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Le power trio émerge en 2011 des marécages du dirty south (de Paris). Nourrie à la double mamelle du vieux et de
l’encore plus vieux, la marmaille verolée titube immédiatement en direction d’un stoner polymorphe et putassier e
BIOGRAPHIE
Le power trio émerge en 2011 des
marécages du dirty south (de Paris). Nourrie à la double mamelle
du vieux et de l’encore plus vieux,
la marmaille verolée titube immédiatement en direction d’un stoner
polymorphe et putassier en diable,
entre le blues pour metalleux et
l’échappée shamanique. Leur premier EP, sorti en 2013, est parait-il
très sympa.
DISCOGRAPHIE
LIENS
EP «Oklahoma Swamp Monster», 2013
Facebook // facebook.com/Oklahoma.Swamp.Monster/
Bandcamp // oklahomaswampmonster.bandcamp.com/
YouTube // youtube.com/OklahomaSwampMonster
CONTACT Candice Vergès (Booking)
Association Mindcrusher
[email protected]
+33 6 37 24 30 58
PRESSE
« Pour faire plus simple, tu tartines un
Heavy Rock bien groovy et fat sur une
tranche de Stoner pachydermique, le
tout saupoudré de vocalises profondes
et vibrantes qui font plus Southern que
Billy Gibbons se faisant emmancher par
Phil Anselmo sur «Sweet Home Alabama». Et au fil des minutes, la surprise
n’en est que grandissante. »
Metal Impact, Février 2014.
« Il y a une certaine magie terrestre
présente dans la musique d’Oklahoma
Swamp Monster, amplifiée seulement
quand vous êtes treize pieds sous terre. » « Exaltant et puissant, Oklahoma
Swamp Monster a sans aucun doute
un son qui a tout pour réussir. »
Two Guys Metal Review, Novembre 2013.
« Le trio se permet de rajouter quelques
petits éléments ici et là variant le plaisir d’écoute. En témoigne la seconde
moitié Wizardienne de One Man Riot,
le guerrier et expéditif Poppin Pills On
The Time Machine (avec des bouts de
Motorhead dedans), les atmosphères
plombantes et horrifiques de Pallinghurst Morrow. Mais même sans ça, c’est
tellement rempli de bons riffs (Whyskey
Drinkin’ Women, Oklahoma Swamp
Monster) que t’es obligé de secouer
la tête et de te laisser prendre au jeu. »
Metalorgie, Juillet 2013.
« L’artwork/collage kitshouille de
monstres de séries B sympathique et
original, nous introduit de façon subtile dans l’univers des parisiens, décalé,
poussiéreux et gentiment halluciné. »
« Le style se prélasse intelligemment
entre les graisses stoner rock de Down
et Kyuss et les brumes psychotropes
de Black sabbath et Electric wizard. »
Thrashocore, Octobre 2013.
« On se retrouve dans un univers
conduit principalement par un
heavy rock vintage, coincé au début des 70’s, avec quelque chose de
psychédélique auquel s’ajoute une
atmosphére nourrie d’un mysticisme
un peu déglingué. »
Metal France, Octobre 2013.

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