Seconde université pluridisciplinaire de France avec un secteur

DOSSIER DE PRESSE
« Inauguration d’un nouveau bâtiment dédié
au Laboratoire de recherche Géoazur
(UMR UNS - OCA - CNRS - IRD) »
http://geoazur.oca.eu
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GEOAZUR, EN QUELQUES MOTS...
Créée en 1996, l’Unité Mixte de Recherche Géoazur (UNS-OCA-CNRS-IRD) conduit des actions de
recherche et de développement en géosciences par des approches couplées Terre-Océan-Espace. Les
principales thématiques abordées sont l’étude de la dynamique de la lithosphère et de la métrologie de la
Terre et de l’Univers proche. Ces études prennent en compte des enjeux sociétaux importants, notamment
les aléas sismique, gravitaire et tsunamigénique, ou encore la surveillance du niveau moyen des mers.
Géoazur participe activement aux formations du département Terre-Environnement-Espace de l’Université
de Nice-Sophia Antipolis, et aux ateliers de géosciences marines de l’Observatoire Océanologique de
Villefranche-sur-Mer (OOV-UPMC).
Géoazur s’intègre aux missions d’observations de l’Observatoire de la côte d’Azur, observations au service
de la communauté scientifique par les pôles géodésique, sismologique, mouvement gravitaire et télémétrie
laser.
Depuis Octobre 2012, Géoazur est regroupée sur le site du campus CNRS de Sophia Antipolis. Une partie
du personnel Géoazur est également présent sur le site de l’Observatoire de la Côte d’Azur à Calern dans
le cadre des activités d’observation en télémétrie laser.
LES CHIFFRES CLES
• 3 Etablissements partenaires : Géoazur est rattachée à l’Université de Nice Sophia-Antipolis (UNS, tutelle
principale), à l’Observatoire de la Côte d’Azur (OCA), et est sous convention avec l’Université Pierre et
MarieCurie (UPMC)
• 2 EPST : Géoazur est une Unité Mixte de Recherche du Centre National de la Recherche Scientifique
(CNRS - UMR 7329) et de l’Institut de Recherche pour le Développement (IRD - UR 082)
• 2 antennes outre-mer : Géoazur a une première antenne en Équateur en partenariat avec l’Ecole
Polytechnique Nationale à Quito (Equateur), dans le cadre du Laboratoire Mixte International «Séismes et
Volcans», et une seconde antenne dans le Pacifique sud-ouest (centre IRD de Nouméa, Nouvelle-Calédonie)
• 6 équipes thématiques :
- Aléas et vulnérabilités : Couplages, Processus et Conséquences
- Astrogéo : Géodésie et métrologie de l’univers proche
- Dynamique des Failles et des Séismes
- Dynamique des Marges Convergentes
- Imagerie et Ondes
- Dynamique Orogénique : Transferts et Couplages
unice.fr
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Seconde université pluridisciplinaire de France avec un secteur santé, l’Université Nice Sophia Antipolis
(UNS) compte plus de 26000 étudiants. Elle est présente sur l’ensemble du territoire des Alpes Maritimes
avec 12 campus implantés de Menton à Cannes.
Son offre de formation regroupe 275 diplômes de la licence au doctorat en passant par les DUT et les
diplômes d’ingénieurs, dans 5 domaines de formation, le droit, l’économie et la gestion ; les arts, lettres et
langues ; les sciences humaines et sociales ; les sciences, technologies et santé ; les sciences et techniques
des activités physiques et sportives.
Intensive en recherche, elle compte 1300 enseignants-chercheurs et chercheurs permanents répartis dans 49
laboratoires couvrant tous les grands domaines de recherche, dont plus d’une vingtaine d’unités mixtes de
recherche associées aux grands organismes de recherche tel que le CNRS, l’INRA, l’INRIA, l’INSERM,
l’Institut de Recherche pour le Développement et le Commissariat à l’Energie Atomique.
Dans le contexte national et international de la recherche, l’UNS est particulièrement reconnue et donc
positionnée dans les domaines des sciences de la vie et de la santé, mais également des mathématiques et de
leurs interactions, de la physique, des sciences de la terre et de l’univers et dans certains secteurs des
sciences et technologies de l’information et de la communication et des sciences humaines et sociales. Les
questions scientifiques traitées vont des plus fondamentales aux plus finalisées avec pour objectifs de
contribuer à la production de connaissances scientifiques au meilleur niveau international et d’étudier les
grands enjeux de notre société.
Une politique scientifique basée sur le soutien aux laboratoires et sur la pluridisciplinarité
L’UNS investit dans la recherche fondamentale, à laquelle s’adossent la recherche appliquée et les
enseignements.
La politique scientifique de l’UNS consiste d’abord à soutenir ses laboratoires en leur assurant les moyens
de travailler sur le long terme : une dotation de base stable, et une programmation pluriannuelle concertée
des recrutements sont les principaux leviers de ce soutien. Les regroupements d’équipe sont encouragés,
dans le respect des spécificités et des exigences de chaque discipline, afin que chaque structure de recherche
ait la masse critique suffisante pour offrir à chacun de ses membres un cadre de travail adéquat, les meilleurs
soutiens techniques et administratifs, et l’espace de liberté nécessaire aux diverses initiatives en matière de
recherche.
La base disciplinaire de la recherche étant ainsi confortée par le soutien sans faille aux laboratoires, le
second axe fort de la politique scientifique de l’UNS a pour objectif de faire fructifier sa pluridisciplinarité :
d’une simple juxtaposition de divers champs disciplinaires répartis sur de multiples campus, celle-ci doit
devenir un terreau suscitant des croisements fertiles, tant dans le domaine de la recherche fondamentale que
dans celui de la recherche appliquée. Cette volonté se traduit notamment par des appels d’offre spécifiques
(part des crédits scientifiques incitatifs, bourses post-doctorales), par le développement de plusieurs instituts
fédératifs pluridisciplinaires et par la mise en œuvre d’une politique scientifique de site partagée avec
l’ensemble des partenaires institutionnels.
Une présence internationale
L’UNS développe de très nombreuses collaborations internationales, et compte parmi ses laboratoires quatre
LIA (Laboratoires Internationaux Associés) ainsi qu’une UMI (Unité Mixte Internationale). Elle renforce
son soutien à l’accueil des post-doctorants et chercheurs étrangers. Les principales zones géographiques
dans lesquelles elle s’investit sont l’Asie, l’Europe de l’Est et le pourtour méditerranéen.
Mais l'UNS a aussi à cœur d'irriguer son territoire, à travers ses partenariats de proximité avec d'autres
établissements, son insertion dans les pôles de compétitivité, sa participation aux diverses instances locales
et régionales (entre autres PERSAN, ANDROMEDE), sa collaboration avec les collectivités et les
entreprises locales - relations auxquelles elle donne un nouveau dynamisme.
www.cnrs.fr/cote-azur
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Fort de 30 laboratoires et près de 850 personnes, chercheurs, techniciens et administratifs, le CNRS est l’un
des principaux acteurs de la recherche en région Côte d’Azur. Les laboratoires situés dans les Alpes
Maritimes et le Var sont presque tous des unités mixtes de recherche, dites UMR, associées aux universités
de la région comme celles de Nice - Sophia Antipolis, Toulon et Paris ainsi que diverses grandes écoles,
instituts et aux autres établissements de recherche.
Le CNRS en Côte d’Azur, couvre les principales disciplines scientifiques et fonde sa stratégie de
développement sur des partenariats actifs avec tous les acteurs régionaux de la recherche mais également
avec les institutions politiques locales et régionales, comme les mairies et les Conseils Généraux et
Régionaux de sa circonscription. L’objectif commun et avéré de tous est de porter au plus haut la recherche
et l’excellence scientifique dans la région Côte d’Azur.
Le Délégué Régional
Les missions de la délégation
La délégation régionale est placée sous la responsabilité d’un délégué régional, Pierre DAUCHEZ,
représentant unique du Centre et de son Directeur général dans la circonscription.
La délégation régionale assure des missions de gestion, d'appui aux laboratoires, de représentation de
l'établissement, d'animation et de coordination de la communauté scientifique.
Une mission de gestion
La délégation met en œuvre tous les actes administratifs accompagnant la vie des laboratoires (gestion des
personnels, gestion budgétaire et financière, formalisation des contrats de collaboration, de valorisation, de
prestation, …).
Une mission d’appui
La délégation impulse et coordonne toutes les actions assurant aux laboratoires l’appui dont ils peuvent
avoir besoin (recherche de partenariats, valorisation, communication, conseil en gestion des ressources
humaines et en organisation, information scientifique et technique, formation permanente, action sociale,
soutien logistique, prévention et sécurité, …). Elle assure également la maîtrise d'ouvrage des projets
immobiliers ou des travaux d'entretien et de mise à niveau du patrimoine du CNRS.
Une mission de représentation
Représentant le CNRS dans sa circonscription, le Délégué régional est l’interlocuteur des partenaires du
CNRS en Côte d’Azur. Avec ses services, il assure le suivi de proximité de ces partenariats.
Une mission d’animation et de coordination de la communauté scientifique de la circonscription et de
coordination de ses activités régionales
La délégation soutient les laboratoires dans leurs projets et leurs opérations de communication scientifique.
Elle organise et coordonne les actions de diffusion de la culture scientifique auprès du public et favorise les
synergies enseignement-recherche-innovation.
www.oca.eu
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L’Observatoire de la Côte d’Azur possède un patrimoine architectural et scientifique remarquable, ouvert au
public. Mais loin d’être tourné vers le passé, l’OCA est un opérateur de recherche en sciences de la Terre et
de l’Univers reconnu internationalement. Aujourd’hui, les bâtiments construits par Charles Garnier côtoient
la mécanique de précision, les centres de calcul intensif et les observatoires virtuels…
Avec quelques 450 agents localisés sur 4 sites géographiques (site historique du Mont Gros, campus Valrose
de l’Université de Nice-Sophia Antipolis (UNS) à Nice, Sophia Antipolis et le site d’observation du plateau
de Calern, l’OCA est un des 25 Observatoires des sciences de l’Univers français chargés du recueil continu
et systématique de données observationnelles de la Terre et de l’Univers. Son rôle est d’explorer, de
comprendre et de valoriser les sciences de la Terre et de l’Univers, que ce soit en astrophysique, en sciences
de la Terre, mais aussi dans les sciences connexes comme la mécanique, le traitement du signal, ou
l’optique.
Pour produire et exploiter les données recueillies par les grands instruments au sol et dans l’espace, l’OCA
met en œuvre une approche globale combinant théorie, modélisation, observation, analyse et constitution de
banques de données. Disposant d’une unité de services Galilée, l’OCA permet de soutenir le fonctionnement
de ses laboratoires de recherches (gestion administrative et financière, services techniques, informatique…)
et de mettre en œuvre la politique scientifique de l’établissement au travers d’infrastructures de recherches
(mésocentre de calcul intensif mutualisé, observatoire virtuel, bureau d’études et atelier de mécanique
mutualisé, salles blanches, sites d’observation du plateau de Calern, externes en Californie, en Antarctique
et en Amérique du sud).
L’OCA contribue à son environnement sociétal en transmettant les questionnements et les développements
de la science contemporaine produite en son sein. D’une part, les laboratoires de l’OCA contribuent
activement à la formation universitaire à l’UNS à tous les niveaux, depuis la licence jusqu’au doctorat. De
plus, l’OCA met en place un dispositif unique d’observations en astrophysique et en géosciences, dédiée à
l’enseignement universitaire et à la recherche, donnant ainsi l’opportunité aux étudiants de se former par les
thématiques de recherche spécifiques à l’OCA : le Centre Pédagogique Planète Univers (C2PU). D’autre
part, l’OCA est très impliqué dans sa mission de diffusion des connaissances vers tous les publics, profitant
de la combinaison unique entre son patrimoine exceptionnel et les recherches contemporaines.
L’OCA, un établissement autonome
L’Observatoire de la Côte d’Azur est un Observatoire des Sciences de l’Univers (OSU) et un établissement
public à caractère administratif dirigé par Farrokh Vakili, astronome. Doté d’une autonomie administrative
et financière, l’OCA regroupe et pilote les activités de recherches en sciences de la Terre et de l’Univers de
la région azuréenne effectuées au sein de 3 unités de recherche multitutelles (UNS, CNRS, IRD, OCA) :
Artémis, Géoazur et Lagrange. L’OCA héberge également l’unité LISE de la chaire d’astrophysique
observationnelle du Collège de France.
Sur le site du Mont-Gros à Nice, les équipes de recherche de l’OCA travaillent
à la mise au point du sputtering, un prototype de machine capable de réaliser
la construction de miroirs optiques jusqu’à 1 m 80 de diamètre.
Les flotteurs équipés d’un enregistreur d’ondes acoustiques,
appelés Mermaids, dérivent entre deux eaux et enregistrent
des données sismiques pour le laboratoire Géoazur de l’OCA
www.ird.fr
Contact presse : Cristelle Duos
L’IRD : recherche, formation et innovation en partenariat
Etablissement public français à caractère scientifique et technologique, l’IRD est placé sous la tutelle
conjointe des ministères de l’Enseignement supérieur et de la Recherche et celui des Affaires
étrangères et européennes. Il déploie ses activités à l’international depuis son siège, à Marseille, et ses
deux centres métropolitains de Montpellier et de Bondy. Grâce à son action de recherche, de
formation et d’innovation en partenariat, il rayonne dans plus d’une cinquantaine de pays en
Afrique, sur le pourtour méditerranéen, en Asie, en Amérique latine et en outre-mer. Fondés sur
l’interdisciplinarité, les projets menés conjointement traitent de questions cruciales pour les Suds :
maladies tropicales et de civilisation, relations entre santé et environnement, changements
climatiques, ressources en eau, sécurité alimentaire, écosystèmes tropicaux et méditerranéens,
risques naturels, pauvreté, vulnérabilité et inégalités sociales, migrations, évolution du marché du
travail…
Intégrée au sein de l’IRD, l’Agence inter-établissements de recherche pour le développement (AIRD)
constitue une force de mobilisation scientifique qui ambitionne de fédérer les organismes français de
recherche et les universités pour agir au Sud, avec les Suds et pour les Suds dans les domaines de la
formation, de la recherche et de l’innovation. L’AIRD regroupe le Cirad, le CNRS, la CPU, l’Inserm,
l’Institut Pasteur et l’IRD.
www.ird.fr ; www.aird.fr