mode « manuel » sur les 2èmes, 3èmes et 4èmes rapports, le diagramme est adapté et le boîtier de gestion de la transmission coupe l’alimentation en carburant s’il existe un risque de surrégime. De même, la transmission passera automatiquement au rapport supérieur afin d’éviter d’endommager le moteur et n’exécutera pas le rétrogradage induit par le conducteur si ce dernier entraîne le moteur au-delà du régime maximal. Notons encore que le statut de la transmission s’affiche au centre du compte-tours tandis que le Grade Logic Control ajuste le diagramme des rapports en côte et en descente pendant que le Shift Hold Control évite les changements de rapports superflus en conduite sportive pour laisser à l’usager le loisir de bénéficier de toute la cavalerie sans devoir rétrograder et accélérer en sortie de courbe. Nous avons pu l’expérimenté : cette technologie nous a donné satisfaction sur un parcours sinueux à souhait ! Avec des suspensions avant à double triangulation et arrière multibras ainsi que des amortisseurs à taux variable, cette Accord offre un remarquable comportement routier. Dans le registre sécuritaire, on pointe le LKAS qui détecte si le véhicule dévie de sa bande de circulation, le CMBS qui calcule la distance avec le véhicule qui >>> suite en page 40 MANAGE SPRL Garage Chaussée de Mons, 45a Tél.: 064/43.24.31 Iacono Lucien www.iacono.be CHARLEROI Route de Mons, 68 Tél.: 071/32.37.12 précède et qui freine l’Accord si nécessaire ainsi que l’ACC qui maintient l’Accord à une distance constante par rapport au véhicule suivi. En plus de 4 freins à disques ventilés, de la direction assistée électrique adaptative EPS qui décèle tout déficit de stabilité (vent latéral, revêtement glissant,…) et du TSA qui contribue à rétablir la stabilité directionnelle d’une caravane ou d’une remorque dans les situations délicates. Offrant une position de conduite optimale grâce à moult réglages (siège et volant), l’Accord étale avec bonheur ses nombreux atouts comme sa qualité de finition et son ergonomie générale. Le P’tit Gabriel La boîte auto à 5 rapports est optionnelle sur les Accord 4 portes et Tourer équipées des blocs essence 1997 cc (156 ch) et 2354 cc (201 ch) couplés à une boîte manuelle à 6 rapports. Trois niveaux d’équipement - Confort, Elegance, Executive- et 3 ans de garantie ou 100.000 kms complètent la fiche signalétique de cette Accord diesel automatique facturée à partir de 29.390 € (Sedan) jusqu’à 34.675 € (Tourer). Bob MONARD. Accord* Type S 2.4 Edition 5AT-201CH Accord* 2.4 Exclusive Edition 5AT-201CH Prix de vente recommandé e 33.940 Bonus salon -e 7.450 E 26.490 Bonus de reprise -e 3.500 Prix de vente recommandé e 36.420 Bonus salon -e 7.930 E 28.490 Bonus de reprise -e 3.500 Prix salon -e22.990 *(série limitée) Prix salon -e24.990 *Supplément pour peinture métallisée : E 530 Consommation mixte : 7,6 - 8,7 l/100 km • Emissions de CO2 : 176 - 202 g/km * Votre avantage = avantage de prix par rapport au prix de vente recommandé par Honda Motor Europe (North) GmbH pour une Accord avec équipement comparable.Action valable chez les distributeurs participants sur voitures de stock commandées en janvier et immatriculées avant fin mars 2010 ou jusqu’à épuisement de stock. MANAGE SPRL Garage Chaussée de Mons, 45a Tél.: 064/43.24.31 Iacono Lucien www.iacono.be CHARLEROI Route de Mons, 68 Tél.: 071/32.37.12 Fondue tous les soirs, dimanche midi et jours fériés (Gratuite le jour de votre anniversaire) Possibilité de réserver le midi pour banquet ou groupe F O N D U E BOURGUIGNONNE Square Gabrielle Petit 11 I 1400 Nivelles I 067 44 36 16 M a i n s A vous les vraies saveurs… TABLE DE REMPOTAGE TUTEUR POUR TOMATES CHAUFFAGE ÉLECTRIQUE Rien ne vaut les légumes du jardin pour retrouver les vraies saveurs. Compliqué le potager ? Non certainement pas, avec quelques conseils, un peu de temps et de la patience pour laisser faire Dame Nature, vous retrouverez dans votre assiette les goûts de votre enfance. … et le bio en plus ! FUMIER DE VACHE-POULE-CHEVAL DCM • Source d’humus d’origine variée: pour une meilleure structure et une fertilité Tdu sol renforcée • Pas de risque de brûlures: sûr pour les plantes • Séché: exempt de semences de mauvaises herbes, maladies et Ainsectes VIVIMUS® POUR LÉGUMES DCM • Amendement organique, spécialement conçu pour la plantation des légumes feuilles, légumes fruits, légumes racines, choux… • Crée les conditions optimales pour un enracinement rapide et une plantation réussie • Pour un sol aéré et riche en humus favorisant l’enracinement et la croissance TERREAU POUR LEGUMES ET HERBES AROMATIQUES • Idéal pour l’empotage ou le rempotage de tous les légumes et les herbes aromatiques • Utilisable en agriculture et horticulture biologique • Avec fumure organique pour 100 jours, pret à l’emploi • Aussi utilisable lors du semis et de la plantation en pleine terre v e r t e s Les semences Un petit espace au jardin dédié à la création d’un potager sans difficulté. Prévoyez un espace assez ensoleillé, les tomates y mûriront plus rapidement, Mélangez les semences de carottes et de radis, les premières sont de culture plus longue et permettent une récolte rapide de radis. Attendez que le sol soit bien réchauffé avant de semer vos haricots. Arrosez bien en période de fortes chaleurs, pensez à désherber, mais aussi à récolter ! Un très large assortiment de semences vous est proposé dans notre jardinerie. Hésitant ? Venez prendre des renseignements auprès de l’un de nos conseillers. Les plantes Des fleurs cet hiver au jardin ? Oui, c’est possible ! Il est encore temps de les planter sauf si le sol est gelé. Des plantes telles que l’Hammamelis, Helebore ou bien encore le Jasmin d’Hiver vous offrent une floraison hivernale. LES MINI-SERRES CLIMATISÉES Venez les chercher en container chez nous et la couleur remplira votre jardin. On vous l’a toujours dit, les conseils c’est Chez Central Jardin. A 5 minutes du centre de Nivelles (Route Nivelles-Seneffe) Rue de la Samme 30 • Arquennes • [email protected] • Tél. : 067 87 77 78 • Fax : 067 87 91 60 Ouvert du mardi au samedi de 9H à 12H30 et de 13H30 à 18H Fermé le lundi N e w s Qu’est-ce qui cloche dans le clocher ? ciel et terre et encaissent des coups répétés, mais en outre, ça fait plus de 30 ans que ça dure ! La seule manière de voler au secours du joug, a été de réduire ladite cloche au silence et de la soutenir avec des poutres de bois en attendant une solution définitive et fiable. Le hic, c’est que le renouvellement et l’installation d’un joug représentent un investissement considérable et surtout imprévu ! Avez-vous remarqué cette petite anomalie ? Une sérieuse dissonance touche tant la ritournelle, que les coups de la demie et de l’heure. Mais que s’est-il donc passé pour que la belle harmonie des accords habituels se rompe ? Nous avons posé la question à un fidèle des lieux – celui qui le samedi matin, durant le marché, joue des cloches pour rythmer nos achats hebdomadaires et nos rencontres maraîchères. Robert Ferrière est notre homme. UNE SEULE CLOCHE DÉFAILLE, ET TOUT EST DÉRÉGLÉ Ce qui fait l’harmonie du son d’un ensemble de cloches, c’est la mise au diapason de leurs notes qui diffèrent selon leur poids, leur grandeur, leur battant. Quand l’une d’elles manque à l’appel, c’est la foire … et on peut dire que ce que nous entendons en ce moment, n’est pas joli, joli. Une des quatre cloches mobiles menaçait de tomber (ce qui aurait été catastrophique) en raison d’une fissure dans le joug qui la soutient. Il faut dire que ces dames de 3 tonnes 200 à 1 tonne 150, mettent le matériel à rude épreuve. Déjà, elles se balancent chaque jour entre 312 MARCHES PLUS HAUT Il en faut du souffle et de l’endurance pour atteindre la grande famille des cloches qui niche tout en haut de la Collégiale ! Mais l’effort vaut la peine d’être fait. D’en bas, on est loin de se douter que ce point culminant de la Ville abrite une telle quantité de bronze ! La tour centrale contient 47 cloches et la tour de djan-djan se contente modestement de deux qu’il ne touche jamais. Oui, au risque de vous décevoir, notre bonhomme doré ne fait que simuler la frappe sur la cloche. Il faut distinguer deux grands groupes de cloches. Les mobiles, au nombre de quatre, battant la cloche se met en mouvement et entraîne le battant qui frappe sur le métal. Les quarante-trois autres de plus petit calibre - s’actionnent soit avec le clavier sous les mains expertes de Robert Ferrière ou de son complice, soit au moyen d’un tambour électro-mécanique pour sonner la ritournelle et les coups horaires. Mais, il y a encore beaucoup à dire sur les habitantes du sommet de la Collégiale. Nous y reviendrons plus en détail dans un prochain numéro. Nous ne résistons toutefois pas à la tentation de citer un bon mot de notre joyeux luron de Robert Ferrière. Quand il annonce le nombre de cloches qu’il fait sonner, il dit qu’il y en a 49 et qu’avec lui elles sont 50 … Et d’enchaîner : « D’ailleurs, quand je me rends à la Collégiale, je dis à ma femme : « Je vais voir mes sœurs … » Cela ne vaut-il pas son poids en bronze ça ? Marie-Marthe Schuermans Mérites Sportifs nivellois S p o r t Au programme : Une soirée rythmée et sportive 18h30 : Ouverture des Portes et drink de bienvenue. 19h00 : Dîner assuré par l’Institut du Sacré Cœur de Nivelles, section traiteur. 20h00 : Démarrage de la Soirée de Gala 20h30 : Spectacle du Mérite Sportif Jean-Denis Lejeune rappellera les objectifs de sa nouvelle asbl « Objectif Ô » récemment installée à Nivelles. La remise des prix sera animée par des illustrations faites en temps réel par notre dessinateur nivellois, Pad’r. Dans la pratique : Comment participer ? Les réservations sont obligatoires. Pour cela, contactez Muriel Henin à la Maison des Sports de Nivelles. Par mail : [email protected] Par téléphone ou fax : 067 / 84 15 05 Les réservations sont confirmées dès réception du paiement au numéro Fortis : 271-0749901-26 avec la communication : Mérite 2009 + Nom + Nombre de repas adultes (15 euros) et enfants (10 euros) (x AD + x EFT) Entre chaque catégorie sportive, diverses animations vous seront présentées. Nous soulignons notamment une démonstration de Foot Streetstyle en présence du Champion de Belgique, El Marnissi Soufiane. Mais également, une démonstration de Tae Bo et de Funk par Evidance ainsi qu’une démonstration de Danse rythmique et d’Acro Danse par Espace Santé. L’école « 2 Mad » présentera quant à elle, une démonstration de Break dance. Pour la deuxième fois consécutive, janvier accueillera son Gala du Sport ainsi que la Cérémonie de Remise du Mérite sportif de l’année 2009. Les festivités se dérouleront le vendredi 29 janvier 2010 à 18h30 à la Salle de la Dodaine, dans le Parc de Nivelles. L’édition 2009 sera précédée d’un repas auquel tout le monde est cordialement convié. Les bénéfices de la soirée seront intégralement reversés aux différents clubs sportifs participants. Une séance de dédicaces par les différents champions sportifs présents à la soirée viendra en clôture de l’événement. Les inscriptions peuvent se faire également via les clubs de sport.