spécimen - Le Petit Théâtre
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spécimen - Le Petit Théâtre
le petit théâtre présente SPECIMEN d’Anne-Marie Collin Spectacle jeune public dès 9 ans Musique de Claude Clin Mise en scène d’André Loncin Scénographie et costumes d’Emmanuelle Sage Assistée d’Inge Zorn Lumières de Rodolphe Hazo Maquillage de Maud Baron Interprétation : Anne-Marie Collin, Olivier Ho Hio Hen et Jonathan Pinto-Rocha. Coproduction le petit théâtre – Ville de Pontault-Combault Coréalisation Théâtre Dunois/Paris Avec l’aide du Centre culturel Le Moustier de Thorigny-sur-Marne Et du Théâtre des Passerelles de Pontault-Combault Remerciements à la Ville de La Queue-en-Brie le petit théâtre est conventionné par le ministère de la Culture/DRAC Île-de-France, et subventionné par le Conseil général de Seine-et-Marne. La compagnie est en résidence à Pontault-Combault. Contact Edwige DUCHÊNE : 01 64 69 01 06 / 06 03 44 67 89 [email protected] SPECIMEN DOSSIER 1/7 Contact : Edwige DUCHÊNE – 01 64 69 01 06 / 06 03 44 67 89 www.le-petit-theatre.fr NOTRE CALENDRIER Ce projet est proposé au Collectif 77 et au Groupe des 20. 2011 De février à mai 2011 Rédaction du texte « Spécimen ». Dans le cadre d’une classe découverte théâtre, Anne-Marie Collin va explorer le thème de l’identité avec une classe de CM2 de l’école Jean Rostand. Un travail d’écriture sur le même thème sera proposé à un groupe de résidents du Foyer Résidence pour Personnes Agées Georges Brassens à Pontault-Combault. Juin 2011 Conception de la scénographie, et composition de la musique. Du 29 juin au 13 juillet 2011 Première période de répétitions au Théâtre des Passerelles à Pontault-Combault avec l’équipe au complet : le compositeur, la scénographe, et le créateur lumière. Une séance de travail pourrait être ouverte aux résidents/écrivains du FRPA. De mi-juillet à fin août 2011 Fort de cette première confrontation au plateau, construction du dispositif scénique et des accessoires. Le cas échéant, modifications du texte et enregistrement de la bande son. Du 5 au 17 septembre 2011 Deuxième période de répétitions au Centre Culturel le Moustier à Thorigny-surMarne. A cette étape du travail, des rencontres avec les classes de collège pourraientêtre envisagées. Du 24 octobre au 7 novembre 2011 Dernière période de répétitions et création lumière Les 8, 9 et 10 novembre 2011 Création du spectacle au Moustier à Thorigny-sur-Marne. 5 représentations. 2012 Du 17 au 29 janvier 2012 14 représentations au Théâtre Dunois à Paris (13e) Les 30 et 31 mars 2012 Programmation au Théâtre des Passerelles à Pontault-Combault. Entre octobre et décembre 2012 3 représentations à l’Espace culturel « Les 26 couleurs » de Saint-Fargeau/Ponthierry. SPECIMEN DOSSIER 2/7 Contact : Edwige DUCHÊNE – 01 64 69 01 06 / 06 03 44 67 89 www.le-petit-theatre.fr spécimen [spesimɛn] nom masculin ETYM. 1662 ◊ latin specimen, de species Famille étymologique dépit 1 2 3 Individu qui donne une idée de l’espèce à laquelle il appartient; unité ou partie d’un ensemble qui donne une idée du tout. échantillon, 2. exemplaire, exemple, modèle, représentant. « un charmant spécimen de ce style Pompadour si bien nommé rococo » (Balzac). Un parfait spécimen du macho. Exemplaire ou feuillet publicitaire (d’une revue, d’un manuel). Il est interdit de revendre les spécimens. Fam. et iron. Personne. type, zèbre. Un drôle de spécimen. phénomène. Petit Robert 2008 IDENTITE ? Le fait d’être ce que l’on est et rien d’autre que ce que l’on est – L’IDENTITE –, cette catégorie qui tient de l’évidence, est pourtant impossible à cerner tant est complexe le lacis idéologique dans lequel elle est insérée : identité nationale, ethnique, biologique, familiale, psychologique… Étymologiquement l’identité (du latin idem : le même) est ce qui reste le même au cours du temps. C’est ce que Platon, appelait l’essence de ce qui existe (les « étants »), c’est-à-dire ce qui ne concerne pas leur apparence – ce que l’on perçoit par les sens – mais leur réalité « essentielle » qui est invisible et immuable… « Répomdre à la questiom « qui », c’est racomter ume histoire ». « Ce que » je suis, d’autres peuvemt em décider, et em décidemt d’ailleurs quotidiemmenemt. Mais savoir « qui » je suis est ume temtative d’autodéfinition qui me revient en propre : elle se rejoue dams chacum des récits que j’emtrepremds de noi-même. » Hannah ARENDT SPECIMEN DOSSIER 3/7 Contact : Edwige DUCHÊNE – 01 64 69 01 06 / 06 03 44 67 89 www.le-petit-theatre.fr Riem m’est précaire conne vivre Riem conne être m’est passager C’est um peu fomdre conne le givre Et pour le vent être léger J’arrive où je suis étranger Le fou d’Elsa Louis Aragon LES PERSONNAGES : La femme adulte – fonctionnaire : Pragmatique, mais tiraillée entre ce que lui « permet » d’exprimer sa fonction et ses sentiments personnels, ses émotions. Déstabilisée par une situation qui lui échappe, par des pensées nouvelles, contradictoires… L’adolescent étranger – sans-papiers : Comment s’exprimer lorsqu’on ne parle pas – ou à peine – la langue du pays où on arrive ? Comment se faire comprendre et comment comprendre ce qu’on attend de nous ? Le super héros – l’ami imaginaire : Personnage imaginaire qui permet de traduire, d’exprimer les rêves, les espoirs et les peurs du personnage adolescent. Contrepoint poétique et burlesque à une situation « réelle » difficile, conflictuelle. Ces trois personnages aux univers très contrastés permettront de tisser un dialogue fait de langage courant, de langue de bois administrative, de langues étrangères et de langue poétique. LA SITUATION : Le personnage féminin pourrait avoir à mener une conférence sur le « délicat » problème des sanspapiers, conférence qui ne se déroulerait pas comme elle l’aurait prévu. Par exemple : le « spécimen » qu’on lui a attribué et au sujet duquel elle a préparé sa conférence n’est pas celui qu’elle attendait ? D’où déstabilisation, fragilisation du personnage et difficulté de communication avec l’adolescent qui ne parlerait que quelques mots de français. Le personnage de l’adolescent qui ne parlerait le français qu’avec très grande difficulté lorsqu’il s’adresse à l’adulte, pourrait le parler tout à fait couramment lorsqu’il s’adresse à son ami imaginaire. Il pourrait aussi s’exprimer dans une langue étrangère (le chinois, puisqu’Olivier est d’origine chinoise ?). Le personnage du super héros – l’ami imaginaire, pourrait « traduire » ce qu’exprime l’adolescent lorsqu’il ne parle pas français. Comme il s’agira d’un super héros inspiré de la culture américaine, il pourrait aussi s’exprimer en anglais. Il pourrait chanter en s’accompagnant d’un instrument (guitare électrique ?). L’ami imaginaire serait tout d’abord invisible aux yeux du personnage adulte, mais il pourrait lui « apparaitre » à un moment donné. Il m’y a pas d’ailleurs Où guérir d’ici. Du domaine Eugène Guillevic SPECIMEN DOSSIER 4/7 Contact : Edwige DUCHÊNE – 01 64 69 01 06 / 06 03 44 67 89 www.le-petit-theatre.fr […] le processus idemtitaire est intrinsèquement lié à la modernité. Dans une première phase historique, notamment à partir du XVe siècle, celui-ci se forme à partir du haut de la société, avec le développement de la bureaucratie étatique, confrontée à des individus déracinés ou à des communautés sans territoire : l'identification administrative permet de les contrôler. Ainsi, c'est autour d'une confusion inaugurale que naquirent les papiers d'identité, plus tard généralisés à l'ensemble de la population et aux lourdes conséquences. Toute la réalité d'une personne était en effet censée pouvoir être concentrée en quelques papiers, l'identité étant perçue comme une donnée simple et contrôlable, alors qu'elle est, à l'inverse, extraordinairement complexe, mouvante, insaisissable. La vision simplificatrice de l'identité est compréhensible, et même nécessaire, du point de vue de l'État. Le problème est qu'elle s'est rapidement étendue aux points de vue individuels : les papiers sont apparus comme résumant l'essentiel de la personne. […] L’idemtité, ume mouvelle religiom ? Jean-Claude KAUFMANN L'identité : qui suis-je ? coordonné par Sylvie GRUSZOW Editions Le Ponnier/Cité de sciemces et de l’imdustrie, 2006. 6 mars 1938. À la préfecture de Police pour un changement de carte grise. Files d’attente mornes et résignées devant des guichets où aboient des femmes laides et hargneuses. On rêve d’un bon tyran qui supprimerait d’un trait de plume état civil, carte d’identité, passeport, livrets de toutes sortes, casier judiciaire, bref tout ce cauchemar de papier dont l’utilité — à supposer qu’elle existe — est sans rapport avec le travail et les vexations qu’elle coûte. Il est vrai pourtant que rarement une institution subsiste sans le consentement et même la volonté positive du grand nombre. Ainsi la peine de mort n’est pas une sanglante survivance des temps barbares ; toutes les enquêtes d’opinion publique ont prouvé que la grande majorité des gens y demeurent aveuglément attachée. Quant à la paperasserie administrative, elle doit répondre à une exigence du grand nombre, ou plutôt à une peur élémentaire : la peur d’être une bête. Car vivre sans papiers, c’est vivre comme une bête. Les apatrides, les enfants adultérins ou naturels souffrent d’une situation qui n’a de réalité que de papier. Ces réflexions me donnent l’idée d’un petit apologue que je me fais. Il était une fois un homme qui avait eu une escarmouche avec la police. L’affaire terminée, il reste un dossier qui risque de ressurgir à la première occasion. Notre homme décide donc de le détruire et s’introduit à cette fin dans les locaux du Quai des Orfèvres. Naturellement, il n’a ni le temps ni le moyen de retrouver son dossier. Il faut donc qu’il supprime tout le « sommier », ce qu’il fait en incendiant les locaux à l’aide d’un bidon d’essence. Ce premier exploit couronné de succès et sa conviction que les papiers sont un mal absolu dont il convient de délivrer l’humanité l’encouragent à persévérer dans cette voie. Ayant converti sa fortune en bidons d’essence, il entreprend la tournée méthodique des préfectures, mairies, commissariats, etc., incendiant tous les dossiers, tous les registres, toutes les archives, et comme il travaillait en solitaire, il était imprenable. Or voici qu’il constate un phénomène extraordinaire : dans les quartiers où il a accompli son œuvre, les gens marchent courbés vers le sol, de leurs bouches s’échappent des sons inarticulés, bref ils sont en train de se métamorphoser en bêtes. Il finit par comprendre qu’en voulant libérer l’humanité, il la ravale à un niveau bestial, parce que l’âme humaine est en papier. Le Roi des Aulnes Michel TOURNIER Pages 45-46, Éditions Gallimard, 1970. SPECIMEN DOSSIER 5/7 Contact : Edwige DUCHÊNE – 01 64 69 01 06 / 06 03 44 67 89 www.le-petit-theatre.fr Est-il sûr qu’existe um soi stable qui serait toujours le nêne ? Conne l’écrivait nélamcoliquenemt Beckett dams « Cette fois », « Après ceci tu m’as plus été le nêne », avamt d’ajouter, « le nêne… que qui ? » LA DISTRIBUTION Anne-Marie COLLIN – Auteur et comédienne Après une formation de comédienne au Conservatoire Royal de Liège, elle descend à Paris pour y suivre Les Ateliers de l’Acteur-Créateur dirigé par Alain Knapp. En tant que comédienne, elle a interprété Brecht, Marivaux, Molière, Pinter, Botho Strauss… En 1987, elle crée la compagnie Le Petit Théâtre qu’elle dirige avec André Loncin. Elle participe activement à la conception, à l’élaboration et à l’interprétation des spectacles. En 1993, elle écrit et joue son premier texte : Quelqu’un qui travaille. Depuis, la compagnie a donné près de 3000 représentations de ses différents textes, dont certains, comme Igloo, Motus et bouche cousue, et La Remise tournent toujours. Elle a obtenu plusieurs bourses d’aide à la création du Centre National du Livre. Spécimen est son treizième texte monté par la compagnie. Olivier HO HIO HEN - Comédien Comédien d’origine coréo-sino-martiniquaise, il puise son inspiration au travers de ce mélange incroyable de cultures. C’est grâce notamment à sa « différence » qu’il intègre la compagnie AH ! en 2006 pour jouer les 12 Hommes en colère de Réginald Rose sur Avignon (tournées en France, Suisse, Martinique…). Avide de nouvelles expériences, il s’essaie un temps à la cascade, aux arts du cirque avec la compagnie Le temps d’un Rêve avec laquelle il monte des spectacles pour enfants, au jeu du Clown avec Claude Viala (formée chez Jacques Lecoq). Il joue Fadinard dans Le chapeau de paille d’Italie d’Eugène Labiche, ou Slender dans Les joyeuses Commères de Windsor de Shakespeare, et Arlequin dans L’Île des esclaves de Marivaux. Après avoir incarné le personnage de Pierrot le Fauve dans Monsieur Salomon, il repart pour une deuxième collaboration avec Le Petit Théâtre. Jonathan PINTO-ROCHA - Comédien Il a commencé par le chant lyrique au conservatoire du 9e arrondissement, puis s’est mis à la comédie au conservatoire du 20e arrondissement. Comédien pluridisciplinaire, il se distingue aussi bien par le jeu que par le chant et les instruments de musique tel le piano, la guitare, le ukulélé, la guimbarde ou la contrebassine. Formé ensuite à l’école de l’Éponyme, il y revient régulièrement en tant qu’intervenant théâtre. Depuis 2008, il participe à plusieurs créations de la Compagnie des Songes, qu’il coécrit, et dans lesquelles il joue et chante. Il interprète Trivelin dans L’Île des esclaves de Marivaux, pour la compagnie Basalte. Spécimen est sa première collaboration à un spectacle du Petit Théâtre. Arthur RIMBAUD « Je est un autre » Lettre à Georges Izambard (13 mai 1871) SPECIMEN DOSSIER 6/7 Contact : Edwige DUCHÊNE – 01 64 69 01 06 / 06 03 44 67 89 www.le-petit-theatre.fr L’ÉQUIPE Claude CLIN - Compositeur Il fait ses études de solfège et piano au Conservatoire de Bruges (de 7 à 18 ans). Adolescent, il entame en autodidacte sa déformation en étudiant l’harmonie jazz et la composition. Avec Frédéric Guerbert, il fonde le duo de chanson française Deux Figurants pour lequel il est compositeur, arrangeur et pianiste. Il compose régulièrement pour le spectacle vivant : Retire ta main, Femmes de Collection de Cécile Bayle, Calor in Nueva York de Lorca à l’Opéra de Caen (spectacles musicaux), Les Excuses de Victor de la Compagnie Pagai (spectacle jeune public). Deux bandes-son de courts-métrages d’école : Ange et Vampire, L’Homme à l’harmonica réalisés en 2003 et 2006. Il travaille aussi pour la Radio (génériques pour l’Atelier de création du réseau Radio France sud-ouest) : bande-son de la fiction sonore 5.1 réalisée par Pascal Babin, Le Dernier Jour d’un condamné de Victor Hugo (spectacle audio). Depuis 2005, il compose régulièrement pour Le Petit Théâtre. Rodolphe HAZO - Régisseur général Rodolphe Hazo, créateur-lumières. Il étudie les techniques du spectacle (son, lumière, décor) au STAFF de Nantes ; stage au CFPTS de Bagnolet. Technicien lumière sur les festivals d’Aix, Carcassonne, Grande Halle de la Villette. Il continue son parcours professionnel avec des régies lumière et son dans le domaine institutionnel : ADS, Master Light, Forum Assistance, CQFD Vidéo, Extension Vidéo. À partir de 1989, il revient à la création théâtrale avec le Théâtre du Passeur, la Cie Françoise Pillet, la Cie Erzuli, la Cie Serge Tranvouez, la Cie Fa 7 et Le Petit Théâtre : régie générale, création lumière et son, régie lumière et son de tournée. De 1990 à 1993 : régie générale du Festival international de la marionnette à Dives-sur-Mer. De 1993 à 1998 : direction technique et régie générale du Festival de Pierrefonds, proposant théâtre, jazz et musique classique. Depuis 1989, il crée les lumières de tous les spectacles du Petit Théâtre. André LONCIN – Metteur en scène Après une formation de comédien à l’INSAS à Bruxelles, André Loncin descend à Paris pour y suivre Les ateliers de l’ActeurCréateur dirigé par Alain Knapp. En 1983, à la demande d’Alain Knapp, alors nommé à la direction de l’École du TNS de Strasbourg, il reprend la direction des Ateliers de l’Acteur-Créateur qu’il dirige de 1983 à 1988. Parallèlement, il traduit Goethe (Les Complices). Il traduit et met en scène La Cruche cassée de Kleist. Il met en scène Tchekhov (La Demande en mariage ; Une noce ; L’Ours), Racine (Les Plaideurs), Strindberg (La Plus Forte). En 1987, il crée la compagnie Le Petit Théâtre, en collaboration avec Anne-Marie Collin. Il y assure la mise en scène de toutes les créations – jeune public et tout public – parmi lesquelles : L’Amant de Pinter, La Nuit juste avant les forêts de Koltès, Du bout des Douas de Queneau, Un été indien de Capote, Quelqu’un qui travaille, Igloo, L’Ogre de Barbarie et Motus et bouche cousue d’Anne-Marie Collin… Avec la Compagnie Caméléon de Limoges, il met en scène La Remise – premier texte tout public d’Anne-Marie Collin. En plus des créations, il anime régulièrement des ateliers d’improvisation théâtrale dans des contextes variés. Il anime également – en partenariat avec le rectorat – divers ateliers de lecture à voix haute dans des établissements scolaires (écoles élémentaires et collèges), ainsi que divers ateliers de formation à la lecture auprès du personnel d’animation des médiathèques. Emmanuelle SAGE-LENOIR – Scénographe/Décoratrice Après des études de dessin aux Beaux-Arts de Paris, elle obtient en 1988 son diplôme de scénographie à l’ENSATT de Paris dite « Rue Blanche ». À partir de 1988, elle crée en Aquitaine, Poitou-Charentes, Paris et région parisienne, plus de quarante décors et/ou costumes pour le théâtre ou la danse, avec notamment : Patrick Collet, Armand Eloi, Maxime Bourotte, Jean Darie, Marie Rouvray, Patrick Henniquau, Jean-Jacques Faure, Gerry Defraine, Céline Caussimon, Jean-Louis Levasseur, Michel Mourterot, Philippe Martin, Alain Sabater, Stéphane Guignard, Bénédicte Lafond, Violette Campo, Sylvain Friedman, Raphaëlle Moussafir… Depuis 1994, elle scénographie tous les spectacles du Petit Théâtre et développe en particulier des espaces de jeu à hauteur d’enfance, structures autoportantes intégrant scène et jeune public. Inge ZORN - Costumière Après des études de designer textile (Reutlingen - Allemagne), elle suit, en France, différents stages : au Capitole de Toulouse (couture) avec Patrick Henniquau et Pascale Blaison (L’acteur et la marionnette), avec Patrick Teroitin (Le costume grotesque). Elle travaille aussi pour l’Opéra Bastille (Paris), le Moulin Théâtre (Charente-Maritime), le Théâtre du Passeur (Aquitaine)… Elle anime régulièrement des ateliers de pratique artistique dans le cadre scolaire et extrascolaire. Depuis 1995, elle réalise la plupart des costumes et accessoires pour les créations du Petit Théâtre. SPECIMEN DOSSIER 7/7 Contact : Edwige DUCHÊNE – 01 64 69 01 06 / 06 03 44 67 89 www.le-petit-theatre.fr LA COMPAGNIE Le Petit Théâtre a été créé en mars 1987. Il a monté quatorze spectacles pour jeune public et huit spectacles tout public. Il a donné plus de 4600 représentations en France et à l’étranger. Depuis 1991, le Petit Théâtre est conventionné par le ministère de la Culture. Il est en résidence à Pontault-Combault depuis septembre 2008 et subventionné par le Conseil Général de Seine-et-Marne. Les créations du Petit Théâtre 2010 2009 2008 2005 2002 2001 2000 1999 1997 1996 1995 1994 1993 1992 1990 1989 1988 1987 Les cervelles molles de Gaston Couté Motus et Bouche cousue d’Anne-Marie Collin La Remise d’Anne-Marie Collin Le Journal d’un fou de Gogol Monsieur Salomon d’Anne-Marie Collin (Ce texte a bénéficié d’une bourse du Centre National du Livre) Le Cercle de craie caucasien de Bertolt Brecht Dormir debout d’Anne-Marie Collin Le Roi balayeur d’Anne-Marie Collin L’Arche de Noé d’Anne-Marie Collin Un été indien de Truman Capote Le Jardin d’Anne- Marie Collin (Ce texte a bénéficié d’une bourse du Centre National du Livre) Du Bout des Douas de Raymond Queneau L’Ogre de Barbarie d’Anne- Marie Collin Igloo d’Anne-Marie Collin La Nuit juste avant les forêts de Bernard-Marie Koltès Le Pays de Cocagne d’Anne-Marie Collin Les Histoires de Rosalie d’Anne-Marie Collin (d’après le livre de Michel Vinaver) Quelqu’un qui travaille d’Anne-Marie Collin Backe Backe Kuchen d’André Loncin (d’après Hänsel et Gretel des frères Grimm) Y a-t-il des tigres au Congo ? de J. Bargum et B. Alfors Comment Wang-Fô fut sauvé de Marguerite Yourcenar Cantilène de Roland Dormans Le Carnaval d’Arlequin (d’après le tableau de Miro) L’Amant d’Harold Pinter L’Enfant de l’Étoile d’Oscar Wilde Le répertoire des lectures/spectacles du Petit Théâtre Jeune public • • • • • • • • Chocolat littéraire, lecture/spectacle d’albums sur le thème de la gourmandise. L’Enfant d’Hiroshima d’Isoko et Ichiro Hatano Les Garennes de Watership Down de Richard Adams L’Île au trésor de R. L. Stevenson Que sont nos amis devenus ? Anthologie de textes du Moyen-Âge La Semaine de Ferme-l’œil de Hans Christian Andersen Le Tour du monde en 80 jours de Jules Verne. Tremolo ma non troppo, lecture/spectacle d’albums sur le thème de la musique. Tout public • • • • • • • • • • À lire la nuit de Seamus Deane Diadorim de Joao Guimaraes Rosa Les Mémoires d’Hadrien de Marguerite Yourcenar Petit Arbre de Forrest Carter La Pluie de néon de James Lee Burke Soie d’Alessandro Baricco Terre des oublis de Duong Thu Huong Une soirée à Morbacka de Selma Lagerlöf Un loup est un loup de Michel Folco Terre des hommes d’Antoine de Saint-Exupéry