Source de Lumineuse

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Source de Lumineuse
Source de Lumineuse Facteur de lumière du jour : •  Le facteur de lumière du jour en un point intérieur est le rapport de l'éclairement naturel reçu en ce point à l'éclairement extérieur simultané sur une surface horizontale en site parfaitement dégagé, par Ciel Couvert. •  Ces deux valeurs d’éclairement sont dues à la lumière reçue d’un même ciel dont la réparCCon des luminances est supposée ou connue, la lumière solaire directe en étant exclue. Le FLJ s’exprime en %. source lumineuse Emission RESUME: L’intensité lumineuse est donnée en Candela (cd) et le candela =lumen/Stéradian (lm/sr). La luminance est donnée en Candela/mètre carré (cd/m2 appelé aussi nits). L’éclairement est donné en Lux (lx) et Lux=lumen/
mètre carré (lm/m2) Lumens et candelas mesurent des quan>tés de lumière mais différemment. Le lumen mesure un flux total émis, toutes direc>ons confondues. En revanche, le candela mesure l'intensité lumineuse dans un angle solide donné. Plus on concentre un même faisceau de lumière, plus l'intensité lumineuse augmente alors que le flux lumineux total ne varie pas. Les facteurs de base : intensité, flux lumineux, éclairement et luminance .Ces quatres facteurs sont liés comme suit: • 
Une lampe électrique, source d'éclairage arCficielle, rayonne dans toutes les direcCons de l'espace un flux lumineux dont l'unité est le lumen (lm). • 
Ce flux a, dans une direcCon donnée, une certaine intensité exprimée en candelas (cd). • 
Une surface, placée à une distance donnée de la source, reçoit un éclairement qui s'exprime en lux (lx). • 
Enfin, la surface éclairée renvoie une parCe de l'éclairement reçu en direcCon de l'observateur (par exemple, l'objecCf d’une caméra) : c'est la luminance exprimée en candelas par mètre carré (cd/m2). source lumineuse angle émission •  Angle d'émission en (Degrés) Correspond à l'angle de demi-­‐intensité lumineuse (dans toutes direcCons par rapport à l'axe opCque) à l'intérieur d u q u e l l ' i n t e n s i t é lumineuse (en Candelas (cd)) est supérieure à la mo i Cé d e l 'i n ten si té lumineuse maximale. Source lumineuse Réflexion Facteur de réflexion Lorsque la lumière aTeint une surface opaque, c'est à dire une surface ne transmeTant pas la lumière, une parCe de ceTe lumière est absorbée et l'autre parCe est réfléchie. Le ra>o du flux lumineux réfléchi sur le flux lumineux reçu est appelé facteur de réflexion. Ainsi, si une parCe de la surface considérée reçoit 100 lumens et réfléchit 70 lumens, le facteur de réflexion est alors de 0.7, il peut également s'exprimer en pourcentage c'est à dire 70%. Les 30% restants sont quant à eux absorbés. Les parois (murs, plafonds…), objets ou autres surfaces réfléchissent la lumière de façon différentes de manière dispersés vers toutes les direcCons, ce que l’on peut appeler réflexions diffuses. (Le plâtre, la peinture, papier peint , table de verre…,.) Les miroirs, des surfaces métalliques polies qui donne une image net et on tendance à renvoyer le rayonnement lumineux suivant un angle en correspondance avec le rayon incident sont nommé réflexion spéculaire bien que le facteur de réflexion puisse être très diffèrent, (INOX polis de l’ordre de 60% l’aluminium polis 85% ). Beaucoup de matériaux peuvent avoir les 2 type de réflexion , cela se nomme réflexion mixte, c’est le cas de Bois vernis, de plasCque, les peintures laquées… Source Lumineuse-­‐ éblouissement L’éblouissement (UGR): c’est la sensaCon visuelle désagréable du au déséquilibre des luminances dans notre champ visuel. Ceci peu être mis en évidence par des techniques de détecCon et à des formulaCons parfois complexes. CeTe sensaCon visuelle varie fortement avec l'âge : stable de 20 à 35 ans, elle varie du simple au double entre 35 et 70 ans. Pour simplifier, nous dirons qu'il y a deux sortes d'éblouissement : L’éblouissement perturbateur qui entraîne une perte momentanée de la vision, et qui se produit lorsque la luminance aTeint ou dépasse des valeurs extrêmes (vision du soleil sans protecCon, vue sur une parCe de paysage très claire et très ensoleillée ...) ou que le contraste devient trop important (phares de voiture de nuit, vue sur l'extérieur depuis le fond d'une pièce sombre ...). Cet éblouissement qui fait référence à une "douleur" visuelle doit être systémaCquement combaTu lors de la réalisaCon d'un projet d'éclairage. L’éblouissement inconfortable diminuant la performance visuelle sans aTeindre la noCon de douleur. Cet éblouissement mis en évidence par le contraste (dans la plupart des cas). Le schéma sur votre droite donne les valeurs limites habituelles :L’éblouissement peut être : Direct, quand la source lumineuse est dans le champ visuel ; s’il s’agit d’une source naturelle, le poste de travail doit être protégé du rayonnement solaire gênant. Indirect, lorsque l’éclairement est réfléchi sur des objets, des surfaces et le plan de travail. Le schéma suivant (ergorama) défini les critères de l'ergonomie visuelle, limites de contraste de luminance entre la tâche visuelle et les sources parasites, selon leur posi>ons dans le champ visuel (nommé dans ce cas panorama Ergorama Limites du contraste de luminance entre la tâche visuelle (Le point O du cône représente l'œil de l'observateur) Source lumineuse-­‐ points à observer Afin d’éviter les gênes du à l’éblouissement , il est recommandé : • 
d’uCliser des surfaces mates ou des éclairages diffus à l’endroit de la tâche visuelle et même au niveau des sols et des plafonds. • 
La luminance ne doit pas excéder : –  3000 cd/m2 pour les sources lumineuses (2000 cd/m2 dans la norme AFNOR) –  600 cd/m2 pour un plafond, un mur, une fenêtre (500 cd/m2 dans la norme AFNOR) • 
de ne pas dépasser un rapport entre deux luminances voisines de 50. • 
Un angle compris entre la direcLon de la source et celle du regard doit être le plus grand possible (minimum souhaitable 30-­‐40 ° ). UGR = 8 log (0.25/Lb x L² /p²) Lp : luminance de fond exprimée en candela/m² et représente l'éclairement ver>cal indirect au niveau de l'oeil de l'observateur. L : luminance contenant les par>es lumineuses de chaque luminaire dans la direc>on de l'observateur en candela/m². :angle solide (stéradian) des par>es lumineuses de chaque luminaire au niveau de l'oeil de l'observateur. P :indice de posi>on de Guth fourni dans des tables spécifiques et représente la posi>on d'un luminaire par rapport à l'axe ver>cal. Les locaux peu fréquentés, les tâches nécessitant peu de concentra>on visuelle ont une exigence de confort moindre (UGR élevé = plus éblouissant) .