Gilles Aillaud, 1928-2005
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Gilles Aillaud, 1928-2005
A I M E R Y S O M O G Y F O N D AT E U R A I M E R Y S O M O G Y F O N D AT E U R COMMUNIQUÉ DE PRESSE Katharine TURVEY SERVICE DE PRESSE 01 48 05 04 44 k . t u r v e y @ s o m o g y. f r « Je peins des choses, je suis absolument incapable de peindre une idée. Je peins des choses parce que la force des choses me paraît plus forte que toute idée. Pour nier une chose, il faut la détruire, tandis qu’une idée, c’est du vent, on peut toujours fermer l’oreille. » Gilles Aillaud Gilles Aillaud, 1928-2005 Sous la direction d’Anne Dary, musée des Beaux-Arts de Rennes, Elisa Farran, de Saint-Rémy-enProvence et Jean‑Charles Vergne, FRAC Auvergne EAN / ISBN 9782757209219 Broché avec rabats, 19,00 € 20 x 26 cm / 104 pages / 90 illustrations Parution le 4 février 2014 Exposition présentée au musée des Beaux-Arts, Rennes, du 16 janvier au 16 mai 2015, au musée Estrine, Saint-Rémyde-Provence, du 16 juin au 6 septembre 2015, et au FRAC Auvergne, du 5 octobre 2015 au 10 janvier 2016 Gilles Aillaud était non seulement peintre mais également dessinateur, graveur, scénographe, écrivain et poète. Cet ouvrage tente de montrer toutes les facettes de ses talents. Peintre animalier et paysagiste, il fut un des protagonistes les plus engagés du mouvement de la Figuration Narrative. Après des études de philosophie, il se forma en autodidacte et avec opiniâtreté à la peinture, dans la solitude de la recherche, et accompagna l’engagement des artistes de sa génération, notamment au sein du Salon de la Jeune Peinture de 1964 à 1971, dont il fut l’un des protagonistes essentiels. Ami des artistes de la figuration narrative, il a son nom souvent associé à ce mouvement, du fait notamment des oeuvres collectives réalisées avec les peintres Eduardo Arroyo et Antonio Recalcati. L’ouvrage et l’exposition présentent tous les aspects de l’œuvre de Gilles Aillaud : les animaux, les grands paysages africains et bretons, les dessins et les estampes, notamment une sélection issue de l’Encyclopédie de tous les animaux y compris les minéraux, enfin le travail de scénographie à travers des photographies, des dessins, et des affiches. RETROUVEZ-NOUS SUR WWW.SOMOGY.FR K a t h a r i n e T U RV E Y S E R V I C E D E P R E S S E 01 48 05 04 44 / [email protected] A I M E R Y S O M O G Y F O N D AT E U R A I M E R Y S O M O G Y F O N D AT E U R « Si les animaux ne sont chez Aillaud ni thème ni symbole, que sont-ils donc ? Risquons, si grandiloquente qu’elle puisse paraître, l’hypothèse qu’ils sont l’aurore de la peinture, qu’Aillaud nous donnerait en quelque sorte à contempler de nouveau… » Didier Semin « Pour regarder un tableau en face, il faudrait commencer par essayer de se souvenir qu’un tableau est fait avant tout pour parler à quelqu’un de quelque chose. L’examen de ce “quelqu’un” et de ce “quelque chose”, lorsqu’il n’est pascarrément rejeté, est toujours renvoyé à plus tard par celui qui regarde la peinture, absorbé qu’il est par le souci primordial de faire passer au tableau cet examen préalable : est-ce une peinture valable ? Valable par rapport à quoi ? Valable par rapport à la peinture. » Gilles Aillaud RETROUVEZ-NOUS SUR WWW.SOMOGY.FR K a t h a r i n e T U RV E Y S E R V I C E D E P R E S S E 01 48 05 04 44 / [email protected] A I M E R Y S O M O G Y F O N D AT E U R A I M E R Y S O M O G Y F O N D AT E U R A I M E R Y S O M O G Y F O N D AT E U R RETROUVEZ-NOUS SUR WWW.SOMOGY.FR K a t h a r i n e T U RV E Y S E R V I C E D E P R E S S E 01 48 05 04 44 / [email protected]