Août 1913 - Site en travaux, le week

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Août 1913 - Site en travaux, le week
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A o u T
30* Année! s N» 61
LB'KBMÉRO
; CnVO CENTIMES
X
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Dimanche 3 n i i ^ l 9 l 3
i-'iiiisfJ'ffp
lo.
ET MARITIME
Organe Républicain Oémocraticfue de la Région du Nord-Ouest
Paraissant
Annonces et Réolames
Annonces judiciaires (la ligne)... 20 o.
Annonces volontaires
2B o.
Réclames
60 o.
Les annonces sont reçues, au bureau du
journal et, à Paris, dans toutes les Agences.
On traite à forfait pour les
annonces
répétées plusieurs fois.
RÉF-CJBLIQTJS;
F K , A. 3Sr Ç A . I S IC
CANTON DE Q U I M P E R L É
Élection au Conseil Général du 3 Août 1913
Arthur Négociant
COURTIER
Membre de la Chambre de Commerce de Qinmper
Maire de Quimperlé
C A N D I D A T -
RÉF3UB1.IC AIN
D E
G A U C H I
CANTON DE PONT-AVEN
Élection au Conseil Général du 3 Août 1913
Corentîii
Conseiller Général
CANDIDAT
RÉPUBLICAIN
Tous aux Urnes I
pas d'abstentions!
Y
HO
Sortant
DÉMOCRATE
ces étiquettes, nos « purs » radicauxsocialistes, venus hier à la République et qui se figurent qu'elle
n'existait pas avant eux, qu'ils
n'osent plus s'accoller les épithètës
rutilantes qu'ils adjoignaient, naguère encore, à leur titre de Républicain. M. Le Louédec se contente
de se dire « seul > candidat républicain, et son sous-verge,.M. Berthou, hésite lui même, à se dire radical ou radical-socialiste, tant ils
sentent tous deux combien ce parti
par les abus de sa politique de surenchère est discrédité et se décompose.
Les électeurs, qui ne sont pas les
éternels naïfs que souhaiteraient
les incapables du genre de M.
Louédec, sont décidés à secouer
cette tyrannie anonyme qui pesait
sur eux depuis quelques années. Ils
veulent les fonctionnaires indépendants des hommes politiques, — et
l'on se souvient des abominables
vengeances dont ont été victimes
certains fonctionnaires qui avaient
commis le crime de ne pas se jeter
constamment à plat ventre devant
M. Le Louédec, — Ils veulent l'autonomie des municipalités respectée,
les prérogatives, des maires sauvegardées et non 'plus livrées aux
agissements de délégués sans mandat.
La République étant « la chose
de tous », ils veulent revenir a u x
saines traditions, interrompues par
une trop longue période de haine
et de sectarisme. Ils veulent, conformément à l'immortelle déclaration des Droits de l'Homme, que
tout citoyen, fut-il un adversaire
politique, ne puisse être molesté à
raison de ses opinions, et qu'il ait
droit à la pleine justice.
Ils veulent s opposer avec énergie
aux atteintes à la liberté d'où
qu'elles viennent, que l'on respecte
toutes les croyances religieuses,
toutes ;ies opinions philosophiques.
Amis sincères et résolus de l'école
laïque, ils se refusent à faire de
celle ci un instrument entre | les
mains d'un parti politique, c a r c'est
en se perfectionnant sans cesse, en
observant rigoureusement la neutralité religieuse, que l'école laïquie
Nous voici arrivés au mo uent
décisif et la parole est désormais à
l'électeur. Celui-ci a en mains tous
les éléments utiles pour se faire une
opinion et, dimanche, par son bulletin de vote, il signifiera à M. Le
Louédec et à ses créatures qu'il ne
veut plus de la politique de haine,
de délation et de rancune qui a si
profondément divisé ce pays.
Si les questions locales jouent
un rôle prédominant dans les élections cantonales, la politique générale ne doit, pas, pour cela, être
perdue de vue.
Déjà, dans maintes élections partielles,, les électeurs ont montré
qu'ils ne voulaient plus de la politique personnelle des radicaux-socialistes dont le parti se désagrège
chaque jour davantage ; ils viennent
à la politique d'action sociale et
de concorde nationale, qui est la
nôtre, orientée inlassablement vers
le progrès, généreuse et tolérante.
Cette politique essentiellement et
exclusivement républicaine, fait appel à tous les républicains, sans
ostracisme, sans exclusion, pour
la défense de la République, car
ceux qui, comme M. Le Louédec,
osent se prétendre les « seuls » candidats républicains, contribuent surtout, par leurs actes arbitraires et
coupables, à rendre odieux le régime républicain et sont pour lui,
un véritable danger.
Plus que jamais l'entente est facile entre les républicains de bon
sens et de bonne foi, même séparés
par certaines divergences d'i(Jées
mais animés par un égal souci de
l'intérêt républicain et national. Le
^ v o i r des républicains de gouvernement est de grouper tous ceux qui,
sous des étiquettes différentes, ont
le sentiment des responsabilités
communes, et d'écarter les candidats qui se parent du noble souci
de l'intérêt général, alors qu'ils
ne songent qu'à leur propre intérêt
et s'efforcent de créer des divisions
pour imposer leur règne éphémère,
sentent 1 tellement l'inanité 1 de s ' i m p o s e r a
à
tous et
les JEUDI
et
DIMANCHE
Directeur : Armand GAUTIER
Les abonnements s» faient d'avance, sauf eonveru
Uons ils partent dK i" ou du 16 de chaque mois.
UÈDA.CTION, ADMINISTRATION A ANNONCSS On s'abonne au bureau du journal. On peut s'abonntr
A QUIMPERLË, Plâoe Hervo. n' 8 bl8
également, sans frais, dans tous les bureaux de poste,
ou encore en adressant un mandât-poste au 'Direeteur,
T A U A i b h o n k , IM* •
M. Armand GAUTIER, place Mervo, à Quimferlé,
Adreste Télégraphiqut : Union, Quimperlé
des attaques dont elle est parfois
l'objet."-' '
•
Voilà ce que veulent les vrais républicains c'est-à-dire : opposer le
libéralisme qyiQ défendent MM. Courtier et Gorentin Guyho au sectarisme représenté par M. Le Louédec et M. Berthou.
Que tous les hommes de bonne
volonté se groupent donc pour faire
triompher ce programme qui est un
programme de progrès
social.
Nous n'exigerons pas au préalable
qu'ils récitent un credo ; qu'ils viennent à nous loyalement sans arrière pensée ; ils seront accueillis
la main tendue et non le poing levé,
car ici on lutte pour des idées ' et
non pour la satisfaction d'intérêts
personnels.
Réduit à l'impuissance et rejeté
dans l'opposition, le parti radicalsocialiste se décompose rapidement et s'effondre dans- l'iadifférence des uns et sous le dédain des
autres, parce qu'il n'a jamais eu
de doctrine et que sa politique s'esttrouvée constamment en opposition
avec l'intérêt national.
Les efforts désespérés et désordonnés de M.- Le Louédec pour
essayer de remonter le courant qui
l'entraîne, lui et ses amis, sont les
signes précurseurs de la débâcle
prochaine. Nous en trouvons la
preuve, qui s'accentue chaque jour,
dans les défections retentissantes
qui éclaircissent, de plus en plus,
les rangs de ses par'tisans.
Quand le navire l'ait eau, les rats
l'abandonnent ; encore quelques
jours et bientôt ce sera le vide
complet autour de lui. E t ce ne
sera que justice.
L'Union Agricole et Maritime.
Quels sont ses Actes?
ABONNEMENTS (UN Ait)
Quimperlé (ville)
e f•
Finistère et départements limitroplies.
e
Autres départements
7 —
Colonies et étranger
10 —
CHOCOLAT I ' DISTRIBUTEUR
DE
POIREAUX
Marianne. — Mais il ne va plus en rester !
Dernier Appel
Electeurs
ouvriers,
attention !
M. Le Louédec aujourd'hui,
par
ses promesses
fallacieuses,
espère
accaparer vos votes.
Rassemblez bien vos souvenirs et
dites-vous qu'il n'apu faire Vumon
des républicains et que c'est sur la
classe ouvrière qu'il avait particulièrement jeté sa haine.
Sowenez-vous
qu'il a voulu faire
supprimer
Vallocation
départementale de 200 francs pour Vécole maternelle.
En un mot, M. Le Louédec
n'a
fait que le mal autour de lui et n'a
réussi qu'à semer la disco'^de.
Ayez toujour s à la mémoire cette
affaire
Podeur,
qui montre
cet
homme sous son véritable jour et
n'oubliez pas non plus Vinjare qu'il
répand partout q^ie nous,
ouvriers,
nous ne sommes que les « BassesCartes » c'est-à-dire les gens les
plus inférieurs et les plus
méprisables.
• Puisque nous ne sommes que des
êtres insignifiants et qui ne comptent
pas pourquoi
venir chercher
nos
votes ?
Une fois pour toutes, il ne les
attrapas.
Electeurs
ouvriers,
faites votre
devoir, votez pour M. Courtier qui,
lui, comprend vos intérêts.
M. Le Louédec, dans une afïlche grotesque, se vante de ses actes : parlonsen donc.
M. Le Louédec a un secrétaire (étranger au pays bien entendu) qui lui
souffle tout ce qu'il doit dire, lui fait ses
leltres, ses harangues, le pilote et le
remplace en tout et pour tout.
M. Le Louédec va très rarement à la
Chambre : ne comprenant rien aux débals, il charge un camarade de voter
pour lui.
*
M. Le Louédec est soulement connu
dans les antichambres des Ministères
par son tic que les huissiers s'amusent
à imiter dès qu'ils le voient.
Si vous voulez vous rendre compte,
Vn vrai
Syndicaliste.
par vous-même, de la culture intellectuelle de M. Le Louédec, c'est facile :
choisissez l'instant où il est seul et inlerrogez-le sur un de ces pointsi noirs Le « Seul » Républicain
qui obscurcissent l'hçrizon : l'i ncurie
administrative, le pillage des finances,
M. Le Louédec se largue, avec une
la concurrence étrangère, la cris e sair- suffisance qui n'a d'égale que son indinière, l'espionnage impuni, l'élouff econscience d'être le « seul » candidat
ment continuel des scandales, la chertô républicain. Ce politicien, qui ramène
de la vie, la répartilion des énormes lout à sa personne, avoue ingénuement
impôts nouveaux, la dépopulation', l'in- qu'en dehors de lui il n'y a pas de répu, compétence et l'irresponsabilité goublicains, que la République c'est lui, et
vernementales, elc... Il vous répondra que toute atteinte à sa personne est ua
en bégayant (s'il peut arriver à vous crime de lèse-républicanisme. Cet anrépondre) quelque ânerie monumentale: cien élève des jésuites' n'est pas éloigné
vous constaterez lamentablement vous- 4e croire que la République, à laquelle
même que M. Le Louédec est aussi in- I ilcest venu timidement il y a à peine
capable de penser que de s'expliqaeret,
WLe douzaine d''années, n'existait pas
à plus forte raison, d'agir.
,av;«inl lui et qu'elle est son œuvre.
pJlecteurs I
il serait pourtant bon de lui rafraîchir
L'avenir est menaçant : La France
latoftémoireà ce produit de la faculté
traverse en ce moment une période ancartlholique d'Angers, qui doit sa situagoissante ; jamais lo besoin d'hommes l'ioa ipolilique, il ne faut pas hésiter à le
énergiques et de bon sens au pouvoir d'ire, au château de la Porte-Néuve,
ne s'est fait plus impérieusement sentir.
ai'ilUé à l'Action Française, et qui ose
Conflerez-vous le soin de vous repréécrire, ayant de tels appuis, que MM.
senter, de défendre vos intérêts à une
Corendn Guyho et Courtier sont les
doublure, à un pantin qui excite la risée
candidats des cléricaux et dés royalisde ses collègues et qui est dirigé par un
tes. Qué vient-il nous parler de hobesecrétaire'étranger au pays.
reaux, lui qui,s'est mis servilem'éiit à
triQoapber^'
Un groupe d6
Réppblicams.
leur remorque, lui qui n'a été élu que
grâce à leurs intrigues et qui n'os3
faire un geste sans aller leur en demander la permission.
Rappelons-lui qu'en se présentant
pour la première fois aux élections du
Conseil général en 1905, il se r^clajnait,
en bon pe'tit enfant de choeur, de' ses
oncles « le chanoine Le Louédec, directeur du petit séminaire de Quimper », et
du docteur Le Louédec qui fut l'adversaire le plus résolu de la République
dans notre ville.
Il est bien venu, après avoir invoq lé
de tel% parrainages, et s'est ainsi mis en
servage devant les défenseurs du Trône
et de l'Autel, de prétendre ê're le
« seul » républicain, et de dénier c j
litre à ceux qui l'ont toujours été ou
qui même ont'contribué à fonder la
République au moment où il fallait du
courage et de l'abnégation pour se dire
républicain, alors que lui n'est venu au
régime, avec sa Iroupe d'affamés, que
pour en tirer profit I
La République, pour lui, c'est l'assiette au beurre !
Mais c'est fini maintenant et on le lui
fera bien voir !
A PROPOS DU BOBBET
Il n'y avait pas trois mois que nous
étions au Conseil municipal que M. Le
Louédec, avec une mauvaise foi caractérisée par le dépit de son échec, voulait
jeter immédiatement le discrédit sur
la gestion administrative municipale de
Quimperlé.
J'ai eu l'occasion de lui répondre une
fois à ce sujet et j'ai démontré que si
M. Le Louédec se vantait d'avoir laissé
dos disponibilités, ces disponibilités
étaient insuffisantes pour payer les dépenses qu'il avait lui-même engagées.
Il.y a une chose bien simple : on me
reproche d'avoir une mauvaise gestion,
d'avoir ruiné la ville, d'avoir mis à sec
la caisse du receveur municipal. Je
demande des précisions.
Il ne s'agit pas de jouer sur les mots
et les chiffres. Les électeurs sont juges.
Mon compte administratif est à leur
disposition; ils peuvent le consulter.
Ils y trouveront des crédits réservés,
des crédita dépassés et des crédits annulés faute d'emploi comme on en
trouvera dans les comptes administratifs de M. Le Louédec.
M. Le Louédec sait bien — et il doit
l'affirmer ou il esl de "mauvaise foi
— qu'un maire peut présenter en fia
d'exercice un reliquat d'autant plus
important que certaines dépenses sont
passées sous silence. C'est ce que faisait
M. Le Louédec. Je le mets au défit de
me prouver que le reliquat de 5919 fr. 21
était suffisant pour payer les dépenses
engagées. Entre mon arrivée à la mairie
ol lo vole du budget additionnel j e n'ai
engîifçé c o m m e dépenses, que les suivanies:
KO f r a n c s , c o m m e subvention a u s y n dicat d'Initiative.
HfjO francs, a u s y n d i c a t du B r a i m e n t .
.')00 f r a n c s pour a c h a t s et r é p a r a t i o n s
d'instruments d e musique.
400 f r a n c s , pour a c h a t de livres a u x
bibliothèques s c o l a i r e s .
Il n e s ' a g i t p a s d e d i r e : vous d é p e n s e / ,
vous gaspillez. Indiquez les dépenses
que j'ai faites. S'il y a eu g a s p i l l a g e il
ne s'agit pas de le dire, il faut le prouver.
Quand il nous faudra voter des crédits
pour p a r f a i r e les dépenses de l ' a g r a n dissement du c i m e t i è r e vous nous j e t t e :
rez e n c o r e la p i e r r e mais vous ne direz p a s a u x é l e c t e u r s que nous s o m m e s
obligés de p a y e r le terrain que vous
a v e z laissé d e r r i è r e le m u r .
V o u s devriez, puisque vous ê t e s en
si bonne voie, v o u s v a n t e r de la belle
et bonne opération que vous a v e z faite
en a c h e t a n t l'immeuble R o m a n c e r pour
l'Hôtel d e s P o s t e s . V o u s vanterez-vous
que c e t immeuble a coûté fort c h e r à la
ville, que vous l'avez a c h e t é s a n s enquête de c o m m o d o et i n c o m m o d o , que
vous a v e z m i s sur le dos des contribuables un e m p r u n t de 3 2 . 0 0 0 f r a n c s
pour a v o i r un Hôtel d e s P o s t e s que
nous M'avons pu e n c o r e a v o i r , p a r c e
que, (1 >ns v o t r e incurie vous n'avez pas
pris lu précaution de p a s s e r un c o n t r a t
f e r m e a v e c l'administration des P o s t e s
et T é l é g r a p h e s .
Dira-t-on que tout s e p a s s a régulièr e m e n t et l é g a l e m e n t s o u s le r é g i m e
de M. L e L o u é d e c ? Dira-t-on qu'en s a
qualiié de Maître-Absolu, il n e passait
p a s o u t r e a u x décisions de son Conseil
Municipal?
E l à propos de l'acquisition de c e t
immeuble R o m a n c e r veut-il bien nous
dire s'il s'est c o n f o r m é à l a délibération
du Conseil municipal, délibération qui
a v a i t été prise s u r la proposition de M.
Piton et d ' a p r è s laquelle on ne devait
donner a u c u n e suite au projet d ' a c h a t
s a n s c o n n a î t r e d a n s quelles conditions
le c o n t r a t serait p a s s é e n t r e la ville et
l'administration des P o s t e s .
Nous p a y o n s des c e n t i m e s additionnels pour g a r a n t i r l^annuité de l'emprunt d e 3 2 . 0 0 0 fr. VEcho de
Bretagne
dit e n c o r e que c'est de notre faute.
Quant a u x parties de n o t r e p r o g r a m m e
qui n'ont p a s e n c o r e r e ç u leur exécution
n o u s n'avons j a m a i s pris l ' e n g a g e m e n t
d e tout faire en un a n . C h a c u n sait que
nous a v o n s d'abord solutionné les questions qui étaient e n g a g é e s et qui ont
présenté certaines difficultés.
1° A g r a n d i s s e m e n t du c i m e t i è r e à l a
suite d'une faillite.
2» Construction de b u r e a u x d'octroi.
L e s p o u r p a r l e r s sont e n g a g é s pour la
transformation de l ' é c l a i r a g e . Une solution serait d é j à i n t e r v e n u e si une
nouvelle proposition pour l'installation
d e l'électricité n'avait été f a i t e H e s proj e t s de c o n t r a t sont prêts et nous ne dés e s p é r o n s p a s de voir Quimperlé éclair é e à l'électricité en 1914.
Des p o u r p a r l e r s sont é g a l e m e n t eng a g é s a v e c M. Marsille pour l'acquisition d'un terrain propre à la c o n s t r u c tion d'un lavoir dans le quartier de
l'Hôpital.
Un projet d'adduction d'eau au Poulou
e s t à l'étude et quoiqu'on disent nos dét r a c t e u r s l'eau i r a au Poulou m a l g r é
e u i peut-être, mais à leur g r a n d ahurissement.
Tout c e l a ne s e fait pas en un jour.
A côté de tout un p r o g r a m m e ' de const r u c t i o n s , d'améliorations, il y a aussi la
question
financière.
Un projet d'emprunt s e r a soumis au Conseil municipal
pour faire f a c e a u x dépenses qu'il y
a u r a lipu d ' e n g a g e r .
M. L e Louédec r e p r o c h e à la municipalité d'avoir voté quelques c e n t i m e s
additionnels pour équilibrer le budget
et en conclut par là que c'est la preuve
d'une m a u v a i s e gestion.
Nous allons lui poser une dernière
question.
Puisque le fait d e voler des centimes
additionnels d é m o n t r e une m a u v a i s e
gestion municipale, que dira-l on au
m a i r e de l a c o m m u n e de B a n n a l e c - r
p a r t i s a n et défenseur a r d e n t de M. L e
L o u é d e c — qui fit v o t e r l'an dernier
plus de 8 0 c e n t i m e s pour insuffisance
de r e v e n u s et qui c e l l e a n n é e en dem a n d e 7 2 à son conseil municipal. J e
ne ferai p a s à mon collègue M. T a n g u y
l'injure de p e n s e r , c o m m e M. L e Louédec, qu'il peut ê t r e m a u v a i s administrateur.
Kn r é s u m é , mon a d v e r s a i r e e s s a i e
d e tromper l'opinion publique a v e c
celle question budgétaire, mais le bon
s e n s d e s E l e c t e u r s est là pour lui répondre demain. Quimperlé lui prouv e r a une fois de plus qu'il en a a s s e z
de s a politique qui n'a fait que s e m e r
l a division d a n s le parti républicain.
'
A< C o u r t i e r ,
Maire
fM
de
Quimperlé.
Basses Cartes
Hier soir j'assistais à une réunion
publique chez M. T r é g u i e r , Industriel
r u e Ducouôdic. M. L e L o u é d e c s e trouva
a u x prises a v e c M. Courtier. A un c e r tain moment M. Le L o u é d e c r e p « ) c h a à
M. Courtier d'avoir menti en affirmant
que M. L e G a c , de K e r l a v a r e c , avait dit
au Maire de Quimperlé : « V o u s êtes
l'élu des B a s s e s C a r i e s ».
Et bien, moi qui ne suis qu'un simple
ouvrier, j e dis que c'esk M. L e L o u é d e c
qui ment en affirmant qûe son ferm i e r n'a pas tenu c e l a n g a g e . J e dis
aussi que dès le matin de d i m a n c h e M.
L e Louédec avait donné des o r d r e s en
conséquence pour faire de l'obstruction.
Nous s a v o n s quelle e s t i m e M. L e
L o u é d e c a pour la c l a s s e ouvrière. Il
nous c o n s i d è r e quand il a besoin de
nos voix ; a u t r e m e n t et en d e h o r s de
c e l a il nx)us méprise.
J e dis a u t r e c h o s e . Au lendemain des
élections
du Conseil municipal
de
Quimperlé, des a n c i e n s conseillers de
M. L e Louédec ne s e g ê n a i e n t pas pour
tenir un l a n g a g e e n c o r e plus o r d u r i e r à
notre a d r e s s e . Nous m o n t r e r o n s demain que « les B a s s e s C a r i e s » comptent pour quelque c h o s e .
Un o n v r i e r
menuisier.
DIINTON DE COHCARNEliU
de conseiller général et, dans neuf mois,
de celui de député.
Nous espérons être là ce j o u r , cher
maître absolu, et nous pourrions avoir à
causer.
En attendant, voulez-vous parier une
chope, que vous battrez mon record ?
J e ne suis qu'un pauvre bi-révoqué, de
par votre volonté absolue ; vous ferez un
tri-révoqué par la volonté des électeurs
de Quimperlé.
Allons, tiens bon la rampe, Julot, et
cramponnes-loi à tes fidèles gardes-corps
enrubannés et palmés : ils te conduiront
une fois de plus à la défaite.
Merci, --mon c h e r Directeur, de votre
aimable accueil, et croyez à mes sentiments les meilleurs."
EDMOND
Élection au Conseil d'Arrondissement
DU
. , Oui, Pourquoi ?
M. Le Louédec prétend qu'il est resté
six ans vagué et incolore attaché au ministère de la J u s t i c e . Gomment se fail-il
qu'il n'y ait pas poursuivi s& carrière, et,
comme la plupart des autres, pourquoi
n'est-il pas entré dans la magistrature ?
C'est que, de deux choses l'une, ou on
l'a trouvé trop peu républicain, ou il était
considéré comme un incapable 1
C'est probablement pour c e s deux, raisons.
PODEUR,
Mes a m i s ont pensé qu'ayant lou.jours
habité le pays, j'étais mieux p r é p a r é à
en connaître les besoins, p ir c o n s é q u e n t
à rendre les plus grands s e r v i c e s à notre
beau canton.
.Jusqu'ici, j e n'ai eu à m'occuper que
des intérêts de la commune de Lanriec,
Je m'y suis consacré avec toute mon activité, tout mon dévouement et le désir
d'administrer avec j u s t i c e .
Plus que Jamais, j e demeure attaché û
cet idéal républicain, que nous poursuivons ensemble, et à la réalisation duquel
nous aspirons depuis longtemps, idéal de
Paix sociale, de Progrès, de J u s t i c e de Liberté.
Le mandat dont vous voudrez bien
m'honorer, Je le remplirai avec conscience, en soutenant nos idées républicaines. J e m'eflorcerai, par les vdîux que
formule le conseil d'arrondissement, de
bien servir les intérêts dont vous me confierez la défense.
Marins, ouvriers, cultivateurs, c o m m e r çants, vos intérêts me sont connus, j e
m'engage à les défendre avec toute mon
énergie et à m'occuper de la prospérité
du canton.
Pas d'abtension, tous aux urne».
Vive la République !
Vive le Canton de Concarneau !
Y. Sellin,
Maire de
l.anriec,
Candidat d'Union
Républicaine.
Ce que pensent de lui ses Collègues
— Alors quoi, disait l'un d'eux l'autre
Jour à un de nos concitoyens, vous allez
casser notre guignoî,
— Bah ! déclara un autre conseiller général, la perte de Jules ne sera pas grande,
car c'est un sot entier et la moitié d'un
aliéné 1
Ses Procédés
Tous les soirs, sous la conduite du
Ghat-huant Barbenzinc, une bande de
hiboux et de crapauds, recrutée parmi de
j e u n e s galopins préalablement g r i s é s ,
parcourt de 10 h. à 11 h. les rues de
Quimperlé, troublant le sommeil des habitants, pour Jeter aux étoiles le nom de
M. Le Louédec.
Ces procédés nocturnes, — p o u r essayer
de faire croire à une popularité disparue
et qu'il est réduit à s e p a y e r à l u i - m ê m e , —
tous les citoyens commencent à en avoir
assez et réclament le droit d e ' dormir
lranquillen]ent. Il n'y a pas de danger
qu'il fasse circuler ses dix ou quinze Jeunes
braillards durant le Jour car on les aurait
vivement renvoyés se faire moucher le
nez par leurs mamans. L'autre soir ils
ont été bien reçus, et, j u s t e sous les fenêtres du déprimé, ils ont été accueillis
par les cris de « A bas Le Louédec ! la
chique à Chocolat!-A l'eau les quat'sous ! »
Gela a suffi pour les faire s'enfuir de
tous cotés et n o t r e - a g i t é , qui venait de
paraître en bannière à sa fenêtre pour les
remercier, est prestement rentré dans sa
coquille d'escargot.
Quand on en arrive à saouler des enfants
pour s'en faire acclamer c'est qu'on est
bien Uni !
Un petit Souvenir I
Vous êtes prié d'assister à la débâcle de
JULES LE DÉPRIMÉ
qui aura lieu le dimanche 3 août,
à 23 heures..
Le deuil sera conduit par Barbenzinc, Tacques 1 " , Ravachol, le
flâneur du Pont Isole, l'enfonceur
d é p o r t é s , Pilate et le Mal Nommé.
L'insigne sera la fleur d'innocence
dont Barbenzinc est l'image.
On est prié de n'apporter ni fleurs
ni couronnes, les poireaux de ses
décorés suffiront.
Les rares amis qui assisteront au
cortège auront droit à un morceau
de la veste.
De la part de ses cousins et arrières cousins.
11 n'y a pas de lettres de fairepart, le présent avis en lient lieu.
Mon c-hcr Directeur,
Me donnerez-vous l'hospitalité de votre
Journal pour ollrir, c o m m e il y a 15 mois
(et avec le môme bonheuiv espérons-le)
tous mes vœux à l'Unique républicain de
Quimperlé; J'ai nommé Chocolat 1 " .
Chaque fois que le Déprimé solliciterait
le suffrage universel, J'aimerais me rappeler ainsi à son bon souvenir.
Et si tous ceux qui eurent à souffrir de
sa malfaisance pouvaient revenir s u r les
vilenies qu'ils subirent ; si tous les électeurs se souvenaient de vos colonnes r e m plies, depuis ^ ans, des mauvaises actions
du maire révoqué de Quimperlé, ils le
révoqueraient demain de son mandat
L e Secret d u vote
La loi consacrant le secret du vote est
enfin volée. Le projet est revenu à la
Chambre, amendé par le Sénat : et la
Chambre a adopté sans discussion le texte
sénalorial.
Désormais, dans toutes les élections, il
sera fait usage de l'enveloppe, et il y
aura une cabine d'isolement alla que l'électeur puisse mettre son bulletin dans
l'enveloppe. Une troisième disposition,
fort bonne, consistait à faire figurer dans
les bureaux de dépouillement un mandataire de chaque candidat. Le Sénat l'avait
jadis adoptée, mais la Chambre l'avait,
par contre, repoussée. Elle se propose,
toutefois, de la voter sous forme d'une
loi spéciale, qu'on pense que le Sénat Ratifiera sans difliculté.
Le Maire de Quimperlé a l'honneur de
faire savoir aux électeurs qui n'auraient
pas reçu leur carte, électorale, soit par
suite d'omission^ ou pour toute autre
cause, qu'ils pourront en réclamer des
duplicata dans les bureaux de la mairie.
Les électeurs qui ont changé d'adresse
sont en outre priés de faire opérer ce
changement également dans ces mêmes
bureaux.
Le Maire, A. COURTIER.
PONT-AVEN
POUR ETRE CHIC
M e s C h e r s Concitoyens
M. B e r t h o u , instrument muet
de
volontés é t r a n g è r e s qui le dominent ou
le s u b v e n t i o n n e n t - ' M. B e r t h o u , obligé
pour soutenir s a p r o p r e cau&e de faire
appel à un porte-parole, — e s s a i e d'exploiter c o n t r e moi une s é r i e d'allégations matériellement fausses ou volontairement dénaturées,
J e n'ai p a s à r e n d r e c o m p t e ici d'intenlîons bienfaisantes, n ' a y a n t fait, au
m o m e n t e t e n vue des élections, a u c u n e
des promesses
dont il a parlé.
J e n'ai manquié à a u c u n e des sessions
du Conseil G é n é r a l o ù les intérêts de
n o t r e a r r o n d i s s e m e n t é t a i e n t en jeu.
J e n'ai j a m a i s refusé de r e c e v o i r un
b r a v e homm% venant r é c l a m e r mon
c o n c o u r s , et les n o m b r e u s e s leltres de
r e m e r c i e m e n t s r e ç u e s pendant c e s d e u x
a n n é e s parlent plus haut que les c a l o m nies de m e s a d i ' e r s a i r e s .
Vive le Canton dp
Pont-Aoen
Vive la République
i
Corentin GUYHO,
ConsPAller
Général-sortant.
f •
•
COMMUNES
Arzano
y
Gullligomarc'h..
Locunolé
llédéné
Kernével
Port St-Louis du Uhône, le 29 juillet l'Jl.'J
A Monsieur le Directeur
de L'Union Aijriolc cl Maritime, Quimperlé.
Au Jour le Jour
Avis aux^ Électeurs
DE
Nombra des électeurs
«jcrit!1 lur les
lùsUs ^^ctorsles da
1813
330
366
545
329
376
430
1.769
708
742
413
1.7G0
711
739
-411
1.941
9''4
1.943
903
527
5(j5
1.338
m
DIffirence
en
en
plut molr.i
«
»
liO
5
»
»
'
n
»
3
2
2
»
Névez
Nlzon
Pont-Avan
lliec sur-Bélon...
.-379
1.321
Baye
Glohars-Carnoot.
Mellac
Qulmparlé
Tréméven
159
1.329
359
2.208
316
166
1.321
387
2.331
:m
i>
Querrien
Salnt-Thurlen...
Soaép
855
474
1.782
859
474
1.820
M
Totaux....
18^47
18.237
T>n
2
1
9
3
»
191»
Le Comité Républicain Canlonal.
Mes Ghers Concitoyens,
En acceptant de poser ma candidature
au mandat de cons'iiiler d'arrondissement
du canton de Concarneau, j'ai cédé à de
nombreuses sollicitations, dont J'ai été
peisonnellement très touché.
Ancien secrétaire en chef bi-révoqué de la
Mairie de Quimperlé, secrétaire de mairie
à Port-Saint-Louis-du-Rhône
(Bouchendu-Rliône.)
N. B. — Un conseil au Maître absolu :
qu'il n'oublie pas dans son afl'olement de
voter pour lui-même.
CANTON
AOUT
ÉLEC-rtiURS,
M. Roulland, pour raisons âe santé, a déclaré ne pouvoir accepter le renouvellement
de son mandat; le Ûomilé Républicain du
canton de Çoncariieau, appelé à lui choisir un
successeur, a désigné, à l'unanimité, Yves
SELLIN, Maire de Lanriec, et le recommande
à vos sutl'ragès.
Ça ne Colle plus I
M. Le Louédec, depuis quelques années,
faisait marcher l'administration au doigt
et à l'œil, par la crainte qu'il avait répandue dans le monde des fonctionnaires
en faisant par vengeance « sauter » quelques-uns d'entre eux.
Mais ce temps-là n'est plus ! Les instructions données aux préfets et aux
sous-préfets sont cette fois formelles, et
il leur est enjoint de rester tranquilles
et surtout de ne pas prêter leur appui
aux députés, comme M. Le Louédec, qui
ne cessent de voter contre le gouvernement.
Déjà, du reste, à plusieurs reprises, la
désharmonie a été constatée entre le
préfet et le sous-préfet, dont les discours
et les actes étaient, tant à Bannalec qu'à
Quimperlé, une sévère leçon adressée à
M. Le Louédec et que, M. Le Louédec
seul, dans son incommensurable sottise,
n'a pas pu encore comprendre.
Epave abandonnée par tout le monde,
éconduit par tous les ministères, sa prétendue influence est désormais évaporée,
au point qu'une recommandation de lui
ne peut que faire le plus grand tort à
ceux qui perdent encore leur temps et
leur indépendance à le sôllic.iter.
3
voir à
FtSHlON-HOUSE
LORIENT
t
Ses Chemises
Ses Cravates
Ses Chapeaux
Prix inconnus
Partout ailleurs
CHROIUOE REIllOlliLE
ll^a^eigucuncul
Par arrêté de M. le Président du Conseil, ministre de l'Instruction publique
et des Heaux-Arts, en' date du 17 Juillet
1913, M. Navarre, professeur à l'école
normijile de Quimper, pourvu du certificat
d'aptitude .à l'inspection primaire; a été
nommé Inspecteur [ j ' classe), de l'enseignement primaire à Ghâteaulin^ en remplacement de M. Petit, qui a reçu upe
aulre destination.
L'Ouverture de l a Chasse
L'ouverture de la chasse est fixée dans
le Finislèr»', le Morbihan, les Côtes-duNord, rille-et-yHaine et la Loire-Inférioure, au dimanclw? 21 septembre.
1
»
17
7
»
28
123
14
»
8
1
»
14
38
a
)t
w
242
54
4
Nous rappelons que le scrutin s e r a ouvert dans les diverses comhiunes, à 7 h.
du matin pour ôtre clos à six heures du
soir.
Par arrêté de M. le Préfet du Finislere,
en. date du ;jO Juillet 1913 :
M. Corric Alfred, agent-voyer principal
de 2" elasse à Quimper, a été élevé à la 1 "
classe de son grade ; M. Uuyader Paul,
agent-voyer principal de
classe à Quimperlé, a été élevé à la 2" c l a s s e ;
Hamon
Pierre, agent-voyer ordinaire de 3« classe
à Bannalec, a été élevé à la 2° classe ; M.
Gautier Jean, agent-voyer ordinaire de 3«
classe, chef de bureau de M. l'agent-voyer en chef à.Quimper, a été élevé à la
2« classe ; M. Vasseur Adolphe, agentvoyer auxiliaire de 2° classe à Scaër, a été
nommé agent-voyer ordinaire de 4» classe.
AU
PROGRES
Maison QUETTIER
55, rue du Port — LORIENT
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de Conflance consacrée
4 5 ans de Succès
par
Quimperlé
Le bal des courses.
— A l'occasion
des courses de Quimperlé qui auront lieu
le 10 août, un grand bal public sera donné
le s n r à 9 h. 1/2, dans la Halle Saint-Micliol sous les auspices de l'Union Commerciale et Industrielle.
.
lintrées : salle, 0 fr. 25 ; galeries, 0 fr. 50.
Succès
Scolaire,
- Notre Ecole su-
périeure de j e u n e filles v i e n t d'avoir
un
brillant succès au concours d'admission
aux Rlcoles normales, qui
lundi dernier 27 juillet.
a
commencé
24 Klèves ont été reçues à cet examen ;
14 à rKcoie Normale d'Institutrices de Quimper, M"'" Rio, de Bannalec, reçue 1 " ; Le Gofl',
de Quimperlé, reçue 2" ; Kersalé, de Douarnenez, reçue 3* ; Blocg, de Plliouhinec, reçue
Diriou, de Kerfeunteun, reçue 9" ; Labory de
La Forest, reçue 10* ; Kervella de St-Pierre
QuilWgnon, .reçue 12* ; Kerivel, de Douarnenez, re(jue J3' ; Croc, de Morlaix, reçue 15* ;
Toullec, (le Pont-l'Abbé, reçue 22« : Coroller,
de Gonearneau, reçue 24' M/ossec, de Brest, reçue 20* ; Mlles Barré de CoiïCqLroe^if, polou, de
Plougastel, sont admises sur la Ustje supplémentaire.
3 élèves ont été reçues à l'Ecole Normale de
Rennes : M"" Leuglet de Pont-l'Abbé, KéryelJ,
de Douarnenez, Kerborieu, de Plouhigneau.
3, à Laval : M"" Hascoët de Doëlan, Guillou,
de La Peuillée ; et Bernard, de Poullan.
à S,t-Bfieuc : M"- Bauguion, de Clohars,
Briant, de Lç-ndefiieau.
Une, à l'école i^orm.ij^le de Vannes : M"' Hue|
de Sarzeau ; et une à l'école .N'ornîale (J^ St"
Etienne : .M"" Faurie, de St-EUenne.
Le ventre de Quimperlé.
— 11 a été
abattu pendant le mois de Juillet 1913, 27
bœufs, 7 taureaux, 2 génisses, 16 vaches,
335 veaux, 119 moutons, 1 chevreau, 32
porcs.
Jfecensement
des jeunes gens de la
classe i f f i ^ . — Le Maire de la ville de
Quimperlé dçnne ayis qu'en exécution de
la loi sur le recruteii?ei;it de l'année que
les Jeunes nés en 1893 s.oftt ,teji;ius (^e se
présenter à la Mairie, s'ils ont leur domji
cile légal à Quimperlé, pour y fa^re leu^
inscription s y r les tab\éaux (jle r,ec^ençement et y formuler les Fépj[?L.n}aii.Qps .(j^j'ilç
auraient à faire valoir,
La loi oblige les parents ou tuteurs à
faire inscrire les Jeunes gens empêchés.
Baye
Accident.
- M. Pierre Derrien, au
service de M. Guillaume Picard, cultivateur à Kermorial en Baye, est atteint de
plaie de la malléole externe du pied
gauche par suite d'un coup de faucille.
Le docteur Le Stunf, à Quimperlé, lui
a prescrit quelques j o u r s de r§pos.
M. Picard est assuré à la G'« générale
d'assurances contre les accidents.
Locuuolé
Accident.
— M. Louis Perron, au service de M. Pierre Nigen cultivateur à P r a ténou en Lqcunolé, est atteint d'impotence fonctionnelle di^ gepou gauche, par
suite d'une chute de voiture,' ' '' • ' "
- Le Docteur Martin fils à Quimperlé lui a
prescrit un repos de 15 Jours.
M. Nigen est assuré à la C<
' = Générale
d'assurances contre les accidents.
Mellac
Accident.
— M. J a c q u e s Lozachmeur,
au service de M. André Ollivier, cultivateur à Kergoz en Mellac, présente un écrasement (|e la phalangette du médius et
de l'index de là'ma)fit gauche qui a été
prise dans une machine à Ï)àttr0;'
Le docteur Martin fils à Quimperlé lui a
prescrit un mois de repos.
M. Ollivier est assuré à la C"= Générale
d'assurances contre les accidents.
Concarneau
Orage. — Dans la soirée de mardi à
mercredi un orage d'une extrême violence
s'est abattu sur la région de 9 h. à 10 h.
Le tonnerre et surtout les éclairs se s u c cédaient sans interruption, avec une rapidité et une intensité inaccoutumées. iU'ne
pluie diluvienne est tombée pendant
1 h. 1, 2 environ. On signale au village de
Questel en Beuzec-Gonq, un incendie qui
a été occasionné par • la foudre à line
meule de foin appartenant ^
Le Crùnè,
propriétaire audit village.
Sauvetage.
— Dans la m ê m e soirée,
une femme employée à l'usine Billette e t
C'S quai Pénérofi, en notre ville, sortait
après le travail fini, lorsque trompé par
l'obscurité e f croyant marcher de plein
Pied s'en alla droit tomber dans le bassin.
A ses cris, un marin thonnier nommé Le
Bris, de Concarneau, se Jeta résolument à
l'eau et avec beaucoiip de ' péii>ç, parvint
à ramener cette femme à terré, qui se
cramponnait désespérément à lui.
Beuzec-Conq
2'- Fête du Guy.
— La
Comédie
Française
à Concarneau.
— La Fille de
Roland, la représentation du phef d'œuvre de Bornier, qu'on nous annonce, promet d'être un événement artistique considérable. En dehors de l'intérêt d'une interprétation de premier ordre : Sociétaires de la Comédie Française et princi-
v
ol lo vole du budget additionnel j e n'ai
e n g a g é c o m m e dépenses, que les suivantes :
1()0 f r a n c s , c o m m e subvention a u s y n dical d'Initiative.
2 0 0 f r a n c s , a u s y n d i c a t du B â t i m e n t .
.')00 f r a n c s pour a c h a t s et r é p a r a t i o n s
d'instruments d e musique.
400 f r a n c s , pour a c h a t de livres a u x
bibliothèques s c o l a i r e s .
Il n e s'agit p a s de d i r e : vous dépensez,
vous gaspillez. Indiquez les dépenses
que j'ai faites. S'il y a eu gaspillage il
n e s'agit p a s de le dire, il faut le prouver.
Quand il nous faudra voler des crédits
pour parfaire les dépenses de l ' a g r a n dissement du c i m e t i è r e vous nous jetler
rez e n c o r e l a p i e r r e mais vous n e dir e z p a s a u x é l e c t e u r s que nous s o m m e s
obligés d e p a y e r le terrain que vous
a v e z laissé d e r r i è r e le m u r .
V o u s devriez, puisque vous êtes en
si bonne voie, v o u s v a n t e r de la belle
/ et bonne opération que vous a v e z faite
en a c h e t a n t l'immeuble R o m a n c e r pour
l'Hôtel d e s P o s t e s . V o u s vanterez-vous
que c e t immeuble a c o û t é fort c h e r à l a
ville, que vous l'avez a c h e t é s a n s enquête de c o m m o d o et incommodo, que
vous a v e z m i s sur le dos des contribuables un e m p r u n t d e 3 2 . 0 0 0 f r a n c s
pour a v o i r un Hôtel des P o s t e s que
nous n'avons pu e n c o r e avoir, p a r c e
que, ( h n s v o t r e incurie vous n'avez pas
pris lu précaution de p a s s e r un c o n l r a l
f e r m e a v e c l'administration des P o s t e s
et T é l é g r a p h e s .
Dira-t-on que tout s e p a s s a régulièr e m e n t et l é g a l e m e n t sous le r é g i m e
de M. L e L o u é d e c ? Dira-t-on qu'en s a
qualité d e Maître-Absolu, il n e passait
p a s o u t r e a u x décisions de son Conseil
Municipal?
E l à propos de l'acquisition de c e t
immeuble R o m a n c e r veut-il bien nous
dire s'il s'est c o n f o r m é à la délibération
du Conseil municipal, délibération qui
a v a i t été prise s u r l a proposition de M.
Piton el d'après laquelle on ne devait
donner a u c u n e suite au projet d ' a c h a t
s a n s c o n n a î t r e dans quelles conditions
le c o n t r a t s e r a i t p a s s é e n l r e la ville el
l'administration des P o s t e s .
Nous p a y o n s des c e n t i m e s additionnels pour g a r a n t i r l'annuité de l'emprunt d e 3 2 . 0 0 0 fr. IJEcho de
Bretagne
dit e n c o r e que c'est de notre faute.
Quant a u x parties de n o i r e p r o g r a m m e
qui n'ont pas e n c o r e r e ç u leur exécution
n o u s n'avons j a m a i s pris l ' e n g a g e m e n t
d e tout faire en un a n . C h a c u n sait que
nous a v o n s d'abord solutionné les questions qui étaient e n g a g é e s et qui ont
p r é s e n t é c e r t a i n e s difficultés.
;
1° A g r a n d i s s e m e n t du c i m e t i è r e à la
suite d'une faillite.
2» Construction de b u r e a u x d'octroi.
L e s p o u r p a r l e r s sont e n g a g é s pour la
transformation de l ' é c l a i r a g e . Une solution s e r a i t déjà intervenue si une
nouvelle proposition pour l'installation
de l'électricité n'avait été f a i l e H e s proj e t s de c o n t r a t sont prêts et nous ne dés e s p é r o n s p a s de voir Quimperlé éclair é e à l'électricité en 1914.
Des p o u r p a r l e r s sont é g a l e m e n t eng a g é s a v e c M. Marsille pour l'acquisition d'un terrain propre à la c o n s t r u c tion d'un lavoir dans le quartier de
l'Hôpital.
Un projet d'adduction d'eau au Poulou
e s t à l'étude et quoiqu'on disent nos dét r a c t e u r s l'eau i r a au Poulou m a l g r é
e u i peut-être, mais à leur g r a n d ahurissement.
Tout c e l a ne s e fait pas en un jour.
A côté de tout un p r o g r a m m e ' de constructions, d'améliorations, il y a aussi la
quèslion
financière.
Un projet d'emprunt s e r a soumis au Conseil municipal
pour faire f a c e a u x dépenses qu'il y
a u r a lifii d ' e n g a g e r .
M. L e Louédec r e p r o c h e à la municipalité d'avoir volé quelques c e n l i m e s
additionnels pour équilibrer le budget
et en conclut par là que c'est la preuve
d'une m a u v a i s e gestion.
Nous allons lui p o s e r une dernière
question.
Puisque le fait de voler des c e n l i m e s
additionnels d é m o n t r e une m a u v a i s e
gestion municipale, que dira-t on au
m a i r e de l a c o m m u n e de B a n n a l e c —
p a r t i s a n e t défenseur a r d e n t de M. L e
L o u é d e c — qui fit voler l'an dernier
plus de 8 0 c e n l i m e s pour insuffisance
de r e v e n u s et qui c e l l e a n n é e en dem a n d e 7 2 à son conseil municipal. J e
ne ferai p a s à mon collègue M. T a n g u y
l'injure d é p e n s e r , c o m m e M. L e Louéd e c , qu'il peut ê t r e m a u v a i s administrateur.
Kn r é s u m é , mon a d v e r s a i r e e s s a i e
de tromper l'opinion publique a v e c
c e t t e question budgétaire, mais le bon
s e n s d e s E l e c t e u r s est là pour lui répondre demain. Quimperlé lui prouv e r a une fois de plus qu'il en a a s s e z
de s a politique qui n'a fait que s e m e r
l a division d a n s le parti républicain.
A< C o u r t i e r ,
Maire
de
Quimperlé.
Basses Cartes
Hier soir j'assistais à une réunion
publique chez M. T r é g u i e r , Industriel
rue Ducouëdic. M. L e Louédec s e t r o u v a
a u x prises a v e c M. Courtier. A un c e r tain moment M. Le L o u é d e c r e p r o c h a à
M. Courtier d'avoir menti en affirmant
que M. L e G a c , de K e r l a v a r e c , avait dit
au Maire de Quimperlé : « V o u s êtes
l'élu des B a s s e s C a r t e s ».
E l bien, moi qui ne suis qu'un simple
ouvrier, je dis que c'est M. L e L o u é d e c
qui ment en affirmant qïte son ferm i e r n'a pas tenu c e l a n g a g e . J e dis
aussi que dès le matin de d i m a n c h e M.
L e Louédec avait donné dès o r d r e s en
conséquence pour faire de l'obstruction.
Nous s a v o n s quelle e s t i m e M. L e
L o u é d e c a pour la c l a s s e ouvrière. Il
nous considère quand il a besoin de
nos voix ; a u t r e m e n t et en d e h o r s de
c e l a il n-ous méprise.
J e dis a u t r e c h o s e . Au lendemain des
élections
du Conseil municipal de
Quimperlé, des a n c i e n s conseillers de
M. L e L o u é d e c ne s e g ê n a i e n t p a s pour
tenir un l a n g a g e e n c o r e plus o r d u r i e r à
notre a d r e s s e . Nous m o n t r e r o n s demain que « les B a s s e s C a r t e s » comptent pour quelque c h o s e .
XJn ouvrier
menuisier.
de conseiller général et, dans neuf mois,
de celui de député.
Nous espérons être là ce jour^ cher
maître a,bsolu, et nous pourrions avoir à
causer.
En attendant, voulez-vous parier une
chope, que vous battrez mon record ?'
J e ne suis qu'un pauvre bi-révoqué, de
par voire volonté absolue ; vous ferez un
tri-révoqué par la volonté des électeurs
de Quimperlé.
Allons, tiens bon la rampe, Julot, et
cramponnes-toi à Les fidèles gardes-corps
enrubannés et palmés : ils te conduiront
une fois de plus à la défaite.
Merci, vmon c h e r Directeur, de votre
aimable accueil, et croyez à mes sentiments les meilleurs."
EDMOND
PODEUR,
Ancien secrétaire en chef bi-révoqué de la
Mairie de ()uimperlé, secrétaire de mairie
à Port-Saint-Louis-du-Rhône
(Bouchendu-Rhône.)
N. B. — Un conseil au Maître absolu :
qu'il n'oublie pas dans son afl'olement de
voter pour lui-même.
Ce que pensent de lui ses Collègues
— Alors quoi, disait l'un d'eux l'autre
Jour à un de nos cùnciloyens, vous allez
casser notre guignol ?
— Bah ! déclara un autre conseiller général, la perte de Jules ne sera pas grande,
car c'est un sot entier et la moitié d'un
aliéné !
Ça ne Colle plus I
M. Le Louédec, depuis quelques années,
i'aisail marcher l'administration au doigt
et à l'œil, par la crainte qu'il avait répandue dans le monde des fonctionnaires
en faisant par vengeance « sauter » quelques-uns d'entre eux.
Mais ce t e m p s - l i n'est plus ! Les instructions données aux préfets et aux
sous-préfets sont cette fois formelles, et
il leur est enjoint de rester tranquilles
el surtout de ne pas prêter leur appui
aux députés, comme M. Le Louédec, qui
ne cessent de voter contre le gouvernement.
Déjà, du reste, à plusieurs reprises, la
désharmonie a été constatée entre le
préfet et le sous-préfet, dont les discours
et les actes étaient, tant à Bannalec qu'à
Quimperlé, une sévère leçon adressée h
M. Le Louédec et que, M. Le Louédec
seul, dans son incommensurable sottise,
n'a pas pu encore comprendre.
Epave abandonnée par tout le monde,
éconduit par tous les ministères, sa p r é tendue influence est désormais évaporée,
au point qu'une recommandation de lui
ne peut que faire le plus grand tort à
ceux qui perdent encore leur temps et
leur indépendancè à le solliciter.
Oui, Pourquoi ?
M. Le Louédec prétend qu'il est resté
six ans vague et incolore attaché au ministère de la Justice. Gomment se fait-il
qu'il n'y ait pas poursuivi sa carrière, et,
comme la plupart des autres, pourquoi
n'est-il pas entré dans la magistrature ?
C'est que, de deux choses l'une, ou on
l'a trouvé trop peu républicain, ou il était
considéré comme un incapable !
C'est probablement pour c e s deux, raisons.
Ses Procédés
Tous les soirs, sous la conduite du
Chat-huant Barbenzinc, une bande de
hiboux et de crapauds, recrutée parmi de
j e u n e s galopins préalablement g r i s é s ,
parcourt de 10 h. à H h. les rues de
Quimperlé, troublant le sommeil des habitants, pour Jeter aux étoiles le nom de
M. Le Louédec.
Ces procédés nocturnes, — pour essayer
de faire croire h une popularité disparue
el qu'il est réduit à.se p a y e r à l u i - m ê m e , —
tous les citoyens commencent à en avoir
assez et réclament le droit de' dormir
tranquillenient. Il n'y a pas de danger
qu'il fasse circuler ses dix ou quinze Jeunes
braillards durant le Jour car on les aurait
vivement renvoyés se faire moucher le
nez par leurs mamans. L'autre soir ils
ont été bien reçus, el, j u s t e sous les l'enôlres du déprimé, ils ont été accueillis
par les cris de « A bas Le L o u é d e c ! la
chique à Chocolat!'A l'eau les quat'sous ! »
Cela a suffi pour les faire s'enfuir de
tous cotés et notre agité, qui venait de
paraîire en bannière à sa fenêtre pour les
remercier, est prestement rentré dans sa
coquille d'escargot.
Quand on en arriveà saouler des enfants
pour s'en faire acclamer c'est qu'on est
bien fini !
Un petit Souvenir I
Port St-Louis du IlhOtie, le 21» Juillot 1913
A Monsieur lo Directeur
(le L'Union Aijriolc el Maritime, Quimporlé.
Mon cher Directeur,
Me donnere/.-vous l'hospitalité de votre
Journal pour offrir, c o m m e il y a 15 mois
(et avec le môme b o n h e u r espérons-le)
tous mes vœux à l'Unique républicain de
Quimperlé ; J'ai nommé Chocolat 1 " .
Chaque fois que le Déprimé solliciterait
le suffrage universel, j'aimerais me rappeler ainsi à son bon souvenir.
Kl si tous ceux qui eurent h souffrir de
sa malfaisance pouvaient revenir s u r les
vilenies qu'ils subirent ; si tous les électeurs se souvenaient de vos colonnes remplies, depuis ^ ans, des mauvaises actions
du maire révoqué de Quimperlé, ils le
révoqueraient demain de son mandat
Vous êtes prié d'assister à la débâcle de
JULES LE DÉPRIMÉ
qui aura lieu le dimanche 3 août,
à 23 heures..
Le deuil sera conduit par Barbenzinc, Tacques 1 " , Ravachol, le
flâneur du Pont Isole, l'enfonceur
d é p o r t é s , Pilate et le Mal Nommé.
L'insigne sera la fleur d'innocence
dont Barbenzinc est l'image.
On est prié de n'apporter ni fleurs
ni couronnes, les poireaux de ses
décorés suffiront.
Les rares amis qui assisteront au
cortège auront droit h. un morceau
de la veste.
De la part de ses cousins et arrières cousins.
Il n'y a pas de lettres de fairepart, le présent avis en lient lieu.
Nombre dei électtura
/^jicrits sur les
il«Ui électorales de
1813
Diffirence
en
en
plut inoini
329
376
430
»
2
1
5
u 1
K7G0
'(Il
739
"411
»
9
n
»
Kernôvel
Melgven
Le Trévoux
547
?30
366
425
1.769
708
742
413
Névez
Nlzon
1.941
9'" 4
r,22
Rlec sur-Bélon...
1.321
Baye
Clohars-Garnoot.
Mellac
159
1.329
359
2.208
316
166
1.321
387
2.331
m
M
14
859
474
1.820
4
U
Salnt-Thurlen...
ii55
474
1.782
Totaux....
18.047
18.237
Qulmparlé
Soaèr
AOUT
1913
ÉLECrtiURS,
M. Roulland, pour raisons Se santé, a déclaré ne pouvoir accepter le renouvellement
de son mandat; le Comité Républicain du
canton de Çoncari\eau, appelé à lui choisir un
successeur, a désigné, à l'unanimité, Yves
SELLIiN, Maire de Lanriec, et le recommande
à vos suffragés.
Le Comité Républicain Cantonal.
Mes Chers Concitoyens,
En acceptant de poser ma candidature
au mandat de cons-jiUer d'arrondissement
du canton de Concarneau, j'ai cédé à de
nombreuses sollicitations, dont j'ai été
peisonnellement très touché.
Mes amis ont pensé qu'ayant tou jours
habité le pays, j'étais mieux préparé à
en connaître les besoins, p.ir conséquent
à rendre les plus grands services à notre
beau canton.
.Tusqu'ici, j e n'ai eu à. m'oocuper que
des intérêts de la commune de Lanriec,
j e m'y suis consacré avec toute mon activité, tout mon dévouement et le désir
d'administrer avec justice.
Plus que j a m a i s , j e demeure atlaché à
cet idéal républicain, que nous poursuivons ensemble, et h la réalisation duquel
nous aspirons depuis longtemps, idéal de
Paix sociale, de Progrès, de J u s t i c e de Liberté.
Le mandat -dont vous voudrez bien
m'honorer, j e le remplirai avec consciencP!, en soutenant nos idées républicaines. J e m'efforcerai, par les vœux que
formule le conseil d'arrondissement, de
bien servir les intérêts dont vous me confierez la défense.
Marins, ouvriers, cultivateurs, c o m m e r çants, vos intérêts me sont connus, j e
m'engage à les défendre avec toute mon
énergie et à m'occuper de la prospérité
du canton.
Pas d'abtension, tous aux urne».
Vive la République !
Vive le Canton de Concarneau !
Y. Sellin,
Maire de J.anriec,
Candidat d'Union
Républicaine.
La loi consacrant le secret du vote est
enfin volée. Le projet est revenu à la
Chambre, amendé par le Sénat : el .la
Chambre a adopté sans discussion le texte
sénatorial.
Désormais, dans toutes les élections, il
sera fait usage de l'enveloppe, et il y
aura une cabine d'isolement aliu que l'électeur puisse mettre son bulletin dans
l'enveloppe. Une troisième disposition,
fort bonne, consistait à faire figurer dans
les bureaux de dépouillement un mandataire de chaque candidat. Le Sénat l'avait
jadis adoptée, mais la Chambra l'avait,
par contre, repoussée. Elle se propose,
toutefois, de la voter sous forme d'une
loi spéciale, qu'on pense que le Sénat .ratifiera sans dilliculté.
POUR ETRE CHIC
xM. B e r t h o u , instrument muet
de
volontés é t r a n g è r e s qui le dominent ou
le s u b v e n t i o n n e n t - » M. B e r t h o u , obligé
pour soutenir s a p r o p r e c a u s e de faire
appel à un porte-parole, — e s s a i e d'exploiter c o n t r e moi une s é r i e d'allégations matériellement fausses ou volontairement dénaturées.
J e n'ai p a s à r e n d r e c o m p t e ici d'intenUoos bienfaisantes, n ' a y a n t fait, a u
m o m e n t e t e n vue des élections, a u c u n e
des promesses
dont il a parlé.
J e n'ai manquas à a u c u n e des sessions
du Conseil G é n é r a l o ù les intérêts de
n o t r e a r r o n d i s s e m e n t é t a i e n t en jeu.
J e n'ai j a m a i s refusé de r e c e v o i r un
b r a v e homm'é venant r é c l a m e r mon
c o n c o u r s , et les n o m b r e u s e s lettres de
r e m e r c î e m e n l s r e ç u e s pendant c e s deux
a n n é e s parlent plus haut que les calomnies de m e s a d v e r s a i r e s .
Vive le Canton de Pont-Ai^en !
Vive la République
/
Corentin QUYHO,
ComoAller
Général-sortant.
Pont-Avan
3
A. COURTIER.
CANTON
DE
PONT-AVEN
M e s C h e r s Concitoyens
Gullligomarc'h..
Locunolé
Rédéné
DU
Le Secret du vote
Le Maire de Quimperlé a l'honneur de
faire savoir aux électeurs qui n'auraient
pas reçu leur ^carte électorale, soit par
suite d'omission'^ou pour toute autre
cause, qu'ils pourront en réclamer des
duplicata dans les bureaux de la mairie.
Les électeurs qui ont changé d'adresse
sont en outre priés de faire opérer ce
changement également dans ces mêmes
bureaux.
COMIMUNES
Élection au Conseil d'Âprondissement
Au Jour le Jour
Avis aux^ Électeurs
ie
CANTON DE
1.5)43
903
527
565
1.338
»
3
»
m
3
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»
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»
17
»
l
»
28
123
»
»
»
M
• voir à
FASHION-HOUSE
LORIENT
1
Ses Chemises
Ses Cravates
Ses Chapeaux
Prix inconnus
Partout ailleurs
GBROIIIIDE RElHOHiLE
li^p^ei^neineut
Par arrêté de M. le Président du Conseil, ministre de l'Instruction publique
et des Beaux-.\rts, en' date du 17 juillet
1913, M. Navarre, professeur à l'école
normale de Quimper, pourvu du certificat
d'aptitude ^ l'inspection primaire; a été
nommé Inspecteur (•ji" classe), de l'enseignement primaire à ChâteauliU; en remplacement de M. Petit, qui a reçu Ufie
aulre destination.
L'Ouverture de l a Cliassc
L'ouverture de la chasse est fixée dans
le Finislèrt', le Morbihan, les Cùtes-duNord, rnie-et-yilaine et la Loire-Inférioure, au dimanolw? 21 septembre.
1
Ay^enls-Voyers
14
Par arrêté de M. le Préfet du Finislèi-e,
en date du :J0 juillet 1913 :
M. Corric Alfred, agent-voyer principal
de 2» classe ix Quimper, a été élevé à la 1 "
classe de son grade ; M. Ouyader Paul,
agent-voyer principal de ;•}' classe à Quimperlé, a été élevé h la
classe;
Hamon
Pierre, agent-voyer ordinaire de 3« classe
à Bannalec, a été élevé à la 2« classe ; M.
Gautier Jean, agent-voyer ordinaire de 3"
classe, chef de bureau de M. l'agent-voyer en chef à.Quimper, a été élevé à la
2 ' classe ; M. Vasseur Adolphe, agentvoyer auxiliaire de 2" classe à Scaër, a été
nommé agent-voyer ordina;ipe de 4* classe.
8
1
»
38
M
242
54
Nous rappelons que le scrutin s e r a ouvert dans les diverses comtnunes, à 7 h.
du matin pour être clos à six heures du
soir.
AU
PROGRÈS
Maison QUETTIER
55, pue du Port — LORIENT
(à droite e n desrerutant la Bove)
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de Connance consacrée
4 6 ans de Succès
'
par
Quimperlé
Le bal des courses.
— A l'occasion
de.s courses de Quimperlé qui auront lieu
le 10 août, un grand bal public sera donné
le s n r à 9 h. 1/2, dans la Halle Saint-Michel sous les auspices de l'Union Commère
cinie el
Industrielle.
Entrées ; salle, 0 fr. 25 ; galeries, 0 fr. 50.
Succès Scolaire,
- Notre Ecole supérieure de j e u n e filles vient d'avoir un
brillant s u c c è s au concours d'admission
aux Ecoles normales, qui a commencé
lundi dernier 27 juillet.
24 Kléves ont été reçues à cet examen ;
14 à l'Ecole Normale d'Institutrices de Quimper, M"'" Rio, de Bannalec, reçue 1 " ; Le Gofl",
de Quimperlé, reçue 2* ; Kersalé, de Douarnenez, reçue .3* ; Blocg, de Plhouhinec, reçue T ;
Diriou, de Kerfeunteun, reçue 9" ; Labory de
La Forest, reçue 10' ; Kervella de St-Pierre
Quilbignon, .reçue 12* ; Kerivel, de Douarnenez, reçue 13' ; Croc, de Morlalx, reçue 15* ;
Toullec, de Pont-l'Abbé, reçue 22" : Coroller,
de Concarneau, reçue 24'M/ossec, de Brest, reçue 2(j« ; Mlles Barré de Çoncqirne^^, polou, de
Plougastel, sont admises sur la Ijsfe §i;ppl,émen taire.
3 élèves ont été reçues à l'Ecole Normale de
Rennes : M"" Leuglet de Pont-l'Abbé, KéryeU,
de Douarnenez, Kerborieu, de Plouhigneau.
3, à Laval : M"" Hascoët de Doëlan, Guillou,
de La Feuillée ; et Bernard, de Poullan.
à §,t-Brieuc : M"" Bauguion, de Clohars,
Briant, de LQ-ndepneau.
Une, à l'école i)^orm.?!le de Vannes : M'-' Hue^
de Sarzeau ; et une à l'école " Nornjale <je ' St:
Etienne : M"' Faurie, de St-Etienne.
Xie v e n t r e de Quimperlé.
— 11 a été
abattu pendant le mois de juillet 1913, 27
bœufs, 7 taureaux, 2 génisses, 16 vaches,
335 veaux, 119 moutons, 1 chevreau, 32
porcs.
^eçensement
des jeunes gêna de la,
classe im^.
— Le Maire de la ville de
Quimperlé (i(?nn,e ayis qu'en e.véculion de
la loi sur le recruteineijt de l'année que
les j e u n e s nés en 1893 s.o'i?;t ,teflus 4.e gô
présenter à la Mairie, s'ils opl leur domji
cile l é p l à Quimperlé, pour y fa^re leUiT
inscription s j j r les tableaux "(^e r.ec^en$ement et y formuler les Fép}5i.n?aJti.QBÎs
auraient à faire v.aloir,
La loi oblige les parents ou tuteurs à
faire inscrire les j e u n e s gens e m p ê c h é s .
Baye
Accident.
— M. Pierre Derrien, au
service de M. Guillaume Picard, cultivateur à Kermorial en Baye, est atteint de
plaie de la malléole externe du pied
gauche par suite d'un coup de faucille.
Le docteur Le Stunf, k Quimperlé, lui
a prescrit quelques j o u r s de r^pos.
M. Picard est assuré à la C'« générale
d'assurances contre les accidents.
Locunolé
Accident.
— M. Louis Perron, au service de M. Pierre Nigen cultivateur à Praténou en Lpcunolé, est atteint d'impotence fonctionnelle du gepou gauche, par
suite d'une chute de voiture,' '
• ••
- Le Docteur Martin fils à Quimperlé lui a
prescrit un repos de 15 j o u r s .
M. Nigen est assuré i\ la C® Générale
d'assurances contre les accidents.
Me I l a c
Accident.
— M. J a c q u e s Lozachmeur,
au service de M. André Ollivier, cultivateur à Kergoz en Mellac, présente un écrasemerit c^e la phalangette du médius et
de l'index de la ' m a j h gauche qui a été
prise dans une machine à "bàttrg;'
Le docteur Martin fils à Quimperlé lui a
prescrit un mois de repos.
M. Ollivier est assuré à la G'" Générale
d'assurances contre les accidents.
Concarneau
Orage. — Dans la soirée de mardi à
mercredi un orage d'une extrême violence
s'est abattu sur la région de 9 h. à 10 h.
Le tonnerre et surtout les éclairs se s u c cédaient sans interruption, avec une rapidité et une intensité inaccoutumées. Une
pluie diluvienne est tombée pendaiit
1 h. 1,2 environ. On signale au village de
Questel en Beuzec-Conq, un incendie qui
a été occasionné par la foudre à Une
moule de foin appartenant
M. Le Cràné,
propriétaire audit village.
Sauvetage.
— Dans la m ê m e soirée,
une femme employée à l'usine Billette e t
C ; quai Pénérofi, en noire ville, sortait
après le travail fini, lorsque trompé par
l'obscurité et croyant marcher de plein
p^ed s'en alla droit tomber dans le bassin.
A ses cris, un marin Ihonnier nommé Le
Bris, de Concarneau, se j e t a résolument à
l'eau et avec beaucoiip de ' pèii^ç, parvint
à ramener cette femme à terre, qui "sè
cramponnait désespérément à. lui.
Beiizec-Conq
2' Fête du Guy.
—La
Comédie
'Française
à Concarneau.—
La Fille de
Roland, la représentation du chef d'oeuvre de Hornier, qu'on nous annonce, promet d'être un événement artistique considérable. En dehors de l'intérêt d'une interprétation de premier ordre : Sociétaires de la Comédie Française et princi-
•im
paux pensionnaires de l'Odéon, le charme
du théâtre en plein a i r e s t incontestable. Dans toute la France une admirable renaissance du théâtre de la nature prouve combien cette forme primitive Ja seule vraiment rationnelle, répond à un besoin populaire. Les salles
du spectacle surchauffées n e permettent
pas de goûter pleinement les beautés de
la grande poésie lyrique, les décors de
toilijs peintes étoulFeut ou tout au moins
r e s s e r r e n t les superbes envolées poétiques de nos classiques tragédies et leurs
descendants des drames historiques. La
Nature seule est un cadre digne des Héros
et des Dieux et ces personnages souvent
si conventionnels près des ciels de frises
reprennent aussitôt sous les véritables
d e u x , une vie réelle simple e t naturelle.
Celui qui n'a j a m a i s assisté aux spectacles en plein air, ne peut savoir combien
c e s représentations au milieu de la verdure augmentent la sensation d'art que
provoque toujours l'audition d'une œuvre
puissamment émouvante. Nous engageons
donc tous nos concitoyens a assister il cet
intéressant spectacle, sur qu'ils rossenti' ront à l'audition de la Fille de Roland des
sensations nouvelles et pour dire plus insoupçonnées.
Tréguiic
Kiilln Briend Gustave, de Pont-l'Abbé, a été
admis au certillcat supérieur de sciences physiques, chimiques et naturelles.
42, Place Saint-Michel Q U I M P E R L E
Tribunal correctionnel de Quimperlé
Audience du 29 juillet
1913
Quimperlé. — L'ivresse. — Clémence PierreLouis, 31 ans, braconnier domicilié au Goréquer
h Quimperlé a été rencontré par les gendarmes le 17 Juillet courant sur la place Guthiern
en état complet debriété. 15 jours de prison.
Soaër.— Pour des échalottes et des oignons. —
Prat Bertrand fi? ans, journalier à St-Thurien,
a été surpris, le 17 Juillet courant, par Mme
Colin, débitante au bourg de cette commune
en train de voler des échalottes à M- Deschen-r
nés instituteur. Il a dérobé en outre deux oignons danx leljardin de iMme Colin. Comme depuis plusieurs mois les voisins du prévenu
sont victimes de nombreux vols de légumes
le Tribunal inllige à Prat dont l'incpaduite est
notoire, 15 jours de prison ayeC sursis.
ClQljars-Çarnoët.
Le
juillet 19^3 le
gardp tniriiline Cacjet, dressa procès-verbal à
Mahé Julien, 27 ans, patron du b,ateau ^a Sfirce/i0,demeurant à^erampeilayt en iVjo^lan, pour,
avoir navigué h pojjlan, les 3 et 7 Juillet ^913,
avec des homnips quj n'éti^ient pas portés sur
son rôle d'équjpage.
Peu satisfait, Mahé pqtregea grossièrement
je garde f^def.
Le nommé i^imon François, 34 ans, marin^
pMclieur, qui se trouvait à bord de la Siarcelh
en lit autant.
8 Jours de prl.ion chacun avec sursis pour
les outrages. Mahé est en outre gratifié pour
la contravention maritime de 25 francs d'amende également avec sursis.
H Y D R O P I S I E - - Gonflement
figure,
de la
mains, des pieds, surtout
villes pouvant
membres
des che-
se généraliser
et à tout le
aux
M
SHAKERS
Trailemenl Normand
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s'adresser
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Etudes de M ' L e C l e c h , notaire à
Bubry et de M ' L e Qallo, notaire^
k Ploiaay (Morbihan).
AVEN
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à 2 heures
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notaire à Plouay
Situés en la Ville d^ QUIMPEUt!
1» Un.terro,itA ayant façade s u r
le champ d'e t'oire aux chevaux, très
b i e n situé pour construction e t
c o m m e r c e ; 2" u n e p r a i r i e , située
chemin des Tanneries.
S'adresser pour traiter à M. BLONDEAU, chez M ' " Llil MARTELOT,
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Monsieur Jacques de l'jKIV.iULAS, qui habite
Kérouar(\li-oii-Plogonncc(Flnistèro), élailuttoint
depuis très longtemps d'une plaie à la jambe
lui causant do cruelles soiifl'rances. Après
avoir essayé en vain de nombreux remèdes :
eaux spéciales, pommades diverses, emplâtres,
etc., .M. de Kéroulas vient d'obtenir une guériC'est un homme qui sait ce qu'il veut :
son complète, grâce au Traitement Normand
il exige des pneus de la meilleure (|uaBénard.
lité, qui n e lui occasionnent p a s de
Aussi con.seillons-nous à tous ceux qui sont
pannes, qui durent longtemps pour un
atleiiils de .Maladies de Peau, Kezémas, Darprix qui ne se discute pas. Il est habile et
tres, Boulons, Ulcères, Plaies, Maux de .ïamennemi des pots-de-vin.
bes, Vices (lu sang, etc., de demander à l'ins" 'fUlectem, vQtre çUoix es^ fait.
tjlul Normand, .'iS, rqe .^riqanq'-Carrfil, à
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neau. Pharmacie .MOCUDE ; Hosporden, PharJean Gaie. Léon GrlIVon, nieiilion assez-bien ;
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René Kéruzoré, Jean Le Grand, mention assezbien ; Adolphe Le.spert, Kmiie Quinlin, Hippolyte Sérazin.
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. . . . B ^ i l ^ f i f t B ? wSlteViMnfSfl'ÎM
Classe de philosophie. - Léon Brandi, Muximllien Fitamant, Lionel Floch, Marcel JiiMeaux, Auguste I.e Bras, Jean Le Koux, Alphonse Proutier.
' Classe de Première. — Jean Diival, mention
très bien; Joseph Flochiay, mention assez
bien ; Alain Caste!, mention assez bien ; I|ervo
Lenogré, Ken^ Loussouarn, I.ueien i recthtonf,
Léon Driart, merilion assez bien ; Jean Goavec, mention assez bien ; Léon I.e Coz, i>ierro
Le Mouroux, Henri Iloignanl, Joseph Bolorol,
Pour guérir rapidement les
granulation»
mention assez bien ; Jo8Ci>h Gourmelen, iiienl'enrouement,
la fatigue de la voua, les anlion assez bien ; Léon Le l'âge, Jean l'ennagines herpétiques
et autres, les
picotements
run Pierre Terrier, menlion assez bien.
de la gorae, la touao sèche d'irritation, faites
u s a g e d e s T A B L E T T E S OU D ' V A T E L . Une
Nos félicitations aux élèves, aux prolesseurs
boîte de tablettes du docteur Vatel est expéet à l'administration du lycée.
diée franco contre mandat-poste de 1 Ir. 35
Succès d'anciens élèves du lycée de Qumpej.
adressé à M. BERTHIOT, rue des Llona, 14
— Le Meudec Charles, de Quimper vient d fttre à Parla.
admis dans l'un des meilleurs rangs a l'Institut national agronomique.
• Béboh Maut-ico, de guimpor, a etu classe 1
aux examens do 1" année de l'Kcole supérieure
de commerce de Nantes.
M fMM it—
« M r ffM ifHiiéê
•MMMTI , , WTVfaMTHM « rttêrét, m
Bideau Isidore, de Plonéour-Lanvern a subi
éMtVM
avec succès devant la Faculté des sciences de
Rennes les trois examens suivants :
" 1 ? certificat de sciences physi<|ucs, chimiques, et naturelles; 2» certillcat de zoologie,
mention assejs-bien ; 3° certificat de botanique
goention assez-bien.
A
ç^e
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5
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m a r q u e s diverses, qu'il a marchandées,
p a y é e s finalement 12 ou 15 fr. et a v e c lesquelles il a des ennuis.
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m i e u x vos affaires que les siennes. 2° c a s
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corps.
~ P R I E AUX CONSOMMATEURS
APPEL AU BON SENS
H A B R I A L ,
du dessous des yeux, des
Les liquides absorbés en m ê m e temps
que votre nourriturçs 'pendant un mois
ont le même p.oids que votre corps entier.
La plus grande partie de ces liquides
doit traverser les reins (fuJ/;. rognons) e t
tout l'appareil urinaire.
Qn imagine ?aoilemenHes troubles qui
suvv^enc^r^ient si les reins ou les canaux
u n n a i r e s s e bouchaient subitement. En
quelques heures, lies m e m b r e s e t tout
le ço.rps gontiieraiient d'une façon efiVayantd.
C'est ce qui se prûchtil dans
l'hydropisie.
' On donne le nom d'hydropisie aux en.^
flures blanches, molles, des chevilles, des
membres, du corps : si le doigt presse
sur ces enflures, il laisse son empreinte
fféniase
le 22 juillet, u n e
et la peau met un certain temps à rede i\ mois, de couleur noire
prendre son état normal,
avec taches blanches, cornes commenLes ponctions qui enl^ven^ Veau accuçant à pousser et un peu écartées. Cette
Les chiens chasseurs. — Malgré les avertismulée dans cer^i,ne.a parùes du corps
bête d'une valeur de 120 fr. environ est
sements qui leur sont donnés à chaque audien[oscile\ fl^ dPtr.uiseat pas la cause de l'hyan très bon état. Prière k la personne
ce, de nombreux cultivateurs ne tiennent £|u-;
cjf.o,pisie.qu> l'aurait recueillie, d'en aviser M. Le
cun compte de l'iu-rêté préfep(;p,r£^l prj^ d^ns Ip
Les l^ilules Poster (Quimperlé : pharDœuf, cultivateur h Trévighon en Trebut cje préyenjr Ifi cjest^^uptifin 'dés'fiiseau:vi et
macie
Habrial) agissent immédiatement
continuent H lajssor divaguer leurs chiens.
Kunc.
Lcscunll
sur les reins et tout l'appareil urinaire ;
Pour ce motii, (Kiadeo Hené,
ans, journaelles augmentent la quantité des urines
lier agricole h. Sl-Cadol en Melgven ; Branquet
Accident
de travaU.
- Mardi vers 9
Pierre,
43
ans,
cultivateur
à
Kernéguen
en
qui entraînent ainsi avec
i'©au en
heures du matin le j e u n e Adrien Lucas,
Scaër ; Fiche Louis, 65 ans, cultivateur àParcexcès, les sels et liquidas qui causent
âgé de 17 ans, domicilié à Douarnenez
houal, même commune et Carnot Yves, 26 ans,
ces enflure^.
était employé comme apprenti maçon
cultivateur à Kergoat en Melgven, ont récolté
•ifAUiéspharraaoies (3 fr. 50 la boîte s i x
au service de l'entrepreneur M. Nouis,
chacun 16 francs d'amende.
boites pour 19 francs) ou franco par poste ;
qui construit actuellement une maison
Les deux derniers (jpi seqls bénéficié de la
Spécialités Poster, H. Binac, pharmacien,
d'école h ï^esponil. Lycas qui revenait sur
iQt qp surfîis;"' '
25 rue Saint • Ferdjti e m û r i p T ^ i aVbip l^orjéi jjo oiseau dé
nand, Paris. — Den?^nmortier aux maçons posa le pied sur une
dez et exigea, bien, les
pierre mal assujettie qui lui fil perdre l'ey4r^tabJea,PijuiiesF0iSquilibre et tomba dans le vide sur le fossé
^ s ù m i M
'ÇER, pour les Heins;
du champ voisin d'une hauteur de 9 H i f U / v s o r t
La
Tisane
Américaine
des
Shakers
est un
refuse2i0u faites-vous
mètres environ. Relevé aussitôt par les
moyen des plus efficaces pour aider Vas^
rembourser tout c e
ouvriers, le malheureux qui avait perdu
tomac, le foie et les intestins à f e t t t f
qui ne porte pas la marionnaiseanoe fût çléposé dans le débit de
principes ndUrriçièrt de'v6é 'alinJiçtits et i{
fejàter• lès "clècéets l)ôrs"^u çprps. J^
— que déposée ci-contre.
( W i ô u , p^ria^nt ^^e sa famille et le
OJoins que les organes digestifs n'accom-:
médecin furent prévenus. Ce dprmer après
plissent
bien leurs fonction^, d,^ n'ç ^u^ai^
«voir constaté l'état de gravité du jeune
|tre fqrt et tiîoçi portapt. Venez donc éo
ï^uoas décida d'^rgeRpe son transport à
fiide 4 i'estqmaç,
foie et au* intestins en
i'hôpital de Pont-L'Abbô,
^naQt de laTisane Américaine des Shakers.
de la chicorée Extra Leroux d'en r e tourner les vignettes TOUS LES ANS
AU 30 AVRIL à M. A. LEROUX à Orchies
(Nord).
Au moment où, par toute la France, se reLes Vignettes non expédiées pour cette éponouvellent par moitié les conseils
généque sont valables pour les années
suivantes.
raux et d'arrondissements,
on nous commuD'un goût exquis, d'un arôme agréabji:ji,
Q u i m p e r l é . — Marché {du
Août. — cette chicorée se • trouve dan^ içufes içs.
nique une note qui n'est inspirée par
aucune considération
politique.
Taureaux, le kilo., 0.60 îi 0.65 ; bœufs de
épiceries.
Le fait est trop rare pour que nous résistions
boucherie, 0.70 à 0.75 ; vaches de boucherie,
EVllpER ^KS I N l i T A T I Q I ^
au plaisir 'de l'innorer.
0.5D à 0.60 ; bœufs de travail, ordinaire
bouvillons, 5ê; à 60 fr. ; vaches laHl'ères,^ É L E Ç T K r a
! !
145 à 32p ; génisse^', l^Q àSlQ; chevaux, très
L e V p r o f e s s i o n s de foi s'oublient, les
élevé ; porcs, I.IQ h. 1.2p le kil. ; moutons,
fjommeg restent avec leurs qualités, leurs
0.80 à Q.85; veaux, 0.85 à 0.90 f r . ; froment,
Qelta intlrmilé effrayante par ses suites
.^ptitud^s, ieur^^périence.
. „
19.»» à 2Q.»» ; seigle, 18.»» h
;
trop souvent mortelles, est arrêtée, préorge,
29.»»
à
;
garragin,
2^.)V>.
à
yous faut des copsejllepg aptifs, lionvenue, au point qu'aucun danger n'est
23.»)> ; avoine, • ï£|.»)) à 20.».»; pommes
nêUiS et bons administrateurs.
désormais ^ redouter avec la méthode de
de terre
les 100 kil., 6,.»» à 7.»» ;
Vote% donc pour un pandiJat eijergiVéminent spécialiste M. J . G L A S E R ,
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que, entpainé auj^ e.Jfercjces physiques :
boulevard Sébastopol 38, & Paris.
|.10
à
1.20
;
foin,'
les
5,00
kil,
3Q.»»
à
;
par exemple, celui qui ppali|:|ue la bicyAussi, avant d'acheter un bandage quelpaille, les 500 kil., âf.»» à £(5.»» ; son, l e s
clette saura s'occuper des cliemins dont
conque, les malades des deux sexes a t 100 kil., 17.»» à }8,)i>! ; farine, 1'» qualité,
l'entretien rentre dans les attributions de
teints de hernies doivent-ils demander à
38.»» à -Sil.»» ; 2» qualité, 95.»» à 30 frl'assemblée,
_
.,
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Pour j u g e r ses capacités aaanci^res, il
hernie se soigne et peut se guérir, et qu'il
est un moyen infaillible :
enverra avec la date de son-passage d^îji^^
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Mairie de Quimperlé.
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Les annonces sont reçues au bureau du
journal et, à Paris, dans foutes les Agences.
On traite à forfait pour
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Lbs ' fiiecdoiiii (iâotooaies
du 3 Août 1913
i,
les
électeurs inscrits de plus, qu'a ga
gner péniblement
voix (713 voix
eu 1912 et 751 eu 191B).
La situation municipale de M.
Courtier n'est donc pas atteinte-et
les espoirs fondés par M. Le Louédec sur la communede Quimperlé se
trouvent une fois de plus déçus. On
ne veut plus de lui ici.
En co.nparant les chiffres du
scrutin de dimanche avec ceux de
l'élection au Conseil général de
bX)7, nous constatons également
que la situation de M. Le Louédec,
•ians le canton, a fortement diminué
et que, si M. Courtier n'avait pas eu
contre lui, près des électe u s de la
campagne, le désavantage de n'être
pas du pays, la face des choses
aurait certainement changé. Alors
que-, cette année, il y avait 553 inscrits de plus qu'en 1007 M.
Le
Louélec n'a obtenu, dans tout le
canton, que4.7:38 voix au lieu de
voix en liX)7, soit un déchet
de 4C)4 voix. H perd 337 voix à
Quimperlé (751 au lieu de 1.088), 12
voix a Baye (117 au lieu de 121)),
IC) voix à Tréméven (178 au lieu de
r.)i), 112 voix à Clohars-Carnoët et
gagne seulement 13 voix, chiffre
fatidique, à Meliac (18^1 au lieu de
171).
.
Si les éleiHioDs qui oob eu lieu dimanche ne nous out pas doQué,
dans le canton de Quimperlé. toute
la satisfaction que nous étions eu
droit d'en espérer, en revanche celles du canton de Pont-Aven ont été,
malgré les efforts désespérés et
dénués de toute retenue de nos ad
versaires, un magnifique succès
pour la politique, propre, loyale et
nettement républicaine que nous
suivons ici.
A Quimperlé, nous avons supporté les conséquences d'une cabale dont le but était de jeter le
trouble dans l'esprit des électeurs
et de mettre, pour des questions
personnelles et de regrettables considérations en dehors de la politique, M. Courtier en minorité dans
la ville dont il est maire.
A côté des mécontents qui ont
ouvertement prêché l'abstention,
nous avons vu le parti réactionnaire
et clérical conseiller à ses partisans
de ne pas voter et même de taire
campagne pour M. Le Louédec.
• Que celui-ci vienne encore nous dire
On volt que c'est' là un^^bîen
que M. Courtier à éu les voix des
hobereaux et des presbytères alors piètre résultat et que sa situation
politique, loin d'être consoUdée par
que lui yeul a profité dimanche,
une fois de plus, de la tactique qu'ils l'élection de dimanche, s'en trouve
plutôt fortement diminuée.
suivent un peu partout et qu'ils ap
pellent « la politique du pire ». l^t
Ce résultat préparatoire et ocpour faire encore plus sûrement du
casionnel est loin d'être une intort à la candidature de M. Courdication pour les élections législatitier, ils ont été jusqu'à insérer son
ves de l'an prochain; à ce moment,
nom, — sans le consulter et de leur
il faut l'espérer, les électeurs sau
propre initiative, — dans la liste ront se ressaisir et laisser de côté
des candidats patronnés par leur toutes leurs petites dissensions perorgane le Nouvelliste de
Bretagne, sonnelles, pour ne voir que l'insachant bien que le meilleur moyen
térêt général de la F r a n c e et de la
parfois, de faire du mal à quelqu'un République !
est de se dire son ami.
• *
De leur côté M. Le Louédec et ses
Dans le canton de Pont-Aven,
partisans ont mené contre M. Cour- nous avons constaté les mêmes coatier une campagne violente de ca- litions hétéroclites et les mêmes
lomnies et d'insinuaMons perfides,
elTorts désespérés pour faire triomils ont semé l'argent de tous côtés,
pher une candidature tardive, synpayant largement à boire dans tous
dicat pénible de mesquines rancunes,
les débits et exerçant sur tous la de haines personnelles et d'ambipression la plus éhontée.
tions sourdes qui n'osent encore
Malgré tous ce^ efforts et tous
se déclarer, tous s'unissant contre
ces procédés, la situation munici
l'homme droit, sincèrement dévoué
pale de M. Courtier, que l'on vou
à son pays, qui, sans compromislait surtout atteindre, ne s'en trouve sion, se présentait ia tête haute a u x
pas diminuée. Insensibles à tous ces suffrages de ses concitoyens, tel
petits moyens qui répugnent à leurs qu'il a toujours été.
consciences, les électeurs lui ont
Dans les communes de Uiec et de
maintenu leur confiance, et les ou- Moëlan, où les adversaires de ^I.
vriers» notamment, lui sont re.'îtés Corentin Guyho avaient c j n c e n t i é
fidèles.
leurs efforts, les électeurs ont consM. Le Louédec n'a pas à se glori- taté, non sans surprise, de's coalifier du résultat de la ville d"e Quim- tions étranges d'opinions totaleperlé, sur laquelle, pourtant, il avait ment opposées.
concentré tous ses efforts ; il y
Nous avons assisté à l'exploitation
subit, en effet, un nouvel échec, éhontée de divisions locales, de froisqui lui est infligé, cette fois il sements municipaux, de jalousies
ne pourra le contester, par des professionnelles, de dissensions favoix exclusivement républicaines. miliales ; à l'excitation anarchique
L'aspect de la place durant toute du pauvre contre le riche, de l'ignola journée, et l'attitude des électeurs rant contre l'homme insti'uit, de
a u moment de la proclamation l'individu taré contre l'homme esdes résultats, lui a bien prouvé, t i m é ; nous avons vu conduire à
malgré lescris de quelques braillards l'urne, comme un troupeau, des
restés sans écho, qu'il n'avait plus électeurs que l'on avait préalablepour lui l'âme de la foule.
ment saturés d'alcool ; nous avons
Si, par suite de l'ardente campa- vu faire appel aux instincts les
gne d'abstention menée de divers plus bas de certaines catégories
côtés contre lui seul, M. Courtier, d'électeurs pour les amener à la
tout en conservant la majorité sur politique de sectarisme que l'on
son concurrent, a perdu des voix voulait faire triompher.
E t cependant malgré tous ces
sur l'élection municipale de l'an
dernier, M. Le Louédec, malgré ses procédés, souvent répugnants, malefforts désespérés, n'a réussi, en un gré le choix habile d'une candida^n,' alors qu'il y a cependant 123 ture paysanne, en la personne es-
JEUDI
et
RÉDACTION, ADMINISTRATIONFTANNONCES
A QUIMPERLE, Place Hervo. n* 8 bl8
T * 1 _ * F " M 0 N « , M» B
Adresse TéiéfirapMqut rUnlon, Quimperlé
timee du maire d'iinVcom'muné très
importante, malgré l'absence de plus
de 100 marins retenus à la mer par
la pêche et la navigation d'été,
malgré le désavantage qu'une courte
fin de mandat de quelques mois
n'avait pas laissé, au conseiller sortant, la possibilité de rendre tous
les services que lui permettra de
réaliser une.période de six années ;
malgré tout enfin, ~ la candidature de M. Corentin Guyho a
triomphé et il remporte la majorité dans quatre communes sur
cinq.
Ce succès, s'il porte un coup très
sensible au clan des envieux et
des sectaires qui veulent accaparer par tous les moyens la direction de notre arrondissement,
est pour nous,ainsi que l'élection sans
concurrent de M. le Commandant
Rodallec dans le canton de Scaër,
une indication très nette du désir
des électeurs de revenir à la politique d'ordre, d'union et de concorde qui est celle que nous avons
toujours défendue et que nous
saurons faire prévaloir l'an prochain.
Les abonnements se fuient d'avanee, sauf conventions ils partent du 1" ou du 16 de chaque mois.
On s'abonne au bureau du Journal. On peut s'abonner
igaUment, sans frais, dans tous les bureaux de poste,
ou encore en adressant un mandat-poste au Directeur,
m. Armand GAUTIER, place Hervo, d QuimferU.
la violente campagne de calomnies
menée avec acharnement contre mes
amis et moi, — en dépit de manœuvres imprévues et condamnables,
— vous m'avez, continué votre confiance, — vous rendant compte, avec
un sûr instinct, qiie vous ne sauriez
trouver un mandataire plus dévoué
en même temps que plus désintéressé.
De cette confiance, je vous suis
profondément reconnaissant.
Partisan convaincu des libertés
municipales, je liens à déclarer que
toutes les municipalités, sans exception, trouveront toujours chez
moi un défenseur ardent de leurs
droils comme de leurs intérHs.
Durant les six années dont la
perspective nouvelle s'ouvre de ant
moi, j'espère vous prouver, mieux
que pendant une courte lia de mandat, que, chez moi, les actes répondent toujours aux paroles.
Vive le canton de Pont-Aven !
Vive la République !
Corentin G U Y H O ,
Conseiller
Nous donnons ci-après les résultats
dos élections au Ga&sôH^-général et- auConseil d'arrondissement qui ont eu
lieu le dimanche 3 Août :
FINISTÈRE
DE
IJUIMPERI.É
Conseil Général
CANTON
Haye
Cl'iUai-.s-Cariioot.
Mollac
Quimperlé...
Trdméven
Totaux...
DE
QUIMPERLÉ
M. LeLouédec M.CourInscrits VotAnts 1907 1913 tier.
160
1.321
387
2.331
302
141
77!)
273
1.559
232
129
620
171
1.088
19i
/».r)07
2.081
2.'J02
iMTes Chers
117
.•)Û8
IS'i
751
rs
24
267
85
756
54
1.181!
Concitoyens,
J'adresse aux 1 1 8 6 électeurs du
canton de Quimperlé qui ont bifn
voulu m'accorder leurs suffrages
dans le scrutin de dimanche, mes
plus vifs remerciements.
Merci aux amis qui, pondant cette
campagne, ont lutté à mes côtés
pour défendre ma candi'iature en
dépit des calomnies et des injures
dont j'ai été l'objet!
Merci aux électeurs de Quimperlé,
merci aux ouvriers, qui, malgré les
moyens employés pour les détourner de moi ont bien voulu me conserver leur confiance ; ils peuvent
être assurés que, plus fermement
que jamais, je saurai m'en montrer
digne.
La lutte est pour aujourd'hui terminée. Sans rancune pour ceux qui
n'ont pas su unir leurs efforts a u x
miens pour le triomphe d une politiijue républicaine, saine, honnête,
j'ai l'espoir, en rentrant dans le
rang, de voir les électeurs républi
cains se ressaisir bientôt pour pré
parer en commun le succès des
rencontres futures.
'
Vive le canton de Quimperlé !
Vive la République !
A.
COURTIER,
Maire
CANTON
Niziin..
Pont-Aven
Uioc
Totaux
DE
Inscrits
527
51)5
.. 1.338
..
JMTes Chera
de
Quimperlé.
PONT-AVEN
Volants M. Guyho M. Berthou
1.280
085
603
3ir,
135
480
203
350
87
363
202
ir,9
809
231
572
3.282
1.720
1.058*
Compatriotes,
Malgré les difficultés exceptionnelles d'une période électorale où
les cultivateurs étaient absorbés
par la moisson et les marins retenus en mer p a r la pèche, — malgré
(jénéral
du
Finistère.
CANTON DE SCAER
Inscrits Votants M. Rodallec
L'Union Agricole et Maritime.
AHRO\DISSEMEI\T
Nord-Ouest
DIMANCHE
Directeur : ArrhAnd GAUTIER
''
annonces
les
du
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St-Tiiurien
85!)
Scaër
totaux
:t28
298
474
1.S20
i-a
).l'i6
262 •
1.119 '
3.15a
1.752
1.679
JMCes Chers
Compatriotes,
Je suis profondément louché el reconnaissant du nouveau témoignage de
confiance que vous venez de m'accorder au scrutin du 3 août.
L'énorme majorité que vous m'avez
donnée, en resserrant les liens qui
m'unissaient déji aux électeurs du
c mton de Siaor, m'impose aussi plus
impérieusement le devoir de consacrer
toute mon activité et tout mon dévouement à la défense de vos intérêts,"
Soyez assurés que je n'y manquerai
point. Qu'il me soit permis, en vous
adressant mes plus sincères remerciements, d'exprimer le vœu que l'entente
qui s'est faite sur mon nom soit durable
dans notre cher canton de Ssaër.
Vive la République I
Commandant H. RODALLEC,
Conseiller
(jénéral
du c.anlon de
Sraiir.
Conseil d'Arrondissement
CANTON
Bannalec
Kernovol
Mcigven
Le Trévoux
DE BANNALEC
Inscrits Volants M. Burel Kl. Nicot
I.71X)
845
711
705
711
:ni)
417
2il
;i.63l
1.S83
7:)!)
/il!
Totaux
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166
l.riSI
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|.(i7y
RÉSULTATS D'ENSEMBLE
Conseil Général
ARROXDISSEMEXT
Çn
D E <)Unil»ER
imper
Inscrits, 7.305 ; votants, -i 612. Suffrages
exprimés, 4.578.
(Janet, conseiller sortant républicain de
gauche 2.014 voix, réélu.
'•
!)'• IMcquenard républicain libéral 1.45')..
Lévenez, socialiste unifié -47(5.
Briec
Inscits, 1.059 ; votants 1.282.
Pennarum, conseiller sortant libéral,
1.200 voix, réélu sans concurrent.
JPlogastel
St-Oermain
Inscrits, 1.95'J ; Votants, 4204; sulFrà-'
ges'4.187.
Le Bail, conseiller sortant radical, 2,4(35
voix, réélu
Le IlénafT, libéral, 1.722.
Donarnenez
Inscrits, 8.413;, votants,, 4.228; suflrages 4.098.
'
Damey, conseiller sortant républicain,
3.45G voix, élu.
'
Stéphan, socialiste 604 voix.
ABONNEMENTS (UN AK)
Quimoerié (ville)
s
Finistère et départements limitrophes.
6
Autres départements
7
Colonies et ôtrjmger
10
ARROI>'D1$8EIIIE[V"|-'DÏ;
fr
—•
—
—
B R E S T
Brest
canton
Inscrits, -7.859 ; votants, 3.619.
M. Moign, républicain, 1.924.
M. I^hillipot, socialiste, 1.643. '
Ballottage.
" '
X/andernean
Inscrits, 1.94i^ ; votants, 1.293.
M. de l'Hôpital, 1.133, élu.
M. Calvez, socialiste, 135.
"
'
JHolène
inscrits, 134; votants, 97.
M. Larreur, 72, élu.
Onessant
Inscrits, 721 ; votants, 386.
M. Chevillotte, conservateur,
sortant, 254, élu.
xM. Gontel, radical,, 127.
conseiller
A r r O X D I S S E I I I E X T d e .%fORLAi\
JSXorlaix
M. Larher, 2099, élu.
M. Lefevre, républicain de gauche, 1534.
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M. Charreteur, radical, 1062, élu.
M. Quéméner, libéral, 985.
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Châteanlin
M. le docteur Magne, rép.dém., 2336, élu.
M. Tirilly, républicain, c. s., 1871.
Châteannént-du-iFaou
M. Dubuisson, radical, 3328, élu gans
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Mnelgoat
' M. Féjean, radical, c. s.^ 2050, élu sai.s
concurrent.
Xe Faon
M. Louppe, président du conseil
ral, est réélu.
géné-
Conseil d'arrondissement
Brest 2' canton
Inscrits, 14.180 ; votants, 6.762.
M. Le Fur 3 i l 6 voix.
M. Pineau 3.096.
M. Le Borgne 517.
Brest 3' canton
Inscrits, 6.959 ; votants, 2.966.
M. Gestin 1.356 voix.
M. Julien 519.
M. Hervagault 1062.
Il y a ballottage pour ces 2 cantons.
JPleyben
M. Buhannec rép. de gauche 2890 élu.
Crozon
M. Balcon. 2.121 élu.
Concarnean
M. Sellin républicain, 1.575 élu.
M. Campion. socialiste unifié, 577.
Fouesnant
M. Le Bris, i'ép., 1.890, réélu sans concurrent.
Rosporden
M. Le Gac rép. 1.191. réélu sans concurrent.
Font-Croix
.M. Dagorn rép.. 2.928, réélu sans concurrent.
Saint-Fol-de'Xiéon
M. Henri yeité. conseiller sortant, 1341,
élu.
Carhaix
M. Robou, rép., 3000, élu, sans concurrent.
Font-PAbbé
M. Pierre Biger, républicain
3.304, élu.
modéré,
M O R B I H A N
Conseil
Général
Ziorient,
2'' canton
M. Bouligand, conseiller sort., 2.670.
M. Mestric, 1498.
M. Moréau, 589.
i
Ballotage.
Font-ScorJOr
M. Guyomar, cons. s., libér., 2159, élu.
M. Mouélo, radical, 751.
M. Le Halpert, socialiste, 1393.
Fort-Iionis
M. Paubert, conseiller sortant, 2242, élu.
Fln-vigner
M. de Kerouallan, c. s., 1607, élu.
M. Evànno, républicain 787.
Çniberon
.
M. Le Gloahec, c. s., 1513, élu.
'•y •
r-
Etnbles. — M. Heurtel-Lamy Jean-Marie,
ciant, cons. mun. de Guingamp gauche,
cons.
d'arrondiss.,
maire
d'Elables,
gau2.886,
élu.
• M. Guillois, libéral, c. s., 2102, élu.
che, 1.033, élu.
Belle-Isle-en-Terre.
— M. Louis Uesjars,
>
.
Si-J»MSrevela,y
LanvoUon. — M. Edouard Duval, notaire,
cons; d'arrond. sort., gauclie, .530, élu.
M. l e comte Lan.juinais, député, c. s.,
maire de Lanvollon, cons. gén. sort.,
Mael-Carhaix.
— M. Jaouen, notaire a
2070, élu.
droite, 1.098,élu.
Locarn, gauche. 1.723, élu.
£ a Trinité
Porhoet
Paimpol.
— M. Louis Armez, députe,
Plouagat. — M. Augustin Gocbel, cons.
maire de Plourivo, cons. gén. sort., gauM. le marquis du Plessis de (Trénédan,
d'arroïKl. sort., droit<^, 1.266, élu.
che, 2.553, élu.
libéral, 951.
Pontrieux. — M. Yves-Marie Le Gatlou,
Pléneuf. — M. A. Urvoy de Closmadeuc,
Perret, radical, 1453, élu.
maire de Plôézal, cons. d'arrond. sort.,
maire de Planguenoual, droite, 1.182, élu.
Rolian
droite, 1.266, élu.
Qiiintin. — M. Guillaume Limon, sénaM. de Guy, libéral, c. s., 1.885, élu.
Perros-Guirec. jr M. Jean-Marje Audren,
teur, maire de Sain t-Brandan, cons. gén.
maire de Trébeurden, c. d'ar. s., gauche,
Onéméne
sort., droite, 1.280, élu.
— M. Charles Baudet, député, 2.262, élu.
M. Brard, député, cons. sort., 2116, élu.
Plouaret. — M. F.-M. Gefl'roy, adjoint au
docteur-médecin,
maire de Caulnes, cons.
Qonrin
maire de Tonquédec, c, d'ar. s., gaucho,
général sortant, gauche, 1295, élu.
M. Le Bouard, c. s., lib. 1.DÔ7 élu.
2.947, élu.
Evran. — M. Jean Rioche, avocat, conM. Droual, 1.315.
M. Pierre-Alexandre, maire de Plounéseiller municipal à Saint-Brieuc, centre,
vez-Moëdec, gauche, 2.924, élu.
làocminé
154r), élu.
Loudeac. — M. Henri Le Vézouet, vétériM. de Lambilly c. s. 1.345.
Matignon. — M. P. Durand, négociant,
naire à Loudeac, o. d'arr. sort., gauche,
M. Goëtmeur, républicain, 1.387, élu.
maire de Pléhérel, gauche, 1753, élu.
1.710, élu.
V a n n e s (Ouest)
Plélan-le-Petit.
M. Louis Larère, séCoffinéc. — M. le marquis Le.iMinlier de
nateur, avocat à Dinan, maire de PlélanM. Buguel, 0. s., libéral, 1374.
la
Motte Basse, au Gouray droite, 842, élu,
le-Petit, cons. général s., droite, GG2. ~
M. D' Letoux, radical, 1395, élu.
Corlag.
— M. Eugène Pérennès propriéM. Joseph Béthuel, cons. mun. de Plélan,
Çu«Btemhert
taire-éleveur à Plussulieu droite, 1.043,
gauche, 667. — Ballottage.
M. le.comte de Chabannes, libéral, 2333,
élu.
Plouhalay.
— M. Lemonnier, docteurélu.
La Cheze. — M. le cte de Pelet, maire
médecin il Ploubaliy, cons. génér. sort,
Mnzillac
de Plémet droite, 1.772. élu.
extrême gauche, 801, élu.
M. Mauduit, c. s., 1614, élu.
Merdrignac. — M. Victor, prop., cons.
Béi/ard. — M. Félix Montfort, notaire à
mun. à Merdrignac, cons, d'arr. sortant,
Xia
Moche-JBern»rd
Kermoroc'h, c. gén. s., gauche, 1729, élu.
gauche, 1.950, élu.
Bouvhriac. — M. Personnic, notaire à,
M. (lu Boisrouvray, c. s., 2322, élu.
Bourbriao,
gauche,
1313,
élu.
Roche fort-euTerre
Callac. - M. le Mis de Kerouartz, sénaM. l-'orest, député, c. s., 19G1, élu.
teur, cons. gén. sort., droite, 2590, élu.
Chaque boite 1 kilogramme brut ou
Conseil d'Arrondissement
liostrenen. — M. Francis Henry, de Rosnet. Sucre de luxe Chantenay, chaque boite
trenen, gauche, 1538, élu.
Zàorient /"' canton
1 kilogramme brut ou net. Sucre
scié
M. Lutouche, radical-socialiste, 807.
Sainl-Nicolas-du-Pelem.
— M. Le docrangé
Chantenay,
carton cuir, boites
Leur Le Hénair Yves, maire de St-iNicolasM. .louan, libéral, 515.'
brunes (genre Paris), contient un ticliet
du-Pélem, cons. gén. sortant (gauche),
Menneboni
prime.
1.868, élu.
M.\l, Le Grand, c. s., radical, 1.499.
30 tickets prime donnent droit à 1 kiLézardrieux.
— M. Paul Le Troadeo,
Kernen, rép. indép., 2.059.
logramme brut ou net Sucre
Chantenay.
député, maire de Lézardrieux, cons. gén.
lionneaud, socialiste, 753.
Le Sucre Chantenay est le plus blanc,
sortant (gauche), 2.012, élu.
Byllottuge.
le plus pur, sucre le mieux.
La Jioche-Derrien,
— M. le docteur Le
Aurajr
Rolland, maire de la Roche-Derrien, cheM.M. Duclos, radical, 1.085.
valier
de la Légion d'honneur, cons. gén.
Martin, libéral, 1.755, élu.
sortant
(gauche), 1.823, élu.
Provost, socialiste, 113.
Plestin-les-Grèoes.
— M. Louis Le Gall,
X.e P a i a i s
maire de Plestin-les-Grèves droite, 2.191,
.M.M. Serre, radical, c. s., 1.091, élu.
M. P o i n c a r é à B a r - l e - D u c
élu.
Craissac, socialiste, 319.
Le programme du voyage de M. PoincaTi'éguier. — M. le vicomte Gustave de
I*Jouay
ré ù, Bar-le-Duc est arrêté définitivement.
Kerguézec, maire de Plougrescant, cons.
M. Faboulet de Kerléadec, lib. 2.149, élu.
La veille de sa visite aura lieu une regén. sort, extrôme-gauche, 1.636, élu.
traite.
Belz
Gounrec. — M. Georges Le Moign, anLe président de la République arrivera à
MM. Pessel, c. s. 417.
cien maire de Gouarec, socialiste, cons.
la gare, le 17 août à 10 h. 1/2, accompagné
Pevedic, radical, 794.
gén. sort., 757, élu.
de M. Barthou, président du Conseil.
Le Rolle libéral 555.
Mur. — M. le comte de Kerantlec'h-KerAprès les réceptions des autorités et des
JoBBelin
nezne, sénateur, maire de St-Gilles-Vieuxfonctionnaires, M. Poincaré passera en reM. du Ilalgouël, c. s. 2.180 élu.
Marché, cons. gén. sort, droite, 1.161, élu.
vue les sociétés locales. Il présidera un
'
Manron
Ploutjuenasl. — M. Georges Duval, maire
banquet, visitera l'hôpital et quittera Barr
MM. Le Borgne, libéral.
deLangast, cons. gén. .sorL, droite, 1.810,
le-Uuc pour sa résidence de Sampigny
Piederrière, radical, élu.
élu.
4 h. 30 de l'après-midi.
Poutivy
Uzel. — M. K. Ollitrault-Dureste, maire
M. Barthou inaugurera le local de l'Union
M. Keyser, 1.832.
de Merléac, président du Comice agricole,
populaire.
M. de Kervnoaël, 1.706.
cons. général sort., droite, 1.299, élu.
A l'occasion de la visite du président de
M. Robo, 212.
la République auront également lieu un
l'estival de musique et diverses r é j o u i s Ballottage.
Conseil d'arrondissement
sances populaires.
,
Cléguéreo
^
Saint-Brieuc
(Nord). — M. Francisque
Les
préparatifs
de
la.fète
sont déjà comM. Le Berre, 1.534, élu.
Guyon, conseiller d'arrondissement sormencés.
B»nd
tant, 2.346, élu.
M. Belleo, libéral, 1.851, élu.
Chdtelaudren.
— M. Augustin Gorbel,
La R. P .
cons. mun. à Châtelaudren, c. d'ar. s.,
Xe
Fuonët
Le rapport supplémentaire de M. Grousdroite, 1.296, élu..
M. Le Golm, libéral, 2.391, élu.
sier
sur le projet de Réforme électorale,
Lamballe. — M. J.-M. Lesné, négociant
M. Perron, libéral, 2.397, élu.
a été favorablement accueilli par la Comk
Lamballe,
cons.
d'arr.
sortant,
droite,
V a n n e s (Est)
mission de la Chambre, qui, après avoir
2.570, élu.
M. Mœllic, maire de Séné, républicain,
r e j e t é les contre-projets de MM. AugaMoncontour. — M. Jean Veillet-Dufréche,
2.190, élu.
giieur, Renoult, Dessoye, J.-L. Breton, J a maire de Moncontour,cons. d'arr. sortant,
M. Guyot de Salins, c. s., libéral, ne se
val. etc., a définitivement arrête le texte
droite, 2.286, élu. .
représentait pas.
suivant :
Plo'uc. — M. Guillaume Allo, maire de
Xa
Oncilly
1° Il a été inscrit formellement
Lanfains, c. d'arr. sort,, droite, 1.030, élu.
M. le marquis de la Bourdonnaye, libéque « si
Plouha. — M. Texier, docteur-médecin
ral, 2.459; élu,
le nombre des suffrages d'une liste ou
à Plouha, c. d'arr. sort, gauche, 1.010, élu.
M. de Talhouët, conseiller sortant, ne
d'un groupement de listes atteint la maDinan (Est). — M. Pommeret, François,
.se représentait pas.
jorité absolue du nombre des votants, la
négociant à Pleuflihen, cons. d'arr. gaumajorité absolue du nombre de sièges est
Or andChamp
che, 1.562, élu.
attribuée à cette liste ou à ce groupement
M. Oliviéro, c. s., libéral, 1.528, élu.
Dinan (Ouest). — M. Henri Petibon,
de listes ».
Elven
2» Les départements du iNord et de la
maire do Galorguen, cons, d'arr. sort,
M. Le Francs, libéral, c. s., élu.
Seine seront subdivisés, afin qu'aucune
gauche, 1.728, élu.circonscription n'ait à élire plus de quinze
Broons. — M. François Forgeoux, négodéputés.
C O T E S - D U - N O R D
ciant, c. mun. de Broons droite, 1,961, élu,
3" La candidature est autorisée dans
Jngon. — M, Bourdé, négociant, maire
Conseil Général
deux départements.
de Plénée-Jugon droite, 1.814, élu,
^
rio^rmel
S
xj c l a
E s
Au Jour le Jour
Saint-Brieuc
(miôi). — M. Julien Sainlilan, maire d'Yiïiniac, cons. gén. sort.,
gauche, 2.772, élu.
PlanciPt. ~ M, Joseph Pilorge, médecin,
cons. mun. de Gorseul, gauche.
Guingamp. — M. François Kerfant, négo-
[27] Feuilleton de l'Union Agricole
— Vous me donniez confiance tout &
l'heure, par la sympathie avec laquelle
vous me parliez de ce gamin de Paris I . . .
— Quand on est lancé dans une avent u r e . . . il faut bien avoir recours aux
a v e n t u r l e r s i . . . Pourvu que M o s e l l ? . . .
faisait Altarus, avec une inquiétude soudaine.
Coqueluche \ er
par Pierre S A L E S
PREMIliRE
PARTIE
VIII
Comment sauver l a reiitc ?
— Faudrait être an serin poar'ae tromper, i présent 1
— Va donc, mon brave ! Oa plutôt,
a l l o n s ! . . . puisque je te fais un bout de
conduite.
' Bt Mosell disparut avec Coqueluche et
ses gardiens.
Quelques minutes s'écoulèrent, vraiment lourdes pour le prince de Furtzberg,
grand-maréchal de la cour, et pour le
professeur Altarus, membre correspondant de l'Académie de médecine de Paris
•t des principaux instituts du monde I . . .
Dans quelle aventure étaient-ils embar
qués ? Quel risque courait leur vieille réputation I
— C'est enfantin tout ce que nous faisons 1& 1 dit le professeur Altarus au bout
d'un Instant.
— Cela dépend, mon cher : en cas de
réussite, c'est admirable ! . . .
— Mais combien ridicule, en cas d'échecl..* '
— Quoi d o n c . . . Mosell?
— Est-ce qu'on sali jamais à quoi s'en
tenir, avec les p o l i c i e r s ? . . . comme avec
les diplomates 1 . . . N'allait-ll pas le faire
aborder a gauche, tout à l'heure I . . . où
se trouve un b a s t i o n . . . avec une garde
de quinze à vingt hommes, commandés
par un officier l . . .
— C'est par Inadvertance l
— Huml
Quelques minutes s'écoulèrent encore...
Mosell apparaissait enfin, les mains
dans les poches, le visage aussi épanoui
que lorsqu'il leur avait annoncé que le
prince Conrad était roulé.
— Ça y est ! fit-il.
-Evadé?
— Sahs un accroc !
— Pourvu qu'il arrive à temps !
— Ham 1 . . . h n m ! . . .
L e rire de Mosell était presque agaçant.
Altarus, croyant en deviner toute la
signification, marcha rudement sur lui.
— Qu'est-ce que vous nous avez manigancé, v o u s ? . . .
— Chut ! . . . chut ! . . . fit Mosell.
E t 11 penchait l'oreille vers la fenêtre,
demeurée entr'ouverte.
L'insigne de la Croix Rouge
Le Journal Officiel promulgue une loi
qui consacre le monopole de l'emblème
— Vous ne l'avez pas fait évader d'un
c ô t é . . . pour le faire tuer de l'autre ?
— Mon cher professeur, nous sommas
dans le hasard de la bataille : vous avez
voulu lui rendre sa liberté, en le char
géant d'une mission d e c o n f i a n c e . . . ce
qui, ea cas de réussite, peut nous faire
gagner une h e u r e . . . ne fût-ce qu'une
demi-heure... c'était une chance a cour i r . . . Mais 11 faudrait, par sainte-Eadoxte I qae tons nos postes fussent endor
mts, pour q<ie, la ville étant en petit état
de siège, ou pût en sortir sans avoir fait
éclater quelque coup de f e u . . . E t s'il y
reste, tant p i s . . . on l'a loyalement pré
venu qu'il y allait de sa p e a u . . .
— On dirait que c'est la solution que
vous préféreriez, vous»
- Mais, mon cher ! répliquait Mosell,
avec une fureur gouailleuse : un coup de
f e u . . . par la nutt que nous traversons,
mais un coup de feu, c'est trois, c'est
quatre, c'est dix coups de f e u . . . c'est
l'alarme donnée ! . . . c'est tous ces imbéciles, qui rôdent autour de la préfecture
l'arme chargée, qui voudront rallier leur
poste, aller aux nouvelles... et nous
aurons alorn la roule l i b r e . . . Et une fols
dehors, tous les trois, sans la police de
Conrad k nos trousses, c'est nous qui
sortons de la ville I C'est nous qui sauvons
la reine I... Nous devons bien cela, il me
semble, à notre vienx souverain 1...
A ce moment, un coup de feu retentis
sait...
E t tandis que Furtzberg détournait la
tôte de la fenêtre avec dégoût, et qu'Ai-
de la Croix-Rouge au service de santé miitaire et des sociétés qui lui sont rattachées.
En conséquence, les commerçants qui
utilisaient cet insigne comme ~ enseigne
ou inarque de fabrique devront y renoncer, et les seules sociétés : Société de secours aux blessés militaires, Union des
F e m m e s de France et Association des
Dames françaises, composant la CroixRouge française, auront le droit de s'en
prévaloir.
Un sous-officier
tué p a r une sentinelle
Un soldat du 112'' d'infanterie de faction
sur les re.nparts de la citadelle de Strasbourg découvrit, un sergent-major qui
péchait dans l'eau du fossé. Le soldai, mit
le sous-oHicier en état d'arreslution. Celui-ci se dégagea et prit la fuite, en dépit
des sommations du factionnaire, ijui lira
dans sa direction et l'atteignit niurtellement.
\
i^
Le factionnaire a été immédiatement arrêté.
Suivant une autre version, le sergentm a j o r avait voulu pénétrer dans une poudrière avec une femme qui l'accompagnait. Il refusa de céder aux injonctions
de la sentinelle qùi l'avait invité à se retirer.
L ' E n t e n t e cordiale
Le « Morning Post » déclare que la France a le droit de conjpter sur l'appui de la
Grande-Bretagne en cas de troubles, et.il
préconise dans ce but, une augmentation
de l'armée expéditionnaire anglaise de 50
à 100.00.0 lionimes. Cette armée devra pouvoir débarquer sur le continent quelques
j o u r s après la déclaration de la guerre.
Une telle mesure assurerait pondant
quelque temps la paix l^luropéenne, en
montrant clairement que l'Angleterre est
prête, elle aussi, à j e t e r un poiusjsutfisamment lourd J a n s la balance.
L e s Cégétistes en prison
Les militants de la C. G. T. détenus pour
provocation de militaires à la désobéissance, qui avaient demandé à M. Drioux, juge
d'instruction, leur mise en liberté provisoire, se sont vu refuser celte faveur par
le magistrat.
Le réquisitoire contenait cet attendu intéressant :
« Attendu que les inculpés, en refusant
systématiquement toiRe explication au
juge d'instruction, le contraignant à de
pms longues investigations et que, à raison
d e l à gravite des fails il ne saurait être
question de mise en liberté — sauf pour
raison de santé — avant la lin de l'instruction. . . »
F r a n c e et Russie
Le tzar a reçu ce matin à Péterholl"
la mission militaire française ; il a donné
audience en premier lieu au général Jofl're,
chef de la mission, ensuite à M. Delcassé,
ambassadeur de France à Sf-Pétersbourg,
et entin aux membres de la missjon à
chacun desquels il a adressé la parole.
Un ballon allemand
atterit en F r a n c e
Un ballon allemand a atleri dimanche
après-midi à Rupt-en-W'ievre, près de
Verdun. 11 était monté par trois aéronautes civils de b'rancfort-sur-le-Mein. Le
sous préfet et le commissaire spécial se
sont assurés du but exclusivement sportif
du voyage et de l'identité des passagers.
Ils ont pris toutes les mesures de protection accessoires et se ^ ont assurés que rien
de suspect ne se trouvait à bord. Ils ont
autorisé le retour par voie ferrée, après
acquittement des droits 'de douane.
Ce ballon avait été poussé en France
par des vents contraires.
L a Révolution Chinoise
. La scission entre le Nord et le Sud du
vaste empire Chinois s'affirme de plus en
plus. Des combats meurtriers se livrent
chaque jour, et la sécurité n'existe plus
nulle pari.
tarus se cachait les yeux, où 11 était venu
une petite larme — Mosell se frottait les
mslDs, entr'ouvralt un peu plus les volets,
avançait la tête :
— Qu'est-ce que Je vous disais !...
Un deuxième coup de feu retentissait,
un peu plus lointain... puis deux... puis
cinq ou six... une salve I . . fit, après un
grand silence, on distinguait une galopade d'hommes... '
— Regardez donc, messieurs !... Les
Imbéciles!
Quinze, vingt, trente hommes, passaient
devant eux en courant, se dirigeant vers
le fleuve.
— Le pauvre garçon ! murmura Altarus :
il doit avoir son compte !
—• C'est probable 1... Mais nous, nous
sommes libres! répondait triomphalement Mosell.
*
*
Non I... Coqueluche n'avait pas son
compte. Mais 11 s'en était fallu de peu.
Il avait bien traversé, sans la moindre
anicroche, le quai de la Varnlca ; et quoiqu'il eût fait pas mal de tapage pour décrocher la chaîne du canot, on l'avait
laissé bien tranquille : preuve qu'on était
de mèche avec lui da côté des policiers.
Le courant étant assez rapide, il n'avait
p»s eu ombre d'hésitation : il lui suffisait
de se laisser aller, et il ne se servait
guère des avirons que pour éviter les
arches des ponts. L e premier fut franchi
sans obstacle.
Mais comme il dépassait le second, il
fut aperçu ; et on lui cria quelque chose
Aussi, suivant les ordres consulaires,
les vapeurs qui se trouvent à Canton se
tiendront prêts à embarquer à Hong-Kong
les femmes et les enfantl Anglais, ainsi
que les nombreux' Cliinois qui veulent
quitter la ville.
Mort tragique
de deux officiers français
Les lieutenants A y me et Montaigu,
chargés d'une mission géographique dans
le Laos, se sont noyés dans la traversée
de la rivière de la X O I K ] à Samphy.
L a nouvelle monnaie
Nous avons annoncé que la monnaie de
bronze va disparaître et qu'elle sera r e m p l a c e par les sous Iroués en nickel. II y
aura des pièces de 5 et de 10 centimes.
Mais on n'en frappera plus de 25 centimes. Un revanche, nous aurons des demisou^. La commission vient de décider la
ci-èalion d'une pièce inédite, peu conforme du reste au système décimal : la
[jiùce d'un demi-sou. Celle-ci sera également perforée : elle aura 16 millimètres
de diamètre.
Dans les Balkans
— La journée de samedi, à Bucharest,
s'est terminée dans l'optimisme. M. Majorisco ayant déclaré, au cours de la conférence plénière qu'il espérait qu'il n'y aur lit pas eu lieu de prolonger la suspension
d armés, une conférence privée a eu lieu
e i t r e les délégués serbes, grecs et bulgares.
Ces derniers ont présenté les propositions
de leur gouvernement concernant la frontière e t o n t demandé que le traitement assuré aux Grecs en territoire bulgare soit
assuré aux Bulgares- en territoire Grec.
MM. Pachitch et Venizelos ont déclaré
ces conditions innacceptables, mais ils
ont fait quelques concessions sur leurs
conditions présentes. Un est donc entré
dans la voie des concessions et il est pro
bable qu'elles s'accentueront.
- Les ambassadeur» ont décidé de faire
aujourd'hui une démarche individuelle,
mais en termes identiques, auprès de la
Porte, dans le but de montrer que l'Europe est absolument d'accord sur l'évacuation d'Andrinople par les troupes ottomanes. La Russie attendrait pour agir les
résultats de la conférence de Bucarest.
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GHROlIQHIOHiLB
Création d'une école pratique
d'agriculture
Le conseil général du Finistère a d é c i d é , .
dans sa session d'avril 1913, de créer dans
le département, une école pratiqùe d'Agriculture. Il a demandé aux communes si
elles n'avaient pas de propositions à faire
au département pour le choix du domaine
sur lequel l'école pourrait être établie ;
n n i s la préfecture recevrait volontiers
lesotl'res qui pourraient lui être faites
par des particuliers.
Le domaine destiné à l'école doit avoir
une superlicie de 30 hectares environ,
d'un seul tenant et se trouver plutôt à
proximité d'un centre assez important.
Le département pourrait acheter le domaine ou encore le j o u e r pour une durée
de 18 années au moins.
Si des particuliers avaient des offres à
faire dans ce sens là, ils devraient se
hâter d'en aviser la préfecture du Finistère, pour que la commission chargée du
choix du domaine puisse prendre une
décision avant la prochaine session du
conseil général.
qui devait être : « Qui va là? » ou bien :
« Arrête-toi ou on fait feu ! »
E n tout cas, supposant que cela allait
être suivi d'un coup de feu, il fit biaiser
le canot. L e coup de feu reteatlssalt, en
effet, Immédiatement suivi d'un second.
E l Coqueluche pouvait distinguer, dans
l'arche da milieu du troisième pont, une
grande animation... des lanternes qui
allaient, venaient... des ombres, surmontées de sortes de bâtons qui ne pouvaient
être que des fasils...
— Mon vieux Coqueluche I t'as pas le
poteau; mais je crois bien que tu vas
essuyer tout de même les douze balles!...
Il se mit doucement à l'eau, se tenant
des mains à l'arrière du canot, qui passa
sous une arche de côté : quelques coups
de feu retentirent, avant que le canot fût
entièrement, sous le pont ; et quand Tarant'
parut, ce fut une véritable fusillade.
Puis le silence... Puis des cris qui
avalent une intonation joyeuse...
On devait supposer que le gaillard était
atteint et couché au fond de l'embarcatton s'en allant à la dérive — alors que
Coqueluche n«gealt presque entre deux
eaux, et sans aucune failgue, se soute
nant à la chaîne du canot...
Quelque cent mètres plus loin, il remontait dans rembarcation et donnait de toute
son énergie, toute sa vitesse... Il apercevait le pont du chemin de fer... Il était
donc hors de la ville... Sauvé, s a n s
doute?... E t il allait se livrer à quelques
réflexions dont la première était :
B o u r s e s ii attribuer a u x é c o l e s
supérieure» de C o m m e r c e en I U I 3
M. le Ministre du Commerce et île l'Industrie vient de fixer ainsi qu'il suit le
nombre de bourses de l'Elat qui pourront
être attribuées, lors de la prochaine rentrée, aux élèves des écoles supérieures
de Commerce, savoir :
Bordeaux. 3 ; Dijon, 3 ; Le Hûvre, •»' ;
Lille, 3 ; Lyon, Z 3/4 : Marseille, 3 ; MontpoiUer, 2 ; Nancy, 1 1, 4 ; Nantes, 2 ; Koole
des Hautes études commerciales, 3 3/4 ;
Ecole supérieure pratique dé commerce
et industrie de Paris ( 1 " et 2« cycles). 1
bourse internat, 5 bourses 1/2 pensionnat,
4 bourses externat ; Rouen, 1 2/5 ; Toulouse, 1 2/3.
Les candidats à ces bourses devront
adresser à la Préfecture de leur domicile
ou aux sous-préfectures, avant le 10 Août,
une demande sur papier timbré, indiquant l'école à laquelle ils doivent se pré
senter, accompagnée des pièces ci-après :
1» Une pièce authentique établissant
qu'ils sont de nationalité française, et
qu'ils auroni,
ans au moins au 1 " octobre ;
2» Un c e n i l i c a t de bonne vie et mœurs ;
3» Un certilicat délivré par le maire de
la commune du domicile des parents et
constatant la situation de fortune de ces
derniers ;
4» Un extrait duTÔle des contributions,
délivré par le percepteur.
Un duplicata de la demande devra être
adressé en même temps au Directeur de
l'Ecole pour laquelle la bourse est sollicitée.
Quimperlé
C o u r s e s de Çnimperlé.
— Voici l'arrêté concernant la police des Courses :
Nous, Maire de la Commune d'Arzano,
Vu les articles i)l et 91 ae
loi du 5 avril
1884 ;
Gonsidérantqu'il importe de prescrire les mesures de précaution nécessaires pour eviter et
restreindre les risques d'accidents qui peuvent
se produire dans l'intérieur de l'hippodrome et
aux abords du champ de courses.
ARRÊTONS CE QUI SUIT :
Art. 1". - La date des courses de chevaux
qui doivent avoir lieu sur l'hippodrome de
Kerlarec sera llxée chaque année par la société des courses de Quimperlé.
Art. 2. — Il est interdit aux voilures, cavaliers et piétons de stationner sur la partie de
la route de Quimperlé à Arzano qui se trouve
en face du champ de Goursen.
Des agonis, placés à l'cndroil où seront Iciuis
de s'arrêter, à l'arrivée, les voilures et cavaliers, indiqueront aux uns cl aux autres le
chemin que chacun devra suivre pour être
admis dans l'intérieur de l'hippodrome ou stationner au dehors.
Enfin, dans toute l'étendue du parcours de
Quimperlé ou d'Arzano à l'hippodrome, les
voitures ne pourront se dépasser, soit en allant
soit en revenant.
Arl. 3. — Aucun échafaudage particulier, au
cune bouti(iue, tente ou baraque, ni même aucun étalage ne sera toléré aux abords de l'hippodrome, à moins d'une autorisation spéciale
émanant de l'autorité locale et de la Société
des Courses, et sans préjudice, en ce qui concerne les débits de boissons, de la déclaration
exigée par la loi^
Tout établissement de ce genre, installe irrégulièrement, sera supprimé immédiatement à
la requête des agents chargés de maintenir la
libre circulation aux abords de l'hippodrome.
Art. — 4. Tout ce qui serait de nature à effrayer les chevaux, pendant la durée des courses est formellement interdit. Les tirs de toutes sortes et je<ix bruyants sont expressément
défendus aux abords du cliamp de courses.
Art. — ». Il est formellement interdit d'aroener des chiens dans l'intérieur de l'hippodrome. Les chiens qui seront trouvés vaguaiil
autour de la piste seront saisis et retenus en
fourrière, sans préjudice des peines portées
par la loi contre les propriétaires de chiens
•rrants et dangereux.
Art. — 0. Il est ox|iressément défendu de
franchir les cordes de la lice ; l'on ne devra
s'introduire dans l'intérieur de l'hippodrome
que par les entrées ménagées à cet ell'etf et les
enfants n'y seront admis que s'ils sont accompagnés.
Art. — 7. La lin des courses sera annoncée
par une sonnerie île clairon, et -seuleiuent
alors la circulation deviendra libre.
Art. — 8. Toutes infractions aux disposilions
que renferme le présent arrêté Sfn ni punies
conformément"aux lois.
Art. — 9. Le présent arrêté sera affiché dans
la commune d'Arzano, ainsi que dans les communes environnantes.
— Voici les noms des chevaux qui ont
été engagés pour les courses de dimanche prochain :
1" Bourse, à 1 h. 1/2. — Au trot monté. —
Prix de l'Arrondissement. — Hellc-l'etUa, à
M. Y. Pouliquen ; Echalotte,
à .M. .Micliel
Morvan ; Spahi, à Mme veuve Le Floi-h ;
Snzanne, h M. Louis Pouliijuen; Kanaris,
M. Y. Trouboul ; Diijnilé,
ù
à M. Manières ;
Gentille, à M. H. Suliileau ; Druun, ù, M. Le
Grand : Marincltc, à M. Quéiiiar ; Vcmlicnnc,
à M. Le Brozec ; Ibin, h. M. Josse.
2» Course, Ji 2 heures. — Au Kaiop. — Prix
de Lépineau. — Ciiouennec, à M. le conile de
Garcaradec ; Minichc, à M. Pierre Nédélec ;
Eya, à, M. Le Gouëdic.
3* Course h 2 h. 1/2. Prix de la Société des
steeple-chdse de France. — Allada, à M.
Josset ; Nestor, b. M. Lemarié ; lioméo I, à M.
II. de Kergos.
4' Course, k 3 h. — Au trot monté. — Prix de
Kerjégu. —//écoïnt-, à M. Poché ; Irma, à M. le
comte de Gésincourt ; Jofttc, il M. Oerrien ;
Idrée, à M. Connen ; h'abi/lie, ù. M Poézé-
vara ; Ibis, à M. Josse.
6» Course îi 4 h. — Au trot attelé. — Prix de
Kerlarec. — Idréc, à M. E. Connen ;
Gentille,
M. 13. Subileau ; Impérial,
h M. Postée ;
Ibil-beuz,
ù. M. le vicomte de Hichernont ;
Rosine, h M. r:vcn ; /bis, à M. .losse.
7' Course. — Course de Haies. — Cordon
Rouge, il M. de Carciiradec ; Giocondn, îi M. le
comte de Uodellec.
8* Course. — Steeple. — Musvadinc,
ii M. le
comte de Carcaradec ; Cordon Houi/e, au précédent ; Madame Oku, ii M. Uoussin ; Xipidas II,
à M. P. Morel ; Vergeless,
ii M. P. Richard ;
(Jrdos, h M. liersihand.
A v i s . — M. Piton, trésorier des courses, prie les personnes qui ont déj/i été
employées par lui sur l'hippodrome le
j o u r des courses et qui désireraient encore
cette année contribuer au service, de se
faire insrire chez lui, 11, quai Brizeux,
vendredi avant midi.
- Avis. — La fêta de l'Assomption tomba ut un vendredi, le marché de Quimperlé est reporté au samedi 16 août.
Accidents.
— En vaquant aux travaux
de la ferme, M. François Péron, cultivateur à Lisloc'h, en Quimperlé, s'est fait
des contusions assez graves à l'épaule
gauche.
Le docteur Le Stunf lui a ordonné un
repos d'une dizaine de j o u r s .
— M. Pocher Philibert, maréchal-ferrant
il Quimperlé, est atteint d'une plaie par
instrument coupant, plaie ayant intéressé
tout l'interligne séparant le pouce de
l'mdex de la main gauche.
Le docteur Le Stunf lui a prescrit un
repos de quinze j o u r s environ.
MM. Péron et Pocher sont assurés ii la
Compagnie Générale d'Assurances contre
les accidents.
Perdn.
- Il a été égaré un petit calepin, contenant un permis de chasse. Prière
de le rapporter au bureau du Journal.
Etat-civil.
— iV<(issance. — Georges-Charles-.Ioseph Guillou. 9, rue des Ecoles.
Dècôs. — .leanne-Marie Le Paou, 63 ans, sans
profession,.épouse de François-Marie Colazet,
21, quai Brizeux, - Anna Gouliou, 19 jours, il
Kervail. — Stéphan François-Louis, 33 ans
(transcription). - Colin Yves, 37 ans, manœuvre, il l'Hospice.
Mellae
A c c i d e n t . — Samedi dernier, 2 août,
vers 7 h. du soir, M. Guillaume Bompol,
domestique au service de M. Hollécou,
cultivateur à Kerfeulis a été mordu au
pouce gauche par un cheval en l'attachant
dans l'écurie.
Le docteur Le Moaligou lui a prescrit
une incapacité de travail de 3 semaines.
ivl. Hollécou est assuré à la G" G"= contre
les accidents.
Ti-éiïtéren
Accidents.
- M. Jean Gloanec, au service de M. Thomas Naour, cultivateur à
Kerlavarec est atteint de tuméfaction au
genou droit par suite d'accident.
Le docteur Le Stunf lui a prescrit quelques Jours de repos.
— Le 30 juillet vers 8 heures du soir, le
jeune Joseph Leulon, au service de M.
iluiller, cultivateur à Loc-Ivy, en procédant aux travaux de moisson, a été victime d'un coup de faucille à la j a m b e
gauche.
Le docteur Martin qui l'a soigné, lui a
prescrit un repos de dix j o u r s .
Samedi dernier, 2 août, vers 10 heures du matin, Mlle Louise Esvan, habitant
chez sa mère à Kerbleuc, a été atteinte de
brûlure au second degré du bras gauche
par de l'eau bouillante, en vaquant aux
travaux du ménage.
Le docteur Le Stunf lui a prescrit une
<iuinzaine de Jours de repos.
MM. Naour et Huilier et Mlle Esvan, sont
assurés ii la Compagnie Générale d'Assurances contre les accidents.
•
P o n t - A v e n
Vaffabond
incorrigible.
— Les gendarmes de Pont-Aven ayant supris, Guernalec Jean 37 ans, sans profession ni domicile fi.xe, en état de vagabondage, l'ont
mis en étal d'arrestation et conduit ii la
m a i s o n d'arrêt de Quimperlé ou il a été
écroué, Guernallec a déjà à son actif
huit condamnations pour mendicité et
vagabondage.
ScaPr
Vola d'outils. — Samedi dernier, vers
7 heures, M. Toulgoat, maître Carrier ti
Loge-Brout en ScaiT, constata que dans
la nuit du vendredi, il lui avait été soustrait une boucharde remisée dans une
cabane non fermée à clef, située dans une
carrière ii environ cent mètres de son habitation, six des ouvriers de M. Toulgoat
ont également perdu did'érents outils. La
boucharde qui est marquée de la lettre T
est estimée k 10 fr. M. Toulgoat qui n'a
aperçu aucun rùdeur aux environs de la
carrière, ne peut porter .ses soupçons
sur personne.
Les auti'urs de ces vols sont activement
recherchés.
( > u i i n p c r
Prix
« A n n e - J U a r i e Bourgeois
». —
La cérémonie de la rosière qui a eu Heu
samedi soir, à l'Hôtel-de-Ville, a eu le
succès des années précédentes.
Le prix qui consiste en une somme de
mille francs, a été attribué, celte année,
à Mlle Marie Stervinou, âgée de 21 ans,
employée comme couturière il l'asile départemental des aliénés où son père,
v e u f depuis plusieurs années avec trois
autres lillettes, occupe l'emploi de gardien.
La rosière était entourée de sa famille
et de quelques invités.
La commission, présidée par M. le docteur Picquenard, 1"' adjoint, était lii au
complet.
Dans une allocution M. le docteur Picquenard, qui sai't si bien présider ces touchantes réunions, a félicité la rosière et
a rendu hommage à la mémoire de Mlle
Bourgeois, celle généreuse bienfaitrice.
M. Picquenard a ensuite remis le prix
de mille francs à Mlle Slervinou.
Nomination.
— M. l'abbé Berthou,
professeur ii l'Ecole Notre-Dame du Kreisker, a été nommé aumônier du lycée de
Quimi)er, en remplacement de M. l'abbé
Pichon.
Le P a l a i s
On repêche un noyé. — Dans la nuit
de dimanche à lundi, le pêcheur Le Fur,
figé do 3G ans, marié, père de deux enfants, est tombé accidentellement dans le
port et s'y est noyé. 11 appartient ii l'équipage du bateau Ça-Viendra,
n" 477, de
Concarneau, et est originaire de Trégunc
(Finistère).
On a retiré le cadavre de la mer.
Allaire
Broyé
par un train.
— Un mortel
accident dû à l'imprudence de la victime
s'est produit samedi soir dans les circonstances suivantes :
M. Alphonse Philippo, cultivateur au
village de la Vallée, en Allaire, âgé de 25
ans et marié depuis six mois à peine, revenait à la nuit tombante de Saint-Perreux, où il avait assisté à une cérémonie
de baptême. Ayant eu la malencontreuse
idée de suivre la voie, en vue d'abréger
sa route, il fut surpris par le rapide 632,
allant de Quimper à Paris, et avant qu'il
put se garer, tamponné et broyé par le
convoi qui lui passa en entier sur le
corps.
Ce n'est que dimanche malin que des
gens do Saint-Perreux se rendant îi la
messe, découvrirent le cadavre décapité
et réduit à une masse informe qu'il fut
d'abord difficile d'identifier.
Reconnu enfin le corps du malheureux
Philippo fut rapporté chez s a j e u n e f e m m e
dont il est impossible de décrire la douleur.
Une enquête est ouverte.
F
l
x
a
r
'
j
t
x
x
a
sont
point en
danger.
L'auto a été traînée j u s q u e chez M. Bazin ; elle est absolument hors de s e r v i c e .
CHEMIN
FÊTE
DE
DE
FER
D ORLEANS
L'ASSOMPTION
Vendredi
15
Août
—0—
Validito exceptionnelle des Billets
aller et retour
A roccaslon de la fête de l'Assomption 1913.
la Compagnie d'Orléans rendra valables du
jeudi 7 au dernier train du jeudi 21 Août ;
1" Les billets aller et retour ordinaires, à, prix
réduits, délivrés aux prix et conditions des tarifs spéciaux G. V. ri- 2 et 102.
'
2° Les billets aller et retour de Bains de mer
dits de Semaine, à pri.\ réduits, exceptionnellement délivrés tous les jours pendant les périodes précitées au.x. prix et conditions du taril' spécial G. V. n" G, chap. Il, S 1", savoir .•
la) Aux gares de LaChapelle-du-Gh6ne, Mézeray, Arnage, Neuillé-Pont-Pierre (vià La b^lèche)
SL-".\ntoine-du-f{ocher (vià Tours), Baugé ivià
La l'ièchei Brion-.lumelleH (vià Saumur), Ploërmel, Pontivy et Ghateaubriant, ainsi (ju'aux
gjires et stations intermédiaires comprises
mitre ces divers points et Saint-iNazairc (inclus),
pour les stations balnéaires de Saint-Nazaire,
Pornichet, LaBaule Rscoublac, Le Pouliguen,
Batz, Le Groisic et Guérande.
(b) Aux gares de l^edon, Ploërmel, Pontivy,
Lorient, ainsi qu'aux gares et stations intermédiaires comprises entre ces (juatre points, pour
lus stations balnéaires de Quiberon, SaintPierre gniberon et Plouharnel-Carnac ;
fcj Aux gares de Lorient et de Landerneau
ainsi qu'aux gares et stations intermédiaires
comprises entre ces deux points pour les stations balnéaires de Goncarneau, Pont-l'Abbé et
Douarnenez.
((/; Aux gaies de Nantes, La Bourse, Ghantenay, La Basse-Indre et Gouëron, pour les stalions balnéaires de Saint-Nazaire, l^ornichet, La
Haule-Kscoublac, Le l'ouliguen, Batz, Le Groisic et Guérande, et inversement aux dites stations balnéaires pour les gares
Nantes, La
Bo'.ir,^e, Ghantenay La Basse-Indre et Gouëron.
Vo<a. — Ges dill'érents billets conserveront
liiur durée normale de validité lorsqu'elle exl)ii'cra après le 21 août.
î
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G .
Marché aux Bestiaux de la Villette
V
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QUIMPERLE
H i k B H I P H A R M A C I E N LAVRÉAT
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Lorient, prenant également des voyageurs
pour les gares de : Dirinon, Chùteaulin,
Douarnenez, Pont-l'Abbé, Quimper, Concarneau, Quimperlé, Gestel, Pontivy, Quiberon, .^uray. Vannes, Ploërmel, St-.Tacut,
et les gares intermédiaires
comprises
entre ces divers points.!
Aller. — Départ de Paris-lnvalides le 0
Août 1913 à 22 h. 18, arrivée à Lonsnt le
10 Août 1918 à 11 h. l i .
Retour. - Départ (le Lorii-nl 1 • 10 ' o u t
1913 à 15 h. jO, arriver, P,ii'l---I i v . i i i . L d l e
20 Août 1913 à 5 h. 32.
PRIÈRE AUX CONSOMMATEURS
de la chicorée Extra Leroux d'on l e tourner les vignettes TOUS LES ANS
AU 30 AVRIL à M. A. LEftOU.X à Orchies
(Nord).
Les Vignettes non expédiées pour cette époque sont valables pour les années
suivantes.
D'un goût exquis, d'un arôme agréable
cette chicorée se trouve dans toutes les
épiceries.
EVITER LES IMITATIONS
HERNIEUX
M£Mfi/?£
" Plaignons les malades
qui ignorent les Pilules P i n k . "
Quand on voit le nombre considérable
de per-sonnes guéries par les Pilules Pink,
alors que tous les autres remèdes avaient
é c h o u l on ne peut que plaindre les malades qui ignorent les Pilules Pink. Les
Pilules Pink n'ont pas de préférences,
elles sont les mêmes pour tous, et si elles
ont donné à d'autres de si belles guerisons, pourquoi voudnez-vous que pour
vous elles soient sans effet?
Voici, car il ne s'agit pas de faire des
affirmations sans apporter de preuves,
un cas qui vous éclairera, et si la place ne
nous était pas mesurée, nous pourrions
vous en ciù'r des centaines sembla-bles.
Mlle Anna Desbrièros, demeurant au
Bois-Roulol, ù Montoeau-les-Mines (Saôneet-Loire), nous a écrit :
« J ' a i le plaisir de vous informer que
vos excellentes Pilules Pink ont rétabli
ma santé, et j ' a j o u t e que, depuis plusieurs années (|ue j e snull'rais, aucun médicament, et j'en ai pris beaucoup, n'avait
pu k i r e ce que les Pilules Pink ont fait,
.l'étais anémique, faible, et un tout petit
ouvrage m'occasionnait une fatigue trop
Quelle que .soit la cause de l'étoull'ementi
qu'il provienne d'une' crise d'asthme, d'un
grande. J e voyais, e t o n me le disait aussi,
catarrhe, d'une hronchite chronique,
de
que mes traits étaient tirés, que mon
suites de pleurésie ou-d'influenza, on est souleint était pîlle et (jue j'avais tout à fait
lagé instantanément en..faisant usage de la
mauvaise mine, .le n'avais j a m a i s d'apPoudre Louis Legras, ce merveilleux remède
pétit et, ioujours lasse, j'aurais tout le
(|ni a obtenu la plus haute récompense h l'E.xtemps voulu dormir. J.orsque j e marchais
position Universelle de l'JOO. Une boîte est exun peu vile, j'étais tout de suite essoufpédiée contre mandat de 2 fr. 10 adressé à
flée et prise d'élourdissements. 11 m'est
Louis Legras, 13'.), Bd Magenta, à. Paris.
arrivé fréquemment aussi, tellement j ' é tais faible, de ])erdre connaissance. Mon
sang était tro}) faible, m'avait-on dit, et
on m'avait ordonné des forlillants, des
toniques; je les ai pris, mais sans consCours du lundi 4 Août 1 » ! »
tater d'amélioration. Du j o u r où j'ai eu
pris les Pilules Pink, au contraire mon
Poids moyen
Invendus
état de santé !-.'est de suite amélioré, .l'ai
KSPioCES
Amenés
retrouvé l'appétit, les forces, mes malaises ont cessé et j'ai eu de nouveau une
409
137
1.925
Ikuufs..
mine excellente. »
356
18
950
Vaches
Si votre santé laisse ;i désirer, si vous
48i
\
.
235
Taureaux
n'êtes pas aussi fort, aussi bien portant
96
14
1.7',n
que vous pourriez être, faites donc dès
»))
120
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aujourd'hui l'essai des Pilules Pink. Ce
simple essai suffira pour vous convaincre
Poids vif, Pri.v au kilo
que vous avez tout intérêt à continuer le
traitement, car vous ne îarderez pas à
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boîte ; 17 fr. 50 les 0 boîtes, franco.
pour les porcs.
Conseil Pratique
I
42, Place Saint-Michel
Pontivy
Terrible
accident
d'auto. — Dimanche soir, vers 9 heures, M. le docteur
Guilloux, médecin à Ponlivy; rentrait chez
lui par la roule de Guémené, lorsqu'entre
Pont-Pournant et Parhol il aperçu soudain un soldat devant lui.
H eut tôt fait de l'éviter. Mais à peine
a-l-il légèrement obliqué qu'un second
militaire se trouve sur son chemin.
M. Guilloux n'hésite pas un instant :
d'un brusque coup de volant, il dirige la
machine vers le fossé. Mais, fatalité,
l'auto va donner en plein contre un des
gros ormeaux qui bordent en cet endroit
la roule.
Le choc fut épouvantable : l'aîné des
enfants de M. Guilloux, qui accompagnait
son père, fut projeté à travers la glace
sur la route cependant que le docteur
donnait un tel coup de poitrine dans le
volant que celui-ci sautait eh morceaux.
On s'empressa de se porter au secours
des deux blessés qui, après les premiers
soins nécessaires, furent ramenés ii Pontivy.
Bien que leur état soit assez grave,
nous devons ajouter que leurs j o u r s ne
o
ou
JURY
et HORS
CONCOURS
\ ous portez un bandage à ressort qui vous
torture et qui, laissant glisser votre hernie,
écr.ise l'intestin sous la pelote. Vous le remplacez alors par un bandage plus souple dont
la puissance est nulle et qui s'allonge démesurément au bout de quelque temps. Votre
hernie n'est jamais maintenue et vous ivdoutez l'étranglement fatal. G'est-pour vous
la souiVrance physique, aggi-avée par la torture morale. Eh bien, il existe un appareil
sans ressort et sans caoutchouc, inventé p.ir
M. GLASKEl, spécialiste de Paris.
Sans ressort, il est si souple et si léger que
les personnes les plus délicates peuvent le
porter jour et nuit sans géne. On peut aflirmer que la ceinture est presque inusable et
sa puissance est telle, qu'il immobilise radi-calement les hernies les plus volumineuses,
les plus rebelles. Ajoutons qu'un système
spt'cial donne à cet appareil une puissance
(i'clasticité précieuse et constante et c'est là
le secret de cette merveilleuse invention. Nous
n'insistons pas davantage. Le doute est bien
permis à ceux qui ont éprouvé des déc'ptions
continuelles.
Qu'ils viennent donc essayer cet apiiari'il.
Ils i)ourront ainsi se convaincre que le soulagement est Imnnédiat, et il leur sera démontré
que grâce à la contention radicale et parf:iif,
tout espoir de guérison n'est jamais perdu.
En voici une preure :
1'.) avril 1913.
<> .Monsieur GLASEli,
.Te suis heureux de vous annoncer que ma
hernie a complètenTenl disparu grâce ii l'usage
de votre merveilleux appareil.
" .l'ai obtenu ce résultat malgré l'ancienneté
de ma hernie et je vous autori.se à publier ma
lettre dans l'intérôt de ceux qui souil'rent.
" Votre bien reconnaissant.
M A R T R E T NOËL,
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De tout le fatras grossier, touffus et indigeste qui s'étale dans
l'Echo de Bretagne, il ressort que
la victoire de M. Le Louédec, ne
lui a laissé dans le cœur que rancune et ressentiment.
Cet homme inquiet n'a jamais
su ce que c'était que la joie pure e1.
le contentement. Au lieu de paroles
de satisfaction et de remer ciements,
son jourrtil n'est plein que de i écrimiuatiuns, délations et menaces.
Décidément le succès iullue d'une
bien étrange façon suj^ cette cervelle mal équilibrée et un étranger
qui, s'il en avait le courage, parviendrait à lire son patbos incompréhensible, en déduirait tout naturellement que c'est M. Lé Louédec
qui a été battu.
E t , au fond, c'est bien cela. Il
sent que cette élection de surprise,
— due à une coalition et à des
complaisances que nous avons dévoilées et dont il n'ose même pas se
défendre, — ne consolide pas sa
situation politique. L avenir reste
pour lui sombre et menaçant ; l'échéance de l'année prochaine ^ le
remplit d'inquiétude et il se rend
parfaitement compte que, peu à peu,
le sol se creuse sous ses pas et
qu'au mois de mai prochain il fera
l'ultime culbute.
Alors, peut-être, dans le calme
de la retraite forcée que lui intligeront les électeurs, il retrouvera le
repos et la paix de lui même, et,
peut-être alors, le sourire qu'il u'a
jamais eu, même au milieu de ses
plus beaux triomphes, reviendra-t-il
e r r e r doucement sur ses lèvres désabusées.
Ceux qui ont vraiment de l'affection pour ce pauvre diable, doivent
de tout cœur "souhaiter pour lui la
venue de ce moment-là. Nous les
y aiderons.
C A N T O N DE P O N T - A V E N
Un tour de passe-passe
Dans le but, probablement, de diminuer l'importance d'un succès qui ne
lui était pas agréable, la sous-préfecture nous a communiqué, ainsi, bien entendu, qu'à son organe officiel, dos chiffres volontairement erronés sur les résultats de l'élection de dimanche dernier à Moôlan. On nous a dit, en effet,
que M. Gorentin Guyho avait obtenu à
Moôlan 085 voix etM. BerthouGOo, ce qui
ne faisait à M. Gorentin Guyho qu'une
majorité de 80 voix dans la commune
de Moélan et de 108 voix dans tout le
canton.
Or, d'après le procès-verbal que nous
avons eu sous les yeux à Pont-Aven,
les chiffres communiqués par la souspréfecture ne sont pas exacts, car M.
Gorentin Guyho a eu réellement à
Moôlan 687 voix et non 085, et, — c'est
ici qu'est la grosse erreur, — M. Ber-
thou n'a eu que 5,15 voix et non (J05
voix comme on s'est plu à lui attribuer
trop généreusement.
La majorité de M.Corenlin Guyho, que
l'on a ainsi essayé de diminuer, a donc
été, en réalité, de 17^ (au lieu de 80)
dans la commune de Moôlan et de ^(K)
(au lieu de 108) dans tout le canton.
Il était bon de remettre les choses au
point, et de signaler ce "petit tour de
passe-passe consistant à enlever 90
voix à un candidat dont on voudrait
diminuer le succès.
Ci d e s s o u s ,
rectifies :
Moul.Tti
Nôvej
Xiion
..
Inscrits
I.04;i
...
.527
5(ir)
1.3;I8
..
r..27C
Pont-Aven
Uieo
Totaux
du resle, les
chiffres
Votants M. Guyho 1*1. Berthou
.'ilô
087
1.280
iitr,
345
480
87
263
350
ir>9
202
231
572
809
3.282
1.728
l./i68
APRÈS LE V O T E
Pour fêter la victoire de bon sens
démocratique remportée, le 8 août, sur
une coalition violente et inattendue
d'éléments municipaux opposés jusque
là l'un a l'autre, M. Gorentin Guyho,
compte remettre à la niMirie des cinq
commuties du canton de Pont-Aven,
les sommes nécessaires pour que, un
jour annoncé d'avance, il soit fait,
dans les rnêmt's proportions, unè dist'ibution de pain aux indigents.
Canton d'Arzano
Un fait, assez rare ailleurs, s'est produit dans le canton d'Ar^îano, où il ne
s'est pas présenté un seul candidat pour
le conseil d'arrondissement. La même
grève de candidats s'était produit en
core à Arzano, il y a douze ans.
On nous annonce que le conseiller
d'arrondissement sortant, M. Richard,
revenant sur sa précédente décision,
sollicitera dimanche le renouvellement
de son mandat.
Seeret ei liibertr dD Vote
Le langage parlementaire est délicieusement ironique. G'est ainsi que
lorsqu'il s'agit de la Réforme électorale,
vous voyez sur la proposition de loi, de
retour du Sénat, que la Commission du
Suffrage universel de la Chambre a reprise, ces mots réglementaires : « Adoplôo par la Chambre, adoptée avec modifications par le Sénat. »
A'imirez l'euphémisme ! Le Sénat,' en
réalité, a repoussé la loi votée au PalaisBourbon el l'a remplacée par un projet
diumétralement opposé. C'est cela que
le protocole parlementaire traduit par
cetteexpressionpince-sans v'wq'. Adopté
avec modifications par le Sénat.
En ce qui concerne la loi sur la liberté et la sécurité du votj, loi qui a
été retournée par cinq fois par le Sénat
avec dos transformations qui la rendaient méconnaissable, la même formule a servi.
Je ne sais pas si tout cela est bien
conforme aux principes et aux'traditions parlementaires ; je ne sais pas si
le Sénat a bien le droit de jeter bas de
fond en comble, les dispositions législatives votées par la Chambre pour élaborer à la place un texte tout différent ;
mais la haute Assemblée n'y regarde
pas do si près lorsqu'il s'agit d'augmenter ses attributions, surtout en matière financière, par exemple, pour le
vole du Budget.
Parfois, devant les actes d'indépendance, d'entêtement, d'opposition systématique du Sénat, la Chambre se rebiffe, mais finalement, c'est toujours le
Sénat qui a le dernier mot.
Témoin ce qui s'est passé relativement à cette loi sur la liberté du vote et
pour assurer la sincérité des opérations
électorales dont je vous ai dit qulelle
fut votée cinq fois par la Chambre et
que le Sénat amputa autant de fois.
C'est lui, en fin de compte, qui a eu le
dernier mol puisque, pour en terminer,
la Chambre vient d'adopter son texte
trinqué.
Sur les trois dispositions principales
qui avaient paru nécessaires a la Chambre pour soustraire à la pression et à
la fraude notre système de votalion,
le Sénat, en effet, n'en a jamais accepté
que deux à la fois. Le vote sous enveloppe ne paraît pas l'avoir beaucoup
gêné car il l'a constamment admis,
chaque fois que la question est revenue
devant lui. Par contre, le dispositif
d'isolement et l'institutioa de manda-
et
Nord-Ouest
DIMANCHE
Directeur : Armand. GAUTIER
RSDACTWy,
ADMINISTRATION
A ANNONCES
A Q U I M P E R L E , Place Hervo. n* 8 bis
T*Uri:V>HONK, M» B
Adresse ré/éjrrap/iiju»Union, Quimperlè
laii es du candidat représentant ce dernier aux bureaux de vote, ont été alternativement repoussés et pris en considération par la Haute Assemblée. Mais
comme, en dernier, lieu, celle-ci avait
admis le vote ^ous enveloppe et l'isoloir, la Chambre l'a prise au mot et
c'est ainsi que nous avons enfin une
lt)i sur la liberté el le secret du vote,
loi que depuis plusieurs législatures on
attendait vainement de nos institutions
parlementaires.
On comprend bien le sens de la résistance du Sénat. Elu du suffrage restreint, c'esl-à-dire en majeure partie
des maires, adjoints et conseillers
municipaux chargés, au jour d'une
élection, d'appliquer la nouvelle loi, le
Sénat éprouvait une certaine répugnance à mécontenter ses électeurs, à
compliquer leur service el à édi'^ter des
pénalités contre eux en cas d'infraction
a la loi,
La Chambre a d'ailleurs les mêmes
faiblesses, lorsqu'il s'agit de ses petits
intérêts et c'est ainsi qu'enlre le privilège des Bouilleurs de cru et les surtaxes sur les absinthes, elle, n'ose prendre parti, ne voulant contrarier ni ses
électeurs delà campagne, ni ceux de la
ville, ni le bouilleur, ni l'en irepositaire.
ces rivaux irréductibles.
Telle qu'elle est, la loi dont il s'agit
rendra de grands services au pays : elle
moralisera partiellement le scrutin. Je
dis : partiellement, parce que le vote ne
sera vraiment irréprochable au point
de vue du l'honnêtèiô que lorsque dans
chaque section de vote, le candidat aura son mandataire.
« L'institution du témoin du candidat,
écrivait M. J. Reinach dans son rapport
de 1912, est, de toute évidence, le seul
moyen d'éviter les fraudes les plus
éhontées, celles qui consistent, noiamment, à faire voter par des électeurs
c )mplaisants, pour des absents ou pour
des morts, ou à introduire dans l'urne
des paquets de bulletins — même sous
enveloppes — au nom du candidat quia
les préférences du bureau. La présence
du témoin du candidat au bureau suffila, en outre, à empêcher la plus détestable des pressions, celle qui consiste à'
faire conduire des ouvriers ou des paysans dans la salle du vote, comme cela
s'est vu, par des agents salariés. »
Aussi, pour compléter la loi qui vient
d'être votée, la Commission du Suft'rage
universel a eu la bonne idée de disjoindre de son texte la disposition
qui concernait le mandataire et d'en
former la matière d'une proposition à
part qui, seule, reviendra devant le
Sénat.
Espérons que les deux Chambres ne
mettront pas, pour se mettre d'accord
sur cette loi distincte, aulanl de temps
qu'il leur en a fallu jusqu ici pour créer
lo vote sous enveloppe el la cabine
d'isolement.
Quoi qu'il en soit, dans trois mois —
:ar la loi ne sera pas applicable avant
ce délai — nous ne voterons plus^que
sous enveloppe. La Chambre voulait
que l'enveloppe fût fermee; le Sénat
n'a pas cru celte précaution nécessaire.
Ces enveloppes seront opaques, et pour
placer dedans son bulletin, l'électeur se
rendra dans l'isoloir, partie de la ^alle
du scrutin aménagée à celte fin poi^r le
soustraire aux regards des intéressés
et lui permettre de voler en toute indépendance et séparément.
A votre tour, messieurs les fraudeurs.
Qu'allez-vous imaginer,maintenant que,
selon l'expression du Misanthrope, les
électeurs :
.
»
Iront ainsi chercher un endroit écarté.
Oi'i, d'être homme d'honneur, on ait
la liberté I
Maurice DUVAL
Au Jour le Jour
^ Vote définitif de la loi de 3 ans
Par 254 voix contre 37,ile Sénat, dans
sa séance d« jeudi après-midi, la der-
Les abonnements se fuient d'avanat, sauf convtvt.
tions ils partent du i" ou du i5 de chaque mois.
On s'abonne au bureau du journal. On peut s'abonner
également, sans frais, dans tous les bureaux de poste,
ou encore en adressant un mandat-poste au Directeur,
M. Armand QAUTIER, place Bervo, à QuitnferU.
nière de la session, a volé ciélLnilivement
la loi rétablissant le service de trois ans,
donl l'initiative restera comme l'œuvre
de M. Bartliou.
Nous avons dit qu'antérieurement par
243 voix contre 48, et malgré l'opposition
de M. Clemenceau, qui, tout en étant paitisan des trois ans, s'était déclaré hoslile
au devancement de l'appel des recrues,
la Haute Assemblée avait adopté l'incorporation à vingt ans.
La question de l'allocation k 1 fr., 2ô
pour les soutiens de famille, soutenue
par le gouvernement, fut ensuite accueillie favorablement par 240 voi.\ contre 47.
Après avoir ainsi déblayé le lerrain et
voté successivement les diilerents articles
du projet de loi, tels qu'ils avaient déjà
été approuvés par la Chambre, sans modification aucune, la discussion est close.
M. Bartliou monte une dernière fois à
la tribune pour demander le vote définitif
de la loi.
Faisant allusion à une molioa do, M.
Ilumbert, relative au le'èveinent de la
solde des olllciers et sous oilloiors, le président du Conseil termine en disant que
le Gouvernement prend l'engagement de
demander très instamment à la Chambre
ce projet dès la rentrée.
« En prenant cet engagement, dit le
chef du Gouvernement, nous rendons à
l.'armée tout entière l'Iiommage de giatitude et de confiance qui lui est j u s t e m e n t
dû et auquel le Sénat voudra certainement
être unanime à s'associer. »
La Haute Assemblée accueille ces paroles par une salve nourrie d'applaudissements, et l'on passe au vote.
— Le Sénat s'est réuni une dernière fois,
à deux' heures, l'après-midi, pour ' e n tendre la lecture, par M. Barthou, du décret de clôture.
L e s v a c a n c e s de MM. B a r t h o u
et Klotz
M. Barthou président du Conseil, quittera Paris aussitôt après la clôture de la
session parlementaire.
M. Barthou, quoique absent de i^aris,
continuera à assumer les charges de la
présidence du Conseil, l'intérim du ministre de l'Instruction publique étant confié
à M. Massé, ministre du Commerce.
M. Klotz quittera Paris lundi prochain
après le second tour de scrulin pour le
renouvellement des conseils généraux.
C'est M. Pichoii qui, en son absence, sera
chargé de l'intérim du ministère de l'Intérieur.
«a»
M. J . T h i e r r y au Grand P a l a i s
M. Thierry, ministredes Travaux l^ublics
a inauguré, mercredi après-midi, l'exposition des emballages du froid et des industries annexes, qui se tiennent au Grand
palais des Cliamps Elysées. Reçu par M.
Viger, sénateur, ancien ministre, président d'honneur, "ètparM. Baude, président
du coiiiité d'organisation, qui lui ont.successivement exposé tout l'intérêt que
présente pour les 'produits de l'agriculture et pour notre exportation l'emploi de
procédés de transport perfectionnés, M.
Thierry a félicité, en termes très heureux,
les organisateurs de l'exposition de leur
initiative.
M. Massé à Nevers
M. 'Alfred Massé, ministre du Commerce, de l'Industrie, des Postes et des
Télégraphes, a présidé le banquet annuel
de l'Amicale des instituteurs et institutrices de la Nièvre.
A l'issue de ce banquet, qui réunissait
plus de 200 personnes, ont pris successivement la p a r o l e ; le président de l'Amicale, le préfet de la Nièvre, M. Renard,
député ; M. Beurrier, maire de Nevers, et
M. Alfred Massé, ministre du Commerce
et de l'Industrie.
Dans son allocution, le ministre a rappelé en termes particulièrement heureux
les mesures prises par le gouvernement
dont il fait partie pour améliorer la situàlion. 11 a ainrmé la nécessité de défendre l'école la'ique contre les attaques dont
elle est l'objet et il a montré que»'tant
par ses paroles que par ses actes, le président du Conseil avait placé cette 'pi-éoccupalion au premier rang de celles qui
retiennent l'attention du gouvernement.
Malgré la présence .du ministre, l'inspecteur d'académie n'assistait pas à ce
banquet. Son abstention a entraîné celle
des inspecteurs primaires.
A B O N N E M E N T S (UN AN)
Quimperlè (Ville)....
6
Finistère et départements limitrophes
6
Autres départements
7
Colonies et étranger
10
fp
—
—
—
Incident F r a n c o - A l l e m a n d
Les journaux de Berlin et de Strasbourg
signalent un incident profondément regrettable dont une famille originaire de
Bade aurait été victime à Lunéville.
L'ouvrier mécanicien Schneider, employé dans une fabrique à Lunéville, fut
appelé récemment à Kehl, près Strasbourg, pour accomplir un période de 15
j o u r s au régiment du génie de cette garnison. Sa femme était restée à Lunéville.
Plusieurs personnes de la localité ayant
appris que Schneider était retourné en
Allemagne, pénétrèrent dans sa maison,
brisèrent tout le mobilier et s'introduisirent dans une écurie où tout fut brisé.
La femme du réserviste, efirayée, s'était empressée de quitter Lunéville avec
ses enfants et de se retirer à KehL
M. Schneider a obtenu un congé pour
retourner à Lunéville en vue de réclamer
des dommages-intérêts.
A la préfecture de Nancy, comme à la
sous-préfecture de Lunéville, de m ê m e
qu'au ministère de l'Intérieur, on ignorait
encore tout de cet incident.
Dans les Balkans
J'ai*
Est-ce la fin du douloureux conflit fratricide, qui depuis de longs mois ensanglante les territoires des nations alliées
pour une action commune contre l'intolérable oppression de l'Empire Ottoman ?
G'est du moins le second baisser de
rideau de ce drame complexe, tel qu'il
est annoncé par la dépêche suivante,
venue de Bucharest :
'< 6 août. — La paix a été conclue verbalement. Elle s e r a ^ i g n é e demain, nn^»»
heures. Stroumitza'"e::t"attribué à la Bulgarie, Cavalla à la Grèce.
« La démobilisation sera signée également demain. »
A l'heure actuelle, c'est donc chose
faite. Reste à savoir quelle sera l'attitude
de la Turquie en présence de la situation
nouvelle qui réconcilie — en renouvelant
le bloc — ses précédents adversaires.
— D'après une information de Constantinople, la communication verbale des
ambassadeurs à la Porte, au s u j e t de la
reddition d'Andrinople, n'aurait pas impressionné les membres du gouvernement, qui maintiendrait ses décisions,
et se refuserait à abandonner cette ville
dont elle vient de faire occuper les forts
par une importante garnison.
D'autre part, d'après les renseignements
des autorités militaires bulgares, Lozengrade Kirk Kilissé serait occupée par une
division turque. Les soldats de cette division déclarent qu'ils n'évacueront j a m a i s
la ville, mais que si on les y oblige par la
force, ils la détruiront et l'incendieront
avant leur départ.
Ôtt
démobilise
La démobilisation de l'armée roumaine
a commencé.
D'autre part, dans une note qu'il adresse
aux puissances, le ministre des Affaires
étrangères leur fait savoir que le gouvernement bulgare a décidé de procéder immédiatement après la signature du traité
à, la démobilisation de son armée.
— Le projet d'armistice dont lecture a
été donnée, à la séance plénière, c o m "
porte l'occupation provisoire par les alliés
de Dédé-Agatch et de .\anthi j u s q u ' à la
ratification du traité de Bucharest par le
Sobranié.
Au Maroc
La colonne Clauzel a été de nouveau attaquée, dimanche, par un fort parti de
Marocains, au retour d'une marche s u r
Ito. Le combat a duré de neuf heures à
midi. L'ennemi a été mis en fuite, mais
nous avons eu a déplorer la perte d'un sergent et treize hommes tués et dix blessés.
Le lendemain, le colonel Clauzel a opéré
une contre-attaque el repoussé les rebelles de leur position fortifiée d'Azouz.
— Le général Lyautey s'est rendu à
Marrakech, où il a remis au sultan Mouley-'^'oussef les insignes de grand-croix de
la Légion d'honneur. Le souverain a remercié et a r e m i s en retour au gouverneur la grand-croix de l'ordre chérifien
Alauette.
Un grand déjeùner offert par le général
Brulard a clôturé cette cérémonie. i - V
hlaS&ire K r u p p
L'attention dè toute l'Europe a ét.ê^retenue tous ces jouBSiderniers par le colossal et s c a u d a l e u ^ g i ^ c è s iatent'ô k des of-
liciers h l'occasion de malversations en
fournissant à la maison Krupp des indication» compromettant la défense national»».
verdict vient d'être rendu .hier, à
Herlin. Voici les condamnations qui en
ressortant :
l.e lieutenant Tilian, deux mois de prison et la destitution ; le lieutenant liinst,
quatre mois de prison et la destitution :
Schleuder, même sanction ; l'artificier
Schmidt, deux et huit mois de prison,
dégradation ; l'artificier Droez, trois semaines d'arrêts simples ; le lieutenant
Hogf', quarante-trois Jours de prison ; le
secrétaire au ministère de la Guerre l'feiffer, six mois de prison et exclusion pendant un an de tout emploi puhlic.
du 171*. Le régiment a ensuite défilé pendant que les Allemands tiraient des salves
avec les pièces de montagne.
Les nombreux touristes qui se trouvaient lii ont éprouvé une vive impres,sion p a r c e fait sans précédent.
reins. La gendarmerie à ouvert une enquête. Daniélou s'est fait délivré un certificat médical.
— Pogamme .lean de Kerampoi en
Quimperlé porte plainte également contre
Kermagoret Pierre de Kerrès qui lui aurait également porté des coups.
POUR ETRE CHIC
P a s s a g e d ' a v i a t e u r . — L'aviateur
Poirée qui exécuta ces j o u r s derniers des
vols sensationnels aux environs de Brest
passé au-dessus de Quimperlé Jeudi soir
vers 5 heures se rendan t, à Port-Louis où
doit prêter son concours aux fêtes d'aviation qui auront lieu dimanche 10 août.
A-ttirressage
malheureux.
— Notre
compatriote l'aviateur Le Bourhis, en se
endant au Huelgoat où il devait prendre
Dart au meetting d'aviation des li3, IG et
17 août, a eu au moment de l'atterrissage
au Huelgoat, une panne de moteur. L'appareil a été mis hors d'usage. L'aviateur
est indemne.
Ariation
Chute
mortelle
A l'aérodrome de Johannisthal, près Berlin, au cours des épreuves pour l'obtention du brevet de pilote, l'élève aviateur
Broks a fait une c h u t e grave, lundi à 8 h.
Son appareil a été complètement brûlé.
Broks, grièvement blessé, a été retiré
par un autre aviateur qui l'a dégagé au
péril de sa vie.
Il a expiré ii l'hôpital de Britz.
PmriB-Berlin
L'aviateur J a n o i r a accompli son vol de
mercredi de Paris à Berlin dans le brouillard et contre un vent violent, en s'orientant exclusivement à la boussole.
il a efiectué le parcours d'Etampes k
(land en 5 h. 15 et celui de Gand à J o h a n nisthal en 0 h. 46. Il s'est généralement
tenu à une altitude de 800 à l.ûOO mètres.
Il a l'intention de reprendre son vol
vers Tilsitt et Saint-Pétersbourg.
L e « d'Estrées » envahi p a r les rats
Pendant son s é j o u r à Lorient, le d'Eslrées
bâtiment école, avait été accosté près de
l'ancienne frégate Yonne. Or, ce bâtiment
école, étant infesté de rats, ceux-ci ont
passé à bord du bâtiment école, où l'on
n'arrive pas, malgré une chasse énergique, à lès détruire.
lExploits de
Sous-Marins
Les sous-marins de la flottille de Brest
ont réussi, ces jours-ci, un intéressant
exercice. Il s'agissait, venant du large,
d« franchir le Goulet en immersion et de
parvenir en rade sans avoir été aperçus
des batteries et des postes de la défense
lixe.
La manœuvre fut réussie. Dans un
poste du Goulet, un microphone avait
bien révélé la présence d'un sous-marin,
le Rubis, mais on n'est pas parvenu h le
découvrir.
Cet exploit prouve que, dans le rade de
Brest, une escadre ne serait pas en
sûreté.
La Mo^aie
"
de
Billon
'' Le Journal Officiel, promulgue la foi
portant retrait des monnaies de billon et
leur remplacement par des monnaies de
nickel perforé.
U n krach de 4 0
millions
Un des constructeurs d'aéroplanes des
plus connus, M. Deperdussin, 26, avenue
de Villiers, Paris, chevalier de la Légion
d'honneur, a été arrêté ii la suite d'une
plainte émanant d'une Société linancière
q ù i l e commanditait. Le krach serait de
40 millions.
A la Frontière
Un heureux incident qu'il convient de
signaler, en raison même de la rareté du
fait, s'est produit mardi à la frontière
franco-allemande, à proximité de Ilemiremont.
Au cours d'une marche k la frontière
vers le Honeck, le 15" bataillon de chasseurs à pied s'est trouvé soudain en face
du 171» régiment d'infanterie allemande
en garnison à Colmar. Celui-ci a rendu les
hoùneurs auxquels le 15" a répondu. Le
colonel Duchet a salué du sabre le che"
[28] Feuilleton de V Union
Agricole
Coqueluche \
par
Pierre
er
SALES
PREMlJiRE PARTIE
VIII
Comment sauver la reine ?
— Ça doit être «ntant de la politique
que de l'amoiir... c'te maalgance là I
Mali ton monologue n'allait pas plus
loin. Des ombrea couraient sur la rive'
droite, où il lui avait été dit qu'il fallai
aborder... Des ordres furent criés ; et i
•perçut de petites lueurs, avant d'entend r e des détonations...
Heureusement !... Car il avait eu la
présence d'esprit de se remettre & l'eau ;
et comme il'disparaissait de l'autre côté
du canot, une rafale de fer passa à quel
ques centimètres au-dessus de lui.
. — Mince I... J e dois avoir mes deux
douzaines de balles au complet, c'te
foisl...
II lâcha le bateau, qnl tourna deux ou
trois fols sur lui-même et s'en illa buter
c o ntre le débarcadère, lequel se couvral
Immédiatement de soldats.
Des hommes montèrent dans le c a n o
et explorèrent le fleuve de ce côté, s'ima
ginant qaei llndivida poursuivi avait dû
voir
à
FASHION-HOUSE
LORIENT
Ses Cheimises
Ses Cravates
Ses Chapeaux
Prix inconnus
Partout ailleurs
GHRORIIIOE R E O l Q l i L E
L'cncoura«^ement au bien
La société nationale de l'encouragement
au Bien, dans sa séance solennelle, vient
de décerner à notre éminent compatriote
M« Daniel Le Barazer, avocat à la Cour de
aris, la grande Médaille d'or, qu'il reçut
des mains de son éminent confrère, M.
ilaymond Poincaré, président de la République. Cette récompense suprême lui a
été décernée pour avoir recueilli et élevé
16 orphelins de chaufl'eurs-mécaniciens,
tués au feu. Détail touchant : M" Le Barazer vient de faire engager, le même jour,
ses 10 pupilles.
Quimperlé
La, Sret&ffne à travers les agea. —
La réunion du comité des luttes bretonnes, concours de costumes bretons, danses bretonnes, concours de binious et de
cors de chasse, aura lieu le samedi 9 courant, à 8 h. 1/2 du soir, chez M. Louis
Tréguier, organisateur de la fête, 11, rue
du Couédic.
Le comité se compose déjà de 47
membres, les personnes qui désireraient
être commissaires de la fête sont priées
de vouloir bien se trouver à la réunion
sans autre convocation, le présent avis
devant servir à prévenir tous les Quimperlois qui désiraient prendre part h l'organisation de cette grande fête, la première de ce genre à Quimperlé.
Cette importante épreuve est destinée à
savoir qui sera le champion de Bretagne
pour les luttes bretonnes. Il lui sera attribué la « ceinture d'or » véritable chefd'oîuvre qui portera en lettres brodées en
or l'inscription suivante :
Luttes
Bretonnes
Championnat de Bretagne
1913
Cette ceinture en satin vert, longue de
2 mètres, large de 40 centimètres, sera
bordée d'or avec franges du même métal,
de 8 centimètres.
En outre, le vainqueur recevra un prix
de 100 fr. en argent, plus le produit d'une
quête faite en sa faveur, ce qui portera
ce prix à plusieurs centaines de francs.
Les autres prix seront publiés ultérieurement.
Une souscription est ouverte pour les
personnes désireuses de contribuer au
succès de la fête ; elles pourront od'rir
leur obole en espèces ou objets d'art et
sont priées de l'adresser soit chez le président, M. Tréguier, soit chez le viceprésident, M. Morren, Hôtel de la Gare.
Les noms des donateurs seront communiqués à la presse.
Aftaires
de coups. — Daniélou Louis
31 ans, domestique à Kervez en Quimperlé, a porté plainte contre Bourhis Richard de Lestenach,, qui dans la j o u r n é e
du 4 courant, l'aurait frappé et lui aurai
donné plusieurs coups à la tête et aux
s'enfoncer dans ces parages — cependan
que Coqueluche, qui ne s'était nullemen
vanté en célébrant ses talents de nageur,
tirait une longue coupe, bien silencieuse
vers la rive gauche.
Il abordait, gravissait doucement la
berge.
E t alors il se crut bien perdu : c a r à
peine sa tête émergeait-elle au r a s de la
petite route bordant le fleuve qu'il a p e r
cevatt une porte grande ouverte, tou
éclairée... II n'avait pas besoin d'un long
examen pour reconnaître un poste... avec
un râtelier de fusils... des habits sus
pendus..
Mais un examen plus approfondi le ras
{•urait, au contraire : c a r le râtelier aux
armes était absolument vide.
Donc, les gens qui venaient de tirer
sur lui, en dernier, devaient appartenir A
ce poste : ils avaient pris l'alarme en en
tendant les coups de feu venant de la
ville... ils avaient dû courir, remonter le
fleuve... l'avaient franchi par le pont du
chemin de fer, sur lequel il se rappelai
à présent avoir distingué des ombres..
Sans doute étaient-ils tous sur l'autre
rive?
En tout cas, 11 ne voyait aucun faction
nalre à la porte. E t la plus parfaite im
mobilité semblait régner â l'intérieur du
poste.
Rampant à t r a v e r s la route. Coqueluche
arriva sous une fenêtre, se haussa Jusqu'au r a s de l'entablement : les vitres
nues lui permirent de constater qu'il n'y
avait, en effet, personne dans le poste.
Théâtre
I>ebris.
— Nous apprenons
que le théâtre des Folies -Hàvraises ; Direction Débris actuellement à Pont-Aven
sera dans notre ville d'ici quelques jours
et que la première représentation sera
donnée le vendredi soir 15 août.
Petit vagabond.
— Dernièrement, le
commissaire de police fut prévenu qu'un
_amin d'une dizaine d'années couchait
,ous les soirs dans ia voiture de M. Bourhis négociant ; interrogé, le gamin a déclaré se nommer Le Golî François âgé de
,reize ans habitant à Lorient, 17 rue des
Noyers ; il a même avoué avoir quitté le
domicile de ses parents depuis 3 mois.
Ce j e u n e vagabond a été remis à' sa famille par les soins de la police.
Rospordcn
Fête patronale.
— Voici le programme
de la fête patronale du 18 août 1913 ;
Morgat, à Douarnenez, à Port-Manech, à
Riec. Ils seront dimanche soir k Douarnenez, le j o u r des courses.
A 11 heures du matin, route de Quimper. —
Courses de chevau.K. — Au trot : 1" prix,25 Ir.;
2', 15 fr. : .3-, 10 fr.
A 2 heures de l'après-midi, route de Quimperlé. — Au galop : 1" prix, 25 fr. ; 2«, 15 fr. ;
3% 10 fr.
Les chevaux ayant couru sur les hippodromes seront exclus. Le 3* prix ne sera décerné
que s'il y a 4 partants.
A 3 heures, roule de Concarneau. — Courses
de vélocipèdes. — Internalionale. 50 fr^ de
pri.K : 1" prix, 20 fr. et les entrées qui sont
llxées àO fr. 50 ; 2% 15 fr. , .3', 10 fr. ; 4-, 5 fr.
(parcours. 14 kilomètres).
Départ place aux Chevaux, route de Concarneau, Cadul, Ijourg de Melgven, Trinité, arrivée à Coat-Canlon.
A 3 h. 1/2, roule de Coray. — Courte locale,
15 fr. de prix, réservée aux jeunes gens de 18
ans et au-dessous.
A 4 heures, route de Coray, prairie de M.
Richard. — Luttes bretonnes, prix divers d'ime
valeur de 30 fr.
A 6 heures, place aux Chevaux. — GavoUe
d'honneur, flots de rubans.
Grande retraite aux llambeaux avec le concours de la subdivision des sapeur.s-pompiers.
Danses au biniou sous les halles toute la
journée des lundi et mardi.
Jeux divers.
N.-Ji. — La commune de liosporden ne répond pas des accidents qui peuvent se produire à l'occasion de la fête patronale.
Régates.
— Voici le programme des
régates qui seront courues à Concarneau
le mardi 12 août prochain, organisées
par la Société des llégates, sous le patronage du V. S. F. :
Kcriiével
Incendie.
— Un incendie dont les c a u ses sont restées inconnues à détruit vendredi dernier, un tas de gerbes de blé qui
se trouvait dans un champ appartenant
à M. Kersulec Christophe delaOrande-Bunère. La gendarmerie enquête à ce s u j e t .
Concarneau
Le Trio Concarnois.
— Ils sont chez
nous depuis quelques j o u r s ces trois artistes que tous connaissent ici et qui vont
par tout le Finistère faire entendre les belles chansons de Larrieu.
Leur première visite a été pour Concarneau, où depuis dix ans, ils ont acquis
droit de cité.
Ils ont voulu de suito, dire un cordial
bonjour aux sardinières, toutes leurs
amies qui chantent sans cesse dans les
usines comme des moineaux piaillieurs
sur un toît.
A l'usine Billette entr'autres, ce lut une
véritable explosion de j o i e k la vue du
Aloëlan
Trio. C'est ainsi qu'elles appellent famiEtat-Civil.
— Naissances. — Flattrès
Anne-Louise. — Kermagoret Pierre-Yves. —
lièrement nos artistes. « LeTrio », c'est la
Kermagoret Philomène-Marie-Hyacinllie (juchanson, c'est la poésie, c'est la gaieté et
meaux). -GharlesAlbeii-Jean. — Hervé Louisecela leur suffit. Dans les moments de trisMarie-Josèpiiine. — Malié Albertine-Marietesse, (Dieu sait combien de ces moments,
Emilie. — Briec Henrielte-Léonie-Marie. —
les braves filles ont traversé cette année),'
Bourhis Joseph. — Orvoën Anne-iMarie-Josèon chante une clianson avec un gai refrain
pliine. — Pensec Alain-Prosper. — Caniiec
et le chagrin s'envole !
Lucienne-Aimée-Louise. — Bail Léa-GorenlineJosi'iphine. — Kermagoret Henriettc-Thérè»e. •
A la venue du Trio dans la ruche bourPublications de Manage. — Nabec Aie.xandre
donnante qu'est l'usine toutes les filles
et Tanguy Marie-Jeanne. — Le Garrec Franspontanément, se mirent à chanter Les
çois-îMarie et Le Bloa Anna.
Filets Bleus. Puis, tour à tour, et sans
Mariages. — Le Goc Louis-Marie et Kermacesser de travailler, car n o i sardigoret (Vnna-Josèphine. — Nabec Alexandrenières sont toujours payées à, la tache
Josepii-Marie et Tanguy Marie-Jeanne-Bernaelles chantèrent tout le répertoire : Dans
dette.
leurs petits sabots, Friteuse et matelot,
Filles
Décès. — Mahé Goretitin, 20 ans, (transde chez nous, Les gds de Port-Manech,
Les
cription). — Braban Mallmrin, 75 ans. — Cornet
filles de Pont-Aven, A Douarnenez, Les ChâArttiur-Eugène-Louis, 2G ans. — Guéhu Jeannetaignes de Redon, etc. etc...
Malliurine, 84 ans. — Cordonner Louis, 77 ans.
— Le Pennec Marie-Yvonne, 39 ans. — CapiToutes les chansons que Larrieu leur
taine Joseph-.Marie, 12 ans. — Tanguy Maapporte chaque année furent chantées,
thurin-Théodore-Louis, 4 ans 1/2. — Lopin
rien n'a été n'oublié, — « Dame ! disaient
Marie-Anne, 73 ans. — Drégoire Françoisnos sardinières sans cesser de ranger les
Mari(>, 4 ans 1/2. — Péron Mario-Léonie, 20 ans.
sardines dans les boites de fer blanc, on
— Janin Anna-Marie-Josèphine, 4 mois. —
les a chantées tout l'hiver !! — »
Hervé Joseph-Marie-Corentin, 75 ans.
Ce fut certainement une satisfaction
bien douce pour notre poète. Il a vraiment su loucher le cœur de nos filles, il
les a fait rire et pleurer tour à tour eu
leur disant ce q u e l l e s devaient comprenMaison QUETTIER
dre. Il peut y avoir d'autres gloires ainsi
55, rue du Port L O R I E N T
que le disait Anatole Le Braz en parlant
de Larrieu, mais celle-là est de celles qui
(à droite en descendant la Boue)
durent éternellement, parce que c'est le
peuple qui les conserve, et le peuple est
LA P L U S ANCIENNE
éternel !
Espérons que longtemps encore nous
LA P L U S IMPORTANTE
reverrons Albert Larrieu et ses excellents
LA^MEILLEURE
amis sur la côte bretonne !
M- B. — Plusieurs lecteurs nous demandent à quel endroit et quels j o u r s on peut
entendre Le Trio Concarnois. Il ne nous
est guère facile de répondre attendu que
ces artistes, véritables troubadours moMaison de Oonflanoe consacrée par
dernisés, changent tous les j o u r s de pays.
4 6 ans de Succès
On les rencontre un peu, au hasard, à.
Ppnt-Aven, à Concarneau, k Beg-Meil, à
Arzano
V o l . — Ces j o u r s derniers, en rentrant
des champs où il travaillait, Roallo Joseph, manœuvre à Penprat en Arzano, ne
fut pas peu surpris de constater qu'un
malfaiteur s'était introduit dans son habitation et lui avait enlevé de son portemonnaie placé dans un coffre servant de
banc une somme de 4 fr. 50.
Roallo, y a quelque temps déjà, il s'était
aperçu qu'on lui avait soustrait 1 fr. 50 et
ses soupçons se portèrent sur un de ses
voisins qui, le j o u r du vol, avait fait des
dépenses au-dessus de ses moyens ; il a
porté plainte à la gendarmerie qui vient
d'ouvrir une enquête.
AU
PROGRES
MAISON D'HABILLEMENT
— G'que je leur collerais hait jours de
bloc, A tous ces galllards-Ià fit Coqueluche
enchanté, si j'ôtals leur capiston I... P a s
même laisser un homme de garde I
Rampant toajours, 11 francbit la porte,
s'assara une dernière fois qu'il était bien
SAtil, et prononça épanoai :
— Ça, c'est riche I... extrêmement riche
et confortable I
Car il y avait, sur la table, i côté de
quelques papiers et de vieilles cartes grais
seuses. quelques verres encore pleins.
Dans les uns, les moyens, était versé
du vin... dans d'autres, plus grands, de la
bière... et dans les petits. Coqueluche
renifla un parfum inconnu de lui, mais à
base d'atecol, sans aucun doute... E t 11 en
but deux, coup sur coup : c'était de la
voïka, liqueur favorite du baron Mosell.
— Fallait ça pour se requinquer !
Il n'était pas suffisamment retapé, pourtant : c a r un effroyable éternuement le
secouait.
—*Ça y eut ! me voilà avec mon rhume
de cerveau I... Jolie tenue, pour se présen
ter devant une dame de la haute I... sans
compter la fluxion de poitrine que je ris»
que peut-être, alors que j'ai dix mille
balles toutes gagnées devant moi I... Sales
frusques!..
D'une façon presque machinale, il en
levait son veston, son gilet...
L a chemise aussi, qui était glacée I...
Àttchlm I... Attchim 1... E t les godillots
encore pleins d'eau... C'était pas étonnant
que ça fût si lourd! Coqueluche avait
même cru, un moment, que ç» allait l'entraîner au fond du fleuve.
Or, sur une planchette, s'alignaient des
chausaures de rechange, admirablement
astiquées...
— Mais c'est des monuments, cela I
faisait dédaigneusement Coqueluche, et
avec quelque fierté de l'élégance de son
pied. En tout cas, une de ces bonnes
capotes!... E t p u i s ! . .
Il se frappait lé front.
— J e dois être signalé, déjà... avec mes
« frusques » de Parigot I . . tandis que
vêtu à la mode militaire du pays !... Pour
sûr, v'ià le coup !... Me laissera-t-on le
temps, seulement f
Il eut le sang-frold d e r e g a r d e r , presque
une minute, au dehors Et, ayant constaté
que le groupe des hommes continuait ses
recherches, là-bas, de l'autre côté du
fleuve :
— Cherchez bien soigneusement, mes
a m o u r s ! . . . Mettez-y même une demiheure si vous voulez... que Coqueluche
aie le temps de se fringuer... comme s'il
allait & un gueuleton chez mossieu F a l
Hères 1...
II arrachait, déchirait sa chemise, qnl
lui collait sur la peau...
Il dut prendre un couteau sur la table,
poar couper ses chaussures, qu'il ne serait
pas parvenu & enlever sans cela. Mais...
— Aïe 1... J e suis fichu !
11 avait entendu des pas... Il garda le
couteau en main, prêt à bien défendre sa
vie, si c'était sa dernière heure.
Mais comme d'être brave n'empêche
Premier départ à une heure et demie. —
Première série, 6 mètres entrée 10 francs lettre
L : 250 francs à di.slribuer en temps primé,
dont 150 francs au premier et un objet d'art;
an second une médyille de bronze.
2* et 3" sér'ies : S et 10 mètres, entrée 20 fr.
lettres 11 et
; 2rx) francs à distribuer en
temp primé, dont 150 francs au prernir el un
olijiits d'art ; au 2'. une médaille d'argent ; au
une iiic'daille de bronze.
Série spéciale de S m. 50 ; entrée 3 francs ;
premier pri.\, t',0 francs el une médaille d'argenl ; 2* pri.x, 40 fr. el une médaille de bronze.
Handicap breton : entrée 5 francs.
Première série, au-dessous de 9 mètres;
100 francs à distribuer en temps primé et au
premier une médaille d'argent ; au second une
médaille de bronze.
Deuxième série, au-dessus de 9 mètres ;
2.'Il francs à distribuer en temps primé et au
premier une médaille de vermeil ; au second
une médaille de bronze.
Iteiizcc-Coiiq
2° Fête du Oui.
— La
Comédie
Française
à Concarneau.
— La Fille de
Roland. ^ Le site choisi pour la r e p r é sentalioa convient
admirablement. Il
semiile que l'endroit ait été créé pour ces
grandes manifestations d'art. La voix parviendra aux derniers spectateurs, -aussi
nette, les paroles aussi distinctes qu'aux
spectateurs deo premiers rangs.
Il est inutile de dire que, étant donné la
disposition de la scène et son agencement,
on verra admirablement de toutes les
places.
Le rùle de Berthe sera tenu par J a n e
Delvais, cette artiste qui a remporté tant
de succès en jouant ce même rôle l'hiver
dernier à Paris, n'a pas besoin de nous
être présenté davantage, sa renonommée
la précède et tout le monde la connaît.
• Alexandre qui j o u e r a le rôle de Gérald,
est à l'heure actuelle le j r a n d espoir de
la troupe tragique de l'ilrastre maison de
Molière. Doué d'un physique superbe,
d'une voix chaude qui vous prend tout de
suite le co^ur, ce j e u n e artiste a j o u é
avec un triomphal succès presque tous
les grands rôles du répertoire tragique.
La carrière à Gerbault est une suite
ininterrompue de succès, sa jolie voix et
son tempérament très dramatique peuvent se donner libre cours dans le rôle si
b i e n v e n u du comte Ahaury.
11 est regrettable que le rôle de Théobald, soit si court, Yvonne Ducos, j o u e
avec tant de talent, tant de charme qu'on
ne voudrait j a m a i s voir terminer les
scènes où elle parait.
Décrire la carrière de .Marquet, ce serait
écrire l'h^istoire de l'Odéon pendant c e s
20 dernières années. Rappelons seulement
que pendant l'inauguration du Théâtre
de-la Verdure à Namur, ce fut lui que
l'on choisit pour j o u e r devant le Roi des
Belges, le rôle de Charlemagne, dans
lequel nous aurons le plaisir de l'applaudir le 10 Août.
A côté de cés protagonistes de toute
première grandeur, les excellents tragédiens de Teste, Olin, Garrick, Guen, formeront une troupe d'une homogénité
bien rare en province. Rien ne sera sacrifié aux vedettes.
Voici le programme détaillé de cette
fête :
»
A 9 heures du malin. — Ouverture de la fêle.
A 11 heures. — Défilé de la noce bretonne. —
Déjeiîner champêtre dans le parc (3 fr. 50, café
compris).
A 1 heure. — Grand concours de costumes
bretons, nombreux prix (100 fr. et médailles)A 2 h. 1/2. — Représentalion en plein air, La
Fitlc de Roland, par la Comédie Française.
A 5 h. 1/2. — Grand concours de danses.
Gavotte d'honneur.
A 9 heures. — Grand bal. — Prix d'entrée :
1 franc par personne.
Le prix des places au théâtre, donnant droit
à l'entrée du parc el de la fête, sont les suivants :
iléservées, 5 fr. ; premières, 4 fr. ; secondes,
2 fr. ; troisièmes, 0 fr. 50.
Les places réservées peuvent être retenues
chez M. Jégoudez, pâtissier.
pas d'être prudent et malin, 11 avisait
une porte et pénétrait dans une petite
pièce située au bout de la salle de garde.
Par la fenêtre de cette petite pièce, il
reconnut des silhouettes militaires, qui
marchaient lentement, au bord du fleuve.
On cherchait, aussi, de ce côté.
— Ils ne m'auront pas laissé le temps
de me fringaer !
Il n'osait plus rentrer dans la grande
salle, qui se trouvait si lumineuse, sous
une énorme lampe & pétrole. Mais, par la
porte enfr'ouverte, arrivait assez de lueur
pour qu'il aperçût un costume appendu
au mur de la petite pièce.
— Et quelque chose de chouette, mes
enfants !... Tu parles, mon vieux Coqueluche 1 s'écriait-il ^vec enthousiasme : la
pelure de l'officier ! . .
C'était, en effet, le costume de demitenue, que le chef de ce poste, un lieutenant, devait endosser le matin, pour la
relève de la garde.
— Mince de chic 1...
Ce n'étaient plus des chaussures, balourdes... ni une grossière capote... C'était
une fine culotte de drap gris, soutachée...
des bottes vernies, à éperons nickelés...
un lalpack à plumet rouge... un dolman
blanc, à gros galons dorés... et enfin, un
de ces vastes manteaux bleu clair avec
lequel on devait être aussi beau que les
mousquetaires d'an tan.
— Il ne nous manquerait qu'un pur
sang, monseigneur!... S'agit plus que
d'avoir du toupet, et on est hors d'affaire.
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— i * Ml*
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I.O0, trx/n caïi/if. !»• ^ l.'. «J»-» l • Irni f^^'|U'>
i»«>' trf» rin'-i-'jii."
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un>(«r . ir.'rt,
««»» ) Uir»*, j
tf»v«Jll<! «Un»
r»i»u(elii)ur «-«vm!" i(»Ol.
l u •» .-ni-rfi lu |.»r»or .I- «IMU.LIN '
— Mir >|Ue le «lonii» <!« «"Ht.
I «1 u>rl )ltt lin
i» r<trinaUr<'AUlr<^iii«nl c:<-n( tut i)Ui a i n v c n i ) - p i i f U
«Icinonluhlt! ; tu parl'.-'i » il »«il l*; Iruc
pour
Mon fdiro. Af.h<'l<' ui«" pair»' <1 < n
vcloppfil .MICUKUN » IriiiKl'!». lu le»
jjttUîrai» 10 fr. pic-ce. l u loKi raH <le<inn»
ilv iM>nn<;ii cliniiihrvH k air ruUKC, k < (r.
— Uu in^itK' î
— Kl Hiin» coKoac... Kl lu rtiviemlrn'i iiit;
ilini lit i;a ne vnul pan niitiU.x <)Ut! In .nnle
caiiiololv... IJno pnirt- «le pnuux .Mh.ilKMN.
iiioiicoloii, gn Uiconduirn )UMiiu'«l«clu»Ht; !
^iiliiipor
t,»» CouramM. — U Socifli- dos oour.stis
tic yuimpur a I hotitnjur <lo porUsn h In
ooniittlsManco ilf« hiiliiliiiil« IfH (!i.s|iOHiliur.N HUtvuiilo.'i :
!• l)o« curluH ironln^i! sur l'Iiippodrome
.sont déposùos olioz .M. (;ourm(;l(!ii, Hureim
do Tdbuo, y lluo ilo Kcrooii.
2° Lus Curlea dit .i fr. duiiuunl dmil à la
pelouse ol «u.v tribunes.
3" Les oarloa donnant droit au paddook
sont do r< fr. par jour.
Jusqu'au vendredi «oir 15 Aoul, il .sera
mis «Il voiilc dos souscriptioii.s de 10 fr.
ii trois cnlrùo.s par jour, dont une par
jour au paddok. A i>i'rllr du Ki Août, lu
vontodcH 8ouacrii)lions sera suspendue
ol il no sera plus vondu ((ue des oarles
séparées do 5 fr. et do 2 fr.
La Iribuno dito dos » Sociélairos » sera
oxolusivoinont résorvéo /i .M.M. les sociétaires ol il leur faniille et au.\ personnes
munies do cartes d'invilation (ot!S caries
80 disliiiKuent par un fer cliev«l).
L'ontroo îles auloiiiolnles sera laxée ii
5 fr. par jour, on outre de la curie de
souscripteur ou de sociélaire.
Pour M.M, les sociélaire.s celle la.\e esl
rôduitedo moitié 5 fr. pour les doux jours.
Les personnes(|ui voudruienl faire supplomontor pendant les courses leurs carte» do pelouse pour avoir le droit d'enlror
au paddock, trouveront A l'oiilrée du paddook ilos timbres do supidément do 3 fr.
Il en sera domiînio à l'enlroe do la tribune
centrale (supi'lénienl fr.)
A l'entreo do l'Iiippodronio la vente des
caries se fora un peu en avant îles tribunes sur le chemin dit de la Forèl et près
du moulin St-Jean au bas do la cAte de
Cuzon. Il no sera pas vendu de caries au
contrôle des voilures.
Foucsiinitl
Or«Jid» fite
bretoaae
des
Potnmi«rB. — Le dimanche 25 août prochain
aura lieu l'i Fouosnanl, sous la présidence
d'honneur do M. Louis llémon sénuleur,
conseiller général du Finistère, la première grande fiUo bretonne dos l'ommiers. Le programme de celle journée
comprendra dans ses gramles lignes les
attractions suivantes :
Miitin'-e. - Concours île costumes bretons pour enfants. — Danses enfantines
avec nombreu.ic prix.
A midi. — Hamidel champêtre par sousonplion.
Soirée. — Concours de costumes anciens
el modernes. — Luttes bretonnes avec
Cliampionnal. — Concours de danses brolonnes. — Grande kermesse.
Dislribulion des prix. — Ual champêtre avec illuminations.
Altraclions el jeux divers.
Des affiches ullérieures feront connaître le programme détaillé de la ftHe.
ifc-
herroiiiiloiiii
Mort mceidentmll».
— Le Jeune de
Kersoao et son journalier, liihgeard lîuillaume 5i ans, déchargeaient mercredi
une charrello de gerbes. Diligeard, monlé
sur la charrelle. perdit l'éi|Uilibre, il tomba d'une hauteur de 3 mèlres.
Il (ul relevé porteur d'une fracture au
crâne; la mori avait été instanlannée.
Itrioe
JDmufr d«a «raies à
— Yves
Guillou, 23 ans, de Kervennal. chassait des
lapins quand son beau-frère, Félix Le
Corre, 17 ans. vint le prévenir que son
propriétaire désirait lui parler. Guillou lui
pwsa l'arm® sans la désarmer el partit.
Le Corre le suivil tenant le fusil horizon*
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IVormand
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B é n a r d
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Mailiunr t\\AS. qui liabllf au l'elil Kouchanipl. piv."i Suint-DIé (Vo.sgcs) était alleinle
ilcpiiis Irt's longlemp-s d'eczéma. .\près avoir
essayé en vain tontes sortes de remèdes :
dépuralifs, eaux spéciales, pommades diverses,
etc., .Mme Kaa.» vient d'obtenir «ne guérison
roinplèle, Ki'ioe
Trailemeat Normand
Hénard.
.\ussi conseillons-nous à tous ceu.it qui sont
alleinls de .Maladies de l'eau. Kczémas, Dartre.^
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Vices du sanir, clc., de demander ii l'in-stilut
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éurloutianuit . 11 la conT1 A/Ot
gcitionne «"l j>''ul provoquer do l'inconti1' Itiil'l» 4 ' ti«in«<lr iiior ^aUtiic» normili-nonco ou de la rotenUon.
lltri'it :i r| . }ii<l«. :
Souvent, cCl^ alI«'Clions ne ^onl précét- liillr!» .) 4||»T ni ivlij49urrtt(i.>irr« 'Or»n<l<~' déct que par un mal de dos. des nrinrs
!>•
' •«: ,
iroubUr? foncées, brftlanlei», un ^^Ul de
I- Ililli-Lit .1 .•tfiirwmii an .Mwtil >1 Mielicl ;
malaise (féneral. des maux de tètes, sueur»
>• liilirui ti rirumion 'le l'»n>i cl ilc Hoiicn
frisson».
»vrc ir»jffi m b.ilJ-aii i-nln' Hourn ol I.C ll»vm.
F,n rendant au rems leui- activiU-, les
llillolx >1 l'xruntion A IbiniKO'tl
Ku oiilrt-, IPI liillrU (rallor ol rclour onJinm
l'iliiti-'H Kolcr (vuunpcrlé i)harmiicie HaIV». <1. livrx-» l'ir
Korct 'lu H»:ltc4lJ iJtt I KUt
bnnl) chassent vigoureusement el régu(4iiriP(i ri'Hcaii il<- |(uic«<l , pour li-.*
Jcs
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rn fiKiilispii'i! par Ji-un-.l;ir,'iu'js lloiissau.
véritables Pilules FOSMiivunl il' iix cliiin-oiis do l)olri;l : Jean Coltcri'iiu i l 1,11 Mriilc île l'oiii , I I I M J X rhansons de
Tlill pour les Heins:
\nir<;nt llvsiu : l'ouriiailers turc.o-halUanuiue»
refuse/, ou l'aites-vous
'•I Héiiiiion iHirhiriilr : uiie ainusanln faii!ai!-i<;
rembourser tout ce
(11'Th. It.ii'ii : /Mi'iis de Mer: lu s^'iiliiiiuiiUilii
qui ne porte pas la mar'•Imiisciii il'- (i.iilidi l'onliicfl : l.e Vieux Moulin :
que déposée ci-conlre.
uni' coinposiliiiii sur l;i fc''li! ilo l'Assoinplion,
p:ii' .\1. l'abl)'' llniiieiiu, i;t mio llerceitsc ciitaidite, ili! IUmu! 0"iki>:'|iI.
Ol iiiliTi-ssaiil luimiTO, .igréinenl'i d<! jolie.s
poi'.xii.'S à ilir«', «'iirh'''vi,' Mir une piiii-c (sans
(Iruils ir.iulrui'; il 1 l'i'iles d lionimcs Colibri,
piw 1.. liiifraHiu;.
Il i;sl votiilii ^i.irliiiil ou uxpùiliiS franco roiiIro ! fr. rn linilin's-posle.
i;ti lasciciili' spi'cinuMi avuc calulogiio ronipli't esl eiivoyù gnilis el franco sur simple
MCUBRE DU JUHr tf HOItS CONCOURS
(Iciiiande ailiessi'O i\ La Bonne Chanson,
l'i, place Saiiil-Sulpii'e, Paris.
N'oii.s portez un bandage à ressorl qui vous
torture et qui. Iai.'?sant gli.sser voire licrnie,
écrase l'intestin sous la pelote. N'ons le remplacez aloi-s par un bandage plus souple dont
la puissaiiee esl nulle et qui s'allonge dcinesuréinent au bout de quelque temps. Voire
M*«M IfM la^lêt«ij0ëm$
i0»^tt
hernie n'est jamais maintenue el vous redoutez rélranglenienl fatal. (;'esl pour vous
la souIVraiice physi(|ue, aggi-avée par la toraojionoïk.* f
ft», «M
I ULU,
nm tav
ture inoi'ale. Kli bien, il existe un appareil
H««M
sans ressort el sans caoutchouc, inventé par
.M. Cil.ASKll, spécialislu de Paris.
Sans ressort, il est si souple et si léger que
les peisonnes les plus délicates peuvent le
porter jour el nuit sans gône. On peut afllrnier que la reiiilurc est presque inusable et
sa puissance est telle, qu'il immobilise radicalement les hernies les plus volumineuses,
les plus rebelles. Ajoutons qu'un système
LE CÉLÉBRÉ
"7
spécial donne à cet appareil une puissance
d'élaslicité précieuse et constante el c'est là
UGENERATE11R_DES CHEVEUX
le secret de cotte merveilleuse invention. Nous
n'insistons pas davantage. Le doute est bien
Rend aux chevp.iis
permis h ceux qui ont éprouvé dos déceptions
gris leur couleur et
continuelles.
beauté naturelles
(Ju'ils viennent donc e.s.sayer cet appareil.
Ils pourront ainsi se convaincre que le soulaSupprime les pelli
gement est Immédiat, et il leur sera démontré
, cule.>^ el arrête If
que grâce à la contention radicale et parfaite,
fO^chùte des chevfii.x
tout espoir lie guérison n'est jamais perdu,
SE RECOPIAUDt riî
ICu l oici une preuve :
30 MS OE SUr.CÉS El
• 19 avril i'.ti;{.
UXE VENTE TOUJOUri
" .Monsieur CLASi;i'.,
" .le suis heureux de vous annoncer q>je ma
CTOISSAIIÎE.
hernie a complètement disparu grâce à l'usage
r.i.i'i" IniHCc lu firwpcrlli! sur deiiicimt
de votre merveilleux appareil.
V. . HKl'DT : 2S, nne d Eimlilea l'Al.Iï" J'ai obtenu ce résultat malgré l'ancienneté
I:N VKNTE PARTOUT
de ma hernie cl je vous autorise à publier ma
i'xnit'r'«-1' 'fif-w »! mo" no ya l windscih
lettre dans I inléréf de ceux qui soulfrent.
nOpoNituire.s : à Ouimper, M. CoL
« Votre bien reconnaissant.
UËC, coifleur rue Saint-François — à
MAUTUET NOKL,
Quimperlé, M . M A R R E C , coilVeur, rue de
il Plemeur-Bodou
par I.annion (COtes-du-Nord).
la Mairie.
l>aiiM l e ^
V o s i i ^ e s
Une Ouérison par le
r w m . 2 màU
PHARMADO LAURÉAT
TttL<^HOMf,
t'ttAr
>
dr r\%«amplloa
.(toyU'Mt^jKMt Jf UkéHttf 4* rm/iJti^
4ft ttUUu a yris r/«(«t/r
o—
A . -/vt^tj.t, ,î« ;» i.'.i- jf rAM»(n|>Um.
fUKif «îr» Mijî-t» » pni. f»<}ûit».
4- '
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.l^liVIHtK t
du ' \(»ÛI.
!,. jUi
!u*f»-! >w ( j;ui »«•
^ o r - i x i L O l t »
Plaça Saint-Michel QUIMPERLE
O .
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I r ^ l i t à r ' i i M i o l o
fX/urcs
pjitr
/iv.^
pi-u-
intMifi-^s
.\r{u-!<r$ 0)nutif
tous tes
ptih
(illtls.
Douches — Injecleurs — Bassins de Lit — Urinoirs
i i i : i L \ i Ë
G-tie inllrmilé eirrayante p.'ïr ses suites
trop souvent mortelles, esl arriMt^e, pn'-veivue, au point qu'aucun danger n'est
désormais a redouter avec la luùlhode de
i'éminenl spécialiste .11. •!. UI.ASKR,
boiilcviiril S«'-l»iislo|»ol
rt
l*«Hs.
Aussi, avant d'acheter un handage quelconque. les malades des deux sexes aiteints de hernies doivent-ils demander à
.M. Glasersa nouvelle et instructive brochure expliquant clairement comment la
hernie se .soigne el peut se guérir, et qu'il
enverra avec 'a date de son passage dans
la réi(ion.
Klude de M' Grchol.
à (Jumii'i rie
Nulaire
DISSOLUTION OE SOCIÉTÉ
AUX termes d'acto rci;u par .M'
GACH'KT, nolain; ii Uuin)l)erlé, le
2Ô juillet lOia,
S i . l'utrice-Ktienne Marie de SOI.MlNlllAC, proprieUiire iii.-ijeur, demeurant au clii'ili'au de llélon. en
la commune de ll:i'c-bur-llélon,usfnU
de lu faculté qui lui a été rôservee
par l'art, on/.e des sUiluts de la
Société en noirî collectif ayant existe
enlrelui <îI Mme Louise-Marie LaunElisabi-lh de Lessigiies Itozuvcn,
veuvi- de .M. Auguste-Goiistant de
SULMIMIIAC, den'ieuranl aussi au
château lie Hélon, suivant ucle re.-u
par M' G.\Clll-"r, notaire h Quuiijerlé. le 18 juillet IDl'i, publie conormémenl ii la lot; ladite société
dissoute par suib' du déd-s de
Mme de Si.|r>iinihac,-arrivée ii Helon,
le 30 Mai l'.M.').
A déclare conserver pour son
compte personnel el exclusif tout
l'actif social h char;,'e d'en acquitter
le passif.
lieux expéditions dudit acte de
dissolution do société onLé;lé déposées l'une au grelfe du Tribunal
civil de Quimperlé, faisant fonctions de tribunal de commerce, le
2 ao it 1!)13, l'autre au grell'e de la
justice de paix de Pont-Aven, le
4 août 1913.
Pour extrait : GAClIKT.
i;tude de M' Gachot, notaire
à (juimperlé
Adjudication Amiable
LE JEDDI 28 HOOT1913, à H illires
Kn l'Etude de M' li.iCHEl
DE
m
i MiliiOHS
se joipnani, avec écurie en ai)pentis,
sises à Quimperlé,
pince
l/xngnon, n" .'i, up|iarlenant k .M. Louis
Colloberl.
Revenu, 4iO francs.
Sliso à prix : 7 . 0 0 0 f r .
S'adresser à M' (iACHKT.
Etude de W' Peyron notaire à
Quimperlé
A VE¥DRE
Par Adjudication Volontaire
LE VE\I>REI>I 22 AOL'T 1 9 1 3
à deux heunîs de l'aprés-midi
ES L'ÉTUDE ET PAR LE MINISTÈRE
hE M* PEYROS
U A E
P R O P U I K T E
sise à Xérède,
en Locanolé,
comprenant :
Maison d'habitation, bâtiments
d'exploitation, terres bien plantées
en pommiers, à l'exception des parcelles n<" SOO, 801, 802, 81 i. vendues.
Très belle pèche dans l'Ellé bordant la propriété.
Jouissance par mains au 29 .Septembre prochain.
Mi.se à pri.ï : I O.OOO f r .
En cas d'oflres suirisantes, on
pourra traiter avant l'adjudication.
Pour tous remeifjnements, s'adresser
à
PEYIlfjy,
notaire.
ASSISTANCE JUDICIAIRE
Durillon du 13 ortobr«> 1911
Ktud»; de W" Piton, avoue
rue de Quimper. n* !'J à Quimpeile
DIVORCE
li'un jugement r- ndu par défaut
par le tribunal civil de premiiirt>in.Hlance de Quimperlu le ITi janvier
11M3, euregislre el siKmlle.
Entre :
.Mme .Marie Hélène Kervéadou
épouse de Louis .Marrec. fcouiurière,
demeurant et domiciliée è Quintperle. rue Kllé.
Demanderesse ;
El:
.M. Louis .Marrec, sellier domicilié
à Quimperlé.
Défendeur ;
Esl extrait ce qui suit :
Le Tribunal prononce le divorce
enlre la dame .Marie Kervéadou el
le sieur l/)Uis .Marrec, au profit de
ladite dame .Marie Kervéailou avec
les conséquences de droit.
l'our extrait jiar le soussigné,
avoué de la demanderesse.
P . PITON,
Elude de M' BIger, .Notaire
ù Hannalec
A
V E N D R E
,1 l'Amiahle
I l TliB lifilJI PlIOl'Ilél'
RURALE
située au lieu de Bcrriguel,
en
la commune do Kernével, nyant de
bons hiUiments, de Irés 'bonnes
terres labourables et 0 hectares de
belles prairies susceptibles d'auxmenlation.
(Contenance (i? journaux environ
.louissance par mains au 2î) septembre 1015.
Pour tous renseignements, s'adresser audit notaire!
Elude de W Péan de Ponfllly,
licencié en droit, noUire it l'onlAven.
A
V E N D R E
EN TOTALITÉ OU l'AR LOTS
AU GBÉ DES ACgUéKEURB
Diverses belles pai^elles de terre
sises k Ker*ndré*tt-Ztoyatt
en la
commune de Itiec-sur-Hélm, en bordure de la route de l'onl-Aven à
Hannalec et bien jdacées pour construire.
Entrée en jouissance au 29 septembre 1913.
S'adresser pour traiter i M. ULO.Nî)EAl.', place des Ecoles, Quimperlé,
ui se trouvera sur les lieux à la
i isposition des amateurs le samedi
9 août i013, à partir de une heure
apré.s-midi.
Et pour tous renseignements au
notaire.
Etude Wl' Barbe, notaire
à Moélan
Adjudication Volontaire
JEn
l'Etude
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en face la .Mairie, [Kiuvanl servir
à tout commerce, avec écurie, remise, cour, puits et jardin y atlenanl.
Mi.se À prix ; 20.000 f r .
Jouissance au 29 septembre 1913.
On demande
forçeroii.H ou ajuKtcar»» S'adresser ou écrire à M. E. Guillou, rue
Amiral-Courbet, CX)NC.\R.VEAU.
— A l'occasion de la Fête du Gui h Concarneau, le dimanche 10 Août prochain,
h Compagnie d'Orléans mettra en marche
ce jour-là enlre Lorient et Rospordeii et
retour, un truin spécial dont ci-dessous
l'horaire :
ALLEH
Lorient, déparl
4
5
Fî'-i'porden, « m m -
5
53
10
23
RETOUR
Bannalec
Quimperié
L'emploi régulier des Pilules Sui.sses guérit
la constipation sans fatigue ni changement
dans les habitudes, et rétablit les fonctions digestives!
" A chaque mal
son remMe "
i li. 30
Quimperié
Baiyialec
Rosporden,
talement, sans qu'il s'en aperçoive le coup
p u-lit et la charge vint atteindre Guillou
aux reins. Le blessé s'afl'aissa et on le
transporta à son domicile.
Son état assez grave ne donne pas d'inquiétude. Guillou a été blessé h la main
'droite.
21 h. 54
départ
22
22
10
32.
Lorienk, arrivée
2;J 03
Kn outre, le train spécial d'aller correspondra à Ilosporden, avec une navette supplémentaire partant de :
Rosporden, départ
La Boissière
511.50
O OS
Concarneuu, arrivée
G
19
A la Chambrée
— Vivement c'soir qu'on s'couche !
s'ecria Pitou, le cycliste de la 11° compagnie, en se j e t a n t sur son lit au retour de
la manœuvre... j'ai crevé six fois en trois
jours, j'ai fait la moitié des étapes h
pattes ; j'ai récolté huit j o u r s .le consigne
pour avoir porté les plis en retard... avec
ça 30 francs de pneus à payer sur mon
prêt... Gré fourhi de métier !...
— G'est ta faute, répondit tranquillement Duinanet. Tu sais pas où que c'est
qu'on les achète, les bons pneus...
— J e sais pas ! lit Pitou indigné... eh
bon, mon colon ! Des 12, des 15 francs que
j e les paye mes enveloppes !
— Tu es un peu là pour le faire estamper... moi, j e sais y faire, j'ai travaillé dans le caoutchouc... écoute-moi.
Tu as entendu parler de MICllELLN ?
— Sûr que j e le connais de nom.
— T'as tort de ne pas le connaître autrement. C'est lui qui a inventé le pneu
démontable ; tu parles s'il sait le truc
pour les bien faire. .\chète une paire d'enveloppes MlCHELhN à tringles, tu les
paieras 10 fr. pièce. Tu logeras dedans
de bonnes chambres à air rouge, à 7 fr.
— Du même ?
— Et sans cognac... Ht lu reviendras me
dire si ça ne vaut pas mieux que la sale
camelole... Une paire de pneus MICHELIN,
moncolon, ça le conduira jusqu'àlacla.«!se !
(jiiîmper
X e s Courses. — La Société des courses
de Quimper a l'honneur de porter à la
connaissance des habitants les dispositions suivantes :
1® Des cartes d'entrée sur l'hippodrome
sont déposées chez M. Gourmelen, Bureau
de Tabac, 9 Hue de Kéréon.
2® Les Cartes de 2 fr. donnent droit à la
pelouse et aux tribunes.
3® Les caries donnant droit au paddock
sont de 5 fr. par jour.
Jusqu'au vendredi soir 15 Août, il sera
mis en vente des souscriptions de 10 fr.
à trois entrées par jour, dont une par
j o u r au paddok. A porlir du 10 Août, la
vente des souscripiions sera suspendue
et il ne sera plus vendu que des caries
séparées de 5 fr. et de 2 fr.
La tribune dite des « Sociétaires » sera
exclusivement réservée à iMM. les sociétaires et à leur famille et aux personnes
munies de cartes d'invitation (ces cartes
se distinguent par un fer à cheval).
L'entrée des aulomobiles sera taxée à
5 fr. par jour, en outre de la carte de
souscripteur ou de sociétaire.
Pour MM, les sociétaires celle taxe est
réduite de moitié 5 fr. pour les deux j o u r s .
Les personnes qui voudraient faire supplémenter pendant les courses leurs cartes de pelouse pour avoir le droil d'entrer
au paddock, Irouveroat à l'entrée du paddocii des timbres de supplément de 3 fr.
Il en sera de môme à l'entrée de la tribune
centrale (supplément 3 fr.)
A l'entrée de l'hippodrome la vente des
cartes se fera un peu en avant des tribunes sur le chemin dit de la Foret et près
du moulin Sl-Jean au bas de la côte de
Cuzon, Il ne sera pas vendu de cartes au
contrôle des voitures.
Foiicsiianf
G r a n d e fête
bretonne
des
Pommiers.—
Le dimanche 24 août procham
aura lieu à Fouesnant, sous la présidence
d'honneur de M. Louis llémon sénateur,
conseiller général du Finistère, la première grande fête bretonne des Pommiers. Le programme de cette j o u r n é e
comprendra dans ses grandes lignes les
attractions suivantes :
Matinée. - Concours de costumes bretons pour enfants. — Danses enfantines
avec nombreux prix.
A midi. — Banqùel champêtre par souscription.
Soirée. — Concours de costumes anciens
et modernes. — Luttes bretonnes avec
Championnat. — Concours de danses bretonnes. — Grande kermesse.
Distribution des prix. — liai champêtre avec illuminations.
Attractions et j e u x divers.
Des affiches ultérieures feront connaître le programme détaillé de la fête.
Kci*rciintciiii
JUdort accidentelle.
— Le .leune de
Kerscao et son journalier, Diligeard Guillaume 54 ans,^ déchargeaient mercredi
une charrette de gerbes. Diligeard, monté
t u r la charrette, perdit l'éfiuilibre, il tomba d'une hauteur de 3 mètres.
Il fut relevé porteur d'une fraclure au
c r â n e ; la mort avait été instantannée.
Uficc
I>anffer des armes à fen. — Yves
Guillou, 23 ans, de Kervennal, chassait des
lapins quand son beau-frère, Félix Le
Corre, 17 ans, vint le prévenir que son
propriétaire désirait lui parler. Guillou lui
passa l'arme sans la désarmer et partit.
Le Corre le suivit tenant le fusil horizon-
(Quimperié. — Marché du S Aoîit. —
Taureaux, le kilo., O.ôO à 0.60 ; bœufs de
boucherie, 0.70 à 0.90 ; vaches de boucherie,
0.50 à 0.60 ; bœufs de travail, ordinaire
bouvillons, 50 à 60 fr. ; vaches laitières,
140 à 315 ; génisses, 115 à300; chevaux, très
élevé ; porcs, 1.00 à 1.20 le kil. ; moulons,
0.90 à 0.95; veaux, 1.00 k 1.10 f r . ; froment,
19.»» à 20.»» ; seigle, 20.»» à 21.»» ;
orge, 19.»» à 20.»» ; sarrasin, 21.»» à
22.»» ; avoine, 19.»» à 20.»» ; pommes
de terre
les 100 kil., 6.»» à 8.»» ;
beurre le kil., 1.80 à 2.80 ; œufs la douz.,
1.00 h 1.20 ; foin, les 500 kil, 35.»» à 40.»» ;
paille, les 500 kil., 30.»» à 35.»» ; son, les
100 kil., 17.»» à 18.»» ; farine, 1 " qualité,
37.»» à 38.»» ; 2» qualité, 34.»» à 35 fr-
Fête de l'Assomption
Augmentation de la durée de validité
des billets à prix
réduits
—0—
A l'occasion cio la fOto de l'Assomption, les
coupons (le retour des billets fi prix réduits,
désignés ci-après, délivrés à partir du 7 Août,
par loutes les gares tlu Réseau de" l'i^tat (ancien liéseau de l'Ouest), à destination de cel^éseau ol dont la validité normale expirerait
avant le 21 du même mois, seront exceptionnellement valables jusqu'au dernier train du
21 Août.
Billets de bains de mer (valables normalement 3 cl 'i Jous) ;
2" Billets d'aller et retoi^rdinaires (Grandes
Lignes) ;
3" Billets d'e.xcursion au Mont Sl-Michel ;
4" Billets d'excursion de Paris et de Rouen
avec trajet en bateau entre Itouen et Le Havre.
5° Billels d'excursion à Huelgoal.
En outre, les billets d'aller et retour ordinaires, délivrés par les gares du Réseau de l'Etat
(ancien réseau de l'Ouest), pour les gares des
réseaux de l'Etat (ancien) et d'Orléans, ou récipro.|uenient, auront leur durée de validité prolongée dans les mêmes conditions que les billets
inUiiiués ci-dessus.
L A BONNE CHANSON D'AOUT
Ce numéro de vacances débute par une introduction de Léon de Bercy sur le chansonnier Vincent Ilyspa, spirituellement caricaturé
en frontispice par Jean-.Iacques Houssau.
Suivent ticux chansons de Botrel : Jean Cot-
tcrcau et La Meule de Foin ; deux chansons de
Vincent Hysi a : l'ourparlera
turco-batl,aniques
el liéiuiion électorale ; une amusante fanlaiïie
de Th. Barn : Bains de Mer ; la sentimentale
chanson de (îaslon Perducet : Le Vieux Moulin ;
une composition sur la IV-te de l'Assomption,
LE CÉLÉBRÉ
CHEVEUX
Rend aux cheveux
gris leur couleur et
beauté naturelles
Supprime les pelli
I. cules et arrête Ir
chute des cheveux
4m
r.W'Oi
l'ro.iico
'Iv
SE RECORÎ<flKDE
Hl
30 M DE suncÉs ET
USE'VEtiTt TOUJOlir»
CBOISSAHTE.
fifospeclus:
sur
iJe>)lC7l"C-
:. <HKl'OT: 2 S . aue d-EiigUlen. 1>A1;IS
EN VLNTE PARTOUT
L'xnter
l'.UInmm lut mol!: FtO YaLWtNOSOK
D é p o s i t a i r e s : t\ Quimper, M. CoL
I J E C , coifleur rue Saint-François
— k
Quimperié, M. M A R R E G , coill'eur, rue de
la Mairie.
l e ^
H
Maison
B
A
V o s ^ e s ^
Une Guérison par le
Trailemenl IVormand
Bénard
Madame t'WAS, qui habite au Petit Foucharupt. |)rès Saint-i)ié (Vosges) était atleintc
depuis très longtemps d'eczéma. Après avoir
essayé en vain toutes sortes de remèdes:
dépuratifs, eaux spéciales, pommades diver.ses,
etc.. Mine Kaan vient d'obtenir une guéri.son
comiilèlo, grdcc au Traitement
Normand
Bénard.
Aussi (îonseillons-noiis à tous ceux ([ui sont
atteints de Maladies de Peau, Eczémas, Dartrei;
Boulons, Ulcères, Plaies, Maux de .ïambes,
Vices du sang, elc., de demander à l'inslilul
Normand, 38, rue Armand-Carrel, à liouen,
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Les douleurs (Torticolis,
lumbago),
les
soull'rances des névralgies, (sciatique,
in •
t('rcoslali;s\ les désordres el co.mplications
souvent mortelles du rhumatisme, de la
goutte, de la gravelle sont causés par le
s'éjour et l'accumulations dans le sang
de l'acide urique que les reins {vulg. rognons) ne peuvent plus éliminer.
Li ne s'arrêtent pas ses méfaits : l'acide
urique en eU'el irrite la vessie (envie
fré•qnente d'uriner surtout la nuit). Il la congestionne et peut provoquer de l'incontinence ou de la rétention.
Souvent, ces affections ne sont précédées que par un mal de dos, des urines
iroubles foncées, brûlantes, un étal de
malaise général, des maux de tôles, sueurs
frissons.
l^m rendant au reins leur activité, les
Pilules Poster (Quimperié pharmacie Hahrial) chassent vigoureusement et régulièrement l'acide urique les impuretés
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le gontlement du dessous des yeux, des
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par M. l'abbé Bruneau, el une Berceuse
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HERNIEUX
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\"ous portez un bandage à ressort qui vous
torture el (|ui, laissant glisser votre hernie,
éci'ose 1 intestin sous la pelote, \'ou.s le remplacez alors par un bandage plus souple dont
la puissance est nulle et qui s'allonge dômesurémenl au bout de (luelque temps. Votre
hernie n'est jamais maintenue et vous redoutez l'étranglement fatal. C'est pour vous
la soullVance physique, aggravée par la torture morale. Eh bien, il existe un appareil
sans ressort et sans caoutchouc, inventé par
iM. GLASKR, spécialiste de Paris.
Sans ressort, il est si souple et si léger que
les peisonnes les plus délicates peuvent le
porter Jour el nuit sans gêne. Ou peut afllrmer (pie la ceinlure esl presque inusable el
sa puissance est telle, qu'il immobilise radicalement les hernies les plus volumineuses,
les plus rebelles. Ajoutons qu'un système
spécial donne à cet appareil une puissance
d'élaslicilé précieuse el constanle et c'est là
le secret de cette merveilleuse invention. Nous
n'insistons pas davantage. Le doute est bien
permis a ceux qui ont éprouvé des déceptions
(îonlinuelles.
Qu'ils viennent donc essayer cet appareil.
Ils pourront ainsi se convaincre que le soulagement est Immédiat, et il leur sera démontré
que grâce k la contention radicale et parfait»!,
tout espoir de guérison n'est Jamais perdu,
En voici une preuve :
• l'J avril 1!)13.
« .Monsieur GLASKIl,
" .le suis heureux de vous annoncer que ma
hernie a complètement disparu grâce à. l'usage
de voire merveilleux ajjpareil.
« ,1'ai obtenu ce résultat malgré l'ancienneté
de ma hernie et Je vous autorise à publier ma
lettre dans l'intérél' de ceux (pai souirrenl.
« Votre bien reconnaissant.
M A R T R E T NOËL,
a Plemeur-Bodou
par Lannion (Côles-du-Nord).
Aussi engageons-nous vivement toutes les
personnes atteinles de hernies, efforts et descentes (hommes, femmes et enfants), venir
essayer cet appareil à :
Douches — Injecteurs — Bassins de Lit —
ASSISTANCE JUDICIAIRE
H E U I V I Ë
Décision du 13 octobre 1911
Cette inlirmilé efl'rayante par ses suites
trop souvent morlelles, est arrêtée, prévenue, au point qu'aucun danger n'est
désormais à redouter avec la méthode de
l'éminent spécialiste SI. J .
GLASER,
Aussi, avant d'acheter un bandage quelconque, les malades des deux sexes atteints de hernies doivonl-ils demander à
M. Glaser sa nouvelle el instructive brochure expliquant clairement comment la
hernie se soigne et peut se guérir, et qu'il
enverra avec '.a date de son passage dans
la région.
Nolaire
DISSOLUTLOÎL DE SOCIÉTÉ
Aux termes d'aclo reçu par
GAGHlvr, notaire à Quimperié, le
25 juillet 1913,
M. Palrice-Etieiine-Marie de SOLMINIHAG, propriétaire majeur, demeurant au château de Bélon, en
la communedeRiec-sur-Bélon, usant
de la faculté qui lui a été réservée
par l'art, onze des staluts do la
Société en notrf collectif ayant existé
enirolui elMmeLouise-Marie LaureElisabelh de Lessigncs Ilo/.avcn,
veuve de M. Augusle-Gonslanl de
BOLMI.NIIIAG, demeuraiil aussi au
château de Béion, suivant acte reeu
par M' GAGHET, notaire à Quim)erlé. le IS Juillet 1912, publié conormémcnt à la l o i ; ladite société
dissoute par suile du décès de
Mme de Solminihac, arrivée à Bélon,
le 30 iMai 1913.
A déclaré conserver pour son
compte personnel el exclusif tout
l'actif social à charge d'én acquitter
le passif.
Deux expéditions dudit acte de
dissolution de société onl«été déposées l'une au greffe du Tribunal
civil de Quimperié, faisant fonctions do tribunal de commerce, le
2 a o . i t l 9 1 3 , l'autre au grell'e de la
justice de paix de Pont-Aven, le
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D'un Jugement rendu par défaut
par le tribunal civil de première instance de Quimperié le 15 j a n v i e r
1913, enregistré et signifié.
Entre :
Mme Marie Hélène Kervéadou
épouse de Louis Marrec, couturière,
demeurant el domiciliée à Quimperié, rue Ellé.
Demanderesse ;
Et:
M. Louis Marrec, sellier domicilié
à Quimperié.
Défendeur ;
Esl extrait ce qui suit :
Le Tribunal prononce le divorce
entre la dame Marie Kervéadou et
le sieur Louis Marrec, au profit de
ladite dame Marie Kervéadou avec
les conséquences de droit.
Pour extrait par le soussigné,
avoué de la demanderesse.
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ET MARITIME
Organe Républicain Démocratique de la Région
Paraissant les JEUDI
A n n o n c e s et Réclames
Annonces judiciaires (la ligne)...
Annonces volontaires
Réclames
2 0 o.
2B o.
BO o.
Les annonces sont reçues au bureau du
journal et, d Paris, dans toutes les Agences.
On traite à forfait pour les
annonces
répétées plusieurs fois.
Réponse à dejx Obseriiations
fopiiiulÉes au Sénat
LA
IȃIII0I>E
DK
THA\8iriO\
L E S S O U ' I i F A ' S l>r. I A U l L L i :
On lit dans le Matin :
> Deux quosiions p;iraissenl devoir sarloul être soulevées dans la discussion
de la loi militaire au Sén il : d'abord la
question de la période Iransiloire de
l'hiver prochain, où nous n'aurons sous
les drapeau.^ qu'une classe inslruile el
deux classes de r e ç ues, ce qui n'est pas
sans soulever certaines inquiétudes et
certaines aopréh-jasions ; ensuite le coût
de la nouvelle loi concernant les H11 »cations aux soutiens de famille, qui motive
certaines protestations.
Il nous paraît intéressant d'indiquer
quelle est, sur ces deux points, la fai^on
de voir du Gouvernemeat et du ministère de la Guerre.
I. PerioJe transitoire de l'hiver prochain. — On insiste baaucoup dans certains milieux militaires, sur un paragraphe, peu connu, de l'article 3)5 de la
loi de 1905 — article qui reste en vigueur dans la loi actuelle, n'ayant été
abrogé par aucun texte contraire.
L'article 33 « in fine > porte.
« Dans le cas où les circonstances p \r aî
traient l'exiger, le ministrode l iGuerre
et le ministre de la Marine sont autorisés à conserver provisoirement sous les
drapeaux la classe qui a terminé sa seconde année de service. Notification de
cette décision sera faite aux Chambres,
dans le plus bref délai possible
« Dans les mêmes circonslan:es et
pendant la première année do leur service dans la réserve, les ho'umos peuvent être rappelés sous les drapeaux,
par ordre individuel, avec l'asseutimenl
du Consèil des minisires. »
Le premier de ces deux paragraphe»
a déjà fait l'objel de longues discussions; miis, commo.nous venons do le
dire, le secoad, quoique fort important,
n'a jamais élé jusqu'ici beiucou.) si
gnalé et commenté.
Or, il résulte du texte ci-(Jo3sus que
les hommes de la classe 1010, qui vont
être libérés le 10 ou le 30 novembre
prochain, resteront, pendant loule l'année qui va venir, à la disposition du
minislrede la Guerre qui, si les circonstances l'exigent, peut les rappeler dans
les quarante-huit heures, par ordre individuel, avec le seul assentiment du
Conseil des minisires, et sans même
avoir à consulter le Parlement. Ces
hommes seront dans ce qu'on est convenu d'appeler la disponibiliié. Pour les
faire revenir au régiment, point ne sera
besoin que la mobilisation ail oie proclamée, que des adiches aient élé apposées sur les murs, que des décrets
aient élé rendus : il suffira d'un simple
ordre d'appel du ministre do la Guerre.
Leur cas est entièrement difFérent de
tous les autres reservisles et de tous les
autres territoriaux, qui no sont tonus
de rejoindre leur corps qu' « on c a s de
mobilisation ou do rappel de leur classe
ordonné par décret. (Article 40).
Donc, pendant tout l'hiver prochain,
sans qu'il soit besoin de procéder à aucune mobilisation, sans qu'il soit besoin
de consulter les Chambres, le ministre
de la Guerre aura à sa disposition non
seulement la classe instruite el exercée
do 1911, mais encore la classe inslruile
el exercée de 1010, que par simple ordre
individuel il peut, dans les IS heures,
rappeler sous les drapeaux,
IL Allocations aux soutiens do famille.
La loi actuelle a sensiblement augmenté
les allocations accordées aux soutiens
de famille, puisqu'elle a élevé ces allocations de 0 fr. 75 à 1 fr. 25 ; mais il
importe de remarquer la modification
que la loi a apportée dans la composition
des Commissions qui, en vertu do la loi
de 1905, comprenaient le préfet, le directeur des contributions directes, le
trésorier payeur général, trois conseillers généraux, c'esl-à-dire trois
tonctioimaires et quatre éias, ae com-
pfi u r ni plus, iJ
.le?
qu Un Jll^f il.' p;iix
la
n uv. iu- l . i .
Itr' ev- ui de l't-ll
u-^iM un iii et uii diiecteui des i-ou
tritjuiiou- direcies, soil trois fductiounaires (dont doux fonctionnaires fiscaux) el plus du tout d'élus. Il est, par
suite, infiniment vraisemblat)le que ces
Commissions, qui auront à s'inspirer
dans leurs décisions des directions générales que le Gouvernement leur donnera par circulaires, se montreront
beaucoup plus rigoureuses que les
Commissions précédentes, où les influences politiques, locales et électorales avaient parfois libre jeu.
Dans la pensée du Gouvernement,
qui compte n'accorder les allocations
que dans les cas strictement nécessaires, la dépense ne devrait être que
de 30 à 35 millions dans la nouvelle loi,
au lieu de M millions que coûtait la loi
ancienne. Nous sommes loin des 80 millio'is que redoutait la Commission des
llnances du Séîiat.
Un dernier mot pour finir. On a reproché à la loi actuelle d'avoir été improvisée et hàlivemenl votée ; on s'est
me lie servidu moL« bâclé». Vendredi,
a la tribune du Sénat, le ministre do la
Guerre a déjà fait en partie justice de
ce reproche t-n rappelant que la loi de
l'.)05, qui n'a jamais passé pour être une
loi improvisée ou bâclée, avait nécessité néanmoins par la suite dix-huit retouches législatives. Peul-êlre n'esl-il
pas sans intérêt d'ajouter à cette petite
statistique le fait que la loi militaire de
1889, qui avait é;é volée a tête reposée
par les Chambres, loin de toute menace
extérieure el de loule pression dos événements, n'a pas nécessité moins de
quatre-vingt-six avis interprétatifs du
Conseil d'Etat.
Malgré les quelques lacunes et les
quelques obs>:urilés que peul contenir
la loi de 1913, il est douteux qu'elle nécessite autant de retouches et d'avis interprétatifs que ses devancières.
Élections Cantonales
SCRUTIN
DE
BALLOTAGE
l'iiiistère
Conseil Général
Brest,
l"'- c a n t o n . - I n s c r i t s , 7859. —
v d t a n l s , 420."). — M. Moiiign, répuljlicuin,
voi.x, élu ; .M. P t n l i p p o t , s o c i a l i s t e ,
c. .s. 1947 v o i x .
«
Conseil
d'Arrondissement
JBrest,
2'' c a n t o n . — I n s c r i t s , liSOO. —
V o l a n t s , 770r). — .M. Le B o r g n e , s o c i a l i s t e ,
3!).J3 v o i x , élu ; M. Le b'ur, r é p u b l i c a i n ,
:i7G2 VOIX.
c a n t o n . - - Inscrita, 09,•)9. — v o l a n t s ,
3190. — M. GesLin, r é p u b l i c a i n , 1738 voix»
élu ; K e r v a g a u U s o c i a l i s t e , 1434 v o i x .
Arzano.
— iNos l e c t e u r s s e s o u v i e n nent q u e le ilirnauche 3 a o û t , a u c u n c a n didat ne s ' é l a n t p r é s e n t é d a n s le c a n t o n
d'Arzano, l'élection d'un c o n s e i l l e r d'arr o u d i s s e i i i e n l ne put a v o i r lieu. D i m a n c h e
d e r n i e r , M. Uictiard. c o n s e i l l e r .sortant,
revenant s u r sa décision, s'est représente
d e v a n t s e s é l e c t e u r s et a é i é élu p a r 7()1
v o i x s u r 787 v o t a n t s .
Voici les r é s u l t a t s des diU'érenles c o m munes :
ArziUlO
GiiilIlKOiniirc'li..
Lociinolo
llùdihii'
TotiUix...
Inscrits
Votants
321)
370
4.30
171
l'i'i
202
T)!;")
l.OHO
270
7H7
M. Richard
270
ir)S
133
2(X)
7(11
i^Iorbiliaii
Conseil
Général
i o r i e n t , 2® c a n t o n . — I n s c r i t s , 10i)4.').
— v o t a n t s , 3014. — M. Honligand, r a d i c a l ,
c. s. 2830 v o i x , élu.
JPontivy.
— M. K e y s e r , r a d i c a l , 2121
v o i x , élu ; de K e r v e n o a ë l , c. s., libéral
180'i v o i x .
Conseil d'Arrondissement
JLorientf
l"' canton. ~
M. L a l o u c h e ,
710 voix,, élu.
Mennehoni,
— M. Le Grand, c o n s . s . ,
2357 v o i x , élu ; M. Ivernen, libéral, 2103 v .
J B e J z . — M . Le Pévédic, radical, 1024
voix, élu i Le ilollc, libéral, 798 voix.
ei
l\ord-Ouest
DIMANCHE
Directeur : Armand G A U T I E R
RÉDACTION, ADMINISTRATION
A ANNONCES
A QUIMPERLE, Place Hervo. n' 8 bis
T*I.KP>MOIMK. N* a
Adresse Téiégràpitiqu» : Union, Quimperlè
Vu Jour le Joui
Dans les Balkans
Xa
du
Paix
Une d é p è c h e de B u c h a r e s l a n n o n c e q u e
lundi, à 10 h. 30, d a n s la s é a n c e de c l ô t u r e
de la c o n f é r e n c e , les s i g n a t u r e s o n t é l é
a p p o s é e s s u r le t r a i t é m e t t a n t fin h la
g u e r r e i n t e r b a l k a n i q u e . A u s s i t ô t la ville
a é t é p a v o i s é ^ t a n d i s q u e tonnait le c a n o n ,
q u e s o n n a i e n t les c l o c h e s , et q u e les m u s i q u e s m i l i t a i r e s e x é c u t a i e n t s u r les plac e s p u b l i q u e s , en p r é s e n c e d ' u n e foule
e n t h o u s i a s t e , l e u r s p l u s brillants m o r ceaux.
— Le bruit a v a i t c o u r u d'un p r o f o n d diss e n t i m e n t qui s e s e r a i t p r o d u i t e n t r e la
R u s s i e , et la F r a n c e , du fait q u e c e l t e
d e r n i è r e a u r a i t a p p u y é f o r t e m e n t la c e s sion de Cavalla à la G r è c e a u d é t r i m e n t
des B u l g a r e s .
La p r e s s e officieuse s ' e s t m ê m e l i v r é e h
c e s u ; e t à d e s c o m m e n t a i r e s p l u t ô t désobligeants pour notre nation.
Mais le g o u v e r n e m e n t n'est p a s e n t r é
d a n s c e l l e v o i e : il a, a u c o n t r a i r e , dit
qu'il n ' a v a i t p a s h. c o n n a î t r e d e s s y m p a thies de la F r a n c e p o u r la Grèce, c e l t e
d e r n i è r e a y a n t le droil, a u s u r p l u s , de r e v e n d i q u e r q u e l q u e c o m p e n s a t i o n en r a i son d e s s a c r i f i c e s qu'elle s ' e s t i m p o s é e et
des brillantes a c t i o n s d e s s e s a r m é e s .
— La R o u m a n i e , la B u l g a r i e , la S e r b i e
et la G r è c e , ont c o m m e n c é s i m u l t a n é m e n t
le l i c e n c i e m e n t d e s t r o u p e s de s e c o n d e
m a i n m o b i l i s é e s en v u e de la g u e r r e .
— Un a s s u r e q u e , ' m a l g r é l e u r nr.écon-'
l e n t e m e n t du t r a i t é de B u c h a r e s l , l'Aut r i c h e ni la R u s s i e n'en d e m a n d e r o n t p a s
l i révision.
— D'après u n e I n f o r m a t i o n t r è s a u t o r i s é e , l'Italie, à, la c o n f é r e n c e d e s a m b a s s a d e u r s , p r o p o s e r a , a u s u j e t des îles d e la
,.Mer lîgée, u n e f o r m u l a a y a n t t o u t e s c h a n c e s d ' ê t r e a c c e p t é e p a r l ' u n a n i m i t é des
puissances.
— Le g o u v e r n e m e n t de la P o r t e s e m b l e
plus r é s o l u q u e J a m a i s à c o n s e r v e r And r i n o p l e , en dépit des o b s e r v a t i o n s des
jiuissances.
A c e s u j e t , on c o m m u n i q u e le télég r a m m e s u i v a n t de C o n s t a n l i n o p l e :
« lin f a i s a n t l e u r c o m m u n i c a l - i o n v e r b a l e
il la P o r t e , m e r c r e d i d e r n i e r , les a m b a s s a d e u r s ont d é c l a r é q u ' a u c a s où la T u r q u i e
ne s e s o u m e t t r a i t p a s a u x l e c o m m a n d a tions d e s p u i s s a n c e s , celles-ci lui retirer a i e n t tout s e c o u r s m o r a l e l f i n a n c i e r .
Les abonnements se faient d'avance, sauf conventions ils partent du i" ou du 15 de chaque mois.
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J M. Armand GAUTIER, place
Servo.àQuimferU.
ilflftONlilOnfiiilOiiiLE
Les eoncerJs ItoIrcI
Gédant a u x s o l l i c i t a t i o n s de s e s c o m p a t r i o t e s et a m i s , T h é o d o r e Botrel, d o n n e r a
c e s l e m p s - c i une s é r i e de c o n c e r t s de
b i e n f a i s a n c e en B r e t a g n e ; c ' e s t ainsi qu'il
s e f e r a e n t e n d r e en c o m p a g n i e de M m e
B o t r e l (el de l e u r s d é v o u é s c o l l a b o r a t e u r s
A n d r é Golomb et G e o r g e s L a u n a y ) à Garantec, à Plestin-les-Grèves, à
l^errosG u i r r e c à S t - Q u a y - P o i ' t r i e u x , a u Val-AndréPléneuf, à T r é g u i e r et, enfin, à P a i m p o l le
23, a u profit d e s v e u v e s el o r p h e l i n s d e s
Islandais p é r i s en m e r a u c o u r s de la dern i è r e c a m p a g n e de p è c h e .
Contributions Indirectes
P a r a r r ê t é tie M. le Gonseiller d ' E t a l ,
D i r e c t e u r Général d e s C o n t r i b u t i o n s Indirectes ;
M. R o u g i e r , c o m m i s dos c o . d n l m M o n s
i n d i r e c t e s à R o c h o f o r I , est noniuié ;i la
s o u s - d i r e c t i o n , de Hro-^L, rn r«',iiii>laceinent
de M. Dubos, n o m m é c o m m i = p r i n c i p a l à
Lisieux.
M. Guyard, c o m m i s p r i n c i p a l d e s c o n t r i b u t i o n s i n d i r e c t e s à S t - R e n a n , e s t élevé,
s u r p l a c e , à la 4" c l a s s e de son g r a d e .
'Concours de iniisii|uc ù \ annes
Un c o n c o u r s de m u s i q u e o r g a n i s é p a r
la m u n i c i p a l i t é de V a n n e s , a u r a lieu les
15, 10 et 17 a o û t c o u r a n t .
Voici le p r o g r a m m e tel qu'il v i e n t d ' ê t r e
arrêté :
Samedi
I a août. — C o n c o u r s m u s i c a l :
orphéons, harmonies, fanfares, trompes
de c h a s s e et t r o m p e t t e s ; à 8 h. 30, c o n c o u r s de l e c t u r e à v u e (à h u i s clos) ; — à
9 h. 30, c o n c o u r s d ' e x é c u t i o n (public).
A i4 h. .30, g r a n d délité des S o c i é t é s .
R a s s e m b l e m e n t s u r la Rabine ; d é p a r t :
place
Ganibetta, r u e s C a r n o t , T h i e r s ,
p l a c e de l'Hôtel de Ville, r u e du Mené,
Saint-Nicolas, du R o u l a g e ; e n t r é e d e s
S o c i é t é s a u p a r c de la P r é f e c t u r e p a r la
r u e de la Gonliance. .
A l'issue du délilé, a u p a r c , r e m i s e du
fanion de la F é d é r a t i o n ; m o r c e a u x d'ensemble ;distribulion des-récompenses aux
vieux musiciens.
A 20 h. 30, i l l u m i n a t i o n de la Rabine,
g r a n d festival.
Dimanche
17 août. — P r o m e n a d e on m e r
oirerte a u x S o c i é t é s .
Quimperlè
Les Courses.
- Dimanche dernier ont
e u lieu les c o u r s e s a n n u e l l e s de (Juimperlé s u r le bel h i p p o d r o m e de K e r l a r e c ,
d o n t les l o u a n g e s ne s o n t p l u s à faire ;
— Le c o r r e s p o n d a n t du Malin
à Sainlc a r il e s t de fait r e c o n n u
que cest
P é L e r s b o u r g c r o i t s a v o i r q u e la R u s s i e del'un
des
m
e
i
l
l
e
u
r
s
h
i
p
p
o
d
r
o
mes
et
m a n d e r a à la F r a n c e , sinon oMlciellement
l'un d e s plus solides de la r é g i o n . Il a
du m o i n s a u c o u r s d ' e n t r e t i e n s a m i c a u x
e n c o r e l ' a v a n t a g e de s e p r ê t e r m e r v e i l ([ue le g o u v e r n e m e n t de P a r i s p r e n n e des
l e u s e m e n t h t o u t e s les c o u r s e s , el si la
m e s u r e s p o u r e m p ê c h e r q u e le n o u v e a u
d i s t a n c e c|ui le s é p a r e de la ville s e m b l e
v e r s e m e n t p r é v u do 10 millions ne s o i t p a s
un p e u longue, a r r i v é a u but l'on s e
fait au g o u v e r n e m e n t , t u r c , d a n s la c r a i n t "
trouve largement
récompensé
de s e s
q u e c e l t e o p é r a t i o n ne n u i s e à la b o n n e
ell'orls p a r le r i a n t a s p e c t de la c a m p a h a r m o n i e des r e l a t i o n s f r a n c o - r u s s e s .
g n e e l des frais o m b r a g e s des bois d'al e n t o u r . A u s s i , , n o m b r e u s e était la foule
a u c h a m p de c o u r s e s .
A Constantinople
Dès le m a t i n les v o i t u r e s c o m m e n c e n t
L ' a m b a s s a d e de F r a n c e est en feu
à a r r i v e r et à u n e h e u r e de l ' a p r è s - m i d i ,
Un i n c e n d i e a é c l a t é d i m a n c h e , à dix
l'aflluence e s t d e s p l u s
considérable.
h e u r e s à la r é s i d e n c e d'été de l ' a m b a s s a d e
Les a t t e l a g e s , les a u t o s délitent s u r la
de F r a n c e , à T h e r a p i a , p e n d a n t un g r a n d
r o u t e s a n s i n t e r r u p t i o n , tandis q u e les
d î n e r olliciel, d o n n é à l ' o c c a s i o n d u rep i é t o n s y f o n n e n l un long r u b a n pittol o u r de M. B o m p a r d . Le feu a p r i s a u p r e r e s q u e . IAÎS a b o r 1 s du c h a m p s o n t d é j à
m i e r é t a g e et s ' e s t r.ipideinent d é v e l o p p é .
g a r n i s de s p e c t a t e u r s et les t r i b u n e s , en
Les d a m e s o n t fui p r é c i p i t a m m e n t s a n s
f a r a n d o l e s , en un r i e n de t e m p s s o n t
l)rendre l e u r s c h a p e a u x ni l e u r s m a n t e a u x
e n v a h i e s p a r le public, bien qu'il y ait
de s o i r é e .
d e s fêles de t o u s c ô t é s , et q u e la m o i s s o n
Le s e c r é t a i r e de l ' a m b a s s a d e
d'Italie,
a b o n d a n t e de c e t t e a n n é e r e t i e n n e les
préposé aux archives, a été grièvement
cultivateurs.
blessé. 11 a é t é t r a n s p o r t é î'i l'hôpital de
Puis la m u s i ( i u e fait s o n e n t r é e à Kerl^éra.
larec, a u x s o n s e n t r a î n a n t s d'un p a s reOn ne s i g n a l e j u s q u ' i c i a u c u n a u t r e acdoublé. Klle s e fait e n t e n d r e e n t r e les
c i d e n t de p e r s o n n e .
d i l f é r e n l c s é p r e u v e s , a i l m i r a b l e m e n t sec o n d é e p a r la s o n n e r i e dos c o r s de c h a s s e
si c o n n u s et a p p r é c i é » du public.
Aviation
On J o u i t d'un c o u p d'iiîil s p l e n d i d e : le
soleil
s e fait s e n t i r s a n s toutefois ê t r e
JBrindejonc
décoré
g ê n a n t , é c l a i r a n t la v a s t e p e l o u s e , o ù l'on
Le brillant a v i a t e u r b r e t o n B r i n d e j o n c
p e u t a d m i r e r les t o i l e t t e s les p l u s c h a r dos Moulinais, d o n t on n'a p a s oublié la
m a n t e s el les p l u s v a r i é e s , (jui J e t t e n t
t r i o m p h a n t e r a n d o n n é e a u - d e s s u s de l'I-luu n e n o t e g a i e s u r l ' h i p p o d r o m e et q u e
r o p e e n t i è r e , v i e n t d ' o b t e n i r la J u s t e r e v i e n t r e h a u s s e r le brillant u n i f o r m e d e s
c o m p e n s e de s e s e x p l o i t s . L'Of/iciel
puolliciers qui
vont
prendre part
aux
blie s a n o m i n a t i o n , a u titre de l ' a é r o n a u épreuves. Chacun s'intéresse vivement
t i q u e , a u g r a d e de c h e v a l i e r de la I^égion
aux diverses
courses
(|ui s'eirectueiil
d'honneur.
t o u t e s s a n s le m o i n d r e i n c i d e n t . P e n d a n t
Chute
mortelle
t o u t e l e u r d u r é e , le pari m u t u e l e s t p r i s
A B r u c k , en B r a n d e b o u r g , l ' a v i a t e u r R o - ' d ' a s s a u t p e u t - ê t r e e n c o r e p l u s q u e les
a n n é e s p r é c é d e n t e s , et s u r la p e l o u s e ens e l e r e t l'élève a v i a t e u r S t é p h a n o n t fait
v a h i e , c ' e s t k g r a n d ' p e i n e f|uc l'es J o u e u r s
une chute lundi-matin. Tous deux ont élé
p e u v e u l s e frayer un passage el e n g a g - r
Liiés.
^
A B O N N E M E N T S (VN AM)
Quimperlè (ville)
6 fr
Finistère et départements limitrophes
e —
Autres départements
7 —
Colonies et étranger
10 —
leurs paris. Partout, ce ne sont que vivais
et a p p l a u d i s s e m e n t s à la fin d e c h a q u e
é p r e u v e ; le p u b l i c m a n i f e s t e h a u t e m e n t
s o n e n t h o u s i a s m e a u x c o u r s e s de h a i e s ,
s t e e p l e - c h a s e et m i l i t a r y .
H n o u s est i m p o s s i b l e de t e r m i n e r s a n s
oJfrir, a u x m e m b r e s d u c o m i t é , n o s plus
s i n c è r e s f é l i c i t a t i o n s p o u r c e l l e fêle si
bien o r g a n i s é e , s a n s o u b l i e r les b u r e a u x
et les c o m m i s s a i r e s qui, s a n s m é n a g e r
l e u r p e i n e , et b r a v a n t les f a t i g u e s ne nég l i g è r e n t rien p o u r la p l e i n e r é u s s i t e d e
c e t t e brillante r é u n i o n s p o r t i v e .
Gelte
réussite constitue déjà une r é c o m p e n s e
de l e u r l a b e u r à laquelle s e J o i n t l ' e x p r e s sion de r e c o n n a i s s a n c e d e la p o p u l a t i o n
et d u C o m m e r c e d e la ville. R e n d o n s n o m m a g e é g a l e m e n t a u zèle e t à l ' a c t i v i t é de
la g e n d a r m e r i e qui a s s u r a d ' u n e f a ç o n
p a r f a i t e le s e r v i c e d ' o r d r e g r â c e a u q u e l
il n'y e u t a u c u n a c c i d e n t à d é p l o r e r , et
r e m e r c i o n s , la S o c i é t é d e s c o m m e r ç a n t s
qui, p o u r c l o r e d i g n e m e n t l a fêle, o r g a n i s a le s o i r , a u x halles Si-Michel, un bal
qui e u t le p l u s g r a n d s u c c è s p r è s de la
J e u n e s s e i n f a t i g a b l e qui n e m a n q u a p a s
une danse.
Voici
les
courses :
résultats
des
difTére.iies
1" Course, trot monté. —- 1 " Belle-petilc,
il
M. Y. Pouliqiien ; 2* Saplii à'^Mme Vve Le
•'loch ; 3", Draf/a, à M Legrand.
Nota. — r.enlillc, à .\I. Subileau, arrivée troisième, a été distancée, le jockey à l'arrivée
n'ayant pu juslilter d'une diQérence de poids
réglementaire.
^
2' Course, au galop. — i " Eyra, à M. Le
Gouédic ; 2' Minichc, à M. Pierre Nédélec.
3" Course, Société des steeple-chases de
France. — 1 " Allada, à M. Josset ; 2»,
Nestor,
à M. Lemarié.
4"-0o(irse, au trot. — l " Hérome,kU.
Poclu- ;
2', Irma, à M. de Gésincourt ; S*. Jobic, à M.
Derrien.
Course. — Pas d'engagement.
C« Course, au trot attelé. — 1" Ibis, à M.
iosse : 2», Gentille, à M. Subileau ; 3',
Rosine,
à M. Even.
7- Course, haies. — 1", Cordon-Rouge,
à .M.
de Carcaradec; 2", Gioconda. à.M. de Rodellec.
8" Course, steeple-chase. — 1", Urdos. à M.
Rer.sihanJ; 2*, Mascadine, à .^L de CariMr.i ioc;
3% Xéphias II. à M. Morel.
Théâtre
des Folies
Mavra.ises.
—
Gomme nous l'annoncions dans notre
d e r n i e r n u m é r o , le t h é â t r e d e s folies liav r a i s e s ( d i r e c t i o n Débris), e s t a r r i v é c e
m a l i n où il s'installe s u r la p l a c e .Nationale. Il d é b u t e r a v e n d r e d i s o i r p a r
Le Maître de Forges,
pièc3 sensationnelle
qui c e r t a i n e m e n t s e r a du g o û l d e s a m a teurs.
I.e t h é â t r e Débris qui e s t m o n t é d ' u n e
façon i ) a r f a i l e , et d'un c o n f o r t i r r é p r o c h a b l e , p o s s è d e des a r t i s t e s de v r a i t a l e n t ,
([ui ne m a n q u e r o n t c e r t a i n e m e n t p a s d e
donner satisfaction aux n o m b r e u x spect a t e u r s qui a u r o n t s û r e m e n t à c œ u r
d'aller a p p l a u d i r c e t t e t r o u p e d'élite. L e
g r a n d s u c c è s o b t e n u p a r le t h é â t r e D é b r i s ,
à C o n c a r n e a u et à P o n t - A v e n ,
e s t le
m e i l l e u r g a g e de s a p o p u l a r i t é .
Convocation.
— L e s r é p a r t i t e u r s de
la c o m m u n e île Q u i m p e r l è s o n t c o n v o q u é s p o u r le lundi 18 a o û t salle de la
m a i r i e de Q u i m p e r l è .
Ar/.ano
Incendie.
— Un i n c e n d i e d ' u n e e x t r ê m e violence, a éclaté vendredi dernier,
v e r s 0 h e u r e s d u soir, au village d e P o r z ,
en Ar/.ano. Le feu t r o u v a n t u n a l i m e n t
facile et l'eau faisant d é f a u t , t o u t le v i l l a g e
. faillit d e v e n i r la p r o i e d e s f l a m m e s . T r o i s
é c u r i e s , d e u x g r a n g e s , d e u x h a n g a r s ainsi
q u e p l u s i e u r s tas d e paille o n t é l é c o m p l è t e m e n t c o n s u m é s , c e n'est q u ' à g r a n d
p e i n e (|ue l'on p u t p r é s e r v e r les m a i s o n s
d'habitation.
La f e r m e qui a p p a r t i e n t à MM. P o r t i e r ,
de la c o m m u n e
de
Pont-Scorlf, é t a i t
habitée par 4 localaires. Bourdin François,
Bourdin .h^seph, Le Du P i e r r e e t la v e u v e
Yhuel.
Bourdin F r a n ç o i s qui e s t i m e s e s p e r t e s
à 4.200 fr. n ' e s t a s s u r é q u e p o u r 3.900 fr.
à la C" VVvbninc.
B o u r d i n .losepli e s t i m e les s i e n n e s à
2.000 l'r. est a s s u r é p o u r la m ê m e s o m m e
i|ue s o n f r è r e et à la m o i n e G'^
L e Du P i e r r e é v a l u e à 2.500 fr. le p r é judice t]ui lui est c a u s é et e s t a s s u r é p o u r
7..500 fr à
VUrbaine.
La v e u v e Y h u e l s e t r o u v e l é s é e «le
3.000 fr. et e s t a s s u r é e p o u r la m ê m e
s o m m e <iue le p r é c é d e n t e t à la m ê m e C ' .
M. P o r t i e r .loseph, p r o p r i é t a i r e de Le
Du et Yhuel e s t i m e s e s p e r t e s à 5.000 fr.
c o u v e r t e s p a r u n e a s s u r a n c e . M. P o r l i c r
Yves, propriétaire des frères Bourdin"
é v a l u e le p r é j u d i c e qui lui est c a u s é à
4.500 l'r. c o u v e r t é g a l e m e n t p a r u n e a s s u r a n c e . On i g n o r e les c a u s e s de l ' i n c e n d i e ,
la g e n d a r m e r i e e n q u ê t e .
(
Rédéné
. Acoideut.
— M. Malliuria Derrien au
s W v i c e de M. J u l e s La Roclie, p r o p r i é t a i r e au c h â t e a u de K e r j u l e s e s t a t t e i n t
de piilegraon de l'index de la main g a u chb p a r jiuile d'une p i q û r e .
Le d o c t e u r Le S t u n f à Qui m perlé i u i a
p r e s c r i t une i n c a p a c i t é t e m p o r a i r e de
t r a v a i l de 15 j o u r s .
.
M. La R o c h e e s t a s s u r é èila Cie g é n é r a l e
d ' a s s u r a n c e s c o n t r e les a c c i d e n t s .
Moëlan
r t t 9 B , — Voici le p r o g r a m m e de la
f é t e et du c o n c o u r s a g r i c o l e qui a u r o n t
lieu Ips d i m a n c h e 24 et lundi 15 a o û t 1913 :
Dimanche 2 4 août
A :> heures du soir. - Course de vélos. liUernalionale : 1 " prix, 15 fr. ; 2», 10 fr. ; 3%
5 fr.
Lundi 2 5 août
A 9 heures du matin. — Courses de chevaux.
— Internationale. — Au trot : 1" prix, 20 fr. ;
2-, 15 fr. ; 3', 10 fr. — Entrée, 1 fr.
Internationale. — Au galop : 1" prix, 20 fr. ;
2', 15 f r . , 3', 10 fr. — Entrée, 1 fr.
Communale. - Au galop : 1" prix, 20 fr. ;
2', 15 fr. ; 3', 10 fr.
A 10 heures. — Concours de charrues pour
jeunes gens au-dessous de 20 ans. — 1" prix,
12 fp. ; 2', 10 fr. ; 3», 8 fr. ;
5 fr.
Cidre ! 1 " prix, 5 Ir. ; 2», 3 fr. ; 3', 2 fr. ; 'i*,
l'fr.
Beurres : 1 " prix, 5 fr. ; 2', 3 fr. ; 3'. 2 fr. ;
V, 1 fr.
Plantes fourragères : 1" prix, 10 fr. ; 2-,
8 fr. • 3' 5 fr.
'
A iV heures. — Course d'hommes : l " prix,
r> fr. ; 2'. 3 fr. ; 3», 2 fr.
Course d'enfants au-dessous de 15 ans :
1" prix, 2 fr. ; 2', 1.50 ; 3-, 1 fr. ; '»', 0.75 : 5»,
0.50 ; C.'. 0.25.
A 1 heure de l'après-midi. — Courses de vélocipèdes. — Internationale : 1" prix, 20 fr. ;
2-, 15 fr. ; 3», 10 fr. - Entrée, 1 fr.
Communale : 1 " prix, 20 fr. ; 2', 15 fr. ; 3«,
10 fr. — Entrée, 1 fr.
A 2 h. 1/2. — Course attelée : 1" prix, 40 fr.;
2», .30 fr. ; 3*, 20 fr. — Entrée, 2 fr.
A 3 heures. — Course en sacs : 1" prix. 3 fr. ;
2-, 2 fr. ; 3', 1 fr. i
Concours de fumeurs : 1" prix, deux paquets
de 0 fr. 50 ; 2', un paquet de 0 fr. 80 ; 3-, un
paquet de 0 fr. 50.
Concours de buveurs : 1" prix, 2.50 ; 2', 2fr.;
3*, 1.50 ; 4-, 1 fr. ; 5', 0.50 (chaque concurrent
devra se pourvoir de son litre de cidre).
A 4 h. 1/2. — Grandes luttes bretonnes, 50 fr.
de prix, prix d'honneur 15 fr. ou' un mouton.
Jet du boulet : 1" prix, 5 fr. ; 2', 3 fr. ; 3',
2 fr.
Baquet russe. Màt de cocagne.
Danses toute la journée.
Gavotte d'honneur.
A 9 heures.
Grande retraite aux flambeaux.
.Sota. — Le Comité ne répond pas des accidents qui pourraient survenir pendant les
courses et les jeux.
Pont-Aven
m u t dm ohmaM». — S u r p r i s p a r les
g e n d a r m e s de P o n t - A v e n , alors q u ' i l s se
l i v r a i e n t au p l a i s i r de la c h a s s e a u x envir o n s de R a g u é n è s , MM. Gautherin J e a n P i e r r e et B o n n e a u M a r i e - F r a n ç o i s , tous
d e u x de P a r i s et en c e m o m e n t en v i l l é g i a t u r e en B r e t a g n e , ont été gratifiés c h a c u n d'un p r o c è s - v e r b a l pour c h a s s e en
temps prohibé.
I.o l ' o u i d u
JEmourmat
M»uvetMffe.
— LuncH dern i e r , v e r s 6 h e u r e s du soir, Mme v e u v e
B u h a c , de Lorient, a c c o m p a g n é e de s e s
e n f a n t s et de q u e l q u e s a m i s , t r a v e r s a i t la
L a ï t a , a u Pouldu, dans le c a n o t de p a s s a g e .
Le vent é t a i t t r è s fort et il y avait de la
houle. Tout à c o u p , alors q u e l ' e m b a r c a tion s e t r o u v a i t au milieu de la r i v i è r e ,
Mme B u h a c , p e r d a n t l'équilibre, t o m b a à
l'eau. Aux c r i s p o u s s é s p a r les p e r s o n n e s
p r é s e n t e s , les d o u a n i e r s Morice, Flohic,
et le s i e u r Garo, r e t r a i t é , se p o r t è r e n t au
p l u s vite, en b a r q u e , s u r les lieux de
l'accident. Cependant, le fils de Mme Buh a c , â g é de 17 à 18 ans, qui se trouvait
a v e c elle dans le canot, s'était J e t é tout
habillé h son s e c o u r s . Il parvint à s o u t e n i r sa m è r e à la s u r f a c e pendant q u e l q u e s
i n s t a n t s , m a i s b i e n t ô t à bout de forcos, il
c o u l i à pic a v e c elle. A ce m o m e n t heur e u s e m e n t les d o u a n i e r s a r r i v è r e n t et
r é u s s i r e n t à les a c c r o c h e r a v e c le ir ligne
B r u n e i . Des s o i n s é n e r g i q u e s furent auss i t ô t p r o J i g u é s a Mme B u h a c , q u i ne donn a i t plus s i g n e de vie, et a p r è s q u e l q u e s
i n s t a n t s , on la vil, a v e c J o i e , r e p r e n d r e
ses sens.
Nous a d r e s s o n s a u x c o u r a g e u x
t e u r s toutes nos félicitations.
sauve-
Concarneau
Xi« fêi0 d a Oui. — X a
Comédie'
J F r M Ç A i f * à Conc»rue»u.
— Ce fut un
c o n t e des mille et une n u i l s q u e la f(He du
Gui dans le grand p a r c de Kériolct. Tout
y a c o n t r i b u é , un g r a c i e u x site, un l e m p s
s u p e r b e , une foule n o m b r e u s e et c h o i s i e
aux é l é g a a t e s toilettes de nos j o l i e s tour i s t e s a u x q u e l l e s se m ê l a i e n t a g r é a b l e m e n t les coifres et les c o l l e r e t t e s de dentelle de non m o i n s j o l i e s p a y s a n n e s des
cantons environnants.
Le p a r c , dès son o u v e r t u r e , e s t sillonné
p a r les n o m b r e u x c o s t u m e s b r e t o n s m o d e r n e s et a n c i e n s , c ' e s t un c h a t o i e m e n t
de b r o d e r i e s d'or et d'argent, les r u b a n s
et les c o l l e r e t t e s f r é m i s s e n t au vent, les
b r o d e r i e s r o u g e s , v e r t e s et bleues sont
d e s plus p i t t o r e s q u e s et la noce b r e t o n n e
f o r m é e d'une v i n g t a i n e de c o u p l e s c o m m e n c e à défiler au son des binious et fanf a r e s de t r o m p e s . C'est bien l'Ame bretonne |[qui é m a n e de t o u t e s c e s c h o s e s
v i e i l l e s ou n e u v e s . C'est la bravoure dans
l e s b r o g o u s - b r a z ; elle a p p a r a î t e n c o r e dans
les duuses r y t h m é e s au c a r a c t è r e s é r i e u x
et que nous avons j a l o u s e m e n t gardés.
Dans les c o i n s o m b r a g é s du parc, on
r e n c o n t r e de n o m b r e u s e s c o n s t r u c t i o n s
r u s t i q u e s où les d a m e s de Concarneau
q u i ont eu la g r a c i e u s e idée de r e v ê t i r
le c o s t u m e b r e t o n , v e n d e n t le d é l i c i e u x
c i d r e de F o u e s n a n t , des s a n d w i c h s au
pain de seigle et des c r ê p e s b r e t o n n e s ,
e t c . P l u s loin, c e sont des h u t t e s r e m p l i e s
de fleurs de gui, d'épingles b r e t o n n e s et
a u t r e s a c c e s s o i r e s de la fôte.
En a v a n ç a n t v e r s le nord du p a r c a u x
a b o r d s d'un c h e m i n c o u v e r t , se t r o u v e
un vallon où coule un m i n c e r u i s s e a u ,
boisé en m a s s e du c ô t é de la r o u l e . C'est
dans c e c a d r e m e r v e i l l e u x et o m b r a g é
q u e c e t r o u v a i t d r e s s é e la s c è n e où s'est
déroulée c e t t e p i è c e de M. de B e r n i e r La
Fille de
Roland.
T o u s les a c t e u r s ont a d m i r a b l e m e n t
i n t e r p r ê t é leur rôle, ils ont été f r é q u e m m e n t applaudis et r a p p e l é s , e t tout le
p u b l i c qui a eu le b o n h e u r d ' a s s i s t e r à
cette représentation
g a r d e r a un
long
s o u v e n i r de ce théiltre en plein a i r d e r r i è r e lequel se profilaient a r b r e s
et
vieilles t o u r s .
Nous ne dirons J a m a i s assez c o m b i e n
Mlle .Tane Delvais, r e p r é s e n t a n t la n i è c e
de Charlemagne, a tenu tout l'auditoire
sous le c i i a r m e ' i n c o m p a r a b l e de son
talent, d r a p é e dans sa r o b e de drap d'or,
elle a été p a r m o m e n t j u s q u ' a u s u b l i m e
dans son rôle. M. Alexandre, dans le r'ôle
de Gérai a été m e r v e i l l e u x a u s s i . Ces
deux a r t i s t e s surtout ont"été a c c l a m é s et
c o u v e r t s de fleurs p.ar les s p e c t a t e u r s .
La r e p r é s e n t a t i o n t e r m i n é e , le p u b l i c a
rappelé les a c t e u r s et leur a fait une
ovation d e s p l u s c h a l e u r e u s e et des plus
m é r i t é e , p o u r n o u s a v o i r fait p a s s e r des
m i n u t e s e.xquises trop rapides à notre
gré.
Nous a j o u t o n s q u e les c o n c o u r s de c o s t u m e s et d'enfants s a n s o u b l i e r les c o n c o u r s de d a n s e s , e u r e n t un v é r i t a b l e
s u c c è s et q u e les a p p a r e i l s photographiq u e s n'ont p a s c h ô m é en ce m o m e n t .
A s s i s t a i e n t à la féte, MM. Chaleil, p r é fet ; F e n o u x , s é n a t e u r ; Bouquet-Nadaud,
s e c r é t a i r e général ; Roger, c h e f d e c a b i n e t .
Nous a d r e s s o n s toutes nos félicitations
a u x o r g a n i s a t e u r s de la fêle qui a été des
plus r é u s s i e .
Voici les r é s u l t a t s des difterenls
cours :
con-
Concours de costumes. — Hommes : 1" prix
20 fr., à François Guyader, de Concarneau ; 215 francs, a Pelleter, de Beuzec-Conq ; 3*, 10 fr.
a Laurent Aringuet de Ponl-Aven ; i», 5 francs,
à Oaïfl'as, de Concarneau.
Femmes ; 1" prix, 20 francs, h Mme Ilerlédan, de Ponl-Aven ; 2% 15 francs, à Mme Cliavigny, de Brest ;
10 francs à .Mlle Louise
Uospape, de Concarneau ; 4', 5 francs, a Mme
Ménorval, de Beuzec-Conq .5% 5 francs, à Mlle
Pelleter, de Beuzec-Conq.
Costumes d'enfanls. — Allanic, iferlédan et
Gaonac'h.
Concoui-s de Danses. — 1" prix, Mme Guyader et M. Louis Guyader, de Beuzec-Conq ;
•>' prix, Mme Herlédan, de Pont-Aven, et M.
François Le Goc, de Rosporden ; 3- prix,
Groupe-Troalen, d'Elliant ; 4» prix. Groupe
Pelleter, de Beuzec-Conq ; 5* prix. Groupe
Guillermou. de Beuzec-Conq.
Incendie.
— V e r s deux h e u r e s du m a lin, dans la nuit du 10 au 11 c o u r a n t , les
h a b i t a n t s é t a i e n t r é v e i l l é p a r le clairon
d'alarme. Le feu venait de p r e n d r e dans
l'usine de Mme P é n a n r o s cadet, dans un
l a s de c a i s s e s . Le l i e u t e n a n t Le T e n d r e
dirigeait les s e c o u r s q u i f u r e n t p r o m p t e m e n l o r g a n i s é s et au bout de peu de t e m p s
le feu fut c i r c o n s c r i t . T r e n t e mille boîtes
de s a r d i n e s et de Ihon ont été e n d o m m a gées.
Avia. — Le Maire de Concarneau inform e s e s a d m i n i s t r é s q u e le marr^hédu vendredi 15 en raison de la fête de ce j o u r est
a v a n c é au j e u d i 14.
La Sécurité des vieux jours,
Le travailleur le plus modeste peut l'obtenir
comme le fonctionnaire, s'il veut s'imposer
une légère retenue sur son gain journalier
pour se constituer une retraite, c'est-à-dire une
renie viagère, qu'il touchera à partir du jour
(ju'il s'est assigné pour le repos. Mais une
telle opération doit filre faite avec une prudence absolue, et pour cela il est nécessaire de
ne s'adresser (ju'à une Société de tout premier
ordre, comme « L e P h é n i x » (enlreprise privée assujettie au contrôle de ri'^tat), l'une des
Compagnies d'assnranoes les plusancienno.s cl
les |)lns honorablement coniuics.
'
S'adresser au Siège social, à Paris, rue Laffayclle,
ou aux Agents généraux.
M. Yves David, agent géniM-al, boulevard do
la Gare, Quiniporlé.
St-Goazec
Vol d'nn billet de lOOfr.
— Pendant
l'absence des é p o u x Autret un m a l f a i t e u r
s'est introduit dans leur maison la porte
n ' é t a n t f e r m é e qu'au v e r r o u et a dérobé
dans l ' a r m o i r e un billet de 100 fr. Les
é p o u x Autret s o u p ç o n n e n t un individu
q u ' i l s ont s u r p r i s chez eux au m o m e n t où
ils e n t r a i e n t ; c e dernier p r é l e n d i t qu'au
m o m e n t où il e n t r a i t un j e u n e garçon
sortait de la m a i s o n .
Onésime RECLi;s
Atlas de la plus Grande France
160 planches in-i-jen couleurs et IfiO pages de
texte, en 20 livraisons. Paris Attinger livr.?s,
éditeurs, 2, rue Antoine-Dubois, mise en
vente de la sixième livraison.
La librairie Attinger frères vieni do inollre
en vente la n» livraison de l'Atlas de la idus
urande France, l'ouvrage en cours du maître
Onësime Reclus. 11 aborde cette l'ois le groupe
des régions Normande cl Parisienne L ne promiè-e carte, d'ordre physique, en montre
l'unité ; puis la région Normande, son èvolution économique vers l'élevage et l'indiistrie
sont étudiées séparément. Lu part l'aile aux
récentes exploitations du minorai de l'er montre avec quel scrupule d'actualité ces cartes
sont établies. La livraison contient, en outre,
les départements de la Corse, de la Côte-d'Or,
des Cûtes-du-Nord, do la Creuse. Le,texlo,
fortement documenté >.'1 accompagné de cartons schématiques, ne le cède en rien
l'artisque et scienlillque cartographie.
CHEMINS DE F E R DE L ' É T A T
o-S-o
QUIDESILLDSTRÉSDESBÂIliSDEMERETEXGOBSIOHS
DO BÉSE&D D'. L'ETÂT
-)0(Au m o m e n t des V a c a n c e s et des d é p a r t s
p o u r la c a m p a g n e e l les B a i n s de Mer,
l'Administration des C h e m i n s de F e r de
l'Elat a l ' h o n n e u r de rappeler à MM. les
v o y a g e u r s que, pour leur faciliter le choix
d'une villégiature, elle met en vente deux
Guides I l l u s l r é s d e son Réseau l'un relatif
aux lignes de Normandie et de Hrelagne,
l'uulre aux Lignes du Sud-Ouesl :
Ces deux guides, sous c o u v e r t u r e s artistiques el illustrées de n o m b r e u s e s g r a vures, c o n l i e n n e n l les r e n s e i g n e m e n t s les
plus utiles tels q u e : la description des
sites et lieux d ' e x c u r s i o n — les principaux horaires des trains — les prix des
billels de bains de m e r e l d'excursion —
le tableau des m a r é e s — les c a r i e s du littoral — des plans de Villes — une liste
d'Hôtels, R e s t a u r a n t s , e t c . . .
'
Le Guide des Lignes de Normandie el de
B r e t a g n e est m i s en v e n t e au prix de
G fr. 50 et celui des Lignes du Sud-Ouest
au p r i x de G fr. 30 dans les b i b l i o l h è q u e s
des g a r e s du R é s e a u , dans les bureaux
de Ville et les p r i n c i p a l e s Agences de
Voyages de Paris.
Ces deux p u b l i c a t i o n s sont é g a l e m e n t
adressées,
ensemble
ou
séparément,
f r a n c o à domicile, c o n t r e l'envoi de leur
valeur, en l i i n b r e s - p o s l e nu S e c r é t a r i a t
des Chenùiis de fer de l'I'.tal (Publicité),
20, rue de Rome, à Paris.
L ' h o m m e qui a un bon e s t o m a c n'y
pense J a m a i s II m a n g e ce qu'il lui plaît el
trouve bon c e qu'il mange. Celui qui a un
mauvais e s t o m a c mange r a r e m e n t ce qui
lui plaît et ne trouve J a m a i s bon ce qu'il
m a n g e . Son e s t o m a c le t r a c a s s e avant,
pendant, et après les r e p a s . C'est une
o b s e s s i o n . Les Pilules Pink s o n t là p o u r
v o u s r e d o n n e r le b o n h e u r de bien digérer.
Elles v i e n n e n t de rendre ce b o n h e u r à
M. Paul Potet, garçon boucher, chez M.
Vaugin-Debaut à .luniville (Ardennes;. Il
écrit :
Couraes.
— D i m a n c h e dernier, se sont
d i s p u t é e s s u r l'hippodrome du Ris, les
c o u r s e s de Douarnenez dont voici les r é sultats :
u c i t e:
Chaque boîte 1 k i l o g r a m m e b r u t ou
net, Sucre de luxe Chantenay,
c h a q u e boîte
1 k i l o g r a m m e b r u t ou net, Sucre
scié
rangé
Chantenay,
carton cuir,
boîtes
b r u n e s (genre Paris), c o n t i e n t un tickel
prime.
30 t i c k e t s p r i m e d o n n e n t droit ii 1 kil o g r a m m e b r u t ou n e t Sucre
Chantenay.
Le Sucre'Chantenay
e s t le p l u s ,blanc,
le p l u s p u r , s u c r e le m i e u x .
LA
HIRNIE
LA NOUVELLE DÉCOUVERTE
de M. A . C L A V E R I E
le grand Spécialiste de Paris
La henrnie a été longtemps considérée
comme une iiilirmilé incurable, mais les blessés ne doivent plus aujourd'hui souflrir de
leur hornie depuis la belle découverte de
M. A . C L A V E R I E , le grand Spécialiste de
P.iris ot depuis les perfectionnements nonveaux (ju'il il (liM'ni"''roment apporir-; .'i ses
Hi. rveilk'ux appareils lirevelés.
(ir.'ire à une iiivenlioii récente, il n'est pas
de hernie (|ui n'si^le à l'action de cos incomparables cniatiinis.
Son nouvol Appareil à ceinture renforcée
i;l, à pelote " N A T U R A '' permcl aux personnes, même se livrant aux plus pénibles
méliors, d'oblenlr sans gone la disparilion dos
liornios les plus volumineuses et les plus
glissantes.
!.a valeur inoslimahlo de celle innovation
vient d'ôtre (consacrée par un Grand P r i x a
rKxposilioii anglo-laline de Londres on raison
(le la portée humanitaire do colle belle décôuverto.
On sait que M. A. C L A V E R I E a organisé
depuis longtemps dans noire région des voyages réguliers pour permettre aux p-3r.>o:ines
s^oufl'ranl de Hernies, Efforts, Descentes,
etc., de profiler des avantages de sa méthode
el d'échapper ainsi aux manœuvres des faux
spécialistes.
Aussi nous con^seillons vivement à nos Lecteurs de rendre visite à l'éminenl Spécialiste
qui recevra de 9 h. à 5 h. en donnant à chacun
les conseils el renseignements désirés h :
LORIENT, Dimanche 17 août, llôlel de Bretagne.
QUIMPER, Mercredi 20. llôlel de l'Epée.
CHATEAULIN, Jeudi 21, llôlel de la Grand'MaiHon.
QUIMPERLE, vendredi 22, Hôtel du Lion d'Or.
CARHAIX,. samedi 23, llôlel de France.
Le " Traité de la Hernie " par A . C L A V E R I E el le " Livre d'Or " des preuves de
guérison sont envoyés graluilement el discrètement sur demande à M. A. C L A V E R I E ,
234, Faub. Si-Martin, a Paris.
Tribunal correctionnel de Quimper
Clohars-Fouesnant, — Clorennec Corentin,
2'.i ans, au Dreiuiec, est condamné i 50 fr.
d'umondo avec .surfis pour coups cl olessures
sur la pe-rsonne de la l'emnie (Juillou.
Fouesnant. — .lourdain Yves, "lO ans, est
condamné à 8 jours do prisou avuc sursis
pour avoir à l'aide d'un vern; qu'il tenait à la
main, hlessé grièvement Urien François, laitleur de pierres.
Quimper. — Terrier .lean-.Marie, :J8 ans,
plâtrier, a voyagé sans billet de GhiUoaulin à
•Quinipor. Coût : 25 l'r. d'amende.
Douarnenez. — B..., ébéniste, se présentant
eu étal d'ivresse chez son .père qu'il frappa, ce
dornier ne voulant pas lui donner à boire, est
appréhendé pour ce fait, il est condamné à 25
fr. d'amende.
Plogoff. — Poulhazan Jean, 52 ans, de Trogor, esl condamné à IG fr. d'amende pour
avoir laissé son chien chas.sesur ses propriétés.
Quimper. — LeI'aure Hoger, 20 ans. carrossier, est condamné à i mois d'emji ijonnemonl pour vol de chaussures au préjudice de
Mme Le Gall.
HERmr
Le bonheur de bien digérer
Douarnuuc z
1" Course, au trot monté. — 1" Illico, ii M.
Le Bihan, Melgven ; 2 " Ibil Heux, à M. de
Richemonl, (Juimperle ; 3*, Hergère, i\ M. Gargadi'nnec, Pont-Croix ; 4", Illico, à .M. Le
Brozec, Moëlan.
2', Au galop. — 1" prix, Marlin, a .M. Le Lay,
Scaër ; 2-, llanla, à M. Nédellec, Guongat ; 3',
l'ctite, a M. Quiniou, Douarnenez ; 4", Polémon, à M. Grall, Quimper.
3', Au trot monté. — 1" prix, Ilim, ii M. Ollivier, Plouvan ; 2*, Ibil lieux, il M. de Richemonl, Quim perlé ; 3',//<tco, à M. Le Bihan,
Melgven ; 4*, Bergère, à M. Gargadennec,
Pont-Croix.
4", Course de haies. — 1" prix, Marlin, a M.
Le Lay, Sca^r ; 2», La Baslide II, a M. Nédel
lec, Guengal ; 3% Canis Belli, à M. Bellec Jean,
Landivisiau.
5' Au trot aHelé. — 1" prix, Ibil Deux, à M.
de Richemonl, Quimperlé ; 2», Illico, a M. Le
Bihan, Melgven ; 3', Bergère, h M. Gargadennec, Pont-Croix.
(j*, Sleeple-chase. — 1" prix, llasda, a M. Nédellec, Guengat ; 2', Martin, à M l.e Lay,
Scaër ; 3*, Canin Belli, a M. Bellec Jean, Landivisiau.
I
.
« Vos Pilules Pink viL-nneiil d f l l V o i u e r
une r e m a r q u a b l e c u r e . Elles ont guéri
mon m a u v a i s e s t o m a c et m'ont l'ail ret r o u v e r des digestions p a r f a i t e s . Il était
v r a i m e n t t e m p s pour moi de prendre vos
Pilules, c a r tous les a u t r e s r e m è d e s ayant
é c h o u é , m a santé n'était v r a i m e n t pas
brillante. Comme J e m ' a l i m e n t a i s
très
mal, que la n o u r r i t u r e ne me profilait
pas. J ' é t a i s afl'aibli el, pour peu q u e la
maladie d ' e s t o m a c eût duré e n c o r e . J e m e
s e r a i s p r o b a b l e m e n t vu dans l'obligation
.le c e s s e r de travailler par man(iùe de
forces. Dès q u e J'ai eu pris vos Pilules, J e
m e suis senti m i e u x . Les c r a m p e s d'estom a c sont devenues plus r a r e s et, a p r è s
les r e p a s . J e n'ai i)lus resisenli c e l l e imp r e s s i o n de m a l a i s e général ipii, a u p a r a v a n t , durait tant que durait la digestion.
Aujourd'hui, j e suis tout à fait bien et
j ' a i r e p r i s des forces. »
Les Pilules Pink r é g é n è r e n t le sang, tonifient les n e r f s , elles sont s o u v e r a i n e s
c o n t r e l'anémie, la c h l o r o s e des j e u n e s
filles, les m a u x d ' e s t o m a c , la f a i b l e s s e
g é n é r a l e , la n e u r a s t h é n i e .
Elles sont en v e n t e dans toutes les
Pharmacies cl au dépôt. P h a r m a c i e Ga)lin, 23, r u e Rallu, Paris : 3 fr. 50 la boîte ;
17 fr. 50 les 6 boîtes, f r a n c o .
MEMBUe DU JUflY »t HORS CONCOURS
N'ouhi portez un baialage a ressorl (]ui vous
lorturo el cpii, laissant glisser votre hernie,
écrase rintesUn sous la polote. Vous le remplacez alors par un bandage plus souple dont
la puissance est nulle et qui s'allonge démesurément au bout do quel(iuo lemps. Votre
horiiie n'est Jamais maintenue et vous redoutez rélranglonieul fatal. C'est pour vous
la souH'rance physique, agg'-avée par la torture morale. Kh hien, il existe un appareil
sans ressort cl sans caoutchouc, invonlo jiar
.M. C.LASF.H, spécialiste do Paris.
Sans ressort, il est si souple et si léger que
les peisonnes UJS plus dciicates pouvont le
porter Jour el nuil sans gêne. On peut al'lirnior (pie la ceinlure esl presiiuo inusable el
sa puissance est tollo. qu'il immobilise railiculcuioiit les hei'iiies les plus volumineuses,
los plus u'oliollos. Ajoutons qu'un système
siM'cial donne à cet appariùl uno puissance
.rflasticilé précieuse el oonslaule et c'est là
lo secret do colle uiorvoillouscî invention. Nous
u'iiislstons pa- davantage. Lo doute esl bien
l'eruiis à ceux qui onl éprouvé des déceptions
conllnuollos.
nu'ils viennent donc essayer cet appareil.
Ils pouri'ont ainsi se convaincre i]ue le soulagement est Immédiat, ol il leur sera démontré
(|uo .irràco a la contention radicale ot parfaite,
tout espoir (le guérison n'est jamais perdu,
KH roici une preuve ;
19 avril liU;?.
" .Mon.sieur CLASKIi.
.le suis heureux de vous annoncer (j'ie nia
hernie a complètement disparu gràco a l'usage
de votre morveilloux appareil.
" .l'ai obtenu ce résultat malgré l'ancienneté
do ma hernie et je vous autorise a publier ma
lettre dans l'iulérôt de ceux qui soull'ronl.
" N'otro bien reconnaissant.
MA HT a ET NOËL,
à Plemeur-Bodou
par Lannion (Côles-du-Nord).
Aussi !;engagcons-nous vivement tontes les
personnes atteinles de hernios, etl'orts et descentes (hommes, femmes el eni'anls), venir
essayer cet appareil à ;
PONT-L'ABBÉ, le l iaoùl. Hôtel du Lion d'Or,
QUIMPER, lo 15 .août. Hôtel de VEpé,
QUIMPERLÉ, le K; août. Hôtel du Lion d'Or
el des \'o!/ageun>.
LORIENT, lo ir août, llôlel de Bretagne.
Pour é\ ilor l'élranglomenl dos hernies, doniander l;i brochure gratuite i'i .M. tiL.ASKIt
lioulevard Sébastopol, ;J8, à Pans.
Q u î m p o r l é . — Foire
du II Août.
—
T a u r e a u x , le kilo., G.OO à O.Gô ; b œ u f s de
boucherie, 0.75 ti G.SO ; v a c h e s de b o u c h e r i e
0.(30 à. 0.05 ; b œ u f s de travail, "ordinaire
bouvillons, 50 à G5 fr. ; v a c h e s l a i t i è r e s ,
145 k 3 1 5 ; g é n i s s e s , 119 à 3 0 0 ; c h e v a u x , très'
élevé ; p o r c s , 1.10 à 1.20 le kil. ; m o u l o n s ,
0.85 à 0.90; v e a u x , 0.00 à l.GO f r . ; f r o m e n t ,
25.»» à, 26.»» ; seigle, 17.»» à 18.»» ;
orge, 17.»» à 18.»» ; s a r r a s i n , 22.»» à
23.»» ; avoine, 20.»» à 21.»» ; p o m m e s
de t e r r e
les 100 kil., 6.»» à 8.»» ;
b e u r r e le kil,, 1.90 à 2.80 ; œ u f s la douz.,
0.90 à 1.10 ; foin, les 500 kil, 35.»» à 38.»» ;
paille, les 500 kil., 3(5.»» à 35.»» ? son, l e s
100 kil., 17.»» à 18.»» ; f a r i n e , 1 " q u a l i t é ,
3.^.»» à .36.»» ; 2« q u a l i t é , 32.»» à 33 f r .
AVIS
DE
CONVOI
Vous
prié d ' a s s i s l e r au convoi
e l à la c.orr'monie funèi)re de
Mme Vve C. LE GOC
Née Marie-Anne LE GUERNEC
• 'éoAdée à Quimperlé, le Mardi 12
Août 1913, dans sa 4S« a n n é e , munie des s a c r e m e n t s de l'église.
La c é r é m o n i e r e l i g i e u s e a u r a lieu
en l'église p a r o i s s i a l e de NotreDame de r.Xssomplion d e Q u i m p e r l é ,
le J e u d i 14 Août 1913, à 9 h e u r e s 1/2
du matin.
Le deuil se r é u n i r a à la m a i s o n
m o r l u a i r e , rue ilu Couédic, n" 4.
De profundis
!...
L)<. LA P A R T D E S F A M I L L E S
LE (LUERNEC, L E G o c e t
TRÉGUIER
jM
Eludes de IW" Bot, avoué à Q u i m perlé, rue S a v a r y ( a n c i e n n e Grand'
Hue), n" 20, et de W Barbe, notaire à Moëlan.
VENTE
Par
Licitation
LE JEUDI 11 SEPTEMBRE 1 9 1 3
a une heure de l'après-midi
E N L ' É T U D E E T PAR L E M I N I S T È R E
DE M' B A R B E
NOTAIRE
A
MOËLAN
D'UNE P E T I T E
P R O P R I É T É
Sise
aux lieux
dita
KERANORÉO et LE HUERNE ou LE VERN
Eu la Cuaiinunc de HIOEL.W
EN UN
LOT
& SDR LÀ MISS i PâiX DS 1.400 Ir.
11 sera, au.K lieu. J o u r el heure s u s indiqués, procédé à l'adjudication,
au plus offrant et d e r n i e r e n c h é r i s s e u r de la propriété dont la d é s i gnation suit :
DÉSIGNATION :
Di'parlement du
Finistère.
Arrondissement
de
Quimperlé.
Canton de.
Ponl-Aven.
Commune de
Moëlan.
Aux lieux dits JKerandréo
et he
Muern
ou Le
Vern.
1» Un PrédilPrat-arVern-bihan,
donnant du nord s u r r o u l e de Moëlan
ù. Quimperlé, de l'est s u r t e r r e à
Quenlel, de l'ouest '•ur t e r r e à Vve
Pézennec e l du midi s u r r o u l e , figur a n t au c a d a s t r e sous le n» 6 p. de
la section E. de la c o m m u n e de
Moëlan, lieu dit Kerandréo, p o u r
une c o n t e n a n c e de 5 a r e s .
2° Une pièce
de terre
labourable
dite iMnnec
Prat-ar-Vernbilion, donnant du nord s u r t e r r e s à
(iarrec, de l'ouest s u r terre à P i e r r e
Le Doze, du midi s u r route de
Moëlan à Quimperlé, figurant au c a dastre sous le n" 10 de la section E
de la c o m m u n e de .Moëlan, lieu dit
Kerandréo, pour une c o n t e n a n c e de
4 a r e s 30 c e n t i a r e s .
3" Une JMaison
el écurie d'allac h e , c o u v e r l e s en c h a u m e , figurant
au c a d a s t r e ^ous le n" 435 de la section D (le la c o m m u n e de Moëlan,
lieu dit le Huern ou le V e r n .
4° Une pièce
de terre
labourable,
dite. Lannec-ar-Vern,
donnant du nord et du sud s u r t e r r e s à
J o s e p h Capitaine, de l'est s u r t e r r e
à Pierre Le Doze et de l'ouest s u r
t e r r e s à J o s e p h C ipitaine, tigurant
au c a d a s t r e sous le n" 435 de Ta s e c lion D de la c o m m u n e de Moëlan,
lieu dil le Huern ou le Vern p o u r
une c o n t e n a n c e de 10 a r e s (50 cenliar.'S.
•Ili-sc à p r i x tlxée p a r l e tribunal :
i. 100 fr.
Celle vente est p o u r s u i v i e en
e x c c u l i o n d'un j u g e m e n t du t r i b u nal civil de Quimperlé en date du 2
j u i l l e t 1913, e n r e g i s t r é et signifié,
rendu conlradiclo'irement.
Entre :
Mademoiselle Adélaïde Le Bloa,
m é n a g è r e , d e m e u r a n t au b o u r g de
.Moëlan.
D e m a n d e r e s s e ayant p o u r a v o u é
M' BOT, d e m e u r a n t à Quimperlé,
rue Savary, n» 20.
Et :
1° Mme .Marie-Julienne Malcoste,
veuve de M. P i e r r e Le lUoa, j o u r n a 1 i ère, ( le m eu ran l au I )o urg d e Moëlan,
en nom j e r s o n n e l au besoin e l en sa
qualité de tutrice naturelle et légale
de P i e r r e , Y v e s et Fran(;oise Le
Bloa, s e s trois e n f a n t s m i n e u r s n é s
de son union avec ledit P i e r r e Le
Hloa et domiciliés de droit avec elle.
Défenderesse a y a n t pour a v o u é
M" PITON, d e m e u r a n t h Quimperlé,
rue de Quimper, n" 12 ;
2° M. J o s e p h Le Bloa, c u l t i v a t e u r ,
domicilié à Clerc'h-Burtul, c o m m u n e
de Moëlan ;
3» M. X a v i e r Le Bloa, c u l t i v a t e u r ,
domiçilié à Goat-du-Miny, c o m m u n e
de R i e c - s u r - B é l o n ;
4» Mme J e a n n e - L o u i s e Le Bloa,
ménagère, épouse sous l'assistance
Marchi aux Bestiaux de la Villette
Coiiri^dii lundi 1 1 Août 101
ESPÈCES
Bœufs
"Vaches
Taureaux
Veaux
Porcs
Amenés
Invendus
2.520
1.259
246
1.008
4.122
50
30
Poids moyen
409
350
484
ô
19
»»
96
120
Poids vif, Prix au kilo
ESPÈCES
Bœufs
Vaches
Taureaux...
Veaux
Porcs
A. DEMARTHE
Dentiste
Diplômé
4, rue Thiers — QUIMPERLÉ
0.03 à 1.09
0.03 1.10
0.01 0.81
0.95 1.50
1.30 1.40
1 04
1 00
75
1 44
1 39
0
0
0
1
1
89
90
75
38
38
0
0
0
1
1
80
81
70
15
3i
A toutes les personnes atteintes cl'asthino, de
catarrhe, d'oppression, de toux grasse et opiniù
tre (suites de bronchites) nous conseillons la
Poudre Louis I.egras. Klle calme toujours instantanément l'oppression, les crises d'asthme,
la suirocation et l'essoufflement des emphysémateux. Le soulagement est obtenu en moins
d'une minute et la guérison vient progressivement. Une boîte est expédiée contre mandat de
2 fr. 10 adressé i\ Louis Legras", Bd .Magenta à
Paris.
et l'autorité de M. Louis Goanvic,
manœuvre, avec lequel elle demeure
au bourg de Tréguno ;
5» M, Louis Goanvic, manœuvre,
demeurant au bourg de Trègunc, en
nom personnel et pour assister et
autoriser la dame Jeanne-Louise Le
Bloa, son épouse.
• Ces derniers défendeurs ayant
pour avoué M» BOT, sus-nommé.
Cette vente aura lieu en présence
ou lui dûment appelé de M. .Alain
Madic, cultivateur, demeurant à
Kergonstance, commune de Moëlan,
subrogé-tuteur desdits mineurs Le
Bloa. •
Outre les clauses et conditions insérées au cahier des charges dressé
pour parvenir à la vente et déposé
en l'étude de M» B.-VllBb:, notaire îi
Moëlan, où toute personne peut en
prendre communication, la propriété
ci-dessus désignée sera vendue en
un lot, telle qu'elle est décrite plus
haut, au plus offrant et dernier enchérisseur, eten l'étude de M» B.vUBt:
le jeudi 11 septembre 1913, à une
heure de l'après-midi, sur la m i s e
h prix de 1 . 4 0 0 fk*.
Pour plus amples renseignements
voir le cahier des charges ou s'adresser à M« BOT, avoué poursuivant.
Quimperlé, le 13 août 1913.
L'avoué
pourmivaut,
Em. BOT.
Etude de Wi» Em. Bot, avoué à
Quimperlé, rue S i v a r y , (ancienne
Graid'Rue), n» 20.
V E N T E
JPar
Licitation
LE M E R C R E D 1 1 0 SEPTEMBRE 1913
à 1 heure de l'après-midi
A l'Audience de» Criées du Tribunal
Civil de Quimperlé, au Palais de Justice, sis place Nationale (audience des
vacations).
U PROPRIÉTÉ
DE KERAÎ\'V;AR«AM
En la Cuininuuc de Mel^ven
EN UN LOT
& SOR Là MISE k PRIX BE 40.000 Fii.
Il sera, aux lieu. Jour et heure susindi( ués, procédé ii l'adjudication
au p us oll'rant et dernier enchérisseur de la propriété dont la désignation suit :
DÉSIGNATION :
Département du Finistère ;
Arrondissement
de Quimperlé ;
Canton de Bannalec ;
Commune de Meli/ven ;
Au lieu dit
Kerangargam.
Article premier. — Une
Maison
neuve, construite en pierres, couverte en ardoises, ouvrant au midi
p'arune porte et deux fenêtres au rezde-chaussée, trois fenêtres au premier étage, trois fenêtres au grenier et ouvrant au nord par une
porte et deux fenêtres au rez-dechaussée et trois fenêtres au premier étage. Elle comprend en soussol deux caves, quatre pièces au
rez-de-chaussée, quatre pièces et
un cabinet au premier étage, vaste
grenier au-dessus.
Art. 2. — Une vieille
maison,
avec appentis
derrière, construite
en pierres, couverte en ardoises,
ouvrant au midi par une porte et
deux fenêtres au r«zde-cliaussée
et trois fenêtres au grenier.
Art. 3. — En retour de la maison
article'lî ci-dessus, n u e
petite
crèche en ruines.
Art. 4. — Un puits avec auge en
pierre.
Art. 5. — Un bâtiment
construit
en pierres, couvert en ardoises, divise en deux par un mur de refends, servant d'écurie et ouvrant
au nord par une porte et un portail
en bois, grenier à foin au-dessus.
Art. 6. — Un autre
bâtiment
construit en pierres, couvert en
chaume, servant d'étahle, ouvrant
au nord par deux portes, grenier à
foin au-dessus.
Art. 7. — Une grange
neuve
construite en pierres, couverte en
ardoises, avec grenier à foin audessus, ouvrant à l'ouest par deux
42, Place Saint-Michel Q U I M P E R L E
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Art. 8. — Une Cour
entre les contenance de 3 ha. 32 a. 29 ca. Joibâtiments désignés sous les articles gnant du nord la route de Concar1, 2, 3, 5 et G.
neau à Rosporden, de l'est la route
.\rt. 9. — Une grande aire à de Cadol à Melgven, du sud le n° 49
battre
dans laquelle il existe un ci-dessus et de l'ouest chemin. Foshangar, construit en pierres et sés au cerne sauf au sud.
couvert eij chaume, et un four en
Art. 22. — Une pièce
de terre
ruines.
en nature de lande dite
Froslac'li,
Art. 10. — Un courtil
dit Liors- ligurant au cadastre sous le n" 448
Moan-Alleur.
de la section A, pour une contenance
Art. 11. — Trois courtils
réunis de 8 a. 11 ca. A cette parcelle a été
dits ar-jardins,
Hors-draon-anty
et annexé le sol de l'ancienne route
liors-ar-puns.
L'ensemble des ,'arti- de Concarneau à Rosporden, mais
ticles ci-dessus désignés figurant aussi une portion dudit n" 448 a dû
au cadastre sous les n"' 29, 30, 31, être prélevée pour la rectification
32, 33, 34, 35 et 30 de la section M, de la route. L'ensemble joignant du
de la commune de Melgven, pour nord le n" 449 à la ville de Concarune contenance totale de 55 a. 85 ca'. neau et un chemin, du sud la route
et a ses fossés au cerne.
de Concarneau à Rosporden et de
Art. 12. — Une parcelle
de l'ouest le n" 449 ci-dessus.
terre labourable
composée de la
Art. 23. — Une parcelle
de
réunion des parcelles dites
al-leurterre
en nature de prairie dite
(juer L" 20, ar-scoudouec
n" 27, et
Foënnec-poul-kézec,
figurant au cajardin-scoudouec
n" 28, de la section
dastre sous le n" 452 de la section A,
AI, du cadastre de la commune de
pour une contenance de 20 a. 13 ca.
Melgven, pour une contenance toJoignant du nord prairie à la ville
tale d'après le cadastre de 1 h. 48 a.
de Concarneau, de l'est un petit va99 ca., ayant ses clôtures au cerne,
gue, du sud la route de Concarneau
sauf partie au sud bout est. Joignant
à Rosporden, de l'ouest le n»] 455 p.
du nord les n»» 30, 29 et 28 du cah. la ville de Concarneau. Fossés au
dastre, de l'est chemin, du sud Gourcerne sauf an nord.
melin. Pelleter et Mme Vve KerArt. 24.
Une pièce
de terre
guélen, de l'ouest Le Beuse.
Poullou.\rt. i3. — Une pièce
de
terre en nature de lande dite
labourable
formee de la réunion r/ia:, figurant au cadastre sous partie
des parcelles dites Parc-an-allée
n" du n» 455 de la section A. joignant du
49, Parc-an-allée
n° 50 et
Coat-Parc- Nord le n" 454 dont partie aux venan-allée n" 51, de la section M, de la deurs et partie à la ville de Concarcommune de Melgven, poui une neau, de l'est le surplus du n» 4.ô5 h
contenance totale d après le cadastre la ville de Concarneau. du sud la
de 2 ha. 19 a. 4 ca., ayant ses clô- route de Concarneau à Rosporden
tures Jiu cerne, .loignant du nord le et de l'ouest Goiran. Fossés au nord
n» 47 du cadastre, de l'est la route a u s u d e t à l'ouest. Celte parcelle
tie Gadol à Melgven, du sud le n° 52 figurait au cadastre pour une contenance totale de 1 ha. 40 a. 54 ca.,
ci-après et de l'ouest chemin.
Art. 14. -— Une parcelle
de mais la ville de Concarneau en a
terre en nature de clieniui et en exproprié ime contenance de 55 a.
pal lie ])lanlée, ligurant au cadastre dans sa partie est.
Art. 25. — Une parcelle
de
sous le nom de nenl-d'anéach n" 52,
sous prairie dite
Foënnecde la section M, pour une contenance terre
ligurant au cadastre
tle 18 a. 17 ca Joignant du nord les Poullourdlaz,
n"" 50 et 51 ci-dessus, de l'est la sous partie du n» 454 de lasection A.
roule de Cadol à Melgven, du sud le Joignant du nord Hervé, du nordn» 53 ci après et de l'ouest chemin. est et de l'est le surplus du n» 454 k
Al. 15. — Une grande
pièce de la ville de Concarneau, du sud le
terre, actuellement divisée en deux n" 455 ci-dessus aux vendeurs, et de
par un fossé, sous carrière, lande l'ouest Goiran. F o s s é s à l'ouesL Cette
et terre labourable, dite
Parc-ar- parcelle figurait au cadastre pour
Uroëz, ligurant au cadastre sous le une contenance totale de 03 a. 90 ca.
n" 53 de la section M, pour une mais la ville de Concarneau en a excontenance de 2 ha. 42 a. 8 ca. Joi- proprié une contenance de 32 a.
gnant du nord le n" .52 ci-dessus, 14 ca.
Art. 26. — Une parcelle
de
de l'est la roule de Cadol à Melgven,
du sud un ctiemin d'exploitation et terre dite Parc coz-d'antraon, partie
de l'ouest chemin. Pelleter, Le Gall sous lande et partie, sous prairie,
formée de la réunion des n " 13 et
et Gourmelin.
14 de la section M, pour une conteFossés au cerne sauf à l'ouest.
Art. 10. Une pièce de terre la- nance totale d'après le cadastre de
bourable
(Jile
(rostac'h-d'nnéac'h, 1 ha. 29 a. 06 ca. Joignant du nord la
llguraiit au cadastre sous le n" 232 route de Concarneau à Rosporden,
de la section M, pour une conte- de l'est les n " 15 et 16 ci-après, du
nance de 94 a. 05 ca. Joignant du sud le n" 17 ci-)iprès, et de l'ouest
nord le n" 231 ci-après, de l'est MM. Lé Beuze. Fosses sur la route.
Art. 27. — Une pièce
de
terre
de Lanascol et Jeannès, du sud
sous lande et pâture,
J e a n n è î , et de l'ouest la roule de labourable
formée de la réunion de deux parCadol à Melgven, fossés à l'ouesL
Parc-coz-coste-anArt. 17. — Une pièce
de
terre celles, l'une dile
hent-bras, au ca'Iastre sous le n° 15
labourable
dite
Parc-an-ilis,
rant au cadastre sous le n" 231 de la de la section M, pour une contesection M, pour une contenance de nance de 87 a. .31) ca. ; l'autre dite
1 lia. 98 a. 74 ca. Joignant du nord Parc-coz, au cadastre sous le n» 42
Le Beuze, de l'est de Lanascol, du de la section M, pour une contenance
sud le n" 232 ci-dessus, de l'ouest (le 1 ha. 18 a. 40 ca. L'ensemble joila route de Cadol h Melgven. Fossés gnant du nord la route de Concarneau à Rosporden et l'ancien cheil l'est au sud et à l'ouest.
Art. 18. — Un courtil,
dit liors- min annexé au n» 43 ci-après, de
parc-an-porz,
ligurant au cadastre l'est chemin, du sud les n»" 41 et 16
sous le n" 48 de la section M, pour ci-après, et de l'ouest le n" 14 ciune contenance de 2 a. 80 ca, Joi- dessus. Fossés au cerne sauf au
gnant du nord chemin et le n" 47 ci- sud.
après, de l'est le n" 47 ci-après et le
Art. 28.— Une parcelle
de terre
n" 49 ci-dessus, du sud et de l'ouest labourable
dite Parc - coz - créis,
chemin. Fossés sur les chemins.
ligurant au cadastre sous le n® 16
Art. 19. — Une parcelle
de de la section M, pour une conteterre
labou/rable
dite
Parc-an- nance de 1 ha. 5 a. 13 ca. Joignant
Porz, ligurant au cadastre sous le du nord le n" 15 ci-dessus, de l'est
n" 47 de la section M, pour une con- le n" 41 ci-après, du sud le n» 17 et
tenance do 1 ha. 91 a. 84 ca. Joignant de l'ouest les n"" 13 et 14 ci-dessus.
du nord le n" 40 ci-après, de l'est la Fossés au nord et à l'ouest.
route de Cadol à Melgven, du sud
Art. 29.
Une grande
parcelle
les n»* 49 ci-dessus et de l'ouest de terre labourable
formée de la
chemin et partie du n" 48. Fossés réunion de deux parcelles, l'une dite
au cerne sauf au sutl.
Parc-an-von,
au cadastre sous le
Art. 20. — Une
parcelle
de n" 41 de la section M, i)our une conterre
labourable
dite
Parc-alé- tenance de 1 lia. 40 a. 89 ca. ; l'autre
tan, figurant au cadastre sous le n» dile Parc-bilnin-pel. au,cadastre sous
40 de la section M, pour une conte- le n" 40 de la section M, pour une
nance de 2 lia. 4 a. 29 ca. Joignant contenance do 92 a. 40 ca. L'ensemdu nord le n" 45 ci-après, de l'eat la ble joignant du nord le n" 42 ci-desroule de Cadol à Melgven du sud sus,' de l'est chemin, du sud le n» 39
le n° 47 ci-dessus, de l'ouest, che- ci-àprès, de l'ouest les n°" 16 ci-desmin. Fossés au cerne sauf au sud.
sus, 17 et 21 ci-après. Fossés au
Art. 21. — Une parcelle
de nord, à l'est et l'ouest.
terre labourable
dH.(}Parc-an-poul,
Art. — 30. — Une .parcelle
de
actuellement divisée en deux par terre labourable
dite
Parc-bihanun talus, ligurant au cadastre sous tost, figurant au cadastre sous le
le n" 45 de la section M, pour une n® 39 de la section M, pour une QQn-
Correspondance
Douches — Injecteurs — Bassins de Lit — Urinoirs
tenance de 71 a. 59 ca. Joignant du
nord le n" 40 ci-dessus, de l'est chemin, du sud les n " 37 et 38 ci-après,
de l'ouest le n» 21 ci-après. Fossés
au nord et à l'est.
Art. 31. — Une prairie
formée
de la réunion de 4 parcelles dénommées ainsi qu'il suit au cadastre de
la section M : Foénnec-Névez
sous le
n® 17. pour une contenance de 48 a.
59 ca. ; ar Glazen sous le n® 18 pour
une contenance de 9 a. 82 ca. ; Foënnec-Funtun sous le n® 19 pour une
contenance de 17 a. 70 ca., et LiorsCanap sous le n® 20 pour une contenance de 20 a. 72 ca. L'ensemble joignant du nord-ouest le n® 13 ci-dessus, du nord et du nord-est le n® 16
ci-dessus, de l'est les n®» 40 et 41 cidessus, du sud le n® 21 ci-après et
de l'ouest Le Beuze. Fossés au cerne.
Art. 32. — Une parcelle
de
terre
labourable
dit
Parc-nrSler, formée de la réunion de deux
Darcelles figurant au cadastre sous
es n®' 21 et 22 de la section M, pour
une contenance totale de 1 ha. 4 a.
55 ca. Joignant du nord les n®» 20, 19
et 17 ci-dessus, de l'est- les n®" 40 et
39 ci-dessus et le n® 38 ci-après, du
sud et de l'ouest Le Beuze. Fossés
au sud et à l'ouest.
Art. 33. — Une parcelle
de
terre labourable
dile
Parc-al-leur,
figurant au cadastre sous le n® 38 de
la section M, pour une contenance
de 1 ha. 13 a. 82 ca. Joignant du
nord le n® 39 ci-dessus, de l'est le
n® 37 ci-après et les n " 33, 32; 29 et
28 ci-dessus, du sud lo n® 27 ci-dessus, de l'ouest Le Beuze et les n®~22
et 21 ci-dessus. Fossés au noril, au
sud et h l'ouest.
Art. 34.
Une parcelle
de
terre labourable
dile lÀors-Radennec, figurant au cadastre sous le
n® 37 de la section M, pour une contenance de 22 a. 75 ca. Joignant du
nord le n® 39 ci-dessus, de l'est chemin, du sud les n®» 30 et 33 ci-dessus, de l'ouest le n® 38 ci-dessus.
Fossés au cerne sauf au sud.
Art. 35. — Une parcelle
de
terre labourable
composée de la
réunion de deux parcelles l'une dile
fioslac'h-d'antraon,
au cadastre sous
le n® 43 de la section M. pour une
contenance de 15 a. 09 ca. l'autre dile
Pen-ar-Garront,
au cadastre sous le
n® 44 de la section M. pour une contenance de 5 a. 4 ca. à celte parcelle
a été annexé le sol do l'ancien chemin de Concarneau à Rosporden
qui passait au sud du n® 43. L'ensemble joignant du nord la route de
Concarneau à Rosporden, de l'est
chemin, et du suc le n® 42 .ci-dessus. Fossés au nord et h l'est.
1
Contenance totale de ladite propriété ving-neuf hectares, soixantequatre ares, quarante-cinq centiares
ci
29 to 64 ïi. 45 c.
Telle au surplus que ladite métairie se poursuit et se comporte avec
toutes ses circonstances et dépendances, sans aucune exception ni
réserves.
Mise à prix fixée par le Tribunal, 40.000 fr.
Cette vente est poursuivie en exécution d'un jugement du tribunal
civil de Quimperlé en date d u 9 J u i l let 1913, enregistré et signifié, rendu
contradictoirement :
Entre: M. Jean-Marie Sancéau,
propriélaire cultivateur, demeurant
à Kerangargam, en la commune de
Melgven.
Demandeur ayant pour avoué M"
BOT, demeurant à Quimperlé, Rue
Savary n® 20. '
E t : M. Louis Sancéau, propriétaire
cultivateur, demeurant a
Trouée en la commune de Melgven
pris en sa qualité de tuteur datif de
la mineure Mélanie Sancéau née du
mariage de M. Jean-Marie Sancéau
avec dame Charlotte Le Meur, tous
deux décédés, domiciliée de droit
avec lui.
Défendeur ayant pour avoué M«
PIEDOYE, demeurant à Quimperlé
Hue Savary, n" 23.
Cette vente aura lieu en présence
ou lui dûment appelé de M. I^aurent Le Meur, propriétaire cultivateur, demeurant au village de Tromadur, en la commune de Melgven
subrogé-tuteur de ladite mineure
Sancéau.
Outre les clauses et conditions insérées au cahier des charges dressé
pour parvenir ù. la vente, et déposé
au greffe du Tribunal civil de Quimperlé où toute personne peut en
prendre communication la proprié-
té ci-dessus désignée sera vendue
en un.lot, telle qu'elle est décrite
plus haut, au plus offrant et dernier
enchérisseur, à l'audience des criées
du tribunal civil de Quimperlé le
mercredi 10 septembre 1913, a une
heure de l'après-midi (audience des
vacations) sur la mise à prix de
4 0 . 0 0 0 francs.
Pour plus amples renseignements
voir le cahier des charges, ou s'adresser à M' BOT, avoué poursuivant.,
Quimperlé, le 13 août 1913.
L'avoué
poursuivant.
Em.BOT
Etudes de Wl» E m . B o t , avoué à
Quimperlé, ruo r^ v.i'-y (ancienne
GranirRin", n® A) cl de W Kerautrei notaire à Pont-.\ven.
VENTE PAR LIGITATION
LE ,MAHDI 9 SEPTEMBRE I » I 3
En
à 2 heures de l'après-midi
l'Elude et par le Ministère.
de M' KEKAUTBET,
Solaire
à
Pont-Aven
OmiVIEUBLES
Sis au lieu dit CROIX KERMÉUN
En la Commune de IVé\6z
EX U.\' LOT
& suv la Mise à Pri.x de 1.200 l'r.
Défendeurs, ayant pour av- ué,
M« PIEDOYE, demeurant à Quimperlé, rue Savary, n® 23.
Cette vente aura lieu en présence
ou lui dûment de M. Pierre .Naviner,
marin-pêcheur, demeurant à Korascoët, commune de Névez, subrogétuteur desdits mineurs Sellin.
Outre les clause.^- et concfitions
insérées au cahier des charges
dressé pour parveTiir à la vente et
déposé en l'étude de M' KERAUTRET, notaire à Pont-Aven, où toute
personne peut en prendre communication, la propriété ci-dessug désignée sera vendue en un seul lot,
telle qu'elle est décrite plus haut,
au plus ofl['rant et dernier enchérisseur et en l'étude dudit M« KEUAt.'TRET,le IWardi9Septembrel913,
à deux heures de l'après-midi, sur
la Mise à prix de 1.200 fr.
Pour plus amples renseignements,
voir le cahier des charges ou s"adressèr à M« BOT, avoué poursuivant.
Quimperlé, le 12 Août 1913.
L'avoué
poursuivant,
E m . BOT.
Etudes de M® Yves-Marie Fournis,
avoué-licencié à. Quimperlé, quai
Brizeux, n®6, et de M» Morvan,
notaire à Scaër.
VEÏTTE
p a r Iiicitation Judiciaire
EN D E U X
LOTS
Il sera aux lieu, j o u r et heure
sus-indiqués, procède à 1-adjudica- Le Samedi « Septembre I9IÎI
à 2 h. de l'après-midi
tion au plus ofl'rant et dernier enchérisseur de la propriété dont la
EN L ' É T U D E
désignation suit :
E T P A R L E M I N I S T È R E D E M* MOKVAN
nÉSIGNA
TION
î
NOTAIRE A SCAËR
Déparlement du Finistère ;
Arrondissement
de Quimperb' ;
Canton de Pont-Aven ;
Commune de Névez.
Au Heu dit
Croix-Kerméun.
Article premier. — Une longère
de bâtiments, construits en pierres
et couverts en chaume, servant
d'iwbitation dans la partie du levant, d'écurie dans la p:irtie du
milieu et de grange dans la partie
du couchant, lille ouvre au midi sur
la cour article 2 ci-après, par deux
port.es, une baie et deux foni^tres
au rez-de-chaussée, une gerbière
au LH-enier.
Art. 2. — Au midi et au coucluint
de l'article 1"'. cour.
Art. 3. — Au nord des articles
précédents, un petit courtil, planté
avec haie au nord, levant et couchant.
Tous ces immeubles, d'un seul
tenant, paraissent inscrits à la matrice cadastrale de la commune de
Névez, sous le n» 837 p de la section
B, pour une contenance approximative de 6 ares 70 centiares, et
sont bornés au midi par cliemin
de Mesmeur, au couchant par terre
à Guillaume Drouglazel et au nord
et au levant par terre à Joseph
(îuernalec.
Tel on outre que le tout se poursuit et comporte avec ses circonstances et dépendances sans exception ni réserve.
Mise à prix, fixée par le tribunal, 1.200 fr.
Cette vente est poursuivie en
exécution d'un j u g e m e n t flu tribunal civil de Quimperlé, en date
du 2 juillet 1913, enregistré et signifié, rendu contradictoirement.
Entre: 1® Mme Suzanne Guillou,
veuve en premières noces de Yves
Héloury, on second mariage tle Joseph Guernec et en 3 " noces de
Jean Naviner, ménagère, demeurant
à Poulioré, en la commune de
Nèvoz.
2° M. Yves lléloury, marin-pêcheur, demeurant à Kerascoi'-t, communé de Névez.
Demantleurs, ayant pour" avoué,
M" BOT, depieurant à Quimperlé,
rue Savary, n® 20.
E t : i® M. Louis Sellin, tailleur
d'iiabils, demeurant à Poulioré,
commune de .Névez, e n . n o m personnel et en sa fiualitè de tuteur naturel et légal de Louis, Anna, Pierre,
Victorine et Elisa Sellin, ses enfants mineurs, nés de son mariage
avec feue Marie-Josèphe lléloury,
et domiciliés de droit avec lui.
2® M. Yves Sellin, célibataire maj e u r , marin de l'Etat, domicilié à
Poulioré, commune de Ncv' z.
D'UN MOULIN A EAU
& D'UN COURTIL
sis à Tréganou
en la commune de
Scaër, et i r u X E M.VISOX à us
de commerce, sise au bourg de
Scaër.
Mises à prix :
lot, 4 . 0 0 0 f r . ; 2«lot, 1 0 . 0 0 0 (V.
l>ÉSlGi\A riOi\ :
Déparlement du Finistère.
— Arrondissement de Quimperlé. — Canton
et Commune de Scaër. — Aux lieux
de TREGANOU et du bourg
de
SCAFR.
PREMIER
LOT
Au lieu de Tréganou.
Article 1®'. — U n e m a s i o n d ' h a b i t a t i o n . couverte en ardoises,
comprenant au rez-de-chaussée le
moulin et à l'élaKC une chambre,
droits d'eau et autres appartenances.
Art. 2. ~ Un petit courtil dé-
nommé Liars. d'une contenance de
5 ares 5i centiares, le tout
figurant
au plan cadastral de la commune de
Scaër pour une contenance de 729
mètres c a r r é s et d'un revenu de
204 fr. 05.
Jouissance au 29 septembre 1913.
Mise à prix fixée
par le tribunal
4 . 0 0 0 fr.
DEUXIEMEL0T
Au bourg de Scaër.
Article 1'^' — U n e m a i s o n d ' h a b i t a t i o n à usage de commerce,
composée de 4 pièces au rez-dechaussée, 4 pièces à l'étage et grenier, ouvrant du nord sur la Grand'
Rue par une porte et 3 fenêtres au
rez-de-chaussée et 3 fenélres à l'étage.
Art. 2. — Au midi de l'article précédent, line é c u r i e e t r e m i s e ,
c o u r avec i)assage par la pelile
ruelle en face de la maison Kersulec.
Ces deux articles occupés par M.
Bernard, débitant.
Art. 3. — Au levant de l'article 1 "
et faisant corps de bâtiment, u n e
autre maison d'habitation oc-
cupée par M. Guyader, boulanger,
composée d'une pièce au rez déchaussée, d'une pièce à l'étage ot
grenier, ouvrant du nord sur la
Grand'Rue par une porte et une 1'.nètre au rez-de-chaussée et 2 fenêtres à l'étage.
Tous ces bâtiments sont c o u v e i l s
en ardoisesCes trois articles figurent au plan
cadastral de la commune de Scaëç
sous les n®" 1156 et
iirirt contenance de
rés fit il'un revenu
Joinasftnoe au 29
1156 portion pour
455 mètres carde 370 fr. 82.
septembre 1913.
Etude de IW« Biger, notaire
h. Bannatec
ADJUDICATION VOLONTAIRE
Etude de M" Donnart, notaire
ii Pont-Croix
ETABLISSEMENTS
A VENORE
RIVIERE, JOVBNBT & r
ù raminble
Mise à prix ll.xée
par le tribunal
10.000 fr.
PAU L O T S P KIN KL.NC OU EN D É T A I L
Kn rElwJe liudil il' HlOh.li
Cette vente est poursuivie en exé1.081 l u M i o s .
cution (i'un j u g e m e n t rendu oontra- LE DIMANCHE 25 AOUT 1913
SUO p i n s c l s n p i n s .
dictoirement par le tribunal civil de
ft'iO c h à t n i s n i e r s .
à
1
tieures
première instance de Quimperlé. le
Oa p e i i p l l o r s .
18 Juin 1913, enregistré.
omieaii.x.
E n t r e : Madame Marie-Anne Le
n o eliènos.
De/., propriétaire, veiwe de M. Fran14 acacias.
çois Lharidon, demeurant au Moulin située .'i Landrévoazeo en la comJouissance immédiate. Exploitad e ' Tréganou, en la commune de mune de Kernével, comprenant une
Scaër, demanderesse ayant pour maison d'iiabitalion, une crèche, tion facile.
avoué constitué près le tribunal civil une écurie, un hangar, nouvellec e s arbres se trouvent sur -la
de Ouimperlé M» FOURNIS, avec ment construits et couverts en ar- métairie de Kernon en Meilan.
élection de domicile en son étude doises, un pulls et six journaux de
Pour tous renseignements s'adressise à Quimperlé, quai Brizeux, n^e. lionne terre labourable.
ser à M« DONNA RT.
•louissHnce no 29 septembre 1913.
Et : 1» M. Christophe Lharidon,
On Irriterait avant l'adjudication
meunier, demeurant a Tréganou en
Gi'undc .llnisou tic Cuiinaiico^
on cas (l'otliTS suflisantes.
ladite commune de Scaër ;
S'adresser audit notaire ou à M.
2® M. François Lharidon, meunier,
tlémery, propriétaire.
demeurant à Tréganou en Scaër ;
3» Mlle Marie-Anne Lharidon, célibataire majeure, sans profession, i - U u d e (le iVI« Péan de Ponfllly,
17, B r a n d ' r u e 17
demeurant à Tréganou en Scaër.
licencié en droit., notaire à Pont4" M. Yves Lharidon, soldat d'inAven.
fanteriecoloniale, cap Samt-.lacques,
domicilié à Tréganou en Scaër.
Draperies, Houenneries, Soieries
5» M. Mathurin Lharidon, ouet Nouveautés. — Toiles de lil et de
vrier boulanger, domicilié à Trécoton.
EN TOTAl.lTÉ OU l'AR LOTS
ganou en S c a ë r ;
Mérinos, Molletons, Flanelles, Cou6 ' Mlle Thérèse Lharidon, sans
AU GRÉ UKS ACQUÉR' MRS tils, Couvertures, fiileL.^ lainn marin
profession, célibataire majeure, de
•'t colon. Bonnelt'rie, Velours i "
meurant à Tréganou en Scaër ;
marque La Clef. J u l e pour limeubl»'7" Mlle Louise Lharidon, domesments, Plumes, Duvi't, Lainf-s el
li(|ue. demeurant à Paris, 10, rue de sises à Kermndréa,n-Xéoy&n
en la Crins pour Literies.
Constantinople.
commune de lUec-sur-Béiun,
en bor.Vêtements confectionnés et .sur
Défendeurs ayant pour avoué dure de la route de Pont-Averi à
constitué près le môme tribunal Bannalec et bien placées pour cons- mesure pour Hommes, Jeunes Gens
et Enfants. Vestons cuir et imperM' FOURNIS, avec élection de domi- truire.
méables.
cile en son étude sise à Quimperlé,
Entrée en jouissance au 29 sepquai Bri/.eux, n» 6.
tembre 1913.'
A t e l i e r de Confection
8" M. .lean Cosquer, cultivateur,
S'adresser pour traiter h M. BLONdemeurant au Merdyen la commune DKAlj, place des Ecoles, Quimperlé, concernant tout le costume
de tîuiscrill" (Morbihan), pris tant en
ui se trouvera sur les lieux à la campagne.
son nom personnel que comme tuisposition des amateurs le samedi
teur nnturel et légal de Marie-Anne, 9 août 1913, à partir de une. heure
UN B O N T A I L L E U R B R E T O N
Anna et Grégoire Cosquer ses trois
après-midi.
enfants issus de son mariage avec
Et pour tous renseignements au est attaché à la maison, coupe
feue Anna Lharidon ;
et travail très soignés.
'
9® M. Y v e s - L e Goc, propriétaire, notaire.
demeurant au bourg de Scaër, pris
en sa qualité de tuteur ad /toc de
Seul dépositaire des tissus hyLouis Lharidon enfant mineur issu
giéniques du D'' J A E G I I E R .
du mariage de feu François LhariGrands Assortimenls dans tous cas
don, avec Mme Marie-Anne Le Dex,
Articles.
— Marchandises
de
pre• ledit sieur Le Goc faisant fonctions
mier choix el d des prix définnl taule
de tuteur à raison de l'opposition
concurrence
loyale.
existant entre les intérêts dudil mineur et ceux de Marie-Anne Le Dez,
Pri.v lî.xc i n v a i ' î a b l e
sa mère et tutrice légale et ceux de
JLa. Maison
délivre
toujours
M. Christophe Lharidon son subrogétuteur.
des Timbres de
Commerce.
Autres défendeurs ayant pour
Plouay, PontSUCCURSALES
avoué constitué près ledit tribunal
Aven, Rosporden.
M» PIEDOYE, avec élection dedomicile en son étude, sise à Quimperlé,
r u e Savary, n» 23.
L'adjudication des immeubles susdésignés aura lieu en l'étude et par
le, ministère de M» MORVAN, notaire
il Scaër, le samedi 6 septembre 1913
à deux heures de l'après-midi, aux
plus offrants et derniers enchérisseurs, en deux lots et sur les mises
à prix ci-dessus indiquées, aux
clauses et conditions du cahier des
charges déposé en l'étude dudit M"
MORVAN, où toute personne peut
en prendre communication.
Elle se fera en présence
en l'absence de 1® M. François-Louis
M A C m n ^ AGI^COLE^^
Lharidon, meunier au moulin de
Tréganou en Scaër appelé à y assister en sa qualité de subroge-tu'IFR IJR'-,'!» A
teur des mineurs Cosquer susafli'.^^s fVMOoo ju/- iimpic drntviidr ^
nommés et 2® M. J é r ô m e Jallré, ou'Vv V..^ UJineS nyOHO-ÉLeClBIQlJCi dt
vrier sellier, demeurant au bourg
de Scaër, appelé également en sa
qualité de subrogé-tuteur ad hoc du
mineur Louis Lharidon sus-nommé.
Pour plus amples renseignements
s'adresser à M' FOURNIS, avoué
poursuivant ou à M" MORVAN, notaire, dépositaire du cahier des
charges.
Fait et rédigé par l'avoué poursuivant soussigné.
F > Usiner DE LATOURELL^E
«
Quimperlé, le 11 Août 1913.
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c
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Yves-Marie FOURNIS,
Avoué-licencié,
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VIII
Comment sauver l a veine ?
Cette mervelllease transformatloo ne
lui enlevait rien de sa gaminerie, ni do
son lang-frold. Il ramassa toutes ses
frusques, trouva une porte de sortie donnant sur la campagne.
Et il partit, fort délibérément.
— Orientons - nous , maintenant 1 . . .
G'qu'on est bien, tout de môme, dans une
pelure d'offlclerl... c'que ça fait doux et
ebaud...
Il en oubliait le manque de Iluge... Mais
n'avalt-11 pas un col glacé, comme 11 en
avait vu chez les grands chemisiers de la
rue de la Paix ?
Il se représenta, très exactement, la
topographie de la ville, du fleuve, de la
campagne, rase de ce côté, tandis que
sur l'autre rive, 11 apercevait très bien le
rideau de la forôt...
— Ousqu'll faut que J'arrive?... et sans
barguigner... Car c'te pauv' dame I... SI
o n a l l a l t l a surprendre, parce qu'J'aiété
9l>llg6 de me trlngaer I,.. Mais comment
]\ord-Ouest
DIMANCHE
à Londres le 31 mai dernier. Il entrera,
en effet, en exécution tel qu'il a été
signé, et si les puissances échangent
des vues sur son contenu, ce ne sera
Il y a quelques années, obéissant aux conseils du président actuel de pas, comme on a pu le craindre, pour
tout remettre en question par une revila République, nous avons entrepris une campagne de propagande qui
sion contre laquelle proteste le besoin
était, selon l'expression de M. Poincaré « une véritable croisade dans un d'apaisement de l'Europe entière, mais
pays troublé et désorienté », en faveur d'un programme « répondant aux pour prendre note du nouvel état de
choses qu'il établit.
sentiments profonds et aux aspirations permanentes du pays. »
La question de la revision n'aurait
Depuis lors, nous avons pratiqué sans défaillance une politique qu'on
d'ailleurs pas été soulevée si l'Autrichen'a vu pactiser ni avec la réaction, ni avec ses succédanés occasionnels ;
Hongrie, après avoir déclaré, avant la
nous n'avons tendu la main qu'à des républicains, réellement animés seconde guerre balkanique, qu'elle n'ind'un sage esprit laïque et pénétrés de leurs devoirs envers la démocratie ;
terviendrait pas pour empêcher les annous ne sommes intervenus que pour défendre le progrès h la fois contre ciens alliés de régler le partage terriceux qui le redoutent et contre ceux qui le compromettent, l'ordre contre torial à leur guise, soit qu'ils préférassent les voies diplomatiques, soit qu'ils
c e u x qui se font les avant-coureurs de l'émeute et de l'anarchie, la patrie
recourussent aux armes, n'avait ancontre ceux qui la renient et menacen t de la trahir.
noncé, lorsque la guerre intestine
Si on relit maintenant sur les murs de l'arrondissement les affiches tourna contre ses prévisions, c'est-àsalies de MiM. Le Louédec et J . Berthou, que constate-t-on ? C'est que, dire se termina par l'écrasement de la
au cours de la présente période électorale, on a vu des radicaux-socia- Bulgarie dont elle avait attisé les convoitises que les conditions de paix de
listes de la veille aft'ecter d'adopter en bloc le programme de leurs conBucarest devaient être soumises a l'exacurrents républicains démocrates, faire bon marché de l'étiquette que,
men et à l'approbation des puissances.
de tout temps, ils avaient portée et ne vouloir se dire que
réfyublicain» La Russie crut devoir émettre une opinion analogue, mais sans y attacher au
tout court, afin de se rallier les suiîrages des naïfs ?
C'est l'équivoque. Nous ferons, pour notre part, tout ce qu'il faudra fond suffisamment de prix pour en faire
même un échange de vues avec Paris
pour qu'elle cesse au plus tôt et que les élections de 1914 se fassent reet avec Londres.
marquer par leur absolue franchise. Ce j o u r lù pas de masques, et les
Dès le premier jour on a considéré à
drapeaux déployés !
Bucarest le traité comme définitif, et
Organisons nous ; défendons nos idées propres, et soyons persuadés les télégrammes chaleureux échangés
entre le roi Charles et l'empereur Guilque la victoire finale est à ce prix :
laume démontrent qu'en Allemagne. on^
Etre modéré a v e c énergie etjdindre le courage au bon sens.
^;
partage cette opinion, quel que puisse
,
"
I .
Comité local
être l'avis de la diplomatie austro-honde l'Alliance Républicaine Démocratique.
groise. C'est en Allemagne que l'opinion
a été peut-être la plus exaspérée de la
La date du 10 août 1913 qui marquera duplicité tortueuse et si pronfondément
dans l'histoire des Balkans et aussi dans égo'iste de cette diplomatie et le sentiment de l'opinion allemande se reflète
celle de l'Europe est particulièrement
certainement
dans cette appréciation
Le traité signé le 10 aoûl à Bucarest glorieuse pour la Roumanie et pour son d'un journal de Berlin : « L'Europe est
rétablit la paix dans les Balkans et souverain le roi Charles dont elle cou- tellement fatigué des horreurs balkanifonde en Orient un ordre de choses ronne le long règne do sagesse. Dans ques que les efforts de la Ballplatz pour
nouveau. Il est exclusivement balkani- lu crise sanglante qui vient de se ter- les maintenir à l'ordre du jour des souque. C'est au saliit du canon et par un miner si heureusement, la Roumanie cis européens resteront vains. Lo fauTe Deum, auquel assistait le roi de est apparue en arbitre de la situation. teur de désordre autrichien ne pourra
Elle a joué ce rôle avec autant de ferRoumanie, qu'a été célébré ce premier
meté que de modération. Elle devient la provoquer de nouveaux troubles, queltraité où les jeunes royaumes taillés ou
que grand qu'en soit son désir. »
du moins agrandis dans les anciens gardienne de l'équilibre établi sous ses
L'équilibre balkanique est donc établi
territoires de la Turquie d Europe ont auspices. C'est une grande tâche, mais
et aussi favorable au libre développeelle
est
digne
de
l'accomplir.
eux-mêmes réglé leurs destinées. ConLes délégués grecs, serbes, monténé- ment des Etats co-partageants qu'à la
clu après une guerre entre les co-parpaix de l'Europe. L'enchevêtrement des
lageants, en dehors de toute collabora- grins et bulgares ont droit également à
races en Macédoine ne permettait aution européenne et à la suite des efforts la reconnaissance générale pour avoir
cune répartition conforme aux vœux de
infructueux de l'Europe de réaliser un délivré l'Europe des angoisses qui l'oppressent depuis si longtemps, les pre- tous les intéressés. La répartition acaccord entre les anciens alliés, il conluelle, n'est pas plus illogique ou injuste
sacre les résultats de cette seconde miers en modérant leurs prétentions,
que
n'importe quelle autre. Avec le
guerre et le nouvel équilibre oriental les seconds en se résignant à payer la
temps,
les tassements et les adaptations
tel que le conçoivent les premiers inté- rançon des fautes de leur pays.
Le traité de Bucarest paraît appelé à se feront, à la seule conditioji que l'Euressés, c'est-à-dire les Etats balkaniques
un
meilleur sort que celui qui fut signé rope ne s'avise pas d'y toucher. Le vaineux-mêmes.
[29] Feuilleton de l'Union
du
y passer, de l'autre côté, avec tous ces
voie, puts un escalier menant au tablier,
Idiots qui s'entêtent... Vous pouvez donc où une vole étroite était réservée aux
pas revenir par chez vous, tas de serins !
piétons.
Il soumit alors.
Coqueluche la suivit, en se rapetissant
— Sont-ils gentils I... Gomme ça obéit derrière le parapet. Bientôt, U était de
bien I... mieux qu'au dolgl et & l'œil 1...
l'autre côté du fleuve, au bord de la forêt.
rien qu'à la pensée, les soldats de ce pays 1
Il s'y jeta, marcha le long de la lisière
Le poste, ayant abandonné défloUifeet déboucha enfin sur une longue route,
ment ses recherches, remontait le fleuve,
toute droite, évidemment celle qui lui
et comme l'avait si parfaitement deviné avait été Indiquée par le chef do la police.
Coqueluche, apparaissait bientôt, sur le
Il eut, alors, une dernière souleur : car
tablier du pont du chemin de fer... traon avait laissé là un homme en faction.
versait la Yarnlca... et allait rentrer
Coqueluche falUlt se rejeter dans le bols,
chez sol.
et tirait déji son sabre.
— Imbécile que j'étais!
—• Faudrait tout de même pas qu'Us y
arrivent trop tôt 1
11 n'avait qu'à se montrer fort tranquilIls étalent peut-être encore à deux
lement, au contraire, et à marcher droit
cents mètres.
sur ce factionnaire, qui, aussitôt lui préCoqueluche eut tout le temps d'étaler,
sentait ses armes, lui adressait môme la
sur le chemin qu'Us allaient suivre, et
parole, du ton le plus respectueux.
son veston... gilet... sa chemise... ses
Coi^ueluche ne broncha pas plus que
godillots... aujtquels 11 adressa un pleur
s'il comprenait, répondit du geste le plus
ému : car avait-on trlmardé, ensemble 1
assuré et continua sa route, en se disant :
Puis 11 se rejeta en plein champ ; et à
— Plus que deux stades.... c'est bien
meisure que les soldats s'éloignaient de la comme cela qu'U a dit, le gros pcrel.
et l'affaire est
ligne du chemin de fer, lut, s'avançait 'Une petite demi-heure 1
vers le pont. Au moment où 11 y arriva, U
dans le sac 1
entendit des cris et put distinguer la
IX
masse des soldats, et probablement leur
L e f r i o m p l i c du p o è t e
officier, qui se penchaient sur ses défroC'était une délicieuse maison de gardé
ques, puis qui s'élao^lent en plein ch^i^p,
persuadés que l'homme avait filé dans chasse, bâtie en pleine forêt, avec tout
Juste un Jardinet autour, perdue dans
cette direction, et qu'un complice avait
son cadre de chênes, de hêtres séculaires,
dû lut apporter des vêtements de red'une végétation Intense.
change.
- - Pas moyen de s'y tromper l fit CoCoqueluche trouva, au bas du talus du
queluche.
chemin dô fer, une petite porte à oiaire-
Les abonnements se faient d'avance, sauf conventions ils partent du 1" ou du iS de chaque mois.
On s'abonne au bureau du journal. On peut s'abonntr
également, sans frais, dans tous les bureaux de poste,
ou encore en adressant un mandat-poste au Directeur,
M. Armand GAUTIER, place Hervo, à QuimferU.
eu bulgare n'est ni étranglé ni écrasé.
Il reste supérieur à chacun de ses trois
adversaires balkaniques, inférieur seuement à la Roumanie, perdant ainsi
'occasion qu'il avait rêvée, comme il
en avait rêvé tant d'autres dans son
accès de folie mégalomane, d'établir
son hégémonie jusque sur ses voisins
de la rive droite du Danube. Mais si la
Bulgarie ne se résignait pas à sa défaite
relative, si elle nourrissait des espoirs
de revanche, les gouvernements roumain, grec, serbe, et monténégrin ont
déjà esquissé un pacte d'assurance
contre une politique offensive de la Bulgarie et, au besoin, contre les entreprises de la politique autrichienne ou italienne si elles devaient se traduire par
des actes.
Il reste encore à régler entre la Bulgarie, la Serbie et la Grèce la nT>stion
des libertés scolaires et religieuses de
leurs nationaux dans les territoires qui
leur sont respectivement dévolus. Elle
fera l'objet de tractations de gouvernement à gouvernement. Celle des indemnités de guerre relèvera du tribunal de
La Haye.
Mais les aulres problèmes dont la solution reste attribuée aux puissances,
reviennent au premier rang et, parmi
ceux-ci,l'évacuation d'Andrinople est un
des plus difficiles à régler. Néanmoins
il est probable que des mesures pourront
être prises pour rappeler à la Turquie
qu'économiquement tout au moins elle
dépend de l'Europe.
Quant aux îles et aux frontières d'Albanie, il faut attendre les résultats des
réunions reprises à Londres par les
ambassadeurs pour apprécier si ces
questions ont fait un progrès appréciable vers l'entente désirable.
Quant à la question des îles en particulier qui doit consacrer un accroissement considérable de la puissance
maritime de la Grèce destiné à se développer encore par l'attribution du dodécanèse lorsque l'Italie l'aura évacuée,
elle intéresse au premier chef l'équilibre méditérranéen, ce qui suffit à dire
que son règlement ne doit surprendre
la Triple-Entente par aucun imprévu et
qu'il doit nous trouver, nos alliés, nos
amis et nous, attentifs et unis.
Georges LAURENCE
\u Jour le Jour
Dans "les B a l k a n s
Le méconlentement, populaire bulgare
relalivemenl au traité de tiuciiarest, con-
C'étalt bien là qu'U devait trouver, ou
attendre, la grande dame à qui U était
chargé de dire :
« Les trois vieux font dire à la dame
qu'elle ne doit pas demeurer une seconde
de plus dans le pavillon, et qu'elle doU
rentrer à la ville, si, du moins, 11 est encore temps pour elle, d'y arriver au petit
jour... Sinon, qu'elle continue son chemin!... qu'elle alUe Jusqu'au bout... Et
nous, les trois vieux bronzes, nous avisons,
et nous allons à elle !... »
Une petite Inquiétude lui venait, à présent :
Allait-elle parler le français, au moins?...
— Oh ! oui, une dame, une grande
dame... Hein, Coqueluche, quand tu voyais
jouer la Tour de Nesle, au théâtre de
Bellevllle, lu ne te doutais pas que tu en
connaîtrais, toi aussi, un jour, des grandes dames !... et que tu risquerais ta peau
à leur service!...
Heureusement, l'acte du danger était
passé ; et on devait le chercher bien loin,
deIll'autre
de laprévenir
Varnlca.
n'avait côté
plus qu'à
la belle dame.
Et puis, lesté de ses cinquante jaunets,
U gagoeralt la première gare et filerait
vers la frontière... où ces messieurs si
gentils, si généreux, ne manqueraient pas
de lui faire tenir le reste de la somme.
Mais ce détail ne l'intéressait plus que
médiocrement : évidemment, neuf mille
balles à recevoir encore, cela vaut de la
considération... mais bien inférieure à
cette Joie de faire le chevalier, d'être
mêlé à une si mystérieuse aventure... et
de sentir son àmo de poète s'éveiller
A B O N N E M E N T S (VN AH)
Quimperlé (ville)
6 fr
Finistère et départements limitrophes
e
»
Autres départements
7 —
Colonies et étranger
10 —
linue d'entretenir des craintes au suje
de la stabilité de la paix qui vient d'être
conclue. Les diplomaties
s'emploient
néanmoins à arrondir les angles et à ménager un terrain d'entente entre les divers
Etats ballcaniques, en ce qui concerne le
partage et l'attribution des territoires de
l'ancien empire ottoman en Europe.
— A la suite de la démarche dont avait
été ctiargé par le gouvernement français
le ministre de France à Bucharesi, M.
Blonde!, auprès du roi Garol, en vufIf
féliciter de l'heureuse issue de la giierr»*,
le roi de Roumanie a adressé à M. f'oiacaré le télégramme suivant :
Bucharest, 11 août 1913. — « J'ai reçu avec
une vive .joie les félicitations que M. Blondel
m'a transmises de votre part à l'occasion de
la conclusion de la paix. .le m'empresse de
vous remercier cordialement de ce témoignage
de sympathie. 11 m'a été particulièrement
agréable de voir combien en France on a apprécié nos efforts pour ramener le calme dans
la péninsule balkanique dont la situation était
devenue un objet d'inquiétude pour l'Europe.
— Le bruit court que le tzar Ferdinand
va quitter sa capitale pour effectuer un
voyage en Europe de plusieurs semaines.
Ce voyage serait commandé par l'état délabré de la santé du souverain. La reine
accompagnera son mari.
Le gouvernement italien vient de répondre aux ambassadeurs des puissances, à la suite de la démarche faite auprès
de lui, en vue de l'évacuation des îles de
la Mer Egée, que l'Italie détient un gage
depuis la cessation de la guerre tripolitaine que la question de ces îles est réglée
par le traité de Lausanne.
D'autre part, la formule transactionnelle présentée par sir Edouard Grey, ambassadeur d'Angleterre, semble donner
satisfaction à l'Ilalie qui gardera son gage
jiisqu'à ce que la .Turquie ait exécuté les
obligations que la paix italo-turque lui
impose, dit-elle, en Tripolitane.
L'Italie rendra ces îles à la Turquie qui
s'en remettra aux puissances pour leur
attribution définitive, étant sous entendu
que oelle-ci doit être faite au profit de la
Grèce.
— L'Agence Havas publie le communiqué ci-dessous :
« Le moment semble venu de mettre au
point les renseignements contradictoires
quiontétépubliés sur l'attitude respective
des gouvernements français et russe dans
l'ailaire de Gavalla.
Aucun des deux n'a jamais demandé à
l'autre le sacrifice de son point de vue.
L'un et l'autre se sont toutefois constamment communiqué leurs sentiments à ce
sujet.
La Russie savait que la France inclinait
à ce que Gavalla, ville grecque, fût attribuée à la Grèce. La France n'ignorait pas
le désir de la Russie • d'assurer à la Bulgarie ce port sur la mer Egée.
Les deux gouvernements savaient qu'aucun d'eux n'attachait à son opinion une
importance telle qu'il eût à demander à
son allie de faire le sacrifice de ses préfé-
comme en ses plus belles nuits de Montmartre, lorsqu'il grimpait au haut de sa
chère Butte, au pied du Sacré-Cœur 1...
pour contempler Paris sous le soleU levant,
et s'abandonner à son Inspiration.
Ce n'était que la lune, pour le moment,
qui pouvait l'inspirer, mais si brUlante,
découpant chaque chose comme sous la
la laeur à peine atténuée des globes électriques...
— Un chic tableau ! falsalt-ll en dessinant dans l'air la silhouette du pavillon
de chasse, un geste artistique, avec le
pouce en l'air, comme II l'avait vu faire à
un copain, rapln du marquis Caulalncourt.
E l quels arbres !... quel ciel I... d'un
bleu profond, Illuminé d'étoiles autrement
éclatantes que celles de Paris 1... Ça pouvalt-U bien être les mêmes, ainsi qu'on le
lui avait affirmé à l'école?
Quel beau quatrain U eût composé là 1...
— Mais c'est pas pour cela, mon Jeune
Coqueluche, que tu te trouves, sur le coup
de deux heures du matin, en pleine
forêt... en face de c'te jolie cambuse...
S'agit d'y entrer.
Prudemment, par exemple !...
II détacbaU son sabre... c'est-à-dire le
sabre du lieutenant... qu'U avait laissé
traîner jusqu'alors avec une Joie vraiment
enfantine.... II poussait sans le moindre
bruit la porte à claire-voie de la grUle
qui était ouverte, faisait le tour de l'habitation, arrlvaU devant la porte princi
pale, que la clarté de la lune lui permettait de bien examiner... un solide morceau, tout garni de ferrures, de pointes..,
presque une porte de prison l
. •
,
,
-
I
rfiiiTs, les liTiilancfîs île la poiitiqu»*
rAlt? (les puissances »tl les fuils (levant les
i/illifT lous deux à l'une îles solutions.
i^i queiiUun (le la revision étant aujouil hui tranché»; i»ar la négative, il n'y a pas
il iusisler s u r celle ailaire. Ce qui est
cerlain, n'est, ijiie j a m a i s l*; contact entre
les lieux pays n'a été plus intime <|u'en ce
moment. »
— On annonce de Saint-Pétershourpr que
MM. Sazonon et Delcassé ont ré^lé détinilivemenl dans le sens de son attribution
A la (Iréce, le question de la ville de Ravala, sur la mer Egée.
M. I»e|ca.s3é a communiqué à M. Sa/.o
nofl' un long' télégramme de son goiivernemenl. au s u j e t de l'avance faite à Ja
Turquie par la Bamiue Ottomane de la
somme de 40 millions.
— Le roi Charles de Roumanie vient de
conférer k M. Poincaré le collier de .-ion
i>rdre Carol 1 " .
L e s élections de Rochefort
A la suite de la suppression des diflérents services de la marine afférents à
leur port de guerre, les habitants de Rochefort, tant élus qu'électeurs, ont décidé
de faire la grève du scrutin.
(;'est ainsi que dimanche dernier, M.
^ Houdilié a été, aux termes de la loi, élu
conseiller général du canton sud en remplacement de M. le docteur Marianelli,
démissionnaire, par 2ô voix sur û.834 votants, et MM. Rocheteau et Breil, également élus par 20 et 18 voix sur 5.834 inscrits, conseillers d'arrondissement de Rochefori, en remplacement de MM. Blanchard i!l Bougnon, démissionnaires.
Hn raison des conditions dans lesquelles
se sont produites ces élections, la préfecture a refusé de « proclamer » l'élection et
a (léci.Jé de soumettre au Conseil d'Etal
en vue d'en faire prononcer l'annulation,
les résultais donnés, le 10 août, par le
scrutin de ballottage, dans le canton sud
de Rochefort.
Aviation
X>es triomphes
de
JBrindejonc
Nous signalions dans notre dernier numéro, la promotion du glorieux aviateur
Breton, Brindejonc des Moulinais, au
grade de chevalier de la Légion d'honneur. Dès le lendemain de cette promotion, le roi de Suède a conféré au hardi
pilote la croix de chevalier de 1'° classe
de l'ordre de Wasa.
— L'aviateur Brindejonc des Moulinais
est parti mercredi de Marseille, à 9 h. 30,
par la voie des airs, à destination de Dinard. Il compte effeçtu<îr ce voyage en
quatre étapes : de Marseille à Montpellier,
de Montpellier à Bordeaux, de Bordeaux à
Angoulême, et enfin de cette dernière
ville à Dinard.
Vn be»u raid
On signale de Rouen, qu'après une randonnée de 2.500 kilomètres sur un hydravion de 119 chevaux h. travers la Belgique,
la Hollande, l'Allemagne et l'Angleterre,
l'aviateur Levasseur, emmenant un passager, est parti mardi matin de Berk-Plage.
Il a passé par Dieppe, Pécamp, Le Havre.
Il a remonté la Seine, et s'est arrêté à
Rouen pour se ravitailler. Il est reparti
ensuite pour Paris.
Hydroavions c o n t r e
sous-marins
Depuis quelques j o u r s ont lieu, k Venise,
des manœuvres fort intéressantes entre
hydroaéroplanes, torpilleurs et sous-marins.
Tous les hydroaéroplanes avaient été
mobilisés pour ces manœuvres. Ils devaient signaler la présence et la marche
des sous-marins.
On a constaté que ceux-ci ne sont j a mais invisibles pour un hydroaéroplane.
Ils peuvent être toujours signalés, même
s'ils naviguent à une grande profondeur.
L e feu à un sous-marin
En sautant sur des chilFons imbibés
d'essence, un rivet chaud'é au rouge a déterminé un commencement d'incendie à
bord du sous-marin Arai/o en stationnement au Mourillon, près Toulon. Une
grande llamme s'échappa du petit navire,
qui fut aussitôt entouré d'une épaisse
fumée.
Le foyer, activement combattu, grilce
aux secours envoyés par la direction du
port, put être rapidement éteint et les
dégfits matériels ne sont pas très importants. Mais l'alerte a été des plus vives.
L e s Conseils de revision
M. Klotz, ministre de l'Intérieur, a
adressé aux préfets une circulaire les invitant à présider eux-mêmes les séances
des conseils de révision. Elle indique que
les .opérations devront se poursuivre
même le dimanche.
L e k r a c h Deperdussin
iNous avons annoncé l'arrestation J du
constructeur d'aéroplanes et d'automobiles Deperdussin, tx la suite d'une faillite,
considérée comme frauduleuse, dont le
montant s'élèverait à 40 millions.
Le tribunal de Reims vient, à, son tour,
de le condamner à réparer les conséquences pécuniaires de l'accident d'aéroplane
survenu au dernier concours militaire
d'aviation de cette ville, et dans lequel le
soldat Jarry fut tué par l'aviateur Prévost. La mère du soldat Jarry a obtenu
lO.OOO francs de dommages-intérêts.
Le tribunal de commerce de la Seine,
présidé par M. Petit, a déclare l'ouverture de la faillite Deperdussin, à dater du
r> àoût.
M. ReyiKiud a été nommé liquidateur.
Un canot à v a p e u r du « Condé »
coxilé à Quiberon
Au cours des manœuvres navales que
la deuxième escadre légère a exécutées
au polygone naval de Quiberon, la chaloupe à vapeur du croiseur
Condé
coulé à la suite d une voie d'eau. L'équip.'ige a pu être sauvé. La chaloupe a été
renflouée p a r l e s remorqueurs de Lorient.
Le contre-torpilleur Rapière s'est également fait quelques avaries et a dû rallier Lorient.
1,'escadre, qui a terminé hier ses tirs
d'honneur sur le lonnprre,
est rentrée à
Brest mercredi.
POUR ETRE CHIC
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Ses Chapeaux
Prix inconnus
Partout ailleurs
TRIBUi^E
LIBRE
Celle tribune est ouverte à toutes
les
communications que l'on voudra bien nous
adresser et dont l'auteur nous aura fait connaître son nom. Ces articles ne sont que l'expression de l'opinion personnelle
de leurs
auteurs et n'engagent en rien la
responsabilité du journal.
Monsieur
J e vous prie de vouloir bien insérer ce
qui suit dans votre plus prochain numéro :
E n f i n ça y est !
Nos j e u n e s « Gaises » nos nouveaux
conseillers ont élaboré une réponse, que
nous trouvons dans ['Echo du 8 août. De
l'avis de la cabaretière chez qui se tenait
le concile, l'opération fut des plus pénibles. C'était le dimanche 3 août dans la
soirée que ces conseillers du « dernier
cri » se réunirent en une assemblée sensationnelle, afin de décider, s'il y avait lieu
de répondre à. un article paru ici-même
à la « Tribune Libre » du 27 juillet.
La j o u r n é e n'avait pas été chaude :
(élection au conseil général, un seul candidat) mais la nuit le fut davantage.
Réunis dans une salle de débit, après
maintes libations, le s u j e t fut promptement alîordé. Sortant un journal de sa
poche avec l'article en évidence le premier le soumit à son voisin. Celui-ci se
contenta de le regarder de cet air intelligent d'une oie qui aurait trouvé une paire
de manchettes : il ne savait pas lire. Toutefois, reprenant quelque peu de ses esprits, il poussa du coude son voisin, au
grand risque de lui faire perdre l'équilibre. Ce second, après avoir échangé avec
son verre quelques* doux épancheinents
consentit enfin à. tourner vers lui deux
yeux en boules de loto; sans interrogation
il articula péniblement qu'en efi'et il pouvait lire et môme écrire.
Le numéro futpromptement remis sous
son nez et après quelques efibrts pénibles
pour se tenir droit sur son siège il annonça que oui, en efi'et, il y voyait bien
quelque chose ; mais il ne savait pourquoi, il n'y distinguait pas très bien.
Enfin il fut décidé purement et simplement que l'on enverrait l'article à M.
précisément et que nous connaissons fort
bien) et qu'on le chargerait de la réponse.
Puis ceci réglé, la petite fête continua à
battre son plein jusqu'à trois heures du
matin. Par la fenêtre entre-baillée tout le
bourg pouvait entendre ces voix avinées
chantant h tue-tête et à tour de rôle des
obscénités à faire frémir de vieux marins. Au refrain tous reprenaient en
chœur ; mais chacun évidemment sur son
petit air préféré. A un certain moment
même la cacophonie fut telle que les
chiens du quartier se mirent h. hurler ii la
mort. C'était touchant.
Quelqu'un était bien entré prétendant
tout doucement d'abord et plus fort ensuite qu'il ne leur reconnaissait pas le
droit de mettre ses oi-eilles au martyr
attendu qu'ils lui appartenaient ; mais
que pouvait sa faible voix contre une
meute pareille. A l'aube cependant tout
ce beau monde se mil en route, insultant
les poteaux kilométriques qui ne se retiraient pas II leur passage, et les barrières
qui ne s'ouvraient pas seules. Lorsqu'on
est conseiller municipal de Saint-Tliurien
que diable ! pourquoi aussi ces clôtures
no se dérangeraient-elles pas à leur passage ?
Seraient-elles par hasard réactionnaires ?
Quant à la réfutation de l'article de
l'Echo nous n'y perdrons pas grand temps.
A propos de la gavotte d'honneur l'on
parle surtout d'un bout de ruban qui
coûte 30 centimes ; or l'auteur de l'article
était un simple spectateur, son attention
ne fut attirée d'ailleurs que lorsque sous
les huées de la foule les deux ou trois polonais qui présidaient à sa distribution
furent obligés de se retirer.
Quant aux veuves non secourues nous
le? connaissons et aussi ceux qui reçoivent h leurs places des gratifications.
Dans tout cet article de l'Echo nous ne
voyons qu'une chose : contradiction pure
et simple sans un seul argument. Contra-
diction simple et en iin mot qu'un perro-
quet pourrait très bien apprendre : « Tu
gracieuses j e u n e s filles, en toilettes superbes, se tiennent là autour de tables
es réactionnaire et moi républicain. »
ongues recouvertes de grandes nappes,
Il est vrai que chacun de nos édiles se
et c'est un frou-frou de soie moirée, de
forge une République à sa peUte image.
coiltes blanches, de fin mérinos.
Pour l'un c'est le tremplin de l'honneur !
L'antique mode, paraît-il, voulait que
Pour l'autre celui de la perpétration
Vépouseur entonnât un chaiit spécial pour
d'une vengeance inassouvie, suite de
appeler sa « belle », que des compagnes
vieilles rancunes, pour le plus grand nomcachent. Mais non, cette chose si simple
bre le moyen indispensable à satisfaire sa
n'a pas lieu, et l'on s'asseoit tout bonnecupidité.
ment en faoe de certaines friandises :
pain de Savoie, galettes au sucre, biscuits
Mais que voulez-vous ? C'est la leçon du
secs et pâtes brisées, que l'on arrosera
grand « Maître absolu ».
tout à l'heure de Champagne.
En voilà encore un qui aurait bien pu
Elle montre enfin, sa figure rose, la gengarder sa mauvaise graine dans son proiille « douce ». Sa toilette^ est exquise^
pre jardin.
Une longue fieur d'oranger.^'qui prend auV bon entendeur Salut !
dessus de son sein gauche, tombe sur son
' lablier blanc aux moires délicates et légèf ' "Un
groupe
res. Autour de son col à la mode de Pontde Républicains
démocratiques.
Aven, court, en fintj guirlande, le superbe
virginal, il grimpe vers la coifie aux rubans d'un bleu diaphane, pour retomber
en tronçons amincis le long des reins,
sur une j u p e en velours noir.
h'Ècho de Bretagne,
organe du triste
L'une des dpmoiselle>s d'honneur, qui
l'an dernier encore n'était qu'une "lillette
fantoche qui nous tient lieu provisoireravissante, sourit à la ronde. Plus tard
ment de député, et pour quelques anelle sera vraiment belle, et, quand son
nées de conseiller général, n'a pas encore
tour viendra de convoler en j u s t e s noces,
digéré le très mince succès dans les camil me semble que j'aurai plaisir à la
pagnes ni la défaite dans la ville de son
regarder mieux.
candidat aux dernières élections. Il contiMais l'heure est venue d'aller voir monnue donc à dégorger son venin sur tous
sieur le Maire, et c'est sous une averse
ceux qui n'ont pas été des siens pendant
cinglante qu'il nous faut partir. Le défilé
la campagne électorale. L'Union
Agricole
du cortège perdra beaucoup de son
charme, à cause des parapluies qui case respecte assez pour ne pas suivre
chent les minois roses, et les beaux juz
l'Echo dans une polémique aussi grossière.
p o r s blancs des demoiselles
risquenl
Bavez ! Bavez 1 Echo de Bretagne, dépenfort d'être maculés de boue avant qu'arsez dans votre feuille de choux toute la
rive le soir.
salive que Jules économise à la Chambre,
jusqu'à l'avarice (ce dont nous ne pouvons
Onze heures. Bras-dessus, bras-dessous
du reste; que le louer, car cela lui évite
maintenant,
les mariés sortent de l'église
de sortir les aneries monumentales dont
et
passent
sous
des fiots de rubans multiil est coutumier), mais de toute cette
colores tenus par de vieilles femmes.
bave répandue sur les uns et sur les auToute la gent miséreuse du bourg est là
tres, soyez persuadé qu'il ne restera rien :
sur cette place, et des mains se tendent
le coup de ijalai de l'an prochain en aura
et d'humbles voix psalmodient j e ne sais
raison ainsi que du grotesque soliveau
quelles tristes prières. Sous les ondées
pour qui vous coassez si surabondamcinglantes, ils se courbent, les épaules
ment.
rentrées et la mine souffreteuse, pareils à
L'Union
Agricole.
ces loques humaines qui n'attendent plus
que l'heure de la décrépitude
finale.
Par pitié, on leur donne des sous et ils se
retirent en remerciant, pour regagner des
taudis sombres où, du moins, il ne
U i V E
j ^ O C E
pleut pas.
M a r d i . — Presque sous m^s fenêtres,
Arrêté, une minute, le cortège reprend
depuis hier, c'est un remue-ménage de
sa marche et s'engoufi're chez une merfemmes. On va niarier la demoiselle de
cière. L'usage veut, en efi'et, que les garma plus proche voisine, et ce gros événeçons paient aux filles de larges rubans
ment a mis en branle toutes les matrones
roses que ces dernières, séance tenante
du quartier. Deux cents personnes au
épinglent à leurs corsages, en sorte qu à
moins seront de noce et, pour le repas
la sortie les couples sont plus gais. Des
sardanapalesque qui se prépare il a fallu
causeries s'entament, des lazzis s'entrede toute nécessité, recourir aux bons officroisent et parmi celte j e u n e s s e rieuse,
ces des unes et des autres. Elles ne depeut-être, déjà, quelque chaste roman
mandent pas mieux d'ailleurs, ces fem^
d'amour commencera-t-il d'éclore.
mes : la plupart, en efi'et, sont bien pauChez la nouvelle mariée, pour la deuvres et cette perspective de bombance
xième fois, il faut manger des gâteaux et
n'est point faite pour leur déplaire, aussi
boire du vin. D'ordinaire, cette collation
travaillent-elles avec courage.
se fait à la p o r t e , mais aujourd'hui
AU
PROGRES
Maison QUETTIER
55, rus du Port —
LORIENT
(à droite en descendant la Bove)
LA P L U S ANCIENNE
LA P L U S I M P O R T A N T E
LA M E I L L E U R E
MAISON D'HABILLEMENT
Maison
de Confiance consacrée
4 5 ans de Succès
par
Dernière Réponse
T E R t ^ E
D ' f l J O H C S
Dans un hangar voisin, les chaudrons
s'accumulent et des plats, par
piles
énormes s'entassent. Aux poutrelles enfumées, des veaux pendent. Un porc grogne
sourdement dans un coin sur la paille, et
un bœuf placide attaché dehors, rumine
sans savoir que tout à l'heure la grosse
masse du boucher va l'étendre sur le sol.
Des torchons blancs passés à la ceinture,
les femmes en travaillant bavardent. Elles
causent de tout et de rien, et leurs voix
en notes grêles m'arrivent, confuses
comme un bourdonnement d'abeilles.
Dans sa chambre, la future mariée j e t t e
un dernier regard à ses habits de lioce.
Ils doivent être beaux, sans doute, car
elle est riche. Son profil nettement se
détache sur une blanche muraille ; sans
être précisément belle, elle est bien jolie
avec ses cheveux noirs ébourifl'és sous un
serre-tête en soie bleue. Ses j o u e s pleines
ont l'exquise fraîcheur des pêches mûres,
encore humides de rosée matinale.
Elle ne sourit pas ; elle paraît même
soucieuse et presque grave. Peut-être
essaye-t-elle d'entrevoir de quoi sera fait
demain. 11 sera fait de beauté, de j e u nesse et d'amour, paysanne jolie. Femme
d'abord, mère ensuite, et mère heureuse
j e veux le croire, tu regarderas passer
les ans. Puis la maturité viendra, tes
tempes grisonneront un peu et plus tard,
bien plus^tard, comme d'autres femmes
tes devancières, tu seras une petite
vieille toute cassée, déjà prête pour la
tombe.
M e r c r e d i . — Pour cette noce de ma
j e u n e voisine la Névézienne, j'ai arboré
le chapeau de paille des gars bretons.
Dans le vieu.v bourg paisible, les trains
ont déversé déjà une foule d'invités,
venus de Trégunc, de Riec, de Nizon, de
Pont-Aven et d'ailleurs. Tout ce monde,
en belle toilette, se promène de droite et
de gauche, s'éparpille sur la plaôe très
ombreuse, se répand dans l'église ou se
faufile dans les auberges.
Il y a même des petits qui sont venus et
des petites, des bouts d'hommes étonnés
de se voir en culottes et des blondines
aux cheveux d'or, un peu gênées dans la
tenue de fête qu'elles portent sans doute
pour'la première fois.
Tiens ! Le futur marié ! C'est un j e u n e
homme solidement pris dans une veste
noire toute garnie de velours. Accompagné
de sa sœur et de son beau-frère, suivant
une coutume ancienne, il se rend chez sa
« douce » pour manger des gâteaux et
boire un doigt de vin. Tous les guenilleux
des bourgades environnantes le suivent à
distance, par politesse. Ils auront leur
part de noce aussi et, tout à l'heure, au
passage du cortège, des aumônes tomberont dans leurs coiffures graisseuses ou
eurs sébiles grossières.
11 s'annonce bien mauvais, le temps,
pour cette noce. Sur le ciel gris courent
de gros nuages noirs, précurseurs d'averses prochaines. Il brume môme déjà
et des parapluies s'ouvrent.
Entrons donc chez les parents de la
uture et montons dans s a chambre. De
c'est impossible. Tout est im^^-ossible
d'ailleurs, môme la d a n s e . Alors les
groupes s'éparpillent
pour
flirter
à'
1 aise dans les auberges voisines, car la
demeure des nouveaux époux est absolument prise par des tables qui n'attendent
plus que l'instant du repas. "Il arrive enfin, cet instant ; aux sons d'un canti.que,
les binious l'annoncent. Que chacun donc
en hâte cherche sa place et que les filles
se mettent auprès des gars.
Moi, c'est en plein grenier que j e me
trouve avec une foule d'autres. On m'avait
bien ofi'ert un siège dans la chambre
d'honneur, mais j e n'en ai point voulu,
sachant que là une étiquette stupide retient les langues "et vous empêche d'observer.
Sous la toiture où l'eau clapote, nous
sommes une soixantaine assis sur dea
bancs longs qiii fléchissent, mais hélas !
point de pichets anciens ni de belles chopes en faïence peinte ! Toutefois, e l c o m m e
compénsation, l'àme bretonne plane 'en
ce lieu. Aucun costume de ville ne s'y
trouve, aucune parole de « gallec » entre
les convives ne s'échangent. D'accortes
paysannes vous servent avec des sourires
gentils et, quand sonne l'heure des chansons, des complaintes retentissent, toutes
pleines encore de la grâce un peu sauvage
de l'antique Breiz-Isel,
Et puis les histoi
res commencent, des histoires d'autrefois
sur le mariage, la mer, les anàons et la
mort.
Cependant il faut descendre, danser
quand même entre deux éclaircies, pour
vite se réfugier sous un hangar voisin
aux premières gouttes des diluviennes
averses.
— Oh ! mais, dit tout à coup une demoiselle, nous avons la salle de
Marie-Çoise.
La salle de ,Marie-(;oise ! Personne n'y
songeait vraiment, bien qu'elle fût à deux
pas. Vite donc, allons chez cette brave
dame avec les binious.
Par e.vemple, elle est un peu petite pour
tout ce monde, la salle de Marie-Çoise !
Mais c'est égal, en se serrant, on arrive
à y exécuter quelques gavottes, un « jabadao » et même un « stoupik-vihan » des
plus comiques. Puis un phonographe entame une marzurke et des paysannes
rieuses s'exercent à cette danse de caractère. ICst-ce un bien ? Est-ce un mal ? J e
n'ose me prononcer encore, mais ce serait
évidemment un mal si le pathéphone
venait à détruire pour j a m a i s chez nos
campagnards, l'amour des gavoltes et
l'oubli des binious.
Maintenant c'est le soir ; il ne pleut
plus, mais l'heure du départ pour quelques-uns a sonné. Autant dire que la
noce est finie. Il ne reste là que les gens
du bourg en train de payer leur écot et
de boire un dernier verre. Chez MarieÇoi.se, les garçons et les filles mazurkent
encore, plus élroitement enlacés à me
s ire que baisse le crépuscule. Mais où
sont-ils donc les mariés j e u n e s et beaux.
En silence ils sont partis vers le bonheur
et vers l'amour....
Pierre KERMADEG.
SaROHIlDE REmOHiLB
Promotion violette
Dans la promotion violette qui a parue
hier à l'Officiel, nous relevons les noms de
M. Pelluet inspecteur primaire à Quimperlé, promu otTicier de l'Instruction publique.
MM. Besançon directeur de l'école primaire publique à Rosporden, Nicolas directeur de l'école de pêche de Concarneau,
Kéruzoré directeur de l'école primaire publique de Scaër au grade d'officiers d'Académie.
Ecole pratique de Laiterie
de lierliver
Les examens de Sortie des élèves de l'Ecole pratique de Laiterie de Kerliver ont
eu lieu le 5 août, sous la présidence de
M. Cirosjean, Inspecteur Général de l'Agriculture.
IG élèves ont obtenu le diplôme de l'école. Ce sont : Mlles Férec, Sanquer, Callec
Le Bihan, Colin, Roignant, Landrein, Rosmorduc. Le Gall, Bouard, Jan, Le Borgne
Emzivat, Gourmelon,. QuélTélec, Bourlet.
Une médaiUe de vermeil a été demandée
à M. le Ministre de l'Agriculture, pour Mlle
Férec ; des médailles d'argent, pour Mlles
Sanquer, et Callec ; une médaille de bronze pour Mlle Colin.
La médaille d'argent offerte par M.
Louppe, président du Conseil général, a
été attribuée à Mlle Le Bihan ; la médaille
de bronze olferte par la Commission administrative de l'Etablissement, à Mlle
Roignant.
Les examens d'admission auront lieu le
deuxième lundi d'octobre.
Pour tous renseignements, s'adresser à
l'école, à Kerliver, par Hanvec.
Coiieours de poulinières
Par décision du 12 juillet 1913, M. le
ministre de l'Agriculture a fi.xé comme
suit, la composition du J u r y chargé de
décerner les primes au concours de poulinières qui doit avoir lieu à Quimper, le
8 septembre prochain :
MM. L'Inspecteur général des Haras du
3° arrondissement ou son délégué, président ; Le Colonel, commandant la circonscription de remonte militaire de Caen ou
son délégué ; Corme, vétérinaire départemental ; Fenoux, conseiller général.
Membres suppléants : MM. Soulière,
professeur départemental d'agriculture ;
Le Moal, vétérinaire à Quimper.
Quimperlé
Condamnation.
— Guernalec Jean
37 ans sans profession ni domicile fixe,
dont le casier judiciaire est orné de 10
condamnations a été condamné pour vagabondage à six mois d'emprisonnement.
Théâtre des Folies
JSavraises.
—
Hier soir devant un public nombreux, le
théâtre des Folies Havraises (Direction
Débris) a débuté par Le Maître de Forges.
Cette pièce interprétée d'une façon p a r faite par les excellents acteurs que possède la direction, à été très goûtée des
spectateurs, qui ont manifesté hautement
leur enthousiasme.
Cet excellent début ne peut être que de
très bon auirure pour le Théâtre Débris
qui s'etforçera de son côté d'interprété devant les Quimperlois les nouvelles pièces
à succès.
Ce soir à 8 h. 1/2 Le Bossu ou Le Petit
Parisien drame en 10 tableaux.
Le théâtre des Folies Havraises est dans
notre ville pour 15 j o u r s seulement.
Etat-civil,
— ^ah&anccs. — MargueriteMarie [.e Lang,2;^,placeSaint-Michel.—HervéLouis Le Gall, 3, place Guthiern. — Louis-René
Bonlben, 4, rue .Mellac. — Françoise-Marie
Bolou, place Saint-Michel. — Marie-Augustine
Nigen, à Kcrstrado. — Marie-Françoise Le
Muout, place des Ecoles.
Publication de mariage. — Pierre-Louis Noblel, employé de chemin de fer à. Tours et
Marie-Françoise Le Gall, sans profession, à
Quiiuperlè.
Mariage. — Louis-Marie Daniel, mouleur à
Tréméveii et Marie-Miclielle Gardiec, sans
profession à Quimperlé.
Dt'cés.-Marie-Anne Tanguy, 30 ans, cuisinière, célibataire, i), rue de Pont-Aven. — Marie-Jeanne Ilerlédan, G3 ans. sans profession,
veuve de Yves Tliiée et de Jean Guillou, route
dc,l'onl-.\vcn.
I.e Trévoux
Coups.
- Marguerite Le Naour, femme
Fraval du village de Langor Le Trévoux,
vit paraît-il, en très mauvaise intelligence
avec sa voisine la femme Salaun, cette
dernière sans motif aurait insulté et
frappé la femme Fraval, qui se trouvait
dans une position intéressante, celle-ci est
allée immédiatementconsultéun médecin.
La gendarmerie à ouvert une enquête.
Kiec-sur-Itélon
État-Civil.
— ^'aissanccs. — Noblet Jo-
sépliine-Anna-Lucia, du Moulin-Poulfanc. —
•Marrec •Rene-^yrille, de Landemeur. — Nahé-
lou Jean Louis-Ghîirles, de Kercô, — OlUvler
Aiimi-Marie. do Landomcur. — Hnon i;.!orKes,
(J« I.iirtdelolh.'ii». — Cunével l-iu'i<!-l...iiis.'. de
Ponlbellfc. - His(iu;iy Louis-CiigôiK- Marif,
dubourK-— '"'H'ilou
mue,
db Kercston. - Boulic .loséphine-Philr.rii^;iiPFrancint! d« l;i PorW^Neuve. — Petit.jean Krancine-.leanrie-FiiK'^nie, de Parc-Milincr. Cochennec Yves-.loseph, de Kerhad. — Huthon
Marie-.losèphc-Aiina-Marceline, de Kerjoa. —
Daniel Aliette-MaKaeleine-MarKUerile, de Kernivinen. — Le (iar ,If.st-i)hiiie-Cécile-Sinionne,
de Kervégant. — Néliaz Uiiillaume-Alain-Kran(;.,.•, de St-Carrec. — Kannou Corentin-PierreYves, de Landemeur.
Décôn. — Dervout Yves, marin-pecheur, ...
ans, veuf de Marie-Philom^ne Morvan de
Landelothan. — Piriou, anonyme (mort-né
sexe masculin) de Kerorichen. — Cnadou
Jean-Louis-François-Marie, soldat au 5- régiment d'artillerie coloniale, 21) ans (transcription). — Tanguy François-Marie, cultivateur,
49 ans, époux de Mélanie Penglaou de Kerlaouen. — Gourlet Marie-.Ioséphine, 3 ans, 8
mois de Pont Lagarde. - Le Bourhis MarieMagdeleine, sans profession, 79 ans, veuve de
Joseph Naviner de Lannéguy.
Cycliste et Médecin
— Allons, ne le tracasse pas mon ami,
dans 8 j o u r s la pelle n'y paraîtra plus.
— Oh 1 ce n'est pas ma j a m b e qui m'ennuie, M. le Docteur, elle se racommodera toute seule maintenant ; mais les
enveloppes de mon vélo ont été esquintées dans la bûche, il faudra que j e paie
encore 12 ou 15 fr. pour en avoir d'autres.
— Comment tu achètes des enveloppes à
15 francs mais c'est bien trop cher, mon
garçon : une bonne enveloppe vélo, ça
vaut 10 francs rien de plus.
Si j e te faisais payer nia consultation
d'aujourd'hui 40 sous plus cher que d'habitude, est-ce que lu en serais mieux
soigné.
,
Eh bien, ton enveloppe k 12 fr. et meme
à 15 fr. ne peut pas Être meilleure qu'une
enveloppe MICHELIN vendue partout 10 fr.
Crois-moi, les marchands qui refusent
de vendre les enveloppes MICHELIN ou
la chambre à air rouge MICHELIN et proposent d'autres articles plus chers ne
cherchent qu'à gagner davantage dessus.
Quand tu seras rétabli, va acheter pour
10 fr. une enveloppe MICHELIN à tringles.
Si lu as dedans une bonne chambre rouge
MICHELIN qui vaut 7 francs, lu pourras
rouler tranquille. Tu n'as qu'à l'adresser
à un marchand de vélos consciencieux,
pour les a v o i r ; j e peux te citer entre
autres à :
_ „
Quimperlé : SELLIN, 7, rue Mellac ; LE
MOALIGOU, 10, rue Brémond-d'Ars.
ScaCr
Etat
civil
du moia
de
Judllet.
Naissances. — Bourvic Marie Catherine, de
Neusiou. - Trévarin Louis François Marie, de
Saint-Jean. - Morvan Louis Jacques .Marcel,
du Bourg. — Derrien André René, de 'I reouzal. — Nicolas Henri Louis Marie, du iVjoulin
du Pont. — Daéron Marie Françoise de 1 reouzal — Pichon René François, de Pont-.Meur. 7Tanguy Mélanie Marie, de Parc-niar. Ilenafr Jean Joseph, du Bourg. Favennec Simonne Marie Louise, du Bourg. - ï'û Dez
François Louis Joseph, de Bodilin. — -lacoien
Marie Jeanne, de Miné Guern Zu. — Le Ster
François Léontine de Gleumerrien.
Mariages.
• Merdy Emile Marie et Tanguy
Amélie Jeanne Marie. — Salaiin Yves Guillaume et Le Berre Marie Jeanne. — Lucas Yves
et Le Meur Louise Isabelle.
.
, ,,
Décès. - Moysan Madeleine, 9 mois, de boarem Vian. — Fournier Jérôme, 65 ans, célibataire. — Goroller Marie Renée, 8 ans, de Kerhuel. - Le Meur Marie Hélène, 06 ans, epouse
Bertrand Christien, du Bourg. - Le Dez llenrj
Marie, 3 ans, de Coadri. - Ollivier ^larie, Oa
ans, veuve Le Gall. de Kerlen. - Ollivier b>ancoise, 12 ans, du M e r d y . - J é ç o u Jeanne Marie
11 ans, de Kergaouen. — Montorl Marie Jeanne
28 ans ép. de Yves Le Fur, de Pontigou. —
Jégou Marie Louise, 8 ans, de Kergaouen.
Lijour Rosine, 18 mois, du Bourg. - Le berrec Félix, 2 ans, de Glenmerrien.
Lorient
Conraes cyoliates.
— Le dimanche 17
Août, aura lieu à Lorient une grande
course cycliste, organisée par le VeloSport-Lorienlais
et courue sous les règlements de r U. V. F.
Nous avons au programme un grand
match en trois manches, entre Le Masson
de Brest ; Beyls de Paris ; Jacquard de
Paris.
_
Régionale, séries et finale, 20,10 et o tr.
Interrégionale, séries et finale, 40, 25
et 10 fr.
Course d'encouragement reservee aux
coureurs n'ayant pas gagné un prix supérieur à 20 fr. Prix : 10, 8, 6, 4 et 2 fr.
Donc belle journée en perspective.
#
TISANE
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AMERICAINE DES
L E riBiwi.Kwi
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MEILLEUR
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Les mérites de la Tisane Améri- ^O^^Qf",®
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MESDARflES
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1
ionoui,
I Mwv*.
PRIERE AUX CONSOMMATEURS
de la chicorée Extra Leroux d'en retourner les vignettes TOUS LES ANS
AU 30 AVRIL à M. A. LEROUX à Orcliies
(Nord).
Les Vignelles non expédiées pour celle epo
que sont valables pour les années
suivantes.
D'un goût exquis, d'un arôme agréable
cette chicorée se Irouve dans toutes les
épiceries.
E ^ T E R L E § IMITATIONS
s:
r
\
' .-1 i)i:i(,n0 mal son remède,"
Tout mal de dos est une bonne raison
pour soigner vos reins.
Les ve'ms {vulg rognons) sont situés au
bas du dos. Si le dos est faible, si on res
sent de la gène, des élancements le malin
en se levant ou en se baissant, les reins
sont faibles, fatigués, ralentis, peut-être
même blessés.
Les reins ont suffisamment à faire lorsqu'ils fonctionnent normalement pour
conserver le sang pur et chasser les poisons {acide vrique)
aussi lorsqu'ils sont
afiaiblis soit par excès de travail ou par
refroidissements, soit à la suite d'écarts
de régime ou par toute autre cause, ils
ont vite fait de se ralentir au point qu'une
simple faiblesse des reins peut devenir :
gravelie coliques néphrétiques, goutte,
r h u m a l i s m e , hydropisie
albuminurie
chronique ou mal de Brighl, que seul un
docteur est capable d'atténuer et dont
seul il peut quelquefois relarder l'issue
trop souvent fatale
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état les reins faibles, ralentis ou congestionnés ; l'urine devient plus abondante ;
les poisons qui irritaient ces organes sont
ainsi vigoureusement expulsés.
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sans rivales non seulement conlre la faiblesse des reins et de-la vessie, mais aussi
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torture et qui, laissant glisser votre hernie,
écrase l'intestin sous la pelote. Vous le remplacez alors par un bandage plus souple dont
la puissance est nulle et qui s'allonge démesurément au bout de quelque temps. Votrehernie n'est jamais maintenue et vous redoutez l'étranglement fatal. C'est pour vous
la souffrance physique, aggr-avée par la torture morale. F]h bien, il existe un appareil
6ans ressort et sans caoutchouc, inventé par
M. GLASER, spécialiste de Paris.
Sans ressort, il est si souple et si léger que
les personnes les plus délicates peuvent le
porter .jour et nuit sans gêne. On peut affirmer que la ceinlure est pre.sque inusable et
sa puissance est telle, qu il immobilise radicalement les hernies les plus volumineuses,
les plus rebelles. Ajoutons qu'un système
spécial donne à cet appareil une puissance
cl élasticité, précieuse et constante et c'est là
le secret de cette merveilleuse invention. Nous
n'insi-stons pas davantage. Le doute est bien
permis à ceu.x qui ont éprouvé des déceptions
continuelles.
Qu'ils viennent donc essayer cet appareil.
Ils pourront ainsi se convaincre (|ue le soulagement est Imnfiédiat, et il leur sera démontré
que grâce à l'a contention radicale et parfaite,
tout espoir de guérison n'est jamais perdu,
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19 avril 1913.
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<• Je suis heureux do vous annoncer ciue ma
hernie a complètement disparu grâce à l'usage
de votre merveilleux appareil.
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de ma hernie et je vous autorise à publier ma
lettre dans l'intérêt de ceux qui soulfrent.
« Votre bien reconnaissant.
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à Plemeur-Bodou
par Lannion (Côtes-du-Nord).
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EN DEUX LOTS
Le Samedi 6 Septembre 1 9 1 3
à 2 h. de l'après-midi
EN L'ÉTUDE
ET PAR LE MINISTÈRE DE M« MORVAN
NOTAIRE A SGAËR
DÉSIGNATION :
PREMIER LOT
En la commune de SCAER. Au lieu de TRÉGANAN
Art. i " . — Une Maison d'Iiabi-
t a t i o n couverte en ardoises comprenant au rez-de-chaussée le mouin et à l'étage une chambre, droits
d'eau et autres appartenances.
Art. 2. — Un petit Courtil, dé-
nommé Liors, d'une contenance de
5 ares 54 centiares.
Le tout figurant au plan cadastral
de la commune de Scaër pour une
contenance de 729 mètres carrés et
d'un revenu de 204 fr. 65.
Jouissance au 29 septembre 1913.
Mise à prix fixée
par le tribunal
4 . 0 0 0 fr.
DEUXIÈME LOT
A u bourg de S C A E R
A r t . , 1 " . — U n e Maison d'iiabit a t i o n à usage de commerce, composée dé 4 pieces au rez-de-chaussée, 4 pièces à l'étage et grenier,
ouvrant du nord sur la Grand'Rue
par une porte et 3 fenêtres au rezde-chaussée et 3 fenêtres à l'étage.
Art. 2. — Au midi de l'article précédent, une écurie et remise, cour
avec passage par la petite ruelle en
face de la maison Kersulec.
Ces deux articles occupés par M.
Bernard, débitant.
Art. 3. — Au levant de l'article 1"''
et faisant corps de bâtiment, u n e
a u t r e m a i s o n d ' h a b i t a t i o n occupée par Guyader, boulanger, composée d'une pièce au rez-de-chaussée, d'une pièce à l'étage el grenier, ouvrani du nord sur la Grand'
Rue par une porte et une fenêtre au
rez-de-chaussée et deux fenêtres à
l'étage.
Tous ces bâtiments sont couverts
en ardoises.
Ces trois articles figurent au plan
cadastral de la commune de Scaër
sous les n»» 1156 el il56porlion pour
une contenance de 455 mètres carrés et d'un revenu de 375 fr. 82.
Jouissance au 29 s e p t e m b r e 1913.
Mise à prix fixée
par le tribunal
10.000 fr.
Pour plus amples renseignements
consulter le cahier des charges en
l'élude de M« MORVAN, notaire à
Scaër ou s'adresser à M» FOURNIS,
aVoué poursuivant.
Pour insertion sommaire :
Yves-Marie FOURNIS,
avoue-licencié.
Elude de M» Etchéoopar, notaire
â Quimperlé '
A
I . O U H R
Pour le 29 Septembre
UNE
i9i4
FERME
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de 20 hectares. Bien plantée de
pommiers.
S'adresser à M" ETGHECOPAR.
Elude de M« Qaohet, notaire
à Quimperlé
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trop souvent mortelles, est arrêtée, prévenue, au point qu'aucun danger n'est
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l'éminent spécialiste M. J .
GLASER,
Eludes de m« Yves-Marie Fournis,
avoué-licencié à Quimperlé, quai
Brizeux, n®6, et de M» Morvan,
notaire à Scaër^
pour
^CEINTURES
H E R M E
Aussi, avant d'acheter un bandage quelconque, les malades des deux sexes atteints de hernies doivent-ils demander à
M. Glaser sa nouvelle et instructive brochure expliquant clairement comment la
hernie se soigne et peut se guérir, et qu'il
enverra avec la date de son pacsage dans
la région.
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Douches — Injecteups — Bassins de Lit — Urinoirs
Etude de M'' Cachet, notaire
à Quimperlé
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En l'Etude de M' CACHET
DE DEUX MAISONS
se joignant, avec écurie en appentis,
sises à Quimperlé,
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Lovignon, n" /j, appartenant à M. Louis
Colloberl.
Revenu, 410 francs.
Mise h prix : 7 . 0 0 0 fr.
S'adresser à M" CACHET.
Etude de M« Peyron nolfui'i; à
Quimporlé
A VENDRE
Par Adjudication Volontaire
LE VENDREDI 22 AOUT 1 9 1 3
à deux heures de l'après-midi
• EN. L'ÉTUDE ET PAR LE MINISTÈRE
DE M* PEYRON
Etude de M» Péan de Ponfllly,
licencié en droit, notaire à PontAven.
A
V
E
I
X
D
R
E
EN TOTALITÉ OU PAR LOTS
AU GRÉ DES ACQUÉREURS
Diverses belles parcelles de terre
sises à Kerandréau'Iioyan
en la
commune de Riec-sur-Bélon,
en bordure de la route de Pont-Aven à
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Entrée en jouissance au 29 septembre 1913.
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La Loi de Oeleose NatiODale
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proinaljçuée. C'est un grand el heureux
événement. Désormais, les autres puissances, celles qui nous sont hoUiles
aussi bien que nos amies el nos alliées,
savent que la F r a n c e républicaine, lout
e a demeurant résolument pacifique, esl
prête à tous les sacrifices pour détendre l'intégrité de son territoire, pour
garantir les droits el la dignité de la
patrie. Quand une démocralie s'impose
librement les lourdes c h a r g e s militaires, fiscales et sociales qui résultent de
la loi nouvelle, elle peut être fière d'elle-même et regarder avec confiance l'avenir. Ses rivaux et ses ennemis sont
coQlraints de la respecter et de la redouter. C'est la garantie décisive de la
paix.
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avions maintenu le stalu quo, si nous
avions accepté une situation d'infériorité aussi redoutable, nous pouvons dire
s a n s exagération que c'en était fait
de la F r a n c e . Sinon maintenant, du
moins dans deux ans, dans cinq ans,
dans dix ans, à une échéance plus ou
moins proche mais certaine, nous n'évitions pas une agression qui paraissait
sans risques. Nous étions à la m^^rci de
notre redoutable voisine. Notre sécurité, notre existence n'avaient d'autres
garanties que le bon plaisir de l'Allemagne.
L e cabinet Briaod ne put se résoudre
à envisager cette humiliante éventualité. Après avis du Conseil supérieur
de la g u e r r e avis unanime el — il faul
le répéter — rendu en toute indépendance, sans aucune pression du ministre de la Guerre, du président du conseil ni de M. le Président do la République, le gouvernement déposa le projet de loi tendant à établir le service
de trois ans.
Après la chute du ministère Briand,
dont il faisait partie, M. Barthou a courageusement poursuivi l'œuvre entreprise. Il lui revient l'ho'ineur de l'avoir
menée à bien, à force d'énergie et de
talent.
Etmaintenant, à nous, républicains,
de la défendre i
Les socialistes, en effet, ne se consolent pas du vole patriotique de la
Chambre et du Sénat. Ils entendent
combattre la loi nouvelle devant les
électeurs. Ce s e r a , {'Humanité
nous le
déclare, leur plate-forme aux élections
prochaines. Ils font appel d'ores et
[30] Feuilleton de l'Union
Agricole
Coqueluche \ er
par
Pierre
SALES
PREMIiiRB' PARTIE
. IX
L e t r i o m p h e du p o è t e
«
— L'endroit est donc pas sûr... qa'oD a
si bien lolgné la loarde ?
Il gratta* doacement, contre le panneau... puis donna deux petits coups...
Ainsi qu'on l'en avait prévenu, le paTilion devait être vide — à moins que la
dame ne fût dej& arrivée et érltât de répondre?...
Il ouvrit, et se trouva i peu prè« dans
la noir; mais un rayon de lune, filtrant
par le haut d'un volet, lui permit de constater qu'il était dans la pièce principale,
peut-être la seule du rez-de-chaussée.
— Hum ? fit-il doncemeat : hum ?
Il ne reçut encore pas de réponse.
— Bon !... y a personne... c'est comme
au cbàteau de la belle au bols dormant.
Il fit le tour de la pièce en tâtonnant,
suivit les murs, les meubles, les sièges.
Toujours personne I
Il revint vers le milieu de la pièce, à
l'aTeuglette, et se heurta k une table. Il
^ o r n e n t mb maina dessus, rencontra
les JEUDI
et
Directeur : A r m a n d
DIMANCHE
GAUTIER
RÉDACTION, ADMINISTRATION
& ANNONCES
A Q U I M P E R L E , Place Hervo. n' 8 bis
Tifel.ifcp»HOIMK, N» 8
Adresse Télégraphique;
Union, Quimperlé
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également, sans frais, dans tous les bureaux de poste,
ou encore en adressant un mandat-poste au Directeur,
M. Armand GAUTIER, place Servo, à Quimferlé.
deja « aux travailleurs, aux vrais répul)licams, pour co'iibiitlro eu 1914,
avec la même ard ur, les réactionnaires el leurs alliés radicaux ».
La prétention esl bouffonne de la
part de MM. les unifiés de nous décerner ou de nous refuser des brevets de
répiihiicanisme. Dans la circonslance,
d'ailleurs, ils ne réussiront pas à empêcher la vdrité d'éclaler à lous les
yeux. Ils ont beau clamer : « Loi de
réaclion ! » ils n'empocheront pas que
la loi, présentée el soutenue par deux
ffouvernemenls républicains, a été votée par une m;ijorilé incontestablement
républicaine. La preuve en esl faite
dans celle slatislique très précise où
sont analysés les voles de la Chambre
et du Sénat.
A la Chambre, pour la loi, 358 voix;
conlre, 204.
Au Sénat, pour, 244 ; conlre, 3(5.
Si on défalque de ces chiffres les socialistes unifiés et les conservateurs,
voici les résultais :
A la Chambre, pour, 289 ; conlre, 131.
An Sénat, pour, 213 ; contre, '30.
Enfin, si l'on veul ne tenir compte
que des voix des quatre groupes de
gauche de la Chambre el des deux
groupes de gauche du Sénat, qui constituent la majorité républicaine sur laquelle doit nécessairement s'appuyer
lout gouvernemenl, nous trouvons :
A la Chambre, pour, 2 1 2 ; contre, 131.
Au Sénat, pour, ITtî ; conlre 30.
La loi de trois ans esl donc bien une
loi républicaine, présentée par des réipublicains, défondue par des républicains, votee par des républicains. Nous
tenons à le constater, moins pour en tirer un argument de polémique que
pour l'honneur de notre parti, pour
P'ouver que les deux termes «républic t i n s » el «patriotes » sonl toujours
synonymes, el que nous n'abandonnons
ni les traditions glorieusesdelaRévoIution française ni les enseignemonls des
hoi-os de la Défense nationale !
I es réactionnaires ont volé avec nous
dit-on. C'esl vrai. Ils ont fait leur devoir
comme nous avons fait le n(Mre. M Clémonceau a heureusement répondu :
« Quand nos soldais marcheront à l'ennemi, les républicains marcheront avec
les réactionnaires. Il n'y aura plus ni
républicains ni réactionnaires : il y
aura des Fran(;ais. »
Ajoutons que la loi de 1913 est encore
une loi républicaine par les principes
qu elle mainlienl. Elle organise, comme
la loi de 1905, le service militaire «obligatoire » et « égal pour tous ». Si des
retouches y sonl apportées, elles no
lendronl pas, on peut en être assuré,
, à rétablir des-privilèges au proiit de
quelques-uns.Elle conservera son caractère démocratique.
Mais nous ne nous bornerons pas à
défendre la loi conlre les socialistes
et contre les républicains qui en poursuivent avec eux l'abrogation. Ainsi
que le disait justement M. Boudenoot, au nom de la commission de l'armée, celle loi nécessaire n'est pas une
fin, mais un commencement On a été
unanime à reconnaître que nous n'avions pas liré de la loi de UX)5 le maximum de puissance militaire que nous
en pouvions légitimement attendre. Il
importe de ne pas retomber dans les
mômes erreurs.
Au Jour le Jour
quelques objets, dont un en métal avec
un verre...
— Unelanterne !...S1 c'est des gens précautioQDenx, la boite de flambantes doit
pas être loin. Car faudrait qun je me rende
un peu mieux compte, tout de même.
La boite d'allumettes était bleu U. Il en
craqua une, allnma la lanterne, et recom
mença son Inspeclion.
Il etatt dans une assez grande pièce,
aux murs faits de troncs à pelae rabotés.
La table du milieu, ainsi qu'il convenait au décor, était large et épaisse : un
petit monument. Au mur, un lourd bulTet,
chargé de vaisselle... une horlopte ancienne... un dressoir, très lourd aussi... et
quelques sièges rappelant ceux des cabarets d'an tau.
Coqueluche retrouvait un de ces décors
plttoreiiques de vieux rorasins, dont 11 raffolait. Une porto menait A la cuisine, qui
s'ouvrait sur le collier. Ët un petit escalier vernissé condnlsalt aux chambres.
~ Serait-elle là-haut, la dame ?
Coqueluche eut un petit sourire égrillard : s'il s'agissait d'amour, en effet, ce
devait être plutôt dans rintlmltô d'une
chambre qu'on attendait?...
Il monta doue au premier étage, où 11
constata l'existence de deux ptccea vldex,
l'une «entant la famée et le coureur des
bols, l'autre relativement coquette.
— C'est la demoiselle qui loge par Ici I...
et qui s'est défilée... comme le papa...
pour que rien ne gêne le rendez vous...
Ceci était dans l'ordre.
— Donc, personne, personne du tout !.,.
Ët la dame qui n'arrive pas!... Ah çal
ah ç U . . .
Coqueluche se grattait la nuque.
— Voilà bien du temps de passé, déjà I...
Gn m'a expédié pour gagner une heure...
ou même rien qu'une demi-heure... et 11
fallait que je fasse filer la dame d'Ici :
évidemment, pour que d'fiutres l'y trouvent pas... Et s'ils arrivaient tout d'un
coup, ces autres!... Ta peau serait-elle
encore en danger, mon vieux Coqueluche ?...
11 n'en avait pas peur, du danger I...
Mais sa bonne étoile le protégerait-elle
toujours ?
Eu tout cas, 11 avait reçu les mille
balles. Il tâtalt ce charmant rouleau.
- Ça ne fait rien : j'aimerais autant
qu'elle vienne tout de suite, la dame !
Il alla guetter, un Instant, sur le seuil
du pavillon. Il ne distingua rien.
Il rentra dans la pièce, et machinalement, s'assit devant la table, sur laquelle
11 posait son talpack, son sabre.
Puis, d'un geste Instinctif, 11 fouillait
dans ses poches... c'est à-dlre les poches
de l'offlcler, mettait la main sur un
carnet : i.'avalt il pas le droit de l'ouvrir,
puisque c'était lui, pour l'instant, l'of-
brables cartes postales qu'il avait vendues... mais pas celle du r o i . . Celle de
la reine I...
— Etait elle glroude, tout de môme,
sous sa couronne avec son voile et son
costume brodé 1 . . .
A ce moment, Coqjueluche ne savait plus
très bien si l'Image qu'il avait devant les
yeux était réellement l'Image de la reine,
ou celle de la carte postale?... car, en
réalité, 11 n'avait guère aperçu que son
Undau et son voile, et de très loin : au
moment précis où la voiture de la relue
était passée devant l'endroit où 11 stationnait, le brave Coqueluche était en train
de se débattre entre les mains des policiers de Mosell.
Mais Coqueluche était poète !...la figure
de la carte postale s'animait... ses yeux
luisaient... 11 voyait le sourire do ses
lèvres...
Bientôt sa main.. guidée par uue main
Inconnua... l'Inspiration... lui faisait prendre le crayon placé au bord du carnet. Et
l'ayant lout grand ouvert, ca carnet, et
placé de travers, pour qu'il pût largement
écrire, 11 traçait déjà ces douze syllables :
ficier/
— Ç* sonne bien, ma foll... ou plutôt
ça ne sonne pas... ça vous a un petit air
graclenx... SI on ne craignait de se lancer
des coups de pied dans les quilles, je
dirais que ça sent son dix septième siècle,.,
ou son dlx.hultlème... dix-sept ou dixhuit... j'sals jamais au Juste... mais où on
faisait des petites choses galantes l...
i.
A B O N N E M E N T S (VN AM)
Quimoerlé (ville)
Finistère et départements limi-
trophes
Autres départements
Colonies et étranger
s fr
e 7 —
io
-
du ministre. Un important service d'ordre
avait été organisé aux abords de la gare.
De nombreux landaus et autos stoppent
(ii^ns la cour d'honneur. Amiraux, généraux, sénateurs, députés, conseillers généraux et l'onclionnaires sont conduits
dans une déper.dance de lapare aménagée
en salle d'attente, A 9 heures arrive M.
Julien Sauve, sous-préfet de Bresl ; le
chef de gare le reçoit et lui annonce que
le train ministériel à 1 heure 50 de retard.
Après trois quarts d'heure d'attente le
train est annoncé, M. Massé est salué par
le préfet du Finistère, le vice-amiral Cbochepral et toutes les autorités présentes.
Après les présentations très courtes, le
ministre monte en voilure.
M. Poincaré à B a r - l e - D u c
Le présideat de la République s'est
rendu diinanclie à Bar-le-Uuc, accompagné de Mme Poincaré. Le Lrain présidentiel qui avait quitté Sampigny à 10 heures
du malin est rentré en gare de Bar leJ>uc à 10 h. 35. AussiLùl, que le train eut
stoppé, des salves d'arlillerie relent,issent
en même temps que se font, entendre des
sonneries de clociies.
Le docteur Moulin, maire de Bar-leDuc, souliaile la bienvenue au chef de
riital, qui est également salué par MM.
• La première voilure est occupée par M.
Jules Develie, Grosdidier et Ciiaries HumMassé,
le préfet du Finistère, le préfet
bert, sénateurs ; Maginol, Thierry, Lefé•
maritime
et le maire de Brest.
bure et iNoël, députes de la Meuse ; les
' « Il appartient maintenant à l'admiEncadré par les gendarmes à cheval le
bureaux du Conseil général et du Conseil
nislration de la guerre de bien se servir
cortège gagne l'hôtel Continental, M.
d'arrondissement, amsi (|ue par le général
de l'outil de premier ordre qui lui est
Massé déjeune rapidement, puis reçoit
Sarrail. Trois jeunes lilles offrent une
successivement les délégations présentes.
confié et de ne jamais le laisser rouil- gerbe de lleurs au président. Kn.-iuile M.
Les réceptions terminées, le cortège se
ler.
Poincaré se rend k la prélecture où, sur
reforme
el se rend à l'exposition par les
tout le parcours, il esL l'ulijiil d ovalions
« Que l'application de la loi de trois
rues
Emile
Zola et Amiral Linois. La visite
enthousiastes.
ans soit le signal d'une activité nouvelle
de l'Exposition terminée, les personnaetd'un rajeunissement de nos méthodes
Après avoir pris quelques instants de
lités officielles remontent en voiture et
repos, M. Poincaré passe devant les auto- gagne le hall Fautras, ou a lieu le banet de nos procédés militaires ; qu'on
rités départementales. Il serre la main à
porte sans tarder — en demandant s'il
quet, comprenant mille couverts. Au
la plupart des meml)res de ces délégale faut au Parlement les voies et moyens
Champagne des discours sont prononcés
tions. Le président se rend ensuite dans la
nécessaires — notre matériel, notre arimr MM. Le Frapper, Louppe, Alexis Rolsalle du Conseil général, où se trouvaient
mement el nos cadres à l a hauteur de
land. M. Massé se lève, remercie tout d'aréunis les membres du corps enseignant,
tous les besoins des armées modernes ;
bord le comité de l'Exposition et prononce,
les instituteurs et les institutrices ; à lous
un discours. Des vivats et des applaudis•en un mol, que l'administration de la
il leur serre la main. Les receplions tersements accueillent la fin du discours,
guerre mette entièrement en œuvre
minées, le président se retire dans ses
line fois le calme rétabli, M. Massé contoutes les ressources qui lui sonl fourapparlemenls privés en attendant l'heure
fère un certain nombre de décorations :
nies. »
du départ pour le banquet.
Palmes académiques, officiers, d'acaTel était le vœu qu'exprimait au Sénat
A 11 11. 15, le cortège se reforme pour se
démie, chevalier du mérite agricole, ohejM. Boudenool.au nom de la commission .rendre au manège de cavalerie, où a lieu
^de l'armée. Nous nous v.associons de
le banquel. Au dessert, des discours sonl valier du Cambodge, des médailles'd'ho'nneur du travail, des médailles d'honneur
jtout cœur. El nous veillerons avec le
prononcés par le maire de lUr-le-Duc, M.
agricoles.
Le cortège ministériel, se rend
^sentiment de nos propres responsabiliMaginol, dépulé, el M. Develie, sénateur.
ensuite
à
la fête hippique, suivie d'é'lés, à ce qu'il ne demeure point lettre
M. Poincaré, prenant alors la parole, propreuves sportives. Tandis que la fête
nonce un discours vivement acclamé par
morte.
Charles CHAIJMET
sportive se poursuit, M. Massé se fait
les 1.200 convives, aux crix de Vive Poindéputé,
conduire au pont Gueydon, où il s'embarcaré ! Vive la France! Vive la République!
^Membre de la Commission Centrale Exéciilive
que sur la vedette du préfet maritime,
du Parti républicain
ilémocrati(]Uc.
Vive la Lorraine !
accompagné des principaux personnages
A 2 heures, le pré.sidenl quille la salle oinoiels. La vedelte appareille et gagne
(lu l)anciuel, fait une visile à l'iiospice,
'
Conseils
Républicains
la rade, ou des explications sont données
inaugure les nouveaux biUimenls de l'Iiôau ministre sur les grands travaux de la
L'heure a suiim'' pour tous les b0)is cHojjens pilal el remet 500 fr. pour améliorer
Maon. La vedette accoste ensuite le Jeatilie se montrer, tle parler, et d'acjlr. fl esl
l'ordinaire dos hospitalisés.
Jlrrt. Le ministre et sa suite visitent les
temps de pratiquer' une politiriue
claire,
A i 11. 1.Ô, le iirésident de la République
parties principales de ce bâtiment.
hii/ale et résolue. Il esl temps de réveiller
quillail Bar-le-Duc pour rentrer à SampiM. .Massé a quillé Bresl à ."> h. 30 du soir
les énertjies assoupies ; temps de protester
gny avec Mme Poincaré. Il eu esl reparti
salué
par loules les autorités présentes.
contre la sottise des résignations cl la lâcheté
lundi à 9 h. -io pour Commère^ qui esl le
^
des découragements.
Désormais
il ne faut
berceau de sa vie politique. A l'issue d'un
plus gue les niasses soient abreuvées de fjux
banquet de 1.000 couverts servi au maD a n s les B a l k a n s
espoirs et nourries d'illusions ; désornuns
nège de cavalerie, plusieurs discours ont
plus de l'onnules creuses et promesses téété prononcés et à 2 li. 30 le président de
L'horizon politique recommence à s'asmérairi's !
la liépublique reprenait le train pour
sombrir de manière inquiétante dans les
Sampigny.
BnlUans, si on s'en rapporte du moins à
HxlraiUJu (.liscoiirs do M. Raymond POINGARÉ
à VAlliame llcpul>licaine Démocrniiijue
l'agitation qui règne en ce moment dans
les divers chancelleries.
M. Massé à Brest
C'est ainsi que le Berliner Tageblatt puLe meilleur
moyen de servir
l'Ecole
M. Massé, ministre du Cominerec^ est
blie un dépèche de Saint-Pétersbourg,
laïque est encore d'y ramener la paix par
arrivé à Brest dimanche malin. Dès 8 h.30
annonçant que M. Sa7,onoli; ministre des
la pratique loyale d'une neutralité
rassudu
matin une l'ouïe nombreuse se diriAll'aires étrangères, a convoqué d'urgence
rante pour les familles.
geait vers la gare pour assister à l'arrivée
Corentin GUYHO.
les ambassadeurs d'Allemagne, de France
11 ne commettait pas, du reste, grande
indiscrétion : car ce n'était qu'un carnet
de service, avec des heures, des noms de
soldats, Indications de manœuvres, de
relèves de garde. Et ce n'était pas de
vilaine curiosité non plus que de découvrir, dans ce carnet, une des Inuom-
Duss6-,je !\ vos beaux yeux paraître ridicule...
Il avait toujours été brouillé avec les
dates. Peut-on d'ailleurs exiger trop
d'exactllude d'un poète?... Pourvu qu'il
fasse des vers !
Et le second prenait place tout de suite :
Dussé-je m'attirer un regard do travers...
-
J'en al-t'y de l'Inspiration, c'te nuit I
Dussé-je m'attirer un regard de travers.
J e vais vous faire un don, un don bien minus[cule.
— Tu parles, s'il esl minuscule !.,. quoique ron aie mille balles d'acompte... et
neuf mille en perspective 1...
Mais ce n'était la richesse, cela, que
pour une petite Montmartroise.
— Et à vous, madame, c'est une couronne que vous a offerte le beau vieillard I,.. Avec mol, faudra vous contenter
d'une couronne de fieurs... et de mes
pauvres vers... C'est vrai que j'ai lu quelque part que si les rois et les reines sont
les fils aîaés des dieux, les poètes sont
leurs cousins germains. Allons, mon petit,
termine d'abord ton quatrain I... Car le
quatrain, c'est pour commencer... t'iras
bien jusqu'au sonnet, c e soir !
Il posait la carte postale contre le porteallumettes, bien éclairé par la lanterne.
Et 11 reprenait avec enthousiasme :
Diissé-Jc à, vos beaux yeux paraître ridicule,
Diissé-je m'attirer un regard de travers.
J e vais vous faire un don, un don bien minus[cule.
Kl n'ayant rien de mieux, je vous offre m e s
-
.Vtoi, Rostand l
d'Autriche, de Turquie, ainsi que les
ministres de Roumanie et de Serbie.
- D'après une note de source ottomane
la Turquie occuperait la rive droite de la
Marit/a si la Bulgarie ne cessait pas im
médialement ses sévices sur les Turcs
habitant cette région.
D'autre part, une dépéclie officielle de
Constantinople à Berlin signale que les
Turcs auraient déjà mis leur menace
exécution, et occuperaient déjii les terri
toires bulgares autour de Gumuldskina.
Par ailleurs, une activité fiévreuse rè
gne autour d'Andrinople, de Kirk-Kilissé
ot de Tcliadaltja : les Turcs s'attachent
|)rjncipalement à fortifier ii nouveau ce
dernier et important point stratégique.
Les milieux politiques et diplomati
ques ont éprouvé une vive impression "
l'annonce du voyage du roi Ferdinand de
Bulgarie- à Ischl, où il doit se rencontrer
avec l'empereur François-Joseph. On se
demande si ce ne seraient pas là les pré
liminaires d'une abdication.
— On annonce de Bucharest que le
Conseil des ministres de Roumanie a dé
cidé que la ratification du traité de paix
aurait lieu prochainement.
A Vienne, on croit savoir, d'autre part
que Te traité de paix de Bucharest sera
probablement communiqué aux puissan
ces au commencement de la semaine. Les
puissances e.\amineront s'il y a lieu d'y
t'aiIV des modifications.
— Mardi les Turcs ont occupé Kuchul
KakyaU, dans la région de (iumuldjinn
après en avoir chassé la petite garnison
hulgarf, qui a perdu «luelques hommes
au cours de l'engagement.
— Los puissances confèrent au s u j e t
des nouvelles démarches îi faire auprès
de la Turquie, en raison de sa marche en
avant en Thrace, mais on ne sait rien, à
Londres, relativement à l'assertion contenue dans une dépêche de Sofia, suivant
laquelle la Bulgarie aurait été informée
que les puissances s'entendaient en c »
moment entre elles pour contraindre la
Turquie à respecter le traité de Londres
— On assure que le ministre des Finances de Bulgarie aurait manifesté l'intention de chercher à. conclure prochainement à l'étranger un emprunt de GOO millions.
Ministère des Afiaires E t r a n g è r e s
M. Gérard, ambassadeur de la République près S. M. l'empereur du Japon
est admis à faire valoir ses droits à une
pension de retraite.
M. Regnault, ministre plénipotentiaire
de 1 " clase, chargé de mission, est
nommé ambassadeur de la République
près S. M. l'empereur du Japon.
M. Delavaud, ministre plénipotentiaire
de 1 " classe, en disponibilité, est réintégré dans le cadre de l'activité et chargé
de mission.
L'affaire Deperdussin
Tous les créanciers de M. Deperdu'fesin
à l'exception du comptoir induslriel et
colonial sont tombés d'accord pour faire
opposition au j u g e m e n t de faillite rendu
r é c e m m e n t par le tribunal do commerce
Naufrage
d'un
Cinqu*ut»'d«nx
paquebot
victimes
Le vapeur State of Culif'ornia, en pleine
vitesse, a heurté un roc, dimanche malin
dans la baie de Gambier. I l a c o u l é en cinq
minutes. La plupart des passagers de 1 "
classe n'ont môme pas eu le temps de se
lever.
Vingt-cinq passagers au moins et 27
hommes d'équipage ont péri.
Le capitaine et AO autres personnes ont
pu se sauver sur des radeaux. La cargaison et le courrier sont perdus.
Un grêlon de 1 0 kilos
La « Wiener Allgemeine » annonce un
rare phénomène météorologique. En Hon
grie, le comtat de Maros-Torda est actuellement ravagé par des inondations. Le village Erdoe-Szakal aurait été ravagé par
des grêlons atteignant le poids invraisemblable de 10 kilos, par suite d'un vent violent agglomérant les grêlons. On signale
aussi la chute de cinq blocs de glace, du
poids de 50 kilos.
L e collage des timbres
En vue d'accélérer le timbrage des correspondances, M. Massé, ministre du Commerce, de l'Industrie, des Postes et des
Télégraphes, vient de décider l'installation dans les bureaux importants de Paris
et de la province, de machines- à timbrer
à grand rendement.
L'amélioration est importante ; mais
pour que cet outillage nouveau et perfectionné donne le rendement maximum, il
est essentiel que, sur les lettres qui se
présentent au timbrage de la machine,
le timbre-poste soit collé à la partie supérieure à droite des enveloppes, du côté
d e i a susoription.
Le public favorisera donc le timbrage
(les lettres - ot il a tout intérôt à le faire
— en pla(;ant toujours la figurine d'allranchissement sur l'enveloppe comme il est
dit ci-dessus.
LE PHENIX
Compagni» Française d'Assuranoat sur la Vie.
BimK»M*CraiVÉKA»SOJKTTIE AU CONTn6l.B DE L'ÉTAT.
Assnra&oes en oas de décès et en cas de vie
R E aNu xTt aEu xSles plusV Iavantageux.
AGÈRES
.S'adr«ii8r : tn Siéra BocltU & PAR I S, 33, Hu» Lâfaytttê,
I i>a «oz Aftuto («niNox d«ui tout lei ArrondUismenti.
M. Yves DAVID, Agent général, Boulevard
de la Gare, Quimperle
TERRE
m
D'AJONCS
comgsE
de l&endes
k Msdumolselle Josèphs GOHABRé.
Elle avait bien soixante-dix ans, cette
bonne Kate), lorsque j e la connus. Le visage labouré de rides profondes, le menton en pointe de galoche, des cheveux
d'étoupe souS un serre-tête d'autrefois
elle évoquait les sorcières anciennes qui
rôdaient le soir dans les landes et venaient heurter aux portes le j o u r de la
fiMe des morts. Au demeurant, une excel
lente femme et une conteuse admirable.
Elle vendait des bonbons et des poires,
des po[res bien jaunes, petites comme
des nôties, et qu'elle faisait' j a u n i r dans
la paille pour les rendre plus délicieuses
et plus molles.
A tous les pardons, on la voyait aux
meilleures places, proprement vêtue malgré son indigence extrême, avec une
grande coifl'e toujours blanche, le grand
col des vieilles et l'antique tablier de
« pillaous », fait de mille brindilles de
laine patiemment assemblées. Et les enfants, qui la connaissaient bien, se pressaient autour de son petit étalage. Tous
voulaient goûter à ses poires ou sucer
ses berlingots. J'ai été un de ceux-là.
Mais où j e la revois mieux, cette Katel,
c'est dans .sa\chaumière de Kerantrec'h.
(ili ! cette ctiaumière maintenant occupée
par d'autres ! Elle dominait le bel étang
de Rosporden tout plaqué de nénuphars,
line porte branlante maintenue par des
lanières de cuir, en voilait la mystérieuse
pénombre. Quand on l'ouvrait, cette porte,
des images pieuses vous arrêtaient une
seconde. Elles se trouvaient là contre une
cloison grossière, disposées au hasard ;
le Christ mourant y coudoyait la Madeleine
repentante et la Pèche miraculeuse
de Tébéréade s'unissait au tableau du Dernier Juijenimt. Ensuite, peu à peu les meubles
se dessinaient. D'abord une très ancienne
horloge puis une armoire aux moulures
naives, puis un banc-cofi're au pied d'un
lit clos, et enfin, une table en chêne massif, poussée tout contre une fenêtre minuscule non loin de l'ùtre noir.
C'est là, qu'aux tombées tristes des
froids hivers, Katel nous disait ses meilleures légendes. Par exemple, personne
n'aurait voulu pénétrer seul chez elle. On
formait des groupes, les nuits de veillées.
Le lieu de réunion était sur la place du
Boulouard. Tous nous apportions quelque chose, du lard, du cidre, des pommes, des châtaignes et môme du pain.
Ensuite, les garçons donnant le bras, aux
tilles, nous nous acheminions vers sa demeure en sautillant pour avoir plus chaud.
On babillait durant le trajet ; les j e u n e s
.gens pinçaient les demoiselles, des j o u e s
se frôlaient et parfois des rires gais fusaient, entrecoupés de soupirs. Chez Kate
on s'asseyait autour de l'âtre sur des escabeaux vermoulus. Une chandeîle de résine éclairait mal la pièce,donnant aux reflets des ombres, des aspects de fantômes.
Et la vieille se recueillait, un fuseau entre
les doigts comme les fées primitives. Un
m i t o u noir venait souvent rôder autour
de nous et nous nous demandions souvent
avec une petite pointe d'angoisse, &i cette
bête de ténèbres n'avait pas quelque afié-^
rité mystérieuse avec cette femme si'
vieille et si près de la tombe.
Dans l'àtre la chandelle crépitait, i e
vent hurlait au dehors et les chouettes
en chasse lançaient des appels lugubres. Puis Katel enfin commençait. Elle
commençait en « brezonnec » une de ces
horiliantes histoires de revenants qui font
dresser les cheveux sur la tête. Sa voix
chevrotante avait des intonations sépulcrales et ses mains dressées
comme
devant quelque spectre terrible, lui donnaient une attitude inquiétante et tragique. Alors il nous semblait qu'une légion de revenants allait envahir sa demeure, que le diable en personne allait
surgir de l'atre noir et nous nous serrions les uns contre les autres, glacés
soudain d'un froid mortel...
L'histoire finie, on respirait mieux et
Katal, souriante, nous versait du cidre.
Puis on faisait griller des châtaignes sous
la cendre et les rires de nouveau éclataient vibrants et j e u n e s .
Le terrible était l'instant du départ,
dans la nuit, on se serrait beaucoup par
crainte des anàons et une fois au lit, longtemps, longtemps, les histoires de la
bonne Katel empêchaient le sommeil de
venir.
Où donc sont-elles toutes les vieilles
conteuses de légendes •?... Définitivement
enfouies sous la terre ?... Oh ! non, j e suis
sûr qu'elles viennent encore rôder le soir
autour des vieilles églises, des humbles
chapelles et des tristes chaumières ; seulement on ne les craint plus et leurs pe
tites fîmes demeurent sans voix...
Pierre KERMADEC.
CHRONlQDfi R B U L B
lliiKM-uife des Cuiiiinissions <l'ncliat
d'étuluiiM en 1 0 1 9
Les commissions chargées de procéder,
en France, à l'achat des étalons de pur
sang, de demi-sang et de trait pour la
remonte des dépôts de l'Etat, en 1913, se
réuniront aux dates et lieux ci-après :
3 Octobre et j o u r s suivants à Landerneau, sur le champ de foire, à 8 heures
du matin.
(Etalons de derni-sang ; étalons de trait
de race bretonne).
MM. les éleveurs qui désireraient présenter des étalons aux réunions de Landerneau sont invités à adresser; avant le
24 septembre prochain, aux Directeurs
des dépôts d'étalons des ciroonsoriptions
intéressées, les noms, les origines, les
signalements complets et les performances, s'il y a lieu, des animaux qu'ils comptent soumettire à l'examen des commissions.
'
Avis aux réservistes
et territoriaux ,
Les hommes des réserves, sont informés qu'ils pourront à l'avenir déclarer
leurs ctiangements de résidence ou de domicile aussi bien à la mairie ou dan§ les
commissariats de police de leur nouvelle
résidence qu'à la brigade de gendarmerie
dont elle dépend.
Celte mesure a pour but de leur rendre
plus facile la déclar-ation dont il s'agit.
Contributions Indirectes
Par arrêté do M. le Conseiller d'Etat,
Directeur général des Contributions Indrectes, en date du 14 août 1913, M. LeTollec, préposé à Brest, est nommé commis
à Rosporden, en remplacement de M. Pinson, appelé sous les drapeaux.
Remonte
Pour e.xécution des ordres de M. Le Ministre de la guerre, le comité du dépôt de
Guingamp se réunira à Plouescat sur la
Place, le mardi-23 septembre à 7 h. .30 du
matin.
Des concours de primes de majoration
aux chevaux d'armes (Artillerie) auront
lieu à Rosporden, le 21 octobre, pour les
départements de la circonscription du
dépôt d'Hennebont ; à Ladivisiau, le 23 octobre pour le Finistère, circonscription
de Lambaile.
En plus de la commande normale le comité achètera dans les localités désignées
ci-dessus des chevaux de 5 à 10 ans dans
les catégories suivantes et aux conditions
énumérées ci-dessous.
Chevaux de selle pour la troupe : Dragon, Légère, Artillerie type dragon.
Chevaux de troupe d'artillerie : Batteries
montées.
Age de 5 à 10 ans.
Pas de maximum de taille, minimum
1 m. 52.
L'estimation sera basée sur la catégorie
et la durée probable des services ; quant
aux juments, celles ayant tous les caractères d'animaux en plein travail seront
seules admises à une majoration de prix.
Celles conservées jusqu'alors à la reproduction devront y être maintenues
dans l'intérêt de l'élevage et ne répondant pas d'ailleurs à la condition de mise
en service immédiat à exiger des chevaux
à acheter.
Les éleveurs sont invités à présenter
leurs chevaux eux-mêmes.
Sapeurs-Pompiers
Par décret en date du 4 août courant,
M. Rivier Jean, domicilié au Huelgoat, a
été nommé Sous-lieutenant à la subdivision de sap'ouî's-pompiers de Huelgoat.
Instruction Publique
Par arrêté de M. le Ministre de l'Instruction Publique et des Beaux-Arts, en date
du 12 août courant, M. Albert Rose a été
désigné pour remplir, pendant l'année
scolaire 1913-1914, les fonctions de répétiteur de langue anglaise à l'école normale
d'instituteurs de Quimper.
T a x e sur les Gardes Chasse
La loi de finances du 30 juillet 1913, institue une taxe annuelle sur les gardes
chasse dont l'assiette est confiée au service
des contributions directes. Les personnes
ayant des chasses gardées devront en
faire la déclaration avant le 31 août courant, à la Mairie de la commune où sont
situées ces chassses.
l/l'lxposition Bretonne d'Hennebont
Kou croyons devoir rappeler que nous
ne sommes plus qu'à une quinzaine de
j o u r s de l'ouverture du Congrès de la Fédération Régionalisle de Bretagne.
Nos lecteurs se rappellent que cette société où sont inscrits tant de bons bretons
désireux de travailler au relèvement intellectuel et économique de leur pays, organise une exposition à l'occasion de son
congrès d'été qui a lieu cette année dans
la gracieuse ville d'Hennebont du 24 août
au l " septembre.
Celte exposition a pour but de faire
connaître et par suite apprécier les produits bretons de toute nature, non seulement chez nous, mais aussi dans toute
la France et même à l'étranger.
Ce qui nuit en efl'et le plus à l'industrie
de notre pays, n'est que nos fabricants se
fient trop à la supériorité de leurs produits et ne font pas suffisamment de réclame autour d'eux. Ils se laissent distancer par leurs concurrents extrarégionaux.
L'exposition Bretonne est une occasion
unique oll'erte à nos industriels pour se
faire connaître.
Les Objets seront reçus jusqu'au 22 août
inclus par M. Bigot, délégué local de l'Expiisitioii lîn^tonno d'Hennebont.
Pour tous rensoignemcnts s'adresser à
M. Mocaër, commissaire général, 54 rue
de la Comédie, Lorient.
Chaque boîte 1 kilogramme brut ou
net. Sucre de luxe Chantenay, chaque boîte
1 kilogramme brut ou net, Sucre
scié
rangé
Chantenay,
carton cuir, boîtes
orunes (genre Paris), contient un ticket
prime.
30 tickets prime donnent droit à 1 kilogramme brut ou net SucTe
Chantenay.
Le Sucre Chantenay est le plus blanc,
le plus pur, sucre le mieux.
^
Quimperlé
XHaiinction
honorifique.
— Dans la
liste des médailles d'honneur du travail,
décernées lors de la visite de M. Massé à
Brest, nous relevons le nom de M. J u l e s
François Thomas, le sympathique chef de
gare de Quimperlé, auquel nous adressons
nos meilleures félicitations pour cette récompense si bien méritée.
Ecole primaire
supérieure
de Jeunes ûlles de Quimperlé.
— Voici les
."ésultats obtenus aux examens pendant
l'année scolaire 1012 1913 :
M. Pieri^ Péron, au service de M. Louis
Caëric, propriétaire agriculteur à Kerlescouarn, présente une piqûre s e p t i q u e à la
région thénar de la main droite, faite avec
une dent de fourche.
Ces lésions produiront pour les blessés
plusieurs j o u r s d'incapacité de travail.
MM. Nigen et Caëric sont assurés à la
Cie Générale d'assurances contre les accidents.
Bannnlec
Grave accident
de motocyclette.
—
Mercredi dernier, apro? .-ivoir quitté la
foire de Bannalec, M. Couloaarn, agent
Houruft.': d'enxcini.ement piimaim stupcrieiir.— d'assurances, filait en mot^isur Kernével ;
ayant dépassé ce bourg avant d'arriver à
10 élèves roçiifiâ ; Mlles Le Bihan. de l'île de
B;itz ;Callec Gabrielle, de Hoscofï'; Kérenneur,
la Grande Boissière, il descendait à une
' do Lainbé/.elicc. ; Talloc, de Pont-Aven: Pérou,
pelite allure la pente douce qui aboutit au
do Tclgriic ; RO.SIIRI. rie Hanvoc ; TaiiKiiy,
lerrible tournant de la route de KerBratian, Le SaiiK, de Quimperlé ; l.e Page, de
louann (|u'il méconn.iissaitpresque, il ne
Plonévez-Porzay.
put virer assez vite et sa moto alla s'éBrevet élémentaire. — 38 élèves reçues.
craser contre le talus. Par un hasard miSession d'octobre ; Mlles Burban. de Quimraculeux M. Coulouarn n'eut que des conperlé ; Castrée Blanclie, de Piogon' ; Hasroét
Jeanne, de Douélan ; Renaud d'Audierne ; Putusions peu graves, sauf complication,
ren, de Larmor.
au.'< j a m b e s et aux bras. Un cycliste M.
Session de Juin : Mlles Baupuion, de GloCoohennec de Quistinnic le suivait, il le
hars ; Le Blan, d'Audierne ; Boënnec, d'Arfil conduire en voiture à Rosporden ou il
gol ; Bourlôs, du Faou ; Boussard, de Crozon ;
fut pansé par le docteur Richard qui lui a
Briant, de Landerneau ; Brenneur, de Quimprescrit
un repos de 15 j o u r s provisoireRerlé ; Gaill, de Lannilis ; Callec Marie, de
ment. Inutile de. dire que Coulouarn est
Roscod' ; Castrée F.mma, de Pl0f,'0rt' ; Coroller
assuré contre tous ces accidents. On ne
Hosalie, de Penmarch ; Dumoustier, de SlPierre Quilbignon : Flécher,, de Clohars; Floch
compte plus les accidents survenus à cet
de Tréboul ; Gloux, de Concarneau ; Jourdrin,
endroit, il y a quelques années un comde St-Pierre Quilbignon ; Kerspern, de Rosmerçant de Bannalec faillit mourir étoufté
porden ; Lemaire, de Pont-Aven ; Mens, d'Audans une mare voisine où sa voiture avait
dierne ; Meunier, d'Arzano ; .Moulin, de Brest;
versée. Depuis on se tait et nul ne songe
Nédélec, de La Roclie-Maurice ; Nilias, de
à
avertir d'une façon très visible les •voyaQuimperlé ; Olivier, de Quimperlé ; Patud, de
geurs, personne encore n'y ayant trouvé
Plonévez ; Le Person, de Quimperlé ; Le Pogam, d'Hennebont ; Le Koch,. de Goncarneau ,
une mort immédiate.
Houzet, de Quimperlé ; Rozo," de Goncarneau ;
l'iion, de Tréboul ; Seignard, de Goncarneau ;
Vigouroux, de Port-Launay.
nreret mpérieur. — 10 élèves reçues, 2 admissibles.
Session d'octobre. — Reçues : Miles Burin,
de Pont-l'Abbé ; Laouénan, du Faou ; Pennec
Anna, du Pont-de-Buis ; Pnstfïc Francine. de
Brest.
Session de Juillet. — Elèves reçues, 0 ;
admissibles, 2.
Reçues : Mlles Le Baut, de Quéménéven ;
Camus, de Telgruc ; Labory Joséphine, de
Ponl-r.\bbé ; Martin, du Faou ; Kerboriou, de
Ploulgneau ; Germaine Rozo, de Goncarneau.
Admissibles : Mlles Kérivel, de Douarnenez ;
Tromeur, de Morlaix.
Postes et Télégraphes. — 2 Elèves reçues •
Mlles Anniel, de Brest etBurin.de Pont-l'Abbé.
Certificat d'études primaires supérieures. —
3f) Elèves reçues : Mlles 1"' Massonneau, de
Quimper et Péron, du Pont-de-Buis;.3', Faurie,
de St-Elienne ; 4', Billant. de Brest ; 5% Lasbleis, du Juch ; C«, Le Coroller, de Goncarneau ;
7', Dirou, de Kerfeunteun ; 8% Jourdrin, de
St-Pierre Quilbignon ; 9% Barré, de Goncarneau ; 10% Olivier, de Quimperlé ; 11«, Lenglet,
de Pont-l'Abbé ; 12", Riou. de Tréboul ; 1.3*,
Burban, de Quimperlé et Duroquier, dè Kerstran, en Brecti ; 15-, Andrieux, de Lambézellec ; 1(3', Gaill, de Lannilis ; 17", Moulin, de
Brest ; 18", Person, de Quimperlé et Nédélec,
de La Roche Maurice ; 20', PruuIF, du Illoître
Pleyben ; 21", Castrée Emma, de Plogo.T ; 22",
Boënnec, d'Argol ; 23", Dumoustier, de St
Pierre Quilbignon ; 24", Cosquer, de Gréach ar
Monl ; 25', Labadès Germaine, de Mellac ; ?C*,
Guitel, de Brest ; 27*, Seignard, de Goncarneau ;
28", Brenneur, de Quimperlé ; 29*, Lemaire, de
Pont-Aven ; 30", Briant, de Landerneau ; 31',
Gallec Marie, de Roscofl' ; 32", Dolou, de Plougastel ; 33". Dénlel, de Toulé ; 3'i', Le Guillou,
de La Fouillée ; 35". Bernard, de Poullan ; .3fi*,
Rozo, de Goncarneau.
Concours d'admission au.c écoles normales. —
24 Elèves admises aux diirérentes Ecoles.
A Quimper. — 1 4 admjses: Mlles Rio, de
Bannalec, 1" ; Le GolF, de Quimperlé, 2" ; Ker•salé, de Douarnenez, 3* ; Bloch, de Plouhinec,
7" ; Dirou, de Kerfeunteun, 9» ; Labory, de La
Forest, 10" ; Kervella, de St-Pierre-Quilbignon,
12" ; Kérivel, de Dpuarneuez, 13", Groc, de Morlaix, 1.')" ; Toullec de Pont-l'Abbé, 22» ; Coroller Anne-Marie, de Goncarneau, 24" ; Miossec,
de St-Marc, 2G" ; Barré, de Goncarneau, Dolou,
de Plogastel liste supplémentaire.
.'V Rennes.
3 élèves admises : Mlles Lenglet, de Pont-l'Abbé ; Kerboriou, de Plouhigneau ; Kéreyil de Douarnenez.
A Laval. — 3 élèves admises : Mlles Bernard,
de Poullan, Hascoët, de Douëlan ; Guillou, de
La Feuillée.
A St-Brieuc. — 2 élèves admises : Mlles Bauguion, de Glohars ; Briant de Landerneau.
A Vannes. — Mlle iiaet de Sarzeau.
A St-Elienne. — Mlle Faurie de St-Etienne.
Accident
de travail.
— Kervarrec
Louis, 15 ans, apprenti a j u s t e u r aux établissements Rivière, Jovenet et Cie, a eu
le pouce do la main droite pris dans un
engrenage, lui occasionnant un écrasement et l'arrachement de l'extrémité de ce
doigt. H subit de ce fait une incapacité de
travail d'un mois.
Conseil municipal.
— Le conseil municipal se réunira jeudi 21 août à 8 heures
du soir, salle de la mairie, pour la session
ordinaire d'aoûL
Etat-civil.
— Naissances. — MarieAdrienne Goalen, à Kervail. — Josepli-Yveï Le
Goll', à l'Hospice. — Jeanne-Françoise-Renée Le
Roy, 3, rue de l'Abattoir. — Reconnaissance
de Emile-Jean Le Glanche. — Julien-Louis
Bonnefoi, 24, place Saint-Michel. — LouiseYvonne Le Bec, 4, rue Terre-de-Vannes. —
Julien-Jacques Le Lang, 9, rue du Bourgneuf.
— Mario-Joséphine-Perrine Jégou, 16, rue
Tcrro-de-Vannes. — Barbe-Julie. Moren, rue
Tcrro-de-Vannes.
l'ubiications de mariages. — François Cadet,
iustituLeur libre à Cloliars-Garnoët et EmmaEugénie Kerniagorot, s. p,, à Quimperlé ;
\alonlin-Alain-Mario Custel, professctu' à
'école r.iiuimei'cialo à Saiul-Na/.aire, ot Mai-ie- ^
Maduloiiui-Augustine Gordier, professeur à
'écolo supérieure à Quimperlé, résidant à
Provins.
Mariage. — Gharles-Ferdinand-Marie Guinvarch, instituteur libre à Riec-sur-Bélon, ot
.leanne-Mario-Anne Vincent, s, p. à Quimperlé.
Décès. — Marie-.leanne Le Corre, 50 ans,
ménagère, épouse de Laurent Clémence, ù
l'Hospice. — Pierre Laurent, 5'.) ans, journalier, époux do Françoise Gorlou, 19, rue dollars.
Tréméven
A c c i d e n t s . — Mme Pélagie Cariou,
épouse de M. Vincent Nigen, propriétaire
agriculteur à Kerlescouarn, s'est écrasée
l'orteil du pied en vaquant aux travaux de
la ferme.
Scaftr
Accident.
- Mlle Marie Anne Duigou,
habitant chez son père à Crech-Courant
est atteinte de phlegmon du m a j e u r de la
main droite par suite d'une piqûre d'épine.
Catte lésion produira pour la blessée quelques jours d'incapacité de travail.
M. Duigou est assuré à la C " G " d'assurances contre les accidents.
Moclan
Fêtes. — Voici le programme de la
fête et du concours agricole qui auront
Heu les dimanche 24 et lundi 15 août 1913 :
Dimanche 2 4 août
A 5 heures du soir. — Course de vélos. —
luternationale : 1" prix, 15 fr. ; 2', 10 fr. ; .3",
5 fr.
Lundi 2 5 août
A 9 heures du matin. — Courses de chevaux.
— internationale. — Au trot : l " prix, 20 fr. ;
2", 15 fr. ; 3", 10 fr. — Entrée, 1 fr.
Internationale. — Au galop : 1" prix, 20 fr. ;
15 fr., 3", 10 fr. — Entrée, 1 fr.
Communale. — Au galop : l " prix, 20 fr. ;
2', 15 fr. ; 3-, 10 fr.
A 10 heures. - Concours de charrues pour
jeunes gens au-dessous de 20 ans. — l " prix,
12 fr. ; 2", 10 fr. ; .3", 8 fr. ; 4", 5 fr.
Cidre : 1" prix, 5 ir. ; 2", 3 fr. ; 3", 2 fr. ; 4»,
1 fr.
Beurres : l " prix, 5 fr. ; 2", 3 fr. ; 3», 2 fr.
4", 1 fr.
Plantes fourragères : l " prix. 10 fr. ; 2",
8 fr. ; 3", 5 fr.
A 11 heures. — Course d'hommes : 1" prix,
5 fr. ; 2'. 3 fr. ; 3", 2 fr.
Course d'enfants au-dessous de 15 ans :
1" prix, 2 fr. ; 2", 1.50 ; .3", 1 fr. ; 4", 0.75 ; 5",
0.50 ; 6", 0.25.
1 heure de l'après-midi. — Courses de vélocipèdes. — Internationale : l"' prix, 20 fr. ;
2", 15 fr. ; .3-, 10 fr. - Entrée. 1 fr.
Communale : 1 " prix, 20 fr. ; 2", 15 fr. ; 3",
10 Ir. — Entrée, 1 fr.
A 2 h. 1/2. — Course attelée : 1" prix, 40 fr. ;
2", 30 fr. : .3", 20 fr. - Entrée, 2 fr.
A 3 heures. — Course en sacs : l " prix, 3 fr. ;
2', 2 fr. ; 3", 1 fr.
Concours de fumeurs : l"' prix, deux paquets
do 0 fr. 50 ; 2", un paquet de 0 fr. 80 ; .3", un
paquet de 0 fr. 50.
Concours de buveurs : l"'- prix, 2.50 ; 2", 2 fr. ;
3". 1.50 ; 4", 1 fr. ; 5", 0.50 (chaque concurrent
devra se pourvoir de son litre de cidre).
•V 4 h. 1/2. — .Grandes luttes bretonnes, 50 fr.
de prix, prix d'honneur 15 fr. ou un mouton,
.lot du boulet : 1"' prix, 5 fr. : 2", 3 fr. ; 3%
2 fr.
Baquet russe. Mât de cocagne.
Danses toute la journée.
Gavotte d'honneur.
A 9 heures. — Grande retraite aux flambeaux.
Nota. — Le Comité ne répond pas des accidents qui pourraient survenir pendant les
courses et les jeux.
Kiec-sur-Bélon
Un refus anti-démocratique
M. B e r t h o u , maire de R i e c - s u r Bélon, a refusé
d'accepter la
somme que M. Corentin Guyho lui
faisait offrir, c o m m e a u x a u t r e s
Municipalités du Canton, pour une
distribution de pains a u x indigents. On conçoit sans peine le
mobile de ce refus ; m a i s les p a u v r e s se trouveront pâtis de la s u s ceptibilité d'amour p r o p r e dont il
s'agit.
Goncarneau
Accident
en mer. — Le 18 courant, le
nommé Jatl'rézic Correntin, marin-pêcheur
à bord du Ziù'lpatron Le Deuil se trouvant
en mer a été renversé au cours d'une m a n(P.uvre par un coup d'écoUte et de ce fait
a T t c immédiatement envoyé à terre où
le uiùdecin lui a reconnu la fracture d'une
côte.
Quimper
Lycée de Çuimper.
— Le lycée La
Tour d'Auvergne continue de prendre!une
sérieuse extension.
Presque neuf, avec ses belles classes
bien éclairées, ses vastes dortoirs installés fort convena|jlement sous le rapport
de l'hygiène et du bien-être, cet établissement semble vraiment hospitalier et ne
peut qu'attirer la jeunesse laborieuse.
Sa prospérité régulière est due, d'autre
part, tant à la bonne direction du lycée
qu'à la valeur de l'enseignement donné
dans les difTérentea classes. Les s u c c è s
rm
r e m p o r t é s nluKiue année
.preuve manifeste.
cti sonl.
imo
On se rappelle, en effet, que l'an dernier la proportion des reçus aux (li\ers
baccalauréats accusait 80 pour 100.
Presque tous les élèves présentés cette
année ont été i-galement admis.
Nombreux, dit-on, sonl les j e u n e s gens
qui doivent cislrer fin 6". A ce propos
nous ne pouvons que conseiller aux fami T.'.s de songer à placer leurs enfants
en temps utile dans cette classe importante. Ils devraient, dans leur intérêt, s'y
trouver à 10 ou 11 ans pour être bacheliers à 17 ou 18 ans, atin de pouvoir préparer ensuite avec succès les concours
d'admission aux grandes écoles du gouvernement sans être atteints par la limite
d'âge. Combien en avons-nous entendu
regretter leur entrée tardive au lycée,
lorsque, animés des plus belles dispositions, ils se voyaient entravés dans leurs
entreprises faute de temps.
Bien décidés à fairp des éludes secondaires, ceux-là n'auraient pas dû subir
l'e.xainen du certillcat d'études primaires,
qui les a rais dans l'obligation de rester
trop longtemps à l'école communale.
Cours préparatoire
aux écoles des Arts el
Métiei's. — Un cours préparatoire aux
Ecoles des Arts et Méliers, absolument
indépendant des ^autres classes, est fort
bien organisé au lycée de Quimper sous
la direction de professeurs distingués.
Pour subir le concours d'entrée à l'une
de ces écoles, qui forment des ingénieurs
expérimentés, il faut être pourvu soit du
certificat d'études secondaires du premier degré, délivré îi l'issue de la classe
de troisième des lycées, soit du certificat
d'études primaires supérieures pbtenu
dans les écoles primaires supérieures ou
au lycée ; mais une préparalion spéciale
est, en outre, nécessaire pimr assurer le
succès à ce concours.
Trois élèves du cours du lycée ont été
cette année admissibles à l'école nationale
d'Arts et Métiers d'Angers.
Classes Enfantines.
— Les deux classes
enfantines comprennent un nombre restreint d'élèves, qui peuvent lous recevoir
les soins attentifs de maîtresses éprouvées. Ces j e u n e s enfants se trouvent, en
outre, dans les meilleures conditions
d'hygiène.
Le lycée reçoit les plus j e u n e s élèves
dès l'âge de quatre ans.
Une personne de confiance est spécialement shargée de leur donner les soins
particuliers de propreté que réclame
leur tige.
Rappelons que les tarifs des frais d'internat sont peu élevés au lycée de Quimper :
Pensionnat : 7« et 8», 540 fr. par an ; à
partir de la 6», 693 fr., sans d'autres frais
que ceux que nécessite, une fois pour toutes, la composition du trousseau.
Les tarifs de l'externat sont k la portée
de toutes les bourses : -45 fr. par an en enfantine, 54 fr. en 9» et en 10% 63 fr. en 7«
et en 8« el 108 fr. à partir de la 6».
M. le Proviseur se fera un plaisir d'être
à la disposition des familles lous les j o u r s
à partir du 10 septembre.
£ e s CouraeB. — L'hippodrome Oti Cuzon, complètement transformé par la nouvelle Société des Courses toujours à l'affût du progrès, a réouvert ses portes avec
un champ de courses unique dans toute
la Bretagne.
C'est la p r e m i è r e fois que nous assistons & une réunion où grùce à un système
d'arrosagejiabilement combiné, les pistes
présentent l'aspect d'un gazon d'un beau
vert. De même les divers tracés comportent une régularité absolue avec une magnifique ligne droite et le parcours des
cross comprenant 40 obstacles dont la
plupart en terrain varié rappelle les parcours si réputés de la Croix de Berny.
Ajoutons que la nouvelle Société se propose de consacrer des sommes importantes à l'édification de nouvelles tribunes
comprenant tous les perfectionnements
raedernes et d'augmenter le chiffre de ses
ressources en réservant une large part ii
l'élevage breton.
Malgré lachaleur accablante, la foule est
toutefois immense, le coup d'œil de ces
belles toilettes où le blanc domine, manifeste l'élégance el la gaieté.
En résumé, g r â c e ' a u x membres de la
commission qui ont droit à tous les éloges, le programme de ces épreuves très
intéressantes, s'est déroulé avec la plus
parfaite régularité sans que nous ayons à
relater le plus petit accident.
Nous signalons deux sonneurs de cors
de l'hallali llochard, en tournée dans la
région, et dont le j e u harmonieux et pur
a été goûté de tous.
Voici les résultats :
P r e m i è r e Journée. — Samedi 1 6 août
Prix de la ville de Quimper, au galop,
1.200 fr. 2.000 m. — i" Eyra A. Le Couédic,
H' La Belle Helyetle, comte A. de Goyon ; 3'
Caouennec, comte de Carcaradec. — Non pl. :
Miniche {P. Nédellec). Pari mutuel, 0 . 11.50 ;
pl. 6.50 et 7.
Prix du département. - Trot monté, 1.20(J fr.
3.200 rn. — 1" Kcr-DlamanM iSt-Hoye), 2' Kabin n comte de Oéalncourt ; .r Karb (K. Ollivier) ; 4' Kerguzal (Le Gouai-). — .Non pl. :
Kabylie, Kiss-Mé-Kerpalud. — Puri innluci,
g. 7.50 ; pl. 11, I5.r.0.
Prix spécial de la Société sportive d'encouragement (1" catégorie;, au galop. — !" La Rouillante, R. Zentz d'Alnots ; X' Love, à M. de Carcaradec ; S'Saint-Yves, il M.
LoCouétIic;
4* Acacio, Blays. — Non pl. : Express Marbella.
— Pari mutuel, g. 32.50 ; pl. 10 ; pl. C. 50; course
superbe.
Prix du chemin de fer d'Orléunn. — Trol
attelé, ;uo fr. — /•' Yvonnicli (A. Morou) ;
ê' Ibis (.Ios.se), i" Irma, comte do Gésincourt.
— Non pl. Ibil-Beuz et Kis$-Me. — Pari mutuel,
g. 19 ; pl. 9.50, 11.
Prix de circonscription, 2.00() fr., I.ÎJOO mètres.
—
Sans Gêne, J. Vigot; J?* Kasteltm, G. do
' Servigny
Tambour, Le Keuntouii ;
Lady
{G. Gaude), S' Lorientaise (G. Guude). — l'ari
mutuel, g.45.50 ; pl. 5.50, 0.50.
Poule des haclis et lamters, stoepic-oliabe,
' 4
1 . 0 0 0 f r . :?.500 m è t r e s . — 1" Da.v II, ( L . L e
Cerf),
D'.V.' .
l'rix de l'Odet, haies, steeple-Chase, 1.700 l'r.,
l.(«Xi fi-. 1" Marbella, Dantion ; ? Urdns,
M. Hersihaud :
Xiptiiaa II, P. Morel ; 4" Sous
Vents, A. Roussin. ~ Non pl. ; Trafalt/ar. —
Parti mutuel, g. 42, pl. 12 el C.
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8.750 friuiGs.
Deuxième journée. — Dimanche 17 août
Prix de la Fori't. — Trot monté, 1.700 fr.,
4.000 m. — 1" Indien (Boussard) ;
.lobic (Derrien) ; s- Ibil lienz^de Richèmont). — 1" 6 fr. 50.
Prix du gourernement.
— Galop, 1.200 fr.<
2.000 m. — -/" Eyra (A. Le Couédic); S'Express
(Fumagalli) ;.'.'» Miniché (P. Nédéiec). — 1" 11.50.
Prix de l'Hippodrome. — Au trot, 700 fr. —
3.200 m. — I" Kabyle (Subileau) ; S' Kabyle
(Garreau), .i' Kiss-Me (E. Connen). — N. pl. :
Kabylie, Kerpaiud, Kerguzul. — l " gag. 0, pl. 5.
Prix de la Société d'encouragement (4' série)'.
— Galop, 2.000 fr., 2.000 m. — 1" Love (comte
de Carcaradec). i' Acacio; .i' Sptante {Comte
de Langle). — 1" 8.50.
Prix de la Société des Steeple-ckases de
France, steeple-chase militaire, 800 fr., 3.000
m. — I" Allada (Josset) ; — s- Graceful (SaintRaymond).
Prix de la Société des, Steeple-chases de
France, steeple-chas«^ 1.500 fr., ;i.500 m. —
I" St-Ignace (.1. Thirouin) ; S' Mme Oku (A.
Roussin). — 1 " (5.50.
:!• Prix de la Société des Steeple-chases de
France, cross-country ( l " catégorie). — 1.500 fr.,
5.000 m. — / " Poltron (G. Gaucle) ; f Gentil II
(llainonic) ;
Ladt/ (G. ,Gaude) ; 4' Fleur de
Mai 17// (Vigot). - 1" gag. 21.50, pl. 8.
Incendie
d a n s le camp
forain.
— Dimanche soir, le feu a pris dans la
boutique de croustillons hollandais à ,M.
llénin, à, Locmaria, et a pu être éteint
avant de se communiquer aux autres baraques.
M. llénin n'étant point assuré une quête
a été faite parmi les forains pour le tlédommager de ses pertes. Mme Hénin a eu
les pisds légèrement brûlés.
Envoi de témoins. — A la suite de la
réunion des Courses du 17 courant, M. le
Marquis de Plœuc, président de la société
des courses avait envoyé ses témoins MM.
Gaude et de Malherbe à M. Fléchelle Lefévre. Voici la lettre que ces Messieurs lui
adresse :
Mon Cher ami
» A la suite d'une discussion avec M. Flé« chelle Lefèvre, dont les termes ont été
« jugés oll'onsants par vous, vous nous
« avez constitués comme témoins.
« M. Fléchelle Lefùvro ayant rétracté ses
« paroles nous considérons notre mission
« comme terminée. »
Signé : G. Gaude et A. de. Malherbe.
Etat-civil.
— Xaissances. — Hélias Simone. — Pérou Ktiaiie. — Le Hénall' Jeun. —
Guido Georgetle. — Caradec Marie.
Décès. — Loz-ichnieur Anne, un an. — Bourbigot .Murguerile, 2 mois, — .lézéquel Hervé,
épou.x llénatl', 4^ ans. — Seznec Yvonne, 8
mois. — Lhuval Cécile, 2.') ans. — Le Reste
Jea.i, 5i ans, époux Nicolas.
Ergué-Armcl
Accident
d'automobile.
— Lundi
dernier, le j e u n e Priol Jean-Marie, 12 ans,
en traversant la route pour rentrer chez
lui regardait une auto arrêtée, mais il
n'en aperçut pas une autre venant en sens
i n ^ r s e . Le conducteur de cette dernière
freina vainement pour éviter l'enfant. Le
garde-boue gauclie le projeta sous les
roues du véhicule et il fut traîné sur un
parcours de 2 mètres.
Le conducteur releva le petit Priol qui
fut transporté chez ses parents. Il en a
été quitte pour une blessure au-dessous
du genou gaucli".
Foiiesuaiit
Sécurité
des routes. - Dernièrement
Alfred Caramaro, 16 ans, de Quimper, revenait à Fouesnant; en face de Pen-His un
des porcs qui se trouvaient sur la route
passa devantsa bicyclette; en voulant l'éviter il vint se j e t e r entre la roue gauche
de l'auto de M. Hricard, en villégiature au
château de Kernarret et fut renversé.
Craignant des complications un médecin mandé en hiUe prescrivit son envoi à
l'hospice de Quimper.
Erg;ué-(jiab6i'ic
Un poivrot
veut se noyer
à tout
prix. — Le 15 courant, Primel, 30 ans,
domestique ù Kéristin, se j e t a daus le .let.
M.M. Hascoët, de Ty-Névez, et Doaré, purent le sortir de l'eau el lui ,prodiguèrent
des soins. Remis, Pri.-nel s'élança de nouveau dans la rivière, les sauveteurs se
j e t è r e n t à sa suite et saisirent Primel qui
allait disparaître. Après les soins qui lui
furent encore donnés il retourna chez lui.
Uoiidoiiallcc
A c c i d e n t . — M. Yves Macé au service
de M. Louis Beux, agriculteur à Craou
Morc'h est atteinte d'orthrile traumatique
au genou droit par suite d'un coup de
fourche. Cette lésion produira pour le
blessé une incapacité temporaire de travail de 15 j o u r s .
M. Beux est assuré à la C" Générale
d'assurances contre les accidents.
Goulien
Suicide.
— Dimapche matin, Danzé
Hervé, de Trévern, vit un liomme pendu
il un arbre. Il coupa la corde el esseya de
ranimer ce dernier en opérant les tractions
de la langue et des bras, mais sans réfeullats; on n'a pu établir l'identité de ce malheureux qui, d'après la rumeur publique
serait Michel Durand, dont la femme habite la commune dé Cléd«n-Gap-Sizun.
<iiOll6/.CC
Mort accidentelle.
— La petite Anna
Ster, 22 mois, conlléu Ji sa tante, la femme
Cariou, fut découverte par cette dernière
dans un ruisseau la face en avant, elle
avait déjà cessé de vivre.
Laiidivisiuii
Courses.
- Les courses de Landivisiau seront courues le dimanche 24 août,
sur rhii)podrome de Cros-ar-Leuriou. Les
courses, qui comprennent 7 épreuves,
commenceront ù. 1 U. 1/2 do l'après-midi.
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Peninarc'h
JLe crime d'une folle. — Le parquet
de Quimper s'est transporté lundi h Lescors, pour interroger la femme Tareau,
27 ans. qui avoue avoir enfoncé profondément son alliance dans la gorge de sa
fille dgée de 3 mois.
L'autopsie pratiquée par le médecinlégiste, confirme ses dires.
Cet acte'est attribué à un accès de folie.
Son transféremenl à l'hospice de Quimper, a été décidé pour qu'elle soit soumise h un examen médical.
Lorieiit
Courses cyclistes.
— Le programme
des courses cyclistes comportait un match
entre le Brestois Lemasson et les deux
Parisiens, Beyl et Jacquart. Lemasson a
gagné brillamment, faisant preuve d'une
grande supériorité. Voici les résultats :
Départementale. — 1", Huiban ; 2», David ;
Le Levé.
Match à trois, I" manche. — 1", Lemasson ;
2", .lacquart ; 3% Beyl. Gagné par 2 longueurs
5' manche. — 1".
' ~ Beyl• ; 2' Lemasson à un
pneu ; 3» Jacquart.
.•;» manche. — 1" Lemasson ; 2", Beyl, à 20
longueurs ; 3% Jacquart.
Course d'encouragement. — 1", David ; 2',
Buclion : 3", Guivarh.
Interrégionale. — 1", Lemasson ; 2', Beyl, à
2 longueurs ; .3', Jaetjuart.
Course pédestre. — 1", Philippe ; 2% Crampon.
Avis
Utile
La gOne respiratoire, l'oppression, l'essoulllenient, la lou.\ opiniâtre qui persistent après
une bronchite ou une pleurésie disparaissent
rapidement en employant la poudre Louis Legras, ce remède incomparable qui a obtenu la
plus haute récompense à l'Exposition Universelle de 1900. Le soulagement est instantané,
les complications sont évitées et la guérison
définitive survient rapidement. Une botte est
e.xpédiée contre mandat 2 fr. 10 adressé à
Louis Ldgras, 13(1 .Magenta, 139, ù Paris.
Marché aux Bestiaux de la Villette
pigeonneau.x, des poussins, mérite également la m o r t : nul ne peut vous inquiétier
pour cela. Mais allez donc prétexter que
le veau, le cochon ou la vache du voisin
foulent aux pieds votre récolte pour les
abattre: bien certaini'ment, vous êtes j u s ticiable du tribunal de paix qui comparera
les deux pertes causées et vous fera
payer la diflérenco.
On voit les distinctions à établir. Et
nous parlerons pas des défauts de clôture
dont peut arguer le propriétaire de l'animal tué, pour se plaindre ! . . . Le mieux,
en pareil cas, est de faire constater le fait
par lo garde champiHre, si c'est possible,
do traduire votre voisin devant le Juge de
paix. Vous n'aurez ainsi rien h rrnindre.
HENRY BORGKZb;
LES RÉSIGNÉS
Chez les malades, les malades femmes
particulièrement, nous trouvons trop fréquemment hélas ! cé type que nous appelons « les résignés ». Il y a longtemps que
leur santé a décliné, ils vont de -mal en
pis etcomme les médicaments ordonnés
n'ont pas apporté le soulagement attendu, ils se figurent qu'il n'y a pas de remède à leur mal, qu'ils sont inguérissables.
lin fait ces désespérés chimérique ne
sont bien souvent ni plus ni moins atteints
que d'autres malades que nous avons parfaitement guéris. Leur indilTérence, leur
résignation incompréhensible devant la
souffrance permettent au mal de s'encrer
de s'enraciner, si bien qu'il sera quelquefois trop tard, l'orsqu'on les décidera à se.
soigner, pour que l'intervention médicale
même la plus énergique, *ut raison de
leur mal.
C'est à celte catégorie que nous nous
adressons aujourd'hui, les priant de lire
•
..
4 O.
.Mme Ferrand, toute j e u n e l e m m e de 21
ans, demeurant à Paris, (5, passage Kuzner, nous a écrit :
Cours <lii lundi 18 Août 1 9 1 »
ESPioCES
47
22
2.485
1.227
228
1.713
3.942
Bœufs
Vaches
Veaux
Poids moyen
Invendus
Amenés
40!)
356
484
96
120
"2
41
Poids vif. Prix au kilo':
ESPÈCES
Bœufs
Vaches
Taureaux...
Veaux
Porcs
Pri* extrêmes 1"qualité' 2' qualité 3' qualité
0.64 à 1.10
0.63 l . H
0.63 0.82
0.94 1.44
1.36 1.40
1 05
1 06
81
1 38
1 39
0
0
0
t
1
!)l
92
77
32
38
0
0
0
1
1
80
80
72
10
37
Aspect des ventes. — Vente l
le gros bétail, meilleure pour
calme pour les porcs.
L e s bêtes du voisin
lin principe, tout animal domestique
qui s'introduit dans une propriété étrangère est censé y occasionn er des dégâts.
Par conséquent, en principe aussi, le propriétaire lésé à le droit de se défendre.
Mais comment ?
Beaucoup de gens, fi la campagne, considèrent avo.ir le droit de tirer sur l'animal intrus. Cela mérite des distinctions.
S'agit-il de pigeons? Le cas n'est pas douteux : du moment où ces dévastateurs
sont pris en tlagrant délit de pillage dans
votre Jardin, votre champ, vous pouvez
leur lancer votre plomb tout ii votre aise.
S'agit-il do poules, de lapins, d'oies, de dindes, de cannards ? Nous conseillerons d'être plus circonspect, à moins que les dégâts causés par eux ne soient manisfestes.
Imaginez en ellet toute une basse-cour
égarée dans votre propriété (chose fréquente à la campagne où lu volaille e r r e
librement) ; si vous tuez à tort et £i travers sans considérer le rapport de votre
défense à l'importance du préjudice présumé, vous pouvez ê t r e . poursuivi en
d o m m a g e s - i n t é r ê t s . . . Il va sans dire, du
reste, qu'en aucun cas vous ne pouvez
vous approprier les animaux tués.
Un chat qui se permet de rôder chez
vous et do vous dérober de la viande, des
Q u i m p e r l é . — Marché du
Août. —
Taureaux, le kilo., 0.55 à 0.60 ; bœufs de
boucherie, 0.70 à0.80; vaches de boucherie,
0.00 à 0.G5 ; bœufs de travail, ordinaire
bouvillons, 50 à 60 fr. ; vaches laitières,
l/iO à 340 ; génisses, 115 à320; chevaux, très
élevé ; porcs, 1.00 à 1.15 le kil. ; moutons,
0.90 à 0.95; veaux, 0.90 à 0.85 f r . ; f r o m e n t ,
26.»» à 26.50 ; seigle, 18.»» à 19.»» ;
orge, 17.»» à 18.»» ; sarrasin, 17.»» à
18.»» ; avoine, 18.»» à 19.»» ; p o m m e s
de terre
les 100 kil., 6.50 à 8.»» ;
beurre le kil., 1.90 à 2.80 ; œufs la douz.,
0.95 à 1.10 ; foin, les 500 kil, 35.»» à 40.»» ;
paille, les 500 kil., 30.»» à 35.»» ; son, les
100 kil., 16.»» à 17.»» ; farine, 1 " qualité,
36.»» à 37.»» ; 2' qualité, 34.»» à 35 f .
LA
FRANCE
DE
DEMAIN
Hcvuc Mensuelle. — Organe du comité
nupleix. — Abonnement : France : 15 fr. —
Etranger: 18 fr. ; 2G, rue de Grammont, Pnris.
Sommaire du numéro du SO .Août 1913
.lacques Cœur : Du danger de idées fiscales
actuelles. — Emile Hinzelin : Notre Afrique
du Nord. — 11.-P. de Diusse : Les Spahis sénégalais. — Louis Le Barbier : Notre flotte marchande. — Lettre d'un Annamite. — C. des Varennes : Chronique coloniale. — H. de Rauville :
L'lnva.?ion. — Guénot : L'Expansion coloniale
française. — Ce que dit l'Alsace. — Les Livres.
Numéro spéciuen gratuit sur demande.
L A
HERNIE
La hernie n'est plus une Infirmité pour 1. s
blessés fiui adoptent tes Nouveaux appareil»
sans ressort de M. A. GLAVERIE.
Essentiellement perfectionnes, se sont le-;
seuls qui assurent sans gêne, l'occlusion in/(•'/(•«/f df" l'anneau inguinal ainsi qu'une oonleution toujours garantie des tumeurs même
les plus volumiueuses en procurant à lous un
soulagement immédiat et un bien-être absolu.
Dans notre région, oîi la renommée fin
grand Spécialiste est particulièrement répandue, nombreux sont les blessés qui ont été délivrés des soutl'rances et des inquiétudes de
leur inlii-mité grâce à l'efficacité unique <lc
l'incomparable méthode inventée par M. A.
CLAVERIE.
Aussi, nous sommes heureux de rappeler
nus lecteurs la présence parmi nous du ivnonnné Spécialiste en leur recommandant vivttinenl de ne pas manquer de profiter de son
passage pour lui rendre visite de 9 h. à 5 h. à :
CHÂTEAULIN, Jeudi 21 Août, Hôtel de la
Grand'.Maison.
QUIMPERLE, Vendredi 22, Hôtel du Lion
d'or.
CARHAIX, Samedi 23, Hôtel de France'
« CEINTURES-MAILLOTS » CLAVERIE<
pour lous.les déplacements des organes chez
la Eenime (Hernies ombilicales, Descentes et
Déviations de la matrice, Rein mobile, etc).
^PRIÈRE AUX CONSOMMATEURS
« Depuis longtemps j'étais atteinte d'une
anémie lente. Mes forces m'avaient abandonnée, jo n'avais plus mes bonnes couleurs d'autrefois, l'n petit travail, un léger ellort étaient de trop pour mes petites
forces et j e ne pouvais même plus travailler il des petits travaux d'aiguille
sans avoir des points de côté et ressentir une grande fatigue. Mon sommeil était
fragile, au moindre bruit j e me réveillais
et alors j e ne pouvais plus me rendormir
Mes digestions étaient pénibles et, comme
je souirrais tout le temps, j'étais toujours
triste. .le ne m'intéressais plus à rien et
comme tout ce qu'on avait t'ait pour me
guérir n'avait pas réussi. J'étais résignée.
Ma mère, souffrante, ayant essayé les Pilules Pink et s'en étant très bien trouvée,
j'ai voulu moi aussi prendre les Pilules
Pink car sa guérison si rapide m'avait
donné de l'espoir pour moi. .l'ai donc suivi
le traitement des Pilules Pink q u i a réussi
parfaitement là où tous les autres n'avaient rien pu faire, .l'ai le plaisirde vous
i n f i r m e r (luc j e suis maintenant rétahlic.
Lus personnes (|ui m'ont vue si malade ne
me reconnaissent pas. »
llésignés, désespérés, si votre maladie
a pour origine la pauvreté du sang, la faiblesse (les nerfs, les Pilules Pink doivent
vous guérir. Même si les autres médicaments ont échoué, les Pilules Pink vous
guériront: les Pilules Pink ne ressemblent
en rion aux autres médicaments, lîllesont
guéri d'innombrables cas d'anémie, de
chlorose des j e u n e s lillos, de maux d'estomac, migraines, névralgies, sciati(|ue,
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d*h»hitation
construite en pierres, couverte en
ardoises, ayant :
Rez-de-chaussée comprenant couloir accédant à l'escalier, une pièce
éclairée par une porte et une fenêtre, une autre pièce éclairée par une
porte seulement.
Premier étap;e composé de deux
pièces.
Vaste g r e n i e r o c c u p a n l tout l'étage.
Cette maison donne du nord sur
terre à M. Gannévet et petite cour
ci-après, du midi sur la roule de
Ros-Bras, du levant sur maison à
Antoine Bisquay, du couchant sur
maison aux héritiers Collobert.
Ses pignons levant el couchant
sont mitoyens.
2® Au nord de cette maison n n o
p * t i t e * o o n r donnant du nord et du
levant s u r terre à M. Gannévet, du
couchant sur maison aux héritiers
Collobert et du midi sur la maison
ci-dessus décrite.
L'ensemble de ces immeubles figure au plaa cadastral de la comm u n e de. Riec-sur-Bélon sous les
numéros,633 et 634 de la section E
pour une' contenance de96centiares.
Tel au surplus que lesdits immeubles se poursuivent avec leurs circonstances et dépendances sans aucune exception ni réserve.
M i s e à p r i x fixée par
le tribunal
2 . a o o fi».
Cette vente est poursuivie en exécution d'un j u g e m e n t , du tribunal
civil de Quimperlé, en date du 9
Juillet 1913, enregistré et signifié,
rendu contradictoirement :
Entrq :
M. Jean-Louis Le Gouar, facteur
en retraite, demeurant à Quimper,
Place St-Corentin, n» 16.
Demandeur ayant pour avoué M"^
BOT, demeurant à. Quimperlé, rue
Savary, n® 20.
Et:
1® M. Jean Le Gouar, mineur
émancipé, cordonnier, demeurant
chez M. René Huiban, à KerentrecliLanester, rue de l'anse, n® 10.
2® M. Guillaume Lédan, boulaner, demeurant à Quimper, rue des
ouvres, n® 14, pris en sa qualité
de curateur ad hoc de M. Jean Le
Gouar, nommé à cette fonction à
cause de l'opposition d'intérêts qui
existait originairement entre ce dernier et M. René Le Gouar, son cura
teur.
Défendeur ayant pour avoué M®
PITON, demeurant à Quimperlé, rue
de Quimper, n® 12.
.3» M. René Le Gouar, facteur des
postes, demeurant à CtiiUeauiin, pris
en sa qualité de curateur à l'émancipation -'de Jean Le Gouar. son
frere sus-nommé.
Ce dernier défendeur ayant pour
avoué M* BOT sus-nommé.
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pour parvenir à la vente, et déposé
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DE PONFILLY, le lundi 8 septembre
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Quimperlé, le 16 août 1913,
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et à la cérémonie funt'-ljre île
Monsieur A n i i a n d l i i T i i
Maître-Imppimeup
Directeur de I' • Union Agricole i Maritime»
et de la • Côte d'Armor »
Président de la Société de Panification
> La Famille »
décédé à Quimperlé, le Jeudi 21
Août 1913, dans sa 44" année, muni
des sacrements de l'église.
La cérémonie religieuse aura lieu
en l'église parc-issiale de SainteCroix de Quimperlé, le Samedi 23
Août 1913, à 4 h. de l'après-midi.
Le deuil se réunira à la maison
mortuaire, 9 bis, plaoe liervo.
/)e profundis
j.
!...
De la part de' Mme Veuve .VrinaïKl
GAUTIEU, son épouse ; île Mlles
Jeanne et Solange Uautikr, ses lilles;
des Familles G A U T I E R , Hobitaillik
.Directrice : M - " " V ^ " Armand G A U T I E R
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r-
La
• •> ri
1011
des'Rcactionnaires
La politique n'est pas si difflc^e qu'on
se l'imagine. Lorsqu'on discute, même
avec un ami qui n'est pas do voire avis,
on le traite de réaclionnaire pour que
les imbéciles vous donnent raison. C'est
simple et à la portée de toutes les intelligences.
Les dirigeants du Comité exécutif du
parti radical et radical-sociàliste n'ont
pas d'autre politique. Dès que vous
n'admirez pas la force de leur raisonnement ordinaire, ils vous qualifient de
profane rétrograde, c'est-à dire de réactionnaire cabotin. Aussi ne soyez pas
étonné qu'il y ait tant de réactionnaires,
alors qu'ils ont toute la peine du monde
à faire élire un de leurs candidats.
Mais lorsqu'il n'y en a plus, il y en a
encore. Demandez à M. BoufFandoau ?
Actuellement, ils sont agités. Ils dressent les listes de proscriptions, qu'ils
lanceront comme une bulbe d'excom-
[3î] Feallleton de V Union Agricole
Coqueluche \ er
par Pierre SALES
PREVJluRE
PARTIE
IX
Le triomphe du poète
* *
Il était >1 SDcbanté de lut-môm », et si
emporté dans son Inspiration po6tlqae
qa'il n'avait pas entendo la porte s'oa
vrlr... et qu'il fallut qu'an souffla tflleurât
presque sa nuque pour qu'il s'apergut
qu'il n'était plos seul... un souffle dAlicieuz, parfumé, et dégageant un cbarme
al magoètique que Coqueluche frissonnait
aussitôt Jusqu'au fond de son ôtre et se
disait : * C'est la grande dame ! »
Il en était si troublé a l'avance, lui qui
avait ri au milieu de la grêle de balles
qu'on lui décochait, qu'il osait à peine se
retourner.
L a forme féminine se penchait sur lui,
effleurait son épaule, et une main flnalement gantée se posait sur ses vers, tandis
que ces mots étaient dits avec une ironie
t r è s tendre :
— J e ne vous savais pas poète 1
Coqueluche eut la sensation certaine
q^all <leT«iuU cramolfli. S t tandis qu'U l o
II est certain que les électeurs se trouveront amenés, par là'- force des
choses, à se prononcer entre les trois politiques eu présence et en concurrence dans le pays : la politique d'entente, ouverte ou déguisée, avec
les révolutionnaires, nécessairement démagogique et contraire a u x intérêts généraux ; la politique franchement réactionnaire des anciens
partis, demeurés fidèles à leurs espérances et comptant, pour les réaliser, sur les divisions et les fautes des républicains ; et enfin la politique
démocratique d'action sociale et de concorde nationaler sans compromis
sion, ni avec les partis de réaction, ni avec les partis de désordre, orientée
inlassablement vers le progrès, généreuse et tolérante ; C'est la nôtre.
Politique essentiellement et exclusivement républicaine, — faisant
appel à tous les Français pour la défense nationale, mais rien qu'aux
républicains — à tous les républicains, sans ostracisme, ni exception, —
pour la défense de ia République. Il n'est pas de doctrine plus orthodoxe,
plus inattaquable au point de vue des traditions du Parti républicain.
Aussi convient il de dédaigner les allégations de ceux qui s'obstinent à
nous la reprocher comme une sorte de trahison ~ allégations fantaisistes dont, l'absolue injusti-îe est évi lente pour tous les hommes de bonn^
foi. Les réfuter, ce serait du temps perdu, puisqu'elles ne reposent sur
rien et que les faits qui, prétend-on, les motivent, sont imaginaires.
Le Parti Républicain
Démocratiq'ic
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DIMANCHE
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ne procède, ni par intimidation, ni
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fions ils parlent du i" ou du iS de chaque mois.
On s'abonne au bureau du journal. On peut s'abonner
également, sans frais, dans tous les bureaux de poste,
ou encore en adressant tin mamtat-poste au Directeur,
Mme Vve A. GAUTIER, place Bervo, à Qutmferlé.
doute co qui (xpliqiie leur ,pré/ërcnce
pour les. nioulotip, p rce que ces animaux inoflensifs suivent en bêlant le
^berger ou le boucher qui les conduit.
Une des futures victimes des inspirations du Confjilé exécutif s'est donnée la
peine superflue de confectionner une
statistique pour les éclairer, statistique
que nous reproduisons sjins songer à
les convaincre :
A la Chambre, pour la loi : .TKS voix ;
contre .204. Au Séiat, pour : 2'1-1 contre 30.
Si on défalque de ces chiffres les sociàHstes unifiés el les conservateurs, on
trouve :
A la Chambre, pour : 289, contre : 131.
Au Sénat ; pour : 213, contre : ;îO.
C'est parce qu'il y a trop de réactionnaires, disent-ils !
Il faudrait pourtant s'entendrp : vous
écrive/ de temps à autre qi c 1
réactionnaires sont déci;rn , qn'ils nVxistent plus. Comment se iMi il .^u ils ressuscitent en si grande abondance?
M. Camille Pelletan, qu'il faut toujours
citer en pareil cns, explique ce mystère
de cette fa(;on. Le.i jjarlis de
droite,
par sommation, mais seulement par persuasion. Son unique instrument que le corpa électoral décime
chaque
d'action, c'est une inlassable propagande ; c'est l'affirmation constante de fois qu'on le consulte, ces partis que le
ses doctrines. S>n respect des convictions d'autrui, ses égards pour les pays désavoue et réduit à l'état'di rnipersonnes sont pour lui une règle invariable: sa volonté de servir uni- no7'ité de plus en plus faible, reprenquement les intérêts de la F r a n c e et de la République est absolue. « Il nent l'amntacje a mesure que la France
les condamne : Ws noMS ont donné un
n'exploite pas la République », il n'est pas « un parti de profiteurs et de
président de la République ; ils forment
parasites
Il est, et il ne veut être que ceci : Un groupe jde citoyens de la majorilé du ministère ; ils imposent
bonne volonté passionnément 'et exclusivement attachés à l'idéal répule service de trois ans, repoussé par la
blicain d'émancipation, de fraternité et d'honneur national.
. i
. majorité des républicains ce n'est pas
trop de dire que, de ptfs
Comité local
de l'Alliance Républicaine Démocratique.
^ous regrettons vivement la disparition prématurée
de M.
Armand
GaïUier, nous plaignons, avec ta ville entière, la douleur des siens ; mais,
si les hommes, même jeunes, succombent ainsi, les idées de liberté et de
justice leur survivent ; M. Thiers aoait fait inscrire sur sa tombe. « Il
a aimé sa patrie et il a eu le culte de h vérité » Notre ami, — et c'est
son honneur — mérite qu'on lui applique la même
épitaphe.
en plus ils
gouvernent. (Dépêche de Toulquse, n°
dullAoul).
'
Si les réactionnaires se mulliplienf
aussi miraculousemenl, c'est qu'on est
généralement le réaclionn-iire de quelqu'un. Ainsi, les exécuteurs du Comité
radical el radical s c i a l i s l o sont à
leur
municalion au Congrès de Pau. La première charrette qui conduira à la guillotine radicale les ministres DumonI,
Clémentel et Massé, grince déjà sur le
pavé de la rue de Valois. Peut être M.
Kloiz y sera-t-il aussi hissé?
Mais où les exécuteurs sont embarrasses, c'est lorsqu on leur fait remarquer que deux de leurs vice-présidenls
sur trois méritent le couperet. Et ces
dignitaires ne sont pas de la « pelile
bière » ! Il s'agit de MM. Doumergue et
Trouiilot, deux anciens minisires, doni
les lumières aveuglent leurs amis poliliques. Pourquoi aussi ont-ils vo!é la loi
« réactionnaire» de trois ans? M. Clé
menceau l'a bien volée, mais les radicaux qu'il a enfantés le laissent tranquille. Ils préfèrent guillotiner ceux
qui ne crient pas trop fort. C'est sans
tour exécutés par M. .Jaurès, qui les
trouve bien réaclionnaires. Il est vrai
que M. Jautôs traitait de la même sorte
son ami allemand Bebel, qui vient de
mourir. Le citoyen Bebel était patriote,
donc archi-rétrograde pour M. Jaurès.
Le 7 mars 11X)4, au cours de li discussion du budget de la guerre au Reichslag, il s'écria au grand scandale de nos
socialistes antimilitaristes . « Si jamais
on attaquait TAilomagne, si son PX S
tence était en
alors, jo vous en
donne ma parole, du plus je-une au plus
vieux, nous serions prêts à mellre le
fusil sur l'épaule et à marcher. Et si je
parle ainsi, ce n'est pas pour vous
plaire à vous (la droite) mais pour nou?,
car cette terre est aussi notre Patrie.
reloarnait enfla, ses yeux clignotèrent...
Et quel bourdonnement exquis en son
oreille, d'entendre une belle voix chaude
murmurant :
Coqueluche balbutia aussi cette v s g a e
réponse :
— Lieutenant, aux... a u x hussards de la
reine...
En face de qui, diable ! ne trouvait-Il?...
L'habitante de ce logis ?...
Oa quelque servante?...
Peut-être une demolFoUe de compagnie
venant en avance ?.,. Mais allalt-ll le lui
demander ?... risquer de compromettre la
gronde d a m i qu'il devait sauver?
Décidément 11 était lancé dans une aven
ture bldn compliquée... mais combien
charmante 1
— Vous faisiez donc des vers à la reine,
monsieur le lieutenant ?
Ces mots avalent été pronorcés avec
un petit rire, sentant l'embarras, la timidité.
— Elle est si belle ! avoua-t-ll.
— Vous la connaissez donc ?
— Si Je la connais ! C'est-à-dire que...
pour être franc... voyons...
. Il réfléchissait ; et bien sincèrement :
— C'est peut-être pas de l'avoir vue...
ce qu'on appelle vue.,, que je pourrais
dtre que je la connais 1... Mats j'en ai tant
en sous les yeux, de ses portraits !...
— Oui... on les vendait par milliers, le
jour du couronnement... E t . . . sur un
Hlmple portrait... vous voici presque
amoureux, monsieur le lieutenant ?
— Est ce que toutes les femmes de ce
pays ne méritent pas qu'on soit toqué
d'elles I... mais surtout de la reine... Ah !
ce qu'elle doit être gironde !
L a paysanne parut légèrement stupé-
faite : elle croyait pourtant bien connaître la langue franç<»lge ! et elle ne voulut
pas demander d'explications sur ce
terme... pea!-être unedernlère expression
dn parisianisme?...
Un assez long moment, elle regarda le
lieutenant, el se laissa bleu dévisager par
lui. Nouveau venu, sans aucun doute, aux
hussards de la reine, II ne connaissait pas
encore la souveraine. Il était inutile, en
ce moment du moins, de le détromper.
Mais que faisait-il là?... Etait-ce qu'il
attendait?..
Appartenait-Il au grand-duc Frllz, qui
s'était servi de lut, soit pour le guider,
solt pour lut faire prendre patience en
attendant qu'il arrivât lui-même ?...
N'avalt elle pas compris que la volonté
dn trio ministériel, soutenue par les pernicieux et conseils de sa mcre, ne l'envoyait
à sainte Eudoxte que sous la protection
du grand duc Frl'z, cousin du roi, en qui
son époux mourant l'avait presque remise?...
Ils se contemplaient toujours l'un l'autre, brûlant de se parler... ne l'osant pas.
Coqueluche d'ailleurs commençait à ne
plus sentir aussi vlvempnt la nécessité de
sa mission : tout, bientôt, s'évanouissait
devant cette créature, au moins aussi
belle que la r e i n e . . qni avait même
quelque ressemblance avec elle... 11 osa
le dire.
— J e parle qu'elle n'a pas de plus beaux
yeux que vous, la reine de ce pays !
Fut-ce le plaisir causé par cette admiration?... Qa un trouble réel ?...
A. R. D.
Duss(5-je à vos beaux yeux paraître ridicule...
Mais voili que ce n'était p»s du tool la
grande dame qa'll attendait 1 II n'avait
en face de lui qu'une paysanne... JcllmeDt
séduisante par exemple, avec des yeux
magnlAques, les yeux qui lisaient si bien
ce vers :
Dussé-je m'attirer un regard de travers,
E ' une bouche adorable qui prononçait
st câltaement :
.le vais vous faire un don, un don bien minus[cule,
Kl n'ayant rien de mieux, je vous oll're mes
[vers..
Coqueluche ne réfléchissait pas encore
k cette anomalie d'une paysanne grégo
rlenne capable de lire si bien le f r a o ç t l s :
il entendait ses vers et en perdait la
boule I
Ne raurait-ll pas perdue, d'ailleurs, rien
que devant cette taille si ronde, si souple !
devant ce cou qui se trouvait tout prôi
de ses lèvresà lui... qui semblait s'olTrlr !..i
Mats la paysanne, ayant flai de lire les
ver» et regardant enfln Coqueluche, avait
en un mouvement en arrière :
— J'avais cru 1... balbutiait-elle : vous...
vous ôtes donc nouvellement aux hussards
de la reine, monsieur le lieutenant ?... car
je croyais bien en connaître tolus les officiers 1
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dernier souille, je vous le jure ! »
— Peut-on être réactionnaire à ce
point là se dit M. .Jaurès ? Oui, et on ne
s'en porte pas plus maL
Souhaitons à notre pays beaucoup d j
réactionnaires de cet ordre, c'est-à dire
beaucoup de patriotes.
René SALLMS.
Au Jour le Jour
F r a n c e et Russie
La mission française a assisté, à Krasnoié-Séio, il la revue du régiment PréoIjaJensiii, qui a eu lieu en présence de
l'empereur, à l'occasion de la fête du régiment.
Au Imnquel qui a suivi, de nombreux
toasts ont été portés des deux parts. Le
Izar en personne en a clôturé la série
en IjuvanL à la glorieuse armée française,
au général Joll're el au.x officiers de sa
suite.
La musique de la garde a ensuite exécuté la « .Marseillaise » que tous les assistants onl écoutée debout.
Ztes
ffénéranx
décorés
J'offre et d'A.ma,r
par le tza,r
Le tzar a décerné au général Jofl're la
plaque, avec diamants, de l'ordre de Saint
Ale.xandre Newsky, el au général d'Amar
les insignes de l'ordre de l'Aigle Blanc.
Tous les autres membres de la délégation française onl reçu des décorations
ou des cadeau.x précieux.
flS»'
Dans les Balkans
La situation balkanique continue à demeurer excessivement troublée, et les
informations les plus contradictoires circulent relativement aux intentions des
belligérants en expectative. Il semble,
toutefois, que l'intervention officieuse et
pacifique de la France, de la-Hu-sio, et
même de IWlIemugiie, doive amener une
détente prochaine, tant entre les allies
balkaniques qu'enlre ceux-ci et le gouvernement ottoman.
— Aux observations qui lui ont été
faites par les représentants des puissances. la Porte a déclaré qu'elle n'avait
Jamais ou l'intention de faire franchir à
ses armées l'ancienne frontière lurcol)uigare, ni de s'installer en Thrace el à
l'ouesl (le la .Marilza.
De son côté, le grand vizir a affirmé que
l'armée turque avait arrété S(>n mouvement en avant, ayant reçu l'ordre formel
de ne pas l'aire un pas de plus.
— 11 n'en est pas moins vrai que les
Grecs ont dû évacuer Dédéagatch, port
important de la mer Egée, situé entre
Cavalla el Kud. Les Turcs auraient réoccupé cette ville.
— On annonce de Soda que la démobi-
A cet instant précis, comme un voile
s'étendit sur le feu de ces beaux y e u x ;
et, on même temps, la paysanne grégorienne se laissait aller sur un siège... sou
coude tombait lourdement sur la table...
sa tête s'appuyait sur sa main...
— Ah , mon Dieu ! . . murmurait-elle,
mon Dieu !... qu'al-ja donc?... Sainte Eudoxte 1... Pourquoi suis je lasse ainsi?...
Ses yeux s'étaient clos, son corps s'affaissait encore.
— Eh bien, eh bien, ma petite I...
lastantanément, Coqueluche allait, sans
hésiter, jusqu'au bout de sa galanterie,
osait prendre la taille de la jeune femme,
qui semblait prête à défaillir. Elle prononça alors... mais à peine... ces mots :
— Qui vous envole?... Si c'est le granrt
duc F r l ' z ? . . .
Ce furent les dernières paroles qu'entendit Coqueluche. Avant qu'il eût répondu, tl sentait ce corps, qui s'alangulssait tout entier, s'abandonner presque
dans ^es bras.
— Ah
1... Ah çà
Elle va pas roe
tourner de l'œil I... E t si je m'occupe de
celle c l . . e t si la grande dame arrivait
tout à coup I... Mademoiselle t mademoiselle ! . .
Les yeux de la paysanne se rouvraient,
malsavecuneexpresslonétrange... Voyaitelle réellement?.. Oa quel désordre s'emparait de son esprit, qu'elle souriait i
inconnu?...
lisalion est complèlemenl terminée. Les
troupes roumaines quitteront définitivement le territoire bulgare le 28 de ce mois
— La Roumanie a consenti une indeumilé à la Bulgarie en compensation des
dégâts occasionnés par ses troupes pendant leur s é j o u r sur le territoire de cette
nation.
Les communications télégraphiques et
par voies ferrées ont été reprises entre
les deux pays.
— Une dépêche de Solia dit que l'uliase
ratifiant le traité de paix paraîtra incessamment. Il sera soumis à la sanction du
yobranié, dès l'ouverture de la session
d'automne. L'échange des ratifications se
fera ii Rucharest.
L e premier sauvetage aérien
Un
dirigeable
en panne
remorqué
par un autre
dirigeable
Pour la première t'ois s'est produit un
sauvetage aérien. Le nouveau dirigeable
militaire Ela, qui a fait sa première sor• tie lundi v i e n t d e p r ê t e r a s s i s t a n c e à u n dirigeable de la marine dont les moteurs
• ne fonctionnaient plus et l'a remorqué,
• iiu moyen d'un oAble, Jusqu'à son hangar
îi Farnborough. Le trajet ainsi parcouru
par les deux dirigeables — 15 kilomètres
— a été fait en .Ti minut.es.
'
c8»
Aviation
lloland Garros, revenant de Commercy
avec un(> passagère, de conserve avec Audemars, a été obligé d'atterrir au paro
(le Hejiiival, près de Meaux. à la suite
d'une panne do moteur.
— On a n n o n c e de S a i n t - P é t e r s b o u r g q u e
l'aviateur .lanoir, dont l'absence de nouvelles n'avait p a s laissé d ' i n s p i r e r de sér i e u s e s i n q u i é t u d e s , vient d ' a r r i v e r enthi,
en très bonne forme, à l'aérodrome de
c e t t e ville.
Secrétaires de mairie r é s e r v i s t e s
L'appel sous les drapeaux des réservistes secrétaires de mairie pouvant avoir
une répercussion fâcheuse sur les opérations préparatoires à l'incorporation de
la classe 1913, M. le ministre de l'Intérieur à décidé que toute demande émanant de cette catégorie de réservistes, et
tendant à ne pas etl'ecluer de période d'instruction avant le lô septembre prochain,
devait être favorablement accueillie.
É e s relations
postales
franco-hollandaises
X e télégramme
de presse à
demi-tarif
M. A. Massé, ministre du Commerce, de
l'Industrie, des Postes et des Télégraphes,
a décidé, après accord avec les administrations néerlandaises et beiges, d'étendre
aux relations entre la France et les PaysBas (voie Belgique), les dispositions prévues en faveur des télégrammes de
presse. Ces télégrammes bénéficieront d®
la réduction de 50 0/0 sur le tarif normal
par la voie précitée, c'est-à-dire qu'ils
acquitteront une taxe de huit centimes
par mot.
.M. Massé poursuit actuellement des
pourparlers pour l'adoption du même régime dans les échanges avec la Belgique.
Il espère faire aboutir prochainement les
négociations.
AU
PROGRÈS
Maison QUETTIER
55. niB du Port — LORIEIMT
(à droite en descendant la Bove)
LA P L U S A N C I E N N E
LA P L U S I M P O R T A N T E
LA'MEILLEURE
MAISON D'HABILLEMENT
p o i r H u i i » . JeiiQBS Qens&Eiiliuits
Maison
de Oonflanoe consaorèe Ipar
4 5 anside.Succès
E t comme II essayait de la soulever, se
dlsaat vaguement qu'il allait la porter
dans la chambre... là haut — les bras, les
bras frémissants de la Grégorienne enveloppaient son cou... 11 sentait son admirable poitrine battre contre lui... Le
souffle parfumé qu'il avait eu tout à l'heure
sur sa nuque, montait & ses lèvres, les
attirait impérieusement...
Coqueluche n'avait Jamais refusé sa
galanterie à une femme aimante... E t
n'était-ce pas l'amour
peut-être pas un
amour destiné à lui... mais de l'amour
tout de môme, qui provoquait soudain
entre eux une de ces minutes Inoubliables... oCi le monde entier disparait?...
E t pouvalt-11 s'étonner de quoi que ce
fûl, en ce pays, en cette nuit, où, depuis
deux heures, il avait eu une Intensité de
sensations qui balayait tous ses souvenirs I...
Il s'était endormi, brisé de fatigue,
meurtri par des chaînes, dans un cachot
humide... Il avait comparu devant des
juges souverains... 11 avait pu croire que
sa mort était décidée... on l'avait envoyé
A l'aventure... avec de l'or déjà donné...
des balles à recevoir, qu'il n'avait môme
pas saluées, comme 11 disait si crânement... Il n'était alors qu'un pauvre hère,
complètement délabré... E t le hasard,
comme dans un conte de fée, lui avait
donné cette élégante livrée militaire...
E t cette nuit de r ê v e lui amenait la
créature la plus troublante, la plus voluptueusement passionnée...
Ab I.M qae ce rêve ne cessât pas, si s'en
GHROnUDE R B l i l Q l i L B
Riiscij^neinenl
Par arrêté en date d u ' 3 l Juillet 1913,
M. le Président du Conseil, ministre de
l'Instruction Publique et des Beaux-Arts,
a attribué les bourses
d'enseignement
secondaire suivantes :
Boifj's^'s (Vlnterml
Lyct'te tic Brest. — A titre d'essai. — M.
Dut'ount Pierre, domicilié cliez son père, entrepreneur de travaux à, Crozon ; M. Jannes
Meiu'i, domicilié chez son père, instituteur à
St-Frégant ; M. Le Treut Emile, domicilié chez
son piire, Glief guetteur au sémaphore de
PlougonveUn.
Lycée de Quimper. — A titre définitif. — M.
Burazer Hippolyle, domicilié chez son père,
commerçant à Landeleau.
A litre d'essai. — M. Loussouarn Denis, domicilié cliez sa mère, commerçante à. Penniarcli (Sl-Pierre) ; M. Maltret Jean, domicilié
chez son père, couvreur à Scrignac ; .M. Merilhou Henry, domicilié chez son père, instituteur à Concarneau ; M. Stéphan Léon, domicilié chez son père, instituteur à Cast ; M.
Brabau François, domicilié chez sa mère Mme
veuve Bral)an, commerçante à Bannaleo ; M.
Blcuzeu .loseph, domicilié chez son père, sousbrigadior des Douanes Ji NMzon ; M. ,lupin
Emile, domicilié chez son père, ouvrier-soudeur, rue du Pont fi Douarnenez ; M. Imljault
Jean, domicilié chez son père, préposé d'octroi i\ Quimperlé ; M. Qoyat Jean, domicilié
chez son père, gardien du phare d'I3ckmiUl à
l'enmarch ; .M. Geslin François, domicilié chez
son père, commerçant fi Ghûl.eauneuf-du-Faou.
Gollège do Morlai.x. - A litre définitif. .M. Brigand Auguste, domicilié chez son père,
l'olrailé dos clioinins de fer de l'Rtat, Ji Plouégat-Guéranil.
A titre ii'essai. — M. Lesago Pierre, domicilié chez son père, maréchal des logis de gendarmerie, fi Ploudalmézeau.
Lycée de Lorient. — A titre d'essai. — M.
Gaiidiii Alexandre, domicilié chez son père, 15,
(Juai Brizeux, à Quimperlé.
Lycée de SI Quentin. — A litre d'essai. —
M. Hemery Bené, domicilié cliez son père, insliluleur il i-euhan.
noursex d'externat surveille
[.ycée de Brest. — A titre définitif. — M.
Gap François, domicilié chez sa mère Mme
veuve Gap, 10. rue Villaret-Joyeuse, à Brest.
A litre d'essai. — M. Lozach .Fean, domicilié chez son père, 2" maître mécanicien à
Brest ; .M. Nicol Albert, domicilié chez son
père, 1" maître fourrier à, St-Pierre Quilbignon ; M. Goal Yves, domicilié chez son père,
ndrailé de la Marine à Brest.
Lycée de Quimper. — A titre d'essai. — M.
Briec Georges, domicilié chez son père, facteùr
chef à Quimper ; .M. Lenogre Henri, domicilié
chez son père, chef de Bureau de la Préfecture
en retraite, Quimper ; .M. Le Peillet Georges,
domicilié chez Mlle Le Peillet, couturière à
Quimper ; M. Le Bec Yves, domicilié chez sa
mère, .Mme Le Bec, ménagère à Quimper ; M.
Boux Georges, domicilié chez son père, sousintendant militaire à Quimper.
3' Bourses
d'externat
Lvcéede Brest. — A titre définitif. — M. Audouard Robert, domicilié chez son père, lieutenant de Vaisseau îi Brest.
A titre d'essai. - M. Haineval Cliarles, domn
cilié chez son père, chef de Station, au BeîecqKerhuon ; M. Pouliquen Pierre, domicilié chez
son père, paveur, à Brest; M. Aumont Firnest,
domicilié chez son père, méea'nicien principal
de la Marine, en retraite, à Brest; M. Bloc([uaux Fernand, domicilié chez son pere,
adjudant d'administration du Génie, ii Brest ;
.\L Grnix Marcel, domicilié cliez son pere,
agent administratif de la Marine, à Brest ; .M.
Germain Gilbert, domicilié à Brest, chez son
père; M. Toby François, domicilié chez son
père, maître mécanicien, à Lambézellec.
Lvcéede Quimper. — A titre définitif. — .M.
Hannou lùnile, domicilié chez son père contremaître de papeterie, ù Scaër ; M. Le Bihan Bo
ger, domicilié chez son père, lletraite des
douanes, à Quimper.
A titre d'essai. — .M. Le Poupon Louis, domicilié chez son pére, imprimeur lypograplie,
à Quimper.
M. Kerneur Prosper, domicilié chez son pere
serrurier, à Quimper.j
M. Goyaud Maurice, domicilié chez son père
contrôleur de la direction des contributions
directes, à Quimper.
Collège de Morlaix. — A titre d'essai. — -M.
Le Bouder Yves, domicilié chez son père employé de magasin à St-Martin-des-Gliamps.
iMouvemcut d'instituteurs
Par arrêté de M. le Préfet du Finistère :
M. Mahé Samson, instituteur à Moëlan
était un 1 . . . car, jamais en ses vers, 11 ne
parviendrait à en traduire la mémoire.
Gomme 11 parvenait à la petite chambre, et se croyait déjà triomphant, 1
éprouva bien quelque résistance : e
des ongles déchirèrent son cou... suprême
coquetterie, simplement i car la belle
Grégorienne était vaincue par le beau
gamin de Paris.
Il le croyait, du moins. Comment aurait
Il pu deviner, d'ailleurs, que c'était un
être à demi Inerte, ne se possédant plu»,
que les complications politiques et f a m i
llales avalent envoyé à ce rendez vous ?
Une galopade de chevaux l'arrachait...
les arrachait soudain... à cette extase
folle... E t , en môme temps, ils dislln
guaient un pas précipité dans le petit
escalier.
L a paysanne se redressa...
D'un geste égaré, elle repoussa son
vainqueur.
Une voix angoissée appelait du palier.
Coqueluche ne comprit pas ce qui se
disait ; mais ce devait être sûrement un
appel terrifié. D'ailleurs, la porte s'ou
vralt, et une autre paysanne paraissait,
tenant la lanterne que Coqueluche avait
allumée. Elle parla précipitamment.
La belle Grégorienne se retourna pour
jeter un regard de fureur, d'indignation,
au pauvre Coqueluche abasourdi. Et 11
entendit ces mots, en bon français cette
fois:
~ Misérable I... m'avez trahie 1
madame I
St-Thamec), est nommé instituteur à
Argol, en remplitcement de M. Boennec.
M. Perros Laurent, instit,uteur adjoint
au Guilvinec, est nommé instituteur à
rfoëlan (St-Thamec), en remplacement de
M. Mahé.
Mme Pçrros, née Le Paou, institutrice
adjointe au Guilvinec, est nommée insti
utrice adjointe à Moëlan (St-Thamec), en
remplacement de M. Gornou.
Mlle Le Bris Louise, institutrice adjointe
à Pont-Aven, est nommée institutrice
adjointe à Elliant (école des garçons), en
remplacement de M. Henry.
Mlle Elies .Teanne, institutrice adjointe
à Ploaré, est nommée institutrice adjointe
Pont-Aven, en remplacement de Mlle
Le Bris.
M. Chapel Etienne, instituteur adjoint h
Moëlan (St-Pierre), est nommé instituteur
adjoint à Giohars-Carnoot, en remplacement de M. Gampion.
Mlle Lecœur Pauline, institutrice adjointe h Névez, est pommée institutrice à
Crozon (St-Laurent), en remplacement de
Mlle Philippe.
POUR ETRE CHIC
voir à
FtSHlON-HOOSE
LORIENT
Ses Chemises
Ses Cravates
Ses Chapeaux
Prix inconnus
Partout ailleurs
Itinéraire du conseil de révision
Août. - Jeudi 28, Quimper (éTrangers),
à 14 heures ; vendredi 29, Fouesnant, 14 h.;
samedi 30, Concarneau, i3 h . ; dimanche
31, Hosporden, 1-4 h.
Septembre.
- Manli 2, GhiUeaulin, à
13 h. 3 0 ; mercredi, 3, Pleyhen, 13 h. ;
jeudi 4, Ghàteauneuf, 14 h . ; vendredi 5,
Garhai.x, 14 h. ; samedi 6, Huelgoat,9h. 30;
dimanche 7, Le Faou, 12 h. 30 ; lundi 8,
Crozon, 13 h. 30; mardi 9, Ouessant, 10 h. ;
mercredi 10, Ploudalmézeau, 13 h. 30 ;
jeudi 11, Lannilis, 10 h. -45 ; vendredi 12,
Plabennec, lO h. l."! ; samedi 13, Landerneau, 10 h. ; lundi 15, Quimper,.9 h. 30 ;
mardi 16, Pont-l'Abbé, 14 h. ; mercredi 17,
Plogastel St-Germain, 13 h. 30 ; jeudi 18,
Douarnenez, 14 h. ; vendredi 19, PontCroi.x, 14 h. ; samedi 20, Daoulas, 13 h. 30;
dimanchp 21, Ploudiry, 10 h. '; lundi 22,
MMorlaix,;^ b.-30j mardi 23, Sizun, 14 h. 30;
m ë r o r r a r ^ î , Plo'ûigneau, 9 h. 30; jeudi 25,
Lanmeur, 14 h. ; vendredi 26^ St-Thégonnec, 13 h. 30 ; samedi 27, Quimperié,
13 h. 30 ; dimanche 28, Arzano, 9 h. 45 ;
lundi 29, Bannaleo, 13 h. ; mardi 30, PontAven, 10 h. 30.
lieu aux dates ef, dans les placf^s ci-après
désignées »
Place de Brest : A Brest (Hôtel de ville)
le 18 septembre 1913 à 2 heures du soir.
Place de Quimper : A Quimper (Hôtel de
ville) le 20 septembre 1913 à 2 lieure^ du
soir.
Le public sera admis à prendre connaissance du cahier des charges et des autres
pièces relatives à l'adjudication dans les
hureau.v de l'Intendance militaire, dans les
mairies de Quimper et de Brest.
Quimperié
Ecole primaire
supérieure
de garçons. — Voic.i les résultats obtenus aux
examens pendant l'année scolaire 1912-13 :
Bourses d'enseif/nement primaire
supérieur.
— Guyader, Le Flohic, Mahé, Oiier, Hannou.
Brevet élémentaire. — 1" Session d'octobre
1912 : Charles, Le Du, UousseA" : 2" session île
Juin 1913 : l) luguion, Colazet, David, Kerlioriou, Le Ilir, Pencoal, nobin, Rousseau, Striiillou, Le MerJy, Te.xier.
Certificat d'études primaires supérieures. —
1» section agricole : Toupin ; 2" section générale : Rousseau, • Struitlou, Bauguion, Le
Merdy, Cochennec, Le Hir, Le Du, Gonrmelen,
Kerboriou, Salann, Leriche, Rol)in, Yvenat,
Le Gall.
*
Concours d'admission aux écoles normales^ —
1° Quimper : Le Du, Guéguin, Le Touze, Le
Lann ; 2» Rennes : Lasbieis, Rousseau ; 3" StBrieuc : Bauguion.
Succès d'élèves et anciens élèves de l'école. —
1" Contributions indirectes : Le Oall, Morin,
Piron ; 2" Postes et Télégraphes : Galvar, Gaillard,. Le Gall, Le Martelot, Salaun ; 3" Agentsvoyers d'Ille-et-Vitaine : Brenneur ; 4» Dessinateur au cliemin de fer de l'Etat : Gessou,
Martin.
Conseil
Municipal.
— Le conseil
municipal s'est réuni salle de la Mairie,
jeudi soir; pour la session ordinaire
d'août. Un cas de force majeure nous
oblige à remettre au prochain numéro,
le compte-rendu de cette séance.
Dernier
écho des Courses.
— La
quête faite au cours du bal organisé à
l'occasion des Courses de Kerlarec," par
l'Union Commerciale et Industrielle de
Quimperié, a produit la somme de 16 fr. 60
qui a été versée par les soins du trésorier
entre les mains du Receveur municipal
pour le bureau de bienfaisance.
Fêtés
Bretonnes.
— Voici le prog r a m m e des luttes et des fêtes bretonnes
qui auront lieu à Quimperié le dimanche
7 septembre 1913 :
A 10 heures du matin, sur la place St-Michel.
Airs de Cors de Chasse, par 1« « Bien-Aller
(lennebontais ».
Grand concours de Binious ; 1" prix, une
médaille de vermeil et 70 fr. ; 2- prix, une médaille d'argent et 50 fr. ; 3* prix, une médaille
de bronze et 40 fr. ; 4' prix, une médaille de
bronze et 30 fr. ; 5* prix, une médaille de
bronze et 20 fr.
A 11 lieures, défilé des Binious, itinéraire :
départ place Saint-Michel, rue Savary, rue La
Tour d'.\uvergne, place Nationale (arrtjt), rue
(le la Mairie, rue Isole, rue Thiers, boulevard
de lu Gare (dislocation).
A 1 h. 1/2, rassemblement du Comité, sur la
place Saint-Michel et départ pour le Ghamp de
ivUltes, Binious en tête.
A 2 h. 1/2, lAittes Bretonnes : CHA.MPIONLes lutteurs engagés
NAT d p : BRETAGNE.
lutteront entre eux d'après un tirage au sort.
Seuls les vainqueurs de la première série pourront ])rendre part au Cliampionnat, doté des
Octobre, — Mercredi 1, Scaor, h 13 h. 45 ;
prix suivants :
jeudi 2, St-ftenan, 14 h. 4 5 ; vendredi 3,
Championnat de Bretagne : Une ceinture
Lesneven, 13 h. 30 ; samedi 4, Brest (1"),
d'or, valeur 250 fr. et i:î0 fr.; 2' prix, une mé9 h. 30 ; dimanche 5, Brest (2'),. 9 h. 30 ;
daille de vermeil, diplôme et 80 fr.; 3' et 4*
lundi 6, Brest (3"), 9 h. 30 ; mardi 7, Lanprix, ex-œ.quo, médailles d'argent et 45 fr.
diyisiau. 13 h. 3o ;' mercredi 8, St-Pol de
Les perdants de la 1" série, pourront prendre
Léon, 10 h. ; jeudi 9, Plouescat, 10 h. 30 ;
part à. la deuxième série. — 1" prix, un' divendredi 10, Plouzévédé, 13 h. ; samedi 11,
plôme et 50 fr.; 2', un diplôme et 40 fr.; 3' et 4"
prix, un diplôme et 15 fr.
Taulé, 9 h. 45 ; lundi 13, Briec, 14 h.
Des médailles supplémentaires seront déNovembre. — Jeudi (5, séance de clôture
cernées aux autres lutteurs : quatre primes
Quimper, 14 h.
de 10 fr. et quatre primes de 5 fr. s c o n t
accordées respectivement aux lutteurs des
Remonte
Jeux séries qui n'auraient pas obtenu de prix.
Le comité du dépôt de remonte de GuinAprès la deuxième série, dans l'arène des
luttes, concours de costumes bretons : I " catégamp se réunira à Quimperié le lundi
gorie, Costumes très anciens, 1" prix, une
2 J août h. 1 h. 1/2 du soir au Bourg-neuf,
médaille de vermeil et 20 fr.; 2% une médaille
près des promenades.
d'argent et 15 fr.; 3*, une médaille de bronze
Adjudication de la fourniture des et 10 fr.; 4», 5 fr. ; 5'. 3 fr. ; G', 2 fr.
2» Catégorie, Costumes portés depuis 18C0,
fourrages à, la ration ù elfeetuer
du l"'" novembre lOlîï au 31 octo- 1" prix, une médaille de vermeil et 20 fr.; 2',
une médaille d'argent et 15 fr.; 3', une mébre 1»1 1.
daille de bronze et 10 fr.; 4% 5 fr.; 5', 3 fr.;
L'adjudication de la fourniture dés
0% 2 fr.
fourrages à la ration à etlectuer du 1"'
3' Catégorie, Costumes modernes 1" prix une
novembre )9i3 au 31 octobre 1914 aura
médaille de vermeil et 20 fr. ; 2», une médaille
d'argent et 15 fr. ; 3» une méjlaille de bronze
et 10 fr. ; 4% 5 fr. ; 5% 3 fr. ; Of, 2 fr.
Gavotte d'honneur, réservée aux personnes
ayant pris part aux concours de costumes
— Vous m'avez fait perdre des minutes bretons :
1»' prix, une montre et 10 fr. ; 2" une méprécieuses !... Vous, un officier 1... hussard de la reine 1 . . . avoir trempé dans ce daille d'argent et 5 fr. ; 3% 3 fr. ; 4», 2 fr. et
pour les dix prix suivants, médaille de bronze.
complot ? m'avolr tendu ce piège I
La gavotte d'honneur sera accompagnée par
— Pardon I pardon, la belle 1 ripostait
les
sonneurs de binious ayant remporté le pre
Coqueluche^ qui se grandissait sous l'Inmier t rix au concours du matin.
sulte : Louis PluRon, dit « Coqueluche ».
Après la gavotte, reprise des luttes pour le
n'a jamais trempé dans quoi que ce soit
Championnat de Bretagne.
•le pas propre... Surtout contre une fem
Pendant les luttes, Airs de Corde Chasse, par
me 1... Qu'on s'expllqae I...
le >. Bien-Aller Hennebontais ».
— Mats qui êtes vous, alors, monl'issue du championnat, dédié des lauréats,
accompagnés du Comité pour rentrer en ville.
sieur?... E t que signifie ce nom de CoLes binious primés devront y prendre part.
queluch'» ?
Vin d'honneur, olVert au champion, à la salle
— Coqueluche, de Montmartre, pour
des fêtes de la Halle Saint-Michel.
vous servir, mademoiselle... ou madame...
Danses aux Binious, sur la place St-.\Iichel.
s'il y a quelque danger pour vous t... E '
si, par hasard... Ah çè, vous seriez t - y
pas la dame à qui je devais porter un avis
si pressant ?
— Vous Teniez donc de la part du
grand-duc Fritz ?... Mais quel temps je
perds encore !
— On ne perd jamais son temps, madame, quand on s'explique netftment I...
J e ne sais pas si c'est de la part du grandduc Fritz que je venais I... Mais au risque de ma peau, et moyennant mille
balles, j'avais glissé au milieu des 11 es,
pour venir dire à la dame qui devait
arriver ici au milieu de la nuit... C'est y
vous, alors, madame, c'te grande dame ? ..
Et c'est-y de ma faute, si... vous voyant
en pay«anne... et si belle 1... si belle, madame !... si douce au pauvre poète que je
suis l... J e ne comprends plus rien du tout
& ce qui se passe autour de moi... Mais je
sois à Yoas, madame t
Il se précipitait à ses genoux, lui prenait la main, la baisait ardemment.
— Et vous m'accusez de trahison...
Vous vous Imaginez que c'est moi qui
vous aurais tendu un piège... alors que je
suis prêt à mourir pour vous !....Eb bien,
moi vivant, madame, on n'arrivera pas
jusqu'à vous 1...
Il se relevait, et vraiment magnifique,
passait devant les deux femmes, descen
dalt au milieu de la pièce, où il se plantait, les bras croisés, attendant les enne
mis Invisibles, qui devaient en assez
grand nombre entourer le pavillon : c a r
le bruit des ^ e v a u x redoublait, avec des
cliquetis de Ibabre... des ordres brefs...
puis un peu de silence
on devait tenir
conseil, après «Toir bloqué la demeure.
A 7 heures du soir. Banquet par
souseription
à l'Hôtel Morren, boulevard de la gare.
A 9 heures, à la salle des fêtes, Grand Bal
popidaire : prix d'entrée, salle. 0 fr. 25 ; galeries, 0 fr. 50.
Xota. — La liste des engagements pour les
luttes sera close le Jeudi 4 septembre, à
5 heures du soir. — Adresser les adhésions
à M. Louis Tréguier, président du Comité,
11, du Couédic, Quimperié, ou an Secrétaire,
place des Ecoles, Quimperié.
Le Président du Comité,
L. TRÉGUIRR.
Société de pêche. — La s )ciété des
pécheurs à la ligne de l ' T r o n d i s s e m e n t
de Quimperié « La Gaule Quimperloise »
se réunira le dimanche 24 août 1913, à 9 h.y
du matin, salle de la Mairie à Quimperié
Ordre du j o u r :
Modilii-.-dinn et approbation des statuts.
Communications diverses.
Almission de nouveaux membres.
Paiement des côlisations.
N'<)ta. — Les m e m b r e s de la s o c i é t é q u i
n ' a u r a i e n t pas r e ç u de c o n v o c a t i o n sont
priés de c o n s i d é r e r celle-ci c o m m e en t e nant lieu.
Les personnes, qui désirent faire partie de la société'sont invitées de s'adresser soit à M. Ch. Le Tallec, président, soit
à .VI. Louis Gillard secrétaire.
Aioëlan
Fêtes. — Voici le programme de la
été et du concours agricole qui auront
ieu les dimanche 24 et lundi 25 août 1913 :
Dimanche 2 4 août
A 5 heures du soir. — Course de vélos. —
Internationale : 1 " prix, 15 fr. ; 2", 10 fr. ; 3%
fr.
Lundi 2 5 août
A 9 heures du matin. — Courses de chevaux.
— Internationale. — Au trot : 1" prix, 20 fr. ;
2% 15 fr. ; .3% 10 fr. — Entrée, 1 fn.
Internationale. — Au galop : l " prix, 20 fr. ;
, 15 f r . , .3*, 10 fr. — Entrée, 1 fr.
Communale. — Au galop : 1 " prix, 20 fr. ;
2-, 15 fr. ; 3', 10 fr.
A 10 heures. - Concours de charmes pour
jeunes gens au-dessous de 20 ans. — i " prix,
12 fr. ; 2% 10 fr. ; .3% 8 fr. ; 4% 5 fr.
Cidre : 1" prix, 5 ir. ; 2», 3 fr. ; 3% 2 fr. ; 4«,
1 fr.
Beurres : f » prix, 5 fr. ; 2-, 3 fr. ; 3', 2 fr.
4% 1 fr.
Plantes fourragère!? : 1 " prix. 10 fr. ; 2*,
8 fr. ; 3', 5 fr.
A 11 heures. — Course d'hommes : 1 " prix,
5 fr. ; 2*. 3 fr. ; 3», 2 fr.
Course d'enfants au-dessous de 15 ans :
1" prix, 2 fr. ; 2-, 1.50 ; 3», i fr. ; 4', 0.75 ; 5',
0.50 ; 6*, 0.25.
A 1 heure de l'après-midi. — Courses de véocipèdes. — Internationale : 1 " prix, 20 fr. ;
2», 15 fr. ; 3», 10 fr. — Entrée, 1 fr.
Communale :
prix, 20 fr. ; 2*, 15 fr. ; 3%
10 fr. — Entrée, 1 fr.
A 2 h. 1/2. — Course attelée : 1 " prix, 40 fr.;
2', .30 fr. ; 3», 20 fr. - Entrée, 2 fr.
A 3 heures. — Course en sacs : 1 " prix, 3 fr. ;
2', 2 fr. ; 3». 1 fr.
Concours de fumeurs : 1" prix, deux paquets
de 0 fr. 50 ; 2*, un paquet de 0 fr. 80 ; 3*, un
paquet de 0 fr. 50.
Concours de buveurs : 1 " prix, 2.50 ; 2% 2 f r . ;
3% 1.50 ; 4% 1 fr. ; 5% 0.50 (chaque concurrent
devra se pourvoir de son litre de cidre).
A 4 h. 1/2. — Grandes luttes bretonnes, 50 fr.
de prix, prix d'honneur 15 fr. ou. un mouton.
Jet du boulet : 1 " prix, 5 fr. ; 2', 3 fr, ; 3*,
2 fr.
Baquet russe. Màt de cocagne.
Danses toute la journée.
Gavotte d'honneur.
A 9 heures. — Grande retraite aux flambeaux.
.\ota. — Le Comité ne répond pas des accidents qui pourraient survenir pendant les
courses et les jeux.
Bannaleo
Incendie.
— Mardi dernier, un incendie s'est déclaré dans un bâtiment couvert
en chaume situé à Kernoal en Bannaleo.
Ce iiàtiment mesurant 16 mètres de long,
divisé en deux maisons, l'une servant
d'habitation, l'autre de débarras, une écurie et un petit hangar ont été la proie
des llammes. Malgré les ellorts d«s personnes présentes, le tout a été consumé.
Les pompiers venus sur les lieux n'ont pu
que noyer les décombres et préserver une
meule de paille située à quelques mètres
du foyer de l'incendie. Les causes du sinistré sont demeurées jusqu'ici inconnues. La gendarmerie a ouvert une enquête. Marc Valentin, locataire des immeubles mcendiés estime son préjudice à
2000 francs couvert par une assurance. Le
propriétaire, M. Calvez du Trévoux subit
une perte de 2500 fr. également couverte par une assurance.
Concarneau
Vols. — Depuis quelque temps, les cabines de nos plages étaient mises en coupe
réglée par un malfaiteur, que la surveillance active de l'agent Le Meur ne réussissait pas à arrêter. Mais le ilair de ce zélé
policier a fini par faire découvrir le coupable. C'est un j e u n e homme, Jean Marie
Guéguen, 19 ans, habitant la même maison
que Le Meur et qui n'opérait que lorsque
ce dernier était couché. Vinfft cabines au
moins, en moins d'une semaine, ont été
ainsi cambriolées. Guéguen a été écrôué à
Quimper.
— M. Fabre, receveur des contributions
indirectes, s'aperç-evant de la disparition
d'une somme de [30 francs, surveilla sa
bonne et la surprit revenant d'acheter des
eliets avec l'argent volé. La domestique,
Jeanne Doholou, 15 ans, avoua. Elle a été
conduite devant le procureur de la République à Quimper.
Douarnenez
Zéa a Victoire
» c a p o t e et * e b r i s e . —
Le 14 août, M. Grosbonnet, propriétaire
de l'appareil de Poirée, un biplan Parman
type militaire, était venu à Douarnenez
visiter le champ d'aviation et s'arranger
avec l'Union du commerce et de l'industrie pour l'organisation de la fête. A trois
heures le lendemain, l'aviateur Poirée accomplissait un vol magnifique qui dura
une dizaine de minutes, puis atterrit sans
encombre. Quelque temps après, il eflectuait un nouveau vol avec passager. Celte
fois encore tout marcha à souhait. Le biplan survola a u - d e s s u s de la baie de
Douarnenez et réalisa des virages tout
i
e
simplement merveilleux. Dès qu'il put
descendre, les spectateurs lui liront une
ov&lion. L« l e r r a m , il venait d'en faire
l'expérience, était un peu dur pour l atlérnssa^'e ave(^ passager ; l'aviateur l'oirée
donna ren<l»'Z-vous, à sept heures, sur la
pla^e du Ui8, aux personnes <|ui (l»;sireraienl prendr»* place avec lui. l'arini ces
dernières, M. Louis de l'énanros, maire de
Df'Uarnenex., élail inscrit en l('le de liste.
^^'.'oirée aurait pu s'en tenir aux deux
vols qu'il venait de faire, mais la sympathie que la foule lui avait témoignée le décida & remonter une troisième fois dans
le ciel. Ce fut alors une randonnée magnifique qui ne dura pas moins de trois
quarts d'heure, pendant lesquels, Poirée
survola particulièrement la ville de Douurnenez, ou les rares habitants qui ne s'étaient pas rendus à l'aérodrome, eurent le
plaisir d'applaudir l'aviateur, qui se livra
& des fantaisies ((ui donnaient le frisson
et provoquaient l'admii ation. Mais le vollii
qui revient h une vitesse vertigineuse. 11
s'approchedu lieud'atlen issage.ll descend
mais que se passe-t-il ? Voici tjue brusquement, l'appareil bondit et s'élève comme
une masse, les roues en l'air, tordu, brisé,
il se renverse avec un bruit sourd. On
s'empresse autour de l'appareil. L'aviateur se relève ; il fait quelques pas et
s'ail'aisse. I^s médecins l'auscultent. M.
Griou s'oll're h le conduire à l'hôtel dans
son auto. M. le docteur Damey assiste le
blessé qui, fort heureusement, n'est que
légèrement blessé à la cheville gauche.
Quand à la « Victoire », ce n'est plus qu'un
amas informe de toiles déchirées etde (ils
enchevêtrés et tordus. Le moteur paraît
intact cependant et les roues n'ont pas
trop soufl'ert.
Mardi 2 septembre. — A 10 h., course aux
rcrceaux, prix divers, cerceaux compris, 15 f r
A 11 h., course de bicyclettes (locale), 3 viniges, prix, 15, 10 et 5 fr.
Déclaration de Faillite
»
«
W
La récente liquidation judiciaire du
sieur Tape-Lapoire, marchand de cycles,
vient d'être transformée en faillite.
Le syndic a relevé, au cours de la carrière de Tape-Lapoire, toute une série de
•procédés commerciaux aussi ingénieux
que peu recommandables. Ces procédés,
après avoir permis au commerçant de
gagner facilement des sommes importantes, se sont retournés contre lui et
l'ont mené à la ruine.
Tape-Lapoire achetait ii des prix très
réduits de gros stocks de pneumatiques
de qualité inférieure. Il les écoulait à
des tarifs très divers, variant de 6 à 15
francs suivant la tête du client.
Ce commerce était naturellement d'autant plus fructueux que ces enveloppes
" s'usaient plus vile.
Mais un j o u r , un agent de cycles, honorable et sérieux, vint s'installer dans le
voisinage de Tape-Lapoire et lui fit une
concurrence victorieuse en vendant e.xcluflivement des pneus m i c h e l i n . iNos lecteurs connaissent la qualité de l'enveloppe Nà tringles M i c h e l i n , vendue au
prix u a i q u e de 10 francs. Les cyclistes
de notre ville s'aperçurent vile qu'avec
cette enveloppe et une bonne chambre
rouge M i c l i e l i n k l'intérieur, ils pouvaient rouler sans ennuis, beaucoup plus
longtemps et naturellement aussi beaucoup plus économiquement.
Bientôt, le stock du sieur Tape-Lapoire
lui resta pour compte et c'est ainsi qu'il
se vit acculé à la faillite.
sseîsMreîrst
M
à'idQltBs ï ioliap^eDt eoioplàtsnieDt
•(«M
iifto* èfi^kM LMmav.
LA HERNIE
A notre époque d'écarts de régime, de
vie sédentaire, peu d'adultes échappent
complètementaux hémorroïdes, à l'eczéma
ou autres maladies de la peau.
Lies HÉMORROÏDES peuvent, au début
ne causer que do la gène, mai^ si on ne
les soigne pas immédiatement elles entraînent de l'inllammalion, des pertes de
sang et deviennent une source d'ennuis
sans'Iin. Elles peuvent se compliquer de
gangrène de phlébite hémorroïdaire et
devenir mortelles.
L'ECZÉ.MA. les dartres, l'herpès, le zona,
l'urticaire les croûtes d'humeur, gour
mes et vermicules des enfants, les boutons. rougeurs démangeaisons et autres
maladies de la peau sont aussi douloureuses et tenaces que les hémorroïdes.
Leurs causes sont nombreuses l Le^plus
fréquentes sont une
nourrituretrop
échauflante et la constipation habituelle.
TRAITEME.N'T. — Le traitement des hé
morroïdes de l'eczéma et des autres maladies de la peau demande beaucoup de
patience et (le persévérance. La première
condition est que les .intestins fonctionnent régulièrement, résultat que l'on obtient à l'aide d'un laxatif léger. Les Pilules Digestives Poster sont dans ce cas
tout indiquées de même que pour l a ç o n s
tipation et les troubles digestifs.
Le malade devra se soumettre à un régime rafraîchissant Ij'inflammation l'ir
ritation produites par une afFection de la
peau disparaissent rapidement grâce à
l'emploi de l'Onguent Poster. Il a une action antiseptique, adoucissante et cicalri
santé sur la peau malade. On peut l'employer sans c r a i n t e : il ne se dessèche pas
et rie disparaît pas trop vite II a radicale
ment guéri bien des cas d'eczéma rebelles
depuis de longues années et préservé des
milliers de personnes de l'opération des
hémorroïdes II lés soulage rapidement et
les fait disparaître d'une façon définitive
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franco par poste: spécialité Poster, H. Ri
nac, pharmacien, 20, rue Sl-Ferdinand
Paris.
Audicrnc
liign»
de Çnimper
a n Raz.
— Le
Conseil municipal ainsi que les commerçants, industriels et contribuables d'Audierne, protestent énergiquement auprès
des pouvoirs compétents, contre le projet
d'une ligne de chemin de fer de Quimper
à la pointe du Raz, sans passer par Audierne. Au cas où ils ne recevraient pas
satisfaction, le Conseil municipal donnerait sa démission en signe de protestation.
Hloi'laix
Chute
d*uu a r b r e a a pori
de commerce.
— Mercredi soir, vers dix heures,
les maisons éclairées par la lum ière électri
que se trouvèrent soudainement plongées dans l'obscurité. Un chône situé sur
la propriété de M. de Lauzanne, surplombant le bassin dans le voisinage du port
de commerce, venait de tomber sur la
route, de vieillesse sans doute, car le
temps était calme. Dans sa chute, il avait
brisé tous les fils électriques reliant Morlaix, Carantec et les environs, soit cinq
feeders de 45.000 mq et quatre pilotes,
établissant un court-circuit de 440 volts
et rompant les communications télégraphique» et téléphoniques avec la côte. Au
moment, l'on voyait jaillir do fulgurants
éclairs. Une équipe d'ouvriers'.répare en
ce moment les dégâts, évalués de 400 h
500 fr.
Cli&teaiineur-du-l'aoïi
Voici le programme des réjouissances
publiques données à l'occasion de la fôte
communale annuelle, le 31 août, 1 " , 2, 3
et 4 septembre 1913, avec le concours de
la fanfare municipale :
Dimanche 31 août, ii8 heuroH du Koir, grande
retraite aux llambeaux par les clairons ol la
fanfare, avec le concours de la compagnie
des sapeurs-pompiers.
Lundi 1" septembre. — Course pédestre de
demi-fond, prix divers 15 fr.; Course pédestre
réservée aux jeunes gens au-dessous de IG
ans, prix 5 fr.
A 2 h. du soir, course de chevaux, au galop,
prix 40 fr; 15 fr. et 5 fr.
A 3 1 . , Course de bicyclettes (internationale),
3 virages, prix : 25 fr., 15, G et 4 fr.
A l'issue de cette course, course de consolation.
LA
FRANCE
DE
Questions Nationales
Réformes
DEMAIN
C r o y e z :
:
Malade depuis 25 ans I QuérI par le
Trailemenl IVormand
=
Bénard
=
Monsieur Jacques KLEIN, négociant. 2G. rue
des Augustins, ù. Ilouen, était atteint depuis
25 ans, tl'un eczéma lui causant d'atroces démangeaisons et de vives douleurs, il soull'rait
tellement (lue son état général s'en ressentait.
Désespéi-é d'avoir employé sans résultat toute»
sortes de remèdes : dépuratifs, pommades diverses, eaux spéciales, etc., M. Klein résolut
d'avoir recours au Traitement Normand Bénard. Le mal s'atténua aussitôt et M. Klein
est aujourd'hui complètement guéri.
« Je ne saurais jamais assez dire tout le bien
que m'a fait le Traitement Normand Bénard,
nous écrit-il, alors que tous les .autres remèdes avaient échoué ! •>
Aussi conseillons-nous à tous ceux qui sont
atteints de Maladies de Peau, Eczémas, Dartres, Boutons, Ulcères, Plaies, Maux de Jambes, Vices du sang, etc., de demander ù, l'institut Normand, :58, rue Armand-Carrel, à
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illustrée, la(iuelle contient tous les renseignements et est adressée gratis et franco. — Prix
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«••tv*
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H A B R I A L i '
De tous les fléaux qui s'abattent sur notre
pauvre humanité, il n'en est pas causant autant de ravages que la HERNIE. Combien de
personnes ont eu leur vie entière gâtée par
cette dangereuse Infirmité. Combien d'autres,
mal conseillées, ayant eu recours à de mauvais
bandages, sont mo?tes dans les douleurs atroces de l'étranglement herniaire. Aussi notre
devoir est d'informer nos lecteurs que M. A.
EDOUARD, t'habite spécialiste herniaire est
inventeur d'une nouvelle méthode qui fait disparaître aussitôt les hernies et descentes
même réputées incurables et assure la guérison en quelques mois sans gêne ni fatigue,
ainsi que le démontre cette récente attestation
venant s'ajouter aux milliers de guérisons
déjà obtenues et dont le nombre s'augmente
chaque jour.
Monsieur A. EDOUARD,. PARIS.
Merci de tout',mon cœur. Grâce à votre
merveilleuse méthode, me voilà guéri en
quelques mois de deux hernies dont je souffrais beaucoup. Ce résultat a été obtenu sans
gêne et tout en travaillant à la terre. Publiezle afin de prouver aux hésitants que vous méritez toute confiance;
18 Juillet 1913.
l'WLHUN François,
à Kerglolreè en Bédéné par Quimperlé.
Hernieux. ne vous laissez pas tromper M.
A. EDOUARD, 140, boulevard Richard Lenoir
à Paris, est le seul spécialiste herniaire qui a
obtenu le diplôme d'honneur. Seule la méthode Edouard peut vous guérir et mérite
votre confiance.
Nous conseillons donc d'aller voir le réputé
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QUIMPERLÉ, le vendredi 12 septembre.
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EVITER LES IMITATIONS
Cette infirmité effrayante par ses suites
trop souvent mortelles, est arrêtée, prévenue, au point qu'aucun danger n'est
désormais à redouter avec lar méthode de
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boulevard Sébastopol 38» & Parist
Aussi, avant d'acheter un bandage quelconque, les malades des deux sexes atteints de hernies doivent-ils demander à
M. Glaser sa nouvelle et instructive brochure expliquant clairement comment la
hernie se soigne et peut se guérir, et qu'il
enverra avec la date de son passage dans
la région.
Etude de M® P I T O N , avoué
à Quimperlé 12, rue de Quimper
D'IIl POTIIÈQUES LÉGALES
Suivant exploit du ministère de
M" TAMIC, huissier à Quimperlé en
date du 21 août 1913.
A la requête de M. .lean Coulliou,
célibataire majeur, cultivateur, demeurant et domicilié à Keranglien
en la commune de Moëlan, pour
lequel domicile est élu rue de
Quimper n» 12, à Quimperlé en l'étude de M" PITON, avoué ;
Notitlcation a été faite k M. le
Procureur de'la République près le
tribunal civil de Quimperlé, en son
parquet au palais de j u s t i c e à
Quimperlé, et à autres intéressés.
" De l'expédition d'un acte dressé
au grefl'e du tribunal civil do Quimperlé lo trente juillet mil neuf cent
treize, enregistré constatant le dépôt fait audit',greffe, ce j o u r , par
M'= PITON, avoué du requérant, de
la copie dûment timbrée, collationnée, signée et enregistrée, d'un
contrat reçu par M" KIÎRAIJTRET,
notaire à Pont-Aven en date du vingtsept mai mil neuf cent treize, enregistré, portant vente de M. J e a n - J u ien Guillou, marin retraité, veuf en
premier mariage de Marie-Françoise Bacon, et MmeChristina-MarieAnne Ollivier, ménagère, son épouse
actuelle, les deux demeurant ensemble à Kercadoret en Moëlan, au
prolit du requérant moyennant le
prix principal de cinq mille sept
cent cinquante francs, frais et
charges outre, d'une petite propriété en fonds et édillces située au
ieu de Kercadoret, en la commune
de Moëlan, comprenant :
1» Maison d'habitation construite
en pierres et couverte en ardoises,
ouvrant au levant sur la route de
Moëlan h Quimperlé par une porte
et deux fenêtres au rez-de-chaussée,
trois fenêtres à l'étage, composée
de deux pièces planchéiées avec
foyer au rez-de-chaussée, séparées
l'une do l'autre par un couloir mennnt à l'escalier, sous lequel il
existe un cellier avec porte, de deux
c h a m b r e s à feu et un cabinet h
l'étage, d'un grenier au comble di-
visé en deux parties par une cloi-
PHARMACIEN LAURÉAT
Prixj'de rEcole de Pharmacie, 2 Médailles d'Or, 1 Diplôme d'Honneur
Maison
renommée
TÉLÉPHONE. 3 4
EXTRAIT
H E R N I E
Urgentes
Le numéro du 20 août de La France de
Demain, organe du Comité Dupleix, contient
plusieurs articles coloniaux d'actualité : C'est
une curieuse étude de M. de Diusse sur les
spahis sénégalais si acclamés à la revue du
14 juillet; un article de M. Emile Hinzelin sur
'Afrique du Nord ; un éloquent discours de
M. Guénot, secrétaire général de la Société de
géographie de Toulouse, sur l'expansion coloniale française ; une lettre d'un Annamite qui
éclaire singulièrement la situation de notre
colonie d'Asie, etc.
Un remarquable article sur les idées fiscales
actuelles souligne les dangers de la situation
llnancièrc de la France et fait la critique des
projets d'impôts nouveaux. Cet arlicle complète les récentes études de M. .Iules Roche
sur la mOme question.
Signalons aussi l'article de M. Louis Le
Barbier qui précise la situation actuelle de
notre marine marchande, et celui de M. de
Hauvilie sur l'invasion des étrangers en France.
Quelques beaux vers de M. Emile Hinzelin
complètent ce numéro.
Nous conseillons à nos lecteurs de demander
un spécimen de La France de Demain, 2G, rue
de Grammont, Paris.
e t
42, Place Saint-Michet Q U I M P E R L E
+ est Guérie
/
I V o j r m a l o
F l x a i ^ M L A O Î O
•«•I «t rtirnlmm
JTMs^iT
A 2 11., f;oiirrffi lie chevaux, au palop, prix,
2niOet5fr.
•Mercredi .'•! septemlire. — Foire.
.I«mdi 'i .septembre. — A lo h., couri^e de
chevaux, au galop (locale), prix, 12, 5 et 3 fr.
A 3 h., l'V'te nautique, canards sur l'eau,
courses à la nage, concert par la fanfare
municipale.
A 8 h., retraite aux flambeaux par la Fanfare avec le concours des sapeurs-pompiers.
Tous les soirs du dimanche au .;eudi 4 septembre, danses au biniou sous les Halles.
L'aviateur Poirée n'a capoté que parcequ'il a voulu éviter d'écraser la foule qui
se pressait dans le champ d'aviation. Un
elfet, poussé par un vent arrière fort violent, il n'avait d'autres ressources que
d'atterrir brusquement au risque de se
tuer, ou de foncer droit sur les spectateurs
il a préféré risquer sa peau. 11 mérite
d'être vivement félicité.
pour gairlr *r*my(*>
dans tonte
'
la, Région
ponr
la. qualité
de ses
Produits
P e . t r ê m e Jfodicite des l>rix
DU P f ? l X - C O U t î A H T
Beef-Lavolx ou Vin de Lavoix, la
bouteille (hausse)
Baume Victor, le flacon
Ellxlr de Virginie, le flacon
Grains de Vais, le flacon.
Elixir Oupeyroux, le
flacon
Pilules Suisses, la boîte
Pilules Plnit, la boîte
Poudre Escouflaire (etcigarettes), 1. b.
Poudre Legras, la boîte
Phosphatine Fallières, la boîte
Lithinés Qustin, la boîte
Sirop Deschiens à l'hémoglobine...
Musculosine Byla, grand flacon
Solution Pautauberge
Sediitz Chanteaud Gustave
Chanteaud Charles
Tisane des Shakers
Vin Girard
Jouvence de l'Abbé Soury
Bfr.BO
1 75
33 75
2
10
33 5 0
»»
1
))»
33
60
2
1 75'
1 95
»»
1
3
60
»»
»»
33
1 50
1
95
3
90
3
50
33 5 0
(sauf
Châtel Guyon Gubler
—
—
Saint-Galmier Badolt
—
par 10 bout...
Vichy St-Yorre
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par 10 bout..
—
—
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0 40
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0 40
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0
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0 70
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Corres)iondant pour taule la Kégion de la C" DES EAUX DE VITTEL et des EAUX DE \ ICIIY
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des ordonnances qui sont en outre facturées aux prix les plus modérés.
son ; 2° un appentis au pignon nord
de la maison ci-dessus, construit en
pierres et couvert en ardoises, ayant
cheminée au nord, composé d'un
rez-de-chaussée et d'un
grenier
planchéié au-dessus ; il ouvre à l'est
sur la roule de Moëlan à Quimperlé
par une porte au rez-de-chaussée et
une fenêtre au comble, au nord par
une fenêtre au comble ; 3" un terrain devant ces édifices s'éten-'Jant
jusqu'à la route de Mnël-n
OtiimDerlé ; 4° une crèche au .M.d « si de
a maison constr iilc on iiifrn's et
couverte en ardoises, ;iy iiil grenier
au-dessus 5» lieux d'aisance au midi
de la crèche, construits en pierres
et couverts en ardoises ; G" un puits
avec pompe el lavoir au midi de la
maison ; 7° une parcelle de terre
sous labour et très petite partie
sous lande, dépendant autrefois de
Porz-Moëlan et nommée « parc lan
bousséo » joignant au levant les
articles précédents et la route de
Quimperlé h Moëlan, au nord proDriélé à Joseph Mahé, au .couchant
a vieille route de Porz-Moëlan et
au midi terre à Auguste Drénou, le
tout Ogurant'ii la matrice cadastrale
de Moëlan sous le n» 1359 de la section C, sans e,xception ni réserve.
Avec déclaration à M. le Procureur
de la République et aux autres intér e s s é s que la notilicalion leur était
ainsi faite en conformité de l'art.
2194 du code civil pour qu'ils eussent à prendre dans le délai de deux
mois telles inscriptions d'hypothèques légales qu'ils jugeraient convenablos et que faute par eux de le
faire dans ledit délai l'un meuble vendu au requérant serait et demeurerait
en ses mains purgé, allranchi et libéré de toutes inscriptions ou charges de celle nature pouvant le grèver.
Avec déclaration en outre à. M.
le Procureur de la République que
les anciens propriétaires dudit immeuble étaient : 1" Anna-.losépliine
Guillou, 2° Viclor-Yves Guillou, 3"
Félix-Louis-Marie Guillou, tous trois .
enfants mineurs de .lean-JulienGuillou et sous Sii tutelle nés de son mariage avec Marie-Françoise Racon
sa première épouse, décédée ; 4»
Marie-Françoise Bacon, en son vivant épouse de Jean-.lulien Guillou ;
5" Pierre-Louis Drénou, el Francine
Quéhennec son épouse, I de leur vivant cultivateurs à Porz Moëlan en
la commune de Moëlan, G" MarieFrançoise Drénou, épouse de François Le lîris leur fille, 7® Auguste
Drénou el Gatherine Torrec son
épouse, cultivateurs à Porz Moëlan
en la commune de Moëlan.
Et que tous ceux du chef
desquels
il pourrait
èlre pris des
inscripUon
d'il!/potlit-que léi/ale sui' ledit inimeul)le n'élnnl pas connus des
requérants,
il ferait lu présente ]mbHcalion conformément à l'avis du Conseil d'Etat du !)
mai ISOl.
Extrait par l'avoué soussigné.
P. PITON
Eludes de lY!" Yves-Marie Fournis,
avoué-licencié à Quimperlé, quai
Rrizeux, n" G, et de Wl« Worvan,
notaire à S c a ë n
VENTE
de la commune de Scaër pour uoc
contenance de 729 mètres carrf s et
d'un revenu de 204 fr. 6').
.louissance au 29 septembre 1913.
Mise à prix fi.xée
par le tribunal
4 . 0 0 0 tr.
D E U X I È M E LOT
Au
bourg
de S C A E R
Art. i". — Une Maison d'habi-
t a t i o n à usage de commerce, composée de 4 pièces au rez-de-chaussée, 4 pièces à l'étage el grenier,
ouvrant du nord sur la Grand'Rue
par une porte et 3 fenêtres au rezde-chaussée el 3 fenêtres à l'étage.
Art. 2. — Au midi de l'article précédent, une écurie et l e m i s e , cour
avec passage par la petite ruelle en
face de la maison Kersulec.
Ces deux articles occupés par M.
Rernard, débitant.
Art. 3. — Au levant de l'article 1 "
el faisant corps de bâtiment, u n e
a u t r e m a i s o n d ' i i a b i t a t i o n occupée par Guyader, boulanger, composée d'une pièce au rez-de-chaussée, d'une pièce à l'étage et grenier, ouvrant du nord sur la Grand'
Rue par une porte et une fenêtre au
rez-de-chaussée et deux fenêtres à
l'étage.
Tous ces bâtiments sont couverts
en ardoises.
Ces trois articles figurent au plan
cadastral de la commune de Scaër
pous les n"" 1156 el llSGportion pour
une contenance de 455 mètres carrés et d'un revenu de 375 fr. 82.
Jouissance au 29 septembre 1913.
Mise à prix fixée
par le tribunal
1 0 . 0 0 0 fr.
Pour plus amples r e n s e i g n e m m i s
consulter le cahier des charges en
l'élude de W MORVAN, notaire à
Scaër ou s'adresser à M« FOURNIS,
avoué poursuivant.
Pour insertion
sommaire
EN DEUX LOTS
!i 'l h. de rai)rès-mi(li
E T PAU
KN i / i h ' U D K
LK MINlSTl'ciUO DE M ' MOKVAN
N O T A I R E A SGAi:i\
DÉSIGNATION :
l'HEMIEH
LOT
En la commune de SCAER. Au lieu de TRÉeANAN
Art. l " . — Une itlnisoii d'habi-
:
Yves-Marie FOURNIS,
avoué-licencié.
i:iude de M' Bot, avoué à Quimperlé, Rue Savary, n''20 (ancienne
Grand'Rue).
V E N T E
Par Licitation
LE MERCREDI 10 SEPTEMBRE 1 9 1 3
à 1 heure de l apros-midi
A l'audience, des criées du 7'ribunal
civil de Quimperlé,
au Palais
de
Justice, sis place
Xationale.
DE LÂ PROPRIÉTÉ
De Kerangargam
Sise au lieu de ce nom.
En la commune de JMelgrven.
Canton de
JBannalec.
"Consistant en une maison d'habitation neuve, bâtiments d'exploitation, puits, aire à battre, cour,
courtils, terres labourables, prairies
el landes.
Contenance environ 29 ha. 64 a.
45 ca.
Mise à pri.\ : 4 0 . 0 0 0 fr.
L'avoué poursuivant
Em. BOT.
par Licitation Judiciaire
Lo Samedi <» Septembre Ittlîl
^
Etude de M" Gachet, notaire
à Quimperlé
ADJUDICATION AMIABLE
EN D K U X
LOTS
l,e \ <»ndredi 12 septembre 101 î)
à 10 h. du matin
DE DEUX MAISONS
t a t i o n couverte on ardoises comprenant au rez-de-chaussée le mouin el à l'étage une chambre, droits
d'eau el autres appartenances.
se Joignant, sises à
Quimperlé,
place J.ovi(jnon (ancienne propriété
Le Goll).
nommé Liors, d'une contenance de
T) ares 54 centiares.
, Le tout ligurant au plan çad^slral
Revenu global 600 fr.
Faculté de réunion des deux lots.
Art. 2. — Un petit Courtii, dé-
Mises ù prix :t.000 fr. A: 1 . 0 0 0 fr.
S'adresser à M« GACllET.
i:ni<lf! (lo, W C a c h e t , nntairf»
à Quimpfirl/'
Adjudication Amiable
L E J E O D i 2B AOOT1913, à H
F.u l'FAtula (le
d.e M e - u t o l e s
!l8QrBS
GACIIET
b r e t o n s
se Joignant, avec écurie en appentis,
sises à ^uimperlé,
place
Lovifinon, n" t>, appartenant îi M. Louis
«lollobert.
flevenu, 410 francs.
iitude M" Barbe, notaire
à Moëlan
En
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I-K I>1.)IA!\'CHE 3 1 A O U T I » I 3
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à tout commerce, avec écurie, re- Etudes (le IVI« P a u l M o r e l , avnuémise, cour, puits et jardin y attelicencié, 5, ru»^ du Palais à Quimnant.
per el de M" M a n i è r e , notaire à
Alise h p r i x ; 3 0 . 0 0 0 f r .
Quimper.
.louissance au 29 septembre 1913.
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La vente par adjudication se fera
en l'étude de
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à Soaër, en un ou plusieurs lots, le
JLnndi 8 Septembre,
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à Plouay
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mm
Vî'>î?>r<
A Louer pour le 29 septembre
u n e maison, située sur le bord de
la mer. Vue remarquable,
à: S'adresser à M. Tonnerre Uoëlan,
Finistère.
notaire À QUIMPERLE.
PETITES ANNONCES
DU DIMANCHE
10 centimes la ligne
route du Cimetière, petite
A Vendre maison neuve, petit jardin,
eau.
'
S'adresser au bureau du journal.
BON OUVRIER
boulanger est de-
mandé 15-20 septembre. Bons appointements. Situation stable.
S'adresser au journal
Certifié par l'imprimeor.
Va pour U légalisation de la signature ci-contre
.Maine de Quimperlé.
QUIMPERLÉ. — Imprimerie (Veuve A. GAUTIER
Union Agricole et MarUime
3 0 * A n n é e ! a n» 6 8
Le NmÉko : CINQ CENTIMES
Jeudi
9
Aoàt 1913
Organe Républicain Démocratique i de la Région du IVord-Ouesl
^
Annonces et Riolames
Annonces Judiciaires (la ligne}. . .
Annonces volontaires
Réol&mes
2 0 o.
2B o.
BO 0.
Paraissant
Les annonces sont reçues au bureau du
journal et, à Paris, dans toutes les Agences.
On traite à forfait pour
répétées plusieurs
fois.
Pendant h Vacances
Plus tardive que les a u t r e s a n n é e s
p a r suite d e l a discussion prolongée de
l a loi mililaire, l a séparation des Chamb r e s n'en a p a s moins marqué la détente
habituelle d a n s notre politique intér i e u r e . Violemment combattu jusqu'à
l a d e r n i è r e h e u r e , le Cabinet a réussi à
, é v i t e r les e m b û c h e s d r e s s é e s s u r s a
roule. Qu'importe que l a lutte r e p r e n n e
bientôt, à l a rentrée, plus â p r e , plus
a c h a r n é e . P o u r l'instant, jouissons,
c o m m e le s a g e , d e l'heure présente et
bannissons d e nos esprits les s o m b r e s
appréhensions.
Un optimisme relatif est de r è g l e en
c e m o m e n t où l a d o u c e u r d e s villégiat u r e s retient la plupart de nos représ e n t a n t s e t tous c e u x , plus n o m b r e u x
c h a q u e a n n é e , qui tiennent à d é p o s e r
pendant quelques s e m a i n e s ou quelques
j o u r s a u moins le lourd collier de servitude et à g o û t e r les a g r é m e n t s du repos n é c e s s a i r e el d'une diversion aussi
favorable au c o r p s qu'à l'esprit.
L a détente e x t é r i e u r e , p a r une coïnc i d e n c e heureuse, a c c o m p a g n e la dét e n t e i n t é r i e u r e : double motif pour é c a r t e r les inquiétudes trop vives. Accueilli
a v e c c o l è r e en B u l g a r i e , le traité de
fiucharest
a tout de m ê m e éclairci l'horizon. L e s g r a i n s les plus m e n a ç a n t s s e
sont dissipés si quelques n u a g e s plaftantucoea
JP
T^A qHî^^q b a i .
kéniifïieaônTraiâon d e s e c o n g r a t u l e r
et
féliciter de la conclusion de la
p a i x . Quant a u x a u t r e s puissances,
a l o r s m ê m e que c e r t a i n s de leurs sec r e t s désirs aient é t é décrus, elles auraient g r a n d e m e n t tort de n e pas part a g e r c e l t e satisfaction a p r è s tant d'al a r m e s e l de complications.
Aussi bien détournons nos r e g a r d s
d e la péninsule mise pendant d e s mois
à feu e l à s a n g et reportons-les s u r les
faits qui s e déroulent chez. nous. P e n dant c e t t e période a p a i s é e des v a c a n c e s , c e u x , p a r m i c e s faits, qui retiennent d e p r é f é r e n c e l'attention c e sont
n a l a r e l l e m e n t les d é p l a c e m e n t s do nos
e x c e l l e n c e s ou bien du chef de l'Eiat.
L e s h a r a n g u e s ministérielles s e succèdent presque tous les d i m a n c h e s el ne
sont p a s toujours, c o m m e on pourrait
c r o i r e , de v a i n e s manifestations o r a toires. Sous leur optimisme obligatoire
— c a r l'on n'a j a m a i s vu un ministre
m a n q u e r de confiance dans le g o u v e r n e m e n t qu'il r e p r é s e n t e — elles méritent d ' ê t r e lues a v e c le plus vif intérêt.
E l l e s abondent en bons conseils, en sa. g e s a v e r t i s s e m e n t s , en rappels judicieux
les
annonces
et surtout en élans confiants v e r s l'avenir.
'
'
Ainsi que le faisait, il y a quelquïis
j o u r s s e u l e m e r t , à l a c é r é m o n i e patriotique de Belfort, si é m o u v a n t e p a r les glorieux é v é n e m e n t s qu'elle a faite r e v i v r e ,
M. R a t i e r , g a r d e des s c e a u x , les ministres, en m ê m e temps qu'ils évoi^uenl
l ' œ u v r e a c c o m p l i e tant au point de vue
mililaire qu'au point de vue politiqiue et
social, nous font c o m p r e n d r e les r a i s o n s
multiples que nous a v o n s d'entretenir
en nous la flamme des plus nobles ésp é r a n c e s . Ils s e complaisent à faire vib r e r la c o r d e patriotique qu'il n'a jamais été plus n é c e s s a i r e qu'aujourd'hui
de tendre dans un réveil de toutes nos
énergies.
L ' a m o u r de la F r a n c e c o m m e icelui
d e la petite patrie, confondue a v e c la
g r a n d e , trouvent leur c o m p t e d a n s c e s
exaltations nationales. J a m a i s noùs ne
l'avons mieux c o m p r i s qu'en lisapl le
magnifique discours p r o n o n c é dimanc h e à Bar-le-Duc par le président de la
République en l'honneur d e l a L o r r a i n e .
A v e c quels a c c e n t s é m u s el p é n é t r a n t s
M. P o i n c a r é , r e v i v a n t s e s souvenirs d'enfance e l d e jeunesse, a-t-il parlé de cette
province mul lée, g a r d i e n n e vaillante
de la frontière, el ainsi doublement
c h è r e à nos cœurs, de F r a n ç a i s . Dans
s a forme d'un tour si littéraire el si délicat, vibrante du patriotisme le plus
pur et le plus élevé, qui n'a rien de c o m mun a v e c le c h a u v b i s j i i e agressit-JrfiUft.
h a r a n g u e a fail p a à s e r én notrè'^Sriie'fé
frifrson des plus douces émotion^. El
elle contribue ainsi, p a r l ' h o m m a g e
rendu a u x verlus d'une de nos plus belles provinces, à c e réveil des é n e r g i e s
nationales qui, s a n s l a p a g e e l s a n s i p r o vocation, s'afHrme à noire h e u r e s o u s
les formes les plus diverses, particulièr e m e n t p a r m i les j e u n e s g é n é r a t i o n s
tournées de plus en plus v e r s l'action.
rédaction,
les JEUDI
et
DIMANCHE
DIRECTION
ADUimSTRATION A ANNONCSS
A QÙIMPERLB, Ptaoo Hepvo. n* 8 bis
T é U É ^ H O N K , IM» B
Adreste TiUgrapMqut : Union, Quimperl6
c o u r s c o m m e celui deBar-le-Duo où tel
a u t r e de m ê m e inspiration, prononcé
dans une c é r é m o n i e publique, De semblables manifestations s e produisant
dans la période un peu vide des v a c a n c e s , sont dignes d'être retenues puisqu'elles fournissent l'aliment le plus
substantiel à nos réflexions naturellement inclinées à celle époque v e r s les
distractions el le plaisir. Quand des occasions aussi f a v o r a b l e s nous sont offertes, applaudissons dans un élan d'enthousiasme a u x évocations glorieuses
du P a s s é c o m m e a u x affirmations les
•plus confiantes en l'Avenir. C'est de
l'optimisme sain et du patriotisme de
bon aloi.
Eugène DREVETON.
Au Jour le Jour
Election Législative
Lyon (8'
circonscription)
Inscrits, 26.135 ; votants 19.526.
Ont obtenu :
M. Pays, conseiller général, progressiste
10.289 voix. !• lu.
M. Guy Ghambaud de la Bruyère, conseiller géréaal, radical-socialiste, 8.465
voi.v,
M. I^oncet, socialiste unifié, 623 voix.
Il s'agissait de remplacer M. Aynard décédé.
Let abonntmenta se paient d'avance, sauf
eonttn.
fions Us partent du 1" ou du iS de chaque 'mois.
On s'abonne au bureau du journal. On peut s'abonn*r
égaUment, sans frais, dans tous les bureatix de poste,
du encore en adressant un mandat-poste ài Madame
Veuve A. GAUTIER, place Bervo, d QuimterU.
L'envoyé Mexicain à Paris
On a envisagé au quai d'Orsay la question de savoir si le président de la République recevra le nouvel envoyé mexicain
à Paris, M. de la Barra, ancien président
provisoire du Mexique, qui vient d'arriver ici.
Le gouvernemenl français a bien reconnu le gouvernement provisoire dugéi:iéral
Huerta. Mais cette reconnaissance n'implique pas que l'envoyé du Mexique soit admis à présenter ses icUres de créance tant
qu'un président constitutionnel n'aura pas
été régulièrement élu. C'est le point de
vue auquel s'est placé le .lapon à l'égard
du général Félix Diaz, qui est envoyé à
Tokio en ambassade spéciale pour remercier le gouvernement du mikado d'avoir
participé aux fêtes du centenaire de l'indépendance mexicaine. Bien que le Japon
ait reconnu le gouvernemenl provisoire
mexicain pour traiter les afi'aires courantes, il a fait savoir que le mikT-io n e r e c e , vrait pas le général Félix W.w/..
L a course Paris-Doauville
en H y d r a v i o n
On annonce la mort, en Norvège, du général Négrier, décédé subitement d'une
attaque d'apoplexie, au cours d'une croisière à bord du vapeur Roi-HaroUl. Il était
ilgé de 7i ans.
Sorti de Saint-Cyr en 1859, de Négrier fil
partie de l'armée de Rome de 1860 à 1863,
servit en Afrique, el, a u d é b u t d e l a g u e r r e
franco-prussienne, lit partie du ¥ corps
d'armée.
Blessé à Saint-Prival, il fut l'ail prisonnier avec l'armée de iVIetz, mais s'évada
peu après pour rejoindre le général Faidherbe à l'armée du Nord. En 1883, le générai Négrier fut mis à la tôle d'une brigade du corps expéditionnaire du Tonl<in,
et s'empara de Bac-Ninb, où il fui légèrement blessé, puis a Lang-Son, qu'il dut
évacuer peu après.
Rentré en France en 1887, il commanda
la 1 division d'infanterie, puis, en décembre 1889, fut mis à la lête du 11" corps
d'armée. Trois mois après, il passait au 7"
corps d'armée à Besançon, où l'atteignit
la limite d'âge.
Fils et neveu d'oiriciers généraux restés
célèbres, le général de Négrier passait pour
l'un des chefs les plus marquants de l'armée française.
Dimanche a eu lieu la course de l'arisDeauvilieen hydravion. Neuf concurrents
étaient engagés. A 8 ii. 30 une bomlie an
nonce le premier départ.
Voici la liste des dèparls :
1 " , Weyman, sur monoplan 100 H ;P, à
8 h. 30 ; 2=, Levasseur, sur monoplan 110
H P, à 8 h. 36 ; 3' Prévost, sur monoplan
160 H P, à 8 h. 42 ; 4«, Janoir, sur monopian 160 H P, à 8 h. 48 ; 5% Molla sur biplan 80 H P, à 9 h. 2 ; 6% Ghemet, suri monoplan WO H
9 il. 8 ; 7% jlugère,; sur
biplan 100 H P, à 9 li. 14 ; 8% de Montaient
sur biplan 90 11 P, à 9 h. 20 ; 9«, Divetain
sur monoplan H P, à 9 ii. 26.
L'hydravion piloté par l'aviateur de
Montaient s'est échoué dans l'île la Croix
h Rouen ; celui-ci était accompagné du
mécanicien Métivier. Tous les deux sont
morts. L'un des deux aviateurs a été retiré de la Seine, la tète fracassée les j a m bes rompues : l'autre en toinl)anl a traversé le planclier d'une péniche.
Le mécanicien Métivier était àgv de 30
ans et M. de Montaient en avait 27.
Géo Ghemet, a accompli le raid en
3 h. 47, couvrant les 300 kilomètres à une
vitesse de 84 kilomètres 500 à l'heure.
Le vainqueur et son mécanicien sont
portés en triomphe.
L'aviateur Levasseur est arrivé second
à Deauviile, à 4 h. 10. Parti second du
•Pecq, il est arrivé premier à Rouen, malgré deux pannes de inoteur. Trois autres
pannes graves l'ont arrêté en roule, lui
faisant perdre le bénéfice de la premiè-re
place.
Levasseur a atterri très facilement,
malgré les lames très fortes. 11 a été reçu
par sa famille anxieuse, qui l'attendait
depuis longtemps.
11 a déclaré que Weymann était resté
en panne, ayant cassé une aile, et que la
peux être tué... Mais tu passes, tu arrice à quoi je ne puis guère vous servir,
veras à un pavillon de chasse... Ou me l'a
mol, puisque Je ne connais rien de c'te
bien Indiqué... T u y trouveras une
maison... Mais Je vous garanti qu'il
dame... Ë t tu lui diras ceci... »
faudra m'avoir tué... et que j'en aurai décânillé quelques-uns avant qu'on songe
Il répéta flévreusement son message.
— E t vous ne m'avez rien dit, mal- seulement à vous poursuivre... Seulement, réussirez vous A filer ?
heureux I...
— Gai... cette fllle vient de me révéler
Il murmura du bout des lèvres, avec
que son père a creusé, sous son cellier,
ane Indicible mélancolie lui aussi :
— Ëllez-vous en état de m'entendre. un passage souterrain qui mène à cinquante ou soixante mètres dans la forêt,
madame!... puisque... sans que Je puisse
et qui lui permet, quand les braconniers
m'expllquer par quelle magie... cela s'est
le croient chez lui, d'aller les surveiller.
faltl...
De nouveaux coups étaient frappés,
— Taisez vous !... Bt répondez m o l enavec brutalité, contre la porte d'entrée.
fin si le grand-duc Fritz...
— J ' s a l s pas si le grand duc Fritz était
Très calme, la femme continuait :
parmi eux.
— Dans dix minutes, peut-être cinq,
— Eux... qui?
six. Je puis être hors d'atteinte... si, du
— Trois vieux, dout l'un doit c t r e un
moins, il n'y a pas de cavaliers à cent
médecin... très cblo... et l'autre qui a
mètres d'ici... et 11 est probable que non...
l'air d'un finaud... et l'autre, sauf vot' resUs croient m'avoir enfermée... Ils n'y
pect... UDô brute I
avalent que trop bien réussi, hélas !
Un coup violent fut alors frappé contre
— Mais puisqu'ils ne vous auront pas,
madame 1
la porte du pavillon.
— Difendez donc cette porte... et si on
La servante prit la main de la belle
réussit & la franchir, retenez tous ces
Grégorienne, voulant l'entraîner vers la
gens aussi longtemps que vous le pourcuisine. Mais sa compagne parlait encoire .
rez... Mais soyez prudent, monsieur... c a r
— Vous venez de me déclarer, monce serait un remords éternel, pour mol, si
sieur, que vous étiez prêt à donner votre
vous deviez succomber... E t quoi qu'il
vie pour moi?... L e s antres vous ont
advienne, je compte sur votre discrétion.
offert de l'argent,... Mol, je sens en vous
Vous étiez prisonnier .«. vous vous êtes
un si simple courage... quelque chose de
évadé... vous vous êtes emparé du cossi «bevaleresque... que je n'ajouterai
tume d'un lieutenant de hussards... vous
même pas une promesse de récompense...
Sa récompense?... E s t - c e qu'il ne l'avait , vous êtes réfugié ici... où TOUS n'avez
tronvé personne... voas vous défendez...
pasdéjil...
— Réassissez A sortir d'ici, madame... Mais qa'on voas refasse prisonnier I C'est
le meilleur moyen de garantir votre vie...
Ne vous laissez pas tuer, monsieur 1...
que Je puisse vous sauver, à mon tour,
moi aussi !
— Ah I madame ! s'écria Coqueluche,
qui que vons soyez, mourir pour vous,
foi de Parigot 1 ça serait presque aussi
beau que de mourir pour sa patrie 1
— Avez-vous de quoi vous défendre, au
moins ?
— Vous parlez, la dama 1
Il montrait son sabre posé sur la table,
et il tirait de la poche intérieure du manteau un magnifique revolver d'ordonnance.
— Sans compter ceci l faisait-ll en montrant le râtelier de fusils du garde-chasse.
Allez, allez vite, madame : et s'il vous
faut dix minutes, et mcoae un quart
d'heure, Je vous réponds que vous l'avez
devant vous I
Cependant les coaps redoublaient contre la porte du pavillon... avec des cris,
des objurgations, puis des s i l e n c e s . . .
pais de nouveau des paroles similaires à
celles que Coqueluche avait vaguement
distiogaées tout d'abord et qui, sans nul
doute, devaient signifier quelque chose
comme : « Ouvrez 1 . . . Ouvrez, au nom de
la loi ! . . . ou ,du g o u v e r n e m e n t . . . ou de
la police... »
— Tu peux bien crier au nom de tout
ce que tu voudras, mon vieux ! . . . Tant
qu'il se sera pas écoalé vingt minutes, on
t'ouvrira rien du t o u t . . .
Il y eut quelque accalmie alors, mais
rapidement suivie d'an brait étrange, un
Des discours c o m m e celui qu'applaudissaient a v e c enthousiasme à B a r c le
Duc tous c e u x qui ont eu la b o n n e ' f o r luue de l'entendre, reflètent tous les
s y m p t ô m e s r a s s u r a n t s qa'il osl 'bon
d'opposer a u x pronostics f â c h e u x et débilitants de quelques prophètes de malheur. Un minisire el plus e n c o r e le chef
de l'Etal, p a r l'autorité de s a parole,
peut donc e x e r c e r l'influence la plus
h e u r e u s e s u r l'esprit public. Touai les
mots ne sont pas e m p o r t é s p a r le vent
quoique l'on en dise, et c e r t a i n e s pens é e s s'implantent en quelque sorte d a n s
les â m e s prêtes à l e v e r en g e r b e s abondantes d'énergies nouvelles.
C'est à c e point de v u e qu'il faut avant
tout se placer pour a p p r é c i e r un dis-
Mort du général
Négrier
ABONNEMENTS (VN AN)
Quimperlé (ville)
6
Finistère et départements llmitrophes
e
Autres départements
7
Colonies et étranger
10
fr
—
—
—
course avait été très dure par suite des
remous de la vallée de la Seine, qui sont
très violents. Près de Rouen, son mécanicien a été enlevé de son siège et s'est assis sur le fuselage.
Lui-môme crut qu'il allait être enlevé ;
sa tête heurtait le capot.
Une très chaude ovation a été faite à
Levasseur et à son mécanicien par la foule
qui se tenait aux abords du parc.
Molla est arrivé 3' à Deauviile, à 5 h. 45
suivi de Janoir à 6 h. 55. mais J a n o i r
ayant mis 10 h. 11' 4" pour faire le t r a j e l
dépassant ainsi de onze minutes le temps
qui lui était accordé, a perdu le bénéfice
de la 4" place.
Le classement officiel est donc le suivant ; 1 " , Ghemet, en 3 h. 47' 50" ; 2», Levasseur, en 7 h. 38' 15" ; 3% Molla en
8 h. 46' 11",
Les trois gagnants de l'épreuve se
partageront la totalité des prix.
Aviation
Xa coupe
JPommery
L'aviateur Letort, concourant pour la
coupe Pommery, et parti samedi matin à
4 h. .57 de Villacoublay a atterri à Johannisthal à midi.
Letort a donc parcouru les 900 kilomètres en 7 il. 3, battant son propre record
qui était de 7 h 47.
L intrépide aviateur est reparti le jour
même à 3 h. 13 pour Saint-Pétersbourg.
Au dernier moment, une-dépêche de Danizig dit que Letort est arrivé dans cette
ville, le soir même à.9 heures. Il n'a pu
ainsi gagner la coupe Pommery.
— Le même j o u r , l'aviateur Guillaux est
parti de Biarritz à 4 h. 5 5 ; - p o u r « ^ u t e r
également la coupe Pommery.
Suivan! le littoral de l'Océan, il a atterri
à. Villacoublay à 10 h. 3ô, pour reprendre
son vol à 11 h. 05 dans la direction du N.-K.
A 2 h. 7, il atterrissait à la plaine d'Ktterbek, en Belgique, et en repartait à 2 h.
45 dans la direction'de la Hollande.
L'aéroplane
omnibus
t n , j e u n e étudiant de S a i n t - P é t e r s b o u r M. Igor-Sikorsky, vient d'inventer ot .-xpérimenler un nouvel appareil destiné à
révolutionnor à nouveau l'art de laéronautiiiue.
G'osl un biplan de 27 mètres d'envergure
et de 130 mètres carrés d'é'endue totale.
11 pèse 3000 kilos el peut soulever, en plus
de son équipage et de ses passagers (en
tout dix personnes), des provisions et du
combustible pour vingt heures et une
ciiarge de 800 kilos.
Muni de quatre moteurs d'automobile
de 160 chevaux chacun indépendants l'un
de l'autre, l'appareil de l'inventeur russe
échappe ainsi aux risques d'une panne el
partant, d'une cliute, pouvant fonctionner
avec trois, deux et peut-être même un
seul moteur, mais l'expérience s'est arrêtée jusqu'ici à la suppression de deux moteurs sur quatre, arrêtés toutefois du même côté.
Cette nouvelle découverte menace de
porter un rude coup à l'Industrie des Zeppelin allemands.
f
[32] Feallleton de l'Union
Agricole
Coqueluche \ er
par
Pierre
premii!.re
SALES
partie
IX
L e t r i o m p h e du
poète
Les deux femmei étaient descendaes
« n u i . . . parlaient en a n soaffle...
. L a belle Grégorienne prit la lanterne
des mains de m compagne, la tint an instant devant le t l i a g e de Coqueluche,
qu'elle exa,mlna a v e c exaspération d'abord, poil avec une indicible mélancolie...
P a î t , d'an ton aoaverain aaqael il recoiihaliflait i n'en plas douter la grande
d a m e vers qai on l'avait envoyé :
—• Voas n'êtes donc pas de mon pays,
monsiear?
— Non, madame : Français, je vous
l'ai dit 1
— Comment vous t r o a v e z ' v o a s ici ?
^ J ' é t a i s prisonnier... à demi accusé
d'an complot aaqael Je ne comprends
rien, contre le p a a v r e souverain qui est
mort !... Bt on m'a dit : « V e a x - t n un
poteau et douze balles, on gagner dix
mille f r a n c s ? » — Qnol qu'y faut faire
p o o r l M g a g n e r ? q a e Je réponds. — File
capot. •• . A q sortir de la Tille, tu
bruissement plutôt, léger, contre le sol et
aérien. Bientôt Coqueluche se rendit
compte que l'on traînait quelque chose
contre le mur du pavillon. Il colla son
oreille contre une porte et entendit ce
mot, répété plusieurs fois :
— Foco !... foco !... foco
!...
— Ça serait y qu'ils veulent me faire
roussir, les g a i l l a r d s ? . . . Alors il y en a
bien pour un quart d'heure avant que ça
llambe et que la fumée me picote à la
g o r g e . . . Allez... allez-y donc, mes gaillards ! . . .
Mais un galop de cheval, un seul, retentissait alors. Puis les commandements
furent criés, d'un ton furieux.
Quelque grand chef arrivait, évidemment. E t l'Idée de roussir le prisonnier
ne convenait sans doute pas au nouveau
venu ; car l'opération cessa, les mots de
« foco » ne furent plus prononcés. Bt i
voix basse, on recommença de délibérer
aa dehors.
Puis un pas brusque s'approcha de la
porte; quelques coups furent frappés,
sans doute avec un pommeau d ' é p é e . . .
Les sommations d'ouvrir furent répétées
d'un ton hautain qui confirmait Coqueluche dans son idée de l'arrivée d'une
« frrosse légume » !
Il s'iDclioa commô si l'autre pouvait le
voir, l'entendre, et murmura :
— Désolé, mon cher m o n s i e u r . . . désolé. . . il n'y a encore que six minutes et
demie d'écoulées... et Je ne peux vraiment pas vous offrir déj& l'hospitalité
dans man pavillon do chasse 1
»
Nos dirigeables
l,f» dirigeable Adjudant
Yincenot, ayant, à
son liord d e u x ofTiciers, MM. J o u x et P e c i|Uignol, six m é c a n i c i e n s et u n s e r g e n t télégraphiflle e s t parti lundi de Paris p o u r
Albi pour p a r t i c i p e r a u x m a n œ u v r e s de
l'Ouest.
Dans les Balkans
I n e foia e n c o r e , les difRculté» p a r a i s sent 3'aplanir e n t r e les divers i n t é r e s s é s
a u eontlit balkanique, l.undi, a en lieu aitm i n i s t è r e des Ati'aires étra.ngère3 de B u c t i a r e s t , l'échange des ratifications du
traité de p a i x . La ratilication s e r a faite
par M. M a j o r e a g i , au nom de la Roumanie ;
par 11- m i n i s t r e de Grèce, M. P a p a d i a m a n loponlos, au nom de la G r è c e ; p a r le
m i n i s i r e de S e r b i e , M. flititch, au n o m de
la Serliie et le Monténégro, et p a r M. Arseniftil", c h a r g é d'ad'aires de Russie, au
nom de la B u l g a r i e .
— Le g o u v e r n e m e n t bulgare a avisé le
g o u v e r n e m e n t g r e c (lufe les m e m b r e s
b u l g a r e s de la c o m m i s s i o n de délimitation
des f r o n t i è r e s s e r a i e n t lundi, à DenieHissar. Les m e m l ) r e s d e s c o m m i s s i o n s de
la délimitation d e s f r o n t i è r e s bulgaror o u m a i n e s ont déjJi c o m m e n c é l e u r s travaux. .
— On d é m e n t c a t é g o r i q u e m e n t , dans
les m i l i e u x ofïlciels de Constantinople,
q u e le g o u v e r n e m e n t ottoman aurait l'intention de c r é e r une zAne n e u t i v au
Nord de la T h r a c e , e n g l o b a n t Andrinople,
et de d é m a n t e l e r les t'ortilications de
c e l t e place.
— he Conseil des m i n i s t r e s de Constantinople s e r a i t décidé à a c c o r d e r tous droits
de capitulation a u x G r e c s si la Grèce
libère i m m é d i a t e m e n t
les p r i s o n n i e r s
qu'elle détient, et qui s e r o n t e n v o y é s en
Arménie.
^•tour
de M.
JDeJcassé .
M Helcassé, a m b a s s a d e u r de F r a n c e à
^ a i n t - l ' é t e r s b o u r g , a q u i t t é c e t t e capitale
pfour so rendre en F r a n c e . Ce voyage ne
. . K c r a t i u e de très c o u r t e d u r é e et n o t r e
• ' r e p r é s e n t a n t r e t o u r n e r a ù son poste v e r s
f la (in de la s e m a i n e .
LES OBSÈQUES
de
M.
Armand
GAUTIER
S a m e d i d e r n i e r , fi q u a t r e h e u r e s du
soir, u n e a s s i s t a n c e n o m b r e u s e et reoueillip faisait cort.ège k la dépouille mortelle du D i r e c t e u r de l'Union Agricole et
Maritime M. Armand Gautier, enlevé subit e m e n t il l'atteotion des s i e n s .
Ce deuil si b r u s q u e et si i n a t t e n d u a
j e t é la c o n s t e r n a t i o n p a r m i la population
Q u i m p e r l o i s e , où Armand, c o m m e on
l'appelait f a m i l i è r e m e n t , ne c o m p t a i t q u e
des a m i s .
C'est un grand c œ u r qui d i s p a r a i t .
Dans s a s i m p l i c i t é il avait t o u j o u r s su
c o n s e r v e r l ' e s t i m e de c h a c u n , g r â c e à son
affabilité et à son e s p r i t de c o u r t o i s i e et
de g é n é r o s i t é .
Après la c é r é m e n i e r e l i g i e u s e qui a eu
lieu en l'église Sainte-Croix, a u x a c c e n t s
t o u j o u r s s a i s i s s a n t s de la m a r c h e f u n è b r e ,
le c o r t è g e s ' e s t dirigé v e r s le B o u r g a e u f et
a gravi la pente du c i m e t i è r e dans le plus
r e l i g i e u x s i l e n c e ; le c h a r qui d i s p a r a i s sait s o u s les fleurs et c o u r o n n e s , était
e n t o u r r é p a r u n e délégation de la c o m p a g n i e des s a p e ars p o m p i e r s dont M. Armand Gautier était m e m b r e h o n o r a i r e .
P o r t a i e n t les "coins du poêle, MM. Court i e r , m a i r e ; B e a u b o i s , p r o p r i é t a i r e ; Guyonv a r c ' h , c o n s e i l l e r général et llabrial, pharmacien.
Le deuil était c o n d u i t p a r MM. llobitaillie, c a p i t a i n e de g e n d a r m e r i e ; Robitaillie fils, élève oflicier et Louis Sablé,
n é g o c i a n t a Quimper.
De fidèles a m i s du défunt n ' a v a i e n t
p a s hésité a v e n i r , m ê m e de loin, lui dire
un d e r n i e r adieu.
On r e m a r q u a i t de n o m b r e u s e s c o u r o n n e s offertes p a r le p e r s o n n e l si dévoué de
L'Union Agricole et Maritime,
la Société de
Panification La Famille
dont il était le
p r é s i d e n t , l'Union Commerciale
et
Industrielle, e t c . . .
Devant la t o m b e si p r é m a t u r é m e n t ouv e r t e M. Courtier, Maire de Quimperlé
s ' a v a n c e et p r o n o n c e le d i s c o u r s s u i vant :
Mesdames,
Messieurs,
Les liens d'amitié qui m'unissaient à Armand
Gautier m'imposent le douloureux devoir d'adresser lessuprônies paroles d'adieu h l'tiomme
intègre et cordial qui emporte dans celle
tombe si prématurément ouverte, les regrets
(Je .sa famille désolée et les sympatliies do .ses
nomt)reux amis.
Ceux qui l'ont connu de longue dale, ceux
qui vécurent avec lui dans l'intimité pourraient vous dire, mieux que moi, tout ce qu'il
y avait do bonté, de chaleur et de jeune.sse
dans ce cœur généreux. Et ceux aussi qui ne
peuvent se réclamer de relations aussi intimes
el aussi étrojtes rendront Justice à i'absolue
probité de son caractère.
Dès que je (-onnus Armand Gautier Je lui ai
voidi une estinif! et uiie all'i'clioii «ans réserves <iui tenait à la respecl.ueusc syuqMlliif,
i|ue j'avais conçue pour la loyauté de sof; senkiinents et pour son dévouement poussé parfois jusqu'au désintére.ssement.
' Toute préoccupation d'intérêt personnel
était loin de .son esprit. Il avait trouvé au
foyer paternel non seulement l'exemple de la
probité et do l'honneur mais aussi les sages
conseils qui devaient l'amener à s'intéresser à
tout ce qui était noble et généreux, sans
souci des conséquences pour sa santé B1
ébranlée.
C'est ainsi, qu'en dehors de ses occupations
de Bureau, alors qu'il était employé aux Eta
bli.ssemeuls Savary, il se donna tout entier à.
une œuvre de mutualité que nous avons vue
depuis prospérer : je veux citer la Coopérative
de Panitlcation La Famille.
A la suite d'événements douloureux, il lui
fallut, alors qu'il avait plus de quarante ans,
chercher une situation capable d'assurer le
puiii de SU forome et de ses enfants.
N'obéissant qu'à ses bons sentiments, n'é
coûtant que la voix du devoir d'un bon père
de famille, il prenait la direction du Journal
L'Union Agrieole, malgré les -conseils de certains de ses amis qui redoutaient qu'un surcroit
de travail dans une aflaire nouvelle ne vînt
aggraver le mal dont il soutirait depuis si longtemps,
Son unique ambition, pendant les quelques
mois qu'il passa à la t6te du journal, fut dfe
mettre son intelligence et son travail au service de son cher Quimperlé qu'il aimait tant,
ppnsant qu'il devait bien mériter de son pays
si, en faisant aimer, aomme elle doit l'être,
l'idét! républicaine d.ms l'arrondissement, il
avait pu ramener le calme dans les esprits.
Bien qu'attaché à .ses convictions politiques
avec une fetmeté inébranlable, Il ne voulut
Jamais, pour faire prévaloir ses opinions ou
défendre ses amis, se départir un seul instant
de son esprit de courtoisie.
Si ardent que • fût son désir de voir triompher ses idées i'i ignora toujours ou feignit
d'ignorer les suptilités de la politique qui ne
tendent parfois qu'à user de mauvaise foi à l'égard de ses adversaires.
Contlant dans le bon sens de ses concitoyens,
il agissait au grand jour avec la conviction
que la franchise trouve crédit auprès d'une
population vraiment impartiale et vraiment
sincère.
Loyal en politique comme en afl'aires, excellent pèro de famille, ne vivant que pour les
siens, il jouissait à Quimperlé de l'estime et
de la sympathie générales. Ainsi s'explique
11! concert de regrets qui entourent cette tombe
oi'i va reposer à tout jamais un brave homme
dont la mémoire restera entouré du respect
de tous ceux (jui lui avaient donné leur
estime.
La mort inexorable, avec sa soudaineté brutale, vous a ravi, mon cher Gautiere, à l'atrection de votre famille. Reposez en paix. Vos
camarades, vos amis, tous ceux qui ont goûté
le charme de votre précieuse amitié, conserve,
roiit pour vous, dans leurs souvenirs une place
qui ne sera jamais envahie par l'oubli.
Puissent les regrets sincères qui vous accompagnent à votre dernière demeure appprter un peu de consolation à votre veuve éplorée et à vos chers petits enfants qae i voq-î
chérissiez tant et dont la tendresse remplissait
vos Jours de joie et de bonheur.
Rt avant que cette tombe ne se réferrtie, je
vous adresse mon cher Armand, au nom de
vos amis et en mon nom personnel, un suprême et dernier adieu.
La foule é m u e p a r c e t t e allocution t o u c h a n t e , un g r a n d n o m b r e de p e r s o n n e s
ne p e u v e n t r e t e n i r l e u r s l a r m e s ni résister à. l'émotion qui é t r e i n t tous les c œ u r s .
L'Union Agricole et Maritime a d r e s s e s e s
plus vifs r e m e r c i e m e n t s à tous c e u x qui
ont tenu k donner un d e r n i e r t é m o i g n a g e
de s y m p a t h i e à M. A r m a n d Gautier à sa
veuve et à s e s e n f a n t s .
Madame Gautier, a r e ç u la lettre s u i vante de la S o c i é t é de Panification La
Famille :
« Le Conseil d ' a d m i n i s t r a t i o n doulour e u s e m e n t é m u p a r le d é c è s de son r e gretté Président qui p r i v e la S o c i é t é d'un
h o m m e plein de zèle et de d é v o u e m e n t .
« Décide q u ' u n e c o u r o n n e s e r a offerte
p a r la S o c i é t é en s o u v e n i r des s e r v i c e s
qu'il a r e n d u s .
« Charge M. Gùyader, v i c e - p r é s i d e n t
e t M. Coadou, s e c r é t a i r e , de faire p a r t à
Madame Gautier de c e vote et de lui
p r é s e n t e r en m ê m e t e m p s , au nom de la
dite S o c i é t é avec s e s plus s i n c è r e s c o m p l i m e n t s de c o n d o l é a n c e s l ' h o m m a g e de
sa r e s p e c t u e u s e s y m p a t h i e . »
Le Vice-Président,
Le
Secrétaire,
GUYADER.
J . COADOU.
Au début de l'Assemblée g é n é r a l e de
l'Union Commerciale
et Industrielle,
qui
s'est tenue lundi s o i r , M. Gilbert Habrial,
p r é s i d e n t , a p r è s a v o i r a d r e s s é la bienvenue a u x n o u v e a u x S o c i é t a i r e s , a prononcé les p a r o l e s s u i v a n t e s à l'adresse
de n o t r e r e g r e t t é D i r e c t e u r :
Messieurs,
S'il m'est extrêment agréable de saluer aujourd'hui l'entrée dans notre Société de nouveaux adhérents, j'ai aussi le triste devoir et
suis certain- d'être dans la circonstance votre
interprète à tous, d'adresser au lendemain de
sa disparition un dernier adieu à notre excellent camarade Armand Gautier.
Gomme moi vous avez pu apprécier en
maintes circonstances l'égalité el le charme
de son caractère. Très régulièrement assidu
à nos réunions, Gautier par ses connaissances
étendues nous a souvent été de conseil très
utile.
A côté de réelles qualités qui trouvaient à
s'employer dans nos discussions les plus sérieuses, vous savez en outre quelle gaieté et
quel charme se dégageaient de son agréable
compagnie et nous pouvons tous nous rappeler combien sa verve et son esprit savaient
nousjlivertir à l'occasion.',
Sa mort laisse un grand vide dans nos
rangs, mais nous conserverons toujours ici
i(! .souvenir de ce bon collègue estimé de tous
et de relations si charmantes.
Pour moi à qui il a été donné de l'approcher de près, je sais aussi quel bon époux et
quel bon père de famille il était!
Permettez-moi en lui envoyant aujourd'hui
notre suprême adieu, d'adresser au nom de
l'Union Commerciale et Industrielle, à sa veuve
Madame Gautier et à ses deux llllettes, si
cruellement éprouvées dans leur atl'ection et
leur bonheur, l'expression de notre respectueuse sympathie.
PIIÉPARONS LEUR AVENIR
Il ne sutl'it pàs de donner aux enfants une
instruction solide, il faut aussi leur amasser un
capital qui, lorsque le moment sera venu, leur
permettra de choisir librement la profession de
leur goiit. Pour cela, il faut souscrire, à leur
profit, une assurance dotale dont le produit leur
sera versé à un âge convenu. Mais il est indispensable de s'adresser à une Compagnie
d'assurance de premier ordre, comme « L e
P h é n i x » (entreprise privée assujettie au contnMe de l'Etat), dont les conditions sont les
plus avantageuses et dont les engagements
sont inscrits clairement dans le contrat d'assurance dotale.
S'adresser au Siôgo social, à Paris, rue Lafayette, 33, ou aux Agents généraux.
M. Yves DAVID agent général, Boulevard de
la Gare Quimperlé.
m n c R E m
Chaque boite 1 k i l o g r a m m e b r u t
ou
net, Sucre de luxe Chantenay,
chaque boîte
1 k i l o g r a m m e b r u t ou net, Sucre
scié
rangé
Chantenay,
carton cuir, boites
b r u n e s (genre Paris), c o n t i e n t un t i c k e t
prime.
30 t i c k e t s p r i m e d o n n e n t di^dit à 1 kil o g r a m m e b r u t ou net Sucre
Chahtenay.
Le Sucre Chantenay
est le plus b l a n c ,
le plus !pur, s u c r e le m i e u x .
\
réglé au plus tôt ces questions conipllqiiées.
Finalement, délégation est donnée à la commission départementale pour statuer sur chacune des demandes de dérogation aux régies
générales.
A quatre heures la séance e.'st levée.
Qui est Oéputé de (aimperlé ?
Au c o u r s de la c à m p a g n e é l e c t o r a l e
dernière pour l'élection au Conseil général un g r o u p e - d ' é l e c t e u r s afiirmaient
qu'un c e r t a i n Monsieur, un beau Monsieur
à belle b a r b e avec son doux parler g a s c o n
r e m p l a ç a i t M.
Louédec en tout
et
ponr
tout.
M. Hyrigoyen g i l i m a t i i s m é l a s s e qui n e
Session ordinaire d'Août 1913
m a n q u e pas tes o c c a s i o n s de s ' e x h i b e r
Siéance du lundi S Ci Août
p o u r bien m o n t r e r q u e c ' e s t lui le m a î t r e
La séance s'ouvre,, à 2 h.
sou.s la préside l ' a r r o n d i s s e m e n t et le t u t e u r de celui
denç6"d(V.M^.de, .^erdrerl, doyen d'ilge, M. le
q u e les é l e c t e u r s ont e n v o y é par s u r p r i s e
préfet y assiste.
au Palais-Bourbon, voulut à grand f r a c a s
M. Magne, le plus Jeune des membres .lu
donner une leçon k c e pauvre, pupille qui
conseil, prend place 'au bureau en qualité de
secrétaire et procède à l'appel nominal, qui
c o m m i t u n e mon.slrueuse gaffe le J o u r
fait constater l'absence de M. Soubigou.
des élections du d i m a n c h e s août.
On passe ensuite à. l'élection du bureau défiL e c t e u r s vous j u g e r e z . l 4 c h o s e e s t
nitif. En voici les résultats :
a u t h e n t i q u e et J e a n Mérac Misez HyriPrésident. — Nombre de votants, 42 ; bullegoyen^ ne ppurra pas dans son Echo le
tins blancs, 6 ; majorité absolue, 19.
démentir.
Ont obtenue MM. Louppe, 29 voix ; de GuéDonc, le d i m a n c h e .3 août, à 7 h e u r e s
briant, 2 ; Penoux, 2 ; Rodallec, Hémon, Le
Bail, chacun une voix.
du m a t i n , ^ ' D u i m p e r l é , o u v e r t u r e du
M. Loiippe ay'ant obtenu la majorité absos c r u t i n et formation du b u r e a u . En l'ablue des sutlrages, esi proclamé président du
s e n c e de c o n s e i l l e r s m u n i c i p a u x , le m a i r e
conseil général.
fait appel aux deux é l e c t e u r s les, plus
Vice-présidents
(2). — Votints, 42 ; bulletins
â g é s et aux d e u x piUS j e u n e s . Parmi
blanc, 2 ; majorité absolue, 2U
les deux plus â g é s i^e trouve M. I..e Louédec
Ont obtenu : MM. de Guébriant,
voix ;
qui accepte.
,
Fenoux, .33 ; Fortin, 5 ; Damey, 2 ; Hémon, 2 ;
C'est légal, le b u r e a u eai c o n s t i t u é . On
Larher, 1.
MM. de Guébriant et Penoux sont proclavote M. Le Louédec é m a r g e . Ça dure u n e
més élus.
d e m i e h e u r e . Puis c o u p de t h é â t r e . P a r a î t
Secrétaires (4). — Votants, 42 ; majorité abun beau Moijsieur. Vous -devinez q u i
solue, 22.
n'est-ce p a s ? C'est le bel Hyrigoyen. De
Ont obtenu : MM. Damey, 37 voiX ;^o$US,
la d e r n i è r e m a r c h e du p e r r o n , a v e c u n e
33 ; Pégean, .3:{ ; Tanguy, 29 ; Guyônvarch,
voi.v
de coq en colère, il s ' a d r e s s e à M
Larher, David, Magne, chacun 9 voix ; PenLe t ô u é d e c et lui dit : « M. Le L o u é d e c
narun, Trémintin, dé Coatpon, Berthélénly,
votre plafte n'est pas là, sortez. Vous
chacun 2 voix ; Masson, Moign, .laouen, Carnet»;
de rHopital, Hémon, chacun une voljf.
m'entendez bien, sortez ».
MM. Dàmey, Lostis, Fégean et Tanguy sont
Tel le colonel R o n c h o n o t s ' a d r e s s a n t à
proclamés secrétaires.
son o r d o n n a n c e en lui disant : « S c r o n ,| '
Présidence de M. Louppe
g n i e u g n i e u , vous n ' o b t e m p é r e z pas à m e s
M. Louppe remplace M. de Ke^drel n,u fauteuil
o r d r e s , q u a t r e c r a n s et v o u s
tirerez
de la présidence. Il remercie le conseil général
l'oreille à J u l e s pendant h u i t j o u r s ».
et déclare remettre à demain le discours d'ùsaKt l'on d i r a e n c o r e q u e les é l e c t e u r s de
gè '(^ùe doit prononcer le président.
Quimperlé ont n o m m é M. Le I^ouédec déSut leur demande, sont afl'ectés : MM. Le
piiLé et Conseiller g é n é r a l . ' J V o a , ila
ont
Loùiédoc, Larher et de l'Hôpital à la coihmisnommé
M.
Myrigoyen.
sion deô travaux publiés -, MM. Moign et
Si les é l e c t e u r s de l ' a r r o n d i s s e m e n t ne
Magne à la commission des finances.
v e u l e n t - p a s le voir ou ne v e u l e n t pas le
MM. Féhoux et Trémintin posent une quesc o m p r e n d r e n o u s n o u s c h a r g e o n s de le
tion à M. le- préfet : le premier, au sujet de
l'exploitation de la ligne de chemin de fer déleur d é p i o n t r e r et quand ils s e s e r o n t
partemental de Pont-l'Abbé à Audierne ; le-ser e s s a i s i s ils se r a p p e l l e r o n t du d é p u t é
cond, au sujet de la limitation des débits de
guignol qui danse lorsque son s e c r é t a i r e
boissons.
t i r e s u r la ficelle.
M. le préfet répondra demain à ces deux
C'est un b a s q u e qui e s t député et c'est
questions.
c
e
b a s q u e qui r e p r o c h a i t au m a i r e de
M. Lancien dépose une liiotion portant que
Quimperlé d'être C h a m p e n o i s . Nous en
tout orateur prenant part à un discussion ne
v e r r i o n s e n c o r e b ' e n d ' a u t r e s s o u s le
devra pas garder la parole plus de 5 minutes
r è g n e de J u l e s 1 " , si au mois de mai
Renvoyé à la commission compétente.
A 3 h. 30 la séance est levée.
p r o c h a i n l ' a r r o n d i s s e m e n t ne r e n v o y a i t au
•^Séance du mardi se Août
collège Hyrigoyen p o u r y a p p r e n d r e le
f r a n ç a i s et M. Le Louédec à B e r l i n . p o u r
Présidence de M. Louppe, président." •
La séaDC.à^ k^ l^quelUt aaïuiito M. lû.'ft'^Iât,.- y ^ ' o o T h p i é t ë r poa""i£tttdcs Ue l i t n g a e alles'ouvre ^ déux heures.
mande.
*
, ''
Vlmn,
Après'la" ieidture dif procès-verbal de la
séance'de la veille et l'appel nominal, le président prononce le discours de rentrée.
Il souhaite la bienvenue aux nouveaux conseillers.
M. Moign, en son nom et au nom de ses
Contributions directes
trois collègues nouvellement élus, remercie le
président de ses souhaits de bienvenue.
P a r . a r r è t é du 14 aoiit 1913, M. le DirecLigne de Pont-l'Abbé à Audierne.
— Ainsi
teur Général des c o n t r i b u t i o n s d i r e c t e s a
qu'il l'avait annoncé hier, M. Fenoux pose une
d é c i d é que M. Michel, r é c e m m e n t n o m m é
question à M. le préfet, relativement à l'hoc o n t r ô l e u r p r i n c i p a l des c o n t r i b u t i o n s
raire des trains de la ligne de Poni;i'Abbé à
d i r e c t e s dans le d é p a r t e m e n t de l'Aisne,
Audierne. D'après la convention intervenue,
serait m a i n t e n u , s u r sa d e m a n d e , en q u a dit-il, trois trains au minimum devaient deslité de c o n t r ô l e u r de 1 " c l a s s e dans le déservir tous les jours la ligne entière de Pontpartement du'Finistère.
l'Abbé à Audierne. Or, l'horaire en vigueur
n'est pas établi dans ce sens. Il demande, dans
Avis
ces conditions, à M. le préfet quelles mesures
11 s e r a p r o c é d é le 30 août p r o c h a i n à 9
il compte prendre pour modifier l'horaire ach
e
u r e s du m a l i n , à la S o u s - I n t e n d a n c e de
tuel, très pernicieux |pour les intérêts de la
Q u i m p e r , à la passation d'un m a r c h é p o u r
région.
la location de 36 c h e v a u x de trait, n é c e s M. le préfet reconnaît que l'horaire actuel a
s
a i r e s au 118" r é g i m e n t d'infanterie p e n soulevé de nombreuses et l'égitimes protestadant les pi'ochaines m a n œ u v r e s .
tions. Il n'y a qu'un remède, c'est qu'on intente contre la compagnie des chemins de fer
P o u r tous r e n s e i g n e m e n t s s ' a d r e s s e r à
Armoricains et celle du premier réseau. Quant
la S o u s - I n t e n d a n c e de Quimper.
à présent, M. le préfet a prévu au budget déQuimperlé
partemental de 1914 un crédit de 10.000 francs
pour rétablissement d'une nouvelle gare à AuAu Conseil
Municip»!.
— Le Conseil
dierne ; c'est déjà une "amélioration mais ce
municipal de Quimperlé s ' e s t r é u n i j e u d i
n'est pas suffisant, et il espère que dans un
soir à 8 h e u r e s p o u r la s e s s i o n o r d i n a i r e
avenir prochain les populations |auront toutes
d'août, s o u s la p r é s i d e n c e de M. Courtier
satisfactions. En attendant, il a pris l'initiative
m a i r e . T o u s les c o n s e i l l e r s s o n t p r é s e n t s :
de réunir dès demain les maires des communes intéressées, en vue d'une entente. MM.
M. Bernard est nommé secrétaire de séance
Fenoux et Le Bail, ainsi que les coirimissa ires
et donne lecture du procès-verbal de la derdes deux réseaux sont priés d'y assister.
nière délibération.
MM. Fenou.x et Le Bail remercient M. le
Le procès-verbal est adopté, à l'exception du
préfet dos mesures qu'il a prise en la circonstitre d'une motion contre la loi de 3 ans, qui
tance.
était alors à l'état de projet, motion qui a été
Limitation des débits de boissons. — M. Tréinttulée : Vœu des socialistes. M. Guyomar
mintin demande à M. le préfet de prendre un
fait remarquer que ce vœu a été adopté par la
arrêté pour l'ensemble du dépai^tcment, au
majorité du Conseil et pas seulement par les
sujet de la limitation des débits de boissons
socialistes. M. le maire reconnaît la justesse
autour des "éfcoles, des cimetières, des églises
de l'observation et promet de faire modifier
et des hospices.
en conséquence la rédaction du procès-verbal.
M. le préfet répond que les conseillers généLes eaux du cimetière. — M. Guyomar deraux sont tous d'accord pour lutter contre le
mande si une sanction à été prise contre l'endéveloppemènt de ralcoolisme, mais qu'il ne
trepreneur qui se servait des eaux de la ville
faut pas exagérer. On ne consomme pas plus
pour la confection du hiortier au cimetière Std'alcool maintenant, dit-il, qu'il y a dix ans, ce
Avit. M. le maire répond qu'une amende de
sont les centres do consommation qui se sont
20 fr. lui a été innigéo.
déplacés. 11 fait remarquer à M. Trémintin que
Comptes administratifs.
— M. Courtier expose
l'article 42 de la loi de finances du 31 juillet
qu'à la précédente réunion il a déposé ses
1913 ne donne pas le droit aux préfets du prencomptes administratifs pour être examinés
dre un règlement général. Aux termes des inspar une commission spéciale. Il passe la prétructions qu'il a re(;ucs, M convient do faire apsidence à M. Cotonneç doyen d'âge, et sort do
pel avant tout à la bonne volonté dos municila salle pendant que le Conseil procède à la
palités, et il est persuadé que cc n'est pas en
vérification de ces comptes.
vain.que l'on s'adressera à elles en la circonsM. Cotonneç donne ^a parole à M. Génot,
tance.
rapporteur de la commission, pour la lecture
de son rapport, dont les Iconclusions sont les
. Il a d'ailleurs préparé depuis quelques jours
suivantes : apg^câj^^M: des comptes et vote
une circulaire au sujet de la limitation des dédes félicitations au'rhàlre pour sa bonne gesbits de boissons, circulaire qui leur sera adressée incessamment. En cas de refus de leur part,
tion.
il soumettra chaque cas au conseil général,
Ces conclusions, soumises au Conseil; sont
et il souhaiterait, pour obtenir une solution
adoptées à l'unanimité.plus rapide, que délégation soit donnée à cet
Rentré en séance, M. le maire remercie le
eflet à la commission départementale.
Conseil des félicitations dont il vient d'êti-e
l'objet et dont, ditMl, une partie doit se reporM. de Guébriant demande au préfet d'enter sur ses deux adjoints, MM. Beaufrêre et
voyer quelques indications aux maires sur ce
Hervé. Il remercie tous les membres du Conqui doit être entendu comme droits acquis en
seil de leur collaboration et compte toujours
cas de mutation d'un débit compris dans le
périmètre prohibé. M. le préfet dit que satissur leur concours as'sidu et dévoué.
faction sera donnée au désir exprimé par M.
Les paroles de M. Courtier sont applaudies
de Guébriant.
avec enthousiasme. ,
Dépenses imprévues. — Une somme de 158 fr.
M. Hémon estime que que la véritable con88 de dépenses imprévues est votée par lo
clusion de ce débat, c'est que le conseil général
Conseil.
émette un v jou tendant à oe que le législateur
Conseil Général du Finistère
CHROIUDE RBSlOliLB
Assistance aux familles nombreuses
M. le
maire donne lecture d'une circulaire relative à
l'assistance aux familles nombreuses, lui demandant d'établir la liste des familles appelées
à bénéficier des dispositions de la loi, et de
fixer le faux de 1 allocation, qui -ne peut ?tre
inférieur à 5 francs ni supérieur à 7 fr. 50. On
sait que cette somme sera allouée à chaque
enfant aii-desous dw lS aUs, à partir du
deuxième lorsque le.s enfants seront à la
charge de la mère, et à partir du troisième
lorsqu'ils seront à la charge du père.
M. Courtier expoïo que le. bureau de bienfaisance a déjà dre?--' une li-st.^ provisoire en
se reportan-t au titiu-.i.i derî indigents, mais
que cette liste est appelé^ à être vérifiée et
contrôlée avant de devenir définitive ; puis dès
à présent il deman.le ni Conseil de fixer l'allocation et il indiqua que la commission des
finances a proposé le taux de 6 francs.
M. Gillafd. — Pourquoi ri,'' donnerait-on pas
7 francs .'
La proposition de M. Gillard, mise aux voix,
pst ropnussée ; et le taux est fix.; à 0 fmncs.
Comptes du receveur muninipal. - Les comptes de gestion du receveur municipal sont approuvés purement et simplement par le CônS"'il, aprôs que lecture a été donnée des différenls chapitres de receltfts et de dépenses.
Ifudgets communau.T. — En ce qui concerne
l'exercice 1912, M. le maire expose que les prévisions du budget primitif ont été dépassées
de 5.082 fr. '25, et que par suite il y aura lieu de^
combler ce déficit par le vote de centimes additionnels. La valeur du centime communa
étant actuellemeni. de .547 fr. 25, il s'agit de
votfir une. imposition de 9 centimes 40. Adopté.
Le budget primitif de 1914 accuse un déficit
df 2..3î)0 francs qui .sera comblé par le vote de
-4 centimes 35. Approuvé.
• Subvention aux écoles
—A ce momeiit
M. Jean Peyron demande au maire des'fflcplications sur la suite qui a^été d o n n ^ a.u principe d'allocation de crédit aux écoles libres,
principe qui a été adopté à une précédente
séance.
,
Le Maire. — Au sujet des fournitures
scolaires j'ai pris des renseignements auprès
de certaine municipalités, notamment à Lorient
et à Vannes.
A Lorient les élèves fréquentant les écoles
librfs ne reçoivent de secours que sous forme
de soupes. A Vannes les enfants indigents fréquentant les écoles libres reçoivent des fourfaitures. A cet effet on fournit à la municipalité
une liste d'indigents .qui,est revisée par iîne
commission spéciale.
.
^
'
Quoiqu'il en soit il ne nous appartieot pas
de voter une subvention aux écoles llbrès de
Quimperlé. Les arrêts du Conseil d'Ëtat spnt
formels à ce sujet. Si nous voulons venir en
aide aux indigents fréquentant les écoles libres
nous ne pouvons le fairo que sous form^de
dons en nature et non SQUS forme d'allocation
ou de subvention.
' '
M. Guyômar. — Du moment que nous ne
pouvons boucler notre budget, je ne vois pas
pourquoi ou voterait des subventions "aux
écoles libres.
M. Peyron. — La question de principe'est
déjà passée, et noys n'avons pas à y revenir.
Finalement cette question ^ t renvoyée à la
commission de l'enseignement par 12 voix
contre 9.
>•
Budgets de l'hospice ei du bureau de bienfaisance. — Le Conseil approuve les délibéra^ons
de la commission.administrative;' relative à ces
budgets.
- • »
A propos des pompiers. — M. Cléro fait part
au. Conseil d&s doié^oe^ d«r~POTnptcra qui se
plaignent de l'inSuîBsance des indemnités qui
. leur sont allouées, et i) s'en étonne d'âutanl
plus que la ville consent de. grands sacfiflces
pour ses sapeurs-pompiers. M. "Courtier répond
que ces indemnités se nt caïciflées d ' a p i ^ k
nombre des sorties.
. »
A une nouvelle question de M. Cléro,'"concernant l'inutilité de l'eimploi de garde-magasin, M. le maire promet de demandér un rapport à ce sujet au commandant de la compagnie.
Senice vicinal. — Le Conseil adopte les pro
positions du service vicinal qui prévoiejit ur
compte de recettes et de dépenses se balançant par 11.867 francs.
Cote irrécouvrable.
— Est considérée comm<
telle une taxe de prestations faisant doubh
emploi.
"
'
Interpellation de .V. Bernard.
— Comme M
le maire demande si quelqu'un à des observations à formuler, M. Bernard expose qu'il a à
se plaindre de certains employés de la mairie
qui voudraient le faire passer pour un mou
chard.
Avec beaucoup de tact, M. Courtier réponc
que cette question ne peut être traitée qu(
dans son cabinet.
Il est 10 heures et demie ; la séance est levée
C l a s s e de Î9Ï3,
— SontieuB
de
/«•
mille.
- Le Maire de Q u i m p e r l é rappelle
à s e s a d m i n i s t r é s q u e les d e m a n d e s d'allocations p o u r s o u t i e n s de f a m i l l e conc e r n a n t les m i l i t a i r e s de la c l a s s e 1913,
d o i v e n t ê t r e s o u m i s e s au Conseil municipal. Les i n t é r e s s é s s o n t i n v i t é s à dép o s e r d ' u r g e n c e l e u r s d e m a n d e s à la
Mairie.
Le Maire, A. COURTlElV.-A.rreBtmtiou.
Le Noën J o s e p h , 34
a n s , - m a ç o n au G o r r é q u e r , e s t r e d e v a b l e
e n v e r s l'Etat d'une s o m m e de 369 f r . S L
r é s u l t a n t d e s frais e t a m e n d e s de J u g e m e n t s p r o n o n c é s c o n t r e lui, les 28 j a n v i e r et 25 f é v r i e r 1913, p a r le T r i b u n a l de
Quimperlé» p o u r c h a s s e s a n s perwiis et
vol. Ayant o m i s de^ s e l i b é r e r de s a dette,
Le Noën a é t é a r r ê t é e t c o n d u i t à la m a i son d ' a r r ê t , où il r e s t e r a à l ' o m b r e p e n dant vingt j o u r s .
jPostes.-— P a r ayrêté de M. le m i n i s tre du Con^merce, de l'Industrie, d e s P o s tes et des 'Télégrapiies, en d a t ç du 23 a o û t
1913, Mlle Cléran, d a m e e m p l o y é e à Quimperlé, a ét4 n o i u m c e à Chàteaulin.
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- M. Guillaume Péron,
charron à Ty-Boclel, présente à la suite
d'une chute de voiture, des ecchymoses
multiples du dos, des jépaules, du bras
gauche et de la'cheville droite.
. — M. J a c q u e s Plouzennec, agriculteur à
Kerbarzoù, est atteint de kérato c o n j o n c tive de l'œil gauche'par suite d'un coup
d'épi- de* seigle qui s'est produit pendant
. le battage.
— M. Louis Pilorgé, propriétaire agriculteur à Kerjaëc, présente un écrasement de la deuxième phalange des trois
derniers doigts de la mairi droite, en vaquant aux travaux.
Ces lésions produiront pour les blessés
i 5 j o u r s de repos.
Messieurs Péron, Plouzennec et Pilorgé
sont assurés à la Compagnie Générale
d'assurances contre les accidents.
Riec-Miir>Ilélon
Comment on comprend la Charité
Monsieur
Bertboa,
m a i r e de Riec-
sur-Bélon,^ l'ioslar de son saint patron
M. Le Lottédec, fait des siennes. Parce
q a ' i l n'e«t p a s Cooseiller g é n é r a l , les
m a l b e a r e o x n ' o n t p a s droit à un morc e a u d e p a i n . P a r c e qu'il n'est pas cons e i l l e r ^ n é r a l l a c h a r i t é est bannie de
s a c o m m u n e , ^ ù a n d elle vient de son
a d v e r s a i r e polilique. M B s r t h o u vous
o a b l i e ^ ^ a e l a ç b a r i t é n ' a p a s de coul e u r ^ ' t q u e l e s ^ o i a v r e s qui ont faim ne
•QQgeot g a è ^ ' à v o t r e infortune et à
VQtr» é c b e c du 3 a o û t . Vous a v e / ref u s é l'àiumône q.de f a i s a i t M. Corentin
G u y h o p o u r s e c o u r i r q u e l q u e s malheur e u x d e R i e c . V o u s l'avez fait oslentiblemont « t a v e c dédain.
Y x m a é t i e z a u c o u r a n t deo intentions
^ M . Guyho. Vous saviez que les comrecevraient de l'argent pour des
KilUlIO ••'W^
xrt-fr
e m p i r é d'accourir papndre conseil
auprès de Votre ami Hyrfeqyen député
parintértA et Vous avez eti l'audace
de ne pas a ô o ^ r l'obole qui vous était
oflérte. Yavez-rous suppléé au moins?
Avez-vous d é l i é l e s c o r d o n s de v o t r e
b o u r s e p o u r offrir l a m ê m e s o m m e ? J'en
doute.
Dans tous les cas, même auriez-vous
eu cette délicate intention que vous me
faites l'effet d'un maire à l'esprit étroit,
mesquin et vindicatif. Vos administrés
s'en souviendront. Prenez garde, vous
allez devenir légendaire, ce sera le commencement de la fin. C'est ce qu'on dil
déjà tout bas à Riec en attendant qii'on
vous le dise tout haut.
Vn
JRiaocois.
Bannalec
J U j r e . — Joseph Le Lan, de Kerhonit et
Bourhis, débitant à la Croix-Verte, en Bannalec, s'étant pris de querelle, en sont venus aux mains. Le Lan qui a été un tant
soit peu malmené, s'est fait délivrer un
certificat par le docteur Le Stunf, de Quimperlé, et a porté plainte à la gendarmerie,
qui a ouvert une enquête.
IMlzon
Vol a*poul«».
— Depuis six mois environ, Le Naour Jean "de St-Maudé en Nizon, est l'objet de vols continuels de volailles. Depuis le premier janvier, il lui a
été soustrait une dizaine de poules, d'une
valeur de 25 francs environ. Malgré ses
investigations et sa surveillance, l'auteur
de c e s larçins demeura inconnu. Un nouveau vol s'étant produit dans la nuit du 16
au 17 courant. Le Naour, s'est décidé à
porter plainte à la gendarmerie qui a ouvert une enquête pour tâcher de découv r i r le ou les auteurs de ces vols répétés.
Concarneau
AviM.
— Le Maire de Goncarneau,
informe les intéressés que les demandes
d'allocations concernant les militaires de
la classe 1913 doivent être déposées à la
Mairie, avant le 31 aoUt, accompagnées du
relevé des contributions délivré par le
percepteur.
Chàteaullii
jr$t«M d'mviuHon.
- Le mardi 9 septembre aura lieu à Chiteaulin, une fête
d'aviation qui promet d'être des plus
réussie.
Le Comité nommé (i cet eflet s'est mis
d é j à en rapport avec des aviateurs renommés et dès maintenant le concours
d'un monoplan et d'un biplan est assuré.
La fête, pour le succès do laquelle rien
n e l ô r a négligé aura lieu à proximité de
la ville, au lieu dit Ty-Garré, dans un
vaste champ se prêtant admirablement à
une manifestation de ce genre.
Nul doute que celte fête d'aviation
coïncidant avec les fêtes locales, ne' soit
suivie- avQC intérêt par un nombreux
public.
Bcii/.ec-Cap-8iziiii
Meules
incendiées.
— Un incendie
s'est déclaré dans des meules de foin
et de paille placées derrière le moulin de
la veuve Guilloih non assurée les pertes
s'évaluent à 360 fr.
Gestel
Rixe. — Dans une rixe survenue entre
Jeunes gens au bourg de Guidel, Joseph
Le Gall, 24 ans, domestique à Kerlec en
Gestel, a reçu un coup de couteau. Le
Gall a porté plainte à la,^gendarmerie qui
a ouvert une enquête.
LE MERpREDI MATIN
eomiItitiODS à P O N T - A V E N , li Hirfi
Rendez-vous
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0.61 à 1.08
0.60 1.09
0.59 0.80
0.99 1.56
1.36 1.40
03
03
78
44
39
0
0
0
1
1
88
89
74
38
38
0
0
0
1
1
77
77
69
15
37
Aspect des ventes. — Vente mauvaise pour
le gros bétail, calnne pour les veaux, et
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En la Commune de Moëlan
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Telle qu'elle est insérée au procès-verbal de saisie-immobilière, ciapxè.s relat^é.
, .
__
Commune dé Moelan.
Canton de
Pmt-Aven.
Arrondissement
de Quimperlé
Département du
Finistère.
PREMIER
LOT
Art. 1 " . — Vne Maison
construite en pierres, couverte en
chaume, mesurant environ 9 m. de
long, avec cheminée au pignon couchant. Elle ouvre au midi sur la
route de Moëlan à Doëlan, d'une
porte et trois fenêtres.
Art. 2. — Au pignon couchant de
la maison a r t l " , une Crèche
construite en pierres et couverte en
chaume, ouvrant au midi par une
porte sur l'article ci-après.
Devant les 2 articles ci-dessus,
un terrain de 1 m. 40 environ.
Art. 3. - Au midi de l'art. 2, n n e
petite cour d'une contenance d'environ 12 centiares.
Art. 4. — Une pièce
de
terre
d'une contenaneé de 28 centiares
environ, au couchant des articles 2
et 3.
•
..
.
Les quatre articles qui précèdent
sont portés au plan cadastral sous
le n° 1137, section G, et non indiqués èi l'extrait.
Us donnent du sud sur la route de
Moëlan à Doëlan, du nord sur terre
k Le Doze du Petit Kerandoze et Richard de Kerampellan, du couchant
sur celle de Lozachmeur et du levant sur maison à Zalo de Kerampellan.
i
Art. 5. — Une pièce
de
terre
plantée de pommiers, dite Liors
Kernahadi,
bornée au sud par terre
à Le Doze et Richard, au couchant
Sellin, au levant Scaviner e t a u nord
Le Roux, tous de Kerampellan et Le
Thoër de KerangolV, figurant au cadastre section G sous les n»» .1141 et
1142 réunis, pour une contenance
de 2 ares 9(5 cantiareSi
Art. 6. — lé» moitié
de l'aire à
battre,
semblant figurer au cadastre sous le' n® 1137, section G,
donnant du sud sur la route de
Moëlan à, Doëlan, des nord et couchant terre, crèche et maison à
Zalo, qui
est
propriétaire de
l'autre moitié de l'aire à battre, et
du levant sur crèche à Richard, tous
de Kerampellan.
(•
Art. 7. — Au nord de l'article cidessus une petite pièce de
terre,
d'une contenance d'environ 30 centiares, bornée au levant par écurie
à Richard et au couchant par terre
à Scaviner do Kerampellan.
Art. 8. — .Une
parcelle
de
terre plantée dé pommiers, d'une
contenance cadastrale de 3 ares 50
centiares, figurant au plan sous le
n» 1157, section G, dit JAors
Kernahadi ou Liors Bras, donnant du nord
sur terre à Le Tollec de Kerviguelouze, du midi celle de Le. Doze de
Kerangoll", du couchant Garroc de
Kerampellan, et du levant celle de
Orvoën de Kerdreize.
Nota. — Quoique cet article ne soit
pas porté au nom des époux Boutet,
au cadastre, il. est exploité pai- le
sieur Jallrézou, leur fermjô|!, -et
leur appartient.
Mise h prix 1 1 . 5 0 0 f r a n c s
Douches
Injecteurs — Bassins de Lit — Urinoirs
DEUXIEME
LOT
Art. 9. —, Une parcelle
de
terre dite Ar-Ternou-Guen,
portée
au plan cadastral sous les n " 63> et
831 réunis, pour une contenance
cadastrale de 11 ares 80 centiares,
section G, bornée au nord par terre
à Garrec et au sud par celle de
Lozachmeur de Kerampellan, et
encore celle de Orvoën de Kerangod"
et aux levant et couchant par celles
de Sellin et Le Roux de Kerampellan.
Illi.se A prix : ($00 f r a n c s
TRR>ISLÈME L O T
^ Art. 10. — Une parcelle
de
terre,
dite
An-Temou-Guen-Bihan,
au cadastre sous le n" 83n. section
G, pour une conten.Tii.;.- .1 i are
90 centiares, hc-nt^p au iMr.l par
terre à Sellin, s u J (i i r r c c et levant
Flohic de Kerainpelluu ri au couchant par celle de Tanguy de Kergantine.
Mise ù. pri.\ : i;<iO fi'anes
QUATRIÈME
LOT
Art. 11. — Une parcelle
de
terre dite Pen-ar-Slami,
plantée de
pommiers, figurant au cadastre
section G, n" 466, pour une contenance de 1 are 50 centiarës, donnant des sud et couchant sur terre
à Ç^ohe^e^ Simon de Kerampellan,
Mise à- prix : l â o TriancÀ'^''— CINQUIÈME LOT
Art. 12. — Une antre
parcelle
dite Pfln ar-Stanf/,
n®
du plan,
section G, d'une contenance d'environ 2 ares 80 centiares, plantée d e .
pommiers. Elle donne du nord sur
prairie à Calvar, de Keranmoulin,
des sud, levant et couchant sur
terre à Calvar, Souflez et Le Bloa,
de Kerampellan et est traversée par
un chemin d'exploitation.
Mise à, prix : 180 IV.
SIXIÈME
LOT
Art. 13. — Une parcelle
de
terre, sous lobour, nommée SlanijKertangni/,
inscrite aux n"' 874 et
874 réiinis, section G, d'une contenance d'environ 8 ares, bornée au
sud par terre ii Garrec, nord celle
de Cohen, levant Simon et couchant
Malcoste, de Kerampellan.
Mise à prix : 5 0 0 fr.
SEPTIÈME
LOT
Art. 14. — U n e parcelle
de
terre labourée,,
nommée Ar-Poi sou, portée aU plan cadastral sous
le n» 931, section G, pour une contenance de 6 ares 90 centiares, donnant du nord sur voie charretière
de Kerviguelouze ii Kerampellan,
du sud sur terre à Garrec et levant
celle de Lhyver, de Kerampellan,
du couchant celle de Moilié, de la
Villeneuve.
mise ù, prix : 4 0 0 fr.
HUITIÈME
LOT
\rt.l5,— Une parcelle
de
terre,
sous labour, dite An
Hent-MeurBer, figurant au plan cadastral sous
le n» 10.")6, section G, pour une contenance ds 8 ares 90 centiares,
bornée au sud par terre k Soudez
et Garrec, de Kerampellan, au couchant ledit Garrec, au nord voie
charretière et au levant Tanguy, de
Kergantine.
,,
,
.
iNOTA. — Cette parcelle n est pas
au nom des époux i^outet au cadastre et leur appartient réellement
comme étant détenue p a r . leur
fermier.
Mise a p r i x : 4 5 0 fr«
NOTA. — Après adjudications séparées, les huit lots sçront réunis
et remis en vente en un seul lot
sur une mise à prix formée du total des prix des adjudications partielles qui ne deviendront définitives
qu'à défaut d'enchères sur la réunion, ou encore sur une mise à pri.x
formée du total des prix des lots,
adjugés provisoirement et des mises
à prix des lots non adjugés, ou enlin sur une mise à prix formée du
total des mises à prix au cas ou aucun des lots ne serait adjugé.
.
La présente vente est poursuivie
en exécution d'un j u g e m e n t rendu
)ar le Tribunal civil de Qdimperlé,
e 13 Août 1913, après saisie réelle
des biens sus-désignés, opérée suivant exploit de M" LE QUEUE, huissier à Quimperlé le 23 juillet 1913,
enregistré et transcrit avec l'exploit de dénonciation au bureau
des hypothèques de Quimperlé. le
7 août 1913, volume 34, n®» l el 2,
- ledit j u g e m e n t o r d o n n a n t J a conversion de ladite saisie, dûment enregistré et mentionné, en m a r g ' iie
la transcription de la saisie ci-<l- ssus, a été rendu aux requêtes do :
1® M. Julien-Marie Le Tollec,
époux de Mme Marie-Anne Audren,
cultivateur, demeurant à Kersauze,
en la commune de Clohars-Garnoët :
Créancier saisissant avant pour
avoué M° BOT, demeurant à Quimperlé, liue Savary, n® 20.
2» M. Pierre-Marie Boutet, marin
de l'Etat et Mme Marie-Yvonne Malcoste, son épouse, qu'il assiste el
autorise, demeurant ensemble à l,i
Grange, en la com;nune de Clohars
Carnoët.
Parties saisies, a>ant pour avoué,
M*- PIEDOYE, demeurant à Quim
perlé, rue Savary, n" 23.
L'adjudication des immeubles cidessus aura lieu en l'étude et par
le ministère de M' PEYRON, notaire
à Quimperlé, le Jeudi 25 Septembre 1913, à une heure de l'aprèsmidi, en huit lots, tels qu'ils sont
ci-dessus décrits, avec clause de
réunion et sur les mises à prix susdites, fixées par le j u g e m e n t susénoncé du 13 août 1913 et aux
clauses et conditions du cahier des
Oh prendre comnnunrcatibn.
Il est déoltti-i,
—
dispositions de l'art. 696 du code
de procédure civile, modifié, par la
loi du 21 mai 1858, que tous ceux
du chef desquels, il pourrait être pris
des inscriptions sur lesdits
immeubles,
saisis pour raison d'hypothèque
légale, devront requérir cette inscription
'avant la transcription
du
jugement
d'adjudication.
Pour plus amples renseignemenis,
voir le cahier des charges ou s'adresser à M« BOT, avoué poursuivant.
A Quimperlé, le 27 août 1913.
L'avoué
poursuivant.
Em, BOT,
Etude de l¥l« Kerautret,
licencié en droi t, notaire à Pont-Aven.
Vente Publique de Meubles
Après décès et par autorité de justice
Le diiuanciie a i Août 1 9 1 3 , à
1 heure de l'après-midi, et j o u r s
suivants s'il ya heu, M« KERAUTRET,
notaire à Pont-Aven, procédera au
lieu de Kercoulliou-bihan, en la
commune de Riec-sur-Bélon, au domicile de feu M. Corentin Canévet,
à la vente aux enchères publiques
des meubles et objets mobiliers dépendant do la succ.ession dudit M.
Canévet.
Il sera vendu notamment lits, armoires, pendule, table, bancs, objets de literie, linge, une vache, ustensiles de cuisine, bouteilles vides,
brouettes, bascule, balances, et
quantité d'autres objets.
La vente aura lieu en présence
des parties intéressées, ou elles
dûment représentées.
Au comptant plus 5 ® o.
Le notaire chargé de la vente.
E. Kerautret.
Etude de IW' Biger, notaire
à Bannalec
V E N T E
D E j y i E U B L E S
Le Dimanche
31 Août et le dimanche suivant, à une heure, il
sera vendu à Kerbéronnet en la
commune de Bannalec, les meubles,
objets mobiliers et matériel d'e:;ploitation; notamment :
Lits, bancs, tables, armoires, fourneaux, écrémeuse, 4 grandes charrettes, charrette anglaise, charrue
Brabant, machine à battre avec secoueuse, broyeur d ' a j o n c , tarare,
pressoir, moulin à pommes, barriques, équipage, une bonne j u m e n t
poulinière avec son poulain, un
cheval de 3 ans, une pouliche d'un
an, G bœufs, 4 vaches, 4 génisses,
i veaux, 2 truies, 4 j e u n e s porc?,
4.000 kilos seigle, l.DOO kilos avoine.
3.000 kilos blé noir, pommes dv;
terre, pommes à cidre, betteraves
et (iuanfité d'autres o b j e t s .
La vente aura lieu au comptant.
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cuper d'une malade.
S'adresser à la Direction.
S'adrésser au bureau du journal.
République
Française,
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SeiEfllEOEPWBEmÇON
Par suite dsLifiitation judiciaire, après acceptation
bénéficiaire et sur surenclière du sixième
EN UN SEBL COT
Dépendances
OUVftiFR
o i aBO
a cents
cents
i r . 5 0 0 fr.
L'adjudication est fixée au M e r credi 1 0 Septembre 1913, a
f ) , h e u r e s du matin, Ji l'audience
des criées du Tribunal civil de
Lorient.
•
DÉSIGIVATION
iinineubl9S
:
situés au .Plessix, en la
deLanester
Premier
article
1» Un moulin dit .< Moulin du
Plessix », situé sur le bord de la
chaussée et vers son milieu, composé d'un erand bâtiment de pierres
avec tous ses accessoires de minoterie, savoir :
. . .
Du côté Ouest, un moulin de trois
paites de meules avec son nettoyage et ses bluteries, le tout mu
par une turbine Fontaine.
Du côté Est, un moulin à cylindres l)royant cent cinquante quintaux par" vingt-quatre heures, comprenant un nettoyage complet pour
froment (colonne épointeuse, brosse
ù iïlé, t r i e u r s ,
tarrare-émotteur,
épierreur) six appareils à cylindres
doubles de O'-CO x 0.22. Un blutage
complet par bluteries ordinaires,
bluteries centrifuges Piansichters
Bunge, brosse îi son. Tous ces appareils sont de la fabrication Teiss:et Vve Rrault et Ghapron, de Chartres. (Montage à l'état de neuf). Ce
moulin à cylindres est actionnii
également par une turbine Fontaine.
Dynamo électrique pour l'éclairage
(lii moulin en entier qui ligure au
cadastre sous le n« G71 section J .
2" La chaussée, n» «70 du cadastre,
avec tous ses accessoires et traversant l'étang.
.3» L'étang d'un seul tenant dit
« l'Etang du Plessix », n" 669 du cadastre, section J , d'une superllcie
d'environ quator/e hectares sans
garantie toutefois de contenance,
tel qu'il existe, s'arrôtant à l'extrémité du n» 49i du point, qui sert de
limite entre les numéros 497 et ^183
du plan cadastral.
Deuxième
article
Au bout Est de la c h a i ^ s é e une
maisonnette dite « Maisoirae Meunier » ayant rez-deMJhaussée et grenier, écurie et appentis de chaque
côté, petit courtil clos de murets à
l'Esl, sous réserve d'un passage de
deux mètres au pignon de la maison voisine pour la réparation des
m u r s et à l'Ouest magasin en plan
ches numéro 2400 p du cadastre.
Troisième
article
La maison d'habitation, le bâtiment du pressoir, la cour ou parterre, le jardin derrière la maison.
Le tout ouvrant sur le chemin du
moulin et borné au Nord jtar la
mute du moulin, îi l'Oucsl par la
route du Rohu, au Sutl par une haie
vive qui est mitoyenne avec les jji'opriétés voisines.
L'e tout porté au cadastre sous les
numéros 887 section J , jardin neuf
ares soixante centiares 828, maison
et sol six ares 239 p, 240 p tjl 241.
Dans cet article est compris l'ancien chemin au Sud der: numéros
827 et 828 du cadastre.
Quatrième
article
•"'Le jardin situé derrière la maison
d'habitation, k prendre k trois mè•iAlres derrière la dite maison suivant
•t
une ii ne parallèle à la longère
Ouest e la dite maison.
Etude de IW Péan de Ponfllly,
licencié en droit, notaire à PontAven.
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Monsieur Berlhoo, maire de Riecsur-Béton,il l'instar de son saint patron
M. Le Lottédec, fait des siennes. Parce
qu'il n'est pas Conseiller général, les
malbeQcenx n'ont pas droit à un morceau de pain. Parce qu'il n'est pas conseiller ^ D é r a l la charité est bannie de
sa commune* quand elle vient de son
adversaire politique. M Berthou vous
0ttbUe.»^aeIaçharité n'a pas de couleur^'i que l e s ^ u v r e s qui ont faim ne
•QQgeot guère à votre infortune et à
TQire échec 4 q 3 août. Vous avez re' fnsél'au^tnôneqde faisait M. Corentin
' Guyho pour secourir quelques malheureux de Riec. Vous l'avez fait oslentiblemeni « t avec dédain.
Vous étiez au courant'des intentions
Gayho. Vous saviez que les com^^
recevraient de l'argent pour des
tli^v dtotribatiODS- de pain et vous vous êtes
e m p i r é d'accourir prendre conseil
auprès de Voire ami Hyr^goyen député
parintériflb et vous avez eù l'audace
de ne pas a é O ^ r l'obole qui vous était
offerte. Yavez-tous suppléé au moins?
Avez-Vous délié les cordons de votre
bourse pour offrir la même somme ? J'en
doute.
Dans tous les cas, même auriez-vous
eu cette délicate intention que vous me
faites l'effel d'un maire à l'esprit étroit,
mesquin et vindicatif. Vos administrés
s'en souviendront. Prenez garde, vous
allez devenir légendaire, ce sera le commencement de la fin. C'est ce qu'on dit
déjà tout bas à Riec en attendant qii'on
vous le dise tout haut.
Va
Kitfooois.
Bannalec
R d x 0 , — Joseph Le Lan, de Kerhonit et
Bourhis, débitant à la Croix-Verte, en Bannalec, s'étant pris de querelle, en sont venus aux mains. Le Lan qui a été un tant
soit peu malmené, s'est fait délivrer un
certificat par 16 docteur Le Stunf, de Quiniperlé, et a porté plainte à la gendarmerie,
qui a ouverl une enquête.
Nlzon
Vol d»poul0M,
— Depuis six mois environ, Le Naour Jean*de St-Maudé en Nizon, est l'objet de vols continuels de volailles. Depuis le premier janvier, il lui a
été soustrait une dizaine de poules, d'une
valeur de 25 francs environ. Malgré ses
investigations et sa surveillance, l'auteur
de c e s larçins demeura inconnu. Un nouveau vol s'étant produit dans la nuit du IC
au 17 courant. Le Naour, s'est décidé à
porter plainte à la gendarmerie qui a ouvert une enquête pour lâcher de découv r i r le ou les auteurs de ces vols répétés.
Concaraeau
AviM.
— Le Maire de Concarneau,
informe les intéressés que les demandes
d'allocations concernant les militaires de
la classe 1913 doivent être déposées à la
Mairie, avant le 31 aoUt, accompagnées du
relevé des contributions délivré par le
percepteur.
Chàteauliii
rêt0B d*mvimti9u. - Le mardi 9 septembre aura lieu à Chàteaulin, une fête
d'aviation qui promet d'être des plus
réussie.
Le Comité nommé à cet eflet s'est mis
d é j à en rapport avec des aviateurs renommés et dès maintenant le concours
d'un monoplan et d'un biplan est assuré.
La fête, pour le succès do laquelle rien
ne l é r a négligé aura lieu à proximité de
la ville, au lieu dit Ty-Garré, dans un
vaste champ se prêtant admirablement h
une manifestation de ce genre.
Nul doute que celte fête d'aviation
coïncidant avec les fêtes locales, ne' soit
suivie avQQ intérêt par un nombreux
• public.
•A.
Beu7.ec-Cap-Si/.un
Menleu
incendiées,
— Un incendie
s'est déclaré dans des meules de foin
et de paille placées derrière le moulin de
la veuve Guilloih non assurée les pertes
s'évaluent à 360 fr.
Clinique Gratuite à
Rendez-vous
Vertlieuil (Gironde), 5 août 1912. Je suis très
satisfait des Pilules Suisses qui sont très eftlcaces contre la constipation. GHAIM (Sig. lég.
Marché aux Bestiaux de la Villette
Cours du lundi 2 5 Août 1 0 1 »
409
356
484
96
120
401
204
31
400
3.187
1.537
284
1.624
4.250
Bœufs
Vaches
Taureaux
Veaux..;
Porcs
PqMs moyen
^ Invendus
»»
Poids vif. Prix au kilo :
ESPÈCES
1
Prix extrêmes 1 "qualité 2' qualité 3 ' qualité
0.61 à 1.08
0.60 1.09
Vaches
T a u r e a u x . . . 0.59 0.80
0.99 1.56
Veaux
1.36 1.40
0
0
0
1
1
1 03
1 03
78
1 44
1 39
88
89
74
38
38
0
0
0
1
1
77
77
69
15
37
Aspect des ventes. — Vente mauvaise pour
le gros bétail, calme pour les veaux, et
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Quimperlé, rue Savary (ancienne
Grand'Rue), n® 20/et de IVI« P e y ron, notaire k Quimperlé.
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texte, en 20 livraisons. Paris Attinger frères,
éditeurs, 2, rue Antoine-Dubois, mise en
vente de la septième livraison.^
La librairie Attinger frfres vient de mettre
en vente la 7' livraison de l'Atlas de la plus
Grande France, l'ouvrage en cours du maître
Onésime Reclus. Elle termine l'étude de la
région Parisienne, commencée dans la précédente, et consacre deux cartes à Paris et banlieue, étudiées tant au point de vue des productions du sol et sous-sol qu'au point de vue
industriel et commercial. C'est !a première
étude de ce genre ,qui ait été faite sur cette
zone de la capitale et la capitale même, considérée i\ part dans la région Parisienne, et elle
est particulièrement réussie. Dans^la partie
départementale de la livraison sont étudiés la
I')ordogne, le Doubs, la Drûme et l'Eure. On
y voit la môme présentation à la fois scientifique et artisjique qui caractérise cet ouvrage
vraiment unique.
rjiosjiice
LE M E R p R g P t
Onésime RECLUS
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P L A T I N E , A L U M I N I U M , V'ULCANITE. — R É PARATIONS E T R E M O N T A G E S D ' A P P A R E I L S
DENTAIRES.
Gestel
Rixe. — Dans une rixe survenue entre
j e u n e s gens au bourg de Ouidel, Joseph
Le Gall, 24 ans, domestique h Kerlec en
Gestel, a reçu un coup de couteau. Le
Gall a porté plainte à Ig^gendarmerie qui
a ouvert une enquête.
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QUIMPERLÉ
Aeoid^nU,
- M. Guillaume Péron,
oharroa ii Ty-Boclel, présente à la suite
d'une chute de voiture, des ecctiymoses
multiples du dos, des jépaules, du bras
gauche et de la" cheville droite.
, — M. J a c q u e s Plouzennec, agriculteur à
Kerbarzou, est atteint de kérato c o n j o n c tive de l'ceir gauche'par suite d'un coup
d'épi; de' seigle qui s'est produit pendant
. le battage. .
— M. Louis Pilorgé, propriétaire agriculteur à Kerjaëc, présente un écrasement de la deuxième phalange des trois
derniers doigts de la maifl droite, en vaquant aux travaux.
Ces lésions produiront pour les blessés
15 j o u r s de repos.
Messieurs Péron, Plouzennec et Pilorgé
sont assurés à la C o m p a p i e Générale
d'assurances contre les accidents.
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SOO
7Mot
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« O
Désigiialioli des linnieuliles à Vend» :
Telle qu'elle est insérée au pi'Ocès-verbal de saisie-immobilière, ciaprès relaté. -..
Au Village de
KERAMPELLA.y.
Commune dé Moëlan.
Canton de Pont-Aven.
Arrondissement
de Quimperlé
Département du
Finistère.
PREMIER LOT
Art. 1 " . — Une Hlaiaon
construite en pierres, couverte en
chaume, mesurant environ 9 m. de
long, avec cheminée au pignon couchant. Elle ouvre au midi sur la
route de Moëlan à Doëlan, d'une
porte et trois fenêtres.
Art. 2. — Au pignon couchant de
la maison a r t l " , « n e Crèche construite en pierres et couverte en
chaume, ouvrant au midi par une
porte sur l'article ci-après.
Devant les 2 articles ci-dessus,
un terrain de 1 m. 40 environ.
Art. 3. - Au midi de l'art. 2, une
petite cour d'une contenance d'environ 12 centiares.
Art. 4. — Une pièce
de
terre
d'une contenaneé de 28 centiares
environ, au couchant des articles 2
et 3.
Les quatre articles qui précèdent
sont portés au plan cadastral sous
le n» 1137, section G, et non indiqués à l'extrait.,
Ils donnent du sud sur la route de
Moëlan à Doëlan, du nord sur terre
h Le Doze du Petit Kerandoze et Richard de Kerampellan, du couchant
sur celle de Lozachmeur et du levant sur maison à. Zalo de Kerampellan.
1
Art. 5. — U n e i > i è c e de
terre
plantée de pommiers, dite Liors
Kernahadi,
bornée au sud par terre
k Le Doze et Uichard, au couchant
Sellin,
levant Scaviner et au nord
Le Roux, tous de Kerampellan et Le
.Thoër de KerangofV, figurant au cadastre section 0 sous les n»» .1141 et
1142 réunis, pour une conlenance
> de 2 ares 9(5 centiaresArt. 6. —
moitié
de Pmire à
bmttre, semblant figurer au cadastre sous lé' n» 1137, section G,
donnant du sud sur la route de
Moëlan h. Doëlan, des nord et couchant terre, crèche et maison à
Zalo, qui
est
propriétaire de
l'autre moitié de l'aire à battre, et
du levant sur crèche à Richard, tous
de Kerampellan.
<v
Art. 7. — Au nord de l'article cidessus une petite pièce de
terre,
d'une contenance d'environ 30 centiares, bornée au levant par écurie
à Richard et au couchant par terre
Scaviner do Kerampellan.
Art. 8. — Une
parcelle
de
terre plantée dé pommiers, d'une
contenance cadastrale de 3 ares DO
centiares, figurant au plan sous le
n° 1157, section G, dit Liors
Kernahadi ou Liors Bras, donnant du nord
sur terre à Le Tollec de Kerviguelouze, du midi celle de Le. Doze de
Kerangoir, du couchant Garrec de
Kerampellan, et du levant celle de
Orvoën de Kerdreize.
Nota. — Quoique cet article ne soit
pas porté au nom des époux Boutet,
au cadastre, il, est exploité par le
sieur Jallrézou, leur fermi€«!>..et
leur appartient.
Mise a p r i x 1 1 . 5 0 0 f m n c »
Douches
Injecteups — Bassins de Lit — Urinoirs
DEUXIEME LOT
Art. 9. —, Une parcelle
de
terre dite Ar-Ternou-Guen,
portée
au plan cadastral sous les n " 83J et
831 réunis, pour une contenance
cadastrale de 11 ares 80 centiares,
section G, bornée au nord par terre
à Garrec et au sud par celle de
Lozachmeur de Kerampellan, et
encore celle de Orvoën de Kerangotl"
et aux levant et couchant par celles
de Sellin et Le Roux de Kerampellan.
Mise il prix : « 0 0 f r a n c s
TRrtlSlÈME LOT
' Art. 10. — Une parcelle
de
terre,
dite
An-Temou-Guen-Bihan,
au cadastre sous le n»
section
G, pour une contenaiic.- .1 l are
90 centiares, bcnt^o au II'T.I par
terre à Sellin, sud (.1 irrt>c et levant
Flohic de Keratnpelluu i-l nu couchant par celle de Tanguy de Kergantine.
mise à, pi i.Y : 1:30 f r a n c s
QUATRIÈME LOT
Art. H. — Une parcelle
de
terre dite Pen-ar-Slanf/.
plantée de
pommiers, figurant au cadastre
section G, n» 466, pour une contenance de 1 are 50 centiarës, donnant des sud et couchant sur terre
à Cohen et Simon de Kerampellan,
des nord et levant, prairie et terre '
à Calvar et Bourhis de Keranmoulin.
Mise à p r i x : 1 5 0 f r a n c s - •
CINQUIÈME LOT ,
Art. 12. — Une autre
parcelle
dite Pm ar-Stang,
n»
du plan, '
section 0 , d'une contenance d'environ 2 ares 80 centiares, plantée de
pommiers. Elle donne du nord sur
prairie à Calvar, de Keranmoulin,
des sud, levant et couchant sur
terre à Calvar, Soufl'ez et Le Bloa,
de Kerampellan et est traversée par
un chemin d'exploitation.
Misa à p r i x : 1 8 0
fr.
SIXIÈME LOT
Art. 13. — Une parcelle
de
terre, sous lobour, nommée SlangKertangui/,
inscrite aux n " 874 et
874 réunis, section G, d'une contenance d'environ 8 ares, bornée au
sud par terre à Garrec, nord celle
de Cohen, levant Simon et couchant
Malcoste, de Kerampellan.
Klisc a prix : 5 0 0 fr.
SEPTIÈME
LOT
Art. 14. — Une
parcelle de
terre labourée,,
nommée
Ar-Por' sou, portée aU plan cadastral sous
le n» 931, section G, pour une contenance de 6 ares 90 centiares, donnant du nord sur voie charretière
de Kerviguelouze à Kerampellan,
du sud sur terre h Garrec, et levant
celle de Lhyver, de Kerampellan,
du couchant celle de Mjilié, de la
Villeneuve.
Mise a prix : 4 0 0
fr.
HUITIÈME LOT
Art.15,— Uneparcelle
de terre,
sous labour, dite An
Tlent-MeurBer, figurant au plan cadastral sous
le n» lOâG, section G, pour une contenance de 8 ares 90 centiares,
bornée au sud par terre à Soufi'ez
et Garrec, de Kerampellan, au couchant ledit Garrec, au nord voie
charretière et au levant Tanguy, de
Kergantine.
NOTA. — Cette parcelle n'est pas
au nom des époux Boulet au cadastre et leur appartient réellement
comme étant détenue par leur
fermier.
Mise «Y prix : 150 fr,
NOTA. — Après adjudications séparées, les huit lots sçront réunis
et remis en vente en un seul lot
sur une mise à prix formée du total des prix des adjudications partielles qui ne deviendront définitives
qu'à défaut d'enchères sur la réunion, ou encore sur une mise à prix
formée du total des prix des lot^,
adjugés provisoirement et des noises
à prix des lots non adjugés, ou enfin sur une mise à prix formée du
total des mises à prix au cas ou aucun des lots ne serait adjugé.
La présente vente est poursuivie
en exécution d'un Jugement rendu
)ar le Tribunal civil de Quimperlé,
e 13 Août 1913, après saisie réelle
des biens sus-désignés, opérée suivant exploit de M« LE QUEUE, huissier k Quimperlé le 'l'ô juillet 1913,
enregistré et transcrit avec l'exploit de dénonciation au bureau
des hypothèques de Quimperlé. le
7 août 1913, volume 34, n®» i el 2,
ledit j u g e m e n t ordonnant^ la conversion de ladite saisie, dûment enregistré et mentionné, en m a r g ' de
la transcription de la saisie ci-d- ssus, a été rendu aux requête.- do :
1» M. Julien-Mane Le Tollec,
époux de Mme Marie-Anne Audren,
cultivateur, demeurant à Kersauze,
en la commune de Clohars-Carnoët ;
Créancier saisissant ayant pour
avoué M' BOT, demeurant à Quimperlé, Rue Savary, n® 20.
2® M. Pierre-Marie Boutet, marin
de l'Etat et Mme Marie-Yvonne Malcoste, son épouse, qu'il assiste et
autorise, demeurant ensemble à l;i
Grange, en la com;nune de Clohars
Carnoët.
Parties saisies, a>ant pour avoui^,
M' PIEDOYE, demeurant à Quini
perlé, rue Savary, n" 23.
L'adjudication des immeubles cidessus aura lieu en l'étude et par
le ministère de M" PEYRON, notaire
à Quimperlé, le Jeudi 25 Septembre 1913, à une heure de l'aprèsmidi, en huit lots, tels qu'ils sont
ci-dessus décrits, avec clause de
réunion et sur les mises à prix susdites, fixées par le j u g e m e n t susénoncé du 13 août 1913 et aux
clauses et conditions du cahier des
charges; déposé eh l'étude dudit
M' PEYRON, où toute personne peut
eh prendre communication.
Il ë s t d é c l a r é , c o n f o r m é m e n t
aux
dispositions de l'art. 696 du code
de procédure civile, modifié, par la
loi du 21 mai 1858, que tous ceux
du chef desquels, il pourrait être pris
des inscriptions sur lesdits
immeubles:
saisis pour raison d'hypothèque
légale, devront requérir cette inscription
avant la transcription
du
jugement
d'adjudication.
Pour plus amples renseignemen I s,
voir le cahier des charges ou s'adresser à M* BOT, avoué poursuivant.
A Quimperlé, le 27 août 1913.
L'avoué
poursuivant.
Em. BOT,
Etude de IVi= Kerautret,
licencié en droi t, notaire à Pont-Aven.
Vente Publique de Meubles
Après décès et par autorité de justice
Lediiuanclie 31 Août 1913, à
1 heure de l'après-midi, et j o u r s
suivants s'il ya lieu, M« KERAUTRET,
notaire à Pont-Aven, procédera au
lieu de Kercoulliou-bihan, en la
commune de Riec-sur-Bélon, au domicile de feu M. Corentin Canévet,
à la vente aux enchères publiques
des meubles et o b j e t s mobiliers dépendant de la succession dudit M.
Canévet.
Il sera vendu notamment lits, armoires, pendule, table, bancs, objets de literie, linge, une vache, ustensiles de cuisine, bouteilles vides,
brouettes, bascule, balances, et
quantité d'autres objets.
La vente aura lieu en présence
des parties intéressées, ou elles
dûment représentées.
Au comptant plus 5 "/o.
Le notaire chargé de la vente.
E. Kerautret.
Etude de W Biger, notaire
à Bannalec
VENTE'D£MEUBLE$
Le Dimanche
31 A.ont et le dimanche suivant, à une heure, il
sera vendu à Kerbéronnet en la
commune de Bannalec, les meubles,
objets mobiliers et matériel d'e::ploitationi notamment :
Lits, bancs, tables, armoires, fourneaux, écrémeuse, 4 grandes charrettes, charrette anglaise, charrue
Brabant, machine à battre avec secoueuse, broyeur d ' a j o n c , tarare,
pressoir, moulin à pommes, barriques, équipage, une bonne j u m e n t
poulinière avec son poulain, un
cheval de 3 ans, une pouliche d'un
an, 6 hœufs, 4 vaches, 4 génisses,
3 veaux, 2 truies, 4 j e u n e s porc?,
4.000 kilos seigle, 1.500 kilos avoinf.
3.000 kilos l,)lé noir, pommes do
terre, pommes à cidre, betteraves
et (juantité d'autres o b j e t s .
La vente aura lieu au comptant.
M
= N» 69
LB WiMÉRO : CINQ CENTIMES
Dimanche~31 Août 1913
''l'ne î
.
, 1
ET MARITIME
Organe Républicain Démocratique de la Région du
Paraissant
Les annonces sont reçues au bureau du
journal et, à Paris, dans toutes les Agences.
On traite à forfait pour les
annonces
répétées plusieurs fois.
Annonces et Réclames
Annonces Judiciaires (la ligne)... 20 o.
Annonces volontaires
2B o.
Réclames
BO o.
yAlMES
ETiaonTliS
La plupart des journaux s'inspirent
des statistiques relatives aux élections
canlonales publiées par le nunislère
de l'Intérieur pour se livrer à do savantes et prolixes considérations sur la situation des divers partis politiques dans
notre pays ; mais je n'en ai pas encore
trouvé un seul qui posât la question de
savoir s'il y a encore des partis poliliques vraiment dignes de ce nom.
Cette question est pourtant la première qui devrait attirer l'attention de la
presse et des Pouvoirs publics, parce
que c'est celle qui a le plus d'imporlance au point de vue de l'orientation de la
politique intérieure de la France.
J e vois dans les slatisliques ofHcielles,
par exemple, que les élections cantonales pour le renouvellement d'un tiers
des membres dos conseils généraux a
fait entrer dans çes assemblées « 107
conservateurs et membres del'Aclion libérale », mais je n'ai aucun moyen de
savoir ce que les auteurs dos slatisliques c'est-à-dire les préfets et les souspréfelsentendent par « conservaleuis »
Désigne-t-on par celte épilhèle simplement tous les élus qui sont animés de
l'esprit de conservation, qui redoutent
le progrès, qui se complaisent dans l'admiralion du tempoHs acti, ou bien appelle-t-on eonservateurs des citoyens
qui comballeot ooveriemenl la Républiqt(6, donti^déal'est une nranarchie, un
empire ou une dictature, et quelle monarchie, quel empire, quelle dictature?
De tout cela on ne dit absolument rien et
c'est pourtant cela qu'il serait intéressant de savoir pour juger, en connaissance de cause, de l'état d'esprit du
pays. L'obscurité n'est pas moins profonde pour ce qui est des élus appui tenant à « l'Action libérale ». Il y a de tout
en effet, dans ce groupement. J'y connais des bonapartistes, des royalistes,
des césariens, voire des républicains
mécontents de ce qui se fait, mais nullement hostiles au régime.
La deuxième grande catégorie d'élus
que comportent les slatisliques cllicielles est celle des « républicains progressisles. Chez eux, le républicanisme esl
incontestable ; quant à l'étiquello de
« progressistes qui leur est attribuée,
j'avoue n'en pas connaître du lout la signification. Si je prends pour critérium
les groupes que l'on qualifie, à la Chambre,de progressistes,je constate d'abord
qu'il y en a deux ; celui des progressistes dits de « gauche
et celui des progressistes dits de « droite » ; je sais.
[33] Feuilleton de l'Union
Agricole
Coqueluche \
er
par Pierre SALES
PREMIiiRB PARTIE
IX
L e triomphe du poète
-
'
Encore une minute de slleDce. Puis
quelque chose se hissa contre la grande
fenêtre, et Coqueluche perçut un glissenieiit... puis quelque chose comme du
taraudage dans le haut... Enfin, par une
ouverture du volet, agrandie, éclatait une
légère détonation : on venait de tirer une
balle de revolver.
Mais ce n'était pas encore trop mécbant.
Soit par maladresse, soit qu'on voulût
simplement donner un avertissement, la
halle avait ricoché sur le plafond et tombait dans un coin de la pièce.
— Celle-ci, Je l'aurai au moins pour ma
collection.
Coqueluche alla la ramasser bien tranquillement.
— Mais, dit-il, comme il serait- bien
inutile qu'on lui donne une petite sœur,
on va vous boucher le pàssage, mesdemoiselles...
La vieille horloge dépassait la hauteur
la fenêtre. Gc^ueluche la traîna et
les JEUDI
et
DIRECTION
]\ord-Ouest
DIMANCHE
'
:
RÉDACTION, ADUINISTRATION
ék ANNOyCBS
A Q U I M P E R L E , Place Hervo. n* d bis
TÉI_ri:F>HONK, IM' B
Les abonnements se faieni d'avance, sauf conventions ils partent du. i" ou du. i5 do chaque mois.
On s'abonne au bureau du journal. On peut s'abonner
également, sans frais, dans tous les bureaux de poste.
Adresse Télégraphique : Union, Qulmperlè
d autre part, que dans l'un et l'autre •chose la plus indéfinissable du monde' •^tt Livadia,'et-iui rometlre une lelJ.re aulo-,
groupe, aussi bien dans celui de droite esl le groupe des radicaux et radicaux- graphe du sultan.
Mais le s o u v e r a i n r u s s e a u r a i t p r i é le
socialistes. Les Gouvernements habiles
que dans celui de gauche, se trouvent
g
o
u v e r n e m e n t o U o m a n de n e p a s d o n n e r
le savent et en usent sans façon avec
dfs hommes auxquels je confierais sans
suite à cette intention.
des hommes dont le seul but est de
aucune uiquieludo l'exislonce du régime
- L ' é t a t de s i è g e a é t é p r o c l a m é d a n s
républicain, lundis que j'éprouverais se maintenir en possession des sièges le s a n d j a k d ' i s m i d , en Analolie, où de
quelque delianco si celle existence élait qu'ils possèdent dans les Assemblées g r a v e s t r o u b l e s ont é c l a t é .
livrée aux mains do tels ou tels républi- élues, mais qui, n'ayant plus de chefs,
— On vient de d r e s s e r la s t a l i s l i q u e des
p e r t e s (tués, b l e s s é s et m o r t s de m a l a d i e ) ,
cains d'uno nuance beaucoup plus fon- parce que les soldats résolus à so battre font défaut ne peuvent plus que dis- s u b i e s p a r les d i v e r s b e l l i g é r a n t s d u r a n t
cée que celle des progressistes. J'ai vu
paraître
dans la réalité, lout en conser- les d e u x g u e r r e s s u c c e s s i v e s b a l k a n i q u e s .
des radicaux à tous crins courtiser le
vant,de
vainosétiquelles,
sous lesquelles En voici le Lrisle t a b l e a u :
cheval noir du général Bjulanger, tanS e r b i e . — A r m é e de 400.000 h o m m e s ;
dis que la plupart, sinon la totalité des il n'y a plus de programme.
p e r l e s de la p r e m i è r e g u e r r e , 30.000 : p e r J'allais dire qu'une seule catégorie tes de la s e c o n d e , 4 i . 0 0 0 . Total : 71.000.
progressistes, se montraient fort ardents
à combattre le cavalier lui-même ; et je des statistiques officielles, celle des
Grèce. — A r m é e de 300.000 h o m m e s ;
ne puis oublier que les Jacobins de no- socialistes, répond à une vérité politi- p e r t e s de la p r e m i è r e g u e r r e , 23.000 ; perire grande Révolution furent tour à tour que : mais je suis obligé de retenir ma
l e s de la s e c o n d e , 25.000. Tolal : 48.000.
M o n t é n é g r o . — A r m é e de
homles inventeurs do Bonaparle et les cour- plume, après un examen de la diversité
m e s ; p e r t e s de la p r e m i è r e g u e r r e , 1 8 . 0 0 0 ;
des personnes que je connais el des protisans do Napoléon.
Total :
Une Iroisieme catégorie de conseil- grammes plus ou moins socialistes que p e r t e s de la s e c o n d e ,
B
u
l
g
a
r
i
e
.
—
A
r
m
é
e
de
hommes ;
lers généraux, d'après les slatisliques j'ai entendu exposer au cours d'une
p
e
r
t
e
s
de
la
p
r
e
m
i
è
r
e
g
u
o
n
e,
T.i.O
jO : p e r ofllcielles, est colle des «républicains de carrière assez longue pour que j'aie vu
tes de la s e c o n d e ,
Total : I.'jG.uOO.
gauche ». Bien malin serait celui dont beaucoup de choses et conslaté de
T u r q u i e . — A r m é e ui.'rtOO000 l i o m m e s ;
mulliples variations. Si j'osais qualifier p e r l e s de la p r e m i è r e g u e t r o , lûOiOOO.
je pourrais apprendre ce que c'est qu'un
Ce qui fait un total, p o u r l ' e n s e m b l e d e s
« républicain de gauche ». Toul au plus le socialisme actuel, je dirais volontiers
semble-t-on désigner par là les républi- qu'il est le moyen de conquérir les siè- a r m é e s b e l l i g é r a n t e s , de 440.000 h o m m e s
h o r s de c o m b a t .
cains qui ne sont ni progressistes ni ra- ges dos radicaux et des radicaux-sociaC o m m e o n l e v o i t , s a u f p o u r le Monl,énédicaux, ni radicaux-socialistes, ni socia- listes. El ce moyen n'est pas mauvais g r o , qui n ' e s l v r a i m e n t (intrè en ligne s é listes. Il m'est donc absolument impos- puisque, d'après les statistiques officiel- r i e u s e . q u e d a n s la p r e m i è r e g u e r r e , la s e sible de savoir exaclemenl ce que c'est les, il a permis aux candidats socialisconde g u e r r e a élé l)eaucoup plus m e u r t r i è r e q u e la p r e m i è r e .
que les républicains de gauche » des tes de gagner, aux dernières élections
lit d a n s c e l t e f u n è b r e liste on ne p e u t
statistiques piéfectorales et ministériel- canlonales, 18 sièges dans les conseils
généraux. Les journaux socialistes sont
e n c o r e é n u m è r e r , faute d'éléments d'aples.
dans le ravissement ; ils en ont le droit ;
p r é c i a t i o n s u d i s a n t s , les a t t e i n t e s s u b i e s
La quatrième catégorie desdiles staet je n'aurai pas l'indiscrétion de leur p a r les p o p u l a t i o n s p a r s u i t e d e s m a s s a tistiques comprend les radicaux et rademander avec quels programmas pu- c r e s , d e s m a u v a i s t r a i t e m e n t s , d e s p r i v a dicaux-socialistes ». De ceux-là je conhli,ç.s QUi spcrels, .yoire taciteg^^leurgj tions e t d e s m a l a d i e s qui o n t fondu s u r
nais un très.grand nombEe^ depuis IrétS
-elles," t a n d i s q u e léa a r m é e s s e d i s p u t a i e n t
candidats dnt triomphé.
longtemps ; je puis donc en parler savilles, v i l l a g e s et i i a m e a u x I
•Je me borne à conclure que les statisvamment ; or, tout ce qu'il m'est possitiques les plus oflicieUes n'ont aucune
ble d'en dire est que l'on trouve parmi
L e s E l e c t i o n s de R o c h e f o r t
eux toutes les tournures d'esprit imagi- valeur parce que les élus y sont classés
Le
Conseil de p r é f e c t u r e de C h a r e n t e - I n nables, depuis celle du conservatisme sous des étiquettes absolument vaines.
f é r i e u r e a p r o c l a m é é l u s c o n s e i l l e r s d'arJ.-L. de LANESSAN
le plus obstiné jusqu'à celle du révolur o n d i s s e m e n t de R o c h e f o r t - s u d MM. lloDôpiilé,
Ancien MinisLre,
lionnarisme le plus ardent. Ils étaient
c h e l e a u et Breil qui, a u s c r u t i n de ballotMembre de la Commission Ccnlrale Kxéoulive
jadis, en grande inajorilé, anticléricaux
tage, r e c u e i l l i r e n t 20 el 18 sull'rages s u r
(lu l'aril licpublicain
Dèmocmlique.
voire « mangeurs de curés » la sépara5.834 i n s c r i t s .
tion des Eglises et de l'Etal n'était pour
M. llourdillé, élu c o n s e i l l e r g é n é r a l de
c e m ô m e c a n t o n p a r 2ô v o i x , a ' d é c l a r é n e
la plupart, qu'un moyen de faire dépas accepter.
truire l'Eglise par l'Eiat. Mais, depuis
L e p r é f e t v a s o u m e t t r e a u Conseil d'Kquelques années l'espril a changé avec
tat la d é c i s i o n du conseil de p r é f e c t u r e .
les hommes ; le langage seul a^ resté à
B a n s les B a l k a n s
peu près immuable... du moins en puOn e n l r e v o i l , enlin, le reloui' d ' u n c l a l
Aviation
blic ; les « mangeurs de curés » ont été
n o r m a l tians les r é g i o n s balkaniqu'^s, si
remplacés par d'habiles exploiteurs de
Chutes
mortelles
t r o u b l é e s d e p u i s dix m o i s . A Conslanlicurés : exemple, ce député qui montre nopio, la s i t u a t i o n r e s t e sLationnaire, m a i s
M e r c r e d i , à "V'illacouhlay, le l i e u t e n a n t
ses billets de confession pour so faire les i n d i c e s s e mulLiplienI, d é m o n l r a n l q u e S a n s c v e r , de l'infanterie c o l o n i a l e , a c c o m élire et qui, une fois élu, pose à l'antip a g n é du s a p e u r L a f o r g u e s , elVectuait un
les n é g o c i a t i o n s b u l g a r o - l u r q u e s s o n t en
vol
a u - d e s s u s de l ' a é r o d r o m e m i l i t a i r e ,
clérical au point de réclamer la supb o n n e voie, d ' a b o u t i s s e m e n t .
l o r s q u ' à la t o m b é e de la n u i t , le lieute— Les ollioiers t u r c s faits p r i s o n n i e r s
pression dos écoles libres.
n a n t s e t r o u v a n t à 20f) nuHres de h a u t e u r
Comme l'aniicléricalisine était lo seul en S e r b i e e l d o n t la lil)éraLion a c o m c h e r c h a un p o i n t d'alto^i-rissage.
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ConsLanLIarticle du programme actif des radicaux
L'apjiareil qui a v a i t ' ^ o m m e n c ô à" t a n nople, r e p l a c é s d a n s les c a d r e s de l ' a r m é e .
et radicaux-socialistes et queranliclérig u e r , s e r a p p r o c h a b r u s q u e m e n t du sol
— Un c o n f i r m e , à ConslanLino[)le, ([u'irn
calisme réel esl aujourd'hui relégué ollicier de la Suiilime l^uMe a v a i t é t é d é s i et p i q u a tlroit d ' u n e h a u l e u r de 30 m è t r e s ,
aux vieilles lunes, il en résulte que la g n é p o u r a l l e r s a l u e r le tzar à son a r r i v é e le m o t e u r r e s t a n t en pleine m a r c h e .
4 0 . 0 0 0
1 . 2 0 0 .
1 9 . 2 0 0 .
6 0 0 . 0 0 0
8 ; ] , 0 0 0 .
Au Jour le Jour
boucha ainsi l'ouverture qui avait été
pratiquée. Il était temps : une nouvelle
balle était tirée; seulement Coqueluche
ne sut pas la direction qu'on avait donnée
à celle cl ; elle demeura dans le haut du
meuble.
Ou' essaya de recommencer le même
travail sur l'autre fenêtre qui était plus
large. Coqueluche haussa les épaules : en
un clin d'œll, 11 avait traîné devant toute
ouverture possible un dressoir qui masquait complètement la fenêtre.
—• Tirez 1 mais tirez donc ! messieurs
les Grégoriens!... Faites comme messieurs les Anglais, à Fonteuoy 1
Quelques coups de feu retentirent en
effet de côté, ainsi que sur l'autre fenêtre.
Pals, toujours de» sommations.
Pois, encore le silence. Se décourageaiton? Non. La porte était secouée, soudain,
par des poussées furieuses. Probablement
des coups d'épaule...
— Allez-y, mes amis, c'est pas c'te
lourde-là qnl vous cédera.
Pour plus de sûreté d'ailleurs, 11 traînait contre le large panneau la table du
milieu, -sur laquelle il hissait le dressoir.
— Renversez-la donc c'te barricade I..
Coqueluche n'avait qu'un regret, c'était
de jouer un si beau rôle pour lui iout
seul.
— C'que j'aurais du succès, au théâtre
de Bellevllle ou aux Bouffes du Nord !
Mais voici que le danger augmentait.
Puisque tous les avertissements, môme &
balles, ne servaient de rien contre l'enragé... ou les enragés enfermés ià-de-
d a n s . . . on allait essayer de leur faire
sérieusement peur.
Une dernière sommation fut criée, par
cette voix de commandement que Coqueluche, soudain, se flgura avoir déjà entendue. Mais où ? . . . et n'était-ce pas toul
simplement parce qu'elle avait déjà retentit tout à l'heure?... Il répondit par
un pied de nez, encore bien désolé de
n'être pas. Mais 11 éprouvait un petit frisson, en découvrant que le taraudage qu'on
avait pratiqué en haut des fenêtres allait
être repris entre les troncs d'arbre qui
formaient les murs.
Les assiégeants avalent certainement
des outils militaires, ne fût-ce que le couteau d'ordonnance, avec des tire-bouchons, de petits ciseaux à froid...' Bientôt une ouverture allait être faite; et
Coqueluche distingua qu'on Introduisait
quelque chose qui devait être un canon
de revolver... Il se colla simplement contre le mur ; et deux coups ayant été tirés,
il s'imagina qu'il voyait passer les balles.
La situation s'aggravait : s'il pouvait
échapper aisément à un seul revolver,
comment se garerait-il, si des trous semblables étalent percés sur les autres
parois ?
— Ç», mes petits amis ; ça commence à
ne plus être du j e u . . . Tant pis pour vous,
si Je défends ma peau !
Il prit le revolver du lieutenant, le
glissa bien doucement contre le mur,
jasqu'à ce que le bout du canon fût devant
l'autre canon. Il poussa alors, avec une
violence extrême, sentit que l'autro re-
volver reculait... Puis il tira un premier
coup, qui acheva de faire tomber l'arme
de l'adversaire, et un second, qui fut
suivi d'un cri de douleur.
— Pourvu que je l'aye pas tué, au
moins ! Mais voilà qui va les faire réfléchir I . . .
Des cris d'exaspération éclataient ; et
des coups terribles étalent frappés sar les
quatre parois du pavillon de chasse, avec
des menaces...
— Hurlez I . . . hurlez, mes petits I
Mais assez vite on ne hurlait plus ; on
s'occupait du blessé qui gémissait.
On dut encore tenir conseil : sans doute,
on en viendrait à bout, de cet enragé I . . .
Mais de combien de balles dlsposalt-ll?...
Et avant qu'on arrivât jusqu'à l u i ! . . .
Bientôt, des frôlements montaient le
long des murs. Coqueluche comprit qu'on
allait essayer de pénétrer dans le pavillon
par les chambres du haut.
— Ça fit 11, c'est gentil tout plein I . . . Si
la moitié de la troupe est occupée
parlât...
On pourrait bien arriver dans les chambres; mais on trouverait la porte du'
palier aussi bien barricadée que la porte
d'entrée.
'
Coquelnche transporta immédiatement
une commode, des sièges, une petite
table ; par dessus le marché, il poussait
deux énormes verrous, prudemment posés
par le garde-chasse, qui, avait dij s'Imaginer qu'il serait en danger, quelque Jour,
d'ôtre aussi bien assiégé par le haut que
par le bas l
ABONNEMENTS (uN AN)
Quimperlé (ville)
Finistère et départements limitropli6s••••••••••••••••••••••
Autres départements
Colonies et étranger
s fp
6
7 —
10 —
Au g r a n d efTroi d e s a s s i s t a n t s , l ' a p p a reil v i n t s ' é c r a s e r s u r l ' a é r o d r o m e . On s e
p o r t a a u s e c o u r s d e s v i c t i m e s qui g i s a i e n t i n a n i m é e s a u miji'eu d e s d é b r i s de
l'appareil. L e s d e u x a v i a t e u r s é t a i e n t h o r r i b l e m e n t m u t i l é s . L ' a c c i d e n t s e r a i t dû à
la r u p t u r e d ' u n e tige d u g o u v e r n a i l d e
profondeur.
La cinquième
arme
Le g é n é r a l de b r i g a d e B e r n a r d , c o m m a n d a n t la7« b r i g a d e d ' a r t i l l e r i e à B e s a n ç o n , est r e l e v é de s o n c o m m a n d e m e n t e l
m i s à la t è l e de l ' a é r o n a u t i q u e m il il a i r e .
Le raid
de
Gnillanx
P a r t i de B i a r r i t z , l ' a v i a t e u r Guillaux e s t
d e s c e n d u à S c h œ s s e l , en P r u s s e , c e qui
fail en ligne d r o i t e e n v i r o n 1600 k i l o m è tres. Il e n l è v e r a i t d o n c la c o u p e à B r i n d e j o n c d e s Moulinais.
Brinde.jonc a effectué, on le s a i t , la t r a v e r s é e P a r i s - V a r s o v i e , soit 1400 k i l o m è tres.
A v a n t lui, les d é t e n t e u r s de la c o u p e
P o m m e r y f u r e n t : Gilbert ( P a r i s - C a c é r è s ,
1400 k i l o m è t r e s ) ; L e t o r t ( P a r i s - D a n t z i g ,
1280 k i l o m è t r e s ) ; Guillaux ( P a r i s - S a m o r a l ,
1100 k i l o m è t r e s ) , et .lanoir ( P a r i s - B e r l i n ,
300 k i l o m è t r e s ) .
Mauvaise
humeur
allemande
La p r e s s e a l l e m a n d e s e m o n t r e t r è s
a g r e s s i v e a u s u j e t d e s a v i a t e u r s ^^enus d e
F r a n c e , qui, s o u s le p r é t e x t e , y d i t - o n , de
r a i d s P a r i s - B e r l i n et a u t r e s , c r o i s e n t j o u r nellement au-dessus
du
territoire de
l'empire.
Incident Sino-Allemand
On v i e n t de c o m m u n i q u e r à È e r l i n u n
t é l é g r a m m e ofTiciel t r a n s m i s p a r le c o m m a n d a n t de l ' e s c a d r e de c r o i s e u r s e n v o y é s en E x t r ê m e - O r i e n t . Il y e s t dit q u e
les Chinois, s o u l e v é s c o n t r e Y u a n Ski-Ka'i
et qui o c c u p e n t un f o r t p r è s de W o u - H o u
ont tiré des c o u p s de fusil c o n t r e le c r o i s e u r a l l e m a n d « E m d e n ».
Le c r o i s s u r a r é p o n d u a u s s i t ô t p a r un
tir r a p i d e , et a p r è s v i n g t - c i n q c o u p s de
c a n o n , il a r é d u i t le f o r t à s e t a i r e .
Un nouveau sous-marin
Le 2 o c t o b r e p r o c h a i n , le p o r t de R o c h e r
fort m e t t r a à l'eau le s o u s - m a r i n
Clorim/e
de 410 t o n n e s . Ce b â t i m e n t m e s u r e 53'" '.tô
d e long, ."j"' 10 <le l a r g e .
Il s e r a a r m é d e
huit t u b e s l a n c e
torpilles et a c t i o n n é
par des m o t e u r s à combustion intérieure
de 1.300 11. P. 11 p o u r r a liler 15 n œ u d s et
p o r t e r a 27 h o m m e s d ' é q u i p a g s .
«a»
L e s flottes E u r o p é e n n e s
Dans un a r t i c l e s u r les t r o i s flottes c o m p a r é e s , a n g l a i s e , a l l e m a n d e et f r a n ç a i s e ,
le Corriered'Kalia,
de R o m e , c o n s t a t e q u e
l'idée d i r e c t r i c e de la m a r i n e a n g l a i s e p a r a î t ê t r e la d é f e n s i v e , a l o r s q u e l ' o r g a n i sation m a r i t i m e allemande s e m b l e ê t r e
o r i e n t é e v e r s l'offensive.
— C'est une petite forteresse, au rez-dechaussée I
Néanmoins, le danger s'aggravait encore. Après le bruit d'une fenêtre brisée,
Coqueluche distinguait des pas au-dessus
de lui ; et, immédiatement, on se mettait
à tarauder le plafond, simplement composé de planches : est-ce que les balles
allaient partir de là, maintenant ?
— Heureusement, plus que trois minutes, mes bons messieurs I
Mais à ce moment. Coqueluche ne put
s'empêcher de trembler, comme trembla,
d'ailleurs, tout le pavillon, sous un coup
formidable que reçut la porte. Elle résista ;
mais le buffet en avait été remué, écarté
même, d'un bon centimètre.
Ce n'était plus avéc des pommeaux d'épée, des crosses de revolver on des talons
de bottes qu'on essayait de renverser la
<< lourde ». On avait dû trouver dans le
voisinage quelque tronc d'arbre, et on en
faisait bélier, comme dans ces sièges de
l'antiquité, dont Coqueluche avait un
vague souvenir depuis son temps d'école.
Que la porte fût renversée... avec des
coups de revolver partant de là-haut...
et en f a c e . . .
— Et tu seraU vite nettoyé, mon petit
Coqueluche I
Heureusement, plus que deux minutes !
Ea tout cas, on la leur vendrait chèrement, c'te binette, h qui tant de Parigotes avaient laissé entendre qu'elle n'était
pas des plus mal I
Lfi m ê m e j o u r n a l e s t i m e e n s u i t e q u e la
flotte f r a n ç a i s e a u n e grande v a l e u r :
u C e r t a i n e m e n t , a j o u t e c e j o u r n a l , la
m a r i n e f r a n ç a i s e n'est pas p a r f a i t e p u i s qu'il n ' e x i s t e p a s de m a r i n e p a r f a i t e , m a i s
c e qu'il fallait relever, c'est q u e c e t t e mar i n e p r o g r e s s e au point de v u e du p e r s o n nel ftt du m a t é r i e l dans u n e m e s u r e q u e
peu de p e r s o n n e s en Italie s a v e n t r e c o n n a î t r e et a p p r é c i e r . ->
'
F r a n c e & Allemagne
De c o n c e r t a v e c
l'Angleterre et la
R u s s i e , un accord financier e s t i n t e r v e n u
entre
les g o u v e r n e m e n t s
f r a n ç a i s et
allemand au s u j e t du c h e m i n de fer de
Bagdad. Les t e r m e s de l'accord donnent h
l'Allemagne la liberté d'action dans la région de Bagdad, s a n s c o n t r ô l e é t r a n g e r ,
et ils e n l è v e n t , d'autre p a r t , h la F r a n c e
la c o n c u r r e n c e allemande d a n s des r é gions où elle p o u r r a i t s ' e x e r c e r . Us s u p p r i m e n t , en outre, u n e c a u s e de rivalité
e n t r e les d e u x p a y s en Aise-Mineure.
France & Espagne
A l'occasion du c o n c o u r s h i p p i q u e international de Pu^cerda, ville espagnole vois i n e de la frontière, u n e m a n i f e s t a t i o n
f r a n c o - e s p a g n o l e a eu lieu.
La foule a fait des ovations a u x Français, p a r m i l e s q u e l s se trouvaient de nomb r e u x officiers.
Le m u s i q u e a j o u é la Marseillaise
au
milieu de vivats e n t h o u s i a s t e s .
Une Affaire de Trahison
Dans le plus g r a n d m y s t è r e , la S û r e t é
g é n é r a l e p r é p a r e u n e e n q u ê t e s u r une
ali'aire de trahison qui parait grave.
I n maréchal-des-logis d u d ' a r t i l l e r i e ,
s o u s - c h e f m é c a n i c i e n à la 8" batterie,
n o m m é Dieu, a été m i s au s e c r e t m e r c r e d i
d e r n i e r . 11 e s t i n c u l p é d'avoir expédié à
un c o r r e s p o n d a n t é t r a n g e r des d o c u m e n t s
et des p h o t o g r a p h i e s d ' i n s t r u m e n t s de
p r é c i s i o n en u s a g e dans l ' a r m é e f r a n ç a i s e .
Deux p e r s o n n e s qu'on croit s e s c o m p l i c e s sont é g a l e m e n t r e c h e r c h é e s .
On r e c h e r c h e , en outre, une j e u n e
f e m m e , a m i e de Dieu, qui a u r a i t été d é j à
c o m p r o m i s e dans une afl'aire de trahison
à Toulon.
On c o n s i d è r e à la Place q u e le maréchal-des-logis G e o r g e s Dieu, du 11" d'artillerie, et un c a n o n n i e r c o m p l i c e qui est
en fuite, n'ont dû c o m m e t t r e q u e des
vols de p i è c e s d é t a c h é e s , f a c i l e m e n t r e c o n n a i s s a b l e s , et très r é p a n d u e s dans tous
les r é g i m e n t s d'artillerie s a n s e x c e p t i o n .
On n e c r o i t pas q u e des p i è c e s s e c r è t e s
a i e n t pu ê t r e s o u s t r a i t e s .
Terrible incendie à Calvin
Ç a a t r e personnes
sont
hrSlées
grièvement
D i m a n c h e soir, v e r s onze h e u r e s , r u e
du Manio, 23, à Calvin, en Kériado, le feu
s ' e s t d é c l a r é au 1 " étage dans le logement
o c c u p é p a r un l i v r e u r de la maison Cab a r e t , de Lorient, M. J e a n - L o u i s Le Pitre,
m a r i é et p è r e de trois e n f a n t s , dont l'ainée, Maria, a q u a t r e ans et demi,* et le
plus J e u n e n'est Agé q u e de trois m o i s .
T o u t e la famille était c o u c h é e et dorm a i t p r o f o n d é m e n t , (juand elle fut éveillée
p a r les c r i s de : « Au feu » p o u s s é s dans
la r u e .
M. Le P i t r e se leva d'un bond et s'ap e r ç u q u e le lit o c c u p é p a r s a f e m m e et
s a fille a î n é e était en f l a m m e s . Il se
p r é c i p i t a , saisit dans s e s bras la petite
Maria qui d é j à était g r i è v e m e n t brûlée
a u x j a m b e s et aux bras et son bébé J e a n
Louis, dont la figure ne formait plus
qu'une plaie.
Pendant c e t e m p s , Mme Le Pitre, aflolée
e&sayait v a i n e m e n t d'atteindre la porte
qu'elle r é u s s i t enfin ii ouvrir. Le petit René la s u i v a i t et se sauva en c h e m i s e dans
la r u e .
Les s e c o u r s f u r e n t p r o m p t e m e n t o r g a n i s é s et h minuit tout d a n g e r était c o n j u r é .
P e n d a n t c e t e m p s on s'était e m p r e s s é
a u t o u r des b l e s s é s et M. le d o c t e u r B r i zard leur donnait les p r e m i e r s s o i n s .
Il ordonna le t r a n s p o r t i m m é d i a t à l'hôpital Hodélio de Mme Le Pitre, brûlée sui
tout le c o r p s , de la petite Maria et du
petit J e a n - L o u i s . M. Le P i t r e , brûlé a u x
m a i n s , a été soigné c h e z des v o i s i n s .
Les dégâts c a u s é s p a r l'incendie sont
a s s e z i m p o r t a n t s , ils s o n t é v a l u é s à 5 ou
CJKWfr.
La Crise Sardinière
L'agitation va-t-elle r e n a î t r e i)armi les
p é c h e u r s s a r d i n i e r s des S a b l e s ? On peut
le c r a i n d r e . On sait q u e c e u x - c i firent, il
y a une h u i t a i n e de j o u r s , une g r è v e de
24 h e u r e s , trouvant q u e les u s i n i e r s leur
p a y a i e n t l e u r p ê c h e h un tarif trop faible,
e n c o r e q u e celui-ci restiU s u p é r i e u r au
prix m i n i m u m p r é v u p a r la c o n v e n t i o n
d'arbitrage.
L ' a d m i n i s t r a t e u r de l'Inscription m a r i ti4iie c o n v o q j u l a c o m m i s s i o n m i x t e , dont
le l ' o n c t i o n n ^ e n t e s t p r é v u p o u r les c a s
de litige, et lui fit adopter un r e l è v e m e n t
des p r i x d'achat de 1 franc, soit 4 et 5 f r .
le mille (48 à 50 f r a n c s les 100 kilos), m a l g r é l'opposition des r e p r é s e n t a n t s des
usiniers.
Les u s i n i e r s o n t i i u m é d i a t e m o n t é c r i t ù
M. de Monziu p o u r p r o t e s t e r contro c e t t e
e x t e n s i o n des a t t r i b u t i o n s des c o m m i s s i o n s m i x t e s , qui ne d e v a i e n t avoir q u ' u n
r ô l e i n t e r p r é t a t i f des c o n v e n t i o n s p a s s é e s
d ' a p r è s la s e n t e n c e d ' a r b i t r a g e .
t< L ' a d m i n i s t r a t e u r de la m a r i n e a outrep a s s é son rôle, e.xpose c e t t e l e t t r e , et nos
g é r a n t s n'avaient p a s qualité p o u r a c c e p t e r en n o t r e nom un r e l è v e m e n t de
prix. »
Cependant, les u s i n i e r s ont v o u l u o b s e r v e r , p e n d a n t les dix j o u r s p o u r l e s q u e l s
ils a v a i e n t été p r i s , les e n g a g e m e n t s de
l e u r s fondés de p o u v o i r s . Mais c e s dix
j o u r s e x p i r e n t a u j o u r d ' h u i , et ils m a n i f e s t e n t 'intention bien a r r ê t é e d'en rev e n i r alors a u x p r i x a n c i e n s .
De leur côté, les p ê c h e u r s des S a b l e s
s'agitent. Ils parlent d e r e c h e f de ne plus
p r e n d r e la m e r p o u r f o r c e r p a r cette grève
les u s i n i e r s à l e u r c é d e r .
Les e m p l o y é s des u s i n e s e u x - m ê m e s
l é m o i g n e r a i e n t d e q u e l q u e émotion devant
ce confiit,- qui porte les f a b r i c a n t s à r e s treindre leurs a c h a t s et à l i m i t e r la p r o duction de leurs u s i n e s .
l'application des nouvelles lois sociales : 2°
de 2 centimes 50 pour le paiement, il l'Elal, en
10 annuités, des terrains de la ligne de -Clhateaulin à Camaret, avec embranchement sur
Le Fret.
Liquidation de pension de retraite- — Est
liquidée à 3.90t) francs par an, la pension annuelle à servir à partir du 1" septembre 1913
à M. Jean Le Rumçur, agent voyer d'arrondissement à Brest.
Asile d'aiiéniis. — La commission de surveillance do l'asile des aliénés de Quimper demande le relèvement de 1 fr. 05 à 1 fr. 15, du
prix des journées des malades indigents traités
dans cet établissement. Ajourné à la se.ssion
d'avril.
«
Ile de Batz. — Une indemnité départemen» •
tale annuelle de 600 francs est votée pour le
Xa farine
d*ar»chides
et la
circulaire
médecin qui ira s'installer prochainement
de M.
de'Monzie
l'Ile de Batz, et qui devra, en échange, donner
Il y a peu de t e m p s , M. de Monzie, sousdes soins gratuits aux indigents. Le conseil
s e c r é t a i r e d'Etat à la m a r i n e m a r c h a n d e ,
municipal de l'Ile de Batz a, de son côté, inscrit un crédit de 500 francs à son budget en
a d r e s s a i t a u x d i r e c t e u r s des a r r o n d i s s e faveur de ce praticien.
m e n t s m a r i t i m e s une c i r c u l a i r e r e l a t i v e à
Assistance aux vieillards, in/irmes et incul'emploi de la f a r i n e d'araclûdes p o u r la
rables. — M. Le Bail donne lecture d'un rapp ê c h e de la s a r d i n e .
port sur le fonctionnement de ce service. Il
Les q u a r t i e r s i n t é r e s s é s f u r e n t a u s s i t ô t
en résulte que le nonibre des assistés, qui était
a v i s é s p a r les a d m i n i s t r a t e u r s de l ' i n s c r i p de 12.442 au 31' décembre 1911, s'élevait à
tion m a r i t i m e , qui e n g a g e a i e n t f o r t e m e n t
13.6G8 au 31 décembre 1912, soit une augmentation de 1226.
les m a r i n s - p ê c h e u r s , dans leur propre
intérêt, à se c o n f o r m e r à s e s p r e s c r i p Prison de Quimper. — Un crédit de 1..300
francs est voté pour l'amélioration de l'éclaitions.
rage de la maison d'arrêt de Qiiimper.
Cette c i r c u l a i r e , dont n o u s d o n n o n s c i Gendarmerie. — Il est également voté 13.300
d e s s o u s le texte, a produit une profonde
francs, pour grosses réparations à effectuer à
i m p r e s s i o n chez les s a r d i n i e r s :
la caserne de gendarmerie de Pleyben.
Monsieur le Directeur,
Le conseil lixe son choix sur un terrain apL'échange de vues qui a eu tieu entre les repartenant à M. Quéinnec pour la construction
présenta'its des pécheurs sardiniers ot dès usipar le département, d'une caserne de gendarniers et qui a éti' sanctionné par la sentence
merie à Landivisiau. La dépense totale est de
arbitrale du 27 mai 1913 a l'ait ressortir, notamG9.700 francs, dont 8.775 francs pour l'achat
ment, les graves inconvénients que présente
du terrain.
l'emploi de la farine d'arachides pour la pêche
Autorisation est donnée à M. le Préfet de
de la sardine.
traiter: l-avec M. Bizien, moyennant un loyer
Ces inconvénients sont de deux sortes : les
annuel de .3.000 fr. et pour une durée de bail
sardines qui absorbent cet appât gonlleni,
de 18 ans, pour la location d'un immeuble lui
puis éclalenl, et tombent au fond de la mer.
appartenant et qui sera afFecté à la brigade de
Los poissons sont ainsi détruits en pure perle,
gendarmerie de Grozon ; 2» avec M. Gtiarreparfois en quantités considérables, et les amas
teur, pour la location de l'immeuble destiné
qu'ils forment sur les fonds peuvent éloigner
à la brigade de gendarmerie de Sizun floyer
de ces parages les bancs de sardines.
annuel, 2.760 fr., avec bail de 20 ans) ; 3° avec
Mme Tanguy, pour la brigade de gendarmerie
Quant au.\ poissons péchés par la farine d'ade Plouzévédé.
rachides, il n'est pas souvent possible non plus
de les utiliser dans les usines de con.serves.
Sur la proposition de M. Rodallec, le conseil
Un a été conduit à penser, sans avoir touteémet le vœu que l'Etat se charge de la consfois la certitude à cet égard, que le saumurage
truction et de l'entretien des casernes de gende la farine d'arachides pourrait avoir pour rédarmerie, moyennant le versement, par le
sultat d atténuer les dangers de son emploi
département, d'une somme à forfait.
commo appilt. Aussi, en attendant que l'expéGendarmerie de Brest. — Le capitaine de
rience ait permis d'être fixé à cet égard, l'ugendarmerie de Brest est logé
la caserne
sage de cette boëtte « saumurée » .a-t-il été
e.xistant. MM. Goude ot Masson demandent
toléré.
que cet ofllcier soit logé en ville. Le statu-quo
est maintenu.
Mais il m'est signalé de divers côtés que des
pêcheurs, ne tenant pas compte des recomCommission départementale. — On procède à
mandations expresses qui leur ont été faites
l'élection des sept membres de la commission
dans leur propre intérêt, utilisent la farine
départementale, par assis et levés. Sont élus
d'arachides non " saumurée », malgré les danpar 35 voix contre 2 : MM. Damey, Jaouen, de
gers qui résultent de son emploi.
Guébriant, Fégean, Lhostis, de Goatpont et
Louppe.
11 importe de faire cesser cet état de choses,
et je vous prie, par suite, d'inviter les admiChemins vicinaux. — M. Dubuisson donne
nistrateurs de l'Inscription maritime des quarlecture du programme définitif des travaux de
tiers intéressés à rappeler aux pêcheurs qu'ils
vicinalité à subventionner en 1914, par applidoivent éviter strictement de recourir à une
cation de la loi du 12 mars 1880.
semblable pratique et que, s'il n'en était pas
M. Soubigou s'étonne de ce que le chemin
ainsi, je me verrais dans l'obligation d'intern" 5, de Kerlouan, ne ligure pas dans ce prodire l'usage de la farine d'arachides >< saumugramme et demande, par voie d'amendement,
rée ou non », pour la pêche de la sardine.
que ce chemin y soit inscrit.
M. Plouzané fait la môme observation èn ce
Signé : De MONZIE
qui concerne le chemin n° 5, de St-Jean-TroUmon.
^
M. le pi'éfét'fait r e m a r q u é que les deux
chetnins dont il s'agit figurent au programme
de 1913, et qu'ils seront mis en adjudication
en septembre prochain.
voir à
Chemins de grande communication. — Le Conseil vote : 1° l'élargissement du chemin n» 17,
dans la partie cpmprlse entre le chemin rural
de Gastel-Geurfianic et le village de Uestangofl';
2° l'élargissement du chemin n" 24, entre Glohars-Carnoët et Le Pouidu ; .3° la rectification
LORIIENT
en Gombrit, du chemin n» 44 ; 4° la rectification de la côte du bourg de Taulé.
Commission départementale. — M. Goude, revenant sur l'élection de la commission départementale, il laquelle il a été procédé au cours
de la séance, proteste sur la façon dont on a
opéré, et qu'il considère comme illégale. A son
sens, la commission départementale n'est pas
élue, et il demande au préfet, la loi ayant été
violée, de prendre acte de sa protestation.
M. le préfet cite deux arrêts du Conseil d'Etat
de.squels il résulte qu'il ne semble pas y avoir
eu violation de la loi, qui n'est pas en cause en
la circonstance, et que cette haute juridiction
n'a pas à s'immiscer dans l'application des règlements intérieurs des Conseils généraux. Il
appartient d'ailleurs à M. Goude, s'il le juge à
propos, de saisir le Conseil d'Etat de sa protestation.
M. Goude. — Nous aurions une solution dans
Séance du mercredi 27 août
trois mille ans.
La séance s'ouvre à 2 heures, sous la présiAprès une discussion très vive de MM. Goude
dence de M. Louppe, président. M. le préfet
cl Trémintin, le débat est clos.
y assiste.
Téléphone. — Trente-quatre communes ont
Commission départementale. — L'année derdemandé à être comprises au plus prochain
nière la commission départementale avait été
programme d'extension du réseau actuel.
élue par le système de la représentation pro(Adopté.)
portionnelle. Plusieurs conseillers demandent
l'ôche fluviale. — Le projet que M. le préfet
que l'on revienne, à l'ancien système. Après
se propose de prendre pour réglementer la
une très longue discussion, on passe au vote,
pêche tUiviale en 1914, et qui est à peu près
scrutin public, sur cette demande, qui est reconforme à celui de 1913, reçoit un avis favopoussée par 22 voix contre 18.
rable de la part du Conseil général.
Ont voté pour rinscription de la demande :
Il est voté 100 francs pour l'établissement
MM. Tanguy, fenoux, Dubui.sson, Le Louédec,
d'une grille au moulin du Port-Rhun, en PlouLe Meur, Guillemot, Guyonvarch, Lancien, Le
arzel, sur la rivière de l'Aber-lldut.
Bail, Louppe, Damey. Berthilimi, Jaouen, FéChaire de langue celtique à la faculté des letgean, Jughs, Gharreteur, Cloarec.
tres de Bennes. — Le conseil renouvelle à M.
Ont voté contre : MM. Uodallec, Penanrun,
Gouryil, étudiant en langue celtique, la subdo Guébriant, Goude, .Masson, Fortin, Moulins,
vention de 700 francs qui lui a été accordée
Villiers, Larreur, Lhostis, Soubigou, do l'Hôpil'année dernière.
tal, Ghevlllotto, de Kerdrel, de Kersauzon,
Lycées et Collèges. — Est également renouvePlouzané, Lucas, Canet, David, Moign, Trélée la subvention de 100 f r u ^ allouée a M.
minlin, Quéinnec.
Quéméneur, ouvrier poudri«j|f^t». Relecq-KerLes conclusions du rapport de M. Trémintin,
huon.dont le llls est élève au iyOée de Brest.
tendant à ce que l'élection de la commission
Sites et monuments naturels de caractère ardépartementale ait lieu d'après le système de
tistique. — MM. Wacquet, archiviste départela II. P. sont ensuite adoptées.
mental, et Abgrall, membre de la Société d'arChemins vicinaux. — Le conseil maintient' chéologie de Quimper sont désignés pour faire
pour 1914 les tauît de rachat des prestations
partie de la commission départementale charen nature, et donne délégation à la commisgée de signaler il l'administration des Beauxsion départementale pour autoriser les comArts les propriétés foncières susceptibles d'êmunes fi substituer aux prestations en nature,
tre classées.
une taxe vicinale pour l'entretien des chemins
Assistance aux familles nombreuses. — Le
vicinaux.
conseil adopte le projet do règlement départeContributions directes. — Un rapport de M.
mental (lui lui est soumis, donne délégation
llodallcc conclut à ce que le répartement dos
11 la commission départementale pour approucontributions directes soit calcndé pour 1914,
ver les taux des allocations votés par les consur les mêmes bases quecelles de 1913. Adopté.
seils municipaux, et inscrit au budget 1914 un
M. Masson demande au conseil de renouvecrédit prévisionnel de 1.500.000 francs on vue
ler le vœu qu'il a déjà émis, tendant à ce que
de l'application de la loi du 14 juillet 1913 pour
le montant des exonérations d'impôts d e l à
cet exercice. La part des communes sera de
290.000 francs celle du département de 98.4œ
cote personnelle-mobilière, dont jouissent les
francs, et colle de l'Etat de 1.141.600 francs.
ofllciers des armées de terre et de mer et les
officiers-mariniers soit pris h charge par l'Etat.
Le Conseil général émet le vœu qu'une moM. Moign s'associe aux observations de M.
dification soit apportée à la loi, tendant à ce
Masson et le vœu est adopté.
que la contribution des communes soit dimiImposition. — Il ost voté une imposition :
nuée.
1» de 5 centimes 80 pour insuffisance de reSociétés de secours mutuels. — La répartition
venus ordinaires, insuffisance résultant do
du crédit ds 5.000 francs au budget départe-
POUR ETRE CHIC
FASHION-HODSE
Ses Chemises
Ses Cravates
Ses Chapeaux
Prix inconnus
Partout ailleurs
Conseil Général du Finistère
mental, à titre de subvention aux sociétés de
secours mutuels, est faite sur les mêmes bases
que l'année dernière, ,c'est-à-dire en tenant
compte du nombre des membres participants
et de la situation financière de chacune d'elles.
Subventions. — Il est accordé une subvention
de 50 francs à l'OEuvre de l'adoption des orphelins et des enfants abandonnés, dont le
Siège est à Morlaix.
A sept heures la séance est levée, pour être
reprise à neuf heures du soir.
Séance du vendredi 29 août
Trésorerie générah'. — Une demande de sub
vontion du département pour la création de
deux emplois de co"mmiR à la trésorerie générale de Brest esl rojelée.
Sur la proposilion de M. Goude, le conseil
général émet le VOMI que l'Etat ijludie sérieusement la fiuestion d'augmentation du personnel de la trésorerie de Brest.
Ancien EvUché de Quimper, — Le Conseil municipal de Quimper demande la location du
parc de l'ancien évêché diocésain, moyennant
un prix annuel de location de 300 fr. La ville
«'engageant en outre à participer aux frais
d'entretien du jardin public, sous forme d'une
concession d'eau, qui pourra atteindre 200 fr.
La question est renvoyée à la session d'avril,
pour complément de renseignements.
Chemins de fer départementaux. — Est pris
en considération l'agrandissement du bâtiment des voyageurs de la station de Moëlan,
sur la ligne de Quimperlé à Concarneau. Un
crédit de 24.700 fr. est voté pour les travaux à
e.xécuter.
Chemins de fer départementaux {:t' réseau).
— Au sujet du projet de construction d'un 3*
réseau de chemins de fer d'intérêt local dans
le Finistère, M- le ministre des Travaux publics a fait diverses observations, notamment
les suivantes : « Il y «aura lieu de supprimer
« du réseau les lignes de Landerneau à Sizun
" et de Briec ar-Lez, qui seront déficitaires,
« et la section de Plouhinec à Audierne de
" la ligne de Quimper à Audierne, cette
« dernière localité étant déjà convenablement
« desservie, et la compagnie d'Orléans se plai" gnant d'un détournement de trafic de la
" ligne Quimper-Douarnenez-Audierne, au pro" fit de la ligne Audierne-Plouhinec-Quimper.
" Une dépense fort élevée pour la recons" truclion ou la construction d'un pont sur le
•• Goyen serait, en outre, à envisager à assez
« bref délai pour se raccorder avec la gare
« Audierne rive droite, si on devait construire
« la section Plouninec-Audierne qui est pré" vue comme s'arrêtant sur la rive gauche du
" Goyen. »
L'ajournement de cette question est prononcé.
Monuments historiques. — Pour l'entretien et
la restauration des monuments historiques, il
est inscrit au budgel départemental un crédit
de 5.0(X) francs,
Une subvention de 2.000 francs est votée pour
participation du département à la restauration
de l'ancienne cathédrale et de la chapelle du
Gréisker, à Saint-Pol de Léon.
Consultations de nourrissons. — Le statu quo
est maintenu, au point de vue financier, en ce
ijui concerne le service des consultations de
nourrissons.
Assistance aux femmes en couches et à l'allaitement maternel. — Le conseil arrête le budget de ce service, conformément à la loi du
17 juin 1913, complétée par la loi de finances
du 31 juillet suivant.
Société de pèche. — Une demande de subvention formée par la Gaule quimpcrloise esl
rejetée.
Service public d'aiitûmobiles bretons. — La
Société des automobiles bretons demande le
maintien intégral de la subvention annuelle de
35.000 francs. Les ingénieurs du contrôle esliment qu'il y a lieu de faire appel à la concurrence en vue d'obtenir un service meilleur.
L'afl'aire est renvoyée à la prochaine session
d'avril.
Ecole ménagère ambulante. — Un vœu est
émis tendant à ce qu'il soit créé une école ménagère ambulante dans le département, qui
serait rattachée à l'école de laiterie de Iserliver. Le directeur des services agricoles et l'inspecteur d'académie sont chargés d'-étudier le
projet.
Société d'Agriculture de Quimperlé.-— La commission de l'agriculture propose de rejeter
une demande d'augmentation de subvention
formée par cette société. (Adopté).
Vétérinaires. — Le conseil estime qu'il n'y a
pas lieu pour le moment d'augmenter le tarif
kilométrique actuellement en vigueur dans le
Finistère pour le service des épizooties.
A 7 h. 30 la séance est levée pour être reprise à neuf heures du soir.
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nombreuses et nécessiteuses
Loi du 14 Juillet
1913
Les p è r e s et m è r e s de famille qui désir e n t b é n é f i c i e r de la loi du 14 j u i l l e t 1913
doivent en faire la d e m a n c l f ^ - l * m a i r i e et
se m u n i r de l e u r s livrets flë famille p o u r
faciliter la c o m p o s i t i o n de l e u r s d o s s i e r s .
En v e r t u de l'art. 2 de la dite loi les bénclioiaires sont les c h e f s de fatpille ou les
m è r e s . Ils doivent r e m p l i r trois conditions.
1" litre de nationalité f r a n ç a i s e .
2® Avoir des r e s s o u r c e s i n s u l l i s a n t e s
p o u r é l e v e r les e n f a n l s l é g i t i m e s ou r e c o n n u s , dont ils ont la c h a r g e .
3® Avoir k leur c h a r g é un n o m b r e m i n i m u m d ' e n f a n t s de m o i n s de 13 a n s , n o m b r e qui varie s u i v a n t le c a s .
1" Cas. — 1° Si les enfants sont restés à la
charge de la mère par suite de la mort, du
père, de sa disparition, d'abandon par lui de
sa famille, ou de toute autre cause (par exem-
ple si le père est hospitalisé dans un asile d'aliénés ou dans un hpspice, bénéficiaire de la
loi du 14 juillet 1905 au titre d'infirme ou d'incurable, condamné à une peine d'emprisonnement de longue durée...) l'assistance est
donnée à la mère pour chaque enfant de
moins de treize ans au delà du premier enfant
de moins de treize ans.
Si donc la mère, qui se trouve dans cette
situation, a deux enfants de moins de treize
ans, elle a droit à une allocation ; si elle en a
trois, à deux allocations ; si'elleen a quatre, à
trois allocations ;
2» Cas. — 2" Si les nnfanls sont restés à la
charge du père par suite de la mcirt de la
mère, de .sa disparition, d'abandon par elle de
sa famille, ou de toute autre cause, l'assistance
est donnée au père pour chaque enfant de
moins de treize ans au-delà du deuxième enfant de moins de treize ans.
Si donc le père, qui se trouve ,ians cette situation, a deux enfants seulement de moins
de treize ans, il n'a droit a rien ; s'il en a trois,
il a droit à une allocation : s'il en a quatre, à
deux allocations, etc... ;
3' Cas. — 3" En dehors de ces deux cas, le
chef do famille (et ce peut être, en cas de décès, d'abandon ou disparition des pèie et
mère, un « parent » ayant recueilli les enf mis), n'a droit au bénéfice de la loi que s'il
a à sa charge au moins quatre enfants de
moins de treize ans ; l'assistance lui est
donnée pour chaque enfant de moins de treize
ans au delà du troisième ; s'il en a quatre, il a
droit à une allocation ; s'il en a cinq, à deux
allocations, etc...
Ënrej^isl rement
Par arri'té de M. le D i r e c t e u r Général de
l ' K n r e g i s t r e m e n t , en date du 27 a o û t 1913,
M. Le Bail, r e c e v e u r de l ' E n r e g i s t r e m e n t ,
des do n a i n e s et du t i m b r e à S t - A u b i n du
C o r m i e r (IlIe-et-'Vilaine), a été n o m m é à
Huelgoat, p a r p e r m u t a t i o n a v e c M. E r n o u .
Quimperlé
Réunion
des
commissions.
— La
c o m m i s s i o n m u n i c i p a l e de. l ' e n s e i g n e ment, se r é u n i r a s a m e d i à 8 h e u r e s du
s o i r salle de la m a i r i e à Quimperlé.
La c o m m i s s i o n des finances se r é u n i r a
lundi, m ê m e h e u r e et m ê m e lieu.
A qui le porte-monaie.
— Un p o r t e m o n n a i e c o n t e n a n t un médaillon, a é t é d é posé au c o m m i s s a r i a t de police, où son
p r o p r i é t a i r e p e u t le r é c l a m e r .
A-ccident
du travail.
— En afTutant u n e
faux, Fraval Marianne chifTonnière r o u t e
de Moëlan à Quimperlé s'est c o u p é le pouc e de la main g a u c h e . L'ongle et l ' e x t r é m i t é du doigt., ont été s é p a r é s en d e u x
parties. Cette f e m m e s u b i t de c e fait
une i n c a p a c i t é de vingt travail de j o u r s ,
Alellae
Accident
de travail.
— Louis B i a n nic, c h a r r e t i e r à Rouas, en Mellac, c o n duisait un cheval, attelé à une v o i t u r e ,
lorsqu'en tournant, son cheval lui a m a r c h é s u r le pied g a u c h e , lui o c c a s i o n n a n t
un é c r a s e m e n t du bord i n t e r n e du pied.
Saint-Thurien
Tentative
de vol, ~ Le 27 c o u r a n t ,
e n t r e 10 et H h e u r e s du soir, Y v e s Le
Gall de Kerner, e n S a i n t - T h u r i e n , s e t r o u v a n t dans la c o u r de la t e r m e , e n t e n d i t
du b r u i t dans l'une de s e s é c u r i e s . V o u lant se r e n d r e c o m p t e de c e qui se p a s sait il s e dirigea de c e c ô t é , m a i s a u m o m e n t où il r e n t r a i t dans l'écurie, u n
h o m m e s a u t a p a r la f e n ê t r e ; l ' o b s c u r i t é
étant profonde Le Gall ne p u t le r e c o n naître. Il c o n s t a t a q u ' u n s a c avait é t é
r e m p l i d'avoine. P o r t a n t s e s s o u p ç o n s
s u r son d o m e s t i q u e , G. Gourlaouen, 18
ans, c e d e r n i e r i n t e r r o g é p a r les gendarm e s a fait des a v e u x .
Cloliars-Carnoët
Arrestation
de mendiants.
— Les
g e n d a r m e s de Quimperlé en t o u r n é e dans
la c o m m u n e de Clohars-Garnoët, ont a r r ê té p o u r délit de vagabondage, les n o m m é s
Y v e s Gilles né à L e s n e v e n , et J e a n Rouzic
né à Arzano. S a n s d o m i c i l e fixe, c e s d e u x
v a g a b o n d s q u i ont d é j à p l u s i e u r s c o n d a m n a t i o n s à leur actif, ont r e f u s é de f a i r e la
route à pied et il fallut r e q u é r i r une v o i t u r e p o u r les c o n d u i r e à ^Quimperlé, où
a p r è s c o m p a r u t i o n devant le P r o c u r e u r
de la R é p u b l i q u e , tous d e u x ont é t é
écroués.
Emporté
an large.
— Un j e u n e
m o u s s e de Groix, Henri S p h e c t , s e t r o u vait à Doëlan dans la s o i r é e de m e r c r e d i
Dans l'intention d'aller c h e r c h e r son fascicule, il s ' e m p a r a de la b a r q u e
Bonne
humeur et cingla v e r s l'île ; m a i s les v e n t s
étaient c o n t r a i r e s , et . toute la n u i t , le
j e u n e h o m m e r e s t a au milieu de l ' i m m e n sité. S a situation devenait c r i t i q u e , c a r , e n
ellet le lendemain m a t i n v e r s s i x h e u r e s ,
il s e trouvait à s i x milles au l a r g e s de
Doélan s a n s v i v r e s , s a n s s e c o u r s . F o r t
h e u r e u s e m e n t s e s s i g n a u x de d é t r e s s e
furent a p e r ç u s p a r le patron p ê c h e u r Le
Goroller, de Kerroch, qui r é u s s i t à le prendre à la r e m o r q u e . On était d é j à t r è s inq u i e t s u r le c o m p t e du m o u s s e i m p r u dent.
Scaèr
Accident.
— Le 28 c o u r a n t , v e r s
9 h. 1/2 du s o i r , Marie Gourant, 15 a n s ,
d o m e s t i q u e au bourg de S c a ë r , c h e z M.
Le Grair, c o n d u i s a i t un c h e v a l , , a t t e l é à
une c h a r r e t t e c h a r g é e de
m e n t de r e n t r e r dans le c h e m i n de P o n t Gourde, le c h e v a l a c c é l é r a s a m a r c h e ;
la d o m e s t i q u e ne p o u v a n t le s u i v r e , ess a y a de se r e t i r e r de c ô t é en s ' a c c r o c h a n t
à u n e motte du talus. La motte a y a n t
cédée, la p a u v r e lllle t o m b a a u t r a v e r s de
la r o u t e ; l'une d e s r o u e s du v é h i c u l e lui
p a s s a s u r la tête. La m o r t a é t é instantanée.
Concarneau
Brûlé
v i f . — Mercredi s o i r , vers
10 h. 30, M.- L a u r e n t Queflurus, marin,
domicilié r u e Courcy, allait se c o u c h e r et
s'était d é j à déshabillé, l o r s q u e la l a m p e è
pétrole qu'il avait a l l u m é e p r i t feu. Poui
l'éteindre, Queft'urus s a i s i t u n e c o u v e r t u r e du lit où r e p o s a i t s a f e m m e . Mais h
feu s e c o m m u n i q u a à la c o u v e r t u r e e t à
V
chemise de Qu^ffurus, (jui, en un instant
fut IransforiTT^ en tore,lie vivante. Allolé,
Oueflurus et- ;)récipUa flamant dans les
escaliers et fl.-soendit dans la chambre de
ça belle-mère, Mme Gérard, qui, rfc\. illée
en sursaut, fr;inla son sang-froid et (•u.nfra
dans une conv.-rture les tlammes iiui .'nvironnaient -f.ii gendie. Mais Mmtrard se brûla ^'(•ave^leIil elle-même aux
mains. Quant a (ju»-lla( u6, son corps est
rn-îvert de nombreuses et profondes blessui os. Les médecins appelés ont ordonné
son transfert à l'hospice de Quimper. Son
étal n'est pas sans inspirer d'inquiétudes.
11 convient d'admirer le sang-froid et le
courage de .Mme Gérard en cette circonstance.
Quimper
Vol. - La police a dressé procès-verbal pour vol de pommes de terre dans
les champs de l'hospice h l'hippodrome
contre la femme Le Moigne, U ans.
A r i s . — Les Jeunes gens de la classe
1913, sont priés de se réunir dimanche
prochain, 31 août, à 10 h. du matin, à
la salle de l'école communale du Lycée.
£ c r « s é e p a r une auto. — Le 21 courant, vers 11 heures du soir une automobile venant de Fouesnant sur Quimper,
rendue i proximité du moulin du Pont,
passa sur le corps d'une femme étendu
sur la route, la veuve Moénec, 52 ans,
marchande de cresson, qui d'après le
médecin légiste, aurait eu un commencement de congestion célébrale occasionné
par la boisson et qu'elle devait être
morte avant le passage de l'auto.
Guiscrifr
Accident.
— M. Jean Croissant agriculteur à Kervélégan, présente une plaie
par arrachement de la phalangette de l'index de la main droite prise dans une batteuse.
Cette lésion produira pour le blessé
quelques Jours d'incapacité temporaire
de travail.
M. Croissant est assuré à la C" Générale
d'assurances contre les accidents.
Guidcl
< r.-
A c t e d e dévouement.
— M. Bertrand
Blanchard, ouvrier cordier au bourg, a
sauvé au péril de sa vie, dans l'aprèsmidi du dimanche 24 aoat, deux enfants
qui se baignaient dans la Laïta, près du
village de Bec-Nénez. Ces enfants étaient
Jean Audren, ftgé de 10 ans et François
Tostevin, du môme âge, qui allaient infailliblement périr, sous les yeux de leurs
mères, impuissantes à leur porter secours.
M. Blanchard n'en est d'ailleurs pas ii
son premier acte de courage. On se souvient que dans la nuit du dimanche 10
'août, M. Blanchard, n'écoutant que son
courage, se précipita dans une écurie en
flammes et réussit à en retirer deux
porcs, ainsi que le cheval du commissionnaire Le Grévellec.
Nous apprenons que M. le maire de
' Guidel a signalé ces beaux actes de dé^ vouement à l'autorité compétente.
.
Tribunal correctionnel de Quimperlé
Audience du ST août 19iS
Tréméven. — foups à ascendant. — Le 23
Juillet derriii'C, .légdu Henri, 37 ans, charron
au hourg de BannakîC, était en train de chargi^r, pour la'coiiiliiire A Puii domicile une
rn.ii liine
lidlre, iim se trouvait i-tMnisée au
vill.ige de i .oiitrùal i-n Tréméven, chez son
fj'T.-, quand ce dernu'r voulut l'opposer à son
enlèvement, .légoa tll.-i, qui se.dit propriétaire
de cette macl.ine, a repoussé plusieurs fois
son pt^re avec violence, lui occasionnant, par
des chutes répétées, des blessures assez
graves.
Le tribunal aprt's plaidoirie de M* Bot, considérant que ces faits sont de nature à mériter une peine affliclive ou infamante a renvoyé le prévenu devant le juge d'Instruction
compétant, et décerné contre lui mandat de
Dépôt.
Le prévenu a été aussitôt écroué à la mald'arrôt.
Riec. — Les iioivroh. — Fortement pris de
boisson, Grévellec Alexandre, 29 ans, et Le
Bras
Guillaumf,
ciilUvateurs à Rlec-surBélon, s'exerçaient en cliamp clos, en prévision
sans doute du grand concours de luttes
bretonnes qui aura lieu à Quimperlé le 7 septembre prociiain. Malheureusement Grévellec
ignorait tout des règles de la lutte ; et, se
voyant le plus faible, il mordit cruellement à,
l'oreille droite son adversaire.
Coût : 1 mois de prison et 50 fr. d'amende,
avec sursis pour la peine d'emprisonnement
seulement.
— Les outils du patron. — Tanguy Louis, 17
ans, domestique i\ Kerandréo en Riëc-sur-Bélon, a dérobé, en juillet dernier, des tenailles
et un marteau au sieur Nicolas, son ancien
patron. Il prétend, pour sa défense, que Nicolas était resté lui devoir une somme de cinq
francs, il n'en récolte pas moins six jours
d'emprisonnement avec sursis.
— Une brute. — Un solide gaillard de 20 ans,
le nommé Tanguy Valentin, s'est livré, le 7
juillet 1913, ù des voies de fait assez graves
sur la personne de Mme Fraval, cultivatrice à,
Kerdudal en T^iec-sur-Bélon, sa patronne,
parce qu'elle lui refusait de l'argent. Mme
Li'raval porte encore sur la main les traces •
d'une morsure que celte brute lui a faite. Un
mois de prison, avec sursis.
Mellac. - Les coups. — Le 23 juillet dernier,
les époux Crénan, débitant à, Pen-lan en Mellac, voyant l'heure de fermeture approcher,
voulurent faire sortir de leur débit un consommateur récalcitrant, le sfeur Le Roux
Yves, 50 ans, maçon môme commune. Mal
leur en prit, car rendu furieux, cet individu
d'une forte poussée lit rouler à, terre la
femme Crénan, et administra à son mari une
formidable raclée. Le l^oux s'est vu infliger 3
mois de prison avec sursis.
«î A chaqtie ••'••'r-:-.-'
tetnède. "
•
XSx-Meorétaire de mairie en correciioMinelle.
— Jean-BrandeLuporsi, 37 ans,
ex-secrétaire de mairie de Lorient, déjà
poursuivi devant la cour d'assises et condamné à un an de prison pour abus de
confiance en sa qualité de fonctionnaire,
a comparu mercredi matin devant le tribunal correctionnel pour détournement
d'une somme de 4.000 francs au préjudice
d'une maison de Nantes qui avait vendu
à la ville un rouleau compresseur et avait
confié le mandat de paiement acquitté à
Luporsi. Celui-ci a été condamné k huit
mois de prison, mais le tribunal a prononcé la confusion avec la peine précédente.
Q u i m p e r l é » — Marché du .29 Août. —
Taureaux, le kilo., o.no à 0.60 ; bœufs de
boucherie, 0.70àO.75; vaches de boucherie.
0.55 à 0.(50 ; bœufs de travail, ordinaire
bouvillons, 50 à GO fr. ; vaches laitières,
140 à 330; génisses, 125 ii310; chevaux, très
élevé ; porcs, 1.10 à 1.15 le kil. ; moutons,
0.90 à 0.95; veaux, 1.00 à 1.05 fr.; froment,
25.»» à 26.50 ; seigle, 18.»» à 19.»» ;
orge, 17.»» à 18.»» ; sarrasin, 18.»» à
19.»» ; avoine, 18.»» ii 19.»» ; pommes
de terre les 100 kil., 0.00 à 7.»» ;
beurre le kil., 1.80 i 2.50 ; œufs la douz.,
0.90 à 1.10 ; foin, les 500 kil, 30.»» à 38.»» ;
paille, les 500 kil., 29.»» h 35.»» ; son, les
iOO kil., 16.»» à 17.»» ; farine, 1 " qualité,
35.»» à 38.»» ; 2* qualité, 31.»» à 33 fr.
Manque d'Appélil
Manque d'appétit est ordinairement attribuable à quelque trouble de l'estomac ou du
foie. Quand voua'Tie pouvez pas inangcir, ou
quand les ulimenta vous réi)ugnent, prenez
chaque jour après vos repas de la Tisane américaine des Shakers.
Cet excellent remède végétal relève et fortifie les organes digestifs, aiguise l'appétit et
régularise tout l'organisme. Alors, non seulement vous mangerez vos aliments avec goût,
mais, plus important encore,- ils enrichiront
votre sang, nourriront votre corps, augmenteront votre force et votre vitalité, vous donnerobt .bonne mine, et vous vous sentirez et
porterez bien.
Sommaire du n» du 2 5 Août
Michel Geistdorfer, Lettres de Madame Cottu
à Lamennais ; Emmanuel Brousse, La Responsabilité des administrateurs publics; Marguerite Augagneur, Réflexions sur le Théâtre ;
Pierre Hamp, La Peine des Hommes (II);
Maurice Pottecher, Le Roi devenu ermite;
Henri Guilbeaux, Un précurseur du naturalisme
allemand.
Pages Libres. — P.-A. Dufrenne, Les Syndicats d'Instituteurs ; Albert Bazouin, L'Abandon des Carrières libérales.
A travers la Quinzaine. — Léon Werth,
Chiens de Vacances ; J. Ernest-Charles, La Vie
lilléraire ; Victor Augagneur, ancien ministre,
La Vie sociale ; Maurice Pernof, La Politique
étrangère ; Gaston Doumergue, ancien ministre, La Vie politique.
Revue des Revues, Memento Bibliographique, Correspondance, La Vie Curieuse. Le n"
1 fr. 50. Abonnements : Un an Paris, 20 fr. Province, 20 fr. Union postale 25 fr.
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+ est Guérie
De tous les fléaux qui s'abattent sur notre
pauvre humanité, il n'en est pas causant autant de ravages que la HERNIE. Combien de
personnes ont eu leur vie entière gâtée par
cette dangereuse infirmité. Combien d'autres,
mal conseillées, ayant eu recours à de mauvais
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devoir est d'informer nos lecteurs que M. A.
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le désespoir des malheureux qui en sont at
teints, leur causant parfois de vives douleurs
et constituant en tout cas pour la santé un réel
danger. Que de remèdes employés, mais hélas ;
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à base d'iodure, d'arsenic ou de produits chimii|ues épuisent l'organisme et fatiguent l'eslomac ; d'autres purement externes — pommades diverses, eaux spéciales, emplâtres,
etc. — ne peuvent avoir aucune action durable,
puisqu'ils ne purilîent pas le sang vicié cause
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Yves-Marie FOURNIS,
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Etude de M« Cachet, notaire
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venant s'ajouter a u x
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FALHUN François,
à Kergloirec en Rédéné par Quimperlé.
Quimper. — Le Royer Renée, femme Dauvet, 23 ans, pour vol de mouchoirs ù, la
femme Corcufl' est condamnée à 15 jours de
prison avec sursis.
Douarnenez. — Geltin Jean, 29 ans, marinpêclieur à Pouldavid, pour rébellion envers les
agents de la force publique, est condariiné à 6
jours de prison avec sursis et 5 fr. d'amende.
— Le Berre Jean, 29 ans, pour coups et
blessures sur la personne d'un agent est condamné a 8 jours de prison et 11 fr, d'amende.
Lorient
Terrible
accident
à Parsena,!.
—
Un terrible accident s'est produit mercredi soir dans l'arsenal. .loachim Le Guen,
31 ans, ouvrier manœuvre auxiliaire aux
constructions navales, sa journée terminée, voulut descendre le pont roulant du
parc à tôles de Lanester pour remettre
son « marron ». Le malheureux fit une
chûte, la tête la première, sur une cornière et r e s t a étendu sur le sol sans connaissance. Transporté à l'hôpital maritime, il
a subi l'opération du trépan. Son état est
très grave. Le blessé qui est originaire de
Languidic et habite Kerolé, est
marié et
père de trois enfants.
Ne publie que de l'inédit, chaque numéro
224 pages grand in-8», orné de croquis d'art.
Tribunal correctionnel de Çuimper
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DÉSIGNATION
PREMIER
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En la commiine de SCAER. Au lieu de TRÉ6ANAN
Art. t " . — tJne Maison d'habi-
t a t i o n couverte en ardoises comprenant au rez-de-chaussée le moulin et à l'étage une chambre, droits
d'eau et autres appartenances.
Art. 2. — L u petit Courlil, dé-
nommé Liors, d'une contenance de
5 ares 54 centiares.
I^e tout figurant au plan cadastral
de la commune de Scaër pour une
contenance de 72!) mètres carrés et
d'un revenu de 204 fr. 05.
Jouissance au 29 septembre 1913.
Mise à prix
par le tribunal
li.xée
4 . 0 0 0 fr.
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S'adresser pour traiter k M. BLONDEAU, chez M"^" LE MARTELOT,
place des Ecoles à Quimperlé, ou
audit notaire. •
Même
Etude
A
Art. r ' . — l ue liaison d'Iiabi-
l a l i o n à usage de c.omineroe, composée de 4 pièces au rez-dc-chaussée, 4 pièces à rcl.age et grenier,
ouvrant du nord sur la Grand'Rue
par une porte et 3 fenêtres au rezde-chaussée et 3 fenêtres à l'étage.
Art. 2. — Au midi de l'article précédent, une écurie et lemise, cour
avec passage par la petite ruelle en
face de la maison Kersulec.
Ces deux articles occupés par M.
Bernard, débitant.
Art. 3. — Au levant de l'article 1'''
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S'adresser pour traiter à M. BLONDEAU, chez Mme LE MARTELOT.
place des Ecoles à Quimperlé, ou
audit notaire.
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Ou imperlé
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Réserve de traiter avant l'adjudication. Pour tous renseignements
s'adresser audit M" PEYRON.
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licencié en droit, notaire à PontAven.
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30int rongestioiiii'-s, ne l'ont pas souffi'ir. Pour maintenir cettfe
jMiiiir harmonie liiiri • lom l organisme, il est nécfss;dre de tairelj
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Scafîr, et de IVI» Le BIhan, notaire
ii Plougastel-Saint-Germain.
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S t ^ l e
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Le l>imanche
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sera vendu à Kerbéronnet en la
commune de Bannalec, les meubles,
o b j e t s mobiliers et matériel d'exploitation, notamment :
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pressoir, moulm à pommes, barriques, équipage, une bonne j u m e n t
poulinière avec son poulain, un
cheval de 3 ans, une pouliche d'un
an, G bœufs, 4 vaches, 4 génisses,
3 veaux, 2 truies, 4 j e u n e s porcs,
4.000 kilos seigle, 1.500 kilos avoine,
3.000 kilos blé noir, pommes de
terre, pommes à cidre, betteraves
et quantité d'autres objets.
La vente aura lieu au comptant.
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S'adresser pour traiter à M. BLONDEAU, place des Ecoles, Quimperlé.
Et pour tous renseignements au
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peut, remplir ces conditions, parce qu'elle est composée dè
piailles, sans aucun poison ni produits chirai((ues, pai ce qu'elle
puriOe le sang, rétablit la circulation et décongestionne les
organes.
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Soury a leurs (lllettes pour leur assurer une bonne formation.
Les (lamos en priMuient pour éviter les migraines périodiques,
s'assurer di;s époqui's n-gulières et san.s douleur.
Les malades qui souffrent de Maladiim mlérieures, Suites de couclifs. Pertes hUinclwx, Métritan, l'ibrùmes, IlémorriKjies, ïi/wieH^vv ironveront la guérison en employant la Jouvence de l'Abbé Soury.
Celles qui craignent les accidents uu R E TOUR d'AGE doivent faire une cure avec
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placer, et éviter les maladies les.pins dangereuses.
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Cerlilié par l imprimeur.
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Mairie de Quimperlé.
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Agricole