marc fayet

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marc fayet
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PETIT THEATRE DE PARIS
J’HABITE AU 21, LE PETIT THEATRE DE PARIS, SIC, LE THEATRE ST-GEORGES, THEATRE ET CREATION
PRÉSENTENT
MARC FAYET, ANNE LOIRET, GÉRARD LOUSSINE
ELIZA MAILLOT, LYSIANE MEIS, STÉPHAN WOJTOWICZ
une histoire de famille
Eliza Maillot, José Paul et Marc Fayet c’est déjà plus de mille représentations ensemble
DANS
“Accalmies Passagères”, “Les gagneurs”, “Un petit jeu sans conséquence” et chaque fois
JACQUES A DIT
ils se disent : « ce serait bien qu’on continue à faire des spectacles ensemble ».
Eliza Maillot
Stéphan Wojtowicz et Marc Fayet c’est des centaines d’heures à écrire des sketches
peu joués, une pièce injouable mais toujours avec une complicité enjouée. Et déjà Marc
lui disait : « ce serait bien que tu viennes jouer avec nous un de ces quatre ».
Stéphane Wojtowicz
José Paul et Agnès Boury c’est une vieille histoire sans fin car avant de se quitter ils se
disent toujours : « c’est peut-être la dernière »... et ce n’est jamais la dernière.
José Paul
Gérard Loussine et Marc Fayet, c’est des hectolitres de thé à discuter sur la meilleure
façon d’être heureux au théâtre et déjà ils se racontaient « ce serait bien qu’on entreprenne des trucs vraiment indépendants un jour ».
Gérard Loussine
Lysiane Meis et José Paul, c’est plus de 250 “Fil à la patte” en commun avant que José
ne lui fasse admettre que “L’amour est enfant de salaud” plus de 400 fois. Et déjà ils se
disaient « et pourquoi on recommencerait pas ? ».
Lysiane Mels
Anne Loiret et Marc Fayet, c’est deux années à habiter dans le même immeuble, il y a
vingt ans et à se croiser dans l’escalier en se disant « peut-être qu’un jour on fera des
spectacles ensemble… peut-être ! ».
Anne Loiret
Gérard Loussine, José Paul et Marc Fayet, c’est des jours et des nuits à réfléchir au
nom qu’ils donneraient à leur société de production qui est devenu “J’habite au 21” - on
a pas le temps ici d’expliquer pourquoi - mais depuis longtemps ils se répétaient « ce
Marc Fayet
serait bien qu’on joue toujours avec tous les copains qu’on aime bien ».
Alors tous les noms sont ressortis, et tous les « ce serait bien », tous les « peut-être »,
tous les « pourquoi pas » sont devenus « on va le faire », voilà pourquoi ils sont réunis
aujourd’hui pour une nouvelle aventure comme ils les aiment tant.
L’aventure se réalise au Petit Théâtre de Paris grâce à Stéphane Hillel qui a plusieurs
fois travaillé avec certains d’entre eux pour “Les Gagneurs”, “Un petit jeu sans conséquence” et qui, à une époque, avait dit : « ce serait bien que vous veniez jouer chez moi
Stéphane Hillel
si je dirige un théâtre un jour »… tout s’est réalisé.
Relation médias : Brigitte BERTHELOT
tél : 01 46 26 32 06 - fax : 01 46 26 04 09
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4, villa des Grimettes - 92 190 MEUDON
TELECHARGEMENT DU DOSSIER DE PRESSE, VISUEL ET PHOTOS SUR :
www.brigitteberthelot.com
UNE COMÉDIE DE
MARC FAYET
MISE EN SCÈNE :
JOSÉ PAUL
ET
AGNÈS BOURY
DÉCOR : EDOUARD LAUG, LUMIÈRES : LAURENT BÉAL, COSTUMES : BRIGITTE FAUR-PERDIGOU, MUSIQUE : FRANÇOIS BRÉANT
LOCATION : 01 42 80 01 81
MAGASIN FNAC, VIRGIN, AGENCES ET RÉSATHÉÂTRE 0 892 707 705 (0,34 €/MN)
PETIT THÉÂTRE DE PARIS 15, RUE BLANCHE 75009 PARIS / MÉTRO : TRINITÉ, BLANCHE, SAINT LAZARE
www.theatredeparis.com - www.fnac.com
LICENCE N°755708
Agnès Boury
CRAPULE !
3 volets ok cedric
3 volets ok cedric
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Anne LOIRET, rôle de Lili
Ils étaient une joyeuse bande, il y a 20 ans. Est-ce qu’ils le sont toujours aujourd’hui ?
C’est ce qu’ils vont découvrir ce soir en se réunissant grâce à la cassette vidéo que
Jacques, le seul absent, leur a fait parvenir et qu’il leur intime de visionner ensemble. Alors ils sont venus, un peu contraints, un peu méfiants mais ils sont là. Et puis
Jacques a dit et quand Jacques a dit…
La petite bande du Val Fleuri
A peine échappé du cocon familial, il n’est pas rare de rechercher une nouvelle fratrie, celle qui fera le lien
entre adolescence et âge adulte.
Copains de quartier, de lycée ou de loisirs, selon les affinités, on devient rapidement un clan, une bande où
le besoin de se réunir, de se rapprocher, de se rassurer, d’être ensemble, devient une nécessité. Dès lors,
cette rencontre apparaît comme une évidence.
Dans la comédie de Marc Fayet, la petite bande du Val Fleuri, qui n’a pas failli à toutes ses étapes, se retrouve des années plus tard, un soir d’été, suite à une bouffée de nostalgie de l’un de ses membres.
Dès la première lecture de “Jacques a dit”, se dégage une savoureuse proximité entre nous et les différents
protagonistes de cette comédie amère et drôlatique à la fois. Mais derrière l’apparente et délicate retenue de
l’auteur, il se cache un être plus facétieux qu’il n’y paraît. Pour preuve, ne nous raconte-t-il pas aussi l’histoire
d’une bande sympathique piégée par une “bande” magnétique ?
On l’a vue notamment dans “Qui a peur de Virginia Woolf” d’Edward Albee, mise en scène de Pierre Constant
au Théâtre de l’Œuvre, “On ne refait pas l’avenir” de et mise en scène Anne-Marie Etienne au Théâtre des
Bouffes Parisiens, “La preuve” de David Auburn, mise en scène de Bernard Murat au Théâtre des Mathurins.
Au cinéma, elle a tourné sous la direction de Nicole Garcia dans “L’Adversaire”, de Jean-Jacques Beineix dans
“Mortel transfert” et de Bertrand Tavernier dans “Holy Lola” (sortie nov. 2004).
A la télévision, elle a tourné sous la direction entre autres de Patrick Dromgoole, Sébastien Grall, Jacques
Fansten, Patrick Dewolf, Luc Beraud, Jean Sagols, Patrice Martineau, Bruno Gantillon…
Eliza MAILLOT, rôle de Marie
Au théâtre, on l’a vue dans “Accalmies passagères”, “Pop Corn” ainsi que “Un homme à la mer” et “Un petit
jeu sans conséquence” au Théâtre La Bruyère repris en 2004 au Petit Théâtre de Paris.
Elle a travaillé sous la direction de nombreux metteurs en scène parmi lesquels Bruno Sachel, José Paul,
Pierre Mondy, Stéphane Hillel, Alain Sachs ou bien encore Stephan Meldegg.
Pour la télévision et le cinéma, elle a tourné avec Edouard Molinaro, Marc Angelo, Denis Amar, Gilles Behat,
Philomène Esposito, Didier Albert, Caroline Huppert et Charlotte Brandstrom et Joyce Buñuel.
En 2001, elle est nommée aux Molières dans la catégorie Meilleure comédienne dans un second rôle et
en 2003, dans la catégorie Meilleure comédienne dans un second rôle pour le rôle d’Axelle dans “Un petit
jeu sans conséquence”.
Lysiane MEIS, rôle de Victoire
Au théâtre elle a joué Woody Allen, Marcel Aymé, Molière, Goldoni, Marivaux, Ionesco, Hugo et Minyana.
Dernièrement on l’a vue dans “Une table pour six” et “Le fil à la patte” mis en scène par Alain Sachs, dans
“Monsieur chasse”, au Palais Royal et la saison dernière dans “L’amour est enfant de salaud” au Tristan
Bernard déjà sous la direction de José Paul.
A la télévision elle a tourné avec Mocky, Gawin Millar, Bruno Gantillon, Sébastien Graal, Dominique Tabuteau,
au cinéma, avec Chad Chenouga, Valérie Minetto, J.P. Husson, Thierry Boscheron, Laurent Firode, Philippe
Harel, Eric Toledano et Olivier Nakache.
En 1998, elle est nommée aux Molières dans la catégorie Révélation, en 2004, dans la catégorie
Meilleure comédienne dans un second rôle pour “L’amour est enfant de salaud”.
Marc FAYET, rôle de JeanJean
José PAUL, metteur en scène
Six destins avec un septième pour témoin
Au début il y avait une histoire qui me trottait dans la tête …
J’ai imaginé des personnages, je les ai mis dans cette situation qui m’amusait et les ai laissés se débrouiller
tout seuls. Pour commencer il faut avouer qu’ils n’étaient pas très clairs dans leurs propos alors je les ai bousculés, je les ai même injuriés. Leurs caractères se sont imposés, ils m’ont mâché le travail en quelque sorte.
Peu à peu, ils m’ont fait confiance, ont acquis une certaine autonomie et commencé à vivre sous ma relative
responsabilité. S’en est suivie une véritable complicité où je devinais leurs pensées, ils anticipaient les miennes, je leur proposais alors des contradictions, des pièges, ils les évitaient ou s’y plongeaient avec bonheur…
au final, on a réalisé ensemble un curieux mélange d’amitié, de mensonge, de trahison, de chips, d’amour, de
vin... comme dans la vie.
Marc FAYET, auteur
José PAUL et Agnès BOURY, metteurs en scène
On l’a vu au Théâtre La Bruyère dans cinq spectacles, notamment : “Un coin d’azur” de Jean Bouchaud,
“Accalmies passagères” de Xavier Daugreilh, mise en scène d’Alain Sachs, “Pop corn” de Ben Elton, mise en
scène de Stephan Meldegg et “Un petit jeu sans conséquence” repris en 2004 au Petit Théâtre de Paris.
Au cinéma et à la télévision, il a tourné notamment avec Marcel Bluwal, Gilles Behat, Jacques Otmezguine,
Jean-Pierre Vergne, Charles Nemes, Bertrand van Effenterre et Henri Helman.
En 1999, il est nommé aux Molières dans la catégorie Révélation.
En 2003, il reçoit le Molière de la Révélation théâtrale masculine pour le rôle de Bruno dans “Un petit jeu
sans conséquence”.
Gérard LOUSSINE, rôle de Romain
Au théâtre, il a joué sous la direction de Robert Dhéry “le Petit fils du Cheik”, “Monsieur Chasse”, “Vive
Offenbach” à l’Opéra Comique et “en Sourdine les sardines” aux Bouffes Parisiens. Au Théâtre La Bruyère, on
l’a vu dans “l’Ampoule magique” de Woody Allen et récemment dans “Un petit jeu sans conséquence” repris
en 2004 au Petit Théâtre de Paris. Il a participé à de nombreuses pièces avec Gérard Caillaud.
Au cinéma et à la télévision, il a tourné une soixantaine de films avec de nombreux réalisateurs tels que Pierre
Tchernia, Alain Corneau, Marc Simenon, Jacques Bral, Gérard Jugnot, Didier le Pêcheur, Jacques Rouffio.
En 2003, il est nommé aux Molières dans la catégorie Meilleur comédien dans un second rôle pour le
rôle de Patrick dans “Un petit jeu sans conséquence”.
Stéphan WOJTOWICZ, rôle de Bertrand
Au théâtre, on l’a vu récemment dans “L’inscription” de Gérald Sibleyras au Petit Montparnasse mis en
scène par Jacques Échantillon ainsi que dans “Zoo” de Vercors, mise en scène Jean-Paul Tribout. Il a également joué sous la direction de Christophe Lidon, Panchika Velez, Guillaume Hasson... Auteur, sa première
pièce “La photo de Papa” a été créée en 1997 dans une mise en scène de Panchika Velez, deux autres de
ses pièces sont en cours de montage.
José Paul a mis en scène une quinzaine de pièces dont, dernièrement, “Les esprits superficiels” d’Alphonse Allais avec Jacques Fontanel et “L’ amour est enfant de salaud ” d'Alan
Ayckbourn, adaptation de Michel Blanc, au Théâtre Tristan Bernard.
Comédien, on l’a vu dans “Un fil à la patte” de Feydeau, “Colombe” de Jean Anouilh,
“Accalmies passagères” de Xavier Daugreilh, “Un petit jeu sans conséquence”. Il a joué sous
la direction de Stéphane Hillel, Gérard Caillaud, Michel Fagadau, Stephan Meldegg, Alain
Sachs, Eliza Maillot...
En 2003, il est nommé aux Molières dans la catégorie Meilleur comédien dans un second
rôle pour le rôle de Serge dans “Un petit jeu sans conséquence”, en 2004 dans la catégorie Meilleur metteur en scène pour “L’amour est enfant de salaud”.
Agnès Boury met en scène, ces dernières années, des spectacles musicaux tels que
“Créatures”, “Duel”, “Juliette”, “Chanson Plus Bifluorée”, des humoristes comme Virginie
Lemoine, Laurent Gerra, Choc Frontal et diverses comédies dont “La presse est unanime” de
Laurent Ruquier et “L’éloge de ma paresse” de et avec Maria Pacôme. Parallèlement, elle collabore avec Stéphane Hillel et José Paul, notamment pour “Les gagneurs”, “Un petit jeu sans
conséquence” et “L’amour est enfant de salaud”.