hot springs

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www.preste.ca
AKUMA
ALFA ROCOCO
ANAÏS
ANDRÉ
ANONYMUS
ARSENIQ 33
BABYLON CIRCUS
BÉTA
BONJOUR BRUMAIRE
CARACOL
CHRISTOPHE MALI
DANY PLACARD
DIRTY TRICKS
DOBACARACOL
GRIMSKUNK
HOT SPRINGS
IMPOSS
JOSEPH ARTHUR
IVY
KODIAK
LA RUE KÉTANOU
LES ÉKORCHÉS
LES TROIS ACCORDS
NUMÉRO#
OMNIKROM
PAYZ PLAY
RUDY CAYA
SUBB
THE SAINTE CATHERINES
TRYO
VULGAIRES MACHINS
XAVIER CAFÉÏNE
Hot Springs ne veut pas être votre ami sur Facebook. Le groupe
de Montréal se fout de votre coupe de cheveux ou de ce que
votre blog a à dire. Hot Springs veut vous déstabiliser complètement.
Alors que de plus en plus de groupes essaient de copier-coller les tendances en vogue, Hot Springs ose amener une nouvelle approche, un nouveau son. Ils laissent le danse punk et
les autres saveurs du jour mordre la poussière, et se réinventent complètement avec ce premier album complet : Volcano.
Le résultat ? Un amalgame de bijoux pop avec du mordant,
d’hymnes rock qui sont tout sauf primitifs, de ballades qui ne
font pas dans la dentelle, des envolées psychédéliques qui vont
certainement laisser leur marque, et oui, on peut même danser là-dessus ! Leur premier simple Headrush brouille les lieux
communs : on y retrouve autant de sonorités hard rock des
années 70 (à la Heart) que la sueur et le sang qu’on associe généralement aux Yeah Yeah Yeahs. Tout ça en restant bien loin
de tous ces groupes qui viennent de découvrir Gang Of Four et
qui pullulent sur la blogosphère aujourd’hui.
Chaque pièce de l’album comporte autant de perles linguistiques
que d’harmonies vocales créatives provenant directement des
tripes de la chanteuse Giselle Webber. Des pièces comme Tiny
Islands font écho à Black Mountain pour la nouvelle approche
psychédélique, en sortant du moule facile de «la chanson de
deux minutes» et en s’emportant plutôt dans une mélodie noire
et épique. D’autres chansons, telles Cellophane et Pink money
vous frappent au visage comme un bas rempli de sous noirs et
combinent parfaitement dégaine rock et structure sonore purement pop. Le côté sophistiqué du groupe touche particulièrement dans la pièce Fog and the Horn et transperce les coeurs
les plus endurcis. Une pièce qui donne la chair de poule et
est certaine de captiver, peu importe qui y tend l’oreille. Tout
comme les Besnard Lakes et Malajube, Hot Springs trône parmi
les groupes les plus excitants de la deuxième vague de la scène
musicale montréalaise. Volcano domine la houle et se place
parmi les meilleurs albums de 2007.
Hot Springs a fait paraître son premier EP, Rock partouze, de
façon indépendante en 2005. Cette première parution nous introduit à cette orgie de genres qui caractérise le groupe, où
la pop règne ici en maître. Le groupe a fait face à plusieurs
changements avant d’en arriver aux joyaux qui se retrouvent
sur leur premier album complet. En 2006, la batteuse Karine
Lauzon a déposé ses baguettes pour se dédier à sa famille et a
cédé sa place à Anne Gauthier, batteuse aguerrie connue depuis
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longtemps du milieu musical montréalais. Elle a tout de suite
développé une grande complicité musicale avec le bassiste du
groupe, Frédéric Sauvé. Paradoxalement, alors que la section
rythmique s’est solidifiée, le guitariste Rémi Nadeau-Aubin a
commencé à développer des arrangements plus aériens. Giselle Webber n’est pas non plus étrangère à ces changements,
puisqu’elle a exploré un registre beaucoup plus sombre, avec
des compositions qui laissent part au pop, tout en y assénant
pas mal de références coup de poing.
L’album a été réalisé par Jonathan Trimble Cummins (Bionic,
Tricky Woo) et enregistré au studio Breakglass par le chanteur
des Besnard Lakes, Jace Lasek (Wolf Parade, Land Of Talk) et
des enregistrements additionnels ont été effectués par David
Bryant (Godspeed! You black Emperor, Jackie O Motherfucker)
au studio The Pines. Ensemble, ils ont produit un album qui
oppose un certain nombre d’adjectifs : léger et noir, épique et
concis, diabolique et divin. Pas une mince affaire si l’on se fie
à la plupart de leurs contemporains, pour qui un album est le
fait d’ajouter des sons entre deux ou trois simples. Mais disons
simplement que les Hot Springs font fi des conventions. Les
dernières prises de son et le mixage final de l’album ont eu
lieu à Farnham dans La Petite Église (aussi ancien lieu de culte
franc-maçonnique) sous l’oeil bienveillant de Mark Lawson (Arcade Fire, Final Fantasy, The Unicorns).
L’album est une chose, mais Hot Springs prouve que ça n’est
pas qu’un écran de fumée : le groupe prend aussi tout son
sens en prestation. Si vous ne nous croyez pas, prenez deux
secondes et «googlez» leur nom : vous allez voir que pas mal
de monde écume de la bouche à la simple évocation de leurs
performances. Aucun spectacle n’est similaire à un autre (parfois ils sont saoûls, parfois non) et le consensus général est que
le groupe semble toujours à deux doigts de sombrer dans un
chaos total, mais réussi toujours brillamment à maintenir un
délire harmonieux. Un scribe du mensuel torontois Exclaim!,
qui les a vus lors de l’édition 2007 du festival NXNE, a écrit :
«Ils ont sans contredit livré la prestation la plus marquante du
festival et sont dorénavant mon nouveau groupe rock préféré.
Leur énergie féroce et leur performance de feu sont restées
sans précédent.» Hot Springs, live, provoque et choque et la
personnalité de Webber, sur scène, ne fait pas de quartiers. Elle
est aux commandes de la scène, possédée par on ne sait quoi,
vous crache les paroles au visage en martelant les cordes de
sa guitare comme si celles-ci venaient de lui prendre une partie
d’elle-même.
Volcano est un volcan qui refuse de se laisser guider par les
palmarès ou les modes vides et esthétiques. La mission des
Hot Springs est simple : ils veulent apporter ce qui, aujourd’hui,
manque terriblement à l’industrie de la musique. Ils veulent une
révolution et ils resteront en ébullition tant qu’ils ne l’auront
pas obtenue.
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Origine
Formation
Genre musical
Discographie
Label
Références scéniques
Prix et distinctions
HOT SPRINGS
Montréal (Québec)
Giselle Claudia Webber : chant, guitare
Rémy Nadeau-Aubin : guitare
Frédéric Sauvé : basse
Anne Gauthier : batterie
Rock alternatif
Volcano (2007)
Rock partouze (2005)
Aquarius Records
Dounia Mikou (Promotion et relations de presse)
514-998-9350 | [email protected]
150 spectacles (Canada, États-Unis) incluant :
> Canadian Music Week (2008, 2007)
> South by Southeast (2008, 2007)
> CMJ (2007)
> North by Northeast (2007)
> Nomination «Album Indie Rock de l’année» pour l’album
Volcano, Gala GAMIQ (2008)
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