Droit individuel à la formation dans le BTP
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Droit individuel à la formation dans le BTP
1re partie – Le droit individuel à la formation dans le BTP b) Choisir une action de formation éligible au titre du DIF La loi indique expressément que les formations suivies au titre du DIF, durant l’exécution du contrat de travail, doivent entrer dans l’une des catégories suivantes : - les actions de promotion : elles ont pour objet de permettre à des travailleurs d’acquérir une qualification plus élevée (C. trav., art. L. 6313-4) ; - les actions d’acquisition, d’entretien ou de perfectionnement des connaissances : elles ont pour objet d’offrir aux travailleurs les moyens d’accéder à la culture, de maintenir ou de parfaire leur qualification et leur niveau culturel ainsi que d’assumer des responsabilités accrues dans la vie associative (C. trav., art. L. 6313-7) ; - les actions de qualification : elles permettent d’acquérir (C. trav., art. L. 6314-1) : • une qualification enregistrée dans le Répertoire national des certifications professionnelles, • une qualification reconnue dans les classifications d’une convention collective nationale de branche, • une qualification figurant sur une liste établie par la commission paritaire nationale de l’emploi de la branche professionnelle. A contrario, les formations d’adaptation au poste de travail et les formations obligatoires à la sécurité ne peuvent pas faire l’objet d’un DIF, même si le salarié le demande. Notez-le : La loi du 4 mai 2004 précise qu’en cas de rupture du contrat de travail, le salarié a la possibilité de suivre, au titre du DIF, une action de bilan de compétences ou de validation des acquis de l’expérience. La loi ne précise pas expressément que ces catégories d’actions puissent être effectuées au titre du DIF durant l’exécution du contrat de travail. Toutefois, il semble que ces actions puissent également être effectuées au titre du DIF durant l’exécution du contrat de travail puisqu’elles peuvent participer à l’acquisition d’une qualification, c’est-à-dire l’une des catégories de formation éligibles prioritairement au titre du DIF (voir partie II « Bilan de compétences » et « Validation des acquis de l’expérience »). L’accord BTP a défini comme priorité d’accompagner le salarié dans son projet de promotion (acquisition d’une qualification ou perfectionnement professionnel). Les partenaires sociaux ont précisé qu’ils souhaitaient que le choix de l’action éligible au titre du DIF soit arrêté en tenant compte des conclusions : - soit de l’entretien professionnel prévu à l’article 1 de l’accord interprofessionnel du 5 décembre 2003 ; - soit d’une évaluation individuelle réalisée conjointement par le salarié et l’employeur ; - soit d’un bilan de compétences ou d’une action de validation des acquis de l’expérience. II - Quelles sont les obligations de l’employeur ? A) Quelles informations fournir aux salariés et aux institutions représentatives du personnel (IRP) ? ................................................................................ 1/ L’information à fournir aux salariés L’employeur a l’obligation d’informer les salariés par écrit, chaque année, du total des droits qu’ils ont acquis au titre du DIF. La loi ne donne aucune indication concernant la date à laquelle cette information doit intervenir. Toutefois, selon l’Administration, cette information doit intervenir au moment où les droits sont effectivement acquis, c’est-à-dire au moment où le salarié peut disposer de ses droits. Remarque : Dans le BTP, en application de l’article 7-2 de l’accord du 13 juillet 2004, les salariés doivent être informés de leurs droits au DIF dès qu’ils peuvent en disposer, c’est-à-dire, pour les salariés en CDI, à compter du 1er janvier de chaque année. L’employeur n’a pas l’obligation d’informer par écrit le salarié sur son solde disponible chaque fois qu’il a suivi une formation au titre du DIF. La seule obligation d’information est l’information annuelle faisant mention : - du solde des droits restant de l’année antérieure ; - des droits acquis au cours des 12 derniers mois ; - des droits consommés au cours des 12 derniers mois ; - du solde des droits pour l’année. Pour les salariés en CDD, l’information doit avoir lieu au bout de 4 mois ou, pour les salariés ayant acquis des droits au titre d’un CDD précédent, au moment où le salarié a acquis ses droits. De même, la loi ne donne aucune précision sur les modalités pratiques de cette information écrite. Ainsi, cette information peut être transmise aux salariés par le biais d’une lettre individuelle, d’une note de service ou encore d’un bulletin de salaire. Remarque : L’employeur doit également informer le salarié des droits dont il dispose au titre du DIF dans la lettre de notification lors d’un licenciement. Ce document doit renseigner sur le nombre d’heures acquises et les conditions dans lesquelles le salarié peut bénéficier de son DIF. Cf. le « modèle d’attestation de l’état des droits » proposé à la fin de cette partie. 2/ L’information à fournir aux IRP Le rôle consultatif du comité d’entreprise en matière de mise en œuvre du plan de formation de l’entreprise a fait l’objet d’adaptations, liées notamment à la mise en œuvre du DIF (C. trav., art. L. 2323-37). DOSSIER PRATIQUE BTP n° 3 - © EDITIONS TISSOT - AOÛT 2008 105 F LE DIF DANS LE BTP ET LES AUTRES CONGÉS DE FORMATION À L’INITIATIVE DU SALARIÉ a) Quels sont les domaines de la consultation ? Le comité d’entreprise est obligatoirement consulté tous les ans sur les orientations de la formation professionnelle dans l’entreprise en fonction des perspectives économiques et de l’évolution de l’emploi, des investissements et des technologies dans l’entreprise (C. trav., art. L. 2323-33). Ces orientations doivent prendre en compte : - l’analyse de la situation comparée des hommes et des femmes (telle qu’elle ressort des informations fournies par l’employeur lors de la négociation annuelle obligatoire) ; - les mesures arrêtées en application de l’article L. 1142-4 du Code du travail (mesures discriminatoires dites « positives » en faveur des femmes, notamment plan d’égalité professionnelle, etc.). Par ailleurs, si l’entreprise est dotée d’un comité d’entreprise (CE), l’employeur a désormais l’obligation de le consulter tous les ans sur : - l’exécution du plan de formation de l’année précédente et sur le projet de plan de formation pour l’année à venir ; - les conditions de mise en œuvre des contrats et des périodes de professionnalisation ; - la mise en œuvre du DIF. Remarque : Si un CE n’a pas pu être mis en place dans l’entreprise, l’employeur doit alors consulter les délégués du personnel (DP). b) Quel est le domaine de la consultation ? L’employeur doit communiquer aux membres du comité d’entreprise ou, à défaut, aux délégués du personnel, aux délégués syndicaux et, le cas échéant, aux membres de la commission formation, les informations suivantes (C. trav., art. L. 2323-5) : - les orientations de la formation professionnelle dans l’entreprise telles qu’elles résultent de la consultation prévue à l’article L. 2323-33 du Code du travail ; - le résultat éventuel des négociations prévues à l’article L. 2241-6 du Code du travail (négociations de branche ou professionnelles sur la formation) ; - la déclaration relative à la participation des employeurs au développement de la formation professionnelle continue (Cerfa n° 2483) et, le cas échéant, la déclaration spéciale concernant le crédit d’impôt formation professionnelle ainsi que les informations sur la formation figurant au bilan social ; - les conclusions éventuelles des services de contrôle sur le caractère libératoire des dépenses imputées sur la participation des entreprises et/ou le caractère éligible des dépenses exposées au titre du crédit d’impôt formation professionnelle ; - le bilan des actions comprises dans le plan de formation du personnel de l’entreprise pour l’année antérieure et pour l’année en cours comportant la liste des actions de formation, des bilans de compétences et des validations des acquis de l’expérience réalisés, complétée par les informations relatives : • aux organismes de formation et aux organismes chargés de réaliser des bilans de compétences ou des validations des acquis de l’expérience, • à la nature et aux conditions d’organisation de ces actions, au regard notamment des dispositions du 106 F 6e alinéa de l’article L. 2323-36 (consultation du comité d’entreprise) et de celles de l’article L. 6321-1 et s. (plan de formation) du Code du travail, • aux conditions financières de leur exécution, • aux effectifs concernés répartis par catégories socioprofessionnelles et par sexe ; - les informations, pour l’année antérieure et l’année en cours, relatives aux congés individuels de formation, aux congés de bilan de compétences, aux congés de validation des acquis de l’expérience et aux congés pour enseignement qui ont été accordés aux salariés de l’entreprise, notamment leur objet, leur durée et leur coût, aux conditions dans lesquelles ces congés ont été accordés ou reportés ainsi qu’aux résultats obtenus ; - le bilan, pour l’année antérieure et l’année en cours, des conditions de mise en œuvre des contrats et des périodes de professionnalisation ainsi que de la mise en œuvre du droit individuel à la formation. Le bilan porte également sur l’accueil des enseignants et des conseillers d’orientation. En ce qui concerne les bénéficiaires des contrats et des périodes de professionnalisation, il précise : • les conditions dans lesquelles se sont déroulées les actions ou les périodes de professionnalisation, et notamment les conditions d’accueil, d’encadrement et de suivi des bénéficiaires des dites actions, • les emplois occupés pendant et à l’issue de leur action ou de leur période de professionnalisation, • les conditions d’organisation des actions de formation et/ou de suivi, • les résultats obtenus en fin d’action ou de période de professionnalisation ainsi que les conditions d’appréciation et de validation, • les effectifs concernés par âge, sexe et niveau initial de formation ; - le plan de formation de l’entreprise et les conditions de mise en œuvre des contrats et des périodes de professionnalisation ainsi que la mise en œuvre du droit individuel à la formation pour l’année à venir, comportant respectivement les informations mentionnées aux points 5 et 7 ci-dessus. c) Comment organiser pratiquement cette consultation ? En pratique, cette consultation s’organise autour de deux réunions spécifiques : - 1re réunion : elle doit avoir lieu à la mi-novembre pour établir le bilan de l’année précédente et de l’année en cours ; - 2e réunion : elle doit avoir lieu en fin d’année afin de présenter les projets de formation de l’année à venir. La première réunion comporte la présentation et la discussion des documents prévus aux points 1 à 7 mentionnés ci-dessus et la seconde réunion, la délibération relative au plan de formation, les conditions de mise en œuvre des contrats et des périodes de professionnalisation et la mise en œuvre du droit individuel à la formation. Important : Les documents d’information doivent être transmis au CE au moins 3 semaines avant la date de chacune des réunions. DOSSIER PRATIQUE BTP n° 3 - © EDITIONS TISSOT - AOÛT 2008 1re partie – Le droit individuel à la formation dans le BTP B) Quelle réponse de l’employeur et sous quelle forme ? ................................................................................ 1/ Les modalités de la réponse de l’employeur : forme et délai Qu’il accepte ou refuse la demande du salarié, l’employeur dispose d’un délai de 1 mois pour notifier sa réponse au salarié. Important : L’absence de réponse de l’employeur vaut acceptation du choix de l’action de formation et engage l’entreprise à financer la formation demandée. III - Comment le DIF est-il financé ? A) La prise en charge financière par l’employeur ................................................................................ Les frais de formation liés au DIF, ainsi que le montant de l’allocation de formation éventuellement versée au salarié (cf. infra) sont à la charge de l’employeur et sont imputables sur la participation à la formation professionnelle continue. Cf. annexe (3e partie) « La participation financière des entreprises du BTP à la formation professionnelle ». Afin d’éviter tout litige ou ambiguïté avec le salarié, il est conseillé à l’employeur de répondre au salarié par lettre recommandée avec accusé de réception ou par lettre remise en mains propres contre décharge. 1/ Entreprises du BTP occupant 10 salariés et plus 2/ L’accord de l’employeur L’OPCA bâtiment prend en charge les coûts pédagogiques, les frais annexes, l’allocation de formation lorsque la formation se déroule hors temps de travail, le salaire et les charges lorsque la formation a lieu pendant le temps de travail. Le remboursement ne peut pas excéder le montant de la cotisation annuelle de l’entreprise au titre du plan de formation, diminuée de la part mutualisée et des remboursements déjà obtenus. En application de l’accord BTP du 13 juillet 2004, l’OPCA bâtiment peut accorder une prise en charge sur les fonds de la professionnalisation pour les DIF réalisés hors temps de travail et préparant à des formations liées à un projet de promotion dans l’entreprise. Ce financement ne concerne que les coûts pédagogiques et ne s’impute pas sur le crédit des entreprises en option A. En cas d’acceptation, l’accord de l’employeur doit faire l’objet d’un document écrit (Cf. ci-dessus 4/ Le choix de la formation). Cf. le modèle de lettre « Réponse de l’employeur à la demande de DIF : accord » proposé à la fin de cette partie. 3/ Le refus de l’employeur Rien n’interdit à l’employeur de refuser une demande de DIF, à condition toutefois que sa décision ne soit pas discriminatoire. En application de l’accord BTP, le refus doit être motivé. Ce refus ne peut pas être justifié par le fait que l’employeur a dépensé l’intégralité de sa participation formation. Cf. le modèle de lettre « Réponse de l’employeur à la demande de DIF : refus » proposé à la fin de cette partie. En cas de refus, le salarié ne peut donc pas effectuer sa formation. Il a toutefois la possibilité de renouveler sa demande l’année suivante. Après avoir essuyé deux refus consécutifs, le salarié n’a plus qu’une issue : faire une demande de CIF, qui sera considérée comme prioritaire. En effet, lorsque durant deux exercices civils consécutifs, le salarié et l’entreprise ne s’entendent pas sur le choix de l’action de formation au titre du DIF, le salarié bénéficie d’une priorité d’instruction et de prise en charge financière de sa formation par l’organisme paritaire agréé au titre du congé individuel de formation (FONGECIF) dont relève l’entreprise. Attention : Pour effectuer cette demande de prise en charge auprès du FONGECIF, l’action de formation doit toutefois correspondre aux priorités et aux critères définis par cet organisme. Si le FONGECIF accepte la prise en charge financière, l’employeur sera tenu de verser à ce dernier une somme équivalant au montant de l’allocation de formation correspondant aux droits acquis par le salarié au titre du DIF, ainsi que les frais de formation (cf. cidessous). DOSSIER PRATIQUE BTP n° 3 - © EDITIONS TISSOT - FÉVRIER 2008 a) Entreprises du bâtiment de 10 salariés et plus en option A b) Entreprises de travaux publics de 10 salariés et plus en option A Les entreprises de travaux publics de 10 salariés et plus en option A peuvent demander à l’OPCA-TP le remboursement des frais qu’elles ont engagés au titre du DIF pour le coût pédagogique et les frais annexes ainsi que pour les rémunérations et les charges ou l’allocation de formation dans le cadre et dans la limite de leur crédit option A. En application de l’accord BTP du 13 juillet 2004, l’OPCA-TP peut accorder une prise en charge particulière pour les DIF préparant à des formations aux métiers du BTP. Ce financement ne concerne que les coûts pédagogiques et est plafonné, pour 2008, à 17 euros/heure pour les formations à la maintenance et à la conduite d’engins et à 12 euros/heure pour les formations aux autres spécialités du BTP. Si les coûts pédagogiques réels dépassent ces forfaits, le différentiel peut être pris en charge sur le crédit du plan de formation de l’entreprise. L’OPCA-TP peut accorder des fonds mutualisés pour le financement des DIF non prioritaires sur la base de 7 euros par heure pour les coûts pédagogiques et, éventuellement, pour les autres frais en fonction de la pertinence du projet. c) Entreprises du bâtiment et des travaux publics de plus de 10 salariés en option B L’OPCA bâtiment et l’OPCA travaux publics ne prennent en charge aucun financement du DIF. 107 E Le DIF et les autres congés de formation à l’initiative du salarié - Spécial BTP Traitez simplement, étape par étape, une demande de DIF et de tout autre congé de formation. Vos avantages • Vous êtes en mesure de répondre rapidement aux demandes de formation de vos salariés • Des modèles de lettres prêts à l’emploi pour éviter les erreurs @ Support Internet Le dossier pratique Des exemples concrets pour répondre à chacune de vos problématiques quotidiennes Ce dossier pratique vous donne les informations précises pour comprendre le DIF et les spécificités du secteur du BTP. 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Moteur de recherche par motsclés et numéros d’articles. @ SOMMAIRE DE LA PUBLICATION (susceptible de modifications) Partie 1 - Le droit individuel à la formation dans le BTP Partie 2 - Les autres congés de formation à l'initiative du salarié Partie 3 - Annexes @ L'accès aux e-news Tissot de votre choix Recevez chaque semaine par e-mail des conseils opérationnels sous forme de brèves d’actualité sociale, de cas de jurisprudence commentés, de modèles de lettres… Offre Duo Pour 1 an d’abonnement Le dossier pratique Les mises à jour Les modèles personnalisables Le Code du travail Les e-news Tissot Prix Référence Offre Internet Papier + Internet @ @ @ @ @ @ @ @ @ @ 108 € HT 96 € HT DBFE DBFW A l’issue de la première année, le montant du réabonnement annuel sera d’environ 7 € HT/mois. www.editions-tissot.fr BON DE COMMANDE Votre commande : Le DIF et les autres congés de formation à l’initiative du salarié - Spécial BTP Frais de Réf. 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