L`Union Rennes prête pour le défi tourangeau

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L`Union Rennes prête pour le défi tourangeau
Sports
Ouest-France
28-29 mai 2016
Handball
Cyclisme
Elles sont entrées dans l’histoire de St-Grégoire Course ouverte à Saint-Hilaire-des-Landes
N1F. Saint-Grégoire RMH - Colombelles, samedi (20 h 30). Le coach Olivier
Mantès présente les joueuses qui ont participé à cette montée historique en D2.
Challenge du Coglais (2, 3 et junior). Plus de soixante-dix coureurs
sont attendus dimanche lors de cette cinquième manche.
Nadège Konan (gardienne) :
Elle a été très performante et investie
dans son rôle. Nos deux gardiennes
nous ont apporté une stabilité défensive nécessaire.
Nadia Benabdelhafid (gardienne) : Elle a été au rendez-vous
lorsqu’elle a joué. Elle est très présente dans le groupe et apporte en
permanence son dynamisme.
Céline Le Boulch : Elle a assumé
les responsabilités de son poste (ailière). Elle a su s’investir pour nous
apporter sa régularité et s’offrir une
saison sans pépins physiques.
Vanina Moisa-Bonnant : C’est une
joueuse historique du club. Elle a
commencé avec l’équipe première
en N3 et participe aujourd’hui à sa
montée en D2. Son parcours est
gratifiant pour tous ceux qui aiment
le club. Elle a toujours le même état
d’esprit combatif, si important.
Élise Delorme : C’est l’une grande
des satisfactions de l’année. Elle
découvrait la N1, elle a su tenir son
poste (ailière) et gagné en efficacité
au fil de la saison.
Mélina Rolland : On peut toujours
compter sur Mélina dans l’investissement. Elle a réalisé une belle saison,
notamment lors de la phase aller et
dans son registre défensif.
Blanka Szeberenyi : Elle était plus
en confiance que l’an dernier. Elle
doute encore parfois mais elle est
mieux entourée et s’est enlevée de
la pression. Elle a d’ailleurs réalisé de
très bons matchs.
Camille De Sousa : C’est la révélation de l’année, elle a su progresser
et s’imposer dans tous les secteurs
de jeu et pas seulement défensifs.
On arrive à mi-parcours pour le
challenge du Coglais, toujours aussi
suivi par les deuxièmes et troisièmes
catégories. Et ils seront 75 à convoiter la victoire d’étape sur le parcours
hilairien. Certains avec de beaux
atouts, comme le Mayennais Kévin
Boisramé (CC Ernée), les Manchois
Pascal Chesnel (Team Bricquebec - Cotentin) et Sébastien Botte
(VC Avranches) ou encore le Morbihannais Julien Bordier (OC Locminé). Un quatuor capable de faire la
course en tête.
Côté bretillien, les meilleures
chances reposeront sur le Vernois
Alexandre Mellier, voire le battant
Stéphane Pavoine (EC Pays de Guichen) et l’espoir Lucilien Grenier
(Sojasun-ACNC). À tous ces noms,
ajoutons le binôme Yoann Batteux
- Vincent Travers (ASPTT Rennes),
Ronan Grimault (US Vern), leader
chez les 3e catégories, et Cyril Delory (Team Peltrax), auteur d’un doublé
sur la 4e manche à Montours. Mais
des surprises sont possibles en cas
Blanka Szeberenyi, Delphine Bellaud , Vanina Moisa-Bonnant, Fanny Soulard,
Gladys Boudan, Nadège Konan, six des visages de la montée
Elle est devenue incontournable.
Delphine Bellaud : C’est une très
belle surprise pour nous. Elle découvrait un nouveau poste, un nouveau
club et cela ne l’a pas empêchée de
s’imposer dès la première partie de
saison. Elle apporte aussi son dynamisme au groupe.
Fanny Soulard : Elle a commencé
en N3 puis a gagné en confiance et
en maturité. Elle est très à l’écoute et
doit continuer à travailler pour exploiter son beau potentiel.
Manon Gouez : Elle a vécu une saison dans l’ombre de Gladys Boudan
mais elle a appris, notamment dans
la rigueur et l’efficacité.
Gladys Boudan : Le leadership de
Gladys s’est imposé de suite et naturellement. Nous n’avons pas hésité à
C’est le grand soir pour la Nationale 3 !
C’est le moment de vérité. Ce soir,
aux alentours de 22 h, cette poule
de N3 complètement folle délivrera enfin son verdict. Les téléphones
devraient sonner, et alimenter les minutes qui suivront les ultimes coups
de sifflets. Bien sûr, c’est le scénario
classique d’une fin de saison pour le
maintien. Mais ce soir, il concernera
sept équipes !
« Maîtriser l’enjeu »
Avec leurs destins en main, le CPB
Rennes et Bruz, concurrents durant
toute la saison, se retrouvent aujourd’hui dans la même situation. « Tous
les joueurs sont fatigués après une
saison éprouvante, souligne Hugo
Peltier, le technicien bruzois qui recevra Panaloisirs. Mais ils ont hâte de
jouer cette ultime rencontre, notamment après deux semaines de trêve
un peu incompréhensibles. L’enjeu ne doit pas nous paralyser : il
ne faut pas en faire totalement abstraction mais le maîtriser, Ce n’est
pas l’équipe qui va le mieux jouer
qui s’imposera mais celle qui va le
mieux gérer la pression. »
Du côté du CPB Rennes, pour la
venue d’Aunis La Rochelle, on ne
souhaite évidemment pas voir tous
les efforts fournis s’effondrer en
une heure. « C’est l’ultime étape
vers notre maintien. Si notre mission commando a porté ses fruits
puisque nous sommes sortis de la
zone rouge, c’est le dernier match
qui compte, précise Romain Corre.
Nous devons rester sur notre dynamique et pour cela, il faut éviter
de penser au résultat et montrer la
détermination, la concentration et
l’investissement nécessaires sur le
terrain. Ce sont les conditions pour
s’offrir une fin heureuse ».
Loin de ces préoccupations, SaintMalo a validé sa première place. « On
a l’intention de clore une belle saison » déclare le coach Pierrick Veyrat. Vierzon n’est pas encore assuré
du maintien en N3. Mais Saint-Malo
vivra un autre match en coulisses cet
après-midi, avec l’élection d’un nouveau président. Patricio Melchior,
après deux mandats, souhaite passer son tour : « C’est une tradition
de ne pas occuper le poste pen-
lui laisser les clefs au regard de son
expérience et son envergure. C’est
aussi une joueuse très agréable dans
un groupe.
Marion Trochet : Ce fut une saison noire et frustrante pour Marion,
à cause des pépins physiques. Cela
arrive dans un parcours sportif mais
c’est toujours compliqué à vivre.
Aminata Diaby : Elle a montré de
belles choses lorsque l’on a fait appel à elle. Elle a de belles qualités individuelles mais elle doit encore gagner en maturité pour exprimer son
potentiel.
Margaux Amourette et Yolène
Fercoq : Ce sont de jeunes joueuses
qui ont progressé en découvrant
la rigueur de la N1. Elles étaient en
phase de découverte.
»
dant plusieurs années. Je compte
bien demeurer au bureau et toujours participer activement à la vie
du club ». Côté effectif, « Quentin Le
Berre et Lucas Le Gall sont a priori
partants », regrette déjà l’entraîneur
cercliste, songeant à la future N2.
N3M. CPB Rennes - Aunis-La Rochelle, 18 h 30. Bruz - Panaloisirs,
19 h. Saint-Malo - Vierzon, 20 h 30.
Les autres matches, ce samedi
N1M. CPB Rennes - Pouzauges
(20 h 45). On aurait tort de croire que
la réception de Pouzauges (12e) est
dénuée d’enjeux. Franck Prouff tient
à le rappeler : « On a l’occasion d’accrocher le top 5 en cas de défaite
d’Amiens, souligne le technicien rennais. C’est aussi le dernier match
et il va y avoir des départs. Alors,
même si notre saison est déjà réussie, il faut finir sur une bonne note ».
Pouzauges n’a pas gagné un match
à l’extérieur cette saison !
N2M. Cesson-Rennes - Le Chesnay
(20 h 30).
N3F. Saint-Grégoire RMH - Lesneven
(18 h 30).
Basket-ball
L’Union Rennes prête pour le défi tourangeau
L’Union Rennes Basket 35 a atteint un premier objectif il y a deux
semaines : la première place de sa
poule et la qualification pour les
playoffs. Maintenant, tout reste à
faire pour la montée en N1. L’opposition qui attend les Rennais ce soir
le confirme : Tours possède le plus
gros budget de N2, et des joueurs
de grande qualité. « Nous sommes
conscients de la montagne à gravir,
et de la valeur de l’adversaire que
l’on va rencontrer, » pose Pascal Thibaud, l’entraîneur rennais.
Rennes dispute ce quart de finale
aller plus tard que les autres, après
l’imbroglio qui a précédé la qualification de Tours pour les playoffs. Cognac a terminé deuxième ex aequo
de cette poule, mais c’est finalement
Tours qui a obtenu le billet après décision de la FFBB. « Cognac aurait
été un tirage plus abordable », juge
Thibaud, qui a déjà battu les Charentais cette saison en Coupe de
France, en réussissant à hausser son
niveau de jeu.
Car c’est tout l’enjeu de cette partie : l’URB devra être au rendez-vous
Audrey Aussant
N2M (playoffs, quart de finale aller). Tours - Union Rennes, ce soir (20 h).
Rennes devra jouer son meilleur basket pour passer un gros obstacle.
Péné et l’URB doivent cette fois ne pas
manquer un grand rendez-vous.
face à une équipe difficile à manier.
Une chose trop rarement faite lors
des derniers chocs. « On a un esprit
de revanche par rapport aux derniers gros événements qu’on a eus,
abonde le coach. À Lorient (championnat) et Kaysersberg (finale de
Coupe de France), l’équipe n’a pas
répondu présente. Tours est une
équipe de haut niveau, mais on
peut les battre si on arrive à hausser notre niveau de jeu. »
Pascal Thibaud n’épilogue
d’ailleurs pas sur les trois victoires
de rang qui ont terminé la saison régulière, ni sur la première place de
la poule acquise par les Rennais, ni
même sur les défaites qu’a pu concéder Tours cette saison contre des adversaires plus faibles. Cette phase finale, disputée en deux manches gagnantes (avec possibilité de match
d’appui), est pour lui une phase totalement différente de celle du championnat. Et débuter à l’extérieur n’est
pas forcément un avantage. « Dans
les playoffs de N1, les équipes
moins bien classées, qui ont reçu
en premier, se sont qualifiées, »
souligne Thibaud.
Les quinze jours de break ont fait
du bien à son groupe qui a pu bien
se préparer pour cette rencontre,
pour laquelle Perica Mitic est incertain. « C’est un énorme challenge
qui nous attend, mais les joueurs
sont prêts » ajoute Pascal Thibaud.
UNION RENNES : Gautier, Negrobar, Zivkovic, Péné, Ben Driss, Prugnières, Esnau-Doguet, Pehoua, Belloir (?), Sclear (?), Mitic (?), Sall (?).
treize tours. A 9 h 30, D1-D2 pour
douze tours. 9 h 32, D3-D4 pour
58 km 80 engagés. Contrôle : COC
Fougères.
Yannick Houée
«
Alexandre Mellier (Vern) à suivre à
Saint-Hilaire.
de marquage entre les mieux classés
au classement général
Dimanche, départ 15 h 15, dixhuit tours de 5,8 km 72 engagés. A
13 h 15, cadets, 75 engagés pour
Les autres courses du week-end
Samedi. Hédé-Bazouges. Première
édition des Onze Ecluses, 130 engagés. Départ 15 h des D1-D2 pour
onze tours de 7 km, 15 h 02 des D3D4 pour 63 km. A 13 h 30, minimes
(43 partants), 35 km. CT : Team Sojasun.
Dimanche. Les Brulais. 23 tours de
3,9 km au menu des 55 engagés (3,
juniors et pass). Départ 15 h. CT : VC
Plélan.
Iffendic. Épreuve des 4 Routes pour
les 3, juniors et pass, 96 engagés,
départ 15 h. Dix-neuf tours de 5 km.
CT : VC Plélan.
Le Rheu. 15 h 30, 46 D1-D2 pour
quinze tours de 5,2 km 15 h 32, 44
D3-D4, 57,2 km. CT : ASPTT Rennes
BMX à Redon. Le BMX club de Redon organise la 6e manche de la
coupe de Bretagne. Il en restera deux,
en septembre. 600 pilotes du grand
GP de Plumelec, samedi. Lucie
Jounier (Redon OC) et Gabrielle Rimasson (Vern) disputeront la classique morbihannaise avec la Team
Breizh Ladies.
Paris-Roubaix espoirs. Dimanche,
la formation Sojasun alignera six coureurs : Artus, Guilcher, Lebreton, Rapin, Robin et Troy.
Les routes du Scorff. Deux équipes
bretilliennes seront, ce week-end, au
départ de l’épreuve par étapes morbihannaise : l’ASPTT Rennes avec
Yann Bonnamour et le Team Sojasun
avec Alexandre Dufreche.
Route de l’Ouest féminine. De
nombreuses bretilliennes s’aligneront dimanche, à Saint-Martin-desNoyers (Vendée), dont Le Mouel
(Saint-Malo), Cadol, Quiniou, Loisance, Debroise (VC Rennais), Mainguy (Plélan) et Prenveille (Sojasun).
ouest sont attendus. Les essais débutent à 9 h et les courses s’enchaîneront de 10 h à 18 h. Les meilleurs
régionaux seront là, à l’image de Pilarde (Saint-Brieuc), Grouazel (Quévert) ou Le Roux (Locmaria). Il faudra suivre aussi Boisson de Lorient,
Bresset de Lié, Jeuland de Vitré. Le
jeune club local, s’il ne vise pas les
podiums, entend bien justifier sa progression.
Rugby
« Continuer le plus longtemps possible »
Fédérale 3 (playoffs, huitième de finale). Drancy - Le Rheu, dimanche (15 h).
À Nogent-le-Rotrou, les Rheusois espèrent surfer sur l’accession en Fédérale 2.
acceptable pour évoluer et, surtout,
se maintenir à l’issue de notre première saison en Fédérale 2.
Trois questions à…
Jean-Yves
Bouhier,
coprésident
du Rheu.
Vous poursuivez les playoffs,
avec ce 8e de finale, mais
la montée en Fédérale 2 est
acquise. L’objectif est déjà
rempli ?
Le contrat est respecté. C’est l’aboutissement de plusieurs années de
travail, cela ne se fait pas du jour au
lendemain. C’est l’issue du travail de
tous les dirigeants du club et à tous
les niveaux.
Comment se prépare cette
montée ?
Nous avons commencé à travailler
sur le sujet avant la montée, effective depuis dimanche, histoire de ne
pas se laisser surprendre. Nous nous
occupons actuellement du budget
pour l’exercice 2016-2017. Pour l’instant il n’est pas quantifié, il est difficile
de donner un montant précis. L’objectif est d’avoir un budget qui soit
Où en est le recrutement ? Le
Rennes EC est en mauvaise
position, cela pourrait donner
des idées…
Sur le recrutement rien n’est particulièrement fixé. Ce n’est pas l’esprit
du club d’aller piocher ailleurs. L’entente avec le REC est cordiale. De
manière générale, changer d’équipe
est une décision d’homme de rugby. Les joueurs décident, choisissent de l’environnement dans lequel
ils veulent évoluer. L’atmosphère est
primordiale. Au Rheu, les journées
de matchs, notamment, nous ressentons le côté familial et compétiteur de
club. D’ailleurs, on espère continuer
le plus longtemps possible dans ces
play-offs. Ce groupe mérite d’aller un
peu plus loin.
LE RHEU : Quemerais, Guinic, Takisi, Forget, Gros-Desormeaux, Queval,
Lagarde, Mettier, Veysseyre, Cadoret
R., Drouin, Rimbault, Botherel, Cadoret C., Forgue, Tchakam, Blandel,
Pressard, Gras, Robert, Castelot, Le
Pesc.
Entraîneurs : Thomas Mottin et Damien Regnauld.
Rennes 2 champion de France universitaire à 7
Les finales des championnats de
France universitaires de rugby à VII
se déroulaient à Vannes. Et les Rennais ont battu Toulouse au terme
d’une rencontre animée et engagée
(33-19). « Il y a eu des moments de
stress, mais on n’était pas inquiet,
assurait Kevin Courties, l’entraîneur
bretillien, tout sourire. On a dû s’employer, notamment contre cette
belle équipe de Toulouse en finale,
mais ce n’est pas une surprise. »
En poule, les Rennais avaient signé trois victoires en trois matches,
puis avaient battu Paris 1 en quart
(25-7) et Lille en demi (24-10). Les
filles, elles, se sont inclinées en quart
contre Clermont (10-7).
Volley-ball
Deux équipes du REC pour une première
Coupe de France (finale jeunes). Les M20 et M15 garçons du club rennais
espèrent remporter un premier trophée national, à Tourcoing ou Hyères.
Il y a deux semaines, les M17 garçons du REC échouaient en finale
de la coupe de France. Ne parvenant
pas, une nouvelle fois, à briser une
sorte de malédiction qui entoure le
club rennais. « C’est peut-être culturel », ose le coach des M15 garçons,
Eric Hallé. Cette fois, il espère bien
vaincre ce syndrome qui empêche
les Récistes de s’imposer : « Nous
sommes conscients de nos atouts :
le groupe offre beaucoup de solutions offensives, mais on se méfie. »
Dans un premier temps, il faut franchir l’obstacle des poules. « Cannes
est toujours un candidat au podium, même s’il dispose de moins
de gabarit. C’est aussi le cas de
Maizières, qui est moins homogène
que nous. Face à Harnes, il va falloir
reproduire le match réalisé en quart
de finale, où nous n’avions pas
connu de difficultés à les battre. »
Si les Rennais se qualifient pour les
demi-finales, ils devraient tomber
sur Montpellier ou Asnières. « Avec
nous, ce sont les deux formations
qui se détachent, les trois qui visent
le titre. »
Pendant que les M20 « descendent » complètement au sud, près
de Toulon, à Hyères, les M20 montent vers le nord, à Tourcoing. « Dans
cette catégorie, ça envoie du lourd !
Beaucoup de joueurs sont aux
portes des équipes pros et fréquentent les centres de formation. »
Avec Antonin Roulleau, Tanguy Névot et Dimitri Huchot, qui ont fait des
apparitions avec le Rennes Volley
en Ligue B, le REC n’en est pas dépourvu. « Nous pouvons bien figurer durant ces trois jours, et pourquoi pas, atteindre le podium. Nous
n’avons pas à souffrir de notre niveau de jeu, le collectif est bon. Il
est renforcé par deux forts cadets
qui complètent un ensemble un
peu court. Quoi qu’il en soit, ce
sera une guerre des tranchées ! »
conclut Eric Hallé.