ÉCONOMIE : demandez le programme
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ÉCONOMIE : demandez le programme
ÉCONOMIE : demandez le programme EMPLOI François BAYROU MoDem François HOLLANDE PS Éva JOLY EELV Marine LE PEN FN Jean-Luc MÉLENCHON Front de gauche Nicolas SARKOZY UMP JEUNESSE FORMATION ENTREPRISES RETRAITES DIALOGUE SOCIAL Suppression de la défiscalisation des heures supplémentaires. Mise en place d’un régime de retraite par points, fondé sur des comptes individuels retraçant précisément les droits acquis par le salarié. Revaloriser les petites retraites. Entrée des salariés au conseil d'administration des grandes entreprises. Etendre le rôle des comités d’entreprise à la négociation des conditions de travail et des rémunérations. Création d'une Banque publique d’investissement pour les PME. Permettre aux Régions de prendre des participations dans les entreprises. Doublement du plafond du livret développement durable, à 12 000 euros, pour les PME. Mise en place de trois taux d’imposition sur les sociétés. Prêt à discuter de nouvelles modalités d’application des 35 heures, pour « perfectionner le dispositif », par exemple en adaptant le temps de travail à la pénibilité ou en liant rémunération et temps de travail. Retraite à 60 ans pour tous ceux qui ont cotisé la totalité de leurs annuités. Négociation globale à mener pour tous les autres. Notation sociale obligeant les entreprises de plus de 500 salariés à faire certifier annuellement la gestion de leurs ressources humaines en fonction de l’emploi et de conditions de travail. Entrée des salariés au conseil d'administration des grandes entreprises. Mise en place d’un crédit de 8 années de formation, valable pour tous tout au long de la vie, après 16 ans. Création d’un pôle d’investissement public autour de la Caisse des Dépôts et d’OSEO. Mise en place d’un Pacte pour les PME contribuant à la transition écologique : modulation des aides publiques, accès prioritaires eux marchés publics. Suppression des exonérations sur les heures supplémentaires. Encourager entreprises et salariés à aller vers les 32 heures hebdomadaires. Retraite à 60 ans pour tous, sans décote. Possibilité pour ceux qui ont exercé des métiers pénibles de partir avant. Aucune aide publique accordée aux entreprises qui n’assurent pas l'égalité salariale effective : ni subvention, ni exonération, ni marché public. Associer les représentants des salariés aux décisions stratégiques, en leur attribuant 50 % des sièges dans les conseils d'administration. Pas de problématique d'emploi spécifique aux jeunes selon la candidate du FN. Instauration d'un service public de formation. Renforcer la progressivité de l’impôt sur les sociétés en fonction du chiffre d’affaires et du bénéfice. Empêcher les grandes entreprises qui recourent le plus à l’emprunt d’échapper à l’impôt. Mettre en place une banque publique de financement des PME/PMI. La renégociation sera autorisée à condition qu'elle s'accompagne d'une augmentation proportionnelle du salaire. Retour de l’âge légal à 60 ans avec 40 annuités de cotisation pour une retraite à taux plein. Fusionner les régimes de base et les régimes complémentaires. Initiative populaire et réforme des syndicats pour arriver à des organisations professionnelles par branches. Instaurer une réserve légale de titres dans l’entreprise afin que le personnel puisse acquérir des parts. Création d’un Fonds national et de fonds régionaux pour l’emploi et la formation. Interdiction des licenciements boursiers. Intermittents du spectacle : abrogation de la loi de 2003 sur l’assurance-chômage et création d’un système mutualisé pérenne. Encadrement des stages : rémunération fixée à 50 % du Smic dès le premier mois, durée limitée à 6 mois, carence de 3 mois entre deux stages, quota de stagiaires par entreprise, accès des stagiaires à la protection sociale… Création d’un Fonds national et de fonds régionaux pour l’emploi et la formation. Prise en charge des périodes de non emploi, de retrait d'activité et de formation. Modulation de l’impôt sur les sociétés et du taux des cotisations sociales patronales en fonction des objectifs d’emploi, de formation et du niveau des salaires. Suppression des exonérations de cotisations sociales patronales. Rétablissement des 35 heures avec les embauches correspondantes, notamment dans la fonction publique. Strict encadrement du recours aux heures supplémentaires. Rétablissement de la retraite à 60 ans à taux plein (75 % du salaire de référence) avec la prise en compte de la pénibilité de professions particulières donnant droit à des départs anticipés. Aucun salarié ne touchera une retraite inférieure au Smic. Aucun accord d’entreprise ne pourra supplanter et être moins favorable aux travailleurs que le droit commun. Pénaliser les entreprises qui ne respectent pas l’égalité hommes-femmes. Interdiction des licenciements boursiers. Travail du dimanche restreint. Favoriser les revenus du travail par rapport aux revenus de l’assistance. Développer les contrats d’insertion, afin d’inciter les bénéficiaires du RSA à reprendre une activité. Un refus entraînerait une diminition du RSA socle. Elargir les conditions du travail le dimanche. Doublement du malus en cas de non respect du quota de 5% jeunes en apprentissage ou en alternance pour les entreprises de plus de 250 salariés. Attribuer à chacun un compte individuel de formation. Le capital de départ serait inversement proportionnel à la formation initiale, afin que les salariés les moins diplômés en profitent davantage. réferendum sur le mode d'indemnisation du chômage. Alléger les charges sur les bas salaires en contrepartie d'augmentations des salaires. Faire évoluer les seuils de respect des obligations sociales. Faciliter l’accès des PME aux marchés publics. Simplifier les procédures administratives des PME par le biais d’un guichet unique. Sortir définitivement des 35 heures par la négociation collective dès 2012, en adaptant la durée du travail aux besoins des entreprises et en échange d’une augmentation des salaires. Interdire les retraites-chapeaux. Accords compétitivité - emploi afin de moduler le temps de travail. Création d’un commissariat national aux stratégies afin de reocaliser la production industrielle. Création d’un livret d’épargne industrie. Création d’un crédit d’impôt innovation. Contrat unique et universel. Exonération des charges patronales pendant deux ans pour les entreprises de moins de 50 salariés qui embauchent un jeune en CDI. Création d'une agence pour l'orientation sur les filières qui offrent des débouchés. Coût de cette mesure : 2 milliards d’euros. Soutenir la formation professionnelle en remettant à plat les crédits à travers une Agence nationale. Créer un droit effectif à la formation tout au long de la vie, matérialisé par l’ouverture d’un compte formation continue personnel. Création d’un avantage fiscal lorsqu’une grande entreprise aura créé une structure d’investissement en direction des PME. Création d’une ou plusieurs banques d’économie mixte de soutien aux PME. Crédit d’impôt innovation. Création d’un livret d’épargne industrie. Contrat de génération : embauche, en contrat à durée indéterminée, de jeunes, accompagnés par un salarié plus expérimenté, qui sera ainsi maintenu dans l’emploi jusqu’à son départ à la retraite. Renforcement des moyens de Pôle emploi. 150 000 emplois d’avenir pour faciliter l’insertion des jeunes dans l’emploi et l’action des associations, en priorité dans les quartiers populaires. Encadrement des stages pour empêcher les abus. 20 heures de formation gratuite pour les non diplômés. Contrat de génération : embauche, en contrat à durée indéterminée, de jeunes, accompagnés par un salarié plus expérimenté, qui sera ainsi maintenu dans l’emploi jusqu’à son départ à la retraite. Créer près d’un million d’emplois issus de l’économie verte d’ici 2020 : via le développement des énergies renouvelables, la réhabilitation énergétique, les transports collectifs… Réformer Pôle Emploi : améliorer l’accompagnement personnalisé. Revenu d'autonomie, soit sous la forme d'une allocation d'étude rénovée, soit par l'accès à un revenu minimum d'insertion à 600 euros. Encourager le développement des petites entreprises et la réindustrialisation. Mise en oeuvre de la préférence nationale à l'embauche. Recours aux travailleurs clandestins sévèrement sanctionné. Renforcement des contrôles au sein de Pôle Emploi. 35 HEURES