bulletin n 18 sept 05

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bulletin n 18 sept 05
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Une Assemblée Générale pas comme les autres
Par divers côtés l’assemblée Générale du 6 août 2005 s’est distinguée des précédentes.
D’abord, elle marquait le trentième anniversaire de la création de l’association. C’est dire la solidité de l’édifice à travers vents et marées
politiques
Ensuite, tout le monde a noté un fait marquant : la venue de M. le Maire et de M. BENTAJOU Conseiller Municipal, lesquels
répondant à nos invitations, étaient accompagnés de Messieurs GLOMOT et DRUILLE Adjoints, de M. BROUSSE secrétaire général, ainsi que
de M.BANCAREL
Après 2 ans d’absence, quelle est l’exacte signification de ce changement ? Question que se posent les responsables de
l’association et ceux qui ont entendu le flot de compliments délivré ici et là par le Maire à AGATHE
Virement de bord ? Sans doute. Nous n’étions pas habitués à de pareils compliments en provenance du Premier Magistrat de la ville
Désir de répondre enfin favorablement et concrètement à nos justes doléances ? C’est moins évident.
En effet, l’intervention de M. le Maire depuis la tribune, ne nous a pas donné l’impression de répondre précisément à nos questions
précises
Nous n’avons entendu qu’un discours maintenant bien rodé, celui que le Maire prononce de temps en temps devant les comités de
quartier ;
Mais, aujourd’hui, là n’est pas l’essentiel. Nous pouvons accorder l’excuse d’une longue période sans contact. Les promesses de
rencontres ultérieures, ( comme autrefois ?), de contacts à divers niveaux, sont beaucoup plus importants.
Comme nous l’avons toujours soutenu, il faut dialoguer pour se comprendre et faire coïncider les réponses du Maire avec les attentes
de nos adhérents ! Nos actions, quelles qu’en soient les formes, n’ont d’autre but que de faire aboutir les dossiers dans un sens favorable à la
ville et à ses habitants
On peut donc compter sur nous pour rendre ces rencontres fructueuses !
Enfin, nous avons noté que l’assistance était moins fournie que l’année dernière. Pour quelles raisons ? Elles sont sûrement nombreuses :
du changement de date qui n’a pas permis de réunir les vacanciers de juillet et d’août, à une erreur de publication de cette date, cause
d’hésitations, en passant par les raisons personnelles des adhérents qui ont bien voulu nous demander d’excuser leur absence
L’affluence à notre assemblée générale est étroitement surveillée. Il est donc important d’assister à cette manifestation, car certains
la considèrent comme significative. Il faudra s’en souvenir.
Association agréée pour l’Urbanisme et l’Environnement. Elle défend aussi notre Patrimoine communal et notre qualité de la Vie (Bruit, Sécurité, Hygiène et
Propreté, Circulation Stationnement) les problèmes des Impôts locaux. L’Association peut, en outre, apporter une aide à ses adhérents sous forme de conseils ou
d’assistance.
Adresse postale : B.P.909 – Le Grau – 34 304 AGDE Cedex -Permanences tous les samedis matin de 10 h30 à 12 heures à son siège
social 2 rue de la poissonnerie, centre Historique de la cité à AGDE ville
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ASSEMBLEE GENERALE
Régulièrement convoquée par voie de Presse conformément à l’article 17 des statuts, cette assemblée s’est tenue le samedi six août deux
mille cinq, dans la salle du Palais des Fêtes, rue Brescou à AGDE.
Elle était présidée par le Président de l’Association Jean RAVAILLE
OUVERTURE et BIENVENUE
A neuf heures quinze, le Président déclare l’Assemblée Générale ouverte. Il souhaite la bienvenue à toutes les autorités présentes et aux
adhérents, anciens ou nouveaux.
IRENOUVELLEMENT DU CONSEIL D’ADMINISTRATION.
Conformément à l’article 10 des statuts, cette année, il n’y avait pas lieu à renouvellement du tiers du Conseil.
Toutefois, en vertu de l’article 11, il a été demandé à l’Assemblée Générale de ratifier la cooptation de
Madame Anne COMBE CHAMBELLAN et de Monsieur Henri GLEIZES
De même, a été soumise au vote de l’Assemblée la candidature de Monsieur Claude DUPRE
L’Assemblée a accepté, à l’unanimité, la ratification des cooptations ainsi que la désignation de M. DUPRE comme nouveau membre du C.A.
II - LES RAPPORTS
21 - LE RAPPORT FINANCIER par le Trésorier
Présentation, discussion et vote.
Le Trésorier présente les comptes de l’exercice 2004 visés et certifiés exacts par le commissaire au compte. Ces comptes ont été arrêtés en
recettes à
8.636.61 euros
Dépenses à
7.788.61 euros
Dégageant un excédent de
848 euros
Les bilans détaillés sont tenus à la disposition des adhérents à jour de leur cotisation, sur simple demande.
Soumis au vote, le rapport financier de l’Association pour l’exercice 2004, est adopté à unanimité.
22 - LE RAPPORT MORAL et D’ACTIVITE 2005
D’une année à l’autre, nous nous efforçons de faire en sorte que l’action de notre Association reste dans le cadre d’une certaine moralité,
notamment celle qui découle de la Loi 1901.
- I - RAPPORT MORAL D’ABORD.
Pour ne pas allonger les débats, je ne souhaite pas reprendre la démonstration de l’année dernière.
D’ailleurs, les critiques se sont tues et il semble bien que le respect des Statuts et de la déontologie associative par les responsables
d’AGATHE soient reconnus.
Toutefois, lors de la discussion sur le rapport, il vous sera loisible d’intervenir sur ce point.
Quelques mots, cependant, pour répondre à la question de savoir si dans nos actions, nous avons respecté l’agrément préfectoral
qui nous a été décerné en 97 ?
º notre participation dans les groupe de travail du S.A.G.E.
º la défense de la Pinède de la Tamarissière
º Nombre de nos interventions montrent notre activité pour défendre
L’environnement, chaque fois que nous dénonçons les atteintes à la nature, aux arbres, aux paysages
L’urbanisme caractéristique de notre cité.
º l’accès à la confection du dossier du SCOT va encore accroître notre activité dans le domaine de l’Urbanisme.
- II – Le RAPPORT D’ACTIVITE, ENSUITE
Les résultats de l’Association
Après avoir obtenu les interventions des autorités administratives départementales et des élus de la commune et de l’Agglomération, nous
avons pu faire cesser les émanations de fumerolles toxiques des cheminées d’évacuation de gaz au Petit Pioch
Les voisins de l’Usine de traitement des eaux usées savent le rôle actif et efficace que nous avons joué pour que les travaux nécessaires à la
disparition des mauvaises odeurs soient menés à leur terme.
La réalisation du chemin des Dunes
L’aménagement du Bd des Lucioles
Pour les dossiers toujours en cours
Le BRUIT – Régulièrement, chaque année nous nous faisons les interprètes de vos doléances dans la Commission. Municipale.
La SECURITE – Vous connaissez l’intérêt actif que nous portons en permanence à ce dossier.
Nous avons, cette année, pour la première fois, entendu les autorités parler de leur intention d’obtenir des résultats. Ce langage se
rapproche du nôtre. Il reste à voir s’il se traduira concrètement.
Notre intention est de faire un bilan en fin de saison et, si nécessaire, de saisir le Ministre.
Le PPRI. et les INONDATIONS Nous venons de prendre connaissance d’un premier résultat peu encourageant
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L’appel commun à la Mairie et à AGATHE devant la Cour Administrative d’Appel de MARSEILLE, vient d’être rejeté. Henri GLEIZES
vous dira, dans quelques instants, comment nous entendons défendre les intérêts des propriétaires en secteur inondable, par d’autres moyens.
L’ADRENALINE
Un troisième contentieux, Pourquoi ?
 - le premier devant le Tribunal Administratif de MONTPELLIER, par l’intermédiaire de l’avocat maître GRANJEAN
pour empêcher que la procédure de l’Autorisation de Travaux Divers, employée en urgence par le Maire ne devienne inattaquable au
bout d’un délai de deux mois
pour faire reconnaître que, légalement, il aurait fallu un permis de construire
pour faire reconnaître qu’un des pylônes du manège est implanté sur un terrain appartenant à la Commune, de surcroît affecté à un
espace boisé classé. Ainsi, la régularisation ultérieure ne serait pas possible.
 - le deuxième, au pénal, par une plainte contre X toujours rédigée par maître GRANJEAN et déposée entre les mains du Procureur de la
République de BEZIERS. Nous avons pensé obtenir plus rapidement qu’au Tribunal Administratif, une condamnation à démolir comme
dans l’affaire du manège de VIAS.
 - le troisième, enfin, tout récemment, engagé au Civil, par le dépôt d’une requête entre les mains du Président du Tribunal de Grande
Instance de BEZIERS. L’objectif étant d’utiliser toutes les voies judiciaires possibles et de trouver le moyen d’avoir un résultat dans le
meilleur délai.
Nous avons eu recours à un spécialiste de ce genre de procédure : maître Joël DOMBRE avocat à MONTPELLIER recommandé par le
Comité de Liaison des Associations Pour l’Environnement dans le Languedoc Roussillon (C.L.A.P.E.- L.R.), dont nous sommes adhérents.
Cette « Fédération d’Associations s’est d’ailleurs placée à nos côtés dans cette dernière instance.
la TAMARISSIERE La Gestion du Camping municipal dans la pinède
Pas d’évolution depuis les informations publiées dans notre Lettre d’Info n° 22, à laquelle je vous invite à vous reporter.
Quoi de mieux, pour vous exposer notre activité et la soumettre à votre jugement, que de demander à chaque responsable de
secteur ou de Commission spécialisée, de vous dire comment ont évolué les dossiers.
Nous compléterons leurs exposés en répondant, ensuite à vos questions.
Il vous appartiendra, enfin, par votre vote, de dire si les responsables de l’Association ont respecté la ligne que vous leur avez tracée.
Les COMPLEMENTS au RAPPORT MORAL
 - Pour les SECTEURS GEOGRAPHIQUES
K AGDE – VILLE - 1
Par Jacques TREILLE, secrétaire Général
Mesdames, Messieurs Bonjour
Nous sommes sur le point de terminer l’élaboration de notre site Internet qui doit être un lien très important entre les adhérents et les
responsables de l’association
Cette réalisation va nous permettre de nous connaître davantage, d’échanger des informations, il évoluera bien entendu en fonction de vos
aspirations., de vos remarques, et de vos souhaits
Quant à nous, nous allons essayer de porter à votre connaissance des informations, plus complètes et plus nombreuses
Dans l’immédiat, son ossature a été établie de la manière suivante
Une page de garde faisant apparaître notre association en invitant les internautes à visiter le site
Une autre page définissant les différents thèmes du site sous forme de fenêtres actives à savoir
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Présentation de l’association
•
Partie ou vous pourrez retrouver tous nos articles, nos bulletins d’information, et nos lettres d’information
•
Les Dossiers en cours que nous avons, avec des renseignements plus complets, des reportages photos etc…
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Une rubrique Patrimoine ou vous pourrez voir comment agit votre association sur ce sujet
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Les liens comme tout site Internet
•
L’hymne de notre association
•
Une rubrique Contact qui vous permettra de rentrer en communication directement avec l’association
•
Un cadre réservé aux dernières infos
Il nous reste qu’une seule chose à faire maintenant, créer une équipe qui soit en mesure de le faire vivre et ce n’est pas le plus facile, votre concours
ne peut que nous être favorable.
Ce travail a été réalisé avec les moyens du bord, nous vous demandons votre indulgence du moins au début.
Maintenant à NOUS DE LE FAIRE VIVRE ENSEMBLE
A titre de renseignement, si vous souhaitez, être informé, au jour le jour, sur la vie de la commune et du Canton
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Nous ne pouvons, que vous conseiller et vous inciter à consulter le Site d’Hérault Tribune, et à participer, éventuellement, au forum, vous y
apprendrez beaucoup de choses
Venant en on maintenant au CENTRE VILLE
Par Jacques TREILLE, secrétaire Général
Le problème Majeur du Centre ville est connu de tous les habitants du quartier et de ceux qui le côtoient, ce n’est pas un secret c’est
l’insécurité ; cela devient, insupportable, insoutenable. ; les mots pour exprimer cet état de fait ne sont pas assez fort
Ce ne sont pas les déclaration diverses, qui font croire en sa diminution ou qui rassurent les habitants qui en souffrent, eux qui se trouvent
sur le terrain 24/24, en contact direct avec ce problème et attendent du concret.
D’ailleurs pour confirmer cet état de fait vous avez pu lire l’article d’un médecin de ce quartier, paru dans l’hebdomadaire l’Agathois du 21
Juillet, et qui reflète bien ce « raz le Bol ». Il y était dit en conclusion qu’il y avait lieu de faire mentir l’adage : Agde, ville noire, habitée par des
brigands.
Certes un effort a été fait, ( mise en place d’un poste de police) mais compte tenu de la situation cela s’avère insuffisant, il faut aller plus
loin
La première chose nécessaire à faire devrait être une augmentation du nombre de rondes, mais il faudrait aussi que le poste de police assure
une garde 24/24h.
D autre par . C’est une petite minorité connue des services de police, qui sème le désordre et participe activement à cette insécurité ces
personnes doivent être davantage surveillées, et sanctionnées plus sévèrement
Je ne m’attarderai pas davantage sur ce sujet, notre président en a fait la synthèse et l’analyse
Un autre sujet important pour le centre ville, est le problème de la propreté et des ordures sur la voie publique
Il y a un effort indispensable à faire, le centre ville manque de propreté, les horaires pour la sortie des poubelles ne sont pas respectés, des
dépôts sauvages voient le jour à même le centre, si l’on n’y remédie pas, cela ira en s’aggravant, jusqu’à devenir des points de dépôts permanents
On pourrait également parler de la nouvelle réglementation du stationnement, des décisions ont été prises, sans concertation de la
population concernée, il est là aussi nécessaire de voir comment nous allons pouvoir y remédier en trouvant une solution qui doit donner à tout prix
satisfaction aux habitants sans pour cela négliger l’intérêt général, le problème de stationnement au centre ville ne date pas d’aujourd’hui,il y a
longtemps que nous en parlons, nous avions fait des propositions que nos élus n’ont pas pris en compte.
Il faut que nous soyons conscients que
Si l’on veut ressusciter le centre ville la première des choses à faire c’est de faciliter la vie de ses habitants sans oublier les
commerçants, lesquels, aujourd’hui lassés, tirent le rideau
Ce sont eux qui permettent la revitalisation de la cité par leur présence, et par les investissements qu’ils ont faits, ou qu’ils feront, alors ne
commençons pas à les irriter, écoutons les, et trouvons ensemble Habitants, AGATHE et Municipalité des convergences pour améliorer leur
situation. Par cela, nous améliorerons le cadre de vie dans notre cité et son bourg, le tourisme en recueillera les bénéfices.
Parlons Maintenant de tout ce qui touche à l’architecture et à la sauvegarde de notre patrimoine
Vous n’êtes pas sans savoir que la précédente Municipalité avait commencé l’élaboration de la ZPPAUP (zone de protection du patrimoine
architectural, urbain et paysager )
Ce document la Municipalité actuelle l’a mis en œuvre, il est donc aujourd’hui en vigueur nous avons donc un cahier des charges
contractuel, l’espoir est présent, mais ne sera-t-il pas déçu ?
La ZPPAUP de la ville d’Agde est liée au PLU, ce document est là pour défendre les enjeux patrimoniaux concernant le noyau historique
de la ville, et les différents espaces clefs du site d’implantation, qui sont encore préservés d’une urbanisation destructrice
Ce Cahier des charges donne également des objectifs à atteindre :
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pour les sites construits,
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pour les sites naturels
tel que par exemple
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la préservation des éléments bâtis, la mise en valeur des éléments préservés, l’aide à la gestion des travaux privés d’entretien et
d’aménagement etc…(3 îlots sont en cours de rénovation, ce qui va dans le bon sens)
•
La sauvegarde de l’intégrité physique des lieux,la protections des structures paysagères et la gestion de l’espace
•
La publicité extérieure et les enseignes
Concernant la protection du noyau historique, il s’avère qu’un certain nombre d’infraction a été relevé
Je ne vous cite ici qu’une partie du constat que nos adhérents ont fait
•
Rue de l’Amour, lors de travaux de rénovation d’un immeuble, la porte d’entrée datant du XVI siècle devait être réparée, cela
était prévu dans le devis initial, malgré cette obligation celle-ci a été remplacée par une porte du type Lapeyre
•
On peut constater la mise en place par des commerçants de palmiers en plastiques sur les quais,
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Une enseigne publicitaire jouxtant notre cathédrale,
La mise en place de bloc de climatisation en façade( nuisance également auditive)
La peinture de façade en couleurs anormales, ou hor norme
Des câbles électriques et lignes téléphoniques apparentes
Et bien entendu le non respect de l’architecture lors de rénovations sauvages ou pas
Bien entendu tout ces sujets ont fait l’objet d’une intervention de votre association auprès de l’architecte des bâtiments de France. Celui-ci,
confirmant, par retour, qu’effectivement, ces travaux ne correspondaient pas au cahier des charges, il est intervenu auprès de la municipalité
Eh bien malgré ces différentes interventions nos demandes sont restées lettre morte, à part la reprise de la devanture du magasin se trouvant
à coté de la cathédrale qui avait été peinte en jaune
Concernant la protection du paysage, certaines zones de notre ville sont protégées d’une part dans le cadre de la ZPPAUP et de l’autre
par le PLU qui les a cataloguées en espaces boisés classés (article L130.1 du code de l’urbanisme), protections importantes, car en principe aucune
activité n’est autorisée dans ces zones
Et bien, que voit-on ?
Une dégradation de ces espaces par le fait que la municipalité n’exerce pas son rôle de protecteur, participant même à leur dégradation
Par exemple Le bois de la Tamarissière qui se dégrade de jour en jour par une occupation et une extension abusive de cet espace par les
campeurs
D’autre part, Le bois situé sur l’île des loisirs, ou les forains s’étendent en créant diverses activités ludiques , cela avec l’approbation de la
municipalité précédente , puisque celle-ci a vendu et a loué des terrains répertoriés « en espaces boisés classés » à des commerçants. Si ces
commerçants ont acheté, ce n’est pas pour planter des arbres !, Cela a été le contraire !, D’autre part la municipalité actuelle a permis la construction
d’une balançoire à trois pieds, dont chacun a demandé la mise en place de 150m3 de béton avec les conséquences que cela a provoquées , coupage
d’arbres, labourage du sol
Parlons aussi du Mont St loup. Il est également classé. Il subit, une agression sournoise, il y a déjà longtemps il avait été autorisé la
création d’une pépinière avec une construction d’habitation attenante, ensuite le PLU évolue, il y a changement d’appellation de la zone en camping,
créant de ce fait une verrue dans l’espace du bois
Aujourd’hui ou en sommes nous, nous avons une résidence de loisir avec plus de 70 soit disant HLL d’une surface de plus de 35m2 en
réalité 55m2 (terrasses couvertes qui seront fermées dans peu de temps, ces HLL reposent sur des fondations en dur, ce ne sont plus des HLL
(habitation légère de loisir) à la lecture de la réglementation mais de véritables constructions, on nous répond que NON.
Il aurait fallu là aussi que nous allions au contentieux pour obtenir gain de cause.
Dernièrement plusieurs incendies ont été constatés dans cette zone, on peut également se poser des questions d’autant plus que M. LEROY
BEAULIEU à lancé dans le journal l’agathois du 12 Mars 2005 un ballon d’essais « pourquoi ne pas construire un hôtel sur le mont St Loup. »
Il est donc temps que l’on agisse pour un reboisement de ces zones, si rien n’est fait dans peu de temps on nous rétorquera que ces espaces
n’ont rien d’un Bois et ce sera l’ouverture à l’urbanisation
Parlons également de la gestion des arbres sur notre commune, on peut certes accepter et comprendre que certains sont un danger pour
les habitants et qu’on les coupe , mais de grâce, la aussi ne laissons pas faire n’importe quoi, nous constatons tous les jours que les arbres servent
de tuteur pour le maintien de câbles électrique lors de fêtes foraines ou d’autre animation
de support d’enseignes indiquant diverses activité
de tableau d’affichage
Que les arbres arrachés ne sont pas remplacés dans la plupart des cas.
Nous apprenons, de temps en temps, que des conflits de voisinage ont pour objet les arbres. Les motifs n’ont pas toujours un caractère de
gravité nécessitant l’abattage.
C’est pour cela que nous disons qu’il est temps que la municipalité mette en place avec la communauté d’agglo un code de l’arbre qui
réglementerait les interventions sur les arbres, d‘autant plus que les interventions sur les arbres répondent à des règles précises et s’appuient sur des
textes
Ce devrait être un outil qui permettrait une meilleure gestion d’un patrimoine inestimable, mais qui aujourd’hui est disparate et fragilisé.
Pour cela, il convient d’engager, une action de longue durée en tenant compte du vieillissement et du dépérissement tout cela dans
une perspective de préservation, de diversification et d’enrichissement du patrimoine.
C’est pourquoi nous disons vertement la ZPPAUP oui, mais si la volonté politique n’est pas là, cela ne sert à rien, c’est de la poudre
aux yeux, et un alibi servant à nos élus.
Pour terminer, il me faut, aussi, dénoncer
•
l’extension sauvage de campings, particulièrement en zone inondable,
•
les constructions illicites, d’ont certaines reçoivent malgré tout des autorisations très discutables
•
Le non respect du PLU, on peut voir en effet sur des zones réservées à la construction d’une maison individuelle, sur 1000m2
fleurir des dizaines de mobil home avec terrasse couverte, ce qui est strictement interdit,par le PLU et aussi pour des raisons
d’hygiène publique.
•
La construction de restaurants sur une partie de la frange littorale, ce qui est aussi formellement interdit, on serait surpris de
connaître le nom et les fonctions de certains contrevenants
•
L’utilisation de parkings publics par des commerçants privés qui n’hésitent pas à y faire leur entrée principale
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La Municipalité ne pourra régler ces problèmes qu’à partir du moment, ou elle ne favorisera plus certains, en régularisant ensuite ces
constructions par le biais d’un passe droit administratif , d’autres dont elle est aujourd’hui l’otage l’obligent à fermer les yeux , alors que les autres
citoyens qui n’en n’ont pas le droit, respectent les interdictions. Sommes-nous en état de droit ou de non-droit ? Cet état de fait est insoutenable.
Enfin, je dirais que
Malgré notre bonne volonté, l’Association ne peut faire cesser toutes
les infractions. Ce n’est ni du laxisme ni de la complaisance.
Il s’agit, simplement, d’une insuffisance
de moyens humains et financiers
K AGDE-VILLE- 2 Le Quartier de la Gare et du Canal
par Philippe DUVAL, Trésorier Adjoint
Je souhaiterais vous dire quelques mots sur l’entretien et l’aménagement des berges du canal du Midi et de l’Hérault, ainsi que sur l’avenir
de l’hôtel Riquet et du Château Laurent.
J’habite au bord du canal, non loin de l’écluse ronde. Tous les jours, des dizaines de bateaux de plaisance empruntent cette écluse, et rien
ou pas grand chose n’est mis en place pour les inviter à faire escale dans notre Ville.
Pourtant nombreux sont ceux qui me demandent la direction de la Ville d’Agde, des plages, ou tout simplement l’adresse d’un restaurant
ou d’une grande surface pour se ravitailler
Pas un seul panneau dans les environs répondant aux questions posées ci-dessus. A Agde même, quelqu’un a-t-il vu un panneau indiquant
la direction de l’écluse ronde, où passe plus de cent bateaux par jour. Et pourtant c’est un ouvrage exceptionnel sur le canal du midi, classé au
patrimoine mondial de l’UNESCO.
Que dire du port fluvial ? Malgré de multiples coups de téléphone et courriers à la Mairie, un tas de détritus de tout genre : pneus, télés,
fours, chaises, etc...est resté en place pendant plus d’un mois. L’enlèvement des encombrants n’existe plus à Agde. Il faut téléphoner à Pézenas, qui
vous dirige vers le CSU !!!
Combien de vols et dégradations dénombre-t-on journellement sur les bateaux ? Combien sont laissés à l’abandon ?
Les parkings sont insuffisants pour garer les voitures des touristes qui louent des bateaux à la Nautic.
Que dire aussi de l’hôtel RIQUET laissé à l’abandon depuis de nombreuses années.
L’état des berges et du chemin de halage vers Vias, envahis par des herbes et des ronces, des trous et des racines dangereuses pour les
promeneurs à pied ou en vélos.
Sur le bord du canalet, près du pont de la voie de chemin de fer, un trou de quatre mètres de diamètre causé par la dernière crue de 2003, a
emporté le chemin et n’est toujours pas bouché. Faudra-t-il un accident grave pour que l’on fasse enfin le nécessaire ? Nous avons appris de source
officielle qu’un appel d’offre est en cours ?
Que dire de la propreté sur le bord de l’Hérault devant le Centre d’Aviron et le terrain de boules, où les adeptes du camping sauvage
laissent détritus et excréments après leur passage. De plus il est difficile de se promener ou de pécher sur les berges à cause des bateaux qui s’y
amarrent, malgré l’interdiction, et qui mettent des pieux et des cordages dans tous les sens.
Nous constatons également que certains propriétaires riverains du canal, s’approprient les berges au droit de leur propriété, fermant cellesci avec des barrières et des fils de fer barbelés. A noter également que certaines constructions en dur ont été réalisées, sans permis de construire, et,
de plus, en zone rouge. La Ville d’Agde s’arrête-t-elle à la gare ?
L’ancienne usine d’incinération au lieu dit “ les terrains “ sert de plateforme de transit des ordures ménagères. Il est nécessaire de nettoyer
les abords en enlevant plastiques et détritus se trouvant aux alentours. Il existe également une fuite “ des jus “ sur la chaussée provenant de la mise en
ballots des ordures.
Bien entendu, toutes ces questions sont posées régulièrement à la Municipalité, qui nous a fait parvenir dernièrement quelques
réponses à nos interrogations :
- l’entretien des berges de l’Hérault et du Canal du Midi, ainsi que la réfection du Port, seraient à la charge des voies navigables de
France,
- l’hôtel RIQUET qui est classé Monument Historique, appartiendrait à l’Etat. Des contacts ont été renoués entre les Voies Navigables de
France et la Ville d’Agde, afin de dégager des perspectives de réaménagement,
- une étude serait en cours pour réhabiliter les berges de l’Hérault en face de la Calade pour les protéger de l’érosion,
- des travaux ont été effectués pour réparer la brèche de Belle Ile, côté Hérault, au dessus de la pansière. Quant à l’aménagement de la
plaine Belle Ile, le projet reste toujours au stade des intentions.
De plus, nous lisons avec satisfaction, dans le journal de la Ville de juin/juillet 2005, que le Canal du Midi est inclus dans les perspectives
d’avenir de notre belle Ville d’Agde, et fait partie des projets pour développer une véritable offre en matière d’éco-tourisme. A ce sujet, afin de fixer
une partie de ces flux qu’il estime à 135.000 personnes sur plus de 8.000 embarcations qui empruntent annuellement l’écluse ronde, M. le Maire
.envisage l’aménagement de l’environnement immédiat du bassin rond, par la réalisation d’un port fluvial en amont de cette écluse
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Nous espérons qu’il ne s’agira pas là d’un voeu pieux et pour arriver à un tel résultat, il serait souhaitable que la Mairie en concertation
avec AGATHE, établisse un plan pluriannuel, tenant compte de l’importance des travaux et des frais que cela représente. Ainsi notre blason à
trois vagues représentant la mer, le fleuve et le canal serait justifié.
K Pour le Secteur du GRAU
Par Roger SUAU, Président d’Honneur et responsable du Secteur.
Le GRAU, secteur 5 d’AGATHE, est un grand quadrilataire délimité par l’Hérault à l’Ouest, la mer au Sud, la route de
Rochelongue à l’Est, et, le tènement des Cayrets au Nord Nous pouvons dire que nous n’avons pas obtenu tous les résultats que nous étions en droit
d’attendre dans ce secteur.
Mais, puisqu’il y a eu quelques satisfactions, concernant notamment les grands travaux, commençons par elles :
- Notre intervention volontariste concernant les nuisances dégagées par la station d’épuration , a abouti à la disparition des
relents désagréables et autres effets nocifs pour l’environnement terrestre ou aquatique, par la mise en place d’une unité de séchage des boues.
- La mise en état de l’avenue de St. Vincent de Notre Dame au chemin de la Chevrette, a été, enfin, réalisée, mais sur ce sujet
deux points particuliers demeurent insatisfaits.
Tout d’abord, contrairement aux assurances écrites de la précédente municipalité, l’actuelle ne semble pas disposée à parfaire
l’ouvrage jusqu’à la mer, par la suppression des poteaux soutenant les lignes électriques et téléphoniques, en vue de l’enfouissement de ces lignes
dans les trottoirs ou leur passage est déjà aménagé. Il y avait, là, un engagement qui n’était que de pure technique, et, qui devrait s’imposer à tout
successeur.
Deuxièmement, nous estimons qu’il serait nécessaire et sécurisant, qu’au delà de la chapelle de l’Agenouillade, un rond-point
facilite la circulation automobile, entre ceux qui arrivent de St. Vincent et ceux qui viennent de la route de St. Martin à Notre Dame.
- Nous sommes, également, heureux de constater que l’aménagement de la piste cyclable est en voie d’achèvement au boulevard
des Lucioles, mais, il faut souligner que rien n’est envisagé sur la route de Guiraudette pour que les cyclistes puissent circuler en toute sécurité,
l’espace existant protégé par des rondins de bois étant tout à fait inapte à ce genre de circulation. De même, le revêtement de la piste cyclable des
berges de l’Hérault de la Criée au Grau, est retardé, nous dit-on, à cause des travaux prévus à la Criée ? Nous souhaiterions connaître en quoi
consistent ces travaux, pour pouvoir éventuellement donner notre point de vue
- Satisfaction nous a aussi été donnée, après tant d’années de demande, pour la mise aux normes prévue par le P.O.S. du chemin
des Dunes. Mais, là encore, il nous faut déplorer que rien n’est annoncé pour que cessent aux abords de ce chemin, c’est à dire au Grand Quist, les
constructions sans permis, la cabanisation qui en découle, ainsi que la pollution aggravée de la nappe phréatique en période estivale.
- En terminant ce chapitre des satisfactions, plus ou moins complètes, nous notons l’engagement formel de M. le Maire, de
réaliser, avant l’été 2006, deux nouveaux brises lames, faiblement émergeants à la Tamarissière et à St. Vincent
Maintenant, venons en aux doléances insatisfaites, plus spécialement dans le chapitre de la vie quotidienne. Celles-ci sont plus
particulièrement constatées au centre de l’agglomération du Grau, mais elles peuvent aussi se rencontrer en tout autre endroit de la Ville.
- En premier lieu, on relève l’inobservation, manifeste, par des cyclistes ou des motocyclistes des arrêtés municipaux visant,
soit les sens interdits, soit la circulation sur les trottoirs, spécialement par des cyclistes. Les contrevenants, qu’ils soient des sédentaires ou des
vacanciers, en prennent à leur aise, car rarement un policier est vu dans les parages. Les mêmes motocyclistes, peuvent faire hurler leur moteur ou se
livrer à des séances de gymkhana, en soirée notamment, sans qu’ils soient troublés dans leur activité.
- Aucune surveillance n’est exercée pour la présence des chiens sur la plage, ni pour la pratique de la pêche en ce même
endroit en dehors des horaires légaux.
- Que fait la police municipale ? Où est-elle ? Il y a bien, depuis le 1er juillet, un poste de police au Grau, mais il n’est ouvert
qu’aux heures administratives, et, lorsque le rideau de fer est baissé, rien n’indique un horaire de présence ni ce qu’il faudrait faire en cas d’urgence.
- Plutôt qu’une police “ planton “ ou bien qu’une police faisant seulement des parcours automobiles, ne conviendrait-il pas mieux
de placer des agents, à poste fixe à des moments déterminés, de manière qu’en multipliant leurs interventions, sans effectifs supplémentaires, leur
présence devienne d’une efficacité qui est tout à fait inconnue à ce jour ?
- Pour en finir avec le sans gêne des cyclistes empruntant les trottoirs, non sans danger pour les piétons, nous suggérons, ainsi
qu’il est déjà fait à Marseillan-Plage, que l’on place des chicanes ou des tourniquets aux extrémités de ces passages piétonniers.
D’autres améliorations sont plus que nécessaires pour que la qualité de vie soit sensiblement prise en compte :
- la circulation piétonne sur les trottoirs n’est pas toujours facilitée du fait des débordements de verdure provenant soit des
propriétés privées, soit des arbres publics. Qu’attend-on pour y remédier ?
- les toilettes publiques de St. Vincent ne sont ouvertes qu’après 11 heures et ferment à 18 heures, alors qu’il y a encore de
nombreuses familles sur la plage jusqu’à 2O heures. Est-ce une situation soutenable au regard de ce qui se fait ailleurs ?
- à St. Vincent, il n’y a eu des surveillants de baignade qu’à partir du 1er juillet, alors que la seconde quinzaine de juin avait
amené de nombreux estivants. Qu’on se souvienne, qu’au même moment, il y a eu à la Roquille et au Môle des personnes âgées en difficultés, alors
que la mer n’était pas mauvaise. De plus, en Septembre, comme chaque année, on restreindra rapidement les postes de surveillance.
8
Qu’en pensent ceux de nos responsables qui parlent souvent d’allongement de saison ? Compte tenu de tout ce qui précède,
font-ils tout ce qu’il faut pour fidéliser les estivants ?
D’autre part, il faut encore et toujours répéter :
- que la route de Rochelongue, qui est une voie départementale, reste dangereuse, pour tous, motorisés, cyclistes ou piétons, et,
qu’il serait temps, après tant d’années de tractations, que la Municipalité s’accorde, avec le département, pour pouvoir enfin la rendre praticable. Il en
est de même de la route de St. Vincent, de Notre Dame au St. Christ.
- que nous attendons toujours le cahier des charges promis pour les pontons sur l’hérault, afin de savoir ce qui est autorisé
et ce qui ne l’est pas,
- que l’obstruction de la darse de l’église, telle qu’elle existe, ne permettra pas l’écoulement naturel des eaux en cas
d’inondation,
- que le littoral, de Baluffe aux Camarines, reste un marécage après de fortes pluies. Il faudrait réaménager des bassins de
rétention, des canaux et des vannes judicieusement manoeuvrées pour rejeter ces eaux vers la mer, comme cela existait avant guerre. Cela permettrait
d’éviter un risque important de pollution à cause du débordement des fosses septiques et autres puits perdus.
- que l’Avenue de St. Vincent, entre l’Avenue du Littoral et le Bar Méditerranée, doit être mise en sens unique, de la Mer
vers la Ville. Le “ STOP “ doit être déplacé de l’Avenue François MAS et positionné sur l’Avenue de St. Vincent en venant de la Mer. Enfin, sur
cette portion de route, les parkings doivent être supprimés, car ils empêchent la circulation des piétons sur les trottoirs.
- Nous ne pouvons oublier que la lutte contre le bruit n’est pas menée comme il le faudrait, mais sur ce sujet notre commission
spécialisée fera le point dans la présente séance.
Pour finir, vous voyez chers adhérents, que la besogne ne manque pas au sein de cette zone, bien que je sois conscient de ne pas
avoir été complet dans mon énumération. Sachez toutefois que cette activité se répercute dans les travaux de notre association , avec tout le soutien
nécessaire.
K Pour le Secteur du CAP
par COQUET Georges, membre du Bureau et Responsable du Secteur– et DUPRE Claude, nouveau membre du C.A.
Ou est-on au VILLAGE NATURISTE ?Toujours plus de – BETON – BETON – BETON
L’année 2005 ne nous a pas apporté d’amélioration notoire par rapport à l’année précédente.
Aucun problème n’a été réglé, bien au contraire
Concernant les animations musicales
L’an passé il était prévu qu’à partir de minuit les décibels devaient être baissés et à 1 heure du matin arrêtés, les établissements eux devant
fermer à 2 heures.
Or il s’avère que l’on constate cette année que les fauteurs de bruit peuvent faire et font de la musique jusqu’à 2 heures du matin
Malheureusement, de nombreux établissements ont pris l’habitude de diffuser de la musique en cours de journée particulièrement forte.
(Le représentant de la commission bruit vous fera la synthèse de ces problèmes tout à l’heure)
Concernant le bétonnage dit haut de gamme
Nous notons la réalité suivante :
4 permis de construire ont été délivrés
La Mairie a vendu deux terrains à des prix-cadeaux 140€ le m2 pour le Riad Marrakech – 14 villas très haut de gamme dont le prix
avoisine les 500 000€
Ensuite la zone occupée par l’ancien cinéma en plein air a été vendue au prix de 190€ le m2, c’est devenue aujourd’hui une résidence
hôtelière, de 2 étages environ, avec 70 garages .
Autre schéma là aussi des prix haut de gamme , plus 2 projets privés, dont un en plein milieu de la résidence d’Héliopolis, un procès est
d’ailleurs en cour, déclanché par les copropriétaires des résidences qui contestent le permis de construire ;
Le tout se résume à 3 résidences hôtelières + 14 villas
Ce qui va nous amener environ 2000 personnes de plus , on est loin du respect du cahier des charges initial de la station limitant le nombre
de lits à 50 000 mille , pour éviter la sursaturation.
Comment se fait-il que le maire délivre aussi des permis de construire pour des agrandissements de commerce sans tenir compte des
décisions des syndicats de copropriétaires qui ont été votées lors des assemblées générales (article 26) occupation des communs, et modification des
façades
Nous regrettons aussi , qu’un des terrains publics réservés à un espace vert ait été supprimé pour bien entendu faire du béton .
Aujourd’hui la politique Municipale pour le Naturisme rime avec béton, argent , et profit
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Nous dénonçons l’attitude d’un conseiller municipal qui lors d’un conseil a déclaré avec audace que les propriétaires étaient d’accord
pour ces projets, nous le dénonçons, car il n’en est rien c’est bien le contraire
Il est regrettable que les 7% prévues par le cahier des charges de la station qui devait être réservé pour les espaces verts, permettant par cela
une meilleure qualité de vie n’existe plus, il faut vraiment chercher la verdure et les parkings, ce havre de vie disparaît au fur et à mesure, pour
laisser la place au bétonnage à outrance. et détruire le cachet de ce quartier .
Pour nous le Naturisme dit être associé avec le respect de la nature et l’écologie « c’est le fondement même du Naturisme »
Alors qu’une fois de plus, on favorise l’argent et par la même on aggrave les nuisances qui en sont le corollaire de l’incivilité de
l’insécurité, et du bruit
Chers amis tout cela n’est pas réjouissant et va conduire petit à petit, s’il n’y a pas un changement rapide, et fort, de cette politique de
bétonnage et de libertinage à une détérioration irrémédiable de ce quartier Est-ce le but caché de la Municipalité , osons espérer le contraire !
L’allongement de la piste de l’aéroport de Vias projetée rentrerait t-elle dans l’esprit de cette orientation permettant alors d’amener des
charters d’Europe avec une clientèle bien particulière, on est endroit de se poser cette question !
Je vous dis à l’année prochaine avec tout de même un espoir de changement, !! qui ira dans le bon sens.
K Pour le Secteur de La TAMARISSIERE
Par Henri MIÑANA, Vice-Président
- Les VERDISSES
Les Verdisses forment un vaste ensemble naturel de plus de 400 hectares à l’Ouest de notre commune, à partir de la rive droite de
l’Hérault. Ce « poumon vert » est parcouru par plusieurs cours d’eau, comme l’Ardaillon, le Montmorency et la Salamanque dans sa partie Nord, et
par l’étang du Clôt de Vias dans sa partie Sud. Des marais et des roselières occupent l’essentiel de sa surface, ainsi que quelques arpents de vigne ou
des cultures maraîchères.
La quasi totalité de cette zone se trouve en zone rouge ( zone inondable du Plan d’Occupation des Sols ) , en principe non constructible.
La partie Sud, à partir du Clôt de Vias est la propriété du Conservatoire du Littoral, situé en Zone Naturelle d’intérêt Ecologique
Touristique et Floristique ZNIEFF – le reste est très morcelé et compte 140 propriétaires privés et publics, réunis pour la plupart en une
association, l e « Syndicat des Propriétaires Fonciers des Verdisses ».
La situation des Verdisse s’est dégradée très rapidement depuis ces cinq dernières années. En effet, la déprise agricole ( abandon
progressif des activités agricoles sur ces terres ) associée à une cabanisation rampante – vente de terrains à des gens du voyage qui s’installent
progressivement et illégalement un peu plus chaque année, avec l’émergence de multiples dépôts d’ordures sauvages sur cette zone humide
remarquable, contribuent à une dégradation inéluctable de la qualité de ces espaces naturels.
Forte de ce constat implacable, AGATHE est intervenue au niveau du Comité de Quartier GRAU – LA TAMA, pour que les pouvoirs
publics interviennent sur ce micro –territoire afin d’arrêter les dérives foncières et pour qu’un projet global d’entretien et de préservation des sites
soit étudié par les diverses parties prenantes : Propriétaires Fonciers, Municipalité, Conservatoire du Littoral, SAFER, DIREN , associations
agrées pour l’environnement : ADENA, SPN etc. … , et pour engager une véritable politique de gestion et de valorisation de ces espaces naturels,
en préservant le caractère humide de la zone, zone naturelle d’expansion de l’Hérault lors de ses crues importantes. Notre association s’est vue ainsi
associée à deux réunions qui se sont tenues en Mairie, les 3 mars et le 5 avril 2 005 :
•
La première avait pour objet le « mitage » du site, le nettoyage de la zone et l’étude de la maîtrise du Foncier ;
•
Concernant l’entretien du secteur, il a été suggéré de créer une brigade verte chargée de l’entretien des fossés et du traitement des
décharges sauvages situées sur le domaine public, les propriétaires des parcelles privées seraient mis en demeure de les nettoyer …
•
Une brigade équestre, placée sous l’autorité municipale circulerait à travers les Verdisses pour faire respecter la réglementation.
•
Concernant le Foncier et l’Occupation des sols, un recensement réactualisé des parcelles et des nouvelles acquisitions depuis l’an 2000
devait être réalisé par les services municipaux.
La deuxième réunion s’est tenue le 5 avril 2005 : étaient présents la SAFER départementale et régionale, le Conservatoire du Littoral et des
Rivages Lacustres, les représentants de l’Agglomération et de la Ville, ainsi que les représentants de l’ASTREV et d’AGATHE .
A l’étude des travaux menés par la Municipalité sur le Foncier et son évolution depuis l’an 2000, chacun a pris conscience de l’urgence
et de la nécessité de l’intervention des pouvoirs publics sur la zone des Verdisses. C’est ainsi qu’il a été rappelé que la partie Sud, dévolue au
Conservatoire, devait être protégée et nettoyée, et que pour la partie s’étendant jusqu’à la Voie Rapide, le Conservatoire restait dans l’attente d’une
délibération municipale pour pouvoir exercer son droit de préemption lors de la vente de parcelles passée devant notaire.
La SAFER pour sa part nous a fait savoir qu’elle pouvait, elle aussi, intervenir, en accord avec la Commune, pour stopper cette
hémorragie foncière, en achetant ces terrains et en les stockant pour former un vaste espace protégé qu’elle revendrait ensuite à la Commune
dans le cadre d’un projet global d’aménagement, à vocation agricole, naturelle ou environnementale.
Notre Association est alors intervenue pour rappeler la nécessité absolue de la préservation de ce site, en tant que zone humide, à
vocation unique comme zone d’expansion des eaux et d’écoulement rapide de l’Hérault lors des crues et inondations, le tout s’inscrivant
parfaitement dans ce qu’on appelle la ZNIEFF (Zone Naturelle d’Intérêt Ecologique, pour la Faune et la Flore).
La Municipalité a décidé de nous réunir à nouveau début octobre 2005. Nous vous tiendrons informés de l’évolution de ce dossier, en
parallèle avec celui que nous étudions concernant le PPRI, les zones bleues et rouges et le problème plus général des crues et inondations.
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J-
Pour les COMMISSIONS
K - Sur Le BRUIT
par Daniel FAGUET, membre du Bureau
Le jeudi 21 avril 2005, nous avons participé à la réunion du « comité consultatif de lutte contre le bruit ».
Monsieur le Maire nous a adressé, à l’aide de statistiques, un bilan globalement positif de l’action municipale en matière de lutte contre le
bruit pendant l’année 2004, tout en reconnaissant que certains points sensibles restaient à traiter.
D’emblée nous avons contesté ces statistiques, car nombres d’Agathois se sont lassés d’appeler en vain la police. Nous avons demandé que
soit publiée la liste des professionnels du bruit condamnés, et les sanctions prononcées, cela pour servir d’exemple et pour plus d’efficacité.
Monsieur le Maire a rejeté notre proposition au motif que la délation nous renvoyait aux années les plus noires de notre histoire..Aussitôt
pour surenchérir un professionnel du bruit et accessoirement de la restauration n’ayant aucun sens des valeurs, nous a accusé de vouloir lui faire
porter l’étoile sur la poitrine. Il a revendiqué d’émettre des décibels au-delà de ce qui est autorisé par la loi aux motifs que les impôts qu’il acquitte et
les emplois qu’il génère lui donne tous les droits..Les victimes de la barbarerie nazie apprécieront la comparaison, si aujourd’hui les fauteurs de
troubles à l’ordre public se drapent dans les plis du linceul de victimes innocentes.
Le débat a donc été sévère, c’est le moins que l’on puisse dire. Nous avons fermement rappelé qu’il restait de nombreux points à traiter,
dont les bruits de voies publiques et en particulier les bruits de motocyclettes non conformes, les sonos de voitures transformées en auditorium, les
bruits de tam tam sur les plages et les cris de goélands.
Tout au long de l’année à chaque comité de quartier ou nous sommes présents, les nuisances sonores ont été évoquées et parfois très
bruyamment !
Il semble que notre action inlassable commence à porter ses fruits, cette année nous avons constaté en juillet une amélioration sur certains
quartiers. ; néanmoins nous restons vigilant et vous appelons à ne surtout pas vous démobiliser en appelant immédiatement en cas de nuisances
sonores de jour comme de nuit au C.S.U. n° 04.67.00.80.40.
Le bruit en centre port, à la zone naturiste et au mail de Rochelongue n’a toujours pas diminué.
Dans certains quartiers jusque là préservés comme la Tamarissière, des animations bruyantes sont apparues. Animations orchestrées par
des associations de commerçants trop souvent répétées tout au long du mois et qui perturbent le repos des estivants et des Agathois. On peut se
demander si toutes ces manifestations ont fait l’objet d’arrêtés municipaux.
Le clown sur la voiture sonorisée d’europark de Vias continue sa ronde infernale dans les 3 îlots de l’archipel de vie et se moque toujours
de la maréchaussée malgré l’arrêté municipal reconduit chaque année interdisant la circulation des véhicules émettant de la musique. Et bien entendu
le laxisme des années précédentes a encouragé cette année deux autres clowns à nous annoncer bruyamment leurs passages dans un archipel de vie
que nous voulons plus tranquille.
Vous ne verrez donc pas dénoncer publiquement les contrevenants aux lois de la république, mais vous, victime, qui n’avez pas été
protégée par la force publique, si excédé par la répétition de nuisance sonore vous « pétez les plombs », vous ferez la une des journaux comme ce fut
le cas à Bessan où dernièrement un habitant à tiré sur un groupe de jeunes excités. Les autorités chargées de la sécurité et de la tranquillité publique
sont donc responsables de ces drames qui malheureusement se répètent trop souvent. Après Marseillan et Bessan espérons qu’Agde ne fera pas les
gros titres de la presse.
Le bruit est toujours classé ennemi n°1 des français, notre action continue et nous ne cesserons le combat qu’après une victoire totale sur les fauteurs
de nuisances sonores, pour que de tels drames ne se reproduisent plus.
Nota : Pour actualiser ce rapport, sachez que nous avons fini par convaincre monsieur le Maire de créer un groupe de travail pour aborder, sans
a priori, tous les problèmes du Bruit. Nous aurons d’autres occasions pour vous informer plus longuement de ce que nous attendons de ces
travaux.
K - Pour le P.P.R.I. et les INONDATIONS
par Henri GLEIZES, membre du Bureau.
Parmi les sujets traités par notre association, les inondations sont d’une actualité récurrente.
Au sein de notre conseil d’administration, la commission inondation s’est fixée les objectifs suivants :
Avoir toutes informations sur l’organisation de l’alerte et du déroulement de l’inondation elle-même, le but, : préparer des propositions ou
remarques pour les utiliser lors de réunions avec les autorités, ou autres organisations.. Ensuite : archivage de toutes les données et remarques
recueillies après chaque inondation [ météo, hauteurs d’eau, particularité de l’inondation..etc.],. et enfin être sur le terrain… c'est-a dire .:
Considérant le cycle de l’eau dans la nature : évaporation, condensation, précipitations et évacuation de l’eau, dans la phase de l’évaporation
l’homme ne peut pas intervenir directement……
Dans la phase condensation et précipitations : (la pluie), l’homme a essayé d’intervenir sans grand succès…… Mais, dans cette phase là,
grâce aux progrès de l’électronique (radar météo), nous pouvons connaître l’importance et la direction des masses d’air saturées.. Enfin l’ultime
phase : le retour de l’eau par ruissellement a son point le plus bas, la mer .
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C’est dans cette phase que l’homme agit avec des résultats quelquefois malheureux. En effet, on apprend les lois naturelles de
l’écoulement de l’eau le lendemain de l’inondation…… mais encore faut-il se souvenir de la leçon.. Revenons donc sur le terrain avec Agde et son
environnement géographique :
NOUS CONSTATONS :
Qu’un croquis représentant la région au temps des Grecs, montre que l’Hérault était un fleuve, assisté lors des crues, par deux affluents,
l’un très important l’Ardaillon a l’ouest et le Courredou à l’est
Que les archives nous révèlent, qu’en 1907……Toutes les crues se sont évacuées par les Verdisses. ( crue centennale )
*La carte du PPRI actuelle confirme l’évacuation des crues par les Verdisses
*Toutes ces constatations montrent que les Verdisses ont toujours été une zone d’expansion et d’écoulement des crues vers la mer .
* Malheureusement tous les trajets, du canal du midi, de la voie ferrée, de la route de Vias, de la voie rapide coupent les verdisses dans une
direction perpendiculaire au flot de la crue ( est / ouest).
* Tenant compte de toutes les erreurs passées, nos propositions sont en accord avec la dynamique du milieu naturel, et ne s’obstinent pas
contre elle pour rendre a l’Hérault son exutoire naturel vers la mer à travers les verdisses.
Mais je ne voudrais pas que nos constatations qui vont suivre soient un réquisitoire contre la municipalité actuelle. il est évident que
l’inventaire des travaux à effectuer découle d’un laisser-aller permanent envers les lois de la nature qui dure depuis des années et des années.
pour se résumer, il faut :
•
•
•
Ralentir en amont d’Agde la vitesse de l’eau
l’Ardaillon est une zone d’expansion à réaménager………
Ne pas gêner évacuation et écoulement de l’eau dans les Verdisses en reconstituant les déversoirs du canal du Midi, en nettoyant et en
calibrant les ruisseaux de la salamanque, des panthènes et autres en nettoyant les ponceaux des remblais de la voie ferrée, de la route D 112
et de la voie rapide, et si possible rajouter des ponceaux .
C’est la somme de tous ces « petits travaux », lorsqu’ils seront réalisés qui fera que, pour une même inondation, la vitesse de l’eau sera
accélérée, donc la hauteur d’eau moins importante dans les Verdisses et également dans la ville.
•
•
Mais il faudra également : pour les mêmes raisons : (question de débit)
redonner au fleuve entre la ville et la mer sa capacité hydraulique primitive .Rattraper les limites de l’ancien quai , draguer etc.
Compenser la suppression du bras du delta de l’Hérault à cause de la route bordière par la création d’un chenal de délestage en lieu et
place des ruisseaux de Montmorency, de l’Ardaillon, et du chenal du canal du Midi, en tout cas en amont de la criée, qui a été construite
carrément dans le lit de l’Hérault.
Avantages de sa réalisation :
- En abaissant, en aval de la ville d’Agde, le niveau de l’inondation par un chenal de délestage, la crue s’accélérera dans la traversée de la
ville : la vitesse et le débit d’évacuation à la mer augmenteront et atténueront en hauteur et en temps l’inondation.
- Le peu de propriétaires de cette partie des Verdisses facilitera le problème d’acquisition du terrain.
- Ces travaux ne concerneront que le domaine de la commune d’Agde (rapidité de mise en œuvre)
- Ecologiquement le territoire occupé par la réalisation de ce projet sera la continuation du clôt de Vias.
- De plus, par un apport continu d’eau à l’embouchure du chenal canal du Midi / mer empêchera l’ensablement de celui-ci.
- Il peut offrir un intérêt touristique à définir.
Une réunion sur le thème ci-dessus est organisée ,
elle aura lieu le vendredi 14 Octobre à 18Heures, à la Maison des Savoirs, nous comptons sur votre présence ;
Après un échange avec le Public, le Président soumet au vote le Rapport Moral et d’Activité,ainsi que les rapports
annexes. L’ensemble des Rapports est adopté à l’unanimité.
K - Pour le MÔLE
M. Maurice VELTZ, notre Vice président, ne se lasse pas, comme chaque année depuis 1972 de rappeler, , les doléances d’AGATHE pour
le Quartier du môle, espérant qu’enfin une oreille bienveillante finira par l’entendre
D’un autre côté, il réclame quelques points lumineux sur la falaise,. où, 4 embases sont encore en place.
C’est une bien jolie promenade qui peut être dangereuse la nuit. Revenons à cette falaise : toutes les maisons qui sont le long ne peuvent
pas voir la mer à cause des blanquettes. A vos débroussailleuses Messieurs des Espaces verts ?
Tout ce qui est demandé ne reviendrait pas très cher et peut être réalisé par les ouvriers de la Ville.
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K Où en est-on pour le Mail de Rochelongue,
Le compte rendue de ce secteur, et celui sur les plages établis par M. LOUVET Gy,seront intégrés dans notre lettre d’information N°25 , ayant à ce
jour de nouveaux renseignements concernant les concessions de plages, informations que nous n’avons pas pu traitées à ce jour
K Où en est-on pour MALFATO et GRAND QUIST
Il faut bien continuer à suivre l’évolution possible des secteurs de Malfato et du Grand Quist, mais comment vous entretenir de leur devenir
alors que rien, de matériellement positif, ne peut être décelé dans les intentions de nos élus. Ce dossier était immobile
Par contre, après l’ouverture de Notre Assemblée Générale,. M Louis BENTAJOU, conseiller Municipal nous a annoncé l’ouverture de ce
dossier à la concertation.
Nous avons répondu favorablement à la demande qui nous était faite de participer au groupe de réflexion, nous ne manquerons pas de vous
informer de la suite qui sera donnée à ce colloque
KDivers
L’ensemble des questions posées par nos adhérents lors de l’Assemblée générale, questions,verbales ou écrites ont été transmises à M.
BENTAJOU, conseiller Municipal, nous ne négligerons pas de vous en faire connaître les réponses
Chers amis, n’oubliez pas que nos seules ressources pour gérer votre association
ce sont vos cotisations, les actions que nous pouvons mener en sont le corollaire
Mesdames et Messieurs les Retardataires,
Si vous restez nos amis,
N’oubliez pas de régler votre cotisation,
Le Bureau vous remercie
Liste des Membres du Conseil d’Administration 2005 - 2006
Présidents d’Honneur
MESTAT Maurice
Le Cap - Le Môle
04.67.21.15.43
SUAU Roger
Le Grau
04.67.94.76.54
FAGUET Daniel
Agde Ville
04.67.94.43.69
Membres
GLEIZES Henri
Le Grau
04.67.21.16.79
GRAND Gérard
Le Cap-Le Môle
04.67.26.16.48
ABBAL Jean Pierre
04.67.99.44.42
LOUVET Guy
Le Mail-
04.67.26.83.19
La Tamarissière
04 67 21 00 99
La Tamarissière
ARNAUNE Marc
Rochelongue
06.11.81.30.46
MIÑANA Henri
CARREGA Mathieu
Le Grau
04.67.94.94.28
MONSIRMEN Auguste
Rochelongue
04.67.94.01.66
04.67.94.37.47
PELISSIER Jean
Rochelongue
04.67.94.92.24
04.67.94.92.09
RAVAILLE Jean
Agde Ville
04.67.94.94.88
04.67.21.12.84
SABATIER J.Claude
Le Grau
04.67.94.05.69
04.67.21.18.08
TREILLE Jacques
Agde Ville
04.67.94.36.72
Le Cap-Naturiste 06.88.90.47.15
TEYSSEDRE
Le Grau
04.67.21.46.31.
Le Cap-Naturiste 04.67.01.32.73
VELTZ Maurice
Le Mole
04.67.26.23.09
Agde Ville
VICREY
Agde ville
04.67.21.39.54
CASIMIRO GUY
CELLIER Maurice
CHOUFFOT Jean
COMBE Anne
COQUET Georges
DUPRE Claude
DUVAL Philippe
Agde-Ville
Agde Ville
Le Grau
Agde-Ville
04.67.21.95.88
Jacques
AGATHE - Bulletin d'information - ISSN 1636 - 6204 . Directeur de la publication Jean RAVAILLE. Rédaction Membres du Bureau
.Association au Titre de la loi 1901
- Déclarée parution au Journal Officiel N° 23 du 27 01 1975
- Agréée par Arrêté Préfectoral N° 97 - 1 - 023 pour l'Urbanisme et l'Environnement selon le Code rural et le Code de l'urbanisme
Imprimerie Agathoise Mothes 26 rue jean jacques Rousseau AGDE
AGATHE, BP 909 – Le Grau – 34304 AGDE Cedex
Siège Social : 2 Rue de la Poissonnerie, Centre Historique AGDE – Permanences tous les samedis matin de 10h30 à 12h

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