Des personnes qui disparaissent brutalement - Infos

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Des personnes qui disparaissent brutalement - Infos
Des personnes qui disparaissent brutalement, sans explications, surtout sans raisons personnelles, de
fuite ou de crainte… Ces disparitions, qui se font parfois en présence de témoins, défient notre
entendement et toutes les logiques de nos connaissances modernes et scientifiques.Des dossiers
refermés sur des familles entières dont on n’a plus jamais eu de nouvelles… Crimes crapuleux,
intérêt majeur, accident, amnésie, crainte de la justice ou autres ? Ils, elles, sont ainsi des centaines à
rejoindre les grandes énigmes inexpliquées. Pour la France, seule, les services judiciaires estiment à
plusieurs dizaines le nombre des disparitions sur lesquelles la justice et les services de recherche
français ne peuvent apporter le plus petit éclairage ou le moindre début de piste ou d’hypothèse…
L’homme qui disparaissait
James B. Warson est buveur, certes, mais il est aussi un excellent sportif. Ce 3 septembre 1873, il
court, suite à un pari stupide, afin de couvrir 60 km sans s’arrêter. Ils sont trois, dont un
photographe, à le suivre dans une carriole attelée. James avance à une bonne allure, sans fatigue
apparente… Derrière lui, ses amis l’encouragent. Tout à coup, il semble tituber, trébucher et tomber
en avant, dans un grand cri. Il n’arrivera jamais à terre…Il disparaîtra d’un seul coup, comme on
supprime une image dans un film. On ne le retrouvera pas et ses amis ne s’en remettront jamais
vraiment.
A trop chercher…on disparaît aussi
Ambrose Bierce est écrivain et journaliste. Il relate ce fait, ainsi que d’autres, car il s’est spécialisé
dans les disparitions étranges et s’acharne contre les autorités incapables d’avancer une hypothèse.
Il enquêtera sans relâche…et disparaîtra, à son tour, sans laisser de traces, ni d’écrits, en 1913 ! fait
surprenant, un autre Ambrose Small, subira le même sort, et un Ambrose Fonton, puis un Ambrose
Marton… Ce qui fera dire au français Charles Fart que, pour lui, c’est le nom d’Ambrose qui est
visé, plus que l’individu.
Le sort de l’Archiduc d’Autriche
Jean Orth des Absbourg disparu en mer à bord de la Santa Margharita
Il s’agit d’un superbe trois-mâts : La ‘Santa Margharita’. Le
navire est parfaitement entretenu et dispose d’un équipage
sévèrement sélectionné. Les officiers qui en assurent le
commandement, sont tous chevronnés et de toute confiance.
Les conditions météorologiques sont excellentes. Le trajet est
une croisière d’agrément qui doit se dérouler de Buenos Aires
à Valparaiso. Le principal passager n’est autre que l’ex
Archiduc d’Autriche, Jean Orth…On imagine les soins et les
assurances qui entouraient ce voyage.
Le navire disparaîtra, avec J. Orth et les neufs membres
d’équipage, sans que cette énigme ne puisse jamais être
éclaircie !
Ajoutons, pour le lecteur intéressé, qu’il est très possible que
l’Archiduc eut été à propos des dessous de l’affaire de Rennesle Château…
Il ne reste que la voix
Ambrose Bierce relatait encore un fait incroyable, celui de la
disparition de C.Ashmore.
Nous sommes en hiver. Il neige et Ashmore doit sortir chercher de
l’eau. Il part et ne revient jamais. Ne le voyant pas revenir, deux
personnes partent à sa rencontre et suivent ses pas dans la neige.
Visiblement, Ashmore est allé jusqu’au puits, puis il a fait demitour. Mais sur le trajet de retour, les traces de pas s’arrêtent nets….
Et plus rien ! Il n’y a pas d’arbre auquel il aurait pu grimper, ni
traces d’animaux ou autres aux alentours. Personne ne reverra
Asmore. Il avait 16 ans.
Un seul détail fera froid au dos des enquêteurs : ils entendront la
voix du disparu jusqu’au printemps…puis ce sera le silence !
L’horreur du 35° parallèle
Et nous pourrions aller ainsi au fil des centaines d’exemples de disparitions toujours énigmatiques
et insolubles.
Sur ce sujet, l’affaire du 35° parallèle est toujours d’actualité, hélas. Une brève chronologie : déjà
en 1872, la « Dei Gratia », navire anglais, croise le brigantin la « Marie Céleste ». Ce dernier vogue
toutes voiles déployées… mais il est entièrement vide de tout occupant, et ce depuis peu, car des
fourneaux de la cuisine de bord sont encore chauds et des tasses de thé sont encore fumantes. Rien,
plus rien des douze passagers et membres d’équipages…sauf le chat du cuisinier !
Ainsi, sera inauguré l’interminable liste des disparitions dans les alentours du 35° parallèle…Une
horreur !
L’hécatombe de juillet 1969
Ce mois de juillet 1969 s’illustrera par une succession de découvertes maritimes toutes plus
énigmatiques les unes que les autres.
4 juillet… le « Cotopaxi » est découvert vide navigant en gouvernail automatique. Même jour, le «
Red Sun », le « Calliana » et le « San Pedro » seront trouvés sans occupants. Ils ne présentent
aucune avarie et la météo est idéale…On ne retrouvera aucun débris, aucun message, pas de corps.
Les embarcations de secours et les gilets de sauvetage
sont en place.
6 juillet…le « Vagabond » de William Wallin est vide.
La « Rosa » vide… le « Nelson » vide de 14 membres
d’équipage… trois navires de pêche avec leurs filets
dérivants, vides tous les trois…
8, 12 et 15 juillet, 16 embarcations découvertes
dérivantes
Ainsi le mois de juillet 1969 se terminera avec plus de
140 découvertes de navires vides et dérivants… Pas
un seul rescapé !
Tout cela se passe au large des Açores, à 35° de
latitude Nord !
Le capitaine MORHOUSE de la DEI GRATIA
Le long de la planisphère
Ce bilan est catastrophique et énigmatique pour une petite partie maritime du 35° parallèle. Mais ce
dernier se poursuit aussi sur les terres. Impossible de tout relater ici, nous nous contenterons d’une
brève et inquiétante énumération : séismes, cataclysmes atmosphériques et autres catastrophes dites
« naturelles ». On serait tenté de sourire à ce mot, incongru ici, s ‘il n’y avait à la clé des milliers de
morts.
Les Açores, le Japon, la Martinique, les Calabres, San Francisco, Lisbonne, Naples, Smyrne, les îles
Ioniennes, Skopje, Agadir, Orléans ville, pour ne citer que ces seuls grands lieux où se déroulèrent
des raz de marées d’apocalypse (le Pakistan Oriental en fera les frais). De plus chaque année on
enregistre des centaines de disparitions inexpliquées sur cette ligne du 35° parallèle.
Les étranges meurtres du 35°
Tuer est encore faire disparaître ou supprimer, ce qui dans l’absolu de l’épouvante revient au même,
sauf que l’on connaît la tragique destinée des victimes et le lieu des crimes.
- Los Angeles, 35° parallèle… les massacres innombrables, plus celui de Sharon Tate et de ses amis.
- La Californie, San Francisco, encore Los Angeles…les points de concertation d’un nombre
incalculable de sectes meurtrières… sur le 35°.
- Les grands mouvements guerriers secouant la planète naissent souvent sur les limites de ce
parallèle : les frontières sino-indiennes et soviétiques…le Tibet, Viêt-Nam, Afrique du Nord, plus
près dans le temps, Iran, Irak, Corée…
Des milliers de morts et de disparus ! ! !
La Dame au sang bleu
En France, les cas de disparitions inexpliquées sont nombreux. Là encore, nous ne disposons pas de
la place nécessaire pour les parcourir. Retenons seulement celui-ci qui nous semble le plus
énigmatique.
Dreuil-les-Amiens, 1932. Un accident de voiture important. De l’amas de ferrailles deux témoins
sortent une jeune femme inconsciente et la conduisent eux-mêmes dans une clinique d’Amiens où
elle sera admise en urgence. Le médecin de garde prélève du sang de la victime pour en déterminer
le groupe afin de pouvoir la perfuser. Il sera surpris de la teinte bleuâtre de ce sang et , plus encore,
lorsqu’à l’analyse ce sang apparaîtra de composition …inconnu !
La jeune femme, toujours inconsciente, reçoit les soins d’urgence puis est conduite dans une
chambre au service de réanimation. Malgré la présence d’une infirmière, au matin il n’y avait plus
personne dans le lit, où seuls se devinaient les plis froissés des draps. Pendant la nuit, cette clinique
était fermée et les portes verrouillées de l’intérieur. Les fenêtres du rez de chaussé, où se trouvait la
chambre de la patiente, était en plus défendues par un barreaudage.
Les services de gendarmerie furent alertés mais jamais la « dame au sang bleu » ne fut retrouvée.
Sur les lieux de l’accident, on retrouvera les traces du choc mais rien non plus de la voiture.
Ce fut un des cas les plus énigmatiques de disparition en France.
Vue depuis le pont de La Dei Gratia de La Marie Céleste vide de son équipage
Un force surpuissante
Il faut pourtant conclure ce sujet insoluble…
Daniel Réju aurait dit à ce propos, et il est tout à fait plausible qu’il ait raison : « Finalement, existet-il dans l’Univers une force surpuissante, inconnue de notre conscient, celle qui est à l’origine de
toute existence et de toute vie ? Par le biais des manifestations « paranormales » ne chercherait-elle
pas à prouver son existence, choquant notre compréhension, démolissant notre entendement, brisant
notre cartésianisme et nos étroites structures mentales… ».
Mais alors, quelles sont les critères de choix géographiques occasionnant tous ces évènements
dramatiques ? ? ?
Source: France secret
Article trouvé par: Divine

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