HLBE504 : comparaison forêt, garrigue et rocaille

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HLBE504 : comparaison forêt, garrigue et rocaille
Rouviere Nathan L3 GBE BEST gr C
HLBE504 : comparaison forêt, garrigue et rocaille
Introduction :
Le milieux méditerranéen est un milieux où on s trouve une flore et une faune particulière, dans
laquelle se trouve des milieux caractéristique à cette dernière, tel que la Rocaille, la Garrigue, et des
forêts de type Pinède, et cette diversité de milieux est due on contraintes variantes on fonction des
endroits du milieux méditerranéen, tels que le climat, la salinité, et les contraintes hydriques, qui
façonne le paysage, et permettent de sélectionner les espèces les plus adapter au différents milieux.
Parmi l’ensemble des contraintes, on se concentrera sur c’elle de l’eau, du fait que l’on observe une
variation de la quantité d’eau présente dans le sol. Du fait que les disponibilités en eau sont différentes
en fonction des 3 milieux, et qu’il existe différents technique de maintient de l’eau chez les végétaux,
est-ce qu’il est possible de voir dans c’est différents milieux, des stratégies de conservation de l’eau
qui sont plus présente dans un milieu qu’un autre ?
Matériel et méthode :
Pour cette expérience, nous nous sommes installer aux alentours de la croix de la croix de Guillery,
prés des Hauts de Massane et du fleuve de la Mosson, où il est possible nos trois milieux d’études.
Dans chacun des ces milieux nous avons installer trois Quadrats sur un sol plat pour chaque, et placer
au hasard dans chaque milieux, avec des quadrats de 1 m² dans la rocaille, de 9 m² dans la garrigue et
de 25 m² dans la forêt, de manière à avoir un recouvrement qui ne soit pas gêner par certaines espèce
comme le Pin d’Alep. Puis dans chacun des quadrats, nous avons relevé et identifier les espèces qu’ils
nous étaient possible de trouver à l’aide de nos connaissance et d’un guide floristique du milieu
méditerranéen, et noter l’espace de recouvrement de chaque espèce. Enfin, sur chacune des espèces à
été identifier la ou les stratégies de conservation de l’eau la plus présentes, et seront regroupe entre
elles celles ayant une stratégie similaire, et leurs espace de recouvrement seront mis en commun,
permettant de comparer aux autres stratégies et dans les différents milieux, le positionnement les plus
présente ou favoriser des différentes stratégies.
Résultats :
200
180
160
140
120
100
80
60
40
20
0
pinède
Guarrigue
Rocaille
Cuticule
Feuille
modifier
Plante
rampant
Plante à
aromate
Plante
grasse
Plante à
poil
Représentation de l’espace de recouvrement de chaque stratégie de conservation, en fonction du
milieu.
Parmi l’ensemble des stratégies de conservation de l’eau observables, on a remarquer la présence de
cuticules sur les feuilles, limitant l’évapotranspiration et les échanges gazeux, des feuilles modifier
pour être plus petite et avoir une surface de contacte moindre avec l’extérieur et donc limiter
l’évapotranspiration, des plantes rampantes pour pouvoir agrandir la surface ou extraire de l’eau en
profondeur et des nutriments, la présence d’aromates dans les feuilles, facilitant le refroidissements
des feuilles, et diminuant donc l’évapotranspiration, des plantes grasses qui stockent de grande
quantité d’eau dans leurs feuilles, tiges et racines, et enfin des plantes possédant des poils sous leurs
feuilles, permettant de conserver de l’eau perdue par l’évapotranspiration dans ces derniers et la
limitant. Il est possible de retrouver chez une espèce plusieurs des caractéristiques cité précédemment.
On peut donc constater que dans tous les milieux, la présence de feuilles modifier est la plus présente
de toutes et ceux avec de très grande proportions comparer aux autres cas et qui est moins marquer
dans la garrigue, avec juste derrière la présence de cuticule sur les feuilles, qui est plus marquer dans
la garrigue et moindre dans la rocaille. Concernant les plantes rampantes, à aromates ou grasse, on les
retrouves plus dans les milieux rocailleux que dans les autres, avec une présence de plantes rampante
et grasse dans la garrigue et de plantes à aromate dans la pinède. Enfin on retrouve les plantes à poils
dans la garrigue, plus dans la pinède.
Conclusion :
On peut supposer avec notre étude que dans les milieux méditerranéen les stratégies de conservation
de l’eau la plus présente et donc favoriser sont la réduction foliaire et la mise en place de cuticule, car
sont présente sur une grande superficie dans chacun des différents milieux. De plus on constate, même
si c’est en plus faible surface, les autres stratégie de conservation plus rependu dans la rocaille
qu’ailleurs, pouvant indiquer que ces dernière sont plus prévu pour des milieux plus extrême que la
garrigue ou la pinède même si on retrouve des plantes rampantes et grasse dans la garrigues et plantes
à poil et à aromates dans la pinède.
Seulement l’ensemble des résultats présente ici ne sont pas significatif, car cette étude c’est dérouler
sur une période de temps court ( 3 jours ), sur un seul cite alors que pour de vrai résultats il faudrait le
faire sur un plus grand nombre de cite sur tout le bassin méditerranéen, et d’autres stratégies de
conservation peuvent avoir été oublier du au manque de moyen et de connaissance sur le milieux
(exemple : la présence de bulbe pour faire des réserves d’eau). Ainsi, pour avoir de rai résultat, il
faudrait refaire cette expérience avec plus de précision, de connaissance, de temps et de cite.

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